Tigawt d wawal di tɣamsa -- Presse Book de la troupe (Action et Parole)

“Tafukt” le journal de l’association Numidya d’Oran

Culture : THÉÂTRE La troupe Numidia d’Oran enflamme Bouzguène

Venue spécialement de la lointaine ville d’El Bahia, à l’invitation de l’association Igelfan, pour présenter jeudi dernier la pièce Angaru ad yer tawurt (le dernier tire la porte), la troupe théâtrale Parole et action de l’association Numidia d’Oran a carrément encensé Bouzguène qui a vibré au rythme de la représentation suivie par 250 personnes. Œuvre de Djamel Benaouf, écrivain, poète et dramaturge de l’association amazighe Numidia d’Oran, la pièce qui met en scène des morts sortis de leurs tombes à la recherche de la liberté perdue, est inspirée d’un titre de l’œuvre de Mohia Asqif n tmana. Interprétée par huit comédiens dont un enfant de 10 ans et une fille, Kahina Cherdoune, la pièce est composée de plusieurs tableaux où les sujets et les genres théâtraux diffèrent dans le fond et la forme. A travers la pièce, présentée en présence du secrétaire général du HCA Youcef Merahi, du président de l’association Saad Zamouche et du P/APC de Bouzguène, c’est un hommage qui a été rendu non seulement aux artistes algériens tels que Lounès Matoub, Abdelkader Alloula, Kateb Yacine et tous les autres, mais aussi aux grands-parents qui, après avoir jalousement conservé le patrimoine oral, l’ont finalement transmis aux nouvelles générations. C’est la quatrième œuvre de Djamel Benaouf et la troisième pièce jouée par la troupe Action et parole qui s’illustre par un riche palmarès. Les quatre chronologies descriptives en forme de poésie sont essentiellement extraites de plusieurs titres de pièces de théâtre, de contes et de quelques films comme El Geurrab wa salihin de Ould Abderrahmane Kaki, Hafila tassir de Azzedine Medjoubi, Jeloul lefhaymi dans un tableau de la pièce de Alloula intitulé Lejwad et Muhand Uchabande Mohia. S. Hammoum

Le soir d’algerier du 21/02 /06

• Clôture du Festival national du théâtre amazigh de L’association Numidia lauréate du 1er prix

⚫ La 7e édition du Festival national du film amazigh organisé par l’association culturelle Amezgun n Gerger a pris fin avant-hier. Le premier prix du meilleur spectacle a été attribué par le jury à la troupe de l’association culturelle, Numidia d’Oran pour sa pièce «Anegaru ad yer tabburt». C’est M.Ouadah, wali de Tizi Ouzou qui a remis le prix à M.Said Zamouche, président de Numidia qui s’est présenté au nom de la troupe qui a rejoint la veille Oran. Les deuxième et troisième prix sont revenus aux troupes de Larbaâ Nath Irathen et à celle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Les prix ont été remis par respectivement Hocine Haroun, représentant de l’APW de Tizi Ouzou et El Hadi Ould Ali, directeur de la culture de la wilaya. Ce dernier a remercié tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réussite de ces journées théâtrales, notamment les membres de l’association, Amezgun n Gerger. Ould Ali El Hadi a rappelé que le théâtre communal de Tizi a été promu au rang de théâtre régional et c’est en son enceinte que se déroulera l’année prochaine le 8e Festival du film amazigh. Le wali a de son côté exprimé son admiration pourt le talent des comédiens qui ont été à la hauteur de l’événement et a promis que devant le dynamisme exprimé par le mouvement associatif local, les autorités ne pourront que lui prêter main forte afin de permettre à la culture de renaître dans la wilaya. Après la réception du premier prix, Said Zamouche, président de Numidia nous a déclaré : «Je suis très heureux de cette distinction, mais ce sont nos comédiens qui seront les plus heureux, car c’est grâce à eux que ce prix a été obtenu, particulièrement Djamel Benaouf qui a écrit la pièce».

Aomar Mohellebi La Dépêche De Kabylie : N° :1129 Date 2006-02-21

Culture : SEPTIÈMES JOURNÉES THÉÂTRALES A TIZI-OUZOU "S'engager pour un art prophylactique"

Tombée de rideau sur les septièmes journées théâtrales d’expression amazighe. Un public attentif, exigeant qui répond au quart de tour. Des amateurs de l’art des planches, malgré certaines défections, semblaient à l’avant-garde de ce qui s’est produit lors de ce festival. Du travail reste à faire pour vulgariser la pratique du quatrième art. Dans un paysage culturel, où il n’existe aucune motivation sur l’exercice et la production de l’art des planches, les septièmes journées organisées par l’association Amezgun N’Djerdjer aura au moins ce mérite de marquer un tournant, d’abord, d’organiser des manifestations théâtrales d’une manière constante, de pouvoir pérenniser l’activité par l’implication de plus en plus de professionnels, d’investir dans la formation des jeunes talents et d’engager des débats de réflexion sur la promotion du théâtre amazigh. Ce serait l’une des satisfactions de ces journées théâtrales dédiées à Mohya, l’un des fondateurs du théâtre kabyle dans son esprit universel. En prélude, le public a suivi une pièce Tifi, de la troupe Imnayen concoctée par Lyes Mokrab. Ce spectacle innovant était présenté par des jeunes (garçons et filles) qui ont alterné jeu théâtral, chorégraphie et mise en évidence de costumes. Fait original dans le théâtre amazigh. Tifi est une pièce de théâtre comme on les aime ! Elle donne de la consistance aux personnages, campés par des acteurs et actrices incroyables. Sur la scène souffle une brise de Méditerranée. 45 mn, et la pièce nous renvoie jusqu’aux lieux mythiques “où nos lointains ancêtres, aux prises avec la nature, personnifiant la pluie et le beau temps, la fraîcheur d’une fontaine de montagne où Anzar s’éprit follement d’une extraordinaire jeune fille”. Tifi est irrésistible, diabolique et touchante. Son énergie nous étonne, son jeu nous enlève et nous emporte dans la pièce corps et âme. Peu d’acteurs ou d’actrices peuvent avoir le mérite de transporter tant et si bien les spectateurs au cœur même de l’intrigue. Tifi incarne un mythe et une réalité, tantôt sincère, tantôt naïve et attachante. La pièce est à la fois moderne et classique, elle réhabilite la mémoire, le patrimoine. Elle est assurément l’événement théâtral de ce festival. Une pièce qui nous fait aimer le théâtre. Les Oranais de Tigawt D Wawal (action et parole) ont donné de la couleur à la mise en scène. Dans leur pièce Anaggaru A d Yer Tabburt, l’hommage aux artistes disparus ou marginalisés est bien servi par des acteurs qui donnent une épaisseur formidable aux personnages dans leur interprétation intelligente et audacieuse. La vie n’est qu’un recommencement. Les morts ont cette habitude de sortir de leurs tombes qu’une fois la nuit tombée, à la recherche de leur liberté et de voir ce qu’il reste des habitudes de ce bas monde. Des chronologies descriptives s’ensuivent alors sous forme de poésie, de chants, des extraits d’autres pièces théâtrales, de contes ou d’autres titres de films. Une mise en scène originale qui ne fait qu’ajouter au réalisme de la pièce et divertit un peu plus le public qui n’arrête pas d’applaudir. Les “oubliés” de Béjaïa sonne comme une pensée aux enfants exclus de l’école, de la vie, du système. Des gamins dont l’alacrité de leur interprétation fait merveille et l’on rie beaucoup. Pour le reste, on pourra dire que la pièce ne sort pas de son époque. J-L-H.

Source de cet article : http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2006/02/23/article.php?sid=34812&cid=16

www.djazairnews.info no : 925 – Juedi 25/01/2005

JANE GOODMAN (PROFESSEUR À INDIANA UNIVERSITY) AU COURRIER D’ALGÉRIE : «Je prépare un livre sur le théâtre amateur algérien» J eudi passé, au siège de l’association Numidia à Oran, nous avons rencontré une intellectuelle américaine, qui s’intéresse de près, au théâtre amateur algérien, particulièrement d’expression amazighe. Elle a suivi les répétitions de l’opérette « La cigale et la fourmi » de Djamel Benaouf, présentée par les comédiens en herbe, deux soeurs, Saliha et Nadjet, ainsi que leur frère Abderahmane, de la famille Benmeriem. Tout comme la troupe « Action et Parole », du même auteur, et comédien, à savoir Djamel Benaouf, avec la pièce «Le dernier ferme la porte, l’asile est complet.» tous, ont mis au point tout ce qu’ils devaientt présenter au public, hier au théâtre régional d’Oran (TRO), en hommage à tous les artistes et à l’occasion de la célébration du 5 juillet, fête de l’indépendance et de la jeunesse. Nous l’avons sollicité à cet entretien, avec amabilité, elle a répondu, à nos questions. Ecoutons – la : Présentez – vous à nos lecteurs ? Je m’appelle Jane Goodman. Je suis professeur à Indiana University (USA). Quel est le motif de votre séjour en Algérie ? Mon séjour en Algérie s’étale du mois d’octobre 2008, jusqu’au mois de juillet de l’année en cours. J’y fais des recherches sur le théâtre amateur dans votre pays. J’ai eu l’occasion de travailler avec plusieurs troupes théâtrales, comme « Action et Parole » de l’association Numidia d’Oran, « El Moudja » de Mostaganem, « Istidjmam » d’Oran et d’autres associations. Après dix mois de séjour en Algérie. Quelle est votre découverte ? J’ai pu découvrir la diversité théâtrale en Algérie. De plus, les thèmes sont variés et la pratique de cet art diffère d’une association à une autre. Je peux dire qu’il n’y a pas un seul style de théâtre amateur. Voulez – vous dire une richesse culturelle ? Tout à fait, j’ai découvert en Algérie, une richesse culturelle. Apparemment, vous avez appris les langues algériennes ? Je parle l’Arabe dialectal, mais pas couramment. En revanche, en 1993, j’ai passé une année en Kabylie. Ce qui m’a permis de parler Kabyle. Maintenant, je l’ai perfectionné, grâce aux acteurs de l’association Numidia. Ainsi, je communique avec eux, sans aucune difficulté. Avez – vous réalisé des ouvrages sur la culture algérienne ? En 2005, aux Etats – Unis d’Amérique, j’ai écrit un roman sur la chanson Kabyle. Pourquoi avez – vous fixé votre choix sur cette culture ? Dans les années 1980, j’ai découvert le groupe « » aux USA. J’ai chanté, deux de leurs chansons, dans un groupe musical américain. Ainsi, en 1990, pour trouver un terrain de recherche, à l’effet de préparer ma thèse de Doctorat en anthropologie, j’ai choisi la Kabylie où j’y avais séjourné pour un mois. Quelles sont vos perspectives ? L’année universitaire 2008/2009, je la considère comme sabbatique. Alors, je dois me mettre au travail, pour réussir, d’autres entreprises. Pour revenir à votre question, Inchallah (sic), je préparerai un deuxième livre. Cette fois ci, je choisirai le sujet sur le théâtre amateur en Algérie. Quel est le dernier événement théâtral que vous avez suivi en Algérie ? Du 21 au 28 juin passé, j’ai assisté au festival du théâtre, à Mostaganem.. Si je comprends bien, après un aussi long séjour chez nous, vous avez l’Algérie dans le coeur ? C’est exact, je ne peux rester indifférente à tous ces moments agréables que j’ai passés en Algérie. Je promets d’y revenir un jour. Avec quoi allez – vous conclure ? Je remercie ceux qui m’ont aidé à effectuer mon travail de recherche, dans d’excellentes conditions. J’ai apprécié également, l’accueil chaleureux qui m’a été réservé par les associations. Entretien réalisé par Abdennour Abderahmane

FORMATION AU QUOTIDIEN Mardi 7 juillet 2009 - www.lecourrier-dalgerie.com - N°1623 - 6e année

ثقافة

بعد العرض العام مبسرح عبد القادر علولة بوهران ''األخري يغلق الباب'' مسرحية تُفجر إبداع فرقة حركة وعمل

وهران: جعفر بن صاحل: املصدر 2009-12-14

عرض على خشبة مسرح عبد القادر علولة، أول أمس، مسرحية ''األخري يغلق الباب... امللجأ مملوء'' ابللغة األمازيغية، تفنن يف حبكتها املخرج املسرحي مجال بن عوف، مناضل وهب كل حياته إلبقاء شعلة هذا الكنز املتوارث عن األجداد متّقدة، واتضح من خالل العرض أن املمثلون أكثر نضجا وحتكما يف تقنيات السينوغرافيا. فضل مجال بن عوف ومساعده مسري زموري إضفاء طابع ''نضايل ـ التزامي'' على املسرحية من خالل اختيار أغنية املطرب الراحل وامللتزم معطوب لوانس املوسومة ''سيدي الرئيس'' حول قضية اهلوية وعالقتها ببناء الدولة، وهي إشارات كافية لتصنيف العمل ضمن املسرح النقدي يف قالب درامي وكوميدي وابستعمال احللقة. تدور أحداث املسرحية حول خروج املوتى من قبورهم حبثا عن حريتهم وإلنقاذ ضمائرهم، لكن يف وضح النهار، بعد موافقة ''سي محيدة'' حارس املقربة. ويلخص العرض الذي يستغرق ساعة و50 دقيقة مسرية األموات مع األحياء خالل ألف سنة، ليقرروا فيما بعد الرجوع لقبورهم لكن ''احلارس اجلديد ال يعرتف هبم وال يسمح هلم ابلعودة''. يرتجم العمل املسرحي غياب القيم يف عامل األحياء وانعدام الضمري الذي جيعل منهم أجسادا بال روح. يعترب العمل تكرميا للفنانني األحياء منهم واألموات والعلماء وكل الرجال الذين سامهوا يف بناء اجلزائر. يف نفس السياق، تضمن املشهد األول التفاتة لفنان األغنية الشاوية عيسى اجلرموين ومقطع إلحدى أغانيه، حبكم أن الفرقة مدعوة للمشاركة يف مهرجان املسرح األمازيغي بباتنة. استعانت فرقة ''حركة وعمل'' التابعة جلمعية نوميداي الثقافية خبربة املسرحي حممد بلعروسي إلجناح العمل واتضح ذلك من خالل الكوريغرافيا والتوجيه اجليد للممثلني من طرف سيد علي غوايل، وهو ما انعكس على أدائهم اجليد وهم عبد احلميد ابحفري وشاهيناز والح ومازيغ رجدال وانصر بوزراتة وتوفيق عموش ويونس رسوس ويوغرطة دوادي وزهري مشايل وججيقة بن هالل وحفيظة بن معمر وعبد القادر بوديبة ومجال بن عوف. كما ُوفقت الفرقة يف اختيار األلبسة اليت متثل هياكل عظمية ابللونني األسود واألبيض، وسط ديكور يتشكل من لوحات فنية متثل قبورا وصورا كبرية تتغري حسب املشاهد.

