Enbelgique, Enfrance Et Enespagne
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Sociologie politique comparée de l’ouverture du MARIAGE CIVIL AUX COUPLES DE MÊME SEXE enBelgique, enFrance et enEspagne : des spécifi cités nationales aux convergences transnationales Université libre de Bruxelles Faculté des Sciences sociales, politiques et économiques Département de Science politique Année académique 2008-2009 Dissertation présentée en vue d’obtenir le titre de Docteur en science politique par David PATERNOTTE sous la direction de la Professeure Bérengère MARQUES-PEREIRA Sociologie politique comparée de l’ouverture du MARIAGE CIVIL AUX COUPLES DE MÊME SEXE enBelgique, enFrance et enEspagne : des spécifi cités nationales aux convergences transnationales Université libre de Bruxelles Faculté des Sciences sociales, politiques et économiques Département de Science politique Année académique 2008-2009 Dissertation présentée en vue d’obtenir le titre de Docteur en science politique par David PATERNOTTE sous la direction de la Professeure Bérengère MARQUES-PEREIRA 13. Réduction de la journée de travail afin de pouvoir «dédier le temps libre à sa propre formation culturelle et humaine et permettre une vie sexuelle satisfaisante » «Plataforma del F.A.G.C. », in Front d’Alliberament Gai de Catalunya, Manifest, [Barcelone]: Front d’Alliberament Gai de Catalunya,» 1977, p. 40. Remerciements remerciements On dit souvent qu’écrire une thèse est un exercice solitaire. Il serait pourtant faux de croire qu’il est possible de mener un tel exercice à son terme sans de nombreux réseaux de soutien, d’amitié, d’échange et de complicité, un ensemble de personnes qu’il est important de remercier. Cette dissertation doit avant tout beaucoup à ma directrice, Bérengère Marques-Pereira qui, dès mon mémoire de fin de licence, m’a fait confiance et m’a poussé à aller le plus loin possible, soutenant mes démar- ches chaque fois que c’était possible et m’ouvrant les portes de ses réseaux. Au fil des années, nous avons construit une relation de complicité tant intellectuelle que personnelle au cours de laquelle sa générosité n’a jamais fait défaut, y compris quand elle traversait des moments difficiles. Marc, son époux, doit également être remercié pour sa présence discrète mais affectueuse et ses nombreuses prouesses gastronomiques. Je tiens aussi à remercier les membres de mon jury. Jane Jenson a été une « marraine » extraordinaire Outre-Atlantique, m’accueillant au sein de la Chaire de recherche du Canada en citoyenneté et gouvernance au cours de l’année académique 2006 – 2007 et m’invitant à participer à différents projets dans lesquels elle était impliquée. Ses remarques, parfois rudes mais toujours pertinentes, ainsi que la confrontation à une tradition de recherche distincte, ont profondément influencé mon travail. Son soutien a été constant, malgré un agenda chargé et le nombre important d’étudiants dont elle suit le cheminement. Présente dès mon jury de mémoire, Nathalie Zaccaï-Reyners a accompagné mes travaux depuis plusieurs années. Présidente de mon comité d’accompagnement, elle m’a offert de nombreuses possibilités de dialogue et une capacité d’écoute exceptionnelle. Je la remercie donc, outre sa rigueur et son exigence in- tellectuelles, pour ses qualités humaines. Éric Remacle a été le premier professeur de l’ULB avec lequel j’ai eu un contact dépassant l’anonymat des grands auditoires, à la fois en séminaire d’histoire politique contemporaine et au cours des activités conjointes du Pôle Bernheim et du Cercle Oxfam. Alors que ma thèse est a priori éloignée de ses objets de recherche, il n’a cessé d’être attentif et sincèrement curieux à l’égard de mon travail, convaincu que de tels sujets méritent une place en science politique. Ses encouragements, nombreux au cours des derniers mois, ont été bienvenus. Andrea Rea est le dernier à être entré dans l’aventure. Voisin du 14ème étage du bâtiment S, il n’a ja- mais tari de bons mots. Sa jovialité et sa bonne humeur ont souvent détendu l’atmosphère. Ensuite, sans toutes les personnes qui ont accepté de me rencontrer, de me revoir, d’ouvrir les portes de leur mémoire et celles de leurs archives, cette dissertation n’aurait pas pu exister. Même si je ne partage pas toujours leurs positions, j’éprouve du respect et de l’admiration pour leur investissement dans des causes que ces acteurs croyaient justes. Je remercie tout particulièrement Yves Aerts, Gilles Bon-Maury, Paul Borghs, remerciements Daniel Borrillo, Jean-Paul Bouchoms, Emmanuelle Cosse, Chille Deman, Sabrina Garnier, Françoise Gaspard, Zoé Genot, Luc Legrand, Nicolas Marandon, Yann Pedler, Paloma Saavedra et Kees Waaldijk. J’éprouve également une grande reconnaissance à l’égard de Jesús Generelo, Michel Pasteel et Jordi Petit. Mes collègues, à Bruxelles et ailleurs, ont constitué des appuis précieux. Ils ont accompagné ces années en les rendant plus agréables et ont enrichi ma réflexion. Je remercie avant tout mes collègues de l’ancien Centre de sociologie politique : Sophie Stoffel, qui s’est