Cinéma Français

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

Cinéma Français la première revue de grand luxe du cinéma français PARIS Prix : 5 ffr. Juin 1929 APPAREIL STANDARD PASSANT LES FILMS SONORES et PARLANTS soit à disques, soit directement synchronisés sur film LIVRÉ AVEC UN CONTRAT RAISONNABLE iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiim CINÉVOX HAÏK "La voix du Cinéma" 63, Champs-Elysées, 63 - PARIS PREMIÈRE GRANDE PRODUCTION FRANÇAISE DE FILMS PARLANTS avec Les Meilleures Vedettes llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllilllllllllllllf ATTENTION!!! NIC/EA-FILMS probubtiohI Le Roi de la Valse a présenté à l'EMPIRE « Ce film est fort intéressant et bien réalisé par Conrad avec le plus grand succès Wiene. La personnalité du personnage principal est for¬ LA DERNIERE RÉALISATION DE tement dégagée par le très bel artiste qu'est Alfred ROBERT PÉGUY A bel. » (Le Courrier Cinématographique.) mmiiimiiiiiimiiiiMiimiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiimiiiiiii LES MUFLES D après le roman 'Eugène | avec BARBIER 1 Alfred ABEL avec | SUZANNE BIANCHETTI | g JANINE LIEZER - YVETTE DUBOST - ALICE DESVERGERS - TEROFF g « Dollq Davis interprète avec une grâce touchante le rôle de la jeune fille. » (Le Courrier Cinématographique.) | = PIERRE STEPHEN = | g E. HARDOUX - Henry HOURY - Lino MANZONI g g Edy DEBRAY - DUTERTRE - MATRAT g Boulevards = Tragédie d'Amour Opér. : BRUN et STUCKER - Décor. - Assistant : BONNEFOI — « Elvira Codeanu en Mimi est gracieuse et sensible. Oskar Beregi (le ban¬ quier) a grande allure. » (La Cinématographie Française.) Illllllllflillllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllilllllllllllllllllllllllll IIIIIIIMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII g AGENCE COMMERCIALE de " NIC/EA-FILMS-PRODUCTION " = 1 26, RUE DE LA PARIS PÉPINIÈRE, (8e) - Téléphone : LABORDE 32-20 à 32-34 = Ces trois films sont encore libres pour : France et Colonies, Italie, Suisse, Espagne et Portugal, Egypte, Syrie et Palestine. à SÀPHO FILM. 10, Boulevard Bonne-Nouvelle, Paris iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiH | LA PRODUCTION 1928-29 | Les principaux = DES 1 interprètes de A\W\W1I \h FÉCONDITÉ Pour la vente des Productions FILMS PARIS d'après le roman de Zola TIFFANY STAHD 6, Rue Lamennais (6e) qui sera présenté pour les pays de l'Europe TIFFANY Continentale Téléphone : le 1" juillet à l'Empire BROCKLISS ÉLYSÉES 1 4-65 - 66 J. FRANK Câbles : Administrateur-Délégué TIFPRO-PAR1S Andrée Lafayette Gabriel Gabrio Est encore libre pour : RUSSIE POLOGNE ALLEMAGNE YOUGO-SLAVIE Albert Préjean Michèle Verly LETTONIE - LITHUANIE - ESTHONIE Diana Karenne HONGRIE - BULGARIE - TURQUIE ALGERIE - MAROC FRANÇAIS - TUNISIE Mise en scène lllllllllllllllli de H. Etiévant Tous les autres pays d'Europe et d'Egypte sont vendus avec la collaboration de N. Evreinoff tiniiiiiiiiiiiii Production LUCKY-BOY Centrale Cinématographique Le film sonore de George JESSEL, sera projeté au Sté L'Ecran d'Art GRAND THÉÂTRE TUSCHINSKI A AMSTERDAM Distribution Mappemonde-Films Plaidoyer pour le Cinéma King VîJor ou VA 100 ®lo Bébés, stylographes, pardessus ou films, l'Amérique graphique de Santa-Monica. Successivement, il sera N risquant ce plaidoyer pour le cinéma je ne veux ne produit que des articles de tout premier choix, de électricien, balayeur, figurant, titreur, petit rôle, barman mort ou même qu'il pourrait mourir. Ce serait vraiment qualité excellente. Dans de grandes rues claires où du studio, agent de publicité, découpeur, photographe, nullement insinuer que l'art des images mouvantes est grouille un peuple avide de « Businessmen » au parler opérateur, assistant. En marge de son travail régulier, trop douloureux et nous ne pourrions