وهران: جعفر بن صاحل: املصدر 2009-12-14 El khabar du 14/12/2009

CULTURE

FESTIVAL NATIONAL DU THÉÂTRE AMAZIGH Les artistes souffrent en silence 16 Décembre 2009 - Page : 20 La troupe Tigawt d Wawal, de l’association Numidia d’Oran, quant à elle, a présenté sur la pièce intitulée Aneggaru a d-yerr Tawwurt (le dernier ferme la porte), un genre contestataire, entre drame et comédie avec El Halqa, écrite et mise en scène par Djamel Benaouf. L’histoire relate: Les morts avaient cette habitude de sortir de leurs tombes qu’une fois la nuit tombée: Cette fois-ci, ils profitèrent de l’absence de H’mida, le veilleur du cimetière, pour sortir enfin de leurs demeures et apparaître en plein jour à la recherche de leur liberté! Si H’mida, qui s’apprêtait pourtant à leur organiser une grande cérémonie à l’occasion de la naissance de l’artiste, en fut déçu. Cachant sa colère, il prit la sage décision, qui consiste à les inviter à sortir de leurs tombes et d’aller vivre tels des fantômes et voir ce qu’il en reste des habitudes de ce bas monde. Maintenant qu’ils sont parmi les vivants, plusieurs questions se posent: comment vont-ils s’y prendre et comment se fera leur sortie de l’au- delà? A la fin de la pièce, on remarquera que ces morts vécurent dix mille ans parmi les vivants sans se soucier du temps, jusqu’au jour où ils se lassèrent de la vie, avec regret, ils décidèrent de regagner leurs tombes. Cette fois-ci, le nouveau gardien du cimetière qui ne les reconnaissait pas, leur refusa l’accès...Dans toutes les sociétés réprimées, les êtres rêvent d’existence. Ils rêvent d’eux-mêmes, du moins de l’image qu’ils en ont, qui leur apporte paix et joie, et parfois ils font d’affreux cauchemars qui les réveillent en sursaut et les secouent profondément... Le seul point important, c’est que la plupart ne maîtrisent pas leurs rêves. Ils les subissent; ils ne peuvent les provoquer, ils ne peuvent, encore moins en modifier le contenu et le cours...Par contre, certaines personnes y arrivent. Celles qui ont pris «conscience» qu’elles étaient les actrices de leur vie...et de leurs rêves...Alors, le cours des choses change...A méditer! Comme disait Mohia: «Illa yiwene yella, illa yiwene ulachith yella.» Cette pièce par exemple, est un thème récurrent de la situation de la culture dans une société où ses artistes vivent sous d’autres cieux, laissant la place aux «artistes parasitaires», faire de ce noble métier, un fonds de commerce, engendrant les corps malléables, les cerveaux qui se partagent, se vident et s’étirent. De notre envoyé spécial à Batna Idir AMMOUR Expression.

Liberte du 16/12/2009

Aneggaru a d-yerr tawurt au Festival du théâtre amazigh de Batna Dans la lignée d’Alloula 16-12-2009

Photo : La Tribune De notre envoyé spécial à Batna Amirouche Yazid

La pièce intitulée Aneggaru a d-yerr tawurt, yeccur wesqif n ttmana (le dernier ferme la porte, l’asile est complet) a tenu en haleine le public du Théâtre régional de Batna. Œuvre de l’association culturelle Numidia du Théâtre régional d’Oran Abdelkader Alloula, le scénario a allié plusieurs facettes allant de la poésie contestataire à la musique engagée. Aneggaru a d-yyer tawurt, yeccur wesqif n ttmana est aussi l’expression du théâtre engagé. On y découvre l’empreinte d’Abdelkader Alloula et de ses halqa (poème et chants) basée sur la narration. Ceux qui étaient présent lundi soir dernier au théâtre de Batna se rappelleront la trilogie d’Alloula : El Goual, Litham et El Djouad. La forme dans laquelle a été présentée la pièce est révélatrice de la continuité de l’héritage d’Alloula, traducteur de la culture maghrébine. La scène se passait pourtant dans un cimetière où sont opposés des morts virtuels à de vrais faux vivants. Ces derniers que le génie populaire a désignés par le statut de «déjà morts». Ecrite par Djamel Benaouf, également auteur de la mise en scène, la pièce a plongé l’assistance dans des interrogations complexes où il n’est guère facile de distinguer l’acteur vivant et celui qui symbolise la mort. Les morts avaient l’habitude de sortir de leurs tombes chaque nuit. Jusqu’au jour où ils profitèrent de l’égarement du veilleur du cimetière pour sortir en plein jour. Sortir pour aller où ? Ils partent à la conquête de la liberté. Si H’mida, le veilleur du cimetière, s’apprêtait, pourtant, à organiser une fête au cimetière pour célébrer la naissance de l’artiste. Même déçu par une telle attitude, Si H’mida s’adressa à ses «protégés». Il les a invités à sortir de leurs tombes pour aller vivre tels des fantômes et voir ce qu’il reste des habitudes de ce monde. Une kyrielle d’interrogations envahit par la suite les planches quant au devenir de ces anciens morts. Comment vont-ils réintégrer le monde des vivants ? Comment va se faire leur retour de l’au-delà ? Où vont-ils prendre place ? Mystère. A mesure qu’il avance, le scénario de la pièce impose un retour lointain dans le passé, pour comprendre que les morts que surveillait Si H’mida vécurent 10 000 ans parmi les vivants sans se soucier du temps. Jusqu’à cet instant de rupture où ils vont se lasser de la vie. Ils décidèrent dès lors de regagner leurs tombes. Le retour au «bercail» ne se fera pas sans difficulté même quand ce bercail est un cimetière. Les morts de la pièce de la troupe Numidia ne sont pas les bienvenus dans leur cimetière. Pourquoi ce rejet ? Les morts ont perdu leur unique amitié dans le cimetière. Si H’mida a rejoint le royaume des morts. Et son successeur au poste du gardien des tombes ne reconnaît pas les habitués des lieux. Il leur refuse l’accès. Un interdit supplémentaire même pour se rendre au cimetière. C’est l’aboutissement d’un voyage liant drame et comédie, effectué par des morts sortis de leurs tombes à la recherche de leur liberté pour sauver leur âme. Pendant 1h50mn, le texte de Benaouf et de son assistant Samir Zemmouri n’a pas lassé les spectateurs grâce à la forte dose d’humour que contient la pièce, mais aussi à sa dimension protestataire. Il faut souligner que l’association Numidia d’Oran en est à sa troisième œuvre théâtrale. La première, réalisée en 2003, est intitulée Au pays de la moquerie. La deuxième sera le Gars à la calotte absent. Elle a été présentée en 2004. Le dernier ferme la porte a été exposée dans sa version première en 2005. Trois pièces, c’est l’équivalent d’un palmarès de 9 prix.

THÉÂTRE UNE CONVENTION ENTRE LE T.R.O. ET LA TROUPE NUMEDIA La troupe de théâtre de l’association Numedia, d’expression amazighe, peut compter désormais sur le théâtre régional «Abdelkader-Alloula» pour toutes ses productions futures. Cette institution étatique s’est en effet engagée, au titre d’une convention qu’elle a signée avec cette association, à lui fournir aide matérielle et artistique pour toutes ses activités théâtrales à venir. Ce protocole d’accord, qui a été paraphé par les deux parties, a été rendu public hier au cours d’une conférence de presse animée par un cadre du TRO et le président de l’association dont l’existence date du 1er octobre 1991. Les deux responsables ont tenu à rappeler que le Théâtre régional «Abdelkader-Alloula» a déjà mis à la disposition de la troupe (amateur) son espace scénique, ses moyens lourds de transport et un bon nombre d’éléments décoratifs pour la pièce : «Le dernier ferme la porte» qui a été présentée au dernier festival du théâtral d’expression amazighe tenu du 10 au 18 décembre à Batna. La pièce, qui est écrite en amazigh et mise en scène par Djamel Benaouaf et dont la générale a été donnée à Oran le 11 de ce mois, a décroché à Batna le prix du jury et laissé une très bonne impression lors de ce festival, selon les deux animateurs de cette conférence de presse qui ont indiqué que cette dernière prestation de la troupe Numedia a encouragé les deux parties à travailler davantage pour la promotion de ce genre de théâtre à Oran tout en rappelant que l’association Numedia est la seule troupe qui active dans le théâtre d’expression amazighe. Celle-ci compte entamer une tournée à travers quelques villes de la Kabylie à partir du 25 décembre et dont la première ville sera Akbou. A. Belkedrouci

El Watan - Jeudi 24 décembre 2009 - 9 N° 5823 –

La voix de l’Oranie du 24/12/2009

جمعية نوميديا تحتفي بالربيع األمازيغي األسطورة ''شيخ الكانون'' لمحاكاة الواقع السياسي 27-04-2011 وهران: جعفر بن صالح كان جمهور المسرح الجهوي عبد القادر علولة بوهران، أول أمس، على موعد مع أحدث عمل لفرقة ''حركة وعمل'' للجمعية الثـقافية نوميديا التي احتفت بشهر التراث والربيع األمازيغي، عبر تقديم العرض العام لمسرحية ''شيخ الكانون'' للكاتب المسرحي جمال بن عوف، الذي يثـ ّمن من خاللها ''التراث الالمادي'' للجزائر بلسان أمازيغي، عن طريق توظيف األسطورة وإسقاطها على الواقع السياسي الحالي. تدور أحداث المسرحية على مدار ساعة و20 دقيقة، حول لقاء بين أشخاص الجئين في منزل صغير حول موقد أو ''كانون''، في قرية مهجورة من طرف سكانها. تتسارع أحداثـها بعد ظهور شخص غامض يرتدي برنوسا أبيض، أو ما يسمى ''شيخ الكانون'' في األسطورة األمازيغية، الذي يشرع في سرد تفاصيل حياته وسبب هجر السكان للقرية مستعمال الشعر، وهي من خصائص أعمال بن عوف المسرحية. ويروي كل شخص في المسرحية حياته على ضوء نار الموقد، تصاحبه نوتات موسيقى آلة ''المندول'' التي يعزف عليها الممثـل يونس رسوس. وقد نجحت الفرقة في استقطاب انتباه الجمهور رغم حداثـة سن الممثـلين وقصر تجربتهم في المسرح، من أمثـال أمازيغ رجدال، ججيفة بن هالل، حفيظ بن معمر، عبد الصمد بن راضي، يونس رسوس وتحت قيادة جمال بن عوف. تجدر اإلشارة إلى أن الجمعية الثـقافية والرياضية نوميديا بوهران حضرت برنامجا خاصا للذكرى المزدوجة ألحداث الربيع األمازيغي، تتضمن لقاء أدبيا وعلميا اليوم حول أعمال ''حمان عبد هللا'' بقاعة الكريديش بوهران، وعرض مسرحية لألطفال ''إيمغوذان'' لكمال بوعراب يوم غد، باإلضافة إلى مجموعة من النشاطات الفنية كاألغاني واألشعار ومعارض للصور.

El Khabar ألربعاء 27 أفريل 2011 - العدد : 6338

Entre la musique et le théâtre…

SOIREES RAMADHANESQUES À TIZI OUZOU

Kocila Tighilt Liberté : 23 - 08 - 2011

La pièce Chikh El-Kanoune a été présentée samedi au Théâtre régional de Tizi Ouzou par la troupe théâtrale Numidia d'Oran. C'est l'histoire d'un groupe de réfugiés, Tafsut (printemps), Tilleli (liberté) et son fils, le poète, l'artiste et le muet, qui débarquent dans un village. Suivant la helka, les comédiens entourent un petit feu, et chikh El-Kanoune raconte l'histoire de ce village plongé dans le chaos. Le feu, maître des âges, comme le poète, racontèrent leur traversée depuis le début du monde. La scène se déroule dans un village abandonné de la Kabylie ; tous se retrouvent dans la maison du dernier habitant, mort en exil. Comment accéder à la demeure ? Alors qu'ils se regroupent la nuit au coin de l'âtre, le djinn du feu leur apparaît. Effrayés par cette soudaine apparition, ils retrouvent rapidement leur calme lorsque celui-ci demande à chacun de raconter l'histoire qui l'a mené jusqu'à cet endroit. Sous un rai de lumière, chacun se laisse aller en racontant son parcours. À son tour, le djinn du feu leur dévoile non seulement son secret, mais aussi l'histoire du village déserté, le pourquoi du village en ruine. Aux premières lueurs de l'aube, chacun des fugitifs reprend son chemin. Mais que deviendra le djinn du feu quand les flammes commenceront à s'éteindre? Qu'adviendra-t-il du village abandonné ? Tilleli, volontaire, nourrit le feu dans l'espoir d'éclairer encore le village. Dimanche soir, le Trto a abrité le spectacle Habla, qui raconte l'histoire de Mohamed, qui vit dans un quartier populaire. Le personnage raconte le mode de vie des gens qu'il côtoie chaque jour. Devenu secrétaire d'un commandant de l'armée, Mohamed fait une caricature de son chef, graisseux, et dont le taux de graisse est mesuré par l'échelle de Richter. Mohamed finit même par tomber amoureux de la fille de son chef. Sur scène, un matelas en guise de décor. Il représente un asile où le comédien narre et rêve d'un monde meilleur sans discrimination. Par ailleurs, avant-hier soir, le stade Oukil-Ramdane de Tizi Ouzou a vibré au rythme des chansons de Rabah Asma. Un gala reporté jeudi passé après un début d'émeute enregistré en ville suite à une coupure d'électricité. Dans la commune d'Aguni Geghrane, dans la daïra des Ouadhias, c'est le club sportif amateur Bwassam qui s'est impliqué dans l'activité culturelle et rendra hommage, du 24 au 28 août, à deux artistes chanteurs de la région : Slimane Azem et Abchiche Belaïd. Un riche programme est établi par les organisateurs, notamment des animations théâtrales, danses et des expositions diverses. À Aït Bouadou, dans la même daïra, les activités des journées théâtrales de Tamkadbout se poursuivent toujours, drainant chaque soir de nombreux villageois. Ouverte depuis lundi passé, cette activité prendra fin ce soir avec un gala artistique et une remise de prix aux lauréats du concours qui, pour rappel, est présidé par Linda Selam, comédienne à la télévision, Bensalim Billal du TNA et Hocine Haroune, artiste peintre.

