REPOBLIKAN’I MADAGASIKARA Fahafahafana – Tanindrazana – Fandrosoana ------PROVINCE AUTONOME DE TOAMASINA ------REGION DE L’ALAOTRA ------Commune Rurale d’ ------Comité Régional de Développement de l’Alaotra (CORDAL) ------Comité Communal de Développement d’Ambandrika (CCD) ------

En collaboration avec ONE/Toamasina

Novembre 2001

REPOBLIKAN’I MADAGASIKARA Fahafahafana – Tanindrazana – Fandrosoana ------FARITANY MIZAKATENAN’I TOAMASINA ------FARITR’ALAOTRA ------Kaominina Ambandrika ------Komitim-paritra ho amin’ny Fampandrosoana an’Alaotra (CORDAL) ------Komitim-paritra misahana ny Fampandrosoana ny Kaominina Ambandrika (CCD) ------

DRAFITRASA FAM PANDROSOANA

NY KAOMININA

Fiaraha-miasa tamin’ny : ONE/Toamasina

Novambra 2001REMERCIEMENT

Le Comité Communal de Développement d’Ambandrika tient particulièrement à exprimer ses vifs remerciements à :

- l’O.N.E/Toamasina d’avoir bien voulu supporter une grande partie des charges financières relatives à l’élaboration de ce présent Plan Communal de Développement.

- Notre gratitude va aussi à l’égard de l’équipe dirigée par Messieurs RAZANADRAKOTO Davida Rivosoa, Chef de la Circonscription de la Pêche et des Ressources Halieutiques d’ avec MM. RAKOTONDRATIANA Jean Paul et de RAKOTOARIVONY pour les travaux de facilitation qu’ils ont faits tant au niveau Fokontany que Commune, ainsi que les travaux de saisie pour la finalisation de ce présent document.

- Enfin, à tous les membres du Fokonolona des six Fokontany de la Commune qui ont, de près ou de loin, contribué à l’élaboration de ce plan ; à tous et à toutes, veuillez trouver ici nos sincères remerciements. Acronymes

ANAE : Association Nationale d’Actions Environnementales AUE : Association des Usagers de l’Eau BOA : Bank of Africa CCD : Comité Communal de Développement CDV : Comité de Développement Villageois CEG : Collège d’Enseignement Général CIRAGRI : Circonscription de l’Agriculture CIREL : Circonscription de l’Elevage CIRPRH/CIRPECHE Circonscription de la Pêche et des Ressources Halieutiques CISCO : Circonscription Scolaire CORDAL : Comité Régional pour le Développement de l’Alaotra CR : Commune Rurale DIRA : Direction Inter Régionale de l’Agriculture E&F : Eaux et Forêts EKAR : Eglizy Katolika Romanina EPP : Ecole Primaire Publique FID : Fonds d’Intervention pour le Développement FIKRIFAMA Fikambanan’ny Kristianina momba ny Fampandrosoana ny Ambanivohitra FKT : Fokontany FRAM : Fikambanan’ny Ray aman-drenin’ny mpianatra GTDR : Groupe de Travail pour le Développement Rural JICA : Japan International Corporation Agency JIRAMA : Jiro sy Rano Malagasy MINPOP : Ministère de la Population MINSAN : Ministère de la Santé ONE : Office Nationale pour l’Environnement ONG : Organisme Non Gouvernemental OTIV : Ombon-Tahiry Ifampisamborana Vola PCD : Plan Communal de Développement PCLS : Président du Comité Local de Sécurité PSDR : Projet de Soutien au Développement Rural PTT Postes et Télécommunications SAF-FJKM : Sampan’Asa Fampandrosoana /Fiangonan’i Jesosy Kristy eto Madagasikara TP : Travaux Publics ZP : Zandarmariam-pirenena (Gendarmerie nationale)

SOMMAIRE Pages INTRODUCTION…………………………………………………………………………… 2

1. Méthodologie d’intervention………………………………………………………. 3 1.1. Différentes étapes d’élaboration d’un PCD…………………………………. 3 1.2. Rôles et attributions du CCD………………………………………………… 4 2. Présentation de la Commune rurale d’Ambandrika…………………………….. 5 2.1. Bref historique……..…….……….………………………………………… 5 2.2. Valeurs culturelles……..………………….………………………………… 6 2.3. Situation géographique……..………………….……………………………. 6 2.4. Caractéristiques physiques……..………………….………………………… 6 2.5. Situation administrative……..………………….…………………………… 7 2.6. Situation démographique……..………………….…………………………… 7

3. Les intervenants ou organismes de développement travaillant dans la Commune……..………………….………………………………………………. 7 4. Les potentialités et les problèmes majeurs de la Commune.………………….. 7 4.1 Potentialités……………………….……………………………………….… 7 4.2 Problèmes majeurs ………………..………………….…………………….. 9 5. Les objectifs majeurs……………………………………………………………… 12 6. Les axes stratégiques de développement et les programmes d’actions………… 12 7. La liste des projets envisagés dans le cadre du PCD……………………………. 13 CONCLUSION………………………………………………………………………………. 14 ANNEXES…………………………………………………………………………….……… 15 A. Monographie communale………………..………………….……………..… 16 B. Carte de la Commune……..………………….…………………………….… 35 C Fiche d’identité du CCD……..………………….…………………………… 36 D Arbres des problèmes ……..………………….……………………………… 38 E Arbres des objectifs……..………………….………………………………… 39 F Plan Communal de Développement Commune rurale d’Ambandrika………. 40 G Cadre logique du PCD……..………………….……………………………… 43 H Priorisation suivant chronogramme des activités……………………….……. 46 I Système de Suivi-évaluation……..………………….……………………….. 47 J Quelques MIPs……..………………….…………………………………….. 51 K Tableau des intervenants et acteurs de développement au niveau Commune.. 57 L PV de l’approbation du PCD……..………………….………………………. 58 M Délibération des conseillers……..………………….……………………….. 59 N Arrêté communal portant mise en vigueur du PCD ……..………………….. 60

Plan Communal de Développement PCD Ambandrika

INTRODUCTION

Nul ne peut nier que l’objectif principal d’une Commune rurale pour son développement rapide et durable est de rendre harmonieux toutes les actions qu’elle veut réaliser en liaison avec les besoins réels de la population qui ne sont autres que de réduire la pesanteur de la pauvreté que sévit surtout la communauté rurale. Il est en conséquence normal de bien programmer et planifier de façon cohérente et logique toutes actions à mener que les Communautés de base doivent les prioriser minutieusement et ce afin de coordonner concrètement la lutte contre cette pauvreté. Faisant suite à la réalisation des travaux de protection de la ville d’Ambandrika en l’an 2000, la Commune veut concevoir une réelle planification de toutes les actions qu’elle désire entreprendre. Ainsi, une décision des dirigeants de cette Commune a été prise pour faire appel aux différents groupes socioprofessionnels et aux diverses catégories de gens de participer à l’élaboration d’un plan de développement de la Commune. Toutefois, il est encore impossible pour la Commune d’élaborer seule un tel plan sans la contribution d’une autre entité ou partenaire pouvant faire un appui technique et financier. Une demande de collaboration a été donc adressée à l’Office National pour l’Environnement (ONE) afin que ce PCD soit effectué de manière correcte. Cet organisme a répondu favorablement à cette demande et a organisé une séance d’information et formation en matière d’élaboration d’un PCD. Cependant, avant d’entamer l’élaboration proprement dite de ce PCD, une étude monographique de la Commune est faite en vue d’avoir des informations et des données de base faisant ressortir principalement les atouts et potentialités ainsi que les opportunités et les contraintes de la Commune. Cela va servir avec une approche participative de tout processus de développement communautaire. La vision globale de la Commune rurale d’Ambandrika d’ici l’année 2006 est qu’il y aura sûrement un Développement durable lorsque la sécurité publique sera bien rétablie et tout le monde contribue activement à la réalisation des actions définies dans le présent PCD ». Normalement, l’élaboration d’un Plan Communal de Développement (PCD) peut nécessiter plusieurs outils ou méthodes pour pouvoir diagnostiquer et analyser les problèmes de la Commune puis rechercher les solutions y afférentes proposées par les bénéficiaires.