considérer dur, aux énormes cigares, dans les rues récurées et il publiera des critiques cinématographiques et des bio¬ d'une âme sereine tant d'efforts héroïques accomplis fourbies de Boston, de Fisco, de Détroit, point de graphies de « stars » dans les gazettes et revues de depuis trente ans par tant d'hommes de bonne volonté place pour ces garçonnets débiles et prédestinés au Californie; puis (avec sa femme Florence Vidor), il et aujourd'hui anéantis. marxisme, aux maux de tête, aux infortunes conjugales tournera une petite comédie en 1.200 mètres dont il sera Et cependant, dans la folie d'un enthousiasme comme on en voit si souvent dans les faubourgs de à la fois l'auteur, le metteur en scène et l'acteur prin¬ nous ne Paris, de ou a dont percevons pas très bien les raisons, on Berlin de Vienne. Il n'y là, vraiment, cipal et qu'il commanditera lui-même, avec ses écono¬ va criant mies partout : « Le film muet est mort ! Vive le film parlant ! » que des enfants sains et forts. Le petit King Vidor, né plus que chétives. Il apprendra le métier de A à Z; En en il saura tout ce Amérique, D. W. Griffith, Menjou, Lubitsch, Douglas ont proféré 1895 à Salveston (Texas), est un robuste garçon que sait (ou ne sait pas mais se targue mort et nage trem¬ de l'arrêt de que le grand Chaplin se refuse à sanctionner. En Alle¬ blond rose. Il et il boxe. Il colle des « savoir) un décorateur, un scénariste, un cameraman. En art et magne même ostracisme. Et chez nous, les meilleurs esprits se déclarent pes » aux petits négrillons les plus forts. Il ne se moque poésie, les Améripains font montre de cette même force prêts à enterrer — à enterrer sans honneurs — le monstre qu'ils nourrirent si pas mal de toutes les abstractions chères à M. le Pas¬ physique, cette même irréductibilité longtemps de leur propre substance. teur, du Droit, de la Morale. Il lui arrive quelquefois qui les distingue dans tous les autres domaines de la Alors, je ne comprends plus. d'aller à l'école où on apprend à calculer, à monter vie. Et aussi, du même mauvais goût. Mais, à mesure Ce n'est à pays pas le procès du film parlant que je prétends amorcer ici. çheval, à connaître les étrangers (quel ennui), qu'ils s'obstinent, ils se débarrassent du mauvais goût. Nouveau venu dans le à se battre pour cycle des amusements humains, il se défend par lui- (c'est mieux!). Mais le plus souvent, chaque King Vidor a tourné (depuis 1921) la Métro même. On soir peut, on doit lui faire confiance, car il grandira et se perfection¬ presque, il va au cinéma. quelque chose comme 22 ou 23 films. Ses premiers nera. Le rubans Exprimant ouvertement mon opinion, je me suis fait traiter de béotien. (ciné ! Enchanteur royaume où les collégiens témoignent simplement d'une grande application — ne en et d'une sincérité absolue. Pas de génie encore, pas Vous pouvez nier, ni surtout arrêter le progrès, m'a-t-on répliqué des U.S.A. se muent merveilleusement explorateurs, dédaigneusement. en savants, en bandits, en banquiers, en guerriers. Le même de talent — des fautes de mesure et de goût Le ciné ! progrès n'a rien à voir dans cette affaire, car le film parlant est On y rencontre des « girls » timides et rêveuses effroyables. Puis, dans La Sagesse de Trois Vieux Fous un aux et Parade, du talent. mélange plus ou moins heureux du cinéma et du phonographe qui datent longs cils. On y baigne dans un romantisme tout dans La Grande La Bohème, mé¬ l'un et l'autre de plus de trente ans. en couleurs et en bruit. Singapour et ses bouges, les lange de grand talent (l'agonie de Liban Gish) et de Sans nier Trois l'intérêt spectaculaire et scientifique du film parlant, je ne Mousquetaires, les chevauchées folles dans les simple métier. The Patsy (Cest une gamine charmante), le considère forêts