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Dimanche 28 août 2011

A LA UNE CULTURE

Aït Bouaddou (Tizi Ouzou) : Clôture des soirées théâtrales de Tamkadbout

le 27.08.11 | 01h00 Réagissez

Les prix de la meilleure mise en scène, d’encouragement et celui du jury ont été attribués respectivement aux troupes Tigjdit de Larba Nath Iraten, de et d’Iferhounen.

Les soirées théâtrales organisées par l’association culturelle Tamkadbout, du village Aït Maâlem dans la commune d’Aït Bouaddou au sud de la wilaya de Tizi Ouzou, ont été clôturées lundi dernier en présence du directeur du Théâtre régional de Tizi Ouzou, des représentants du Théâtre national Mahieddine Bachtarzi, des autorités locales et de plusieurs autres invités, à l’image de Arezki Siouani, l’acteur principal du feuilleton diffusé sur la chaîne de télévision Amazigh 4, en l’occurrence Dda Meziane. Après un sketch intitulé L’aveugle, une représentation bien jouée par les fondateurs du théâtre amazigh d’Aït Bouaddou, auxquels est dédiée justement cette troisième édition, le jury composé de deux comédiens du TNA (Lynda Selami et Bilal Bousoualim) et présidé par Hocine Haroun, un artiste peintre du même village, procédera à l’annonce des résultats de ces joutes. Le prix du meilleur décor est attribué à l’association Numidia de Bordj Menaïel, celui de la meilleure interprétation masculine est revenu au duo Rahmouni-Ouziane de l’association Iferhounen et à Hamaz Sofiane de Larba Nath Iraten. Celui de la meilleure interprétation féminine a été décroché par Hadj Saïd Faïrouz et Hadj Saïd Ouerdia, un duo de l’association culturelle «Tchekov» de Boghni. Le prix du meilleur texte est décerné à la troupe Numidia de la ville d’Oran. Les prix de la meilleure mise en scène, d’encouragement et celui du jury ont été attribués respectivement à Tigjdit de Larba Nath Iraten, Boghni et Iferhounen. Le grand prix du jury est revenu de droit et avec la reconnaissance des présents à la troupe Salah Baâziz de l’association organisatrice. Invité à prendre la parole, Arezki Siouani (Dda Meziane) reconnaîtra : «Ce que vient d’accomplir cette association avec le strict minimum de moyens est sans doute la preuve que nos jeunes sont capables de faire revivre le théâtre dans notre région. Il est formidable de voir d’aussi bons spectacles bien organisés, bien réussis et dans une ambiance conviviale. Nous aimerions que les villages de Kabylie en fassent pareil pour perpétuer et améliorer notre patrimoine culturel.» Sollicité par le public en vue de jouer un court passage théâtral, Dda Meziane s’en excusera car il n’a rien préparé pour la circonstance mais il a tenu à chanter une chanson qui n’est pas sur le marché et qui «ne risque pas de s’y trouver un jour», dira-t-il. Force est de reconnaître que Dda Meziane maîtrise bien sa guitare et qu’il chante bien.

Djaâfar Aït Menguellet en guest

Pour terminer en beauté, les organisateurs ont prévu un grand gala artistique avec des chanteurs de renom. Djaffer Aït Menguellat est le premier à monter sur la scène, il commence par deux titres de son répertoire avant d’enchaîner avec des chansons de son père, bien connues par le public qui a d’ailleurs repris ces titres en chœur, Trois jours de ma vie, qu’il gagne ou qu’il perde c’est notre frère et d’autres chansons encore qui ont enflammé la scène au grand bonheur du public qui n’a pas manqué de se défouler. Ferhat Yabaden, un jeune chanteur du village, n’a pas raté l’occasion d’amuser la galerie par l’interprétation de plusieurs titres. Le groupe Mastanabal a réussi à créer une ambiance festive qui a duré jusque très tard dans la nuit. Djaffer Aït Menguellat nous dira en marge du gala : «Je suis agréablement surpris par ce climat. Chanter au pied du Djurdjura est toujours un immense plaisir. Tous les villages de Kabylie devront imiter les bonnes initiatives pour faire de notre belle Kabylie un havre de paix, de culture et de tolérance. Les membres de cette association sont à féliciter. Avec peu de chose, ils ont pu monter un aussi grand spectacle. Franchement bravo». M. Bouaziz, président de l’association Tamkadbout dira : «Pour nous permettre de mieux travailler, nous demandons aux instances concernées de nous venir en aide et d’officialiser cette manifestation que nous organisons depuis trois ans. Nous remercions tous ceux qui nous sont venues en aide et félicitons les membres de notre association, le comité de village et l’APC pour leur mobilisation à nos côtés.»

Aït Iddir Hocine

3es journées théâtrales

Ait Bouaddou

L B

Le Midi Libre : 17 - 08 - 2011

La troisième édition des journées théâtrales d'Aït Bouaddou qu'organise l'association culturelle Tamkadbout a démarré lundi dernier et se poursuivra jusqu'au 23 du mois en cours dans la région Tamkadbout, au pied du Djurdjura. L'activité en question est organisée en collaboration avec la Direction de la culture de Tizi-Ouzou et l'APC d'Aiï Bouaddou. Cette édition se veut, selon les organisateurs, un hommage aux fondateurs du théâtre amateur amazigh d'Ait Bouaddou. La cérémonie d'ouverture de ces journées théâtrales a eu lieu avec une prise de parole de Slimane Bouaziz, président de l'association culturelle Tamkadbout, El Hadi Ould Ali, directeur de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou, Mouloud Mouloudj, président de l'APC d'Ait Bouaddou et de Hocine Haroun, artiste peintre. Le coup d'envoi des festivité a été inauguré avec des spectacles de chants et de danses folkloriques animés par les troupes de l'association Tamkadbout. La première pièce qui a été présentée dans le cadre de ce programme est intitulée Acenbgu. Elle a été écrite par Hocine Haroun et jouée par la troupe Salah Baziz. D'autres troupes se succèderont sur les planches à l'instar de celles de l'association des activités de jeunes de Naciria. La pièce est intitulée «Teyeb et vive» et mise en scène par Sacha Said Le public aura aussi droit à la représentation de la pièce Tigejdit n'Ath Y irathen de l'association culturelle Tigejdit, intitulée Muhend ucaban Yeca tayazit. La mise en scène de cette pièce est l'œuvre de Hamour Hamid et Houamdi Noura. D'autres pièces seront au menu comme L'escroc, de Kashi Hakim, Yuker hedregh, yeggulk umnegh de Hamza Nacib, Yemma de Smail Mabed, Ccix lkanun de Djamel Benaouf, Yennayd Jeddi de Houche Abderrahmane et, enfin, Ulac lharga qui sera jouée hors concours. Notons que des prix seront attribués à la fin de ces journées théâtrales notamment le prix du meilleur spectacle, le prix de la meilleure mise en scène, le prix du meilleur scénario, le prix de la meilleure interprétation masculine et féminine et le prix du jury. La manifestation culturelle sera clôturée avec un gala artistique. De nombreux chanteurs kabyles seront au rendez-vous, concluent les organisateurs. La troisième édition des journées théâtrales d'Aït Bouaddou qu'organise l'association culturelle Tamkadbout a démarré lundi dernier et se poursuivra jusqu'au 23 du mois en cours dans la région Tamkadbout, au pied du Djurdjura. L'activité en question est organisée en collaboration avec la Direction de la culture de Tizi-Ouzou et l'APC d'Aiï Bouaddou. Cette édition se veut, selon les organisateurs, un hommage aux fondateurs du théâtre amateur amazigh d'Ait Bouaddou. La cérémonie d'ouverture de ces journées théâtrales a eu lieu avec une prise de parole de Slimane Bouaziz, président de l'association culturelle Tamkadbout, El Hadi Ould Ali, directeur de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou, Mouloud Mouloudj, président de l'APC d'Ait Bouaddou et de Hocine Haroun, artiste peintre. Le coup d'envoi des festivité a été inauguré avec des spectacles de chants et de danses folkloriques animés par les troupes de l'association Tamkadbout. La première pièce qui a été présentée dans le cadre de ce programme est intitulée Acenbgu. Elle a été écrite par Hocine Haroun et jouée par la troupe Salah Baziz. D'autres troupes se succèderont sur les planches à l'instar de celles de l'association des activités de jeunes de Naciria. La pièce est intitulée «Teyeb et vive» et mise en scène par Sacha Said Le public aura aussi droit à la représentation de la pièce Tigejdit n'Ath Y irathen de l'association culturelle Tigejdit, intitulée Muhend ucaban Yeca tayazit. La mise en scène de cette pièce est l'œuvre de Hamour Hamid et Houamdi Noura. D'autres pièces seront au menu comme L'escroc, de Kashi Hakim, Yuker hedregh, yeggulk umnegh de Hamza Nacib, Yemma de Smail Mabed, Ccix lkanun de Djamel Benaouf, Yennayd Jeddi de Houche Abderrahmane et, enfin, Ulac lharga qui sera jouée hors concours. Notons que des prix seront attribués à la fin de ces journées théâtrales notamment le prix du meilleur spectacle, le prix de la meilleure mise en scène, le prix du meilleur scénario, le prix de la meilleure interprétation masculine et féminine et le prix du jury. La manifestation culturelle sera clôturée avec un gala artistique. De nombreux chanteurs kabyles seront au rendez-vous, concluent les organisateurs.

AIT BOUADDOU

Le théâtre amateur à l'honneur Par Aomar MOHELLEBI - Dimanche 21 Aout 2011 - Lu 152 fois Taille du texte :

La 3e édition des Journées de théâtre d'Aït Bouaddou (Ouadhias), ayant démarré le 18 du mois en cours se poursuivront jusqu'à mardi prochain avec un programme riche et diversifié. Cette nouvelle édition est toujours organisée par l'association culturelle Tamkadbout d'Aït Bouaddou sous le patronage de la ministre de la Culture, en collaboration avec la direction de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou et l'APC d'Aït Bouaddou. Elle se veut un hommage à huit artistes amateurs de la même région. L'ouverture des festivités a eu lieu avec une prise de parole de Slimane Bouaziz, président de l'association culturelle Tamkadbout, suivie de El Hadi Ould Ali, directeur de la culture de Tizi Ouzou, Mouloud Mouloudj, maire d'Aït Bouaddou et de Hocine Haroun, président d'honneur de l'association et artiste-peintre. Depuis le 18 août, les troupes théâtrales se succèdent sur les planches. Ainsi, le public des Ouadhias a eu droit à la pièce Acengu de la troupe Salah Baziz, la pièce Tayeb et vive de l'association d'activités de jeunes de Naciria, Muhend U Chabane yecca taxsayt de l'association culturelle Tigejdit, l'Escroc de l'association Numidia théâtre et arts de Bordj Menaïel, Yuker hedrgh yeggul umnegh de la troupe Tchekhov de l'association culturelle Vie de Boghni, la pièce Yemma de la troupe Imuzar de l'association culturelle et scientifique Aghbalou, Chikh lkanun de l'association culturelle et sportive Numidia d'Oran. Hier, c'était le tour de la coopérative théâtrale Macabu d'Iferhounène de présenter Yenna yi Jeddi et pour aujourd'hui, la même troupe jouera Ulac El Harga, qui, comme son titre l'indique, revient sur le phénomène des harraga. Il faut souligner que cette manifestation théâtrale se déroule sous forme de concours. C'est Hocine Haroun, organisateur, auquel il est également rendu hommage à travers ces journées théâtrales, qui est le président du jury. La mission de ce dernier consiste à décider qui sera récipiendaire du prix du meilleur spectacle, le prix de la meilleure mise en scène, le prix du meilleur scénario, le prix des meilleures interprétations féminine et masculine et enfin, le prix spécial du jury. Les troisièmes journées théâtrales d'Aït Bouaddou seront clôturées avec l'animation d'un gala artistique et des présentations de chorales et de danses de l'association organisatrice.

Aït Bouaddou Clôture de la 3e édition des journées théâtrales

Une éclatante réussite Par M. Z. Il ya 19 heures 29 minutes | 143 lecture(s)

Tamkadbout, un petit village de quelque 1 500 habitants, situé sur les hauteurs de la majestueuse montagne de Djurdjura, respire l’ouverture sur la culture et la tradition. Il est imprégné de l’originalité.