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1. Méthodologie d’intervention Si toutes actions entreprises au niveau de chaque village ont l’adhésion totale de la population, du moins sa majorité, nous pensons à une réelle participation sans hésitation de tout un chacun dans l’analyse de la situation socio-économique du milieu et aussi dans la recherche des voies et moyens pour remédier à leurs problèmes. Afin de mieux exploiter les atouts et potentialités de leur zone, et ensuite en tenir compte de la diversité villageoise, il est utile de travailler avec les différents groupes socioprofessionnels et ceci nécessite le principe de « triangulation » (aborder le problème à partir de plusieurs points de vue et en utilisant plusieurs outils). En ce qui concerne l’élaboration du Plan Communal de Développement (PCD) de la Commune Rurale d’Ambandrika, nous avons utilisé plusieurs outils de diagnostic pour connaître tous les problèmes de la population et les solutions proposées y afférentes au niveau village ou Fokontany puis les analyser à travers d’un atelier de concertation. Ce dernier a vu la participation des représentants de diverses entités (élus, autorités, associations, genres, opérateurs, villageois…) au bout duquel on a parvenu à la validation des solutions proposées ainsi que les actions définies à entreprendre. Le traitement et l’exploitation des données monographiques ont été effectués avant que ledit atelier ait lieu pendant lesquels les différents problèmes évoqués se sont classés par thème ainsi que les solutions y afférentes proposées par les communautés de base. L’obtention des données de base se fait comme suit : 1. collecte des informations et données monographiques au niveau Commune ; 2. enquête au niveau village en vue d’avoir les problèmes globaux et spécifiques et de dessiner la carte du Fokontany dont la méthode utilisée est d’abord de faire des enquêtes ménages sous forme d’échantillonnage et ensuite de tenir une réunion de restitution pour le fokonolona de chaque village afin d’analyser les problèmes et de bien situer la carte du Fokontany avant de les valider avec les solutions y afférentes qui ont été proposées ; on avait besoin ainsi de plusieurs outils méthodologiques dans ce processus. Ces divers outils convergent sur l’approche « learning by doing » qui n’est autre qu’une stimulation de la participation effective de chaque participant tendant à un apport significatif dans le travail. Les démarches méthodologiques exposées seront suivies d’un exemple concret (tenant compte des aspects socio-culturels de la zone). 1.1. Différentes étapes d’élaboration d’un PCD La réalisation de la démarche comprend plusieurs étapes : Contact et réunion d’informations avec les autorités administratives (Maire et ses staffs, Conseillers communaux, PCLS par Fokontany, et les autorités traditionnelles. Ceci étant une explication sous forme d’information et de formation sur le processus à suivre lors de l’élaboration du PCD puis il a été demandé aux participants d’inventorier succinctement les différents groupes socioprofessionnels existants et enfin, des informations géographiques de la Commune ont été recueillies. Au bout de cette réunion préliminaire, un comité communal de développement provisoire (CCD) est créé afin d’impliquer dès le départ ses membres dans le processus d’élaboration du PCD et aussi d’aider le facilitateur dans l’accomplissement de ses activités. Distribution au préalable des fiches d’enquête auprès d’une centaine de familles par FKT (au niveau des ménages) en vue de collecter des informations relatives à l’Environnement du monde rural ; cette enquête permet de connaître les divers engagements que les habitants peuvent contribuer concrètement au processus de développement villageois et communal et également dans le but de savoir les capacités d’analyse de ces habitants sur la situation socio-économique de la Commune ; une autre enquête a été menée à chaque PCLS et le comité local de développement (CLD) sur les atouts et potentialités (ressources existantes : humain, nature, matériel, structure…) ainsi que les opportunités et les contraintes de développement ; Restitution des résultats d’enquête au niveau Fokontany et ménages en vue de validation des atouts et potentialités ainsi que celle des problèmes et contraintes au cours de laquelle on peut demander d’autres informations complémentaires si nécessaire et ensuite on essaie d’identifier les causes et effets des problèmes en vue d’une analyse (arbre à problèmes) ;

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Analyse des problèmes évoqués et recherche de solutions lors d’un atelier de 2 jours : la méthode d’analyse adoptée est de basée sur les causes des problèmes les plus pertinentes auxquelles la population peut et veut agir. Ainsi, un tableau de classification de ces causes est présenté à l’assistance pour s’enquérir de la validité du classement par l’élimination du programme traité ou des contraintes inappropriées ou le rajout pour les programmes qui ne comportent aucune contrainte. Selon la classification des contraintes du classement validé, on les a groupées par nature ou par similarité qui sont par la suite hiérarchisées entre elles satisfaisant la relation de « cause à effet ». Les effets sont placés au-dessus et les causes en dessous d’un problème donné. L’on obtient ainsi le « arbre des problèmes ». Quant à la recherche de solutions, pour apprécier les motivations des habitants ce sont les problèmes classifiés qui font ressortir des thèmes y afférents dont le but est de pouvoir formuler ces derniers sous forme d’objectifs à atteindre. L’on obtient ainsi le « arbre ou diagramme des objectifs ». L’arbre à objectifs se décompose comme suit selon leur niveau dans le diagramme: 1. l’objectif se situant en haut du diagramme correspond à l’objectif global ; 2. l’objectif se situant au niveau intermédiaire correspond à l’objectif spécifique ; 3. les objectifs se situant au bas du diagramme correspondent aux résultats attendus. Etablissement d’un tableau des solutions essentiellement suivant les relations moyens-fins » dans le diagramme ; Définition des diverses activités à entreprendre correspondant aux solutions identifiées et validées puis formulation des axes stratégiques en vue de leur mise en œuvre ; Planification des actions selon les divers volets (éducation, santé publique, agriculture, élevage, sécurité, sport et loisirs…) en faisant apparaître les organismes ou structures concernés, la durée ou la période, les résultats attendus, les bénéficiaires ainsi que les moyens et les indicateurs de suivi et d’appréciation ; Priorisation des actions au niveau Commune dont les critères ne sont pas bien définis comme il a été fait au niveau village (priorisation par paire) mais les participants ont basé leur choix sur l’importance du projet par rapport aux besoins immédiats de la population (critère temporel) et non sur sa faisabilité technique ni financière seulement qui semble difficile pour être apprécié en ce moment-là. Validation des actions priorisées par les élus et les membres du CCD ; Finalisation du PCD proprement dit Remise officielle du dossier à la Commune 1.2. Rôles et attributions du CCD Etant donné que le CCD est une plate forme de concertation regroupant toutes les forces vives du périmètre communal dans le but d’asseoir un réel développement durable et intégré avec l’appui des partenaires financiers et techniques suivant la trilogie économique, socioculturelle et écologique. Il est un organe d’appui et conseil au bureau exécutif de la Mairie, au conseil communal et aussi à tous les bénéficiaires de projets de développement. Les rôles et attributions de ce CCD sont entre autres qu’ : Il fait la coordination des actions jugées prioritaires à réaliser au niveau de la Commune : l’établissement d’un Diagramme de Venn permettra de mieux savoir les rôles que joue chaque intervenant et son importance par rapport aux objectifs de la Commune : Il joue un rôle d’une Cellule de suivi et d’évaluation des projets réalisés ou en cours ; Il s’est chargé de la recherche du financement des projets et fait la négociation avec les organismes financiers ; Il anime, mobilise et sensibilise la population pour tout apport à la réalisation des projets ; Il assure un appui technique aux bénéficiaires pour une gestion pérenne des actions réalisées

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Les membres du CCD sont désignés par voie d’élection et doivent avoir une certaine représentativité de la population. Néanmoins, des séances de formation sont nécessaires pour renforcer la capacité des membres de ce CCD. 2. Présentation de la Commune rurale d’Ambandrika 2.1- Bref historique 2.1.1. Toponymie La Commune rurale d’Ambandrika a existé depuis l’année 1996 sous la troisième république mais elle était en 1907 un canton, district d’Ambatondrazaka. Le nom du village « Ambandrika » vient du mot « vandrika » qui est une sorte de bois de construction où ceci existait beaucoup planté au sommet de la colline au nord de l’actuel village de Morarano. Ensuite, les habitants ont descendu vers la plaine et qu’ils s’y installèrent à cause de l’éloignement du point d’eau qui s’est situé à Antanandava au nord d’Ambandrika actuel. Mais après une grave inondation qui eût envahi ce village d’Antanandava se forma l’actuelle ville d’Ambandrika. Il est toutefois à remarquer qu’avant son avènement à avoir un statut d’une Commune, le Fokontany d’Ambandrika fait partie de la Commune rurale de Feramanga-nord. Cet avènement fût réalisé grâce à la demande faite auprès des autorités supérieures compétentes en la matière et ce en raison de sa superficie plus ou moins importante (44 Km²) et aussi de la volonté de la population de prendre en main la gestion de leur terroir et enfin à cause de l’augmentation du nombre des habitants. 2.1.2. Origine du peuplement Généralement, la population de cette Commune est composée de plusieurs ethnies qui proviennent d’autres régions de tous les coins de la Grande île dont le Betsimisaraka, le Merina, le Betsileo, l’Antandroy, le Bezanozano… qui y sont venus dans un premier temps pour travailler sous forme de mains d’œuvre agricoles mais qui finissent par s’installer en cherchant des terrains de culture à louer ou à acheter et même à bâtir leur propre maison... A part tout cela, on a remarqué la présence d’un chinois qui s’est marié avec une femme malagasy.

2.1.3. Evénements marquants - Avant 1880, la première église protestante dans cette ville fût instaurée dont elle était dirigée par le Pasteur RALAITSIZA. - 1907 : - Canton d’Ambandrika dirigé par le Gouverneur RABOTORANO - Chef de village : RANDRIATIANA - 1920 : Chef de canton Gouverneur RAJAONINA - 1910 : épidémie de la peste : les malades étaient isolés à Bataria ; - 1927 : passage d’un cyclone très puisant ravageant la ville ; - 1938 : envahissement des essaims du criquet ; - 1959 : inondation inoubliable - 1961 : sécheresse dans la région - 1981 : sécheresse dans la région - 1989 : épidémie de la peste porcine - 1993 : destruction de l’extrémité du pont de Mananamontana, partie nord ; - 1996 : mise en place officielle de la Commune rurale d’Ambandrika ; - 1997 : passage d’un cyclone ayant dévié le lit de la rivière de Mananamontana qui a menacé la ville d’Ambandrika ; - 1998-2000 : sécheresse dans la région - 1999 : passage d’un cyclone ayant détruit le pont du chemin de fer ;

- 2000 : réalisation de travaux de protection de la ville d’Ambandrika, un des projets parmi ceux priorisés par le Comité Régional de Développement de l’Alaotra (CORDAL) dans le cadre du processus AGERAS dont le financement provenait du Fonds Régional d’Appui à la Gestion de l’Environnement (FORAGE) du PE2. 2.2- Valeurs culturelles

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2.2.1. Us et coutumes Comme à l’accoutumée, il est de règle pour les habitants de cesser leur activité habituelle pendant les jours où l’on interdit strictement de travailler ou cultiver la rizière (en riz ou en d’autres cultures maraîchères: ce sont le jeudi et le dimanche. Toutefois, il existe des familles qui croient encore à la puissance des œuvres des guérisseurs.

