Patrick Wechsler La Faculté De Medecine De La „Reichsuniversität

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Patrick Wechsler La Faculté De Medecine De La „Reichsuniversität Patrick Wechsler La Faculté de Medecine de la „Reichsuniversität Straßburg“ (1941-1945) a l'heure nationale-socialiste Freiburg i.Br. 2005 Université Louis Pasteur Faculté de Medecine de Strasbourg 1991 Strasbourg, Univ., Diss., 1991 INTRODUCTIONINTRODUCTION - 1 - Force est de constater qu'après un demi-siècle de temps, aucun ouvrage scientifique ne s'est penché de près ou de loin sur l'historique de la Faculté de Médecine de la "Reichsuniversität Strassburg" du III° Reich. Il nous a donc paru opportun, en accord avec Monsieur le Professeur Schaff notre Président de Thèse, de combler cette lacune afin de satisfaire un besoin élémentaire, à savoir l'étude historique, et par là-même l'analyse politique et morale d'une époque noire. Ce ne sont pas les "bons mots" actuels tels que "Durafour crématoire", la construction d'un super- marché sur le site d'un des camps de concentration les plus macabres à savoir Ravensbrück, la tentative de récupération du Carmel d'Auschwitz, ou la négation tout court des chambres à gaz qui vont nous donner tort dans notre démarche. La tentative de falsification relative aux crimes perpétrés par l'Allemagne nazie se fait de plus en plus forte, et il faut savoir montrer que ces crimes ont malheureusement eu lieu, et que les assassins avaient tous les visages, même ceux de professeurs de médecine. Ce travail, abordé par aucun auteur, est donc le résultat de documents de première main. Nous avons eu accès aux archives suivantes: Bundesarchiv Koblenz, Zentralle Stelle der Landesjustizverwaltung Ludwigsburg, Universitätsarchiv Tübingen, Universitätsarchiv Freiburg, Archives Départementales du Bas-Rhin, Archives Municipales de Strasbourg, Bibliothèque Nationale Universitaire de Strasbourg Section Alsatique. Nous avons même réussi, après plusieurs mois de démarches particulièrement difficiles, à pénétrer dans les locaux du Berlin Document Center (contenant les archives du NSDAP), et du Zentrales Staatsarchiv Potsdam (archives nationales de l'ex- RDA). Nous remercions très chaleureusement les nombreuses personnes qui nous ont laissé accès à ces documents. Nous nous sommes basés également sur des témoignages des acteurs de l'époque. Nous avons réussi à retrouver et à contacter quatre professeurs de la Faculté de Médecine qui étaient encore en vie au moment de l'élaboration de ce travail, Prof.Dr.Fleischmann, Prof.Dr.Jacobi, Prof.Dr.Hofmeier, et Prof.Dr.Kaiserling. Les familles des deux derniers (qui s'avéraient être très malades) nous ont demandé de ne plus entrer en contact avec ces professeurs, ce que nous avons bien sûr respecté. Prof.Dr.Jacobi nous a répondu personnellement qu'il ne désirait plus remuer le passé. Seul Prof.Dr.Fleischmann nous a reçu dans son appartement. Cette rencontre fut particulièrement fructueuse, car il était prêt à ordonner sa mémoire et à nous relater les faits marquants de la Faculté de Médecine. Nous lui en sommes tout particulièrement reconnaissant, car il a su nous rendre vivant le matériel d'archive, à l'aide de photos et de documents personnels. Notre gratitude va aussi à l'encontre des autres témoins du temps que nous avons pu interroger de vive voix: Dr.Bernard ancien médecin alsacien du service de neuro-psychiatrie du Professeur Bostroem, Dr.Burgun ancien médecin alsacien du service de dermatologie du Professeur Leipold, Dr.Marlène Link ancien médecin alsacien du service de pédiatrie du Professeur Hofmeier, Dr.Paul Link ancien médecin alsacien du service de neuro-psychiatrie du Professeur Bostroem, Prof.Dr.Carl Friedrich von Weizäcker Professeur de physique théorique de la Faculté des Sciences de la "Reichsuniversität Strassburg", Dr.Klinge fils du Professeur Klinge, Mme Zukschwerdt veuve du Professeur Zukschwerdt, et Mme Brigitte Haagen veuve du Professeur Haagen. Ils ont tous été été une aide importante à la compréhension de ce thème si complexe. Après plusieurs mois de recherches, nous avons réussi à contacter un grand nombre d'autres familles de ces professeurs, éparpillées de par toute l'Allemagne, qui ont accepté, d'une manière épistolaire, de bien vouloir nous renseigner et de nous faire parvenir des documents personnels. Nous remercions infiniment Dr.Bernard Bostroem et Dr.Irmgard Fünfgeld enfants de Professeur Bostroem, Dr.Dieker fils de Professeur Dieker, Mme Dohna-Schlodien fille de Professeur Busse, Mme Käthe Hangarter veuve de Professeur Hangarter, Mme Edith Hofmeier veuve de Professeur Hofmeier, Prof.Dr.E.Kaiserling fils de Professeur H.Kaiserling, Mme Rike Nottmeyer fille du Doyen Stein, Mme Anni Nühsmann veuve de Professeur Nühsmann, Dr.Jutta Poensgen fille de Professeur von - 2 - Danckelman, Mme Luitgard Schulz fille de Professeur Kohlrausch, et Mme Ingrid Voigtländer fille de Professeur von Reckow. Après deux années de recherches, nous avons réussi à constituer une collection quasi complète de photos des professeurs de la Faculté de Médecine (27 photos sur 28 professeurs étudiés). Nous remercions très chaleureusement les archives du Berlin Document Center, les archives des différentes universités où les professeurs ont enseigné avant de venir à Strasbourg, ainsi que les familles qui nous ont aidé à constituer cette collection. Nous avions également à notre disposition pour réaliser ce travail quelques excellents ouvrages d'ordre général, à savoir entre autre des études de U.D.Adam sur les universités allemandes pendant le national-socialisme, de L.Kettenacker sur la politique nazie en Alsace, de M.H.Kater sur "l'Ahnenerbe", de E.Klee sur l'euthanasie, de A.Mitscherlich sur le procès des médecins nazis, de J.C.Pressac et S.Klarsfeld sur le camp du Struthof, et de J.Ziegler sur ce même camp. Un atlas sur le troisième Reich de C.Zentner et F.Bedürftig nous a particulièrement aidé à nous orienter dans le dédale des administrations et des organisations nazies. Ainsi, muni de ces documents de première et de seconde main et à l'aide de nombreux témoignages, il nous fallait tenter d'une part de retracer les évènements qui ont amené à l'établissement de la "Reichsuniversität Strassburg", d'autre part de décrire minutieusement l'élaboration de la Faculté de Médecine, ses professeurs, ses intérêts, et ses faits et gestes. - 3 - AVANT-PROPOSAVANT-PROPOS - 4 - A. HISTORIQUE DE LA FACULTE DE MEDECINE DE STRASBOURG A.1. JUSQU'EN 1538: LES FERMENTS DE LA FUTURE UNIVERSITE L'Université future est l'aboutissement logique du mouvement humaniste en Alsace: - c'est tout d'abord une région qui se profile en raison de sa situation géographique; elle se présente comme un couloir par lequel circulent gens et idées - elle est par ailleurs réputée au début du XVIe siècle pour son esprit d'ouverture et son libéralisme; les gens y affluent en conséquence. 1529 y amène une nouvelle religion officielle: la Réforme. Comme l'adage en vigueur voulait que "cujus regio, ejus religio" (de tel pays, de telle religion), Strasbourg accueille les Protestants, plus mobiles, d'esprit commerçant, qui ont déjà explosé hors de leur carcan médieval, - l'imprimerie (redécouverte par Gutenberg vers 1440 à Strasbourg) sera le nouveau véhicule à propager le savoir médical, et y trouvera un de ses tout premiers berceaux. Parmi les nombreux ouvrages imprimés à l'époque, on trouve une planche d'anatomie montrant la première autopsie officiellement pratiquée dans la ville en 1517. C'est donc dans le cadre d'une région riche et pleine d'avenir que nous assistons à l'éclosion d'un mouvement nouveau et d'idées nouvelles; et pourtant le temple du brassage intellectuel, l'Université, manque à l'intérieur même des remparts de Strasbourg; c'est un handicap évident face aux villes voisines telles que Fribourg, Heidelberg, Tübingen et Bâle. Le premier enseignement médical sera donné à titre privé en 1530 par Otto Brunsfeld qui est un Chartreux. Il part pour Bern trois ans plus tard. Aucun local ne lui aura été réservé; toute structure lui aura fait défaut. Jacques Sturm Städtmeister, magistrat de la ville, possède la confiance de Charles Quint; or Strasbourg est une ville "immédiate", (petite république), qui relève de l'autorité directe de l'Empereur à Vienne. Avec l'aide de ce dernier, il fait venir Jean Sturm à Strasbourg pour diriger l'école qu'il fonde. Lorsqu'il y arrive en 1537, il a 30 ans. Il a fait de solides études à Liège, puis à Louvain, où il a comme maître Johann Winter von Andernach, qui deviendra en 1555 un des plus illustres professeurs de médecine de la ville. En septembre 1538, Jean Sturm prend la direction de la "Schule" qui deviendra le "Gymnase" protestant dont il sera le recteur. Il s'inspire de l'institution créée à Paris par le Roi François Ier et qui devient le Collège de France. A.2. 1538-1794: LA CREATION DE L'UNIVERSITE En 1538 le Gymnase possède 6, puis 10 classes. Les deux dernières années dispensent un enseignement supérieur. On y enseigne les quatre sciences fondamentales: Théologie, Philosophie (lettres et sciences), Droit, et Médecine. Ce schema perdurera pendant des siècles. - 5 - 1540 voit la nomination du tout premier professeur de médecine, Sebald Hawenreuter (1508- 1589). Son auditoire est d'abord restreint: certaines années deux, trois élèves seulement s'inscrivent en médecine. L'enseignement fera même une pause de 1548 à 1555 faute d'élève... Strasbourg attire également de grands médecins tels que Paracelse (1493-1541) et Michel Servet (1511-1553). Le 30 mai 1566, par décret de l'Empereur Maximillien II, le Gymnase Protestant est élevé au rang d' "Académie". On y délivre alors certains grades que les étudiants n'obtenaient qu'au prix de l'expatriation: le titre de "Bachelier" et de "Maître es Art". En 1621, l'Académie reçoit par l'Empereur Ferdinand II le statut d' "Université"; on y devient "Docteur". Elle comporte quatre facultés qui reprennent les quatre sciences fondamentales: Faculté de Théologie, Faculté de Philosophie, Faculté de Droit, et Faculté de Médecine; chacune est dirigée par un doyen.
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