Ce bourg est connu pour l’hospitalité légendaire de ses habitants et pour leur esprit d’ouverture et, au-delà, pour l’abnégation de toute une population qui fait de cette région l’incarnation d’une Kabylie qui réfute de sombrer dans la médiocrité et qui est surtout restée attachée aux valeurs de ses ancêtres. Le village a accueilli une semaine durant, les journées théâtrales initiées par l’Association culturelle de Tamkadbout n’Ath Bouaddou, en collaboration avec la direction de la culture de Tizi-Ouzou, le théâtre régional de Kateb Yacine et l’APC d’Aït Bouaddou. Des journées dédiées en hommage aux fondateurs du théâtre amateur de la région. La cour de la salle culturelle de Tamkadbout a abrité un grand gala artistique de clôture de la 3e édition des journées théâtrales. Des familles et des personnes de tout âge étaient venues des quatre coins de la région pour assister à cet événement et voir défiler une pléiade d’artistes invités pour la circonstance, parmi eux, les têtes d’affiche, Djaffar Aït Menguellet, Arezki Siouani et Mastanabal. Des prises de paroles se sont succédé, et pour donner un peu plus de saveur à ces journées, les fondateurs de l’association ont également présenté une pièce théâtrale intitulée Avrouy el melh. La soirée de clôture des journées théâtrales d’Aït Bouaddou fut une totale réussite, l’indéniable cerise sur le gâteau. Cela, grâce au programme riche en activités culturelles, concocté par l’association de Tamkadbout, qui a pu réussir un tel concert gratuit avec plusieurs artistes connus à l’échelle internationale, à l’instar de Lynda Sélam, Arezki Siouani surnommé Da Meziane, Djaffar Aït Menguellet et Mastanabal qui ont égayé un public très chaleureux, soif de ce genre d’initiative. «C’est un grand plaisir de retrouver un tel public du fond de notre pays et qui active avec les moyens du bord. Je vous dis, chapeau ! j’espère que cela va continuer à l’avenir», dira Lynda Sélam avec émotion. Ce programme d’activités culturelles qui s’est étalé sur une semaine, a vu des présentations de pièces théâtrales par les neuf troupes venues d’Oran, de Boumerdès et de la Kabylie. Des représentations en nocturne à l’amphi du village, qui ont égayé les habitants de la localité.

3e édition du festival culturel national de théâtre d'expression amazighe (Batna) Une attache avec l'histoire trouble et troublée

Culture Accueil 3e édition du festival culturel national de théâtre d'expression amazighe (Batna) Une attache avec l'histoire trouble et troublée Pour la deuxième journée de compétition qui entre dans le cadre de la 3e édition du festival culturel national de théâtre d'expression amazighe, les deux salles de spectacle, la Maison de la culture Mohamed El Aïd El Khalifa et le théâtre régional de Batna, ont accueilli trois troupes. Aux environs de 14 h, la troupe de l'association culturelle lil Founoun Adramia de Tamanrasset, a séduit le public présent avec leur pièce intitulée " Tinagalin ". A travers cette pièce, le scénariste présente une jeunesse touchée par ce double aspect, moderne et authentique. Il ne s'agit pas du conservatisme qui fait fuir, ni du modernisme acculturant : c'est l'alchimie entre le nouveau et l'ancien, entre d’ anciennes et de nouvelles générations ô combien en mal de repères. Aussi, on ne peut qualifier le phénomène de " phénomène de mode ", car la mode passe et les oubliettes l'engloutissent assez rapidement, c'est le fait d'une pulsion passagère, d'un état d'un groupe d'individus en transition. Une jeunesse qui ignore sa langue, sa culture et son histoire est une jeunesse en pleine crise identitaire : ce ne serait pas trop s'avancer que de dire que tel est le cas d’une partie dela jeunesse algérienne. La troupe de l'association culturelle lil Founoun Adramia de Tamanrasset, au-delà du plaisir théâtral et la délectation esthétique représente un retour aux sources, une authenticité qui manque aux jeunes qui ont grandi avec une musique occidentale, et qui se trouvent emportés par cette musique aérienne, transcendantale, venue de l'Occident qui a su s'imposer et s'infiltrer au fil du temps. La troupe Tagawt d Wawal, de l'association Numidia d'Oran, quant à elle, a présenté sur la pièce intitulée " La légende du Djinn du feu ( Cheikh el Kanoun), qui relate l’histoire de fugitifs en quête d'une communauté où ils pourraient vivre tranquilles. Arrivant, l’un après l'autre, rejoints par un poète et un étranger. Dans un village abandonné au fin fond de la Kabylie, tous ces derniers se retrouvent au sein d'une maison, appartenant au dernier habitant mort en exil… Toujours dans le sens, la troupe de l'association Numudia d'Oran, tend à éveiller les consciences. Il s'agit bien là d'un désir de reconnaissance identitaire, une attache avec l'histoire trouble et troublée, rejetée, parfois occultée, souvent ignorée. Il est et perdure par le besoin, le vouloir d'un originel, un miroir à ce qui peut-être mais ne sait comment le devenir. Il y a là un réel plaisir, esthétique certes, mais profondément identitaire, de se laisser emporter par des rythmes qui renvoient, le temps d'une représentation, l'espace d'une soirée, aux origines, à un authentique qui nous manque. Et pour clôturer cette journée, une autre troupe de Tamanrasset en l'occurrence, Tadukalt qui a séduit le public présent à la salle du théâtre régional de Batna avec la pièce " Azd ( la cendre). Mêlant humour et étrange, fantastique et surréalisme, la pièce présentée révélait l'essence des choses du quotidien à travers un imaginaire et une intensité onirique originale. Au final, l'objectif est sde mettre en lumière une contradiction, de raconter un concept ou d'objectiver une réalité. Contribuant ainsi à plonger le spectateur dans un univers angoissant, absurde et paradoxalement esthétique. Par Timouche Idir e-mail :[email protected]

http://www.lesdebats.com/editions/141211/culture.htm

Culture Jeudi, 29 Décembre 2011 10:00 Journées théâtrales d’expression amazighe Le grand prix non attribué Par : Kouceila Tighilt La grande salle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou a abrité hier la clôture de la 10e édition des Journées nationales théâtrales d’expression amazighe, en hommage au dramaturge Omar Fatmouche, qu’a organisée l’association culturelle Amzgun n’Djerdjer d’Aït Bouadou, daïra des Ouadhias. Ce dernier jour d’activité a été une occasion pour les organisateurs de remettre des tableaux d’honneur aux participants et de donner les résultats du concours, dont le prix du meilleur spectacle n’a pas été décerné. Il a été, par ailleurs, remplacé par un prix spécial jury qui a été attribué à la troupe Talletat Nat Wassif. Le premier prix d’interprétation féminine, quant à lui, est revenu à une très jeune et douée comédienne Wissam Ouatmani de la troupe Akoufi Igoujilen de Berbacha, dans la wilaya de Béjaïa, alors que le prix de la meilleure interprétation masculine fut décerné à deux comédiens, en l’occurrence Boukhnouf Khaled de l’association Ithrane, d’Illoula Oumalou et Chiter Sofiane de l’association Numidia d’Alger. Suivant le classement, le prix du meilleur texte est revenu à l’association Numidia d’Oran et le prix d’encouragement à celle de Ouargla. Lors de cette rencontre autour de cet art plus que séculaire, un atelier de formation sur l’expression corporelle a été animé par Mme Tounes Aït Ali où pas moins de vingt jeunes comédiens amateurs venus de toute la wilaya de Tizi Ouzou ont été initiés à l’art de la planche. À ce propos, Omar Fetmouche dira au final que “la formation dans le domaine théâtral reste un pilier fondamental pour ne pas tomber dans la médiocrité”, avant d’annoncer sa volonté d’organiser, en collaboration avec le théâtre régional de Tizi-Ouzou, un grand programme de formation théâtrale scientifique suivant des normes universelles.

K.T

http://www.liberte-algerie.com/culture/le-grand-prix-non-attribue-journees-theatrales-d-expression- amazighe-168952

إسدال الستار على األيام المسرحية بتيزي وزو

تيزي وزو: علي رايح 29-12-2011

أسدل الستار، أول أمس، بدار الثقافة ''مولود معمري'' بتيزي وزو، على فعاليات الطبعة العاشرة لأليام المسرحية الناطقة باألمازيغية، حيث تميّزت العروض المقدمة بمستوى دون المتوسط، ما دفع بأعضاء لجنة التحكيم إلى حجب جائزة أحسن عرض مسرحي، بينما عادت جائزة أحسن دور نسوي للطفلة وسام واتماني، من فرقة ''تيللي'' للفنون الجميلة ببرباشة والية إثران'' ويشير سفيان من ''بجاية. أما أحسن دور للرجال فتقاسم جائزته مناصفة كل من الممثلين بوخنوف خالد من جمعية .جمعية ''نوميديا الجزائر''، كما كانت جائزة أحسن نص مسرحي من نصيب جمعية نوميديا من وهران ومنحت لجنة التحكيم جائزة خاصة لفرقة ''ثلطاط'' لدار الشباب بواسيف، وجائزة أخرى تشجيعية لفرقة من والية ورفلة. ودعا كل من عمر فطموش، مدير المسرح الجهوي لبجاية، والفنان حسين هارون، عضو لجنة تحكيم هذه الطبعة، خالل حفل االختتام، إلى ضرورة التركيز على التكوين واعتباره مفتاح النجاح. ود ّق عمر فطموش ناقوس الخطر، عندما حث الممثلين على أهمية العودة إلى التكوين، للرفع من مستوى المسرح الناطق باألمازيغية، وأوضح عمر فطموش قائال: ''علينا تفادي النزول إلى مستوى أكثر مما شاهدناه خالل العروض المسرحية المقدمة. يجب العودة إلى التكوين''. وانتقد في نفس السياق الفنان حسين هارون، وعضو لجنة التحكيم، الفرق المشاركة، حيث قال'' كل شيء كان حاضرا في هذا المهرجان إال نحن مطالبون بتفادي اتخاذ المستوى الحالي المتدني للمسرح األمازيغي مرجعا''، مضيفا ''الحظنا ممثلين شباب .المسرح أظهروا قدرات تبشر بالخير''، ليختتم مالحظته ''علينا بالعمل والتكوين للرفع من المستوى الحالي للمسرح األمازيغي، .''السيما أن اإلمكانات متوفرة

http://www.presse-algerie.fr/elkhabar3.php

Aït Yahia Moussa : Il est directeur du théatre régional de Béjaïa Le dramaturge Omar Fetmouche honoré par les siens Par Amar Ouramdane 25 Décembre 2011 | 209 lecture(s)

A l’initiative de l’association culturelle Tighri N‘Ath Haoualhadj d’Aït Yahia Moussa, de l’association Amzgun N‘Djedjer d’Ath Bouaddou et du village de Tafoughalt, le dramaturge et directeur du Théâtre régional de Béjaïa, Omar Fetmouche, a été chaleureusement accueilli dans sa région.

Pour cet événement, unique en son genre dans cette contrée, un programme riche et varié a été concocté, aussi bien par les organisateurs que par le directeur du Théâtre Kateb Yacine de Tizi-Ouzou, M. Smail Ameyar. Avant-hier, le dramaturge a été d’abord reçu au siège de l’APC d’Aït Yahia Moussa où une grande foule l’attendait, avant qu’il ne soit accueilli par les enfants de la troupe théâtrale de l’association Taneflit N‘Tmazight de Draâ El Mizan, qui tenaient des pancartes sur lesquelles étaient inscrites les titres des oeuvres artistiques de l’auteur et de ses adaptations, notamment Le fleuve détourné de Rachid Mimouni, Les vigiles de Tahar Djaout. Les jeunes acteurs lui ont offert des fleurs avant de laisser place aux prises de paroles. Très ému, Omar Fetmouche écoutait attentivement l’intervention d’un membre de l’association Thighri. “Vous vous trouvez actuellement sur un lieu historique. C’était la résidence du Caïd Dahmoune. Dans deux jours, nous serons le 25 décembre et ce sera le 64e anniversaire du premier acte de rébellion contre l’ordre colonial mené par Krim Belkacem et six autres militants nationalistes de la région pour dénoncer la falsification des élections. D’ailleurs, c’est à partir de ce jour là, le 25 décembre 1947, que ces héros ont rejoint les maquis. En dépit des arrestations, Krim Belkacem avait appelé toute la population à se rendre à Draâ El Mizan pour exiger la libération des personnes arrêtées”, dira M. Seddiki Mohamed. Et de s’adresser directement à l’enfant de Tafouhalt : “soyez le bien venu dans votre région”. De son côté, Smaïl Ameyar a dressé le portrait glorieux de Omar Fetmouche, qui a tant donné et continue à le faire pour la promotion de la création théâtrale. C’est à ce moment que la troupe Numidia d’Oran entre en scène pour présenter l’une de ses pièces. Personne n’a retenu ses larmes devant cette interprétation dont la symbolique est immense. Dans son bureau, le maire d’Aït Yahia Moussa a ensuite reçu tous les invités. “Au nom de toute la population, au nom de l’assemblée, je remercie tous ceux qui ont contribué à la réussite de cet événement dans notre commune. Quant à vous, M. Fetmouche, vous n’êtes pas seulement invité puisque vous êtes chez vous. Je souhaite vous voir revenir souvent parmi les votres “, a souligné M. Rabah Menguellet en sa qualité deP/APC. Sur ce, la file de voitures a pris la route vers le village d’origine de Omar Fetmouche, Tafoughalt, distant de douze kilomètres du chef-lieu, où la fête allait se poursuivre. Avant l’arrivée de cette procession humaine au centre du village où est érigé le Mémorial des 19 Zaouias d’, un haut lieu de l’histoire du village, les villageois et une troupe d’Idhaballen attendaient le retour de l’enfant prodige. A son arrivée au niveau de cette place, des femmes sont sorties et, à leur manière, lui ont réservé un accueil chaleureux en lançant des youyous. Entouré des organisateurs, le dramaturge découvre des visages qu’il n’a jamais vus, lui qui est né à Bordj Menaïel, car son père avait quitté le village au début des années 40 à la recherche d’un travail. Omar Fetmouche et la délégation qui l’accompagnait dans ce “pèlerinage“ apprécient cette hospitalité des humbles villageois et des membres de sa famille. C’est l’un des ses oncles, M. Fetmouche Saïd, qui l’embrasse le premier, et leur étreinte dure quelques minutes avant que leurs larmes ne se confondent. Ce sont des retrouvailles indescriptibles. Aâmmi Saïd lui offre un burnous blanc et Omar, très émotif, ne retient pas ses larmes, avant de regarder toute cette foule qui l’entourait. Ce sont, en tout cas, des moments qui resteront gravés dans sa mémoire parce que c’est la première fois qu’il voit le village de ses ancêtres et c’est, désormais le point de départ pour renouer les contacts avec les siens. L’autre lieu incontournable dont a été convié l’artiste est le carré des martyrs lieu de la “Bataille du 14 mars 1955”, où reposent les cent cinquante six martyrs du village. Les organisateurs lui font alors la visite avant de se recueillir sur les tombes des membres de sa famille. Puis c’est vers l’école primaire Frères Salemkour que la délégation s’est dirigée et où un autre programme a été mis en place. En plus de l’exposition de coupures de journaux relatant le parcours de Omar Fetmouche, il y a eu des projections vidéo de ses créations théâtrales. Mais ce qu’il y a lieu de souligner, ce sont toutes les interventions aussi émotives les unes que les autres. Omar Fetmouche a été honoré d’une manière particulière par les siens. Il rentrera chez lui tout content et fier surtout du fait d’être reconnu par les siens, promettant de reveniren d’autres occasions et de faire en sorte à devenir le parrain des troupes théâtrales de sa région. “Nous allons vous donner tous les moyens pour vous former. Vous serez les porte-flambeaux de cet art dans la région”, a-t-il d’ailleurs dit aux enfants de la troupe théâtrale de l’association culturelle Taneflit n’Tmazight, qui s’est distinguée en remportant trois fois la première place du concours organisé par l’ODEJ de Tizi-Ouzou à l’intention des maisons de jeunes et des associations. Enfin, l’originalité dans cet événement est, sans doute, le couscous aux fèves vertes qu’on appelle dans la région “laghmoud”, avec du lait caillé, dégusté à la fin de la cérémonie.

