Voies Celtes en Bourg ogne Sud

Les escapades de l’ AMUR

Samedi 19 Février 2011 (Document complété le 4 février 2018) SAINT ROMAIN – AUXEY DURESSE (9 KM) 10

Départ : St Romain-le-Bas - Mairie.

AU FIL DE LA PROMENADE ... St Romain Occupé par des chasseurs dès le Paléolithique moyen (-150 000). On retrouve nombre de tumulus sur les hauteurs. Des paysans occupaient une terrasse au pied des falaises au Néolithique (-4300). Occupations ininterrompues jusqu'à la fin de l’âge de Bronze (-800). Réoccupé durant la conquête romaine et les invasions barbares, les grottes serviront de refuges et de caches. Au Xe siècle, des chevaliers occuperont des maisons de pierre protégées par une enceinte On voit apparaître le nom de Saint-Romain dans les possessions de Cluny à la charnière des XIe et XIIe siècles ; c'est l'évêque d'Autun qui est à l'origine de cette donation. Fontaine guérisseuse antique de Saint Ploto (culte jusqu’en 1823). Nature - Divers feuillus : chêne sessile, hêtre et le chêne pubescent. Egalement charme, merisier, érable champêtre et le sycomore, alisier blanc et torminal. Quelques résineux épars, pin noir, pin sylvestre et épicéa. - Buis parfois très abondant, noisetier, cornouiller mâle, viorne et troène prennent sa place. - Pelouses remarquables sur des affleurements rocheux (limodore avorté, inule des montagnes, aster lynosiris, phalangère à fleur de lis, odontite jaune). - En fond de vallon humide, aconit « casque de Jupiter », lys martagon… - Nombreux chevreuils, sangliers et blaireaux. - Sites de nidification de faucon pèlerin; Circaète Jean-le-blanc.

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Le château - Montée par le passage très escarpé de la grotte de la Tartebouille (traquenard diabolique où les retardataires de la messe de minuit étaient harcelés par un démon jusqu'à ce qu'un sacristain le noie dans le bénitier de l'église Saint-Hilaire – autre version : Ste Marguerite l’enchaina avec sa ceinture). - Initialement propriété des seigneurs de Saint-Romain (sa présence est attestée au XII ème siècle), il est ensuite acquis par les ducs de Bourgogne au XIVème siècle. Il est démantelé à la Révolution et les pierres servirent à reconstruire les maisons du village. - Une nécropole mérovingienne fut mise à jour. - Croix que M.Ponsot (Inventeur du papier d'Arménie) a fait construire (possédait un château à ST Romain-Le-Bas). - comblé : Il était si profond qu'en se regardant au-dessus de la margelle de grès, on y entendait les poules chanter dans l'autre monde - Le Fort champagne: Précédé de deux colonnes de pierres percées. Bâtiment construit en 1848, et utilisé au XIXe siècle par la société de tir " La chevalerie de St Romain ". Les stèles Deux stèles curieuses sont incluses dans un mur de la rue du Presbytère, l’une en anglais : Psaume 19.1 : « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l'étendue céleste annonce l'œuvre de ses mains. » La suite, “with moderate blessings be content” est le début d’un poème de Shakespeare : « contente toi de biens modestes …» L’autre dans une langue étrange : Il s’agit en fait du texte hébreu transcrit en caractères latin du 10 ème verset de la Genèse : « Le sceptre ne s'éloignera pas de Juda, ni le bâton de chef d'entre ses pieds, jusqu'à ce que le tribut lui soit apporté et que les peuples lui obéissent ». (La bible de Jérusalem) Pour moi, ça reste de l’Hébreu ! L’église St Hilaire Devant l'église une croix du XVIème L'église d’origine occupait l'emplacement de la nef actuelle. Elle était couverte de lauzes reposant sur une forte charpente. Site clunisien. Chœur et le clocher du XV ème . Sous le clocher-porche, imposants fonds baptismaux (provenant peut-être de la chapelle du château). A l’extrémité de la nef, un aigle aux ailes déployées supporte une chaire en pierre calcaire (1609). Sa rampe est animée d’un bas relief représentant les animaux prédateurs de la vigne. Les diverses statues datent des XVI ème et XVII ème siècles Restaurations aux XVII ème et XVIII ème siècles A la révolution, devint Temple de l’Etre Suprême de Belle Roche. La carrière de Sampeaux Ancienne carrière de dolomie (amendement calcaire et magnésien qui neutralise les sols acides, renforce la cohésion argile et humus, améliore la structure des sols lourds les rendant plus perméables et aérés, accélère la transformation des matières organiques par les microorganismes etc.) Le vignoble C'est l'un des premiers sanctuaires de la vigne celte et gallo-romaine en Bourgogne. Appellation d'origine contrôlée SAINT-ROMAIN. Les vins rouges peuvent porter la mention Côte de après le nom du village, ou encore s'appeler Côte de Beaune-Villages. Les principaux lieux dits du village : En Poillange, La Périère, Sous le Château, Sous la Velle, Sous Roche, Le Jarron. Les vins blancs (Chardonnay) qui représentent la plus grande production des 140 ha du vignoble sont fruités et minéralisés aux parfums de fleurs blanches. Les vins rouges (Pinot Noir) qui donnent leur maximum entre 2 et 8 ans, offrent une dominante de fruits rouges avec des tanins fins et élégants. Environs Les GR 7 et 76 traversent le village et font découvrir l’ensemble du site. Le sentier des Roches (15 km) permet d’aller au Château de et de revenir par les falaises d’Orches et de Saint Romain en passant par les ruines médiévales de Dracy. Le circuit de randonnée du pays beaunois N°17 sur lequel on pourra observer des cheminées de fées, les chantiers de fouilles archéologiques au pied des falaises et la grotte de la « Tartebouille »

