Descendance de la maison de Neuchâtel-

Autor(en): Clottu, Olivier

Objekttyp: Article

Zeitschrift: Archives héraldiques suisses = Schweizer Archiv für Heraldik = Archivio araldico svizzero : Archivum heraldicum

Band (Jahr): 102 (1988)

Heft 2

PDF erstellt am: 10.10.2021

Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-745875

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http://www.e-periodica.ch Descendance de la maison de Neuchâtel-Vaumarcus Olivier Clottu

L'intrépide et malheureux Jean le Bel Neuchâtel-Vaumarcus

Jean le Bel, fils aîné de Louis, dernier La famille comtale témoigne de l'amitié comte de Neuchâtel, 1305-1373, et de à Girard de Neuchâtel; son oncle Louis de Jeanne de Montfaucon, naquit à Neuchâtel Neuchâtel lui lègue son grand roncin gris en 1334. Aventurier précoce, il avait à en 1368; le comte Louis, son grand-père, l'âge de seize ans déjà accompagné son père lui accorde les fiefs de La Côte-aux-Fées en dans les campagnes mal payées qu'il fit en 1370, et des Verrières en 1372; la comtesse Italie à la solde des Visconti. Vaillant, Isabelle, sa tante, souveraine de Neuchâtel passionné, entreprenant et tenace, il est qualifié après le trépas du comte Louis, lui remet par Froissart dans ses Chroniques les châteaux et seigneurie de Vaumarcus et d'apers chevalier et fort guerrier durement. la seigneurie de Derrière-Moulin en 1375; Les exploits et les brigandanges de ce elle lui cède une maison au Chastel de jeune et redoutable routier firent trembler Neuchâtel en 1392 et lui lègue 2000 florins la Bourgogne de 1359 à 1364. Accompagné et le château de en 1394. Conrad du chevalier Guillaume de Grandson, il de Fribourg lui octroie des rentes au Val- conduisit les bandes du roi d'Angleterre de-Travers en 1395. jusqu'au cœur de la Bourgogne Capturé Isabelle de Compeys, comtesse de Blan- en 1365 par le duc Philippe le Hardy, il est drate, comtesse et majoresse de Viège, emprisonné dans le château de Semur- femme de Girard de Neuchâtel en 1381, lui en-Auxois. Par crainte d'évasion, les fenêtres donne trois enfants dont seul l'aîné, Jean, de sa cellule sont murées. Après quatre survit. Girard est châtelain de Romont en années de captivité, il y meurt le 10 1386 (Regeste de l'Abbaye d'Hauterive, no septembre 1369, avant que l'importante rançon 1543). Il meurt en 1400. exigée pour ce prisonnier de choix Jean de Neuchâtel-Vaumarcus, chevalier n'ait pu être entièrement réunie par ses énergique, accroît ses possessions grâce à amis et son vieux père désespéré de perdre l'inféodation des seigneuries de Travers, ce brillant fils unique. Jean de Neuchâtel Rosières et par son souverain qui était seigneur, du fait de sa mère, de Jean de Fribourg en 1413, et par l'achat Vuillafans-le-Neuf et de Vercel en Franche- qu'il fait en 1433 à Jacques d', de Comté, avait épousé en 1363 Jeanne de la seigneurie de Gorgier. Deux ans plus Faucogney, seule héritière de cette antique tard, il est lieutenant-général du Comté de maison; il n'en eut pas d'enfants. Elle se Neuchâtel. Son blason aux armes de remarie en 1370 avec Henri de Longwy, Neuchâtel est brisé d'une cotice componée sieur de Rahon. Jean de Neuchâtel avait d'azur et d'or. Cette marque visible de eu avant son mariage un fils illégitime bâtardise est abandonnée, semble-t-il, par nommé Girard de la fille de Girard Bella- son fils Jean II; deux de ses petits-fils, jeour, bourgeois de Neuchâtel, et de «la cependant, brisent encore discrètement grande Nicole» fille de l'écuyer Renaud de leurs armes en apposant en pointe de l'écu Cormondrèche. l'un, Simon, une étoile, l'autre Claude, un croissant tourné (tableau I).

