MISSION D’ETUDE DE LA FAUNE ET DE LA FLORE DE L’AEROPORT DE -ENTZHEIM

ETUDE PRELIMINAIRE « ZONES HUMIDES »

Mai 2019

Réalisation de l'étude :

Coordination de l'étude & relecture : Claude LAURY

Prospections de terrain : Florian SCHALLER

Rédaction et cartographie : Florian SCHALLER

O.G.E. – Office de Génie Écologique – 10, rue du Rieth F- 67200 STRASBOURG Tél. : 33 3 88 29 22 80 Fax : 33 9 82 63 92 36 Email : [email protected] Web : www.oge.fr SAS au capital de 54 000 € - RCS Créteil B 380 863 860 – Code APE : 7022Z

TABLE DES MATIERES

1. CONTEXTE ET ZONE D’ÉTUDE ...... 4 2. OBJET DE L’ÉTUDE / ASPECT REGLEMENTAIRE ...... 5 3. MÉTHODOLOGIE EMPLOYÉE ...... 6

3.1. RÈGLE GÉNÉRALE ET LIMITES ...... 6 3.2. CAMPAGNE DE TERRAIN ...... 6 4. RÉSULTATS ...... 8 4.1. BIBLIOGRAPHIE ...... 8 4.2. ANALYSE PEDOLOGIQUE ...... 9 5. SYNTHÈSE DES RÉSULTATS ...... 22 6. BIBLIOGRAPHIE ...... 23 6.1. PÉDOLOGIE ...... 23 6.2. LÉGISLATION ...... 23

CARTE 1 : LOCALISATION DE LA ZONE ETUDIEE ...... 4 CARTE 2 : ZONES A DOMINANTE HUMIDE D 'APRES CIGAL BDZDH (2008) ...... 8 CARTE 3 : DELIMITATION DES ZONES HUMIDES ET ANALYSE PEDOLOGIQUE ...... 21

FIGURE 1 : TABLEAU DU GEPPA / SOLS HYDROMORPHES ...... 7

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1. CONTEXTE ET ZONE D ’ÉTUDE

La société Aéroport de Strasbourg-Entzheim (SASE) gère l’aéroport en qualité de concessionnaire pour l’État.

La SASE souhaite connaître les enjeux liés à la biodiversité sur son territoire afin d’intégrer ces aspects et de gérer au mieux les démarches règlementaires nécessaires à la réalisation de futurs projets d’aménagement du site.

La présente étude consiste en une « étude préliminaire zone humide ». Il s’agit d’identifier dans le périmètre concerné par les projets d’aménagement, la ou les zone(s) relevant de la classification « Zone Humide ».

Le périmètre à étudier correspond au projet d’extension du parking BRAVO.

CARTE 1 : LOCALISATION DE LA ZONE ETUDIEE

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2. OBJET DE L’ÉTUDE / ASPECT REGLEMENTAIRE

Cette étude a pour objet d’analyser le caractère hydromorphe des surfaces concernées, conformément à la réglementation.

D’après l’arrêté du 24 juin 2008 modifié le 1 er octobre 2009 , complété par la circulaire du 18 janvier 2010 (articles L. 214-7-1 et R. 211-108 du code de l’environnement), une zone est considérée comme humide si elle présente l’un des critères suivants :

- la végétation, si elle existe, est hygrophile caractérisée à partir, soit directement des espèces végétales, soit des communautés d’espèces végétales (méthode et liste définies dans les annexes 2.1 et 2.2) ;

- les sols correspondent à un ou plusieurs types pédologiques, d’après une liste et une méthode définies dans les annexes 1.1 et 1.2.

Jusqu’alors, ces critères étaient dits alternatifs et interchangeables. Cette analyse a évolué depuis la décision du Conseil d’Etat en date du 22 février 2017 , retranscrite dans la note technique ministérielle du 26 juin 2017 , indiquant que les critères sont désormais cumulatifs lorsqu’une végétation spontanée se développe.