2.2.2. Monuments Aucun monument historique n’existe dans cette Commune. 2.2.3. Religion Tous types de religion actuels existent dans la Commune dont la catholicisme, le protestantisme, les autres types qualifiés de « sectes »…

Généralement, on compte églises dont elles se répartissent en FJKM, ECAR, Néoapostoliques, Sectes (Jesosy Mamonjy, Rhema, Pentecôtistes…) 2.3- Situation géographique La Commune rurale d’Ambandrika se trouve à 6 km au nord d’Ambatondrazaka sur la RN 44a.

2.3.1. Coordonnées géographiques Latitude : 48°26 Longitude : 17°46 2.3.2. Appartenance à un bassin versant Le seul bassin versant en amont de la Commune Ambandrika se trouve à l’extérieur du Fokontany de Miadampaonina dont il a une superficie plus de 450.ha.

2.4- Caractéristiques physiques 2.4-1. Relief Sur le plan général, cette Commune a une topographie moins accidentée par rapport à d’autres. Elle est délimitée au nord par la rivière de Mananamontana et est caractérisée aussi par l’existence d’une vaste superficie de Baiboho propice pour les cultures maraîchères.

2.4-2. Sols Les sols rencontrés dans cette Commune est de type argilo-limoneux favorable pour la riziculture et le maraîchage. Par contre, certains endroits ont été ensablés suite à l’inondation successive par an. 2.4-3. Climat Apparemment, le climat est tropical et ne présente aucune spécificité. La pluviométrie moyenne de la région est faible par rapport à celle des dix dernières années ; elle est normalement de l’ordre de 1.000 à 1.200mm pour an. 2.4-4. Altitude Cette Commune a presque la même altitude qu’Ambatondrazaka : 780 m. 2.4-5. Couverture végétale Suite à la déforestation effectuée depuis longtemps, cette Commune n’a qu’une couverture végétale moins importante dominée essentiellement par des savanes et de forêt de reboisement plus ou moins exploité irrationnellement. Il paraît normal que le lit de la rivière de Mananamontana est le parcours des sables dus à l’érosion et que le réseau hydroagricole en aval du barrage de dérivation que sont les divers canaux d’irrigation et de drainage est souvent endommagé.

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2.5- Situation administrative 2.5-1. Superficie de la commune La Commune rurale d’Ambandrika a une superficie de 44.km². 2.5-2. Rattachement administratif (sous-préfecture, région GTDR, province) - Sous-préfecture d’Ambatondrazaka - Région du lac Alaotra : N° 5 selon le découpage géographique GTDR - Province de Toamasina 2.5-3. Nombre et dénomination des fokontany composantes : 6 dont Ambandrika (est et ouest), Ambodiatafana, Ambaniala, Ambodifasika, Miadampaonina, Betoloho

2.6. Situation démographique − Nombre total de la population : 11.146 (octobre 2001)

− Densité de la population : 246 habitants par Km² − Taille moyenne ménage : 5 − Pourcentage de la population agricole par rapport à la population totale : 95% − Organisation sociale locale : ♦ Associations paysannes : AUE, GMEC, NAC : ♦ Autorités traditionnelles : le « tangalamena » joue encore son rôle de ray aman-dreny comme étant un leader d’opinion quelquefois. ♦ Migration de la population : cela ne s’aperçoit que durant la campagne rizicole (du mois de décembre au mois de juillet) où diverses ethnies dont antandroy, merina, betsileo et sihanaka d’autres Communes riveraines sont venus pour effectuer des travaux agricoles comme le repiquage, la moisson et le gardiennage des meules de riz. ♦ Chaque association a ses propres dina que chaque membre est tenu de le respecter. 3. Les intervenants ou organismes de développement travaillant dans la Commune Les Organismes de développement, projet, services déconcentrés de l’Etat travaillant ou ayant une intervention dans la Commune sont l’ANAE, l’ONE, la DIRA, la CIREL, la CIRPRH, le Service des Travaux Publics, le Service de Santé, les organismes financiers (BOA, OTIV). 4. Les potentialités et les problèmes majeurs de la Commune 4.1. Potentialités La Commune rurale d’Ambandrika a une superficie totale cultivable de 1.190 Ha (rizières, tanety et baiboho) dont 760 Ha sont cultivées reparties comme suit: - Surface cultivée en riz : 385 Ha - Surface cultivée sur tanety : 70 Ha - Surface cultivée sur baiboho : 305 Ha Si le riz constitue le produit comme étant la première source de revenu des paysans de cette Commune, les cultures maraîchères jouent aussi un rôle important dans le complément des sources de revenus familiaux et ce grâce à la présence des baiboho qui ont une potentialité énorme pour la production des tomates, concombre, aubergine, poivrons, oignons, patates douces, haricot, arachide, tabac, canne à sucre, … C’est l’élevage bovin qui intéresse principalement la population d’Ambandrika. On utilise les bœufs pour le trait des charrettes et l’attelage des charrues. Selon le registre de la Commune, on compte 2.540 têtes de bœufs. La race existante est de type zébu ; donc, une race non performante en production laitière et même pour les différents travaux agricoles, ils n’ont pas une certaine endurance pour travailler plus de 6 heures de travail par jour ; cela pourrait être due au croisement des parents ayant un degré de consanguinité élevé (pas de renouvellement des races).

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L’élevage porcin devient de plus en plus rare (40 têtes seulement à l’heure actuelle) ; ceci est dû à l’épidémie de la peste porcine africaine. L’aviculture traditionnelle est courante et personne ne fait l’élevage des pondeuses. Pourtant, les lapins sont élevés par une cinquantaine de familles avec 600 individus. Quant aux autres types d’élevage, il existe certains individus qui élèvent du mouton dont le nombre actuel atteint 120 têtes. L’apiculture prend part de source de revenus d’une quinzaine de familles ; il en est de même pour la pisciculture qui est pratiquée par 5 paysans ayant au total une superficie de 0,75 Ha. La Commune d’Ambandrika ne dispose plus d’une forêt naturelle mais il existe quelques hectares de reboisement qui est exploité illicitement par des gens. Par ailleurs, certaines zones rizicoles de la Commune d’Ambandrika ont une condition favorable à la mise en place d’une rizipisciculture. Toutefois, peu encore sont les gens qui s’intéressent à ce type d’activité génératrice de revenus, vu la méconnaissance de la technique d’élevage des poissons et aussi la présence quotidienne des poissons du lac sur le marché. Concernant l’artisanat, il y a la présence des endroits favorables à la fabrication des briques nécessaires à la construction des logements familiaux. Certains artisans s’intéressent à la ferronnerie : forgeron, fabricant des charrues, pulvérisateur métallique…tandis que d’autres font de la menuiserie : charrette, meubles, et aussi de la maçonnerie… Généralement, aucun conflit ou litige foncier important n’est constaté à Ambandrika jusqu’à présent car personne n’ose prendre ou utiliser la terre des autres sans consentement du propriétaire. Une source d’eau d’Ambodiriana située à 10Km la ville d’Ambandrika peut être captée pour l’alimentation en eau de la population. Il est évident qu’un traitement de cette eau est nécessaire donnant sa potabilité. A Ambandrika-ville et à Betoloho, il y a une centaine de puits utilisés par plusieurs familles. En ce qui concerne le WC, chaque foyer de ces deux localités également en a sauf chez quelques familles insoucieuses. En outre, chacun aménage souvent des canaux d’évacuation d’eau lors de la saison de pluie et qui évitent en quelque sorte l’inondation ou la présence de façon permanente de l’eau sur la cours et les ruelles. Cette Commune d’Ambandrika n’est pas loin d’Ambatondrazaka et est traversée par la Route Nationale N°44 au PK.6. Elle a donc un accès facile et même difficile en été, il existe des routes qui peuvent relier le chef-lieu de la Commune aux différents FKT. Ce sont les charrettes qui assurent l’acheminement des produits vers la ville où le camion peut les prendre. Chaque FKT a des enfants en âge scolaire plus ou moins élevé d’autant plus que le taux de scolarisation est de l’ordre de 60 %. Les parents d’élèves ont décidé de payer le salaire de quelques enseignants qui enseignent au CEG pour que leurs enfants puissent continuer de faire des études secondaires. Le taux d’alphabétisation des adultes est de l’ordre de 25% dont 15% sont des femmes contre 10% des hommes. Comme d’autres villes, celle d’Ambandrika abrite aussi des chômeurs intellectuels disponibles à travailler si un recrutement des enseignants sera effectué par l’Etat ou si une usine industrielle s’implantera dans la Commune. La Commune d’Ambandrika a son propre centre de santé de base de catégorie 2 (CSB2) qui peut assurer la maternité, le soin d’urgence et des maladies peu graves pour les patients externes des villages environnants. Il y existe une pharmacie communautaire avec des médicaments génériques de première nécessité. Le responsable de chaque FKT prend ses responsabilités dès qu’une infraction ou un acte portant préjudice à l’ordre public est constatée en avisant directement le Maire.