Amar Ouramdane http://www.depechedekabylie.com/cuture/103519-le-dramaturge-omar-fetmouche-honore- par-les-siens.html

Clôture des journées théâtrales d’Amizour avant-hier Thilleli décroche le prix Malek Bouguermouh

La 6e édition des journées théâtrales organisées par la ligue communale des activités culturelles des jeunes d’Amizour a tiré à sa fin lors d’une soirée de clôture qui s’est déroulée au centre culturel Malek Bouguermouh de la même localité avec un programme spécial animé par la troupe théâtrale du TRB ayant présenté la pièce wouhouch.com de Omar Fetmouche.

Une soirée réservée surtout à la remise des prix aux lauréats de ce concours de théâtre qui a vu la participation de 14 troupes représentant 10 wilayas. Quand le verdict est tombé sur le premier prix du concours «prix Malek Bouguermouh», la salle pleine comme un œuf allait s’éclater par des forts applaudissements du public en ivresse puisque c’est la troupe locale Thelleli qui l’a emporté selon le résultat rendu public par le jury. Cette troupe d’amateurs qui active au niveau de la maison de jeunes d’Amizour a participé avec une pièce du jeune Kherfi Hillal intitulée «Imaghrassen» et jouée par les deux heureux comédiens Boumaza Aziz et Dahmani Kamel. Au cours de ce festival et particulièrement lors de cette soirée de clôture, un hommage est rendu au dramaturge et actuel directeur du TRB, Omar Fetmouche, avec à cet effet la programmation hors concours de ses deux pièces Akher ders et wouhouch.com. Très ému, le cheikh des planches a rendu hommage aux membres du jury suite au résultat final du concours, et selon lui, les «lauréats l’avaient bien mérité puisqu’ils ont sué sur scène». Aussi, Fetmouche a promis que le TRB décernera des prix aux mêmes lauréats comme il s’est engagé à «tout faire» pour que ce festival du théâtre amateur d’Amizour soit institutionnalisé comme souhaité par les organisateurs. Ce qui mérite d’être dit est l’organisation impeccable, mais surtout le grand public fidèle qui vient en grand nombre à toutes les soirées depuis le premier jour du festival jusqu’à cette soirée de clôture. La salle des spectacles du centre culturel s’affiche pleine à chaque présentation, le festival rencontre un véritable succès chez le nombreux public qui se présente à chaque pièce théâtrale programmée, alors que les thèmes et les décors varient d’une troupe à l’autre. Notons que la troupe Thilleli d’Amizour a été suivi dans le classement, par la troupe de Batna qui a décroché le prix du jury. Le prix de la meilleure mise en scène est revenu à la troupe de Tichy. Le prix de la meilleure interprétation masculine est revenu Bouiche Saou d’Amizour alors que le prix de la meilleure interprétation féminine est revenu Bouhelel Djedjuga d’Oran. Nadir Touati http://www.depechedekabylie.com/cuture/109807-thilleli-decroche-le-prix-malek- bouguermouh.html

Lundi, 09 Juillet 2012

Par Mumuḥ Ɛezzuz | 25 Juin 2012 | 155 lecture(s)

Tigawt d wawal deg Tubiret «Turart n sa (07) twaculin»

«Turart n ṣsa (07) twaculin» d tamezgunt yura-tt,d aɣen irra-tt s asayes mass :Ǧamal BenƐuf n terbaƐt «tgawt d wawal» n tidukla Numidya n Wehran. Indewlen (imariren) n tmezgunt d :Yunes Ressus, Maziɣ Reǧdal, Ǧeǧǧiga Benhlal, Yugurta Dewwadi, Ɛebdelqader Buḥadiba, Cahinaz Walaḥ, Ɛebdeṣsamed Benradi, Ǧamal BenƐuf. Anesɣamu aẓawan : Muḥamed BelleƐrusi. «Tigawt d wawal» tessuli ar ass-a semmus (05) tmezgunin : «Tamurt uƐkki»- «Aneggaru ad d-yerr tabburt, yečcur useqqif n ṭtmana.»-«Bu tcacit ulac-it»-«Ccix lkanun»- akk d tneggarut-agi «Turart n 07 twaculin». Ḍren-as (ttwamudden-as) 25 warrazen u mazal lxir ɣer zdat. Asentel iɣef d-tewwi tmezgunt «Turart n 07 twaculin» d tifranin n tkerkas d txidas yesseqdac udabu Azzayri yal mi ara d-yaf iman-is yettwaxneq seg yal tama…iwakken ad issenser iman- is seg tbaxixt i deg yerkkeƐ,yessefk ad inadi ijufar s wacu ara yessedreg ixixxan-is ger leǧnas am akken d-inna Ǧamal B. Tamezgunt tettwaseqdec s Teqbaylit-agi nettmeslay yal ass, d timssereḥt ad tt-igzu umeqqran d umeẓyan, deg-s tamellaɣt (comédie) s uswir Ɛlayen d kra n yinzan i as-irnan cbaḥa d unamek. Inzan wehhan srid d asawen ɣer wid i iṭtfen taqacuct n udabu seg tmunent ar ass-a. Seg tfelwit tamezwarut kan nezmer ad negzu aṭtas ɣef wayen ara d-iḍeffren segmi tamsalt ad d-tezzi ɣef tefranin n txidas acku agdud yenṭer ibɣa ad d-iffeɣ s abrid deg tmesbaniyin ara yessenhuzin leḥkem… Ihi din din ad d-issawel Ssi Ɛebdelwaḥed i ufus-is ayeffus Ssi Ɛebdelbaqi ad d-heggin tifranin iwakken ad ilint ‘zeddigit’ yewwi-d ad ssawlen i Bu yetran, Ssi Rabeḥ, Ssi Ɛalem, Dda Akli, Nna Cabḥa-nsen d Ssi Fenyan ad ttekkin deg tefranin akken ad cebbḥen udem-nsen ɣer leǧnas s uttekki n tmeti… Mi d-iffeɣ ugmuḍ n tefranin d Ssi Ɛebdelwaḥed i d-yufraren, acku ferrnent azal n 20 yimelyunen d amdan, xas ulama deg tmurt-is akk s umdan s uɣersiw n ttrebga d win n lexla ur yettaweḍ ara wuṭtun-agi d-yefka.. Dɣa leǧnas ad as-d-ssbirken, wid itetten yid-s ad ssiɣerten …tagara ; «A win iɣef ishel walluy, ḥader iman-ik deg trusi» tella trusi Taqeddafit, tella trusi Tasarkuzit.

Mumuḥ Ɛezzuz http://www.depechedekabylie.com/ddk-tamazight/110431-turart-n-sa07-twaculin.html

Soirées théâtrales à Aït Bouadou

le 29.07.12 | 10h00 Réagissez

L’association culturelle Tamkadbout du village Ait Maâlem, dans la commune d’Aït Bouadou, organise, depuis jeudi 26 juillet jusqu’au 3 août prochain au chef-lieu communal, la quatrième édition des soirées théâtrales.

Le coup de starter a été donné jeudi dernier en présence des autorités locales, des membres de l’association organisatrice et des invités, en plus des villageois venus nombreux assister à cet événement. L’édition de cette année se veut un hommage à Mohia, à Malek Bouguermouh et à Ali Makour, des hommes qui ont beaucoup donné au 4e art algérien. A cet effet un riche programme a été élaboré par les organisateurs. Il est surtout question de plusieurs pièces de théâtre qui seront interprétées par des troupes venues des quatre coins de la wilaya de Tizi Ouzou, ainsi que des wilayas de Tipasa et d’Oran. L’entame de la manifestation a été l’occasion pour la chorale de Tamkadbout d’interpréter des chants locaux. La troupe théâtrale Imouzar de l’association culturelle et scientifique Aghbalou est montée sur scène pour jouer une pièce intitulée «Imentaren Maca», du metteur en scène Sid Ahmed Draoui. Il est à signaler que pendant toute la durée de ces soirées théâtrales, le public aura droit à plus de 12 représentations artistiques. Hammar Mokrane, metteur en scène et membre de l’association culturelle Amezgoun N djerdjer, dira à propos de cet événement : «L’association Tamkadbout d’Aït Bouadou est à féliciter pour tout ce qu’elle fait afin d’animer la scène théâtrale dans la région. Toutefois, il faut qu’il y ait d’autres associations pour vulgariser la pratique théâtrale et artistique à longueur d’année». Concernant les pièces programmées pour ces soirées, estime notre interlocuteur, «je pense qu’elles sont pour la plupart de bonne qualité. Ce genre d’initiative doit être encouragé par les responsables concernés et cela ne saurait se faire sans la réalisation d’infrastructures culturelles. Car, à présent, nous constatons malheureusement que tous les espaces culturels sont fermés», conclut notre interlocuteur. Aït Idir Hocine http://www.elwatan.com/regions/kabylie/tiziouzou/soirees-theatrales- a-ait-bouadou-29

"Le prétentieux et le modeste", nouvelle pièce théâtrale en amazigh à Oran lundi, 21 avril 2014 13:14 ORAN- Le public du Théâtre régional Abdelkader- Alloula d'Oran (TRO) a eu droit, dimanche après-midi, à la présentation d'une nouvelle pièce en Tamazight intitulée "Le prétentieux et le modeste" (Erras oua el fortas), du dramaturge Djamel Benaouf. Inspirée d'un conte kabyle adapté au contexte contemporain, la nouvelle production a été favorablement accueillie par l'assistance qui s'est montrée séduite par l'intrigue centrée autour de deux personnages principaux, drôles et armés d'ironie. Le prétentieux est un chef de famille qui décide de tout et le fait savoir, alors que le second personnage, le modeste, chauve et orphelin, ne voit pas la vie lui sourire mais son esprit est ingénieux. Du jour au lendemain, il (le modeste) devient riche, des cheveux poussent sur son crâne, rentre de son exil et se marie. L'affrontement entre les deux personnages est au coeur de cette nouvelle tragi-comédie narrée par Djamel Benaouf et jouée par la troupe "Action et Parole" de l'association culturelle "Numidia" activant à Oran. Dans une déclaration à l'APS, l'auteur s'est félicité de la présentation de sa nouvelle création qui coïncide, a-t-il souligné, avec la célébration du mois du patrimoine et la commémoration du 20ème anniversaire de Abdelkader Alloula. Cette oeuvre, a-t-il ajouté, est aussi dédiée au défunt Mohamed Belaroussi, conseiller artistique de l'association Numidia, décédé dernièrement des suites d'une maladie. La troupe de cette association a à son actif de nombreuses prestations scéniques dont certaines lui ont permis de décrocher plusieurs récompenses suite à sa participation distinguée lors de différentes manifestations théâtrales. Sous la direction de Djamel Benaouf, son palmarès comporte près de trente prix obtenus pour diverses oeuvres comme celles intitulées "Au pays de la moquerie" (2003), "Le bonhomme au chapeau est absent" (2007), "Le dernier ferme la porte" (2005), "Cheikh El kanoun" (2011), "Jeux des sept familles" (2012). Son précédent spectacle, "Réminiscence", également écrit et réalisé par Benaouf, avait été présenté en avril 2013 au Théâtre d'Oran, suscitant l'intérêt du public autour de la thématique de cette oeuvre qui met en relief le rôle de la mémoire et de l'Histoire. Membre fondateur de l'association culturelle Numidia, Djamel Benaouf est aussi connu pour sa contribution à la littérature et poésie algérienne d'expression amazighe, avec, parmi ses oeuvres phares, "La ville-rencontre" (roman) et "Nostalgie et remontrances" (recueil de poésies). Agréée en 1991, "Numidia" s'est positionnée, au fil des ans, parmi les partenaires majeurs de l'animation culturelle à Oran, à travers nombre d'événements tels le nouvel an amazigh "Yennayer", la journée mondiale de la Femme et autres manifestations valorisant la richesse et la diversité du patrimoine culturel algérien. http://www.aps.dz/fr/culture/4843-le- pr%C3%A9tentieux-et-le-modeste-,-nouvelle- pi%C3%A8ce-th%C3%A9%C3%A2trale-en-amazigh- %C3%A0-oran vendredi 02 mai 2014 14:49:18 "Le prétentieux et le modeste", nouvelle pièce théâtrale en amazigh à Oran : Une intrigue passionnante Le public du Théâtre régional Abdelkader-Alloula d'Oran (TRO) a eu droit, dimanche après-midi, à la présentation d'une nouvelle pièce en Tamazight intitulée "Le prétentieux et le modeste" (Erras oua el fortas), du dramaturge Djamel Benaouf. PUBLIE LE : 22-04-2014 | 0:00 D.R Le public du Théâtre régional Abdelkader-Alloula d'Oran (TRO) a eu droit, dimanche après-midi, à la présentation d'une nouvelle pièce en Tamazight intitulée "Le prétentieux et le modeste" (Erras oua el fortas), du dramaturge Djamel Benaouf. Inspirée d'un conte kabyle adapté au contexte contemporain, la nouvelle production a été favorablement accueillie par l'assistance qui s'est montrée séduite par l'intrigue centrée autour de deux personnages principaux, drôles et armés d'ironie. Le prétentieux est un chef de famille qui décide de tout et le fait savoir, alors que le second personnage, le modeste, chauve et orphelin, ne voit pas la vie lui sourire mais son esprit est ingénieux. Du jour au lendemain, il (le modeste) devient riche, des cheveux poussent sur son crâne, rentre de son exil et se marie. L'affrontement entre les deux personnages est au coeur de cette nouvelle tragi-comédie narrée par Djamel Benaouf et jouée par la troupe "Action et Parole" de l'association culturelle "Numidia" activant à Oran. Dans une déclaration à l'APS, l'auteur s'est félicité de la présentation de sa nouvelle création qui coïncide, a-t-il souligné, avec la célébration du mois du patrimoine et la commémoration du 20ème anniversaire de Abdelkader Alloula. Cette oeuvre, a-t-il ajouté, est aussi dédiée au défunt Mohamed Belaroussi, conseiller artistique de l'association Numidia, décédé dernièrement des suites d'une maladie. La troupe de cette association a à son actif de nombreuses prestations scéniques dont certaines lui ont permis de décrocher plusieurs récompenses suite à sa participation distinguée lors de différentes manifestations théâtrales. Sous la direction de Djamel Benaouf, son palmarès comporte près de trente prix obtenus pour diverses oeuvres comme celles intitulées "Au pays de la moquerie" (2003), "Le bonhomme au chapeau est absent" (2007), "Le dernier ferme la porte" (2005), "Cheikh El kanoun" (2011), "Jeux des sept familles" (2012). Son précédent spectacle, "Réminiscence", également écrit et réalisé par Benaouf, avait été présenté en avril 2013 au Théâtre d'Oran, suscitant l'intérêt du public autour de la thématique de cette oeuvre qui met en relief le rôle de la mémoire et de l'Histoire. Membre fondateur de l'association culturelle Numidia, Djamel Benaouf est aussi connu pour sa contribution à la littérature et poésie algérienne d'expression amazighe, avec, parmi ses oeuvres phares, "La ville-rencontre" (roman) et "Nostalgie et remontrances" (recueil de poésies). Agréée en 1991, "Numidia" s'est positionnée, au fil des ans, parmi les partenaires majeurs de l'animation culturelle à Oran, à travers nombre d'événements tels le nouvel an amazigh "Yennayer", la journée mondiale de la Femme et autres manifestations valorisant la richesse et la diversité du patrimoine culturel algérien. http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/58283

