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Donizetti

EN COPRODUCTION AVEC L'OPERA DE NICE

DIFFUSION EN DIRECT LE MARDI 1er AOUT SUR FRANCE MUSIQUE ET LES RADIOS MEMBRES DE L'UNION EUROPEENNE DE RADIO ET SUR FRANCE 2 A 22H30 AVEC LE SON STEREO DE FRANCE MUSIQUE (REALISATION DENIS CAIOZZI) ^ju^que

LA PRODUCTION DE LUCIA DI LAMMERMOOR SERA DONNÉEE LE SAMED112 AOUT SUR LA SCENE DU FESTIVAL DE BAALBECK (LIBAN), SOUS L'EGIDE DES CHORÉGIES D'ORANGE, DANS LE CADRE DU JUMELAGE ENTRE LES DEUX FESTIVALS (2006/2008) Donizetti Lucìa di Lammermoor

OPERA EN QUATRE ACTES LIVRET DE SALVATORE CAMMARANO DAPRES LE ROMAN DE SIR WALTER SCOTT

(EDITIONS MUSICALES RICORDI)

Direction musicale Mise en scène Scénographie Marco Guidarmi Paul-Emile Fourny Poppi Ranchetti

Assistant à Assistante à la mise en scène Assistante à la scénographie la direction musicale Sylvie Laligne Giovanna Fiorentini Sergio Monterisi Eclairages Costumes Etudes musicales Jacques Chatelet Véronique Bellone Janine Reiss Chorégraphie Chef de Chant Servane Delanoë Kira Parfeevets

Coordination chorale Giulio Magnanini

Orchestre Philharmonique de Nice

Chœur de l'Opéra de Nice Chœurs de l'Opéra-Théâtre Directeur du chœur d'Avignon et des Pays de Giulio Magnanini Vaucluse Chef des chœurs Stefano Visconti

Ensemble Vocal des Chorégies d'Orange

LES DECORS ET PEINTURES ONT ÉTÉ REALISES LES ACCESSOIRES ONT ETE REALISES DANS LES LES CHAUSSURES SONT FOURNIES PAR LA MAISON PAR LES ATELIERS ARTDECO IBUCARESTJ: ATELIERS RANCATI (MILANI, DE L'OPERA DE NICE ET CALZATUR EPOCA (MILANI. DES CHOREGIES D'ORANGE. LES COSTUMES DES SOLISTES, DES CHŒURS ET DE LA FIGURATION ONT ETE REALISES DANS LES ATELIERS LES PERRUQUES SONT FOURNIES PAR LA MAISON DE L'OPERA DE NICE. AUDELLO (TURIN). A PRoOG-Oot

Samedi 29 juillet à 21h30 report, en cas de mauvais temps, au dimanche 30 juillet à 2lh30

Mardi 1er août à 21h30 report, en cas de mauvais temps, au mercredi 2 août à 21h30

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Lucia Edgardo

Patrizia Ciofi Rolando Villazón

Alisa Enrico Marie-Nicole Lemieux Roberto Frontali Raimondo Roberto Scandiuzzi

Arturo Florian Laconi

Normanno Christian Jean

Il Paggio Amore Joselyn Cabarcos Lucìa di Lammermoor ou Le triomphe de l'opéra romantique

