La Croisière Du Vanadis: Sur Les Traces D'edith Wharton
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École doctorale n° 509. « Civilisations et Sociétés euro- méditerranéennes et comparées » Laboratoire Babel EA 2649 THÈSE présentée par : Aurélie DELL’OLIO soutenue le : 28 novembre 2014 pour obtenir le grade de Docteur en Langues et littératures anglaises et anglo- saxonnes LA CROISIÈRE DU VANADIS : SUR LES TRACES D’EDITH WHARTON TOME I THÈSE dirigée par : Madame O’KELLY Dairine Professeur émérite, Université de Toulon JURY : Madame CONROY Jane Professeur émérite, Université nationale de Galway Monsieur JOLY André Professeur émérite, Université Paris IV-Sorbonne Madame LÉVÊQUE Laure Professeur, Université de Toulon Madame ULLMO-MICHEL Anne Maître de conférences, HDR, Université de Lille 3 Madame VINCENT-ARNAUD Nathalie Professeur, Université de Toulouse * REMERCIEMENTS À travers ces quelques lignes, je souhaite que tous ceux qui, de près ou de loin, m’ont accompagnée dans ce projet de thèse, gardent une trace de ma reconnaissance… En premier lieu, je tiens à remercier les membres du jury pour leur disponibilité, le temps consacré à la lecture de cette thèse et l’intérêt qu’ils lui ont porté. Leur évaluation finalisera le fruit d’un travail de quatre ans, prenant et enrichissant. Cette décision de me lancer dans l’élaboration de cette thèse, je la dois surtout à ma directrice de thèse, Dairine Ni Cheallaigh (O’Kelly), qui m’a vivement encouragée. Ainsi, j’ai quitté le secondaire où j’étais destinée à enseigner pour poursuivre mon parcours dans l’enseignement supérieur, univers qui m’a toujours attirée et dans lequel je m’épanouis aujourd’hui. Merci tout particulièrement à Thierry Di Manno, d’abord en tant que Directeur de l’École Doctorale et aujourd’hui Doyen de l’université de Toulon, mais aussi en tant qu’homme, modèle de justesse et de droiture. C’est un honneur pour moi de travailler, à présent, sous sa responsabilité et la confiance qu’il m’accorde nourrit ce sentiment permanent d’éternelle reconnaissance et m’encourage à m’investir davantage dans mon travail. Je remercie également le professeur Badawi Shahal pour la confiance qu’il m’a accordée lors de son invitation au sein de l’université de Beyrouth pour y dispenser des conférences. Ce fut un immense privilège pour moi d’être reçue et son assurance d’une collaboration future renforce mon sentiment de gratitude. Grâce à Monique Léonard, j’ai pu entrer dans la participation active à la recherche en équipe et diriger l’organisation des Doctoriades (« Journées de la jeune recherche ») en prenant en charge l’atelier Babel. Au sein du laboratoire, Xavier Leroux m’a été d’une aide précieuse, entre autres, pour la publication du numéro des Doctoriades ; de même, Alessandro, Clare (qui restera à jamais “The Angel”) me transmettant son goût pour la littérature. Quant à Martine Sagaert, elle m’a donné son « feu vert » pour la création de la revue consacrée aux Doctoriades et du premier numéro dont j’ai dirigé la publication. Au-delà des obligations et des devoirs, ce nouveau rôle de représentant des doctorants restera pour moi une expérience unique dans le monde de la recherche. Aussi, je remercie les membres du Conseil de l’École Doctorale, particulièrement, Michel Durampart pour sa confiance et sa disponibilité, mais également Sabine Romanes, la perle qui nous manque déjà. Les doctorants : Amandine, Christophe, Ôphélia, Marjorie, Manal, Yousra, Vlad, un ami précieux qui m’a tant apporté, et celle qui me redonne le sourire dès qu’elle franchit la porte : Marine. Je souhaiterais également remercier Hélène Magnin pour tout ce qu’elle m’a appris sur l’écrivain D.H. Lawrence et notamment sur le récit Sea and Sardinia . Merci, aux membres de l’équipe ERIS, à Yves Bardière qui se distingue par sa gentillesse et sa douceur, sans oublier bien sûr, Pierre-François – collègue devenu ami – pour son écoute attentive et son épaule réconfortante. Également, l’équipe « Civilisations et Sociétés Euro-méditerranéennes et Comparées » et sa présidente Laure Lévêque, pour les nombreux échanges qui ont nourri ma première communication au sein de l’axe à l’occasion d’un des séminaires et pour la publication qui en a découlé. Les rencontres professionnelles ont joué aussi un rôle majeur dans l’élaboration de cette thèse ; je pense au personnel de la médiathèque de la ville d’Hyères, notamment à son directeur, Alain Depieds, qui m’a ouvert les portes de son établissement qui recèle de véritables trésors comme celui du manuscrit dactylographié. Je lui suis infiniment reconnaissante de m’avoir fait bénéficier de cet accès privilégié et de m’avoir accordé l’autorisation de reproduire le manuscrit dans ma thèse. Et pour conclure, je le remercie de me faire la faveur de m’accueillir au sein de l’UTD pour y donner très prochainement une