13 Jean II, incapable de défendre le château Atteint de démence, Lancelot, fils de de Vaumarcus contre la menace des troupes Claude, est interdit en 1559 et meurt de Charles le Téméraire campant quinze ans plus tard. Ses quatre fils partagent devant Grandson, leur ouvre lâchement ses biens en 1568, Jean et André prennent ses portes le 1er mars 1476. les seigneuries de Vaumarcus et de Le lendemain de la victoire de Grand- Travers, Claude et Simon celles de Gorgier, son, les Suisses investissent le château de Chez-le-Bart et une partie de Saint-Aubin. Vaumarcus et l'incendient. Accusant Jean En 1585, André vend sa part à Jean, de Neuchâtel de crime de félonie, comme Simon l'avait fait de la sienne en craignant aussi que les Suisses ne s'installent 1573. Il reste donc deux lots importants: définitivement à Vaumarcus, Rodolphe de Vaumarcus-Travers (tabl. II, III, IV, V) et Hochberg se saisit de la seigneurie et la Gorgier (tabl. II, VI, VII). Vaumarcus est réunit à son domaine. Jean de Neuchâtel érigée en baronnie en 1595. resta dans le camp du duc et mourut, croit- Jean de Neuchâtel épouse en 1562 une on, à Nancy. Ce n'est qu'en 1487 que son robuste héritière franc-comtoise, Marguerite fief fut rendu à Claude de Neuchâtel, fils de Laviron, qui meurt au château de de Jean. Travers en 1627 à l'âge de 102 ans. Elle Le chanoine Simon de Neuchâtel, frère avait apporté à son mari les seigneuries de de Claude, est conseiller de la comtesse Trévillers, Adrisan, Bavans et Laviron. Ce Jehanne de Hochberg; il reçoit en 1510 de couple n'a qu'une fille, Anne, 1564-1625, Loys d'Orléans, son époux, une maison qui, à l'âge de 13 ans, devient la femme de sise au Chastel à Neuchâtel, jouxtant la Jean-Ulrich de Bonstetten, de Berne, fils de porte de la ville, complément de celle l'ancien gouverneur de Neuchâtel Jean-Jacques qu'avait obtenue Girard, son aïeul, en de Bonstetten. 1392. Lancelot de Neuchâtel possède cet édifice en 1538 (Reconn. de Neuchâtel, par Lando, vol. II, folio 419 verso, AEN). C'est Bonstetten-Vaumarcus et Travers probablement lui qui plaça ses armoiries aus-dessus de la porte de la maison, Les Bonstetten portent depuis 1258 des aujourd'hui murée (Fig. 1). armes de sable a troisfusées d'argent rangées en fasce, a la bordure d'or. Jean-Ulrich de Bonstetten, 1548-1607, colonel d'un régiment à son nom, personnage fortuné, acquiert la seigneurie de Jegenstorf en 1595. L'église de ce village contient des épi- taphes (Fig. 2), monuments funéraires et vitraux de la famille et de ses alliés. Le plus beau vitrail, daté 1606, récèle une erreur d'interprétation de son artisan; l'inversion des couleurs du pal chevronné des Neuchâtel qui est ici d'argent et non de gueules (Fig-3)- Jean, fils aîné de Jean-Ulrich, sans postérité mâle, remet en 1634 sa part du fief de Vaumarcus à son frère Charles; celui-ci transmet la seigneurie à ses petits-fils de Büren (tabl. V); un autre fils, François, 1588-1648, devient seigneur de Travers. de Fig. 1. Armoiries de Neuchâtel, XVIe s. Immeuble Les fils d'Anne-Marie, petite-fille ce Sandoz-Travers, Neuchâtel. dernier, femme du receveur Henry Sandoz,

14 obtiennent Travers en 1761, après la mort de leur cousin Jean-François de Bonstetten, 1704-1760 (tabl.III et IV).

Fig. 2. Epitaphe d'Ulrich de Bonstetten, église de Jegenstorf, 1607.