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LECTURES

Encerclé entre des falaises abruptes et un éperon rocheux SAINT ROMAIN est un des villages les plus anciens de la région. Ce cirque de roches termine une profonde gorge entaillant la côte à l’ouest de . On y accède par un étroit passage et vous serez impressionnés en découvrant ce site grandiose et pittoresque. De nombreux circuits de randonnée vous permettent de découvrir les sites archéologiques ainsi que de nombreux panoramas et points de vue sur le vignoble : Les GR 7 et 76 traversent le village et font découvrir l’ensemble du site. Le sentier des Roches (15 km) permet d’aller au Château de La Rochepot et de revenir par les falaises d’Orches et de Saint Romain en passant par les ruines médiévales de Dracy. Le circuit de randonnée du pays beaunois N°17 sur lequel on pourra observer des cheminées de fées, les chantiers de fouilles archéologiques au pied des falaises et la grotte de la « Tartebouille » N’oubliez pas de flâner dans les rues et d’admirer Saint-Romain le Bas lové au pied des falaises, et autour de l’église, Saint Romain le Haut perché sur l’éperon rocheux avec les ruines de son ancien château. Une grande partie du territoire de la commune de Saint Romain est occupée par une forêt qui permet de nombreuses promenades. La flore forestière est constituée majoritairement de feuillus où domine le chêne sessile. Le hêtre et le chêne pubescent sont présents en mélange avec divers feuillus plus ou moins abondants suivant les endroits, parmi lesquels on peut trouver le charme, le merisier, l'érable champêtre et le sycomore, l'alisier blanc et torminal. On trouve également quelques résineux épars, pin noir, pin sylvestre et épicéa. Le buis parfois très abondant constitue l’étage arbustif. Partout où il est absent, noisetier, cornouiller mâle, viorne et troène prennent sa place. Mais ce sont les pelouses installées sur des affleurements rocheux qui représentent les cortèges floristiques les plus remarquables. On observe ainsi le limodore avorté (limodorum abortivum), l’inule des montagnes (inula montana), L’aster lynosiris (aster lynosiris), la phalangère à fleur de lis (anthericum liliago), l’odontite jaune (odonyis lutéa).

Enfin dans un fond de vallon humide, une pelouse mésophile où domine l’aconit « casque de Jupiter » et le lis martagon offre au printemps un paysage magnifique.

La faune sauvage présente en forêt de Saint Romain comporte de nombreux chevreuils, sangliers et blaireaux. Outre la vision en vol des rapaces ordinaires, la présence de sites de nidification permet d’apercevoir régulièrement le faucon pèlerin. On peut également apercevoir par moment le circaète Jean-le-blanc.