• S’il y a végétation spontanée (végétation non modifiée par l’Homme de façon récente et visible et exprimant les caractéristiques du milieu), il y a zone humide en présence d’une végétation hygrophile et d’un sol hydromorphe.

• Si la végétation n’est pas spontanée, seul le critère pédologique est pris en compte.

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3. MÉTHODOLOGIE EMPLOYÉE

3.1. RÈGLE GÉNÉRALE ET LIMITES

La délimitation des zones humides est effectuée conformément aux préconisations de l’arrêté susnommé et aux évolutions réglementaires (décision du Conseil d’Etat du 22 février 2017 et note technique ministérielle du 26 juin 2017).

3.2. CAMPAGNE DE TERRAIN

Une campagne de terrain a été effectuée le 20 mars 2019.

Au vu des caractéristiques du terrain lors des passages sur le site, l’analyse du caractère humide de la zone s’est faite par :

• la réalisation de sondages pédologiques ;

• l’analyse de la végétation .

L’analyse pédologique vise à vérifier la présence :

- d'horizons histiques (ou tourbeux) débutant à moins de 50 centimètres de la surface du sol et d'une épaisseur d'au moins 50 centimètres ;

- ou de traits réductiques débutant à moins de 50 centimètres de la surface du sol ;

- ou de traits rédoxiques débutant à moins de 25 centimètres de la surface du sol et se prolongeant ou s'intensifiant en profondeur ;

- ou de traits rédoxiques débutant à moins de 50 centimètres de la surface du sol, se prolongeant ou s'intensifiant en profondeur, et de traits réductiques apparaissant entre 80 et 120 centimètres de profondeur.

Pour chaque sondage, les limites des horizons sont indiquées et décrits (couleur de la matrice, tâches, concrétions, structure et texture). L’ensemble de ces informations est consigné sur une fiche de terrain.

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La classification des sols hydromorphes est effectuée au travers du tableau du GEPPA (tableau Groupement d’Etudes des Problèmes de Pédologie Appliquée, 1981) adapté à la réglementation en vigueur.

FIGURE 1 : TABLEAU DU GEPPA / SOLS HYDROMORPHES

Pour l’analyse de la végétation, la première étape vise à déterminer son caractère spontané. Pour les zones présentant une végétation spontanée, le caractère hygrophile de la végétation est apprécié sur la base de relevés conformes à la méthodologie présentée dans l’arrêté du 24 juin 2008. Ainsi, chaque espèce est notée et affectée, d’une part, du pourcentage de son recouvrement et, d’autre part, d’un coefficient d’abondance-dominance.

Notons que la végétation peut être qualifiée d’hygrophile si la moitié au moins des espèces de cette liste figurent dans la liste des espèces indicatrices de zones humides (cf. Annexe 2 table A de l’arrêté).

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4. RÉSULTATS

4.1. BIBLIOGRAPHIE

Comme ceci apparait sur la carte suivante des zones à dominante humide (BdZDH2008-CIGAL 1), la zone d’étude serait intégralement comprise en zone humide mais l’occupation du sol est majoritairement artificialisée. Néanmoins, l’échelle de cette carte (au 1/10 000) ne permet pas d’affirmer que les sols présents sont hydromorphes.

CARTE 2 : ZONES A DOMINANTE HUMIDE D'APRES CIGA L BDZDH (2008)

Ainsi, l’analyse des éléments bibliographiques conclut à la présence dominante de sols hydromorphes au droit du projet. Néanmoins, l’échelle de cette étude ne permet pas d’affiner l’analyse.