François-Ferdinand de Bonstetten, 1690— 1752, un des derniers représentants de sa race, homme dépravé et violent, père de plusieurs bâtards (la descendance Vuille- main a fait cependant une belle carrière en France!), est mis sous curatelle en 1744 et enchaîné dans la forteresse d'Aarburg. Libéré, il obtient en 1746 du roi de Prusse la révocation de sa curatelle. Il teste en faveur de son souverain; ce testament est attaqué par sa famille et annulé. C'est des derniers Bonstetten-Travers que l'on disait à Berne: «Mentir comme un Travers!» Fig. 3. Vitrail aux armes Bonstetten-Neuchâtel, église de Jegenstorf, 1606. Sandoz-Travers

Henry, 1653-1694, fils du commissaire mais conservé leurs fiefs comme vassaux général Jean-Jacques Sandoz du Locle, anobli sans juridiction. Noiraigue avait été vendu en 1657, époux d'Anne-Marie de Bon- au souverain en 1713. Les armes Sandoz: stetten, a d'elle trois fils qui se partagent les d'argent à la bande échiquetée de deux tires seigneuries de Travers: Ulrich prend Noi- de gueules et d'or, sont parfois écartelées raigue, Jean-Jacques Travers et François, Bonstetten et Neuchâtel par les barons de Rosières. Les Sandoz-Travers s'éteignent Pury (tabl. IV). dans les mâles en 1847 et les Sandoz-Rosiè- res en 1852. Les Sandoz-Travers ont abandonné en 1847 leurs droits seigneuriaux

15 Büren-Vaumarcus avait favorisé l'établissement de la Réforme à la Béroche -, il épouse en 1564 Fils de Jean, bourgeois de Berne, consei- une bavaroise catholique de grande maison, gneur de Seftigen, David de Büren, Ursula de Fürstenberg, héritière des 1614-1659, est créé baron par l'empereur comtes de Montfort et de Werdenberg- Léopold en 1659; Marguerite, sa veuve, Heiligenberg. Veuve, elle regagne en 1590 devient dame de Vaumarcus à la mort en son pays natal, accompagnée de son fils 1675 de son père, Charles de Bonstetten. Béat-Jacob qui se convertit à la foi romaine Ce dernier, qui n'avait que des filles, et devient page du duc de Bavière. Béat- obtient d'Anne-Geneviève de Bourbon, Jacob prend femme en 1592; il s'allie à souveraine de Neuchâtel, de transmettre Anne de Watteville, fille du dernier cosei- son fief au gendre qu'il choisira. gneur de Colombier NE. A cette occasion, Les barons de Büren se succédèrent il commence la rédaction d'un utile paisiblement dans leur belle seigneurie «papier journal» dont il décore la couverture (tabl.V). de ses armes (Fig. 4). Il y note les Le dernier baron de Vaumarcus, Charles- dépenses consenties pour l'achèvement de Albert, 1791-1843, vend en 1831 ses droits la reconstruction de son château de Gorgier. seigneuriaux au souverain. Cet homme Béat-Jacob meurt en 1623 et est cultivé prend part à la vie politique de la inhumé en terre catholique dans la Principauté de Neuchâtel et se passionne chapelle de Rive, à Estavayer, devenue dès lors pour la botanique. Il introduit dans son chapelle funéraire des barons de Gorgier. domaine des plantes étrangères qui s'acclimatent et dont certaines colonisent le pays. Aujourd'hui, les corydales jaunes d'Italie fleurissent sur tous les vieux murs du Vignoble et les mimules américaines ont merveilleusement envahi le cours du ruisseau de Saint-Biaise Son fils Charles- Henri-Louis vend le château de Vaumarcus en 1888; sa postérité est établie en Argentine et en Amérique du Nord. Armoiries: de gueules a trois ruches d'abeilles d'argent, augmentées en 1659 d'une bordure d'argent. Jean-Charles, 1636-1719, porte un écartelé Bonstetten- Vaumarcus chargé en abîme de ses armes; David, son fils, un tiercé en pairie renversé Fig. 4. Ex-libris manuscrit de Béat-Jacob de Neuchâtel- de Büren (sans bordure), Vaumarcus et Watteville, 1592. Seftigen.