frémissantes, les duels (en personne ne talent épuré. Puis, pas comme un « progrès », ce qui reviendrait à dire que le Amérique enfin, après dix ans d'efforts, La cinéma auditif est un cinéma visuel amélioré. Or, ce sont deux choses très se bat plus en duel), les trains emballés, les mines de Foule, double réussite, artistique (ce n'est rien au fond !) diamant ! et humaine différentes, presque opposées et ce qui me révolte précisément c'est de voir (c'est énorme !) la Un « Dans La Foule, dit King Vidor, je me suis gloire du jeune dieu nouveau s'établir sur les ruines du temple ancien. soir, après le spectacle, le jeune King Vidor enfin L'art muet n'était donc rien, ou n'était qu'un amusement très inférieur, décide qu'il ne restera pas à Salveston (Texas) qu'il permis d'être moi-même intégralement. Avant de m'ex- puisque aujourd'hui ceux-là mêmes qui l'on adoré le renient solennellement à ne sera pas dessinateur en bâtiment comme son père, primer, je voulais apprendre complètement mon métier la face du ciel. ni charpentier comme son frère, ni horloger comme son de metteur en scène et d'auteur. » La Foule est un Je persiste à penser avec Charlie Chaplin, avec Léon Poirier, avec Jac¬ oncle, mais qu'il ira loin, à New-York, à Frisco et qu'il réquisitoire implacable contre l'Amérique d'aujour¬ d'hui; ce pourtant, un ques de Baroncelli, avec Louis Delluc qui eut une si profonde et si pénétrante y fera des « pictures » pleines de belles femmes et de réquisitoire seul Américain pou¬ vait le dresser avec une telle vigueur, un tel relief. « conception du film art visuel, que le cinéma était quelque chose, quelque chose vie, d'aventures, de soleil et de crimes romantiques. Je de Pas dessinateur comme son remercie humblement les Suédois, mes ennemis, disait vivant, de merveilleux, de très précieux, quelque chose qui valait tous les père, ni horloger comme Pierre-le-Grand ; ils appris, en sacrifices pour le sauver du naufrage des inconséquences humaines. son oncle ! Mais Américain tout de même, comme m'ont m'infligeant Art d'abord » d'expression, il se parait de silence et le silence était sa dignité. Il eux, plus qu'eux peut-être, Américain à 100 %, entre¬ quelques défaites, à les battre. s'était fondé en King ne pas opposition avec le dialogue du théâtre, mais ne réussit jamais prenant, remuant, rasé, fougueux, sain, bruyant, prompt, Vidor qui voulait devenir charpentier de ou complètement à s'affranchir de l'emprise du théâtre.
Recommended publications
  • Before the Forties
    Before The Forties director title genre year major cast USA Browning, Tod Freaks HORROR 1932 Wallace Ford Capra, Frank Lady for a day DRAMA 1933 May Robson, Warren William Capra, Frank Mr. Smith Goes to Washington DRAMA 1939 James Stewart Chaplin, Charlie Modern Times (the tramp) COMEDY 1936 Charlie Chaplin Chaplin, Charlie City Lights (the tramp) DRAMA 1931 Charlie Chaplin Chaplin, Charlie Gold Rush( the tramp ) COMEDY 1925 Charlie Chaplin Dwann, Alan Heidi FAMILY 1937 Shirley Temple Fleming, Victor The Wizard of Oz MUSICAL 1939 Judy Garland Fleming, Victor Gone With the Wind EPIC 1939 Clark Gable, Vivien Leigh Ford, John Stagecoach WESTERN 1939 John Wayne Griffith, D.W. Intolerance DRAMA 1916 Mae Marsh Griffith, D.W. Birth of a Nation DRAMA 1915 Lillian Gish Hathaway, Henry Peter Ibbetson DRAMA 1935 Gary Cooper Hawks, Howard Bringing Up Baby COMEDY 1938 Katharine Hepburn, Cary Grant Lloyd, Frank Mutiny on the Bounty ADVENTURE 1935 Charles Laughton, Clark Gable Lubitsch, Ernst Ninotchka COMEDY 1935 Greta Garbo, Melvin Douglas Mamoulian, Rouben Queen Christina HISTORICAL DRAMA 1933 Greta Garbo, John Gilbert McCarey, Leo Duck Soup COMEDY 1939 Marx Brothers Newmeyer, Fred Safety Last COMEDY 1923 Buster Keaton Shoedsack, Ernest The Most Dangerous Game ADVENTURE 1933 Leslie Banks, Fay Wray Shoedsack, Ernest King Kong ADVENTURE 1933 Fay Wray Stahl, John M. Imitation of Life DRAMA 1933 Claudette Colbert, Warren Williams Van Dyke, W.S. Tarzan, the Ape Man ADVENTURE 1923 Johnny Weissmuller, Maureen O'Sullivan Wood, Sam A Night at the Opera COMEDY