En novembre 1834, , alors âgé de trente-huit ans, reçoit la commande d'un nouvel opéra du Teatro San Carlo de Naples. Après avoir envisagé plusieurs sujets, le musicien choisit finalement, en mai 1835, The Bride of Lammermoor [La Fiancée de Lammermoor), roman à succès de Walter Scott, paru en 1819, qui a déjà inspiré au compositeur napolitain Michele Carafa l'opéra Le Nozze di Lammermoor, en 1829. Donizetti a été séduit par l'histoire émouvante de l'héroïne, qui lui offre la possibilité d'écrire une scène de la folie, comme celle d'Elvira dans I Puritani, de son rival , quia provoqué son enthousiasme lors de la création de l'ouvrage à Paris, au Théâtre des Italiens, en janvier 1835. Le roman de Walter Scott s'inspire d'une histoire véridique, qui s'est déroulée à la fin du xvue siècle en Ecosse. Janet, fille de William Dalrymple, avait promis sa foi au jeune Lord Rutherford. Contrainte par son père de rompre son engagement, elle avait dû épouser, contre son gré, un autre prétendant, David Dunbar. Au cours de sa nuit de noces, Janet poignarda son époux, devint folle et mourut peu de temps après. Survivant à ses blessures, David Dunbar menaça de provoquer en duel quiconque lui demanderait des explications sur la funeste nuit. Le mystère demeura donc entier.Telle est l'histoire qui sti- mule l'imagination de Walter Scott. Le récit commence dans la tour ruinée de Wolferag dont le propriétaire, le vieux Seigneur de Ravenswood, vient de mourir, après avoir été ruiné par son riche voisin, Sir William Ashton. Edgar de Ravenswood jure de venger la mort de son père, dont il est le fils unique. Près d'Edgar, se tient Caleb Balderston, vieux et fidèle serviteur de la famille. Près de la tour, s'élève le manoir ancestral des Ravenswood, racheté par Sir William Ashton. Ce dernier a pour épouse l'am- bitieuse et autoritaire Lady Ashton, et pour fille, la frêle et timorée Lucy. Edgar a rencontré la jeune fille par hasard dans la forêt, Gaetano Donizetti et l'a sauvée, ainsi que son père, de la fureur d'un taureau sauvage. Edgar a revu Gravure de Romains Lucy et s'est mis à l'aimer, tout en s'irritant de la voir aussi faible et soumise. Par amour pour elle, il est prêt à se réconcilier avec la famille de Lucy et à renoncer à sa vengeance. De son côté, Lucy aime Edgar, bien qu'elle soit effrayée par l'exal- tation de ce dernier. Hostile à l'union des deux jeunes gens, Lady Ashton oblige Lucy à épouser un seigneur influent, Lord Bucklaw. Lucy cède par obéissance, par las- situde, mais aussi parce qu'elle est sans nouvelles d'Edgar, parti en mission à Donizetti lau centre], Doici et Mayr Tableau de Luigi Deleide (1840)

L'étranger. Arrivant juste après la cérémonie nuptiale, Edgar provoque en duel le frère et l'époux de Lucy. Au cours de sa nuit de noces, Lucy poignarde son époux et meurt peu après, démente. Désespéré par la mort de Lucy, Edgar se rend à son duel en galopant le long du rivage, mais s'enlise et disparaît dans les sables mouvants avec sa monture, sous les yeux de Caleb, observant du haut de la tour. Pour traiter le sujet, Donizetti demande à son librettiste Salvatore Cammarano de rester fidèle à Walter Scott. Outre les éléments essentiels de l'histoire, la tour sera ainsi omni- présente dans l'opéra, car elle symbolise à la fois la déchéance des Ravenswood, la soif de vengeance d'Edgardo et l'impossibilité de l'union de celui-ci avec Lucia. Toutefois, le livret présente de nombreuses différences avec l'œuvre originale. Cammarano élimine ainsi Lady Ashton, dont Lucia pleure encore la mort au début de l'opéra, mais aussi Sir William Ashton, dont il ne conserve qu'un fils, le cruel et implacable Enrico. Mais la modification la plus importante intervient à la fin de l'opéra. En effet, Edgardo ne meurt plus enseveli dans les sables mouvants, mais se sui- cide à l'annonce de la mort de LQcia.