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La distance qui sépare la ville d’Ambandrika à Ambatondrazaka n’est que 6 Km. Cet éloignement ne sera plus un problème si une extension de l’électricité sera faite par la JIRAMA d’Ambatondrazaka. Les habitants sont tous prêts à utiliser de l’électricité si la ligne atteint la ville. La Commune peut participer à la mise en place des poteaux qui acheminent l’électricité vers la ville. Il existe deux institutions financières qui peuvent octroyer des crédits pour les paysans au cas où ces derniers répondent aux critères que celles-ci exigent. Le recouvrement des coûts ne constitue pas un problème pour les paysans. Ces derniers s’efforcent de respecter l’échéance tant qu’ils veulent avoir encore de prêt prochainement. Un local est déjà prêt pour servir de bureau d’agence postale à Ambandrika. Une installation téléphonique pourrait être facile avec la distance pas très loin entre Ambatondrazaka et Ambandrika. Au cas où le téléphone mobile existe à Ambatondrazaka, le problème sera résolu. Des équipes sportives se sont créées dans la Commune et même au niveau de chaque FKT, des associations sportives sont actives. Il existe des endroits qui peuvent être transformés en terrain de football ou en terrain de basket-ball et de volley-ball. Il y a la présence de quelques salles de vidéo. La Commune rurale d’ Ambandrika dispose d’une grande salle de spectacle pouvant recevoir plusieurs centaines de personnes. Comme la production des tomates semble énorme les paysans pensent à leur valorisation industrielle par le biais d’une conserverie en boîte. L’existence d’une grande superficie de baiboho (305 Ha) et de quelques 200 Ha de rizières cultivables en contre saison vérifie ce souhait. 4.2. Problèmes majeurs 4.2.1. Insécurité rurale continue L’insécurité rurale est due principalement au fait que : La mise en application des textes réglementaires en vigueur n’est pas très stricte et même le DINA non respecté Certains responsables n’osent pas appliquer la loi aux personnes délinquants qui ont des liens de parentés, des relations quelconques ou à ceux qui ont fait de la corruption L’éloignement des services d’ordre sur place favorise un peu la recrudescence des vols (surtout vols de produits : sur les champs, bœufs, volailles…) à cause de l’absence des liaisons téléphoniques ne permettant pas d’aviser immédiatement les services d’ordre. 4.2.2. Evacuation difficile des produits Malgré l’énorme potentialité agricole de cette Commune, les paysans rencontrent souvent les problèmes suivants qui ne leur permettent pas d’améliorer leur niveau de vie : Le prix des produits est trop bas et est imposé par les collecteurs ; Les produits phytosanitaires et vétérinaires ont un coût élevé ; La route est coupée souvent en période d’été ; La suspension de la liaison par train Ambatondrazaka – ne fait qu’augmenter le frais de transport des produits L’organisation paysanne existante se limite à la résolution des problèmes en amont de la production et non en aval de celle-ci (commercialisation)

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4.2.3. Difficulté d’accès au crédit Jusqu’à présent, les paysans ont toujours besoin d’un appui financier complémentaire pour réaliser la production car : Ils ont l’habitude de faire du crédit auprès des organismes financiers assurant la finance rurale Aucune épargne n’est effectuée par eux-mêmes pour prévoir un budget permettant de faire une extension de leur production Le taux appliqué par ces organismes est jugé trop élevé et n’est pas négociable jusqu’à maintenant ; Plusieurs conditions de prêt sont imposées par ces organismes… 4.2.4. Perturbation du système de production La diminution de la production agricole est constatée en raison de plusieurs facteurs : l’ensablement dû à l’érosion des tanety et du phénomène de lavakisation la cherté des intrants (engrais, matériels, semences…) et des produits phytosanitaires ne permettant pas aux paysans de respecter les normes techniques (utilisation des fertilisants, des bonnes semences, dosage normal des produits phytosanitaires…) la mauvaise maîtrise d’eau due à la destruction des infrastructures hydroagricoles le prix des produits vendus non incitatif pour les paysans 4.2.5. Production d'élevage non encourageante Les problèmes de l’élevage sont principalement les suivants : Epidémie des maladies épizootiques (fasciolose, charbon symptomatique, PPA, maladie de Teschen, choléra et peste aviaire…) Inexistence de races et souches plus performantes Technique ou mode d’élevage non maîtrisé par les éleveurs Manque de technique de capture des essaims d’abeilles Cherté des coûts de produits vétérinaires Manque d’encadrement technique (pas de vétérinaire résidant) Pour la pisciculture, le grand problème réside sur les points essentiels suivants : Difficulté d’approvisionnement en alevins Mauvaise maîtrise d’eau des rizières (rizipisiculture) : Disponibilité en eau du barrage faible (insuffisance de débit vers les sites rizipiscicoles) Activité non prioritaire pour certains membres de l’AUE Manque de formation pour les pisciculteurs Approvisionnement en alevins non sûr 4.2.6. Menaces de dégradation de l’environnement et de la biodiversité Un constat de la dégradation de l’environnement est la présence des faits ci-après : Envasement des plans d’eau et ensablement des rizières Phénomène de lavakisation dû à l’érosion des bassins versants Tanety dénudé sans couverture végétale Pas de reboisement collectif à grande échelle Pas de centre pépinière de production de jeunes plants arboricoles Déforestation abusive : exploitation illicite (charbon, stère, planches….)

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4.2.7. Artisanat non développé Les principaux problèmes des artisans sont : Indisponibilité des matières premières (ouvrage métallique) sur le marché Marché limité pour la vente des briques surtout durant l’été Pas beaucoup de nouvelles constructions de bâtiment Aucune association n’existe pour bien s’organiser 4.2.8. Terrain presque immatriculé Nombreux encore sont les terrains qui sont classés domaniaux mais ils appartiennent souvent à quelconques présumés propriétaires ayant droit traditionnellement. On dit ainsi que les propriétaires ne sont pas en sécurisation foncière. Selon la population, le métayage constitue aussi un obstacle dans la mesure où le locataire n’assure pas bien la préparation de la terre c’est à dire il ne suffit que d’avoir une production quoique moyennement bonne. C’est une mentalité très arriérée. 4.2.9. Assainissement du village non conforme et potabilité de l’eau aléatoire La Commune n’a pas d’un plan d’aménagement de la ville depuis longtemps. Il l’est difficile de faire respecter les systèmes d’évacuation des eaux sans concevoir un plan d’urbanisme. L’éloignement de la source à Ambodiriana située à 10 Km ne permet pas de mettre à la disposition de la population une adduction d’eau potable pour chaque famille et cela nécessite un grand investissement pour la réaliser. Cette manque d’eau potable se traduit à une prolifération des maladies diarrhéiques pour les enfants. Ceci est aggravé par l’inexistence ou la non utilisation des WC surtout ceux en dehors du chef lieu de la Commune. 4.2.10. Enseignement et éducation non régulier Les principales causes du niveau faible d’instruction de la population sont : Eloignement des écoles pour certains FKT ne motivant pas les parents à continuer leurs études Insuffisance des enseignants se traduisant par un faible taux de réussite des enfants Absence d’un bâtiment pour le CEG ne permettant pas les parents aussi de laisser leurs enfants continuer leurs enseignements Pas de bibliothèque au niveau village et même au niveau de l’école L’état lamentable de quelques salles de classe de l’EPP décourageant les élèves Aucun programme n’est fait pour l’alphabétisation des adultes. 4.2.11. Santé publique incertaine L’accès au service de santé semble être réservé à la population ayant le moyen d’y aller. C’est la raison pour laquelle des familles se contentent d’utiliser des plantes médicinales ou même d’aller consulter les guérisseurs. Le problème de la santé publique à Ambandrika provient de :. • coût élevé des médicaments pour les paysans • insuffisance de matériels dont lits, machine à écrire, citerne d’eau ou château d’eau… • absence d’électricité pour conservation de certains médicaments et vaccins • manque d’hygiène de la population • épidémie du paludisme et des diarrhées des enfants • absence d’eau potable surtout au niveau FKT • taux de mortalité infantile (0 à 5 ans) : 15%

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4.2.12. Energie utilisée non puissante La Commune d’Ambandrika est considérée comme dit le proverbe traduit littéralement : « …..obscure près de la lumière ». A 6 km d’Ambatondrazaka, elle ne peut avoir de l’électricité que si la JIRAMA n’augmente pas la puissance des moteurs du central thermique d’Ampasambazimba d’autant plus qu’ aucune étude n’a été encore faite par cette Société dans ce sens. En outre, le coût d’installation de l’électricité peut être élevé et ne permet pas chaque foyer d’en procurer facilement à moins que la JIRAMA trouve une solution de facilité. 4.2.13. L’échéance de recouvrement des crédits non respectée Il arrive souvent que le développement d’une filière agricole ne correspond pas à l’attente des paysans dont la fluctuation des prix de vente des produits, le cataclysme naturel. Ceci entraîne en effet le non recouvrement des crédits. Selon les paysans, le taux d’intérêt appliqué par les organismes financiers semble élevé et l’échéance de recouvrement paraît trop courte et permet aux paysans de faire toujours du crédit auprès d’eux. Ceux qui n’ont pas de cautions ne bénéficient jamais d’octroi de crédit et ne peuvent en aucun cas sortir de la pauvreté Finalement, la pauvreté qu’on veut écarter ou atténuer persiste et gagne. 4.2.14. Absence d’infrastructures sociales Fatigué par les travaux agricoles, les jeunes sont en quelques sortes privés de divertissement : • Pas d’infrastructure sportive aménagée • Insuffisance d’organisation pour des manifestations socioculturelles régulières • La majorité des films projetés dans la salle de vidéo ne jouant pas le rôle éducatif et constituant par contre un phénomène dangereux pour les jeunes. • Le constat d’un manque de respect envers le Ray aman-dreny chez les jeunes adolescents. 4.2.15. Aucune possibilité de développement industriel Il n’y aura pas d’industrie installée tant que l’électricité n’existe pas dans cette ville. Aucune étude n’a été faite sur la quantité réelle des tomates produites à Ambandrika ; il en est de même pour la variété utilisée conforme ou adaptée à la conserverie. En plus, certains paysans ne respectent guère la norme technique requise. 5. Les objectifs majeurs de la Commune Selon la Commune, l’impact attendu (vision générale) de la réalisation des programmes définis dans ce PCD est « le Développement durable en toute sécurité ». L’objectif global est que « les activités agricoles restent prospères pour la famille paysanne ». 6. Les axes stratégiques de développement et les programmes d’actions Pour y arriver, les axes stratégiques sont : 1. Assurer la diversification des produits sans aucune limitation de production 2. Améliorer la productivité agricole Les programmes d’actions y afférents sont : • Respecter les textes réglementaires ; • Assurer l’évacuation des produits ; • Eclairer les villages par l’électricité et faciliter la communication ; • Mettre à la disposition des paysans les moyens de production ; • Organiser et redynamiser les Associations paysannes ; • Améliorer le niveau d’instruction de la population ;