    [Show full text]
  • Film Front Weimar: Representations of the First World War in German Films from the Weimar Period (1919-1933) Kester, Bernadette
    www.ssoar.info Film Front Weimar: Representations of the First World War in German Films from the Weimar Period (1919-1933) Kester, Bernadette Veröffentlichungsversion / Published Version Monographie / monograph Zur Verfügung gestellt in Kooperation mit / provided in cooperation with: OAPEN (Open Access Publishing in European Networks) Empfohlene Zitierung / Suggested Citation: Kester, B. (2002). Film Front Weimar: Representations of the First World War in German Films from the Weimar Period (1919-1933). (Film Culture in Transition). Amsterdam: Amsterdam Univ. Press. https://nbn-resolving.org/ urn:nbn:de:0168-ssoar-317059 Nutzungsbedingungen: Terms of use: Dieser Text wird unter einer CC BY-NC-ND Lizenz This document is made available under a CC BY-NC-ND Licence (Namensnennung-Nicht-kommerziell-Keine Bearbeitung) zur (Attribution-Non Comercial-NoDerivatives). For more Information Verfügung gestellt. Nähere Auskünfte zu den CC-Lizenzen finden see: Sie hier: https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0 https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/deed.de * pb ‘Film Front Weimar’ 30-10-2002 14:10 Pagina 1 The Weimar Republic is widely regarded as a pre- cursor to the Nazi era and as a period in which jazz, achitecture and expressionist films all contributed to FILM FRONT WEIMAR BERNADETTE KESTER a cultural flourishing. The so-called Golden Twenties FFILMILM FILM however was also a decade in which Germany had to deal with the aftermath of the First World War. Film CULTURE CULTURE Front Weimar shows how Germany tried to reconcile IN TRANSITION IN TRANSITION the horrendous experiences of the war through the war films made between 1919 and 1933.
    [Show full text]
  • 1 Veit Harlan and Jud Süß – Conrad Veidt and Jew Süss Veit Harlan And
    1 Veit Harlan and Jud Süß – Conrad Veidt and Jew Süss Veit Harlan and Conrad Veidt were both associated with the flowering of German stage and cinema in the Weimar Republic. Veidt, born in 1893, was already a major figure, starring in productions like The Cabinet of Dr.Caligari that made cinema history. Harlan, seven years younger, was beginning to make a name for himself on the stage. When Hitler came to power their paths diverged diametrically. Harlan was an opportunist, made his peace with the regime and acquired a reputation as a director of films. Later he and his second wife, Hilde Körber, became friends of Goebbels. In April 1933 Conrad Veidt, who had just married his Jewish third wife, Lily Prager, left Germany after accepting the role of the German Commandant in the British film I was a Spy . When he returned to Germany the Nazis detained him to stop him taking the lead role in the projected British Jew Süss film. He eventually got out, but his acceptance of the role made the breach with his native country irrevocable. Six years later Harlan was persuaded by Goebbels to take on the direction of Jud Süß , the most notorious but also one of the most successful of the films made under the auspices of the Nazi Propaganda Ministry. Kristina Söderbaum, then his wife, took the female lead. In the meantime Conrad Veidt had moved to Hollywood and in 1942 appeared as Major Strasser, the German officer, in Casablanca , a role for which he is probably best known in the Anglo-Saxon world.