Commencé en juin 1835, l'opéra est achevé au début du mois suivant, ce que nous apprend une annotation de la main même de Donizetti. Cependant, la création est retardée par les difficultés financières du Teatro San Carlo. Fanny Persiani, inter- prète du rôle-titre, s'arrête même de répéter, refusant de chanter tant qu'elle n'aura pas une garantie concernant son cachet. Début septembre, Donizetti exprime son amertume en écrivant à son éditeur Giovanni Ricordi : « Dieu seul sait si je serai payé...Et la musique le mérite car, mon Dieu, elle est loin d'être mauvaise... ». Finalement, la situation s'arrange et la création peut avoir lieu le 26 septembre 1835, avec la soprano Fanny Persiani (Lucia), le ténor français Gilbert Duprez (Edgardo), le baryton Domenico Cosselli (Enrico) et la basse Carlo Porto (Raimondo). La soi- rée est triomphale. Trois jours plus tard, Donizetti relate à son éditeur : « On a aimé, on a beaucoup aimé, si j'en crois les applaudissements et les compliments que j'ai reçus. J'ai été rappelé de nombreuses fois avec les chanteurs. Le frère de Sa Majesté, Léopold, qui était présent et qui applaudissait, m'a fait les compliments les plus flat- teurs. Le second soir, j'ai observé quelque chose de très rare à Naples. Pour tout dire, dans le finale, après de grands vivats à l'arrêt de l'adagio, Duprez fut furieu- sement applaudi dans la malédiction avant la strette. Chaque morceau fut écouté dans un silence religieux et accueilli avec les vivats les plus spontanés. Persiani, Duprez, Cosselli et Porto ont été parfaits, surtout les deux premiers qui furent 50 merveilleux ». Au lendemain de cette inoubliable création, et par suite de la mort prématurée à Paris de Vincenzo Bellini, trois jours seulement avant la première de Lucia di Lammermoor, Donizetti devient le chef de file incontesté de l'école lyrique italienne. Dans les deux ans qui suivent, le compositeur a la douleur de per- dre ses parents, un enfant à la naissance et son épouse Virginia. Donizetti continue néanmoins d'écrire pour la scène, sa Lucia gardant une place particulière dans son cœur. En 1846, alors qu'il est interné dans un asile d'aliénés, à Ivry, il reçoit la visite du créateur d'Edgardo, le ténor Gilbert Duprez. Bouleversé, ce dernier se met à chan- ter son air du dernier acte de Lucia di Lammermoor. Jusqu'alors prostré, Donizetti essaie de se lever pour atteindre le piano, comme s'il désirait accompagner le chan- teur, puis retombe lourdement sur son siège. Peu de temps avant sa mort, dans sa ville natale de Bergame, le 8 avril 1848, un orgue de Barbarie joue, sous sa fenêtre, en guise d'hommage, le finale de Lucia di ~ Lammermoor. Les yeux éteints de Donizetti brillent alors d'une clarté soudaine, tandis que ses lèvres remuent sans pouvoir dire un mot. Peut-être voulaient-elles prononcer les dernières paroles d'amour d'Edgardo à Lucia : « Belle âme adorée, que Dieu nous unisse enfin au ciel » !

André Segond

Neltie Melba (1), Jenny Lind (2), Fanny Persiani (3) interprètes de Lucia di Lammermoor Lucia di Lammermoor Analyse

51 Ce qu'il faut savoir avant le début du spectacle

Après de longues luttes, les Ravenswood ont dû céder leur château ancestral aux Ashton pour ne conserver qu'une tour en ruine, au bord de la mer, où vit Edgardo, le dernier descendant de la lignée. De leur côté, depuis la mort de leurs parents, Enrico Ashton et sa sœur Lucia habitent l'ancien château des Ravenswood.

ACTE I PREMIER TABLEAU Les environs du château de Ravenswood.

Normanno, grand veneur d'Enrico Ashton, ordonne à ses gens de découvrir l'iden- tité d'un étranger qui rôde autour du château. Enrico révèle que son étoile a pâli et que son ennemi, Edgardo, est de retour, plus décidé que jamais à se venger. Plus préoccupant encore, sa sœur Lucia refuse un riche mariage qui mettrait fin aux dif- ficultés financières de leur famille. Raimondo, le chapelain du château, justifie le comportement de Lucia par le chagrin qui la mine depuis la mort récente de sa mère. Lucia di Lammermoor caricatures En révélant à l'assistance l'amour que porte la jeune fille à un homme qui l'a sau- vée d'un taureau furieux, Normanno offre une autre explication. En apprenant qu'il s'agit d'Edgardo, Enrico donne libre cours à sa fureur (« Cruda, funesta smania... »). Les chasseurs ayant confirmé les dires de Normanno, Enrico jure de briser les liens qui unissent Lucia à Edgardo, malgré les exhortations à la prudence et à la clémence de Raimondo (« La pietade in suo favore... »).