Font exception, peut-être parce qu'habitant Neuchâtel-Gorgier la maison familiale de Neuchâtel, Louise de Scey bru de Béat-Jacob et Louise- Le fils de Lancelot, Claude de Neuchâtel, Françoise sa fille qui, elles, sont enterrées mort en 1590, est actif et intelligent; il à Cressier NE (Fig. 5). reconstruit le château de Gorgier dès qu'il Les alliances des Neuchâtel-Gorgier et de en est propriétaire. Il obtient en 1576 leurs descendants sont en majorité franc- l'érection de sa seigneurie en baronnie comtoisses: Watteville-Joux, Scey, Poligny, (tabl. II, VI). Protestant convaincu comme Achey-Thoraise, Joux, Grammont, ses frères et sœurs - son grand-père Claude Poitiers.

16 Jacques-François, dernier mâle de la maison Blasonnement des armoiries figurant dans de Neuchâtel, officier au service de cette étude: France, est mort dans une caserne parisienne en 1678. Avec sa tante Charlotte de Achey, de gueules à deux haches d'armes Neuchâtel, femme de Philippe-Eugène d'or adossées et posées en pal; Alliez, écar- d'Achey, baronne de Thoraise, dame de telé d'un losangé d'or et d'azur et de gueules Gorgier dès 1680, décédée en 1718, s'éteint piain; Boncour, de gueules à deux haches le nom de la dernière maison féodale neu- d'armes d'argent passées en sautoir; Bon- châteloise. La succession de Charlotte de stetten, de sable a trois fusées rangées en Neuchâtel fut l'occasion d'un important fasce, a la bordure d'or; Büren, de gueules procès en 1731. A la mort sans descendance a trois ruches d'abeilles d'argent; a la de Marie-Charlotte de Joux, bordure du même; Chauvirey, d'azur a la marquise de Cheyla, sa petite-fille, Gorgier fait bande d'or accompagnée de sept billettes retour à la directe (tabl.VII). posées en bande, quatre en chef, trois en pointe; Diesbach, de sable a la bande vivrée d'or accompagnées de deux lions du FHIC-IAŒ.T- GNROSA. même; Erlach, de gueules au pal d'argent chargé d'un chevron de sable; Furstenberg, Z> d'or a l'aigle de gueules, armée et languée d'azur, a la bordure de vair; Laviron, d'azur a la fasce d'or; Maillard, de gueules au lion d'or issant d'un mont de trois cou- peaux d'argent; Montfort, d'argent a trois losanges de sable remplis d'or; Neuchâtel, d'or au pal de gueules chargé de trois chevrons d'argent; Poligny, de gueules au chevron d'argent; Praroman, de sable au poisson décharné d'argent; Pury, d'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux coquilles d'argent et, en pointe, d'une molette a huit rais du même; au chef d'argent chargé d'une aigle issante de sable, languée de gueules; Sandoz, d'argent a la bande échiquetée de deux tires de gueules et d'or; Scey, de sable semé de trèfles d'or au lion du même brochant; Seftigen, d'argent chapé ployé de gueules a la rose d'argent en chef; Vaumarcus, d'azur au chevron d'or accompagné de trois croisettes du même; < REQV1ESCAT g Villarzel, de gueules au chef d'argent <£> -IN PACE-AfvEN ^ Q chargé d'un lambel d'azur; Vuippens, palé Z * Z d'argent et de gueules; "Wallier, d'azur a la o ^ • croix tréflée d'or; Watteville, de gueules cf ^ aux trois demi-vols d'argent. < >.' - S' U =t * 'OHiVJOAOM'V-INVOVHi

de Fig. 5. Pierre tombale de Louise de Scey, femme François-Antoine de Neuchâtel. Eglise de Cressier NE, Bien que de nombreuses études aient été 1639. - Relevé d'Alfred Godet, 1887. publiées depuis longtemps sur la maison

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21 B ÙREN-VAUMARC -tabl.V DAVID DE BÜREN I (S I - J 659 oo IÔ35 Màrfttcrifce d« BohSfe * Cßsr. »p Iif>lo 6 60 Jboro("ft«.-1« orofr£c«. TV((fe-r- B>r«2>.a ifft* eU Nyoi^ I6ys Ch Site 2^ etc l/aa H* ôrck,^ t6?& DAVID 166/ -1729 ool6&7 3 .Catherine pi$£<«.«.( >i* l7oo 2°I Too 3. «te M/ari-« ,>P à roH ^ (/c>u[twarcïts Kff8 3ài((t d. O^h 5coix

