Bezuidenhout Heras-Casado

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Bezuidenhout Heras-Casado Mendelssohn Piano Concerto no. 2 Symphony no. 1 Bezuidenhout ● Heras-Casado Freiburger Barockorchester FRANZ LISZT FELIX MENDELSSOHN-BARTHOLDY (1809-1847) Symphony no. 1 op. 11 C Minor / ut mineur / c-Moll 1 | I. Allegro di molto 9’45 2 | II. Andante 6’35 3 | III. Menuetto. Allegro molto - Trio 6’08 4 | IV. Allegro con fuoco - Più stretto 7’38 Piano Concerto no. 2 op. 40 D Minor / ré mineur / d-Moll 5 | I. Allegro appassionato 9’45 6 | II. Adagio. Molto sostenuto 5’56 7 | III. Finale. Presto scherzando 7’12 Ouverture zum Märchen von der schönen Melusine op. 32 (1835 version) 8 | The Fair Melusine, overture / La Belle Mélusine, ouverture 9’56 F Major / Fa majeur / F-Dur Allegro con moto Kristian Bezuidenhout fortepiano Érard, Paris 1837, Edwin Beunk Collection Freiburger Barockorchester, Pablo Heras-Casado Freiburger Barockorchester Flutes Daniela Lieb, Pia Scheibe Oboes Josep Domenech, Maike Buhrow Clarinets Lorenzo Coppola, Pascal Pariaud Fagotts Javier Zafra, Carles Vallés Horns Pierre-Antoine Tremblay, Ricardo Rodriguez Garcia Trumpets Jaroslav Roucek, Almut Rux Timpani Charlie Fischer Violins 1 Anne Katharina Schreiber, Martina Graulich, Brian Dean, Eva Borhi, Marie Desgoutte, Irina Granovskaya, Lotta Suvanto, Hannah Visser Violins 2 Beatrix Hülsemann, Brigitte Täubl, Péter Barczi, Joosten Elle, Regine Schröder, Lea Schwamm, Annelies van der Vegt Violas Ulrike Kaufmann, Werner Saller, Annette Schmidt, Nadine Henrichs, Elisabeth Sordia Cellos Guido Larisch, Stefan Mühleisen, Marie Deller, Ute Petersilge Double basses James Munro, Frank Coppieters, Georg Schuppe TRACKS 3 PLAGES CD dans une famille aisée et cultivée (son père, Abraham, était un banquier en vue et son grand-père, Moses, En 1837, Mendelssohn fut ainsi l’invité du Festival de musique triennal de Birmingham, auquel il participa comme Né un des principaux philosophes des Lumières allemandes), Felix Mendelssohn baigna dès le plus jeune âge organiste, pianiste, chef d’orchestre et compositeur. Le 20 septembre 1837, il fut le soliste de son Second Concerto dans les arts et la culture. Mais cette immersion n’explique pas à elle seule les talents précoces que montrait l’enfant : pour piano, composé pour l’occasion. Le Premier Concerto pour piano était né six ans plus tôt et le jeune musicien en ils étaient le sceau d’un génie hors du commun. Les maîtres auxquels fut confié le jeune Felix surent les faire éclore, avait déjà assuré lui-même la création à Munich, désireux d’y montrer son double talent de pianiste et de compositeur. à commencer par Carl Friedrich Zelter pour la composition. Professeur particulièrement exigeant, cet ami de Goethe Mais malgré le succès du concert, Mendelssohn resta insatisfait de l’œuvre. Schumann, habituellement si enthousiaste inculqua à l’enfant une maîtrise parfaite du langage musical et lui transmit également l’amour des maîtres du passé à propos des nouvelles partitions de son ami, se montra lui aussi réservé, jugeant que le concerto avait certainement tels Bach, Haydn ou Mozart. C’est d’ailleurs au nom de ces trois aînés qu’il déclara à Mendelssohn, le jour de ses été composé en “quelques jours, voire en quelques heures”. C’était tout l’inverse : Mendelssohn en traîna le poids au quinze ans, qu’il était désormais passé du grade d’élève à celui de confrère. Ce jour-là, le 3 février 1824, Mendelssohn cours d’un voyage de noces de sept semaines, moins idyllique qu’attendu, et la gestation dura finalement du mois de avait joué avec ses trois frères et sœurs son