«Le prétentieux et le modeste», nouvelle pièce en amazigh LE PUBLIC DU THEATRE REGIONAL ABDELKADER-ALLOULA D'ORAN (TRO) A EU DROIT, DIMANCHE APRES-MIDI, A LA PRESENTATION D'UNE NOUVELLE PIECE EN TAMAZIGHT INTITULEE «LE PRETENTIEUX ET LE MODESTE» (ERRAS OUA EL FORTAS), DU DRAMATURGE DJAMEL BENAOUF. Inspirée d'un conte kabyle adapté au contexte contemporain, la nouvelle production a été favorablement accueillie par l'assistance qui s'est montrée séduite par l'intrigue centrée autour de deux personnages principaux, drôles et armés d'ironie. Le prétentieux est un chef de famille qui décide de tout et le fait savoir, alors que le second personnage, le modeste, chauve et orphelin, ne voit pas la vie lui sourire mais son esprit est ingénieux. Du jour au lendemain, il (le modeste) devient riche, des cheveux poussent sur son crâne, rentre de son exil et se marie. L'affrontement entre les deux personnages est au coeur de cette nouvelle tragi-comédie narrée par Djamel Benaouf et jouée par la troupe «Action et Parole» de l'association culturelle «Numidia» activant à Oran. Dans une déclaration à l'APS, l'auteur s'est félicité de la présentation de sa nouvelle création qui coïncide, a-t-il souligné, avec la célébration du mois du patrimoine et la commémoration du 20e anniversaire du décès de Abdelkader Alloula. Cette oeuvre, a-t-il ajouté, est aussi dédiée au défunt Mohamed Belaroussi, conseiller artistique de l'association Numidia, décédé dernièrement des suites d'une maladie. La troupe de cette association a à son actif de nombreuses prestations scéniques dont certaines lui ont permis de décrocher plusieurs récompenses suite à sa participation distinguée lors de différentes manifestations théâtrales. Sous la direction de Djamel Benaouf, son palmarès comporte près de trente prix obtenus pour diverses oeuvres comme celles intitulées «Au pays de la moquerie» (2003), «Le bonhomme au chapeau est absent» (2007), «Le dernier ferme la porte» (2005), «Cheikh El kanoun» (2011), «Jeux des sept familles» (2012). Son précédent spectacle, «Réminiscence», également écrit et réalisé par Benaouf, avait été présenté en avril 2013 au Théâtre d'Oran, suscitant l'intérêt du public autour de la thématique de cette oeuvre qui met en relief le rôle de la mémoire et de l'Histoire. Membre fondateur de l'association culturelle Numidia, Djamel Benaouf est aussi connu pour sa contribution à la littérature et poésie algériennes d'expression amazighe, avec, parmi ses oeuvres phares, «La ville- rencontre» (roman) et «Nostalgie et remontrances» (recueil de poésies). Agréée en 1991, «Numidia» s'est positionnée, au fil des ans, parmi les partenaires majeurs de l'animation culturelle à Oran, à travers nombre d'événements tels que le nouvel an amazigh «Yennayer», la Journée mondiale de la femme et autres manifestations valorisant la richesse et la diversité du patrimoine culturel algérien. R. C. http://www.lnr- dz.com/index.php?page=details&id=33350

Nouvelle pièce en langue amazigh «Le prétentieux et le modeste», au théâtre d'Oran Le public du Théâtre régional Abdelkader-Alloula d'Oran (TRO) a eu droit, dimanche après-midi, à la présentation d'une nouvelle pièce en Tamazight intitulée "Le prétentieux et le modeste" (Erras oua el fortas), du dramaturge Djamel Benaouf. Inspirée d'un conte kabyle adapté au contexte contemporain, la nouvelle production a été favorablement accueillie par l'assistance qui s'est montrée séduite par l'intrigue centrée autour de deux personnages principaux, drôles et armés d'ironie. Le prétentieux est un chef de famille qui décide de tout et le fait savoir, alors que le second personnage, le modeste, chauve et orphelin, ne voit pas la vie lui sourire mais son esprit est ingénieux. Du jour au lendemain, il (le modeste) devient riche, des cheveux poussent sur son crâne, rentre de son exil et se marie. L'affrontement entre les deux personnages est au coeur de cette nouvelle tragi- comédie narrée par Djamel Benaouf et jouée par la troupe "Action et Parole" de l'association culturelle "Numidia" activant à Oran. Dans une déclaration à l'APS, l'auteur s'est félicité de la présentation de sa nouvelle création qui coïncide, a-t-il souligné, avec la célébration du mois du patrimoine et la commémoration du 20ème anniversaire de Abdelkader Alloula. Cette oeuvre, a-t-il ajouté, est aussi dédiée au défunt Mohamed Belaroussi, conseiller artistique de l'association Numidia, décédé dernièrement des suites d'une maladie. La troupe de cette association a à son actif de nombreuses prestations scéniques dont certaines lui ont permis de décrocher plusieurs récompenses suite à sa participation distinguée lors de différentes manifestations théâtrales. Sous la direction de Djamel Benaouf, son palmarès comporte près de trente prix obtenus pour diverses oeuvres comme celles intitulées "Au pays de la moquerie" (2003), "Le bonhomme au chapeau est absent" (2007), "Le dernier ferme la porte" (2005), "Cheikh El kanoun" (2011), "Jeux des sept familles" (2012). Son précédent spectacle, "Réminiscence", également écrit et réalisé par Benaouf, avait été présenté en avril 2013 au Théâtre d'Oran, suscitant l'intérêt du public autour de la thématique de cette oeuvre qui met en relief le rôle de la mémoire et de l'Histoire. Membre fondateur de l'association culturelle Numidia, Djamel Benaouf est aussi connu pour sa contribution à la littérature et poésie algérienne d'expression amazighe, avec, parmi ses oeuvres phares, "La ville-rencontre" (roman) et "Nostalgie et remontrances" (recueil de poésies). Agréée en 1991, "Numidia" s'est positionnée, au fil des ans, parmi les partenaires majeurs de l'animation culturelle à Oran, à travers nombre d'événements tels le nouvel an amazigh "Yennayer", la journée mondiale de la Femme et autres manifestations valorisant la richesse et la diversité du patrimoine culturel algérien. Bilal L. Les DEBATS N° 979 - Mardi 22 avril 2014 oran / rePréSentation théâtrale "Le prétentieux et le modeste", au TRO Le public du Théâtre régional Abdelkader-Alloula d'Oran (TRO) a eu droit, dimanche après-midi, à la présentation d'une nouvelle pièce en Tamazight intitulée "Le prétentieux et le modeste" (Erras oua el fortas), du dramaturge Djamel Benaouf. Inspirée d'un conte kabyle adapté au contexte contemporain, la nouvelle production a été favorablement accueillie par l'assistance qui s'est montrée séduite par l'intrigue centrée autour de deux personnages principaux, drôles et armés d'ironie. Le prétentieux est un chef de famille qui décide de tout et le fait savoir, alors que le second personnage, le modeste, chauve et orphelin, ne voit pas la vie lui sourire mais son esprit est ingénieux. Du jour au lendemain, il (le modeste) devient riche, des cheveux poussent sur son crâne, rentre de son exil et se marie. L'affrontement entre les deux personnages est au coeur de cette nouvelle tragi-comédie narrée par Djamel Benaouf et jouée par la troupe "Action et Parole" de l'association culturelle "Numidia" activant à Oran. Dans une déclaration à l'APS, l'auteur s'est félicité de la présentation de sa nouvelle création qui coïncide, a-t-il souligné, avec la célébration du mois du patrimoine et la commémoration du 20ème anniversaire de Abdelkader Alloula. Cette oeuvre, a-t-il ajouté, est aussi dédiée au défunt Mohamed Belaroussi, conseiller artistique de l'association Numidia, décédé dernièrement des suites d'une maladie. EL ACIL le journal de l’est algerien n° 6285 nouvelle serie - mardi 22 avril 2014__

للمسرحي جمال بن عوف الراس والفرطاس” في عرض أولي بمسرح عبد القادر علولة في ” وهران 2014.04.21

تابع جمهور المسرح الجهوي عبد القادر علولة بوهران، أمس األول، عرض مسرحية جديدة باللغة األمازيغية بعنوان ”الراس والفرطاس” .للكاتب المسرحي جمال بن عوف وقد حظيت هذه المسرحية الجديدة المستوحاة من حكاية قبائلية تم تكييفها مع السياق المعاصر، بإعجاب الجمهور الذي انبهر بالحبكة الموجودة بين الشخصيتين الرئيسيتين الطريفتين والساخرتين. وتعد شخصية المغرور رب أسرة يقرر كل شيء ويظهر ذلك للجميع، في حين أن الشخصية الثانية )المتواضع( أصلع ويتيم ال تبتسم له الحياة ولكن فكره بارع. فبين عشية وضحاها يصبح المتواضع غنيا وينمو الشعر في رأسه ويعود من منفاه ويتزوج. ويوجد الصدام بين الشخصيتين في صميم هذه التراجيديا الكوميدية الجديدة التي يرويها جمال بن عوف وتؤديها فرقة ”العمل .وكلمة” للجمعية الثقافية ”نوميديا” التي تنشيط بوهران وأشاد المؤلف بعرض هذا العمل الجديد الذي يتزامن مع االحتفال بشهر التراث، وتخليدا للذكرى العشرين لرحيل المسرحي عبد القادر علولة. وأضاف أن هذا اإلنتاج المسرحي يكرم أيضا الراحل محمد بلعروسي، نوميديا”، والذي توفي مؤخرا إثر مرض ”المستشار الفني لجمعية .عضال وفي رصيد فرقة هذه الجمعية العديد من العروض المسرحية، حاز بعضها عدة جوائز بعد مشاركة متميزة في مختلف التظاهرات المسرحية. ويعد سجل الفرقة التي يقودها جمال بن عوف نحو ثالثين جائزة ظفرت بها بفضل مختلف األعمال مثل تلك المعنونة بـ”إلى أرض االستهزاء” و”األخير يغلق الباب” (2007) ”)2003( و”الرجل ذو القبعة غائب .()2005( و”شيخ القانون” )2011( و”لعبة العائالت السبعة ”)2012 وتعد ”نوميذيا” المعتمدة في عام 1991 من بين الشركاء الرئيسيين للحركة الثقافية بوهران من خالل عدد من األحداث، مثل السنة األمازيغية يناير” واليوم العالمي للمرأة، وغيرها من األنشطة التي تسلط ”الجديدة .الضوء على ثراء وتنوع التراث الثقافي الجزائري راضية.ت http://www.al-fadjr.com/ar/culture/273036.html

بالتزامن مع االحتفال بالربيع األمازيغي الراس والفرطاس” على ركح مسرح وهران” األربعاء 23 أفريل 2014 وهران: جعفر بن صالح