    [Show full text]
  • Werner Krauss
    Krauss, Werner akademischer Titel: Prof. Dr. phil. habil. Dr. phil. h. c. mult. Prof. in Leipzig: 1947-58 Professor mit Lehrstuhl für Romanische Philologie. 1958-61 Honorarprofessor für Romanische Philologie. Fakultät: 1947-1951 Philosophische Fakultät - Philologisch-Historische Abt., Institut für Romanistik. 1951-1958 Philosophische Fakultät - Institut für Romanistik. Lehr- und Romanische Philologie. Französische Literatur und Gesellschaftsgeschichte. Hispanistik. Forschungsgebiete: Spanische Literatursprache und Geistesgeschichte des 16. und 17. Jahrhunderts. weitere Vornamen: Rudolf Lebensdaten: geboren am 07.06.1900 in Stuttgart. gestorben am 28.08.1976 in Berlin. Vater: Dr. phil. Rudolf Krauss (Geh. Archivrat) Mutter: Ottilie Krauss geb. Schüle (Hausfrau) Konfession: ev.-luth. Lebenslauf: 1906-1915 Volks- und Realschule in Stuttgart. 1915-1918 Humanistisches Eberhard-Ludwigs-Gymnasium zu Stuttgart mit Abschluss Abitur. 7/18-1/19 Wehrdienst als Kanonier bei der 4. Ersatz-Batterie beim Feldartillerie-Regiment Nr. 13. 1918-1919 Studium der Rechte, Wirtschafts-, Literatur-, Kunstgeschichte u. Philosophie in München. 1919-1921 Studium der Rechte, Wirtschafts-, Literatur-, Kunstgeschichte u. Philosophie in Berlin. 1921-1922 Studium der Literaturwissenschaften (Romanistik) u. Kunstgeschichte an der Univ. Berlin. 1922-1923 Aufenthalt in Spanien zum Sprach- u. Literaturstudium sowie Übersetzertätigkeiten 1923-1926 Studium der Hispanistik an der Universität Madrid. 1926-1929 Studium an der Universität München mit Abschluss des romanistischen Studienganges. 1929-1931 Studien an der Preußischen Staatsbibliothek zu Berlin, in München und Paris. 1931-1935 apl. Assistentenstelle am Romanistischen Seminar der Philipps-Universität Marburg. 2.05.1932 Zulassung als Privatdozent an der Philosophischen Fakultät der Philipps-Universität Marburg. 1932-1940 Privatdozent für Romanische Philologie an der Philipps-Universität Marburg. 16.10.1935 Beauftragung zur Vertretung des Lehrstuhls für Romanische Philologie in Marburg.
    [Show full text]
  • Cette 14E Édition
    Cette 14e édition du Festival International du e Villagio Coppola est un complexe immobilier la bourgeoisie napolitaine, a vu son déclin initié dans Documentaire s’ouvre aujourd’hui 27 juin et se poursuivra construit à l’orée des années 60 près de Naples. la pollution du littoral par des stations d’épuration mal jusqu’au 2 juillet 2003. Edifié en dépit de toute légalité grâce à la corruption gérées et accéléré au moment du tremblement de Elle manifeste d’une toujours plus grande ouverture sur active de l’administration, cet ensemble flamboyant terre qui secoua la région au début des années 80. Le le monde et les modes cinématographiques internationa- à sa création, alors lieu de villégiature à la mode pour Villagio, dont nombre d’appartements étaient vacants, les certes mais aussi de fut alors réquisitionné proximité. pour reloger les sinis- Les images et les sons trés. Ainsi, loin des ramenés des cinq con- catégories moyennes tinents et de Marseille, et huppées, ces bâti- nous donnerons à voir, ments hébergèrent des pour la plupart, en pre- familles modestes et mière mondiale, les des petits délinquants avancées de l’écriture venus des quartiers cinématographique qui pauvres de Naples. traduisent la multiplicité L’histoire du Villagio est des regards. bien entendu celle d’un Manifestation d’ouver- certain capitalisme dévas- ture et d’échanges, tateur qui se déploie au c’est ce que nous avons ...suite en page 2 voulu faire avec ce jour- nal quotidien du Festival qui est là, bien sûr, pour Un acteur n’ap- vous informer mais sur- tout pour être un outil de prend pas un convivialité, entre vous festivaliers et tous ceux texte comme qui en sont les anima- teurs, auteurs, réalisa- on apprend un teurs, débatteurs, etc … Manifestation d’ouver- poème à l’école.