1 BdZDH2008-CIGAL : La Base de données des Zones à dominante humide. La Région , dans le cadre du partenariat public de Coopération pour l’Information Géographique en Alsace (CIGAL), a élaboré une Base de Données des Zones à Dominante Humide exploitable à l’échelle du 1/10 000e sur les territoires de la Région Alsace et des Parcs Naturels Régionaux des Ballons des Vosges et des Vosges du Nord. Elle est appelée BdZDH2008- CIGAL. Elle est réalisée par l’interprétation d’images satellitaires SPOT5 en date de fin 2007 et début 2008 et de photographies aériennes de l’IGN de 2007. Des données exogènes d’inventaires de terrain réalisés par différentes partenaires ont également été mobilisées pour aider la photo-interprétation (y compris les zones potentiellement humides ). La BdZDH2008-CIGAL a pour objectif de réaliser un relevé le plus exhaustif possible des zones à dominante humide, mais ne constitue en aucun cas ni un inventaire exhaustif des zones humides, ni une donnée réglementaire. Des investigations complémentaires et précises seront nécessaires à l’identification des zones humides.

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4.2. ANALYSE PEDOLOGIQUE

En tout, 11 sondages pédologiques à la tarière ont été répartis sur la zone d’étude. Peu de sondages atteignent la profondeur maximum de 120 cm, nombreux sont ceux impénétrables à faible profondeur du fait de la proportion importante de graviers.

La zone d’étude est en grande partie artificialisée. On y distingue différents types de sol en fonction de l’emplacement (par exemple distance au cours d’eau, le Bras d’) ou de l’historique anthropique (remblai).

• Au niveau de l’aéroport, les surfaces concernées sont occupées par de la pelouse rase, une partie ayant été remblayée. On y distingue deux types de sol :

- des sols limono-sablo-argileux (sondages 1, 2, 6) s’enrichissant en argile en profondeur, sols généralement profonds (plus de 120 cm). On observe des traces d’oxydo-réduction qui apparaissent entre 30 et 70 cm, en s’intensifiant. Sols de type IIIb ou IVc d’après GEPPA (1981), il ne s’agit pas de sols hydromorphes d’après l’arrêté ;

- des sols argilo-sableux drainants, avec un pourcentage de gravier important (>25%), impénétrables à faible profondeur, autour de 40 cm. Il ne s’agit pas de sols hydromorphes d’après l’arrêté.

• En dehors, les surfaces artificielles sont non hydromorphes également.

• Les zones à proximité du Bras d’Altorf sont différentes. On y observe un sol brun alluvial peu profond, impénétrable vers 40 à 50 cm, l’horizon étant sablo-caillouteux, avec un taux d’argile variable. Les traces rouille d’oxydo-réduction (pseudogley) apparaissent dès la surface, en étant très marquées. Il s’agit de sols hydromorphes d’après l’arrêté (Va GEPPA).

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SONDAGE 1

 Au nord, sur les pelouses rases au sein de l’emprise aéroportuaire.

Analyse pédologique : • 0 à 30 cm, limon sablo-argileux humifère brun, avec un taux de gravier important (> à 20%) ;

• 30 à 120 cm, couleur idem homogène, s’enrichit en argile en profondeur, texture limono- argileuse à 80 cm.

SONDAGE 1

On observe des traces d’oxydo-réduction peu marquées (g) à partir de 70 cm, avec un taux de gravier toujours important, il en résulte un sol relativement drainant. Il ne s’agit pas d’un sol hydromorphe d’après l’arrêté.

Analyse de la végétation : La végétation est à tendance thermophile et rudérale. On y observe un cortège regroupant des espèces prairiales mésophiles comme la Sauge des prés Salvia pratensis , la Centaurée jacée Centaurea jacea subsp. Jacea, la Marguerite Leucanthemum ircutianum , et des espèces rudérales comme le Cirse vulgaire Cirsium vulgare ou la Tanaisie Tanacetum vulgare.

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SONDAGE 2

 Au nord, sur les pelouses rases au sein de l’emprise aéroportuaire.

Analyse pédologique :

• 0 à 30 cm, limon argileux brun humifère ;

• 30 à 70 cm, limon argileux brun gris bariolé rouille ; • 70 à 120 cm, argile limoneuse brun rouille bariolée gris avec noir.