Les vignes des coteaux entourant le village sont plantées en Chardonnay et Pinot noir donnant des vins blancs et rouges dont la renommée n’est plus à faire. Les vins blancs qui représentent la plus grande production des 140 ha du vignoble sont fruités et minéralisés aux parfums de fleurs blanches. Les vins rouges qui donnent leur maximum entre 2 et 8 ans, offrent une dominante de fruits rouges avec des tanins fins et élégants. Les principaux lieux dits du village : En Poillange, La Périère, Sous le Château, Sous la Velle, Sous Roche, Le Jarron. http://mairie-saint-romain.fr/

Saint Romain: Le lavoir à impluvium du chemin d'Ivry dit: "lavoir du Bief". Construit en 1860 par Félix Goin, architecte à Beaune, et destiné principalement aux habitants du Haut-Village. Restauré en 1875, et en 1878, depuis cette dernière date, aucune réparation n'ayant été faite, la toiture menaçait de s'éffondrer. Il a été restauré en 1982.

Un passage très escarpé, reliant ST Romain-Le-Bas au pied des falaises, à ST Romain-Le-Haut perché sur l'éperon rocheux, avec les ruines de son ancien château.

Il y a une croix que M.Ponsot a fait construire. Il est l'inventeur du papier d'Arménie, et possèdait un château à ST Romain-Le-Bas.

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Le Fort champagne: Précédé de deux colonnes de pierres percées. Bâtiment construit en 1848 à l'emplacement d'un ancien four à pain, et utilisée au XIXe siècle par la société de tir " La chevalerie de st romain ". http://lerandonneur.centerblog.net/rub-st-romain-ses-environs-decouverte-.html

On voit apparaître le nom de Saint-Romain dans les possessions de Cluny à la charnière des XIe et XIIe siècles ; c'est l'évêque d'Autun qui est à l'origine de cette donation. Historique Le prieuré est à la tête d'un domaine composé d'une église et d'un important domaine viticole. Dès son entrée dans l'ecclesia Cluniacensis, le monastère est reconstruit et placé sous le patronage de saint Hilaire. Vers 1300, le duc de Bourgogne achète l'ensemble de la seigneurie de Saint-Romain et y partage ainsi, avec l'abbaye de Cluny, tous les droits qui lui sont rattachés. De 1267 à 1571, le prieuré est régulièrement mentionné dans les ordres de visite de l'abbaye de Cluny. Patrimoine L'église Saint-Romain a traversé les siècles et est aujourd'hui librement visitable. La maison du prieur, adjacente, est quant à elle propriété privée, mais reste visible de l'extérieur. Ce patrimoine clunisien côtoie d'autres patrimoines, tout aussi intéressants : les ruines du château seigneurial, les falaises (site classé depuis 1934), les vestiges gallo-romains, les fouilles archéologiques... http://www.sitesclunisiens.org/article.php?sid=191 Site archéologique du Verger Du néolithique à l'an mil, stratigraphies de 4,50 m de hauteur correspondant à seize occupations dont les principales sont en relation avec des habitats remontant au néolithique moyen I, aux âges du Bronze et du Fer. A l'époque gauloise puis gallo-romaine, les grottes serviront de refuge. Au Xe siècle, des chevaliers occuperont des maisons de pierre protégées par une enceinte. http://www.france89.com/21/hautslieux/2emedixhautslieuxdelacortedor.htm Lavoir dit de la pierre ronde Edifice largement ouvert en façade. Bassin rectangulaire en pierre de taille. La toiture couvre la totalité. Accès par deux arcades en plein cintre. XIXème http://patrimoine-de-france.com/cote-d-or/st-romain/lavoir-dit-de-la-pierre-ronde-26.php

Au pied de sa haute falaise, Saint-Romain occupe en Côte de Beaune une position élevée. Le paysage s'évase ici en larges perspectives. Fréquenté par des ours et des lions il y a 100 000 ans, ce site accueille des foyers de vie humaine très actifs depuis le néolithique. C'est l'un des premiers sanctuaires de la vigne celte et gallo-romaine en Bourgogne. Instituée en 1947, appellation d'origine contrôlée SAINT-ROMAIN est rouge (Pinot Noir) et blanche(Chardonnay). Le climat (lieu-dit lié à un terroir) figure souvent sur l'étiquette. Les vins rouges peuvent porter la mention Côte de Beaune après le nom du village, ou encore s'appeler Côte de Beaune-Villages. http://www.vins-bourgogne.fr/connaitre/...ses-vins/au-coeur-des-appellations/recherche-des- appellations- bourguignonnes,31,18.html?args=Y29tcF9pZD00NTMmYWN0aW9uPXZpZXdGaWNoZSZpZD0zOTQ mRnVsbExpc3RlPTF8