DEUXIEME TABLEAU Un parc du château, près d'une fontaine en ruine.

En compagnie de sa suivante Alisa, Lucia attend l'arrivée d'Edgardo. Alisa met en garde sa maîtresse, car Enrico est maintenant au courant de la situation. Regardant la fontaine, Lucia raconte alors la légende qui y est attachée. Un Ravenswood, fou de jalousie, poignarda son amante en ce lieu et le corps de l'infortunée repose encore au pied de la fontaine, enseveli au plus profond de l'eau. Lucia affirme même qu'elle a récemment vu son spectre lui apparaître et teinter l'eau de son sang (« Regnavo nel silenzio... »). Alisa supplie sa maîtresse de renoncer à son amour pour Edgardo. Avec exaltation, Lucia décrit l'extase que lui procure cette passion (« Quando rapito in estasi... »). Edgardo arrive sur ces entrefaites et Alisa se retire pour faire le guet. Edgardo annonce qu'il doit partir immédiatement pour la France mais qu'il deman- dera, au préalable, la main de Lucia à Enrico.Terrifiée à l'idée de la réaction de son frère, Lucia supplie Edgardo de garder leur amour secret pour l'instant. A ces mots, Edgardo s'emporte et révèle qu'il a prononcé un serment de vengeance éternelle contre la famille de Lucia, responsable de la mort de son père (« Sulla tomba che rinserra... »). Sa haine s'est assoupie sous l'emprise de l'amour, mais peut facile- ment renaître. Lucia parvient finalement à calmer Edgardo et les deux jeunes gens échangent un anneau, gage de leur union aux yeux du ciel, avant de se séparer (« Verrano a te sull'aure... »).

ACTE II 52 PREMIER TABLEAU Chez Lord Ashton.

Des mois ont passé. Pendant ce temps, comme il en avait reçu l'ordre, Normanno a intercepté toutes les lettres d'Edgaro et Enrico a arrangé le mariage de sa sœur avec le riche et influent Arturo Bucklaw. Normanno a même écrit une fausse lettre accré- ditant l'infidélité d'Edgardo. Voyant Lucia approcher, Enrico envoie Normanno accueillir Arturo et les invités de la noce. Il demande à sa sœur la raison de sa pâleur et de sa tristesse le jour même de son mariage. Lucia lui reproche avec véhémence de la traiter inhumainement (« Il pallor funesto, orrendo... ») et lui rappelle qu'elle a pro- mis sa foi à un autre. En guise de réponse, Enrico lui montre la fausse lettre. Après l'avoir lue, Lucia défaille et laisse éclater son désespoir. Pour achever de convain- cre sa sœur, Enrico lui dit qu'il mourra si elle refuse d'épouser Arturo et que son fantôme la hantera à jamais. Après la sortie d'Enrico, Raimondo demande à Lucia d'obéir à son frère et invoque, pour y parvenir, la mémoire de sa mère. Vaincue, Lucia finit par céder.

Lucia di Lammermoor caricatures DEUXIEME TABLEAU La grande salle du château de Ravenswood.