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• Elargir le champ de divertissements pour les jeunes ; • Rétablir les infrastructures de base pour être fonctionnelles ; • Assurer le service de Santé pour tous ; • Rendre l’Elevage comme source de revenu sûr pour les éleveurs avec un cheptel sain ; 7. Liste des projets envisagés avec localisation

N° Actions jugées prioritaires Localisation

Tsinjoarivo, Maizinandro, 1. Reboiser 120 Ha dans le bassin versant de Tsimpangalava Ampandrahoana, Tsimpangalava, Antoby 2. Stabiliser les 15 lavaka Ampangalambatoratsy 3. Mettre en place d’un poste avancé ZP Ambandrika Réhabiliter les pistes reliant les Fokontany et le chef-lieu de la Commune : 4. 5 FKT 25 Km 5. Construire un terrain de football Betoloho 6. Appliquer les textes législatifs et dina 6 FKT 7. Construire une nouvelle piste de 0,5Km Ambodiatafana à Fiadanana 8. Electrifier la Commune par la source thermique d’Ambatondrazaka Ambandrika 9. Installer le téléphone à partir de la liaison d’Ambatondrazaka Ambandrika Construire de nouveaux bâtiments : Ambaniala -Ambodiatafana 10. - EPP (2) : Ambandrika - CEG (1) Assurer l’adduction d’eau potable pour tous les Fokontany dont la source 11. 6 FKT est située à Ambodiriana à 10 Km au nord est d’Ambandrika Former les paysans en matière d’élevage (volailles, porcins, moutons, 12. 6 FKT apiculture, pisciculture…) Ambodiatafana, 13. Réhabiliter les digues endommagés de 300m Ambodifasika 14. Construire un Barrage Ankotrana

15. Installer un Bassin déssableur Rive Gauche Mananamontana

16. Construire des nouveaux canaux d’irrigation Rive Gauche Mananamontana Tsinjoarivo, Maizinandro, 17. Aménager et valoriser le tanety (courbe de niveau) de 50 Ha Ampandrahoana, Tsimpangalava, Antoby 18. Renforcer la protection de la ville d’Ambandrika (curage,…) Nord Ambandrika 19. Réhabiliter le chemin de fer A/zaka- Am/soratra 20. Réhabiliter les ruelles à l’intérieur du village Ambandrika 21. Bitumer la RN 44 traversant la Commune pour une longueur de 2 km Betoloho -Ambandrika 22. Mettre en place un bureau postal Ambandrika Renforcer, dynamiser les associations paysannes puis les unir dans une 23. 6FKT fédération active 24. Contacter et convaincre les institutions financières Ambandrika 25. Créer une association des paysans faisant des cultures maraîchères 6FKT 26. Réhabiliter les écoles et augmenter le nombre de salles de classes : 4 Ambandrika - Betoloho 27. Mettre en place une bibliothèque Ambandrika

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28. Appuyer l’éducation des adultes 6FKT 29. Renforcer l’éducation civique 6FKT 30. Mettre en place la PHACOM Ambandrika 31. Former le responsable de cette PHACOM Ambandrika 32. Augmenter le personnel sanitaire (sage femme : 1) Ambandrika 33. Doter de matériels le Centre de santé de base : lits, électrification, vitre… Ambandrika 34. Sensibiliser et vulgariser la construction WC 6FKT 35. Construire un terrain de Basket et Volley-Ball Ambandrika 36. Organiser un concours sur le plan culturel 6FKT 37. Restaurer le CPR Betoloho

CONCLUSION La Commune rurale d’Ambandrika dispose d’importantes potentialités agricoles favorables à la diversification des cultures. Toutefois, comme les autres communes, elle subit également les effets néfastes de la dégradation de l’environnement due à l’importance de déboisement des bassins versants tendant ainsi à la diminution des débits d’eau du barrage et suite à l’érosion très intense, l’ensablement des canaux d’irrigation est inévitable sans parler l’interrogation posée de la dualité entre la conservation et la gestion/exploitation des ressources. Malgré la politique de désengagement de l’Etat en matière de production, les paysans veulent toujours du conseil ou de l’assistance permanente des techniciens des services publics et/ou privés pour leur encadrer ou appuyer à la réalisation de leurs activités respectives. Autrement dit, sans la contribution des autres, ceux-ci ne pourront pas faire autant de choses. Cela explique en fait l'inertie des associations paysannes dont AUE, GMEC,…face à la détermination du prix des produits à l’avance effectuée par les collecteurs ou aussi au taux d’intérêt appliqué par les organismes financiers (mutualiste ou banque)… En outre, le mauvais état de la route constitue un obstacle important du développement agricole en limitant même la production maximale soutenue de la zone ou défavorisant l’évacuation des produits. Les paysans désireux d’intensifier et d’étendre leurs activités se trouvent confrontés à un problème financier. L’accès au crédit s’avère souvent difficile vu les différents critères d’octroi imposé par les organismes financiers (mutualiste ou banque). Pour pallier ces difficultés, il est indispensable pour la Commune d’établir ou élaborer un plan de travail de longue durée (sur 5 ans) en sensibilisant les habitants pour être impliqués dans le processus de développement durable et donc participer effectivement à la mise en œuvre de toutes les actions définies dans ce PCD. Certes, il est encore nécessaire l’intervention des organismes d’appui dont notamment les cabinets vétérinaires privés, les ONGs, les services techniques…pour que les paysans eux-mêmes soient conscients de leur responsabilité en matière de développement de la Commune où ils vivent. Si la Commune arrive à faire une mobilisation sociale importante pour réaliser tous les programmes mentionnés dans ce PCD, les résultats obtenus donneront une évolution palpable et la vie des paysans s’améliorera progressivement.

Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 19

Finalement, le PCD n’est autre qu’un outil de développement continu et pérenne mais il reste à concrétiser toutes les actions y inscrites si la Commune veut atteindre la finalité qu’est « un Développement durable en toute sécurité ».

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ANNEXES

Plan Communal de Développement PCD Ambandrika

ANNEXE A : MONOGRAPHIE COMMUNALE

I- IDENTIFICATION

Région AMBATONDRAZAKA !_ !_ ! Province : TOAMASINA !_ !_ !

Ex-Fivondronana : AMBATONDRAZAKA !_ !_ !_ !

Commune de AMBANDRIKA !_ !_ !_ !_ !

Nombre de fokontany dans la commune : !0 !6 !

Noms des fokontany : 1- Ambandrika 2- Miadapaonina 3- Betoloho 4- Ambaniala 5- Ambodiatafana 6- Ambodifasika

Nom et distance du fokontany le plus éloigné de la mairie :AMBODIFASIKA 4 km

Commune urbaine Commune rurale

Communes limitrophes :

Nord : . Sud : FERAMANGA-NORD Est : AMBOHITSILAOZANA Ouest :

Distance au chef-lieu d’Ex-fivondronana1 :.6 .km

Distance à l’axe routier principal (RN)2 :..0.km/ RN44

Superficie : ...... !0!4!4! !km2

Nom des rivières environnantes,: MANANAMONTANA

Calamités naturelles existantes3 : INONDATION

Nombre de mois de calamités dans l’année : !0!5!

1 Si la commune est le chef-lieu de l’ex-fivondronana, notez 0 km. 2 Il s’agit de la distance à laquelle la commune est située de la première route. 3 Il s’agit des cyclones, invasion des criquets, inondations, tourbillons, sécheresse ou autres. Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 57

DONNEES DEMOGRAPHIQUES

2.1 Population (1996)...... !6!3!4!0! (1999) ...... !7!0!2!4! (2000) ...... !1!0!8!3!2! (2001)……………………… !1!1!1!4!6! (octobre 2001) 2.1.1 dont sexe masculin4 :...... ……… !3!0!1!6! dont sexe féminin5 :...... ………… !4!0!0!8!

2.2 Taille moyenne du ménage dans la commune :...... !0!0!5!

2.3 Nombre de ménages dans la commune6 :...... !1!4!0!5!

2.47 Population de 0 à 1 an : !_ !_ !_ !_ !_ ! Population de 0 à 5 ans : !_ !_ !_ !_ !_ ! Population de 6 à 11 ans : !_ !_ !_ !_ !_ ! Population de 12 à 14 ans : !_ !_ !_ !_ !_ ! Population de 15 à 17 ans : !_ !_ !_ !_ !_ ! Population de 18 à 59 ans : !_ !_ !_ !_ !_ ! Population de plus de 60 ans : !_ !_ !_ !_ !_ !

2.5 Nombre de décès déclarés au niveau de la Commune :

Année (1996) : !3!4!

Année (1997) : !3!4!

Année (1998) : !5!2!

Année (1999) : !4!5!

Année (2000) : !5!2!

2.6 Nombre de naissances déclarées au niveau de la Commune :

Année (1996) !1!5!9!

Année (1997) !1!6!1!

Année (1998) !2!2!1!

Année (1999) !1!7!0!

année (2000) !1!6!9!