Le château occupe un éperon rocheux dominant le village. Les premiers textes attestent de sa présence dès le XIIe s. Acheté en 1300 par les ducs de Bourgogne, il fut rasé à la Révolution. Les fouilles ont mis au jour une nécropole mérovingienne et les restes de la chapelle castrale, église paroissiale jusqu'au XVe s. Un sentier archéologique fléché sur le site de l'ancien château fort démoli évoque l'histoire du lieu tout en offrant un superbe point de vue sur la Côte de Beaune. http://www.gralon.net/tourisme/a-visiter/info-chateau-de-saint-romain-saint-romain-17215.htm Le délicat passage de la Tartebouille Notre voyage à travers les âges se poursuit sur l'éperon rocheux qui domine le village. Au bien nommé Saint-Romain-le-Haut, non loin des imposants d'un prieuré de l'ordre de Cluny,un tilleul suffisamment vermoulu pour avoir connu quelques-uns des ours bruns de la caverne, étend ses branches cagneuses au-dessus d'un point de vue d'où, paraît-il, on peut apercevoir le mont Blanc par temps clair. Pour l'heure, l'horizon dévoile qu'un triste amoncellement de ouate grise. Les décombres du vieux château racheté par les Ducs de Bourgogne en 1300 et rasé à la Révolution répandent au

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Les escapades de l’ AMUR dessus de leurs merlons effondrés le suave et suranné parfum d'une complainte lamartinienne. Décor idéal pour un jeune poète préromantique en mal d'inspiration élégiaque. Les légendes poussent aussi facilement que la mousse le long des murets délabrés. On raconte lorsqu'une chouette effraie, la «dame blanche» des campagnes de jadis, voletait au-dessus des ruines pour aller s'abreuver au ruisseau, une jeune fille de Saint-Romain n'allait pas tarder à mourir. Plus loin, sommeillent les restes d'un puits comblé depuis belle lurette. Il était si profond qu'en se regardant au-dessus de la margelle de grès, on y entendait les poules chanter dans l'autre monde. On a beau tendre l'oreille ce matin, nulle volaille ne se manifeste. Le sentier descend sans plus attendre, raide et étriqué, entre paroi rocheuse et bosquet de charmes. C'est le passage de la Tartebouille, traquenard diabolique où les retardataires de la messe de minuit étaient harcelés par démon. Jusqu'à ce qu'un sacristain culotté s'empare du suppôt de Satan et le noie dans le bénitier de l'église Saint-Hilaire. Cela ne dut pas se faire sans quelques éclaboussures.. . Et le tonneau fut ! À la sortie de Saint-Romain, Frédéric Gillet fait un métier à peu près aussi répandu que joueur de viole de gambe. Avec l'arrivée des cuves en inox ou en ciment dans les années 70, les petits tonneliers de village ont la plupart fermé boutique. Mais on n'a pas tardé à réaliser que seul le bois permet d'assurer la micro-oxygénation indispensable aux vins de garde. Aujourd'hui, la compte 80 entreprises de tonnellerie (50 dans le Bordelais, 30 en Bourgogne), qui à elles seules se disputent pratiquement la totalité du marché mondial. Car le chêne français, relativement abondant, aux arômes subtils et balancés, reste incomparable pour les vignerons du monde entier et supplante aisément les chênes blancs d'Amérique aux arômes trop violents ou ceux d'Europe de l'Est aux fadasses fragrances. Chaque région révèle par ses chênes les caractéristiques de son terroir, fin et subtil du côté de l'Allier, plus rustique dans les Vosges. Il faut deux ans pour sécher le bois, plus exactement pour en chasser la sève qui viendrait irrémédiablement corrompre les précieuses cuvées. Compter quand même 6 m3 de chêne pour faire dix tonneaux standard, ceux de 228 L qui assurent le meilleur rapport entre volume et surface de contact avec le bois. « Une pièce de ce volume nécessite environ 4 heures de travail, passe entre les mains de 20 personnes et coûte 520 € HT. Chaque fût est unique. La région d'origine du bois est bien sûr importante mais la durée de chauffe des douelles (les pièces de bois) est déterminante pour le goût. Une chauffe rapide donnera un bois vanillé, plutôt boisé, une chauffe plus longue un bois plus épicé, «toasted» Ça, c'est le coup de patte du tonnelier! Ces arômes vont bien évidemment se transmettre au vin, puisque ce dernier pénètre les fibres du bois sur 5 mm de profondeur». Grâce à l'export, les affaires ne vont pas trop mal pour la tonnellerie Gillet: la production court sur toute l'année avec les États-Unis de mars à août, la France et l'Europe d'août à octobre, l'Afrique du Sud ou le Chili de novembre à mars. Et puis le renouvellement est fréquent: un tonneau n'a qu'une durée de vie de 4 ans... http://www.baubigny.net/tourisme/passionrando/passion_rando.htm