SONDAGE 2

On observe des traces d’oxydo-réduction peu marquées (g) à 25 cm puis marquée à 30 cm, s’intensifiant fortement en profondeur. Présence également de concrétions ferro-manganiques à 80 cm. Il ne s’agit pas d’un sol hydromorphe d’après l’arrêté.

Analyse de la végétation : Végétation de pelouse à Luzula campestris, Rumex acetosa => non hygrophile. Passage de canalisation à proximité (regard) drainant probablement les surfaces à proximité.

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SONDAGE 3

 Au nord, sur les pelouses rases au sein de l’emprise aéroportuaire (plus haut que sondage précédent).

Analyse pédologique : • Impénétrable à 45 cm, trop de graviers (>30%) ;

• Limon argilo-sableux brun humifère sur 20 cm. Aucune trace d’oxydo-réduction observée. SONDAGE 3

Il ne s’agit pas d’un sol hydromorphe d’après l’arrêté. La surface concernée est remblayée intégralement.

Analyse de la végétation : Végétation nettement thermophile : des plages à végétation éparse de Thymus pulegioides, Potentilla verna, Poterium sanguisorba, Salvia pratensis...

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SONDAGE 4

 Au nord, sur les pelouses rases au sein de l’emprise aéroportuaire.

Analyse pédologique : Idem sondage 3, trop de gravier, impénétrable à 40 cm.

SONDAGE 4

Il ne s’agit pas d’un sol hydromorphe d’après l’arrêté.

Analyse de la végétation : Végétation différente, plus grasse avec beaucoup de Houlque laineuse Holcus lanatus . A priori, correspond à zone surélevée, remblai année 2000 en refaisant 1 piste (comm. pers. O. Fanton).

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SONDAGE 5

 Au nord, sur les pelouses rases au sein de l’emprise aéroportuaire.

Analyse pédologique : Idem sondage 3

Il ne s’agit pas d’un sol hydromorphe d’après l’Arrêté.

Analyse de la végétation : SONDAGE 5 Idem sondage 3

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SONDAGE 6

 Au nord, sur les pelouses rases au sein de l’emprise aéroportuaire. Proche du sondage 2 (zone de réseau enterré et ancien drain).

Analyse pédologique : • 0 à 30 cm, limon sablo-argileux brun humifère ; • 30 à 80 cm, limon argileux brun gris rouille ;

• 80 à 120 cm, limon argileux rouille, g très marqué. Idem sondage 2 mais g marqué à 50 cm SONDAGE 6 seulement. Il ne s’agit pas d’un sol hydromorphe d’après l’Arrêté.

Analyse de la végétation : Végétation non hygrophile.

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SONDAGE 7

 Dans les prairies le long du Bras d’Altorf.

Analyse pédologique : Sol brun alluvial peu profond, sablo- caillouteux assez argileux, impénétrable à 40 cm. Les traces d’oxydo-réduction rouille (pseudogley) apparaissent dès 10 cm, en étant très marquées. SONDAGE 7

Il s’agit d’un sol hydromorphe (GEPPA Va) d’après l’arrêté.

Analyse de la végétation : La végétation n’est pas qualifiable d’hygrophile, habitat humide pro parte (H pp) d’après l’arrêté. La prairie semble être une prairie mésohygrophile dominée par la Houlque laineuse Holcus lanatus .

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SONDAGE 8

 Dans les prairies le long du Bras d’Altorf, légèrement plus haut que le sondage 7.

Analyse pédologique : Idem sondage 7 mais plus argileux.

Il s’agit d’un sol hydromorphe (GEPPA Va) d’après l’arrêté.

SONDAGE 8 Analyse de la végétation : Idem sondage 7.

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SONDAGE 9

 Dans la ripisylve le long du Bras d’Altorf, sur des terrasses inférieures inondables.