2.7 Ethnies principales de la commune (par ordre d’importance en nombre de population la constituant) -SIHANAKA -MERINA -ANTANDROY -BETSILEO - BETSIMISARAKA

2.8 Historique de la population -Venant d’Anjozorobe et de Marofotsy

2.9 Mouvements de la population, migrations

4 Il s’agit du nombre d’hommes pour l’année 1999. 5 Il s’agit du nombre de femmes pour l’année 1999. 6 Nombre de ménages= population totale de 1999/ taille moyenne d’une famille. 7 Si vous ne disposez pas des mêmes tranches d’âge, vous pouvez indiquer les vôtres sur le document. Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 58

Motifs :

Ethnies Origine/ Destination Motifs Période

MERINA MANJAKANDRINA Mains d’œuvres agricoles Déc. à Août

BETSILEO AMBOSITRA Mains d’œuvres agricoles Déc. à Août

ANTANDROY ANDROY Mains d’œuvres agricoles Toute l’année

BETSIMISARAKA VATOMANDRY Mains d’œuvres agricoles Toute l’année

2.10 Comportement de la population

Us et coutumes par rapport à l’utilisation des ressources (sol, eau, forêt....) : -Terre : au niveau de la rizière, il est interdit de la travailler le jeudi et le dimanche - Eau : pour l’alimentation, la culture, l’hygiène - Forêt : bois de chauffe, planche, madrier, charbon, matériels, construction, pont…

Type de religion : -FJKM : 1 -Catholique : 1 -Pentecôtiste : 1 -Néoapostolique : 1 -Jesosy Mamonjy : 1

Existence d’endroits sacrés : ......

ACTIVITES ECONOMIQUES

Les activités principales de la commune ( par ordre d’importance)8 1.Agriculture 2.Elevage 3.Commerce 4.Artisanat

Occupation des sols :

Type de sol existant Utilisation Problèmes (1) Aménagement éventuel Mananamontana Sablonneux Culture de patates douces ensablement Tsipangalava Hydromorphe - - -

Ferrugineux Arachide, maïs - -

Argileux Riz, briqueterie Non maîtrise d’eau

Limoneux Maraîchage Manque d’eau

Autres - - -

(1) Exemple : ensablement, formation de lavaka...

Organisation de la population : • Familiale • Lignagère

8 Voici la liste des différentes activités : agriculture ; élevage, commerce ; artisanat ; pêche ; industrie ; mines ; tourisme ; exploitation forestière ; autres. Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 59

• Intra-ethnique • Interethnique • Par groupement

SECTEUR PRIMAIRE

3.1 Agriculture

3.11 Production annuelle

Types Variétés superficie tonnes Types Variétés superficie tonnes Canne à Paddy 385 Ha 770 T 60 Ha 1800T sucre Céréales Maïs 65 Ha 58,8 T Arachide 45 Ha 45 T Cultures Sorgho - Ha - T Ricin - - industrielles Haricot sec 80 Ha 96 T Tabac 1 Ha 0,950 T temporaires Pois de cap Coton - - Légumineu Antaka+ Paka - - ses voanemba Voanjobory 8 Ha 8 T Cultures Café - - Soja industrielles Sisal permanente Pomme de terre 0,50 Ha 10 T Raphia Tuberculeu s ses et Manioc 70 Ha 105 T Bananes 60 Ha 1200 T racines Patates douces 120 Ha 1440 T Mangues 5 Ha 100 T Saonjo Fruits Letchis Brèdes 3 Ha 6 T Avocats 3 Ha 15 T Tomates 180 Ha 360 T Ananas Poivrons-

aubergines Courges, Concombre 25 Ha 200 T Légumes Pastèques Autres9 Carottes 0,25 Ha 2 T Choux- fleurs

Artichauts Salades Poireaux

3.12 Superficie totale cultivée10 : ...... …………………...!7!6!0!Ha

3.12.1 dont superficie cultivée en riz : ...... ……...!0!3!8!5!Ha 3.12.2 dont superficie cultivée sur tanety : ...... !0!7!0!Ha 3.12.3 dont superficie cultivée baiboho : ...... …...!3!0!5!Ha

9 S’il existe des autres productions dans la commune, cette partie leur est réservée. 10 Pour avoir la superficie totale cultivée, il faut faire la somme de toutes les surfaces cultivées contenues dans le tableau et ajouter toutes celles dont les produits ne figurent pas dans le tableau. Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 60

3.13 Nombre de barrage de dérivation : ...... !_ !0 !1 ! dont fonctionnels : ...... !_ !0 !1 !

3.14 Superficie totale irriguée : ...... ………………….!2!0!3!Ha Superficie aménageable11 : ...... ………………...!3!8!5!Ha

3.15 Mode de culture :

Irriguée : X Sèche : X Associée : X Jachère : X Brûlis : -

3.16 Localisation des principales productions12 Riz CR, Angivy CR, Mais CR, Tomate CR, Haricot CR, Aubergine 6 FKT Concombre CR, Patate CR, Canne à Sucre CR, Banane CR

3.17 Principaux parasites - Poux de riz - Mildious (pommes de terre) - Champignons - Maladies bactériennes - Pyriculariose (riz) - Fusariose - Insectes terricoles - Virose - Borer 3.18 Existence de vulgarisations intensives : OUI NON

3.19 Type de matériels agricoles (chiffre) :

180 Charrues, 82 Charrettes, 918 Bœufs, 335 Herses, 45 Sarcleuses, 100 Pulvérisateurs, 45 Sarcleuses, 3 tracteurs, 2 charrues tractées, 2 remorques, 3 Tracteurs, 2 Charrues tractées Principaux problèmes de l’agriculture 11013

- Maîtrise d’eau difficile, - Problèmes phytosanitaires - Ensablement des rizières - Prix des produits très faible par rapport au revient

3.111 Nombre de rizeries : De Pailleur !0!2!

3.112 Nombre de décortiqueries : ...... ……………...... !_ !_ !

3.113 Nombre de greniers communautaires : ...... !_ !_ !

11 Il s’agit de la superficie qu’il est possible de convertir en réseaux d’irrigation 12 A remplir s’il existe des zones de production spécialisées au nord, au sud, à l’est et à l’ouest de la commune. 13 Citer les problèmes majeurs, d’engrais, de matériel, de production.... Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 61

3.2 Elevage 3.21 Effectif du cheptel :

Bovin ...... !2 !5!4 !0 ! têtes Ovin...... !_ !1 !2!0! têtes

Porcin...... !_ !_ !4 !0 ! têtes Volaille...... !8 !7 !6 !0 ! têtes

Autres (à préciser) ..lapin...... !6 !0!0 ! têtes

3.22 Nombre de vaches...... !_ !_ !_ !_ ! têtes Production laitière...... !_ !_ !_ !_ ! litres/an 3.23 Les principales maladies14 Fasciolose/ bilharziose, charbon symptomatique, choléra et peste aviaire, peste porcine africaine, maladie de Teschen, …

3.24 Les principaux problèmes de l’élevage - Vols - Maladies épizootiques - Races ou souches non performantes - Faute d’organisation paysanne… 3.241 dont nombre de vol de bœufs.....……. !_ !_ !1 !0 ! Nombre de bœufs volés...... …... !_ !_ !1 !0 ! Nombre de bœufs retrouvés...... !_ !_ !0 !1 !

3.25 Existence d’un marché de bœufs : hebdomadaire OUI NON Nombre : ...... !_ !_ ! 3.26 Le débouché du marché

3.261 Nombre de bovins amenés : ...... !_ !_ !_ !_ ! Nombre de bovins vendus : ...... !_ !_ !_ !_ !

3.262 Nombre de porcins amenés : ...... !_ !_ !_ !_ ! Nombre de porcins vendus : ...... !_ !_ !_ !_ !

3.263 Nombre de caprins amenés : ...... !_ !_ !_ !_ ! Nombre de caprins vendus : ...... !_ !_ !_ !_ !

3.264 Nombre de volailles amenés :...... … !8 !0 ! par sortie Nombre de volailles vendues : ...... !8 !0 ! par sortie

3.27 Structures d’encadrement et infrastructures d’élevages :

3.271 Existence d’un secteur ou d’une cellule de vulgarisation intensive : OUI NON

3.272 Nombre de postes vétérinaires : public...... !_ !_ !_ ! privé...... !_ !_ !_ ! Effectif du personnel vétérinaire : public...... !_ !_ !_ ! privé...... !_ !_ !_ !

3.273 Existence d’un abattoir : OUI NON ou d’un tuerie : OUI NON 3.28 Autres types d’élevage (effectif) Apiculture : 17familles Elevage de ver à soie : - Elevage de cheval : -

14 Il s’agit par exemple de la fasciolose, du charbon, du teschen..... Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 62

3.3 Pêche

3.31 Effectif total exerçant le métier :...... …………………. !_ !_ !_ !_ ! 3.31.1 Effectif exerçant moins de 6 mois par an…………!_ !_ !_ !_ ! 3.31.2 Effectif exerçant plus de 6 mois par an…………...!_ !_ !_ !_ ! 3.32 Type d’engins de pêche : 3.32.1 Pirogue :……..!_ !_ ! Age :….. !_ !_ ! Essence :…………………... 3.32.2 Filet maillant :….. !_ !_ ! Longueur :…. !_ !_ !_ ! Maille :…….. !_ !_ ! 3.32.3 Filet senne :….. !_ !_ ! Longueur :…. !_ !_ !_ ! Maille :…….. !_ !_ ! 3.32.4 Filet traînant :….. !_ !_ ! Longueur :…. !_ !_ !_ ! Maille :…….. !_ !_ ! 3.32.5 Nasse dormante :….. !_ !_ !_ ! Maille :…….. !_ !_ ! (Vovo) 3.32.5 Nasse traînante :….. !_ !_ !_ ! Maille :…….. !_ !_ ! (Sihitra) 3.32.6 Autres engins à préciser :…………………………... !_ !_ !_ !

3.33 Activités de pêche 3.33.1 Nombre de mois de sorties par an :………….. !_ !_ ! 3.33.2 Nombre de jours de sorties par mois :……….. !_ !_ !