La Tartebouille , Tarteboille (Saint-Romain , Bouilland , Côte-d'Or) être malfaisant que sainte Marguerite put enchaîner avec sa ceinture http://www.cadole.eu/legendes/mythologie_bourguignonne.htm

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Carrière de Sapeaux La DOLOMIE est un amendement calcaire et magnésien aux multiples actions : - Neutralise les sols acides. - Renforce la cohésion argile et humus. - Améliore la structure des sols lourds les rendant plus perméables et aérés. - Accélère la transformation des matières organiques par les microorganismes, les engrais naturels sont ainsi assimilables plus rapidement. Le gazon, enraciné plus profondément, est apte à mieux se nourrir et à concurrencer la mousse qui se trouve ainsi dans un milieu défavorable.

La dolomie est une roche sédimentaire carbonatée composée d'au moins 50 % de dolomite. Très riche en magnésie, la DOLOMIE est également conseillée au pied des fleurs, légumes et arbres fruitiers pour lutter contre les carences magnésiennes en améliorant la floraison, la fructification et les qualités gustatives. Il s'agit d'un carbonate double de calcium et de magnésium, de composition chimique CaMg(CO 3)2, qui cristallise en prismes losangiques (rhomboèdres). La dolomie est donc une roche sédimentaire composée principalement de dolomite (entre 90 et 100 %) et de calcite, qui n'ont pas la même densité (dolomite : 2.87 ; calcite : 2.71), jouant un rôle fondamental dans l'érosion de la roche. http://fr.wikipedia.org/wiki/Dolomie

Plaques de la Rue du Presbytère Première plaque : LO IASOUR SCHEBET MIHOUDAH OUMEUKOHKETK IABO SCHILO OUHELO UKKEHATHNGHAM MIM GO POUYO UN TCHI KIA TCHOU CO YAKOU I YO WON KLA TCHOUIN

Il s’agirait d’un texte en hébreux transcrit en caractères latins et vraisemblablement du 10 ème verset du chapitre 49 de la Genèse

On y retrouve un certain nombre de mots de la plaque

SCHILO= Schilo est employé une fois dans la Bible dans le livre de la Genèse, ch 49, v 10 et signifie “celui à qui appartient le sceptre”, c'est à dire le Messie, le Christ. (Wikipedia) SCHEBET= Bâton de commandement LO IASOUR, MIHOUDAH, OUHELO, OUMEUKOHKETK, IABO, UKKEHATH, AM MIM…

Nouvelle méthode pour entrer dans la vrai sens de l'ecriture Sainte, Volume 2 Par Philippe Du Contant de la Molette page 303 et suivantes (dans Google, rechercher « MIHOUDAH » http://books.google.fr/books?id=229AAAAAcAAJ&pg=PA303&lpg=PA303&dq=MIHOUDAH&source=bl &ots=dh2tb5hpPn&sig=RQlIaC35CriXC1IHPPzZXBSTknY&hl=fr&ei=Ici6TJqWEJe8jAfD1PXlCw&sa= X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CBUQ6AEwAA#v=onepage&q=MIHOUDAH&f=false

Gn 49:10- Le sceptre ne s'éloignera pas de Juda, ni le bâton de chef d'entre ses pieds, jusqu'à ce que le tribut lui soit apporté et que les peuples lui obéissent. (La bible de Jérusalem) http://www.biblia-cerf.com/BJ/gn49.html

La seconde plaque en anglais : THE HEAVENS DECLARE THE GLORY OF GOD AND THE FIRM SHEWETH HIS HANDY WORK WITH MODERATE BLESSINGS BE CONTENT