لم يشذ المؤلف المسرحي جمال بن عوف في مسرحيته األخيرة الراس والفرطاس” عن قاعدة توظيف التراث واألساطير األمازيغية ” لمحاكاة الواقع السياسي، ليجد الجمهور في كل مرة نفسه مقحما في .طقوس رواية الحكايات وااللتفاف حول موقد ”كانون” ونار دافئة وجمعية ”نوميديا” الثقافية، ”ع ّودنا جمال بن عوف وفرقة ”عمل وكلمة على ترسيخ تقليد االحتفال بالربيع األمازيغي في عمل مسرحي القتناع الجمهور بأن اإلبداع واإلنتاج الثقافي األمازيغي مرادف للنضال، وهو ما أو ”تجسد من خالل تقديم العرض العام لمسرحية ”الراس والفرطاس ”بوتملغيغث وبو تسلغيغث” باألمازيغية، أول أمس، بالمسرح الجهوي .عبد القادر علولة، بحضور جمهور وف ّي لمسرحيات جمال بن عوف اختار بن عوف بناء حبكته الفنية على حكاية صراع بين شخصيتين، األولى سلبية تتسم بالغرور والعناد تتخذ القرارات بصفة أحادية ودون استشارة، أما الشخصية الثانية فهي متزنة، متواضعة، تتمثل في إنسان أصلع ويتيم وعديم الحظ، إال أنه يمتاز بحدة الذكاء. لكن دوام الحال من المحال، تنقلب األمور ويصبح المتواضع غنيا وينمو الشعر في رأسه ويعود من منفاه ليتزوج. احتوت المسرحية الكثير من المقالب والوضعيات الساخرة والهزلية، لتجسيد الصراع بين الشخصيتين بمشاركة شخصيات أخرى. ويجب التنويه باألداء الجيد للممثلين الذين تع ّودوا على العمل مع جمال بن عوف في فرقة ”عمل وكلمة”، على غرار يونس رسوس، عبد الرزاق دحماني، لوناس زابوري، تينهينان أورابح، في عدة مسرحيات بلغت ستة أعمال حصدت 28 جائزة خالل مشاركتها في عدة تظاهرات ثقافية ومهرجانات مسرحية محترفة. وقال بن عوف عقب العرض إن هذا اإلنتاج المسرحي يك ّرم الراحل محمد بلعروسي المستشار الفني لجمعية ”نوميديا”، الذي توفي مؤخرا إثر مرض. وفي رصيد فرقة ”عمل وكلمة” العديد من العروض المسرحية، حاز البعض منها عدة جوائز بعد مشاركة متميزة في مختلف التظاهرات المسرحية. ويعدّ سجل الفرقة التي يقودها جمال بن عوف نحو ثالثين جائزة ظفرت بها بفضل مختلف األعمال مثل تلك المعنونة ”إلى أرض االستهزاء” )2003( و”الرجل ذو القبعة غائب و”األخير يغلق الباب” )2005( و”شيخ القانون” )2011( (” )2007 .(و”لعبة العائالت السبعة” )2012 http://www.elkhabar.com/ar/culture/399110.html

مسرحية جديدة باألمازيغية على ركح علولة “الراس والفرطاس” كوميديا اجتماعية تبرز دور الذاكرة والتاريخ

ح.أيوب قدّم أول، أمس، بالمسرح الجهوي عبد القادر علولة بوهران، العرض الشرفي لمسرحية جديدة باللغة األمازيغية، بعنوان “الراس والفرطاس”، من نص الكاتب جمال بن عوف وسط حضور جمهور معتبر أبى إال أن يكتشف الحكاية القبائلية من خالل عرض على ركح علولة. “الراس والفرطاس”، مسرحية جديدة مستوحاة من حكاية قبائلية تم تكييفها مع السياق المعاصر بإعجاب الجمهور الذي انبهر بالحبكة الموجودة بين الشخصيتين الرئيسيتين الطريفتين والساخرتين. وتعد شخصية المغرور رب أسرة يقرر كل شيء ويظهر ذلك للجميع في حين أن الشخصية الثانية التي تعكس شخصا متواضعا، أصلع ويتيم ال تبتسم له الحياة ولكن فكره بارع. فبين عشية وضحاها يصبح المتواضع غنيا وينمو الشعر في رأسه ويعود من منفاه ويتزوج. حيث ينج ّر الصدام بين الشخصيتين في صميم هذه التراجيدية الكوميدية الجديدة التي يرويها جمال بن عوف وتؤديها فرقة “العمل وكلمة” للجمعية الثقافية “نوميديا” التي تنشط بوهران. وعلى هامش العرض اعتبر كاتب جمال بن عوف بعرض هذا العمل الجديد الذي يتزامن كما أشار مع االحتفال بشهر التراث وتخليد الذكرى العشرين لرحيل المسرحي عبد القادر علولة. وأضاف أن هذا اإلنتاج المسرحي يك ّرم أيضا الراحل محمد بلعروسي المستشار الفني لجمعية “نوميديا” والذي توفي مؤخرا إثر مرض. وفي رصيد فرقة هذه الجمعية العديد من العروض المسرحية حاز البعض منها عدة جوائز بعد مشاركة متميزة في مختلف التظاهرات المسرحية. ويعد سجل الفرقة التي يقودها جمال بن عوف نحو ثالثين جائزة ظفرت بها بفضل مختلف األعمال مثل تلك المعنونة بـ”إلى أرض االستهزاء” سنة 2003، و”الرجل ذو القبعة غائب” عام 2007، وكذا “األخير يغلق الباب” سنة 2005، و”شيخ القانون” ، و”لعبة العائالت السبعة”. قد تم عرض مسرحيتها السابقة “ذكريات” من تأليف وإخراج بن عوف في أفريل 2013 بمسرح وهران حيث استحسن الجمهور موضوع هذا العمل الذي يسلط الضوء على دور الذاكرة والتاريخ. ويعرف جمال بن عوف الذي هو عضو مؤسس للجمعية الثقافية “نوميديا” أيضا بمساهمته في األدب والشعر الجزائري باللغة األمازيغية من خالل أهم مؤلفاته رواية بعنوان “المدينة-لقاء” و”الحنين إلى الماضي ولوم” “مجموعة من القصائد”. وتعد “نوميذيا” المعتمدة في عام 1991 من بين الشركاء الرئيسيين للحركة الثقافية بوهران من خالل عدد من األحداث مثل السنة األمازيغية الجديدة “يناير” واليوم العالمي للمرأة وغيرها من األنشطة التي تسلّط الضوء على ثراء وتنوع التراث الثقافي الجزائري http://www.altahrironline.com/ara/?p=10033

Aps-Ouest-Infos

الراس والفرطاس" مسرحية جديدة باألمازيغية" KORSO /الثالثاء, 22 نيسان )أبريل( 2014

لوهران اليوم "وهران - تابع جمهور المسرح الجهوي "عبد القادر علولة األحد عرض مسرحية جديدة باللغة األمازيغية بعنوان "الراس .والفرطاس" للكاتب المسرحي جمال بن عوف وقد حظيت هذه المسرحية الجديدة المستوحاة من حكاية قبائلية تم تكييفها مع السياق المعاصر بإعجاب الجمهور الذي انبهر بالحبكة الموجودة بين .الشخصيتين الرئيسيتين الطريفتين والساخرتين وتعد شخصية المغرور رب أسرة يقرر كل شيء ويظهر ذلك للجميع في حين أن الشخصية الثانية )المتواضع( أصلع ويتيم ال تبتسم له الحياة ولكن فبين عشية وضحاها يصبح المتواضع غنيا وينمو الشعر في .فكره بارع .رأسه و يعود من منفاه و يتزوج

ويوجد الصدام بين الشخصيتين في صميم هذه التراجيدية الكوميدية الجديدة التي يرويها جمال بن عوف وتؤديها فرقة "العمل وكلمة" للجمعية .نوميديا" التي تنشيط بوهران"الثقافية وفي تصريح ل/وأج/ أشاد المؤلف بعرض هذا العمل الجديد الذي يتزامن كما أشار مع االحتفال بشهر التراث وتخليد الذكرى العشرين لرحيل .المسرحي عبد القادر علولة وأضاف أن هذا اإلنتاج المسرحي يكرم أيضا الراحل محمد بلعروسي .المستشار الفني لجمعية "نوميديا" والذي توفي مؤخرا إثر مرض وفي رصيد فرقة هذه الجمعية العديد من العروض المسرحية حاز البعض .منها عدة جوائز بعد مشاركة متميزة في مختلف التظاهرات المسرحية ويعد سجل الفرقة التي يقودها جمال بن عوف نحو ثالثين جائزة ظفرت بها بفضل مختلف األعمال مثل تلك المعنونة ب"إلى أرض االستهزاء" )2003( و "الرجل ذو القبعة غائب" )2007( و"اآلخير يغلق الباب" .(و"لعبة العائالت السبعة ")2012 (2011) ")2005( و"شيخ القانون وقد تم عرض مسرحيتها السابقة "ذكريات" من تأليف وإخراج بن عوف بمسرح وهران حيث استحسن الجمهور موضوع هذا 2013في أفريل .العمل الذي يسلط الضوء على دور الذاكرة والتاريخ ويعرف جمال بن عوف الذي هو عضو مؤسس للجمعية الثقافية "نوميديا" أيضا بمساهمته في األدب والشعر الجزائري باللغة األمازيغية من خالل المدينة-لقاء" )رواية( و "الحنين إلى الماضي ولوم" "أهم مؤلفاته .()مجموعة من القصائد وتعد "نوميذيا" المعتمدة في عام 1991 من بين الشركاء الرئيسيين للحركة الثقافية بوهران من خالل عدد من األحداث مثل السنة األمازيغية يناير" واليوم العالمي للمرأة وغيرها من األنشطة التي تسلط "الجديدة .الضوء على ثراء وتنوع التراث الثقافي الجزائري

http://www.oran- aps.dz/spip.php?page=imprimer&id_article=12676

الراس والفرطاس” مسرحية جديدة باألمازيغية“

تابع جمهور المسرح الجهوي “عبد القادر علولة” لوهران أول أمس عرض مسرحية جديدة باللغة األمازيغية وقد .بعنوان “الراس والفرطاس” للكاتب المسرحي جمال بن عوف حظيت هذه المسرحية الجديدة المستوحاة من حكاية قبائلية تم تكييفها مع السياق المعاصر بإعجاب الجمهور الذي انبهر بالحبكة الموجودة بين .الشخصيتين الرئيسيتين الطريفتين والساخرتين وتعد شخصية المغرور رب أسرة يقرر كل شيء ويظهر ذلك للجميع في حين أن الشخصية الثانية )المتواضع( أصلع ويتيم ال تبتسم له الحياة ولكن فبين عشية وضحاها يصبح المتواضع غنيا وينمو الشعر في .فكره بارع رأسه و يعود من منفاه و يتزوج. ويوجد الصدام بين الشخصيتين في صميم هذه التراجيدية الكوميدية الجديدة التي يرويها جمال بن عوف وتؤديها فرقة “العمل وكلمة” للجمعية الثقافية “نوميديا” التي تنشيط .بوهران وفي تصريح لوكالة األنباء الجزائرية أشاد المؤلف بعرض هذا العمل الجديد الذي يتزامن كما أشار مع االحتفال بشهر التراث وتخليد الذكرى العشرين لرحيل المسرحي عبد القادر علولة. وأضاف أن هذا اإلنتاج المسرحي يكرم أيضا الراحل محمد بلعروسي المستشار الفني لجمعية .“نوميديا” والذي توفي مؤخرا إثر مرض وفي رصيد فرقة هذه الجمعية العديد من العروض المسرحية حاز البعض منها عدة جوائز بعد مشاركة متميزة في مختلف التظاهرات المسرحية. ويعد سجل الفرقة التي يقودها جمال بن عوف نحو ثالثين جائزة ظفرت بها بفضل مختلف األعمال مثل تلك المعنونة ب”إلى أرض االستهزاء” و”األخير يغلق الباب” (2007) ”)2003( و “الرجل ذو القبعة غائب .()2005( و”شيخ القانون” )2011( و”لعبة العائالت السبعة “)2012 وقد تم عرض مسرحيتها السابقة “ذكريات” من تأليف وإخراج بن عوف بمسرح وهران حيث استحسن الجمهور موضوع هذا 2013في أفريل العمل الذي يسلط الضوء على دور الذاكرة والتاريخ. ويعرف جمال بن عوف الذي هو عضو مؤسس للجمعية الثقافية “نوميديا” أيضا بمساهمته في األدب والشعر الجزائري باللغة األمازيغية من خالل أهم مؤلفاته “المدينة-لقاء” )رواية( و “الحنين إلى الماضي ولوم” )مجموعة من القصائد(. وتعد “نوميذيا” المعتمدة في عام 1991 من بين الشركاء الرئيسيين للحركة الثقافية بوهران من خالل عدد من األحداث مثل السنة األمازيغية الجديدة “يناير” واليوم العالمي للمرأة وغيرها من األنشطة .التي تسلط الضوء على ثراء وتنوع التراث الثقافي الجزائري http://presse-algerie.net/open-110016-elayem- eldjazairia.html

ssociation Culturelle Tamkadbout

8 juillet, 10:33 ·

Dimanche 05 Juillet 2015 Clôture de la 7eme Edition du théâtre de montagne en hommage à Ahmed KADRI dit KRIKECHE.Avecnotres chers camarades membres de jury: Larbi DJAOUMI, Nacer MOUHAOUCHE et comme président Reda AMRANI .

LES NOMINATIONS :

Meilleur interprétation seconde rôle masculine 1) – MazighBouakila de la pièce TIMEST 2) – Hacene Allal de pièce théâtrale TADARWICT 3) – Abed RezakDahmani de la pièce théâtral TIGHWIST TANEGARUT

Meilleur texte 1) – écriture collectif de la pièce théâtrale HUSKA 2) –Oukbaouichikh de la pièce théâtrale TIRZZAF GHER 3) –Djamel Ben Aouf de la pièce théâtrale TIGHWIST TANEGARUT 4) – Lyes Moukrab de la pièce théâtrale TIMEST https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=1646751688895797&id=16159948386 38149 les 2èmes rencontres de théâtre de Bouzeguene village sont à l’apogée

Publié le 3 juillet 2015 | Par admin

Tiɣwist taneggarut n tarbaɛt Tigawt d wawal

Au 5ème jour des rencontres de théâtre de Bouzeguene village, deux troupes de théâtre, l’une Tigawt d Wawal d’oran et Awaɣlis de Chemini ont l’honneur de présenter deux spectacles hors des sentiers battus. Le théâtre est, par sa nature même, un spectacle qui s’appuie sur un texte. Tiɣwist taneggarut, mélodrame écrit et mis en scène par Djamel Benaouf. Tous les sujets de l’existence, la mort, la notoriété, l’anonymat y sont traités avec soins et perspicacité, sur une musique classique. Un seul interprète y joue tous les rôles. Attient d’une maladie rarissime, ses jours ou ses heures sont comptés, sans tomber dans le misérabilisme, la fantaisie, et les clichés habituels, le jeune artiste a fait son choix, plutôt mourir chez lui au milieu des « siens » c’est à dire mourir en paix, au milieu de ses personnage, de ses livres, tableaux de peintures et laisser une empreinte indélébile.