Dans la grande salle du château, le contrat de mariage est prêt à être signé. Les invités complimentent le futur marié, qui répond en promettant de rétablir la pros- périté des Ravenswood, mais s'étonne de l'absence de Lucia. Comme explication, Enrico avance le chagrin causé à la jeune fille par la récente disparition de sa mère. Arturo questionne Enrico sur les bruits qui courent à propos de l'amour que Lucia porterait à Edgardo. Enrico dément avec énergie. Lucia survient et son frère lui présente Arturo, son futur époux. La jeune fille sem- ble désespérée mais, poussée une fois encore par Enrico, signe le contrat de mariage en murmurant qu'elle se condamne en même temps (« La mia condanna ho scritta /»). A cet instant, à la stupéfaction générale, surgit Edgardo. Commence alors le célèbre sextuor, particulièrement admiré par Verdi, qui s'en souviendra dans son quatuor de . Au cours de ce sextuor (« Chi mi frena in tal momento... »), chaque personnage donne libre cours à ses sentiments : Edgardo, contenant sa fureur ; Enrico, partagé entre sa haine pour Edgardo et sa pitié pour sa sœur ; Lucia, pleurant son infortune ; Arturo lui faisant écho et Alisa manifestant sa compassion pour sa maîtresse. A la fin du sextuor, Enrico, Arturo et Edgardo tirent l'épée pour en découdre, mais Raimondo s'interpose et montre le contrat de mariage à Edgardo. Ayant arraché à Lucia la confirmation de son consentement et refusant d'écouter ses protestations éplorées, Edgardo maudit à la fois la jeune fille et le destin cruel (« Maledetto sia l'istante... »). Puis il part, désespéré, laissant Lucia effondrée.

ACTE III PREMIER TABLEAU La tour en ruine de Wolferag.

L'orage fait rage sur la tour où demeure Edgardo. Surgit Enrico, ivre de haine, et qui provoque Edgardo en duel. La rencontre est fixée à l'aube dans le vieux cime- tière de Ravenswood. 53

DEUXIEME TABLEAU Le château de Ravenswood.

Alors que les festivités de la noce battent leur plein, Raimondo entre, ordonne de tout arrêter et révèle aux invités horrifiés que, dans un accès de folie, Lucia a tué Arturo. Lucia arrive, échevelée, les vêtements ensanglantés. Elle s'imagine enfin réunie à Edgardo (« Il dolce suono... »). Elle voit aussi la fontaine et le spectre qui vient pour les séparer. Tout à coup, ce lieu devient l'autel où elle va épouser Edgardo (« Ardon gli incensi... »). Enrico fait irruption et exige des informations sur ce qui vient de se passer. Le prenant pour Edgardo, Lucia se précipite vers lui, lui deman- dant pardon d'avoir consenti à s'unir à Arturo et prédit que, du ciel, elle priera bientôt pour lui (« Spargi d'amaro pianto... »). Puis elle est emportée, mourante. Horrifié, Raimondo se tourne vers Normannolfjugé responsable de cette tragédie, et lui ordonne de disparaître.

Lucia di Lammermoor caricatures TROISIEME TABLEAU Le cimetière de Ravenswood.

Le jour se lève. Edgardo se prépare pour le duel. Il attend impatiemment la mort, car il ne saurait vivre sans celle qu'il aime (« Tombe degli avi miei... Fra poco a me ricovero... »). La nouvelle lui parvient du trépas imminent de Lucia. Le glas qui résonne et l'arrivée de Raimondo lui apprennent bientôt que tout est fini. Edgardo espère que, séparés sur la terre, Lucia et lui seront réunis au ciel pour toujours 1« Tu che a Dio spiegasti l'ali... »). Puis il se poignarde et expire en appelant Lucia une dernière fois. BIBLIOGRAPHIE DONIZETTI LUCIA DI LAMMERMOOR

SELECTIVE Herbert Weinstock L'Avant Scène Opéra Donizetti et le monde de l'opéra en Lucia di Lammermoor, n°55 Italie, Paris et Vienne dans la première Premières Loges 1983 moitié du XIXème siècle (en anglais) Methuen and Co Ltd 1964 Marc Honegger et Paul Prévost Dictionnaire des œuvres de l'art vocal, William Ashbrook tome 2 Donizetti et ses opéras (en anglais) Bordas 1991 Cambridge University Press 1982