    [Show full text]
  • A Short History of Horror Films
    A Short History of Horror Films Part I: 1896-1930 A Timeline of Horrors (-1950) 1910 1920 1930 1940 1950 European Tales American of Terror Monsters A Timeline of Horrors (1950-) 1950 1960 1970 1980 1990 2000 British Hollywood Video and Euro-Horror Horror Devilry Violence 1 Tales of Mystery and Imagination The Early Years (1896-1918) Thrills and Scares The Great Train Robbery, 1903 Arrival of a Train, 1895 Edwin S. Porter Lumière Brothers Fantasy The Palace of Arabian Knights , 1905 Haunted Curiosity Shop, 1901 George Méliès R. W. Paul 2 George Méliès (1861-1938) The Devil's Manor, 1896 Beelzebub's Daughters , 1903 The Devil's Laboratory, 1897 The Witch's Revenge, 1903 The Bewitched Inn , 1897 The Inn Where No Man Rests , 1903 Black Magic, 1898 Wandering Jew, 1904 Cave of the Demons, 1898 Black Devil, 1905 Bluebeard, 1901 The Legend of Rip Van Winkle , 1905 The Treasures of Satan , 1902 The Devilish Tenant , 1909 The Monster, 1903 The Doctor's Secret, 1910 Faust in Hell, 1903 Violence: Grand Guignol Frankenstein (1910) Charles Ogle as Frankeistein’s Monster in Frankenstein by J. Searle Dawley 3 D.W. Griffith, the Moralist The Sealed Room, 1909, based on Poe’s The Cask of Amontillado More Griffith The Avenging Conscience, 1914, based on Poe’s Tell-Tale Heart 80 mins Other Early Poe Movies Pit and the Pendulum Systeme du Docteur 1909, 1913 Goudron et du Professeur Plume 1912 Student of Prague (William Wilson) 1913 Murder in the Rue Morgue 1908, 1914 Masque of Red Death 1919 (Fritz Lang), 1923, 4 German Expressionism and Hollywood’s Discovery of Horror The Early Classics (1918-1930) The Cabinet of Dr.
    [Show full text]
  • Film Front Weimar’ 30-10-2002 14:10 Pagina 1
    * pb ‘Film Front Weimar’ 30-10-2002 14:10 Pagina 1 The Weimar Republic is widely regarded as a pre- cursor to the Nazi era and as a period in which jazz, achitecture and expressionist films all contributed to FILM FRONT WEIMAR BERNADETTE KESTER a cultural flourishing. The so-called Golden Twenties FFILMILM FILM however was also a decade in which Germany had to deal with the aftermath of the First World War. Film CULTURE CULTURE Front Weimar shows how Germany tried to reconcile IN TRANSITION IN TRANSITION the horrendous experiences of the war through the war films made between 1919 and 1933. These films shed light on the way Ger- many chose to remember its recent past. A body of twenty-five films is analysed. For insight into the understanding and reception of these films at the time, hundreds of film reviews, censorship re- ports and some popular history books are discussed. This is the first rigorous study of these hitherto unacknowledged war films. The chapters are ordered themati- cally: war documentaries, films on the causes of the war, the front life, the war at sea and the home front. Bernadette Kester is a researcher at the Institute of Military History (RNLA) in the Netherlands and teaches at the International School for Humanities and Social Sciences at the University of Am- sterdam. She received her PhD in History FilmFilm FrontFront of Society at the Erasmus University of Rotterdam. She has regular publications on subjects concerning historical representation. WeimarWeimar Representations of the First World War ISBN 90-5356-597-3
    [Show full text]
  • Film Posters Das Höchste Gesetz Der Natur
    Filmplakate Film Posters Das höchste Gesetz der Natur Die Überlieferung zu diesem Film ist recht What we know about this film is quite sparse. dünn. Weder Regisseur noch Mitwirkende sind Neither the director nor the cast are known, bekannt, auch die nationale Produktion bzw. and even the national production and its year das Entstehungsjahr bleiben unklar. Überlie- of origin remain uncertain. What is known is fert ist jedoch ein durch die Berliner Polizei that the Berlin police issued a ban on screen- erteiltes Verbot der Aufführung vor Kindern. ings for children. In 1916 the Lichtbild-Bühne, Die „Lichtbild-Bühne“ beschreibt den Film 1916 no. f20, described the film as a dramatic Wild als dramatisches Wildwestschauspiel in drei West spectacle in three acts “that even a well- Akten, „an dem auch der wohlgesittete Euro- mannered European will enjoy.” päer sein Gefallen findet“. The only colored photograph included here, Das einzig kolorierte