ÖHARLE5 VICTOR GABRIEL, l?o£ I 773 l?«o - i y 4.. - FI'JSCA«*- CN3 1730 Cat-AcKhc. *>o / yjo S 3 fo (vt«: cU. 6 f n^Vn s E>

chardb;? DAVID LQUJ# PHILIPPE 1731-1787 173*-IW 1735--IS06 l?3g-l?60 cK> I7«£"? L ea VAfri /)j?£eh 7^66 -SR)3of»^> /7/3 ÜE? à* fi Bc.rSe.t-^ Barer ou l/arr (7?3 J>er/wr £afft»s o(» £<*ùf<»/ihe J^ow.i/e^tc cfo;fr«aa »>^3 CHARLE 5 -PHILIPPE 3EALT-ÉLI SEE 175?-t 73s J765 -t£»6 OO 4 7S% OPfcf/0 tht -£ /. e(« E>tt ren £'?£> oc» rs>o3 c&tn.oiï. TAcli c«.v» § Bciiroh oL VattlwèrCai <7?? fVof>r»'r\a*(r aay Cxè^J.r.^, suisses oie. KVrcß <1 e>tr p

3. CHARX/B^ ALBERT l?9/-l£43 V HA^hCUÇ, / f OL-lfJI \Zef\d. Ses. aLtroihs Se.igy\ a.u,r«"Ae «2f-.Sc> «"ii't, lÄ'B/ B o {"awi's/c. D C-'j^ctt-c" àu Corpr ItgirlàftF olc KfeacL&b«-t

CHARLÊ^-HENRI -DOUr^ »^zr - i?o9 * i/«r»tiftr *Jteu<7enrct(£. Si y t \/Ci«d. le cP^tciM. ^Ct Pief-Ko

22 a "tok-k 1 £a.u/ VI NEUCHATEL- G ORGIER

C?X/AUDE >£ \S9o

Bôron otfi. Gor^»teKl5?&

BÉAT-JACOB * f3, etahS U ckSfe/i<«ltTCfVC^ E.Stew>ycr OÖ1.T92 flhut eU W^ttçvillt^f. W(CÖIA? e.t oT#kha cU JouX.BUc test-c $f.7./6{K> Bdron <£« GotçUr Coh^c'^cr cX'E'fr^.t "Bott. rçts>

FK AM^OJ^-AIMTOINE MARGUERITE MhlïAO&TH J bïjytïsiti' I59u -/6yi. y.$.lé>6* k*SH 20.9.Ibbo M^VRIB a?i.ou.ir« dit Sce.y 4*1633 7i 166V (Abr.G*£ io.(èrOtn oie. CaO\rçitt- ooCfiw<(« ö(< ïè>f »^f«y «co 16.6. 62^- fct£tc- CoKScïKcr Côpt'^'he aU. Vfclènp' ß^ro* ot'Rf\i(i.f©Cr "Pl i ITC. W^Hie-r tczt*-16. « o. I ^3f ^ / 6yo t"«C f A t «<7 \bl% olu V«3t.^iTAverS jj '^j- >b 63

HENRy-FJÎA¥ÇÛI5' L0UI5E- CHARLOTTE * i6w"t JS,\T./6<>3,ïhh*t**< VRA~N:(?oi$E d4 I?/£ dJfv? /£ cL\*f>tHe ctntRkVt * Ê^fav^yd" '£'2.Z. N>3(c Ff-iitffpc-EufSf*«-, çoPhrttElN'Jai>c"^ Remoi^t h P*.c*i*v«Id^çi'A i66»o

L VO»> tàklwtc VII

Oacque^- FSANCOI# f£Pàrii.21.