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Traduction automatique de Google : Les cieux racontent la gloire de Dieu et révèle sa le cabinet de travail avec contenu handy bénédictions modérée (!) On peut retrouver la première partie : THE HEAVENS DECLARE THE GLORY OF GOD AND THE FIRM SHEWETH HIS HANDY WORK: The heavens declare the glory of God; and the firmament showeth the work of his hands. http://bible.cc/psalms/19-1.htm Psaume 19.1 :"Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l'étendue céleste annonce l'oeuvre de ses mains." La deuxième partie : WITH MODERATE BLESSINGS BE CONTENT avait résisté à la traduction ! http://www.michelledastier.org/index.php/2010/05/10/1780-xxxxxx

Quelques éclaircissements apportés par Catherine, érudite d’AMUR, lors de la visite de 2018 : Le mot " firm" en fait est tronqué , il faut lire "firmament" . Dans la Bible "firmament" = cloison solide qui soutient le ciel et qui sépare les eaux supérieures des eaux inférieures. Je dirais donc la voûte céleste. "sheweth ( verbe)= forme archaïque de shows / th = s de la 3ème personne singulier en anglais. Quant à la partie qui t'a résisté, elle ne fait pas partie du fameux psaume mais d'après ce que j'ai trouvé est le début d'un poème de Shakespeare que je n'ai pas trouvé mais qui a été cité dans son journal année 1820 par un nommé Moses Montefiore, "Jewish liberator and imperial hero", né en l'an 5545 (1784) financier anglais entre autre . le voici : With moderate blessings be content Nor idly grasp at every shade, Peace, competence, a life well spent Are blessings that can never fade; And he that weakly sighs for more Augments his misery, not his store. contente toi de biens modestes / de peu, ne te laisse pas tenter par des ombres, la paix, la compétence, une vie bien remplie sont des biens qui jamais ne se perdent; celui qui dans sa faiblesse aspire à davantage augmente sa misère, pas ses provisions Peut-être que Shakespeare a puisé dans les fragments d'Epicure...

Reste à savoir d’où viennent ces plaques …

Histoire

Déjà au Paléolithique moyen (environ 150 000 ans avant notre ère), encerclé par des falaises abruptes et des collines, le site de Saint-Romain fut occupé par des chasseurs. On retrouve nombre de tumulus sur les hauteurs. Au Néolithique, vers -4300, des paysans s’établirent sur une terrasse au pied des falaises. Les occupations persisteront pratiquement sans interruption jusqu'à la fin de l’age de Bronze, vers -800. Le site fut réoccupé durant la conquête romaine et les invasions barbares, les grottes serviront de refuges et de caches. Le culte des eaux (fontaine guérisseuse de Saint Ploto) se perpétua jusqu’en 1823. Une nécropole mérovingienne fut mise à jour. Occupant l’extrémité sud de l’éperon rocheux et dominant le village bas, fut construit un château (détruit en 1675), propriété des ducs de Bourgogne, dont la chapelle servit d’église paroissiale dès le XI ème siècle, puis l’église fut transférée de l’enceinte du château à l’emplacement de la chapelle du prieuré Saint-Hilaire (évêque de Poitiers au IV ème siècle), dépendant de l'abbaye de Cluny, au cœur du village haut. L'église occupait alors l'emplacement de la nef actuelle. Elle était couverte de lauzes reposant sur une forte charpente. Au XV ème siècle furent construits le chœur et le clocher. Plus tardivement, la nef fut voûtée. Des restaurations furent effectuées aux XVII ème et XVIII ème siècles. A la révolution, l’église de Saint-Romain devint Temple de l’Etre Suprême de Belle Roche et les pierres du château servirent à reconstruire les maisons du village.

L’église possède un portail en accolade.

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Sous le clocher-porche situé a l’entrée, d’imposants fonds baptismaux (provenant peut-être de la chapelle du château) dominent un escalier de 11 marches permettant de descendre dans la nef en contrebas. A l’extrémité de la nef, un aigle aux ailes déployées supporte une chaire en pierre calcaire construite en 1609. Sa rampe est animée d’un bas relief représentant les animaux prédateurs de la vigne. Les diverses statues datent des XVI ème et XVII ème siècles Devant l'église une croix du XVIème http://www.mairie-saint-romain.fr/fr/histoire.htm

Les informations contenues dans ce document proviennent essentiellement d’Internet, et, à ce titre, doivent être prises avec discernement. Tout renseignement complémentaire serait le bienvenu.

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