und damit augenfälligste and therefore the most conspicuous, shows a Foto des Plakats zeigt ein betendes Kind mit praying child with properly folded hands and artig gefalteten Händen und empor gerichteten eyes cast upwards. The woman next to the Augen. Die Frau daneben scheint jemand an- child seems to have someone else in view. The deren im Blick zu haben. Die um den Textblock smaller photos grouped around the text block gruppierten kleineren Fotos führen uns durch lead us through the plot of the film. It is the die Handlung des Films. story of two lovers whose paths have parted. Es ist die Geschichte zweier Liebender, deren A jovial third party appears, but is spurned.
    [Show full text]
  • Silent Film Music and the Theatre Organ Thomas J. Mathiesen
    Silent Film Music and the Theatre Organ Thomas J. Mathiesen Introduction Until the 1980s, the community of musical scholars in general regarded film music-and especially music for the silent films-as insignificant and uninteresting. Film music, it seemed, was utili­ tarian, commercial, trite, and manipulative. Moreover, because it was film music rather than film music, it could not claim the musical integrity required of artworks worthy of study. If film music in general was denigrated, the theatre organ was regarded in serious musical circles as a particular aberration, not only because of the type of music it was intended to play but also because it represented the exact opposite of the characteristics espoused by the Orgelbewegung of the twentieth century. To make matters worse, many of the grand old motion picture theatres were torn down in the fifties and sixties, their music libraries and theatre organs sold off piecemeal or destroyed. With a few obvious exceptions (such as the installation at Radio City Music Hall in New (c) 1991 Indiana Theory Review 82 Indiana Theory Review Vol. 11 York Cityl), it became increasingly difficult to hear a theatre organ in anything like its original acoustic setting. The theatre organ might have disappeared altogether under the depredations of time and changing taste had it not been for groups of amateurs that restored and maintained some of the instruments in theatres or purchased and installed them in other locations. The American Association of Theatre Organ Enthusiasts (now American Theatre Organ Society [ATOS]) was established on 8 February 1955,2 and by 1962, there were thirteen chapters spread across the country.
    [Show full text]
  • 02Bodyetd.Pdf (193.2Kb)
    Chapter I: Introduction Throughout history, there have been sporadic pockets or concentrations of intense intellectual activity around the globe. From Athens to Vienna, cities have often been associated with the historical eras in which they excelled. For example, the 5th century BC dramatists in Greece such as Aeschylus, Sophocles and Euripides helped to make Athens a leader in artistic creation during its prime. Vienna, the European capital of the music world during the 18th century, was a center of artistic creativity that included composers such as Mozart and Haydn. During the 1920s, the Weimar Republic held the distinction of being the epicenter of human thought and art, with Berlin firmly at the heart of this activity. A few of the familiar names connected to this era in German history are Thomas Mann, Albert Einstein, Theodor Adorno, Wassily Kandinsky, Lyonel Feininger, Fritz Lang, and F.W. Murnau. In addition to these individuals, many artistic and intellectual schools such as German Expressionism, the Frankfurt School, the Bauhaus, and “Der Sturm” are associated with the Weimar Republic. Socially, the period represents an equally intense atmosphere. The Weimar Republic thrived on entertainment, clubs, and night-life in general. Berlin was at the forefront of urban entertainment in Germany, rivaling the other major cities of the Western world. The nightscape of Berlin was marked by lighted signs advertising small cabaret clubs and lavish musicals. However, the streets were also lined with disabled war veterans, prostitutes, and businessmen alike, reflecting an increase of prostitution, debauchery and crime of which all are in some way connected to the unbelievable inflation that permeated all layers of social, cultural and political life in Weimar Germany during the Republic’s first few years.