occupée de moi comme une grande soeur, Claudie Baudino, Florence Delmotte, Agnès Hubert, Muriel Dekeyser, Claude Léonis et Marie-Aimée Urbain, ainsi que tous les « habitants » du 14ème étage, tout particulièrement mes amies Séverine Janssen, Muriel Sacco et Laurie Hanquinet. Mon travail doit également beaucoup aux activités de l’Atelier Genre(s) et Sexualité(s) de l’Institut de Sociologie et aux discussions avec mes « camarades organisateurs » : David Berliner, Annalisa Casini, Cathy Herbrand et, depuis peu, Marta Roca i Escoda. J’ai énormément appris au cours de ces échanges intellectuels et à travers ces relations d’estime et d’amitié. Je suis encore plus reconnaissant à Cathy Herbrand, qui est venue me happer alors que je n’étais pas encore en thèse suite à la proximité de nos sujets de recherche et avec laquelle j’ai beaucoup travaillé. Ses remarques ont toujours été utiles et cette dissertation n’aurait pas été la même sans nos interminables discussions. Je remercie aussi les orateurs qui sont intervenus dans les séances de l’Atelier, spécialement Henry Abelove, Judith Butler, Éric Fassin, Joseph Lévy, Marie-Blanche Tahon, Nicolas Thirion et Jeffrey Weeks. Un grand merci, enfin, à celles et ceux qui ont soutenu cette initia- tive : les Directrices successives de l’Institut de Sociologie, Firouzeh Nahavandi et Nathalie Zaccaï-Reyners, ainsi que les Doyens André Farber et Pascal Delwit. Je suis aussi reconnaissant à mes trois anciens collègues du Projet Normes, Genre, Sexualités, qui m’ont épaulé dans mes recherches . Dans des styles très différents, Christelle Taraud et Catherine Deschamps ont prêté une oreille attentive à mes interrogations. Laurent Gaissad a toujours été disponible pour discuter quand j’en avais besoin. Si le hasard des carrières respectives nous a désormais séparés, il ne fait aucun doute que nous continuerons à nous voir et à collaborer. Je remercie encore, à l’ULB, les Professeurs Pierre Desmarez, Jean-Michel De Waele, Claude Javeau, Pierre Petit, Margarita Sanchez-Mazas et Mario Telò, ainsi que Monique Borrenbergs, Bruno Benvindo, Fabrizio Cantelli, Sinziana Carstocea, Régis Dandoy, Catherine Jacques, Sophie Heine, Sylvie Mantrant et Valérie Peclow, le secrétariat des doctorants en SOCO (Anne Van Houtvin, Pascale Meekers et Régis Maloteau) et celui de l’Institut de Sociologie (Cathy Van Cleve et Benoît Verfaillie). L’ensemble du personnel du FNRS, qui constitue le meilleur des « patrons » dont on puisse rêver, doit aussi être remercié. En Belgique, outre les collègues déjà cités, je remercie Étienne Arcq, Alexis Dewaele, Bart Eeckhout, Bart Hellinck, Petra Meier, Joz Motmans et Alison Woodward. À l’étranger, j’exprime ma gratitude aux collègues de la Chaire de recherche du Canada en citoyenneté remerciements et gouvernance et de l’Université de Montréal, qui m’ont généreusement et chaleureusement accueilli au cours de mes séjours au Québec au cours de l’année 2006 – 2007. Je suis particulièrement reconnaissant à Élise Auvachez, Pascale Dufour, Aude-Claire Fourot, Thomas Gulian, Grant Holly et Audrey L’Espérance. Je remercie aussi Manon Tremblay et Leslie Seidle, dont la compagnie en fin de rédaction de thèse à Bruxelles m’a apporté l’humour et la légèreté dont j’avais besoin. En Espagne, le professeur Oscar Guasch a constitué un hôte de choix à l’Université de Barcelone. Je le remercie aussi pour nos repas réguliers, où j’ai apprécié son humour parfois acerbe et sa distance critique à l’égard du monde et du militantisme homosexuels contem- porains. Je tiens aussi à remercier, à Madrid, Kerman Calvo, Raquel Platero, Celia Valiente, Fernando Villaamil, et, avec beaucoup d’affection, José Ignacio Pichardo Galán, qui est aujourd’hui un ami avant d’être un collè- gue. Je remercie en France Éléonore Lépinard, Régis Revenin, Laure Bereni, Sébastien Chauvin, Étienne Ollion, Louis-Georges Tin et, surtout, mon compère et ami Bruno Perreau. Gert Hekma et Mathias Duyves, de l’Universiteit van Amsterdam, doivent aussi être remerciés pour leur générosité, leur présence et leur amitié, tout comme Kathya Araujo, Matteo Bonini Baraldi, Matteo Gianni, Kelly Kollman, Frédéric Jörgens, Lorena Parini, Michael D. Sibalis et Judit Takacs. Mes amis, auxquels je devrais ajouter plusieurs des collègues déjà cités, ont été délaissés au cours des derniers mois. Je loue par conséquent tant leur patience que leur présence Il s’agit, en Belgique, d’Anne-Marie, Arnaud, Cédric, Céline, Chloé, Denis, Dianne, Évelyne, François, Glenn, Philippe, Sergi, Thierry, Tom, Chloé & Jules (qui ont même pensé à m’apporter des chocolats une semaine avant la remise de ma thèse) et David, qui a relu attentivement la toute première version de cette dissertation. À Barcelone, Dani, Javier, Jordi & Jordi, Lorena, Montse, Sergi, Xavi. À Madrid, Aitor, Belén, Esme, Jesús, Pedro et Santiago, qui m’a ouvert très grandes les portes de sa maison et a égayé mes séjours de recherche dans la capitale espagnole. À Paris, Camilla, David, Guillaume, Jean, José, Mikaël et Yeliz m’ont tous accueilli à un moment ou un autre.