3.34 Productions :...... …………...... !_ !_ !_ !_ !Tonnes/an

3.34.1 dont consommées:.....……. !_ !_ !_ !_ !Tonnes 3.34.2 dont vendues :…………….!_ !_ !_ !_ ! Tonnes

3.35 Type de captures : Tilapia :…….. !_ !_ !% Carpes :…….. !_ !_ !% Cyprins :……. !_ !_ !% Fibata :……… !_ !_ !% Autres :……… !_ !_ !%

3.36 Organisation de pêcheurs :

Nombre de non oui Nombre membres 3.36.1 Existence de coopératives et/ou associations 3.36.2 Existence de collecteurs de produists de pêche 3.36.3 Existence de filière organisée

3.37 Pisciculture:. - Etangs...... !0, !0 !5 !5 ! Ha - Rizières...... !0, !2 !0 !Ha - Plan d’eau : …..!_ !_ !_ !_ ! Ha (en cages ou en enclos) - Nombre de pisciculteurs :…… ...... !0 !3 ! - Nombre de rizipisciculteurs : ...... …..!0 !2 ! - Nombre de producteurs alevins : ...... …!_ !_ !_ !

3.38 Espèces élevées : -Carpes royales -Tilapia

3.39 Les principaux problèmes de la pêche et de l’aquaculture Maîtrise d‘eau Approvisionnement en alevins Pas de centre de production 3.310 Structures d’encadrement en pisciculture : 3.310.1 Existence des techniciens locaux assurant l’appui technique : OUI NON 3.310.2 Existence de centre de production d’alevins : OUI NON 3.310.3 Existence de coopératives et/ou associations : OUI NON Nombre……….. !_ !_ ! 3.4 Exploitation minière

3.41 Les principaux produits miniers : Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 63

...... R.A.S...... …………………………………………………………….

3.42 Localisation des gisements : ...... R.A.S...... …… ...... 3.43 Nombre d’exploitants (formels et informels) :...... !_ !_ !_ !_ !

3.44 Nombre de visas d’exploitation :...... …………...... !_ !_ !_ !_ !

SECTEUR SECONDAIRE

3.5 Production artisanale

3.51 Les principaux produits :

3.51.1 Artisanat d’art15 - Couture : 11 - Vannerie : 25

3.51.2 Artisanat de production16 -Brique 10 -Menuisier 08 -Maçon 05 -Forgeron 6

3.52 Nombre de groupements et/ou d’associations d’artisans :...... !_ !_ !_ ! Nombre de membres :...... !_ !_ !_ !_ !

SECTEUR TERTIAIRE

3.6 Transport terrestre

3.61 Existence d’un réseau de voirie : OUI NON

3.62 Routes praticables toute l’année (dont nationale, RIP, CIP) : ...... !0 !8 ! km

3.621 dont : - Bitumées : ...... !_ !_ !_ !km

3.622 dont - Non-bitumées: ...... !0 !8 ! km

3.63 Routes praticables de façon temporaire (dont RIP, CIP) : ...... !_ !_ ! km

3.64 Pistes rurales accessibles toute l’année (CIP compris) : ...... …… !_ !_ !_ !km

3.65 Pistes rurales accessibles de façon temporaire: ...... ……... !2 !5 ! km

3.66 Nombre de coopératives de transporteurs : ...... ………...… !0 !0 !1 !

3.67 Autres types de transports :

Transport de produit : Charrette

3.7 Marché

15 La liste n’est pas exhaustive, mais on peut y trouver de la vannerie, de la broderie, de la marqueterie, de la ferronnerie, de la maroquinerie, du tissage et du travail de pierre. 16 Il peut y avoir de la menuiserie, de la briqueterie, de la fonderie, maçonnerie..... Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 64

3.71 Marchés : - hebdomadaires OUI NON Nombre :...... !0 !1 !

3.72 Nombre de foires organisées chaque année :...... !0 !1 !

3.8 Commerce

Patentés Informels 3.81 Nombre de commerçants grossistes 3.82 Nombre de commerçants détaillants 13 1

3.83 Nombre de collecteurs :...... ……………….. !_ !_ !_ ! 3.83.1 Collecteurs en riz :……………………………………… !0 !2 ! 3.83.2 Collecteurs en autres produits agricoles :………….… !0 !6 ! 3.83.3 Collecteurs en autres produits non agricoles :……….. !_ !_ !_ !

3.84 Liste des produits collectés : -Riz, Angivy, Patate -Tomate, Aubergine -Concombre, Haricot

3.9 Services financiers

3.91 Existence d’organismes de crédit rural (BOA, OTIV.) : OUI NON

3.92 Nombre d’organismes de crédit rural (BOA, OTIV....) :...... !0 !2 !

3.93 Problèmes relatifs au financement rural : -Conditions d’octroi :- Caution au préalable - taux d’intérêt élevé - échéance de recouvrement trop courte

Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 65

3.10 TOURISME ET ECOTOURISME

3.101 Nombre de sites touristiques :...... !_ !_ !_ !

3.102 Liste des sites touristiques17 ...... RAS...... …………………………......

3.103 Nombre d’opérateurs touristiques dans la commune:...... !_ !_ !

3.104 Nombre de chambres (hôtel) :...... !_ !_ !

3.105 Nombre de touristes /an:...... !_ !_ !_ !_ ! dont étrangers:...... !_ !_ !_ !_ !

3.106 Potentiels écotouristiques

Potentiel Localisation Caractéristiques Accès (*) d’écotourisme

(*) BON (B) Moyen (M) Difficile (D) Très difficile (TD)

SECTEURS SOCIO-EDUCATIFS

4.1 Education

4.11 Population d’âge scolaire (6 à 7 ans) :...... !1 !0 !2 !0 !

4.12 Taux brut de scolarisation18 : 60.%

PRESCOLAIRE PRIMAIRE SECONDAIRE Public Privé Public Privé Public Privé 4.13 Nombre d’établissements 1 1 1 1 - 4.14 Dont fonctionnels 1 1 1 1 - 4.15 Nombre d’élèves filles 380 60 7 - 4.16 Nombre d’élèves garçons 320 40 15 - 4.17 Nombre des enseignants 11 4 3 4.18 Nombre d’enseignants non-fonctionnaires 11 - 3 4.19 Nombre de classes 10 4 1 4.110 Taux de réussite au C.E.P.E 45% - 4.111 Taux de réussite au B.E.P.C - - 4.112 Taux de réussite au B.A.C - - 4.111 Taux d’alphabétisation des adultes 19 :...... !2 !5 !% dont femme...... !1 !5 !% dont homme...... !1 !0 !%

4.112 Autres infrastructures :

4.112.1 Nombre de centres d’accueil :...... !_ !_ !_ ! 4.112.2 Nombre de cantines:...... !_ !_ !_ !

4.113 Nom des fokontany de la commune dépourvus d’EPP :

17 Par sites touristiques, on peut entendre parcs nationaux, réserves, tombeaux, palais, chutes, grottes, sources thermales... 18 C’est l’ensemble de la population scolarisée sur la population en âge d’être scolarisée, par niveau scolaire. 19 Une personne alphabétisée est une personne qui sait lire et écrire. Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 66

-Ambodiatafana : 5 -Ambaniala -Ambodifasika -Miadampaonina

4.2 Santé

District d’appartenance :......

Nombre de Nombre de Nombre Formations Nombre Nombre de paramédicaux personnel consultations d’accouchements/ sanitaires de lits administratif mensuelles mois Nombre Aides Sages- Type Infirmiers sanitaire femmes Nombre de médecins s Centres PUBLICS CSB1 CSB2 1 2 1 7 3 250 23 Centres privés Dispensaires Cliniques AUTRES

4.21 Médecine traditionnelle

4.21 Nombre de guérisseurs...... !0 !3 ! 4.22 Nombre de renin-jaza...... !0 !2 !

4.22 Plantes médicinales

Plantes médicinales Utilisation des plantes Localisation des plantes Satriko aza maratra Mal d’estomac et cicatrisant Talapetraka Mal d’estomac Bemaimbo (fakany) Paludisme et courbature Revaka Courbature Dingadingana Météorisme Radretra Hypertension Vonenina Mal d’estomac 5 FKT Mapaza (raviny) Paludisme Balisama Diarrhée Vahona Mal d’estomac Nonoka (raviny) Mal d’estomac Farangon-jaza Mal d’estomac Voamaintilany Contre toux

4.23 Nombre de dépôts de médicaments :...... !0 !1 !

4.24 Nombre de pharmacies communautaires :...... !_ !_ !

4.25 Maladies les plus courantes

Infantiles :.Paludisme, Diarrhée Autres :...... …………………………………………………………………………………

4.26 Taux de vaccination enfantine20 :...... !6 !0 !%

20 Pour calculer le taux de vaccination enfantine, il faut faire la moyenne du nombre de vaccinés pour les trois vaccins suivants et, ensuite, la rapporter à la population des moins de cinq ans. Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 67

4.261 DTCP :...... … !5 !0 !% 4.262 BCG :...... !6!5 !% 4.263 Rougeole:...... !6 !0 !%

4.27 Taux de mortalité infantile21 :...... !1 !5 !%

4.28 Nombre de médecins libres :...... !0 !0 !

INFRASTRUCTURES SOCIALES ET CULTURELLES

5.1 Sports et loisirs

PUBLIC PRIVE 5.11 Nombre de terrain de sport22 5.12 Nombres de clubs ou d’associations sportives 5 5.13 Nombre de salles de spectacle23 5.14 Nombre de musées 5.15 Nombre de bibliothèques24 5.16 Disciplines pratiquées : Football : 5.2 Adduction d’eau et électrification

5.21 Type d’adduction d’eau

Eaux gravitaires Puits ( Nb/FKT) : 13 Rivières : 02

5.22 Nombre de puits :...... ………..... !1 !3 ! Nombre d’impluviums:...... !0 !2 !

5.23 Nombre de forages:...... …………. !_ !_ !_ ! Nombre de bornes fontaines:...... !_ !_ !_ ! dont fonctionnelles :...... !_ !_ !_ !