    [Show full text]
  • DCP – Film Distribution 09/2018
    DCP – Film distribution 09/2018 Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung Murnaustraße 6 65189 Wiesbaden Film distribution Patricia Heckert phone.: +49 (0) 611 / 9 77 08 - 45 Fax: +49 (0) 611 / 9 77 08 - 19 [email protected] Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung Film distribution (DCP) 09/2018 Film title / Year Silent film / Music Type Credits Languages / Length Subtitles Abschied sound film directed by: Robert Siodmak german 77'25" DE 1930 cast: Brigitte Horney, Aribert Mog, Emilie alternate ending on DCP Unda Akrobat Schö-ö-ö-n sound film directed by: Wolfgang Staudte german 84'06'' DE 1943 cast: Charlie Rivell, Clara Tabody, Karl Schönböck, Fritz Kampers Als ich tot war music: Aljoscha Zimmermann silent film directed by: Ernst Lubitsch german intertitles 37'43" DE 1915 arrangement: Sabrina Hausmann cast: Ernst Lubitsch, Helene Voß tinted ensemble: Sabrina Hausmann, Mark Pogolski Amphitryon sound film directed by: Reinhold Schünzel german 103'11" DE 1935 cast: Willy Fritsch, Paul Kemp, Lilian Harvey Anna Boleyn music: Javier Pérez de Azpeitia silent film directed by: Ernst Lubitsch german intertitles 123'47" DE 1920 cast: Emil Jannings, Henny Porten, tinted Paul Hartmann restoration 1998 Apachen von Paris, Die without music silent film director: Nikolai Malikoff german intertitles 108'08'' DE 1927 cast: Jaque Catelain, Lia Eibenschütz, Olga Limburg Asphalt music: Karl-Ernst Sasse without mus directed by: Joe May german intertitles 94'14'' DE 1929 recording: Brandenburgische Philharmonie cast: Betty Amann, Gustav Fröhlich, Albert restoration
    [Show full text]
  • Overview of Major Programs and Special Events April–June 2017
    FOR IMMEDIATE RELEASE OVERVIEW OF MAJOR PROGRAMS AND SPECIAL EVENTS APRIL–JUNE 2017 Please note: This information is subject to change. Schedule for films series will be available soon. Additional programs will be announced as they are confirmed. MAJOR PROGRAMS AND FILM SERIES Martin Scorsese Retrospective THROUGH SUNDAY, APRIL 23, 2017 The final section of the Museum’s comprehensive retrospective, presented in conjunction with the major gallery exhibition Martin Scorsese, includes documentaries by Scorsese about film history (A Personal Journey with Martin Scorsese through American Movies,1995; My Voyage to Italy,1999), a portrait of his Italian-American heritage (Italianamerican, 1974), and several films he acted in—playing Vincent Van Gogh in Akira Kurosawa’s Dreams (1990) and a puffer fish in Dreamworks Animations’ Shark Tale (2004). In addition, the Museum presents encore screenings, most in 35mm, of Mean Streets (1973), Taxi Driver (1976), Goodfellas (1990), Kundun (1997), Silence (2016) with cinematographer Rodrigo Prieto and screenwriter Jay Cocks in person, a very rare theatrical presentation of Scorsese’s Bob Dylan documentary No Direction Home (2007), and a beautiful 35mm print of The Last Waltz (1978). A selection of films restored through support from The Film Foundation, a non-profit organization for film preservation and restoration founded and chaired by Scorsese, concludes with a program of avant-garde films (Ken Jacobs’s Blonde Cobra, 1963; Kenneth Anger’s Rabbit’s Moon, 1950–72; Shirley and Wendy Clarke’s Butterfly, 1967, among them), The Red Shoes (1948), and The Color of Pomegranates (1969) (all on April 9). Program info Theorizing the Web APRIL 7–8, 2017 A conference where scholars, journalists, artists, activists, and technology practitioners think conceptually and critically about the interrelationships between the Internet and society.
    [Show full text]