23 NEUCHATEL-G ORGIE R "fca-i?!ea.ii. VII a^HARLOTT^ DB* NBUßHATBL 'i1 9 17 / i+. „ 5 ; u /1 /m oL fh oldkS / c^e 47

MARGUERITES O LTT^E - T-fARIE- FRÄMCÖISE MARGUERITE EUGÉNIE RH de lè. bârôe\nte ït^sc itii/isft' ck tfn

MARIE CHARLOTTE? DE o oux: rP V.6A7M CO /7^7 If^-Ah fU ne ch. T^h.^tè.eX^ rmityui's du. Cfr tyli HIC-IACET- ALTA- ET- P OTENS-DOMINADOM1NV 3<2j|TOHn» oU (îorjr

QUAM-FORTEM- LAUDAT- SALOMON'HANC LAUDE-CORO NAT-&W «VI TA-DEC EDEN S-NOMEN-AD-ASTRA-TU LIT- « OB HT-DIE - Q UARTA-MEN SIS - SEPTEM BRIS « AN N O-'r MDCC XVIII«

24 de Neuchâtel-Vaumarcus et les races qui en canton de Neuchâtel, tome II 1963, Gorgier Vaumarcus, sont issues, nous avons jugé utile de grouper pp. 419-429, pp. 443-357, tome II, Travers, 17-27; Fritz La Béroche, recherches ces généalogies et de les illustrer des pp. Chabloz, historiques sur la paroisse de Saint-Aubin, Neuchâtel les monuments héraldiques qui 1867; Leon Montandon, La seigneurie de Derrière- concernent. Moulin, dans Musée Neuchâtelois dès lors cité MN), Nous exprimons notre reconnaissance à 1959, p. 115- ; Leon Juillerat, Travers, MN 1891, Monsieur Léon Jéquier, auteur d'une pp. 266-272, 289-294, 1892, pp. 1422; Jules de San- doz-Travers, Notice historique sur la seigneurie de savante et exhaustive Sigilliographie neu- Travers, vers 1840; Jéquier Léon et Michel, Armoriai châteloise de et PinépuisaSle Armoriai neu- neuchâtelois, Neuchâtel 1939-1944, notices Bonstetten, châtelois publié en collaboration avec son Büren, Neuchâtel, Sandoz; Léon Jéquier: Sigillographie frère, le Professeur Michel Jéquier. Ils nous neuchâteloise, AHS 1934 sqq; Eddy Bauer, La captivité de Jean de Neuchâtel â ont autorisé à utiliser la documentation Semur-en-Auxois, MN, 1932, pp. 53-60; Au service de Bourgogne. La grande rançon héraldique de ces sources. Elle provenant de Jean de Neuchâtel, MN 1937, pp. 234-246; Le traité anime remarquablement nos tableaux de rançon de Jean de Neuchâtel (1369), MN 1953, généalogiques. Qu'ils soient remerciés de pp. 184-194; Jean Grellet, La femme de Girard de Neuchâtel, MN 1891, Notes ce amical. pp. 278-280; généalogiques geste la sur maison de Neuchâtel, MN 1982, pp. 119-121; Jean Grellet, Jacqueline de Neuchâtel, comtesse de Schwarzenberg, MN 1890, pp. 110-113; F. G. Borel, Testament de Jeanne Marie de Neuchâtel, MN 1898, Bibliographie PP- 7-16; Louis Thevenaz, Le livre de comptes de Béat- de Jacob Neuchâtel, MN 1939, pp. 32-40; Alfred Georges-Auguste Matile: Monuments de l'histoire Godet, Le bahut de Pierre Wallier et d'Elisabeth de de Neuchâtel, Neuchâtel, Neuchâtel 1844-1848; Dictionnaire MN 1903, pp. 122-124; Vitrail de Jacques-François de la Suisse, Neuchâtel de historique et biographique Neuchâtel-Gorgier, MN 1900, pp. 75-76; Paul de 1921-1934; Edouard Quartier-la-Tente, Le Canton Pury, Bahut et portrait d'Elisabeth de Neuchâtel, de Neuchâtel 1893 Travers portrait de Neuchâtel, sqq; 774-777, Pierre Wallier, MN 1903, pp. 189-192; Vitrail Vaumarcus Manuel dans de 807-833, Gorgier 857-861; l'église Jegenstorf MN 1911, pp. 48-49. généalogique pour servir à l'histoire de la Suisse, publié par les AHS, 1900-1916, vol. I, pp. 101, Les comtes de Neuchâtel; /onas Boyve, A nnales historiques du Comté de Adresse de l'auteur: Dr Olivier Clottu Neuchâtel et Valangin, Berne et Neuchâtel 1854-1858; Bourguillards 18 Jean Courvoisier: Les monuments d'art et d'histoire du CH-2072 Saint-Biaise

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