Philippe Thanh Donizetti Actes Sud / Classica 2005

DISCOGRAPHIE 1. Capcir, De Muro Lomanto, Molinari, 6. Callas, di Stefano, Panerai, Venturini, Baccaloni, Mannarini, Zampieri, Zaccaria, Villa, Ercolani, SELECTIVE Venturini, Scala de Milan, Molajoli, RIAS de Berlin, von Karajan. Columbia 1928 EMI 1955 (live)

2. Pagliughi, Malipiero, Manacchini, 7. Callas, Campora, Sordello, Franke, Giovagnoli, Neroni, Vinciguerra, Moscona, Votipka, McCracken, Les intégrales sont classées Giannotti, RAI de Turin, Tansini. Metropolitan Opera de NewYork, Cleva. chronologiquement. Les enregistrements pris sur le vif Cetra 1939 Melodram 1956 (live) sont signalés par la mention llivel.

Ordre de citation : 3. Wilson, Poggi, Colzani, Carlin, 8. Callas, Tagliavini, Cappuccini, Del Lucia, Edgardo, Enrico, Arturo, Raimondo, Alisa, Normanno, orches- Maionica, Ticozzi, Fazzini, RTV Ferro, Ladysz, Elkins, Casellato, tre, choeurs, chef, marque, année de l'enregistrement. italienne, Capuana. Orchestre Philharmonique et Chœurs Urania 1951 de Londres, Serafin. EMI 1959 4. Callas, di Stefano, Gobbi, Natali, Arié, Canali, Sarri, Maggio Musicale 9. Scotto, di Stefano, Bastianini, Fiorentino, Serafin. Ricciardi, Vinco, Malagu, de Palma, EMI 1953 Scala de Milan, Sanzogno. Ricordi 1959 5. Pons, Tucker, Guarrera, Hayward, Scott, Votipka, McCracken, Metropolitan Opera de NewYork, Cleva. Odyssey 1954 10. Sutherland, Croni, Merrill, 15. Gruberova, Kraus, Bruson, Bottone, McDonald, Siepi, Raquel Satre, Lloyd, Kuhlmann, Lazzaretti, Royal Pelizzoni, Accademia Santa Caecilia de Philharmonie, Choeurs Ambrosian, Rome, Pritchard. Rescigno. Decca 1961 EMI 1983

11. Moffo, Bergonzi, Sereni, Duval, 16. G ruberova, Shicoff, Agache, Flagello, Vozza, Pandano, RCA Lombardo, Miles, Montague, Piccoli, italienne, Prêtre. London Symphony Orchestra, Choeurs RCA/BMG 1966 Ambrosian, Bonynge. Teldec 1992 12. Sills, Bergonzi, Cappuccini, Dallapozza, Diaz, Kern, Erwen, 17. Rost, Ford, Michaels-Moore,Clarke, Donizetti par lui-même 55 Orchestre Symphonique et Chœurs de Miles, Winter, Davies, The Hanover Londres, Schippers. Band, London Voices, Mackerras. ABC 1970 Sony 1997

13. Sutherland, Pavarotti, Milnes, 18. Dessay, Alagna, Tézier, Laho, Davies, Ghiaurov, Tourangeau, Poli, Cavallier, Saelens, Opéra National de Covent Garden de Londres, Bonynge. Lyon, Pido (version française de Decca 1972 Gustave Vaëz et Alphonse Royer). Virgin 2002 14. Caballé, Carreras, Sardinero, Ahnsjö, Ramey, Murray, Bello, New Philharmonia Orchestra, Choeurs Ambrosian Lopez-Cobos. Philips 1976

1.Scotto, Bergonzi, Zanasi, Marciandi, 2.Dessay, Alagna, Tézier, Laho, VIDEOGRAPHIE Clabassi, Fiorentini, Baratti, Orchestre Cavallier, Saelens, Opéra National de et Chœurs nippons Hoso Kyokay, Lyon, Pido (version française) SELECTIVE Bartoletti. TDK 2002 Legato Classics 1967