Analyse pédologique : • Sablo-graveleux brun roux humifère sur 20 cm ;

• Traces d’oxydo-réduction g dès la surface, moins visibles dans sable ;

• Eau présente à 50 cm. SONDAGE 9

Il s’agit d’un sol hydromorphe (GEPPA Va) d’après l’arrêté.

Analyse de la végétation : Saulaie blanche à Salix alba , Alnus glutinosa et Fraxinus excelsior , Alliance du Salicion albae , habitat hygrophile d’après l’arrêté.

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SONDAGE 10

 Dans les prairies le long du Bras d’Altorf, au sud du sondage 7.

Analyse pédologique : Idem sondage 7. Il s’agit d’un sol hydromorphe (GEPPA Va) d’après l’arrêté.

Analyse de la végétation : SONDAGE 10 Idem sondage 7.

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SONDAGE 11

 Boisement rudéral sur remblai.

Analyse pédologique : Pas besoin de sondages puisque grosse butte de remblai ! Il ne s’agit pas d’un sol hydromorphe d’après l’arrêté.

Analyse de la végétation : Boisement anthropique à Robinier, végétation non hygrophile.

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CARTE 3 : DELIMITATION DES ZONE S HUMIDES ET ANALYS E PEDOLOGIQUE

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5. SYNTHESE DES RESULTATS

L’analyse pédologique souligne que les sols hydromorphes se concentrent en bordure du Bras d’Altorf. Cette analyse est confirmée par l’analyse de la végétation, avec des prairies mésohygrophiles et une ripisylve à Salix alba , cette végétation étant classée H (hygrophile) ou p (Hygrophile pro parte) d’après l’arrêté.

Les sols au sein de la ZSAR sont des sols drainants non hydromorphes avec une végétation plutôt thermophile.

Le tableau suivant présente les résultats de manière synthétique.

PEDOLOGIE – SOL ANALYSE VEGETATION SYNTHESE ZONE SONDAGES HYDROMORPHE Spontanée Hygrophile HUMIDE

1 NON NON NON NON

2 NON NON NON NON

3 NON NON NON NON

4 NON NON NON NON

5 NON NON NON NON

6 NON NON NON NON

7 OUI OUI (OUI) p OUI

8 OUI OUI (OUI) p OUI

9 OUI OUI OUI OUI

10 OUI OUI (OUI) p OUI

11 NON NON NON NON

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6. BIBLIOGRAPHIE

6.1. PÉDOLOGIE

AFES, 2009. Référentiel pédologique 2008. Editions Quae, Versailles. 405 p.

BAIZE D., 2000. Guide des analyses en pédologie. 2ème édition revue et augmentée. Edition de l’INRA, Paris. 257 p.

RIVIERE J.M., DUPONT C., TICO S. – 1992. Méthode tarière Massif armoricain, Editions INRA.

Berthier L., Bardy M., Chenu J.P., Guzmova L., Laroche B., Lehmann S., Lemercier B., Martin M., Mérot P., Squividant H., Thiry E., Walter C.,2014. Enveloppes des milieux potentiellement humides de la métropolitaine. Notice d’accompagnement. Programme de modélisation des milieux potentiellement humides de France, Ministère d’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie. 50 pages.

6.2. LÉGISLATION

Arrêté du 24 juin 2008 précisant les critères de définition et de délimitation des zones humides en application des articles L. 214-7-1 et R. 211-108 du code de l’environnement. 61 p.

Arrêté du 1er octobre 2009 modifiant l’arrêté du 24 juin 2008 précisant les critères de définition et de délimitation des zones humides en application des articles L. 214-7-1 et R. 211-108 du code de l’environnement. 5 p.

Circulaire relative à la délimitation des zones humides en application des articles L. 214-7-1 et R. 211- 108 du code de l’environnement. 13 p.

Décision n° 386325 du Conseil d’Etat en date du 22 février 2017

Note technique ministérielle (NOR : TREL1711655N) du 26 juin 2017 relative à la caractérisation des zones humides.

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