5.24 Existence d’un organisme s’occupant de l’adduction d’eau : OUI NON Nom :...... ……………………………

5.25 Nombre de lavoirs publics :...... !_ !_ ! Nombre de W.C publics :...... !_ !_ !

5.26 Pourcentage de ménages dépourvus en eau potable : 100%

5.27 Existence d’un réseau d’assainissement : OUI NON

5.28 Type d’éclairage Electricité Pétrole Autres Nom : Bougie

5.29 Pourcentage de ménages dépourvus d’électricité :.98%

5.210 Pourcentage de ménages ayant accès à l’électricité : 2% (groupe électrogène personnel)

21 C’est le nombre de décès d’enfants âgés de moins d’un an pour 1000 naissances vivantes au cours d’une année. 22 Compter non seulement les terrains de football, mais aussi de basket-ball et de volley-ball.

23 Mettre également les centres culturels ou salles de théâtres privées et même salles de projection de vidéo. 24 Y compris les bibliothèques dans les écoles Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 68

5.211 En projet (année 1999-2000) :…...... !_ !_ !_ !

5.212 Pourcentage de ménages dépourvus d’électricité :…...... %

5.213 Eclairage Public : nombre de poteaux :…...... !_ !_ !_ !_ !

5.3Postes-télécommunications et communications

5.31 Existence d’une agence postale (AP1, AP2) : OUI NON Type :

5.32 Existence d’agences fermées : OUI NON Nombre :

5.33 Nombre de radios privées :…...... !_ !_ !

Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 69

RESSOURCES FORESTIERES ET BIODIVERSITE

6.1 Forêt et biodiversité

INVENTAIRE UTILISATION Dénomination Bois de Charbon Exploitation Médicinal Rituelle Autres chauffage industrielle x x

Classification des forêts ou des zones

Localité Classement25 Faune Flore Type de forêt26

6.11 Superficie forestière totale :...... !4, !5 !0 !Ha

6.111 dont exploitée:...... …….. !2, !5 !0 !Ha

6.12 Nombre de feux de brousse:...... !_ !_ !_ ! surface ravagée :...... !_ !_ !_ !Ha

6.13 Existe-t-il un centre pépinière ? OUI NON Si Oui PUBLIC PRIVE Pépinière Localisation Nombre de Mois de semis Mois de Mois de pieds repiquage reclassement

6.14 Reboisement

Type de Surface à Surface Utilisation du reboiseme Organisme Localité du bois reboiser reboisée bois nt

SECURITE

7.1 Existence de la gendarmerie : OUI NON

7.11 Existence d’une brigade : OUI NON

7.12 Existence d’un poste avancé : OUI NON

25 Réserve Naturelle Intégrale (RNI), Réserve Spéciale (RS), Parc National (PN), Site d’Intérêt Biologique (SIB), Forêt Artificielle (FA) 26 Dense, savane, steppe.... Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 70

7.13 Existence d’un poste mobile : OUI NON

7.2 Existence d’une caserne ou poste militaire : OUI NON

7.3 Existence de quartiers mobiles : OUI NON

7.4 Existence de police communale : OUI NON

7.5 Existence de service de sécurité : OUI NON

7.6 Effectif total des agents de sécurité : …………………….. !_ !_ !_ !_ !

STRUCTURES D’OPERATION OU DE PROMOTION

81 Nombre de structures d’opération ou de promotion :...... !_ !_ !_ !

811 dont groupements d’agriculteurs:...... …… !1 !3 ! Nombre de membres :... !4 !9 !

812 dont groupements d’éleveurs:...... !_ !_ !_ ! Nombre de membres :..... !_ !_ !_ !

813 dont groupements d’artisans:...... !_ !_ !_ ! Nombre de membres:..... !_ !_ !_ !

814 dont groupements des femmes:...... !0 !3 ! Nombre de membres:..... !9 !0 !

815 dont groupements des usagers de l’eau :...... !0 !1 ! Nombre de membres:..... !2 !4 !5 !

816 dont groupements de commerçants:..…… !_ !_ !_ ! Nombre de membres:..... !_ !_ !_ !

817 Autres:...... !_ !_ !_ ! Nombre de membres :..... !_ !_ !_ !

Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 71

82 Liste des ONGs opérant dans la commune

ONGs Secteurs d’intervention :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :...... :......

FINANCES LOCALES ET SUBVENTIONS

9.1Comptes administratifs :

9.11 Recettes :...... !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !

9.111 dont recettes propres :...... !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !

9.112 dont subventions:...... !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !

9.12 Dépenses:...... !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !

9.121 dont fonctionnement :...... !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !

9.122 dont investissement :.. .. !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !

9.2 Programme 30 Millions (FMG)

9.21 Taux de décaissement :...... !_ !_ !_ !%

9.22 Principales utilisations : ...... ………………...... ….……...... …………….

9.3 Bénéficiaire d’une part des « 302 Millions (FMG) »

9.31 Bénéficiaire ? : OUI NON Montant :………… !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !_ !

9.32 Principales utilisations et principes: ...... …………………..……………………………… ……...... ………………….

Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 72

PROJETS DE DEVELOPPEMENT

10.1 Idées de projets (par ordre de priorité) :

10.11 Intercommunaux : ...... :...... ……... - Piste rurale de Miadampaonina - Ambohibao - .Reboisement à Antoby...... :...... ……...... :...... :...... :...... ……...... :...... :...... :...... ……...... :...... :...... :...... ……...... :...... :......

10.12 Communaux : Protection village d’Ambandrika

10.2 Projets en cours ou réalisés depuis début 1997

Intitulé Localisation Montant Date de début Durée Financement Date de (milliers fmg) prévue réalisation Protection de 300 M de Septembre Forage Novembre village Ambandrika Deux mois Fmg 2000 ANAE 2000 d’Ambandrika

Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 73

VISION DE DEVELOPPEMENT

.L’impact attendu (vision générale) de la Commune est « le Développement durable en toute sécurité ».

POTENTIALITES ET PROBLEMES ( par ordre d’importance)

12.1 Atouts27 - Rizières de 375 Ha - .Baiboho de1 305 Ha - .Population jeune - .Taux de scolarisation de 60% - .CSB2 - .CEG en activité malgré l’inexistence bâtiment - ...... :...... ……... - ...... :...... :...... :...... ……... - ...... :...... :...... - ...... :...... ……... - ...... :...... :......

12.2 Problèmes majeurs28 - Insécurité rurale - Mauvaise maîtrise d’eau - Prix faible des produits - Cherté des produits phytosanitaires et vétérinaires, des intrants….. - Eloignement de l’EPP pour les FKT Ambodiatafana, Ambaniala, Ambodifasika - Insuffisance des enseignants - Accès difficile des crédits : Taux élevé, conditions d’octroi trop exigeantes (BOA et OTIV) - Filières des cultures maraîchères et du riz non maîtrisées……

...... :...... :...... :...... ……...... :...... :...... :...... ……...... :...... :...... :...... ……...... :...... :...... :...... ……...... :...... :......

...... :...... ……...... :...... :...... :...... ……...... :...... :......

27 Il faut indiquer tout ce qui est porteur pour la commune, ce qui pourrait inciter les étrangers à investir et s’installer dans la commune, les facteurs de richesse... 28 Il faut citer les problèmes agricoles, économiques, financiers (rentrée des impôts...), sociaux et fonciers (règlement des litiges...) et calamités naturelles. Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 74

RGANIGRAMME DU PERSONNEL DE LA MAIRIE

PRESIDENT DU CONSEIL COMMUNAL :

RAMANOELINA Pierre Nombre de conseillers : 8 (huit)

MAIRE : RAKOTOARIFIDY Jean Baptiste

SECRETAIRE GENERAL :

PREMIER ADJOINT : RADOSON Jean Honoré

DEUXIEME ADJOINT :

TROISIEME ADJOINT :

Nombre de personnel du bureau exécutif :

Commune rurale Service général Scpt (07) Service financier Service technique

DELEGUE ADMINISTRATIF D’ARRONDISSEMENT :

ANNEXE K : Tableau des intervenants et acteurs de développement travaillant dans la Commune d’Ambandrika

Zones Dénomination Activités Observations d’intervention Appui à la conservation des sols Grâce au Fonds FORAGE géré par Alaotra et ANAE et à la mise en place des l’ANAE, le projet de protection de la Mangoro infrastructures sociales… ville d’Ambandrika a été réalisé Appui à la mise en place d’une Le projet mentionné ci-dessus a été structure de concertation et à la parmi les 15 actions priorisées par mobilisation sociale dans le cadre Alaotra et CORDAL en collaboration avec l’ONE ONE d’une élaboration de programme Mangoro qui fait un appui institutionnel en de développement régional… matière de système d’informations régional Assistance des paysans à L’encadrement technique est l’application des techniques de Alaotra et généralement assurée par l’AVB et DIRA production agricole et à Mangoro l’animation des groupements par l’organisation d’autres services de la DIRA Encadrement technique des Faute de moyens, la CIREL n’a pas pu CIREL éleveurs et appui à l’organisation Alaotra effectuer des tournées régulières à paysanne Ambandrika Conseil d’orientation et appui Alaotra et La vulgarisation de la pisciculture est CIRPRH technique des paysans en Mangoro une étape à faire pour que les Plan Communal de Développement PCD Ambandrika 75

matière de production piscicole paysans puissent trouver le meilleur ainsi que l’appui à l’organisation rendement paysanne Soins des malades, donner du L’association des femmes au sein de conseil aux femmes à pratiquer NAC permet d’aider la mère à bien SANTE Alaotra des cultures vivrières avec la nourrir sa famille en cultivant des CIRAGRI dans le cadre de NAC légumes et autres Le taux d’intérêt appliqué semble BOA élevé pour les paysans ; Octroi de crédit pour financer Alaotra L’échéance est trop courte ; l’opération agricole des paysans OTIV Le recouvrement des coûts est moyen

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