Amroun Omar

« les 2èmes rencontres de théâtre de Bouzeguene village sont à l'apogée » les 2èmes rencontres de théâtre de Bouzeguene village sont à l'apogée »

Le rideau est tombé sur la 2e édition du Festival du théâtre amateur de Wizgan dans la commune de Bouzeguène (60 km à l’est de TiziOuzou), avec le passage en scène de douze troupes théâtrales.

Ces pièces théâtrales présentées par des comédiens venus de plusieurs wilayas entre autres TiziOuzou, Béjaia, Bouira et Oran, ont touché à une variété de thèmes.

Des milliers de personnes ont suivi pendant 6 jours en plein air des spectacles de danse, de chorale appréciées par le public. Ce festival annuel constitue désormais un rendez-vous incontournable qui a gagné en notoriété.

La scénographie et une belle création, avec des décors représentant des châteaux de pierres. Au milieu d’un jeu de lumière, des silhouettes humaines sont portées par une musique envoutante. La Maison de jeunes de Bouzeguène qui a ouvert les activités avec sa troupe de chorale, a donné le ton à ce festival. La performance de «Tafat» d’Imessouhal et de «Tiggejdit» de Maâtkas a été simplement remarquable. Les troupes théâtrales «Tilawt» de Chemini avec «AlaxertYedren» et celle de «Ifehchach N Jerjar avec «MesmarGehha» ont été également à la hauteur. L’entrée en scène de la troupe «Imghan» d’Azefoun avec son opérette «AmurikDayenDimgarOufoussik» et de la troupe «Aserhu» de Mehagga avec «XxdemTafed», n’ont pas laissé les spectateurs indifférents.

Le quatrième jour du festival a vu l’entrée en scène de la troupe d’Iguersafene qui a joué la pièce «Si Lahlou», puisée du répertoire théâtral de Mohia, précédée quelques instants auparavant par la troupe Gouraya de Tichy qui a présenté une pièce intitulée «YirZhar».

La curiosité a été l’association «Numidia d’Oran» avec sa troupe «Tigawt D Wawal» qui est entrée en scène avec sa pièce, très connue, «TighwistTanegarut», suivie de la troupe Aweghlis (Chemini) avec la pièce «Inebgi N Ccitan». Au dernier jour du festival, le public a apprécié la troupe d’ de LarbaaNathIraten qui a présenté une comédie musicale «Huska». Le festival s’est achevé par la pièce «Times» interprétée par la troupe «tran N Tqarbuzt» (Bouira) en présence du P/APC d’Aghbalu.

Kamel K. http://www.elwatan.com/regions/kabylie/tiziouzou/theatre-a-bouzeguene-bonne-note-pour- le-festival-11-07-2015-299377_144.phps

Radar / Actualités La pièce est produite par la troupe théâtrale de l’Association Numidya d’Oran “Bu Tfuset”, ce soir au centre culturel Bouguermouh d’Amizour

Les amoureux du 4e art de la ville d’Amizour de Béjaïa sont invités à une représentation théâtrale ce soir à 22 h au centre culturel Malek-Bouguermouh. Le spectacle est produit par la troupe Action et Parole de l’association culturelle Numidya d’Oran. Intitulée Bu tfuset (Faust amazigh), le public découvrira ainsi un spectacle riche en couleurs et en jeux interprété par de jeunes comédiens talentueux. http://www.liberte-algerie.com/radar/bu- tfuset-ce-soir-au-centre-culturel- bouguermouh-damizour-253532

Par DDK | 27 Aout 2016 | 310 lecture(s) Amizour Prix Malek Bouguermouh de la 10e édition du Festival du théâtre amateur Machahou, d’Iferhounène, lauréate

Pour la seconde fois consécutive, le prix Malek Bouguermouh du concours du Festival du théâtre amateur organisé à Amizour revient à la wilaya de Tizi-Ouzou et le prix de cette 10ème édition a été remporté par la coopérative théâtrale Machahou d’Iferhounène. Cette dernière a participé avec une pièce intitulée «Tadsa di twaxit» du metteur en scène Abdelkader Azzouz de la wilaya de Tamanrasset, inspirée du Roman de l’auteur irakien Mahmoud Abou Abbas. Hélas, cette troupe avait brillé par son absence à la cérémonie de clôture qui a eu lieu dans la soirée d’avant-hier jeudi au campus universitaire de la même localité. Une cérémonie toute modeste où l’on a constaté l’absence du premier responsable du secteur de la culture de la wilaya, alors présent lors de la cérémonie d’ouverture, comme c’est le cas aussi du P/APC de la commune organisatrice. Mais le grand absent était le public, habitué à suivre les pièces retenues dans ce festival au niveau du centre culturel situé au centre-ville. Le changement du lieu de la cérémonie et de surcroit la présence sur invitation ont fait que le public ne s’est pas rendu à cette fête, lui qui était une dynamique d'animation et de spectacle durant toutes les éditions précédentes de ce Festival. Concernant l’art de pratiquer le théâtre amateur, le président du jury du concours, Khaled Khodja Noredine, lors des délibérations, dira : «Cette édition est caractérisée par l’introduction de nouveaux éléments en matière de texte, du décor et même du jeu». Et de préciser : «Il y a de la créativité et de l’amélioration des prestations, et ce malgré le peu de moyens». Cela est vu sur scène, comme c’est le cas du volet décor où l’on découvre une prestation des plus professionnelles de la troupe de l’association «Plein air» de Boudouaou (Boumerdès). Cette troupe dans sa pièce «Noun» a invité le public, par le décor, à faire un voyage dans le temps jusqu’à l’ère primitive. Les autres troupes ont, chacune à sa manière, tenté d’apporter un plus, une touche propre à elles et selon l’expérience, il y a toujours un travail artistique bien accompli. «Je ne suis pas venu pour arracher un prix, mais mon objectif était d’assurer un bon spectacle devant le public, les fans du théâtre, puis de pratiquer cet art d’une façon à lui apporter du nouveau, pour rendre hommage aux figures emblématiques du théâtre, à l’image de Malek Bouguermouh», dira Hamza Boukir de la troupe Assirem d’Akbou, qui a arraché le prix de la meilleure mise en scène. Cette troupe qui a participé avec une pièce intitulée «Wis thmania nsmana» (le 8ème jour de la semaine) a arraché deux prix cette année. Celui de la meilleure interprétation masculine est revenu au jeune Hamitouche Lounès et celui de la meilleure interprétation a été attribué à Ben Hellal Djedjiga de la troupe. Quant aux prix du jury et du public, ils sont revenus respectivement à la troupe d’Ighzer Amokrane avec sa pièce «Tamachahouts oufenan» et la troupe Tingi de Béjaïa avec sa pièce «Mis n’wezniq». Le prix du meilleur texte a été remporté par la troupe «Action et parole» d’Oran avec sa pièce «Bu tfuset… de fauste», celui de la meilleure scénographie a été attribué à la troupe de Boudouaou pour sa pièce «Noun». D’autres troupes, à l’image d’Ighzer Amokrane, de Bouandas, de M’sila ou Ghardaïa n’ont pas démérité. Elles ont donné du spectacle et ont acquis une expérience à jouer devant un public. Il y a lieu de retenir surtout l’émergence de ces bourgeons dans le théâtre, la participation des enfants qui ont subjugué le public, comme c’est le cas de Lounès Bennaouf (9 ans) de la troupe «Action et parole» d’Oran qui a joué à côté de son père. À signaler enfin que les objectifs tracés par les organisateurs de ce festival, à savoir l’institutionnalisation de cette festivité et le développement du théâtre au niveau local, sont loin d’être atteints. Mais jusque-là, l’on peut dire que l’on se contente de ces spectacles assurés en cette période de vacances, et surtout ces rencontres entre artistes et praticiens du théâtre et aussi cet hommage rendu à l’artiste disparu Riad Ouaret qui a beaucoup donné à ce festival. Nadir Touati http://www.depechedekabylie.com/cuture/1666 41-machahou-diferhounene-laureate.html

2e rencontre du théâtre amazigh d'Aghbalou (Bouira): Douze troupes y participent 21 JUIN 2017 L'association culturelle Ithran de la commune d'Aghbalou, située à une cinquantaine de kilomètres au nord-est de Bouira, a récidivé avec l'organisation de la 2e rencontre du théâtre amazigh d'Aghbalou.

La manifestation, qui se déroule du 19 au 24 juin au niveau de l'école primaire Terrad- Hocine du chef-lieu communal, se veut un hommage à deux figures de proue du théâtre algérien, notamment Hamida Aït El-Hadj, dramaturge et metteur en scène de renom, et le comédien et acteur Abdenour Azeradj, qui a un long et riche parcours dans la comédie et le cinéma, selon NacerTerrad, président de l'association culturelle Ithran. Douze troupes théâtrales venues de six wilayas, à savoir Oran Oum El Bouaghi, Batna, Béjaïa, TiziOuzou et Bouira, participent à cette rencontre du théâtre amazigh. La nouveauté pour cette édition est qu'elle a été organisée sous le patronage du wali de Bouira, souligne TerradNacer. «Le wali nous a ouvert les portes pour que nous puissions avancer dans ce que nous sommes en train de faire pour la culture amazighe. Nous tenons à le remercier, et nous souhaitons également à ce qu'il aide davantage l'association Ithran qui produit des pièces théâtrales professionnelles qui a arraché des prix lors de différents festivals», ajoute M. Terrad, dont le seul objectif est que cette manifestation culturelle puisse durer le plus longtemps possible. «Nous espérons qu'il y aura d'autres éditions de cette rencontre. Nous comptons sur les autorités locales pour mettre plus de moyens à notre disposition afin d'aller de l'avant. Notre objectif est de faire de cette rencontre un grand festival de théâtre amazigh et de permettre aux troupes de différentes régions d'Algérie d'y prendre part», ajoute le président de l'association. Des troupes de Tamanrasset et d'Illizi voulaient participer à cette rencontre mais elles n'ont pas les moyens nécessaires pour le faire, d'après TerradNacer. Un riche programme a été concocté pour animer les six soirées que durera la rencontre. La soirée d'ouverture, le public a eu droit à une pièce Hassan Amagad de l'association Thala de Draâ El Mizane et Tata Batata de l'association Taxlijt d'Ifarhounène. L'association Numidia d'Oran devait présenter pour la soirée de mardi une pièce théâtrale intitulée Tigawt d Wawal (Action et parole). Les femmes sont présentes Pour la soirée de ce mercredi, les amoureux du théâtre vont découvrir la pièce Jaha de l'association TazuriwerTilissa de Béjaïa, et une autre pièce Ma mhemmalenlejwareh de TiziOuzou. Une pièce théâtrale intitulée La poudre de l'intelligence sera jouée jeudi soir. La rencontre sera clôturée samedi soir avec la pièce Jules Cesar et la remise des prix pour les lauréats. Dès les premiers jours, des centaines de personnes ont assisté à la rencontre du théâtre amazigh d'Aghbalou. Les femmes sont aussi au rendez-vous. Elles occupent la moitié de la cour de l'école primaire. Ainsi, le président de l'association Ithran appelle les responsables du secteur de la culture à Bouira et au ministère d'ouvrir officiellement le théâtre régional Amar-Laskri de Bouira car, estime-t-il, la wilaya regorge d'hommes et de femmes de talent dans l'art dramatique. Ali Cherarak https://www.letempsdz.com/index.php/193-cull/191222-2e-rencontre-du- th%C3%A9%C3%A2tre-amazigh-d-aghbalou-bouira-douze-troupes-y-participent Festival du théâtre amazigh de la Soummam 12 spectacles au menu

le 20.06.17 | 12h00 Réagissez

ImprimerEnvoyer à un amiFlux RSS Partager L’Etoile culturelle d’Akbou a lancé, jeudi dernier, la 13e édition du Festival du théâtre amazigh de la Soummam à la maison de jeunes Abderrahmane Farès, en partenariat avec l’APC d’Akbou, la DJS, l’APW et la direction de la culture de la wilaya de Béjaïa ainsi que des sponsors locaux.

Une exposition de tableaux d’art plastique, des ateliers de dessin destinés notamment aux enfants, une formation d’écriture dramaturgique assurée par un des membres du jury de ce même festival et des thématiques variées d’interprétations théâtrales sont au menu de cet événement qui anime les dernières soirées de ce mois de Ramadhan.

L’édition de cette année se veut compétitive entre les troupes et les coopératives du théâtre amateur, contrairement aux 12 éditions passées, qui ont été marquées par des hommages à des hommes et des femmes du théâtre qui ont inscrit leurs noms dans l’histoire du quatrième art. Le dernier en date a été un hommage au défunt Achour Djerada.

12 spectacles sont venus des quatre coins de l’Algérie, en l’occurrence Takhedamtthakoudharth, de la troupe Takerbouzt de Bouira, Alakharthyedran, de la troupe Tilawt de Chemini, Jugurta, de la troupe Aït Oumalou de TiziOuzou, Tixelwit n Ccitan, de la troupe Inemlayen d’Amizour, 8e jour et Julio César, de la troupe Tagharma d’IghilNacer, Bu tfuset, Tigawt d wawal, de l’association culturelle Numidya d’Oran, Turetiwumizzinyemcac, de TiduklaTadelsentAzar n’bu3del, Afara, de la troupe Assirem de Tichy, et Lunja, de la troupe Lemri d’El Kseur, ainsi que la pièce La poudre d’intelligence, de Kateb

Yacine, qui sera jouée en kabyle par la troupe du théâtre régional de Béjaïa, mise en scène par Djamel

Abdeli. Les troupes s’affrontent pour obtenir le Grand Prix.

«Cette année, nous avons préféré donner un coup de pouce aux troupes pour les encourager à aller de l’avant», a déclaré un des organisateurs. Malgré la chaleur étouffante et la situation déplorable de la salle de spectacles de la Maison des jeunes d’Akbou, le public a quand même salué la persévérance de l’association organisatrice et la performance des comédiens le long des quatre premières soirées. Les familles ont trouvé du plaisir à suivre ce festival qui sera clôturé dans la soirée de ce mercredi. Bacha B. http://www.elwatan.com/regions/kabylie/bajaia/12-spectacles-au-menu-20-06-2017- 347594_143.php