conférence, programmée pour 2015. Je tiens également à exprimer ma gratitude envers M. et Mme Olivo qui m’ont fait découvrir leur association, « Les amis d’Edith Wharton à Hyères ». II Lors d’un colloque à Florence, organisé par l’association “The Edith Wharton Society”, j’ai eu la chance de rencontrer des spécialistes ô combien impliqués et animés d’une passion commune pour ce même écrivain et qui m’ont permis de participer activement aux démarches administratives relatives à la rénovation de la sépulture d’Edith Wharton située au cimetière des Gonards à Versailles. Je n’oublie pas ma rencontre avec Claudine Lesage qui a donné lieu à des discussions et des débats très constructifs autour d’un domaine de recherche commun. Je la remercie amplement pour sa disponibilité et l’autorisation d’utiliser sa traduction française du récit de la croisière du Vanadis . Il en est de même pour les membres de la SAES rencontrés lors du congrès à Caen en mai 2014, plus particulièrement les organisateurs de l’atelier auquel j’ai participé – Stephen Morrison et Guillaume Coatalen, grâce à qui j’ai pu me familiariser davantage avec l’univers bien singulier des manuscrits. C’est d’ailleurs un grand plaisir et une immense fierté pour moi, de faire partie du comité organisateur du prochain congrès de la SAES qui se tiendra à Toulon en 2015. Durant mon voyage sur les traces de l’auteur, mes différentes recherches ont été facilitées par la contribution active de professionnels ou bénévoles qui m’ont gentiment apporté leur aide. Je pense notamment au personnel de la bibliothèque de Rhodes, pour les heures passées à parcourir et à traduire les livres grecs que je souhaitais exploiter dans ma thèse. Un grand merci à Panagiotis Solis pour son aide incommensurable à Zante et pour sa passion pour l’île qu’il sait si bien communiquer. Également Panos et Taki Gerasimou à Rhodes, Spirosargi Argi à Athènes, Enrico Gambadoro et Cosimo Aleo à Syracuse, Nacho Corrao à Palerme, Davide Fanara à Agrigente, Tobias Kruisselbrink et Manu à Taormine et, bien entendu, tous ceux dont le nom m’a échappé, prise dans l’euphorie du moment. Il y a aussi mes amis, si indulgents et compréhensifs, sans qui je n’aurais pu « relâcher la tension nerveuse » : Amandine, Élise, Stéphane, Steven, Julien, J-B, III Marianne, Yorick, Nico, Yoyo, Loïc , Bruno, Sonia, Denis, Patricia, Romain pour l’intérêt qu’il a su porter à ma thèse et son soutien, de même Damien insufflant toujours les meilleurs conseils et « reboosteur » de moral, sans omettre bien entendu ma petite Maud, toujours à mes côtés dans les moments les plus agréables comme les plus difficiles. Merci, également aux membres de ma famille qui ont suivi de près ou de loin l’élaboration de ma thèse en m’apportant leur encouragement et leur réconfort : Cécile ma sœur et mon beau-frère Micka, mes cousins, cousines, tantes et mes chers grands-parents. Enfin les mots ne sont pas assez forts pour rendre justice à tout ce que je dois à mes parents… Sans leur encouragement et leur soutien sans faille, je n’aurais pu ni entreprendre, ni mener à bien ce travail. Je leur dois ma réussite et ma joie de vivre… Et je conclurai en remerciant ma fidèle et dévouée amie, Morgane, dont la générosité débordante a contribué fortement à surmonter cette épreuve qu’est la réalisation d’une thèse…et surtout pour le plus beau des cadeaux… IV SOMMAIRE INTRODUCTION ............................................................................................................. 1 PREMIÈRE PARTIE ....................................................................................................... 7 Chapitre 1 - Contexte et arrière-plan .............................................................................. 8 1. Le tourisme américain de 1830 à 1900 .............................................................................. 10 2. La naissance de la littérature américaine ............................................................................ 30 3. La littérature de voyage ...................................................................................................... 42 4. Le bon et le mauvais touriste.............................................................................................. 50 Chapitre 2 - Edith Wharton – la femme et l’écrivain .................................................. 59 1. Sa vie, son parcours............................................................................................................ 62 2. La genèse de son œuvre littéraire ..................................................................................... 108 3. Une vie marquée par l’exil ............................................................................................... 133 Chapitre 3 - L’influence des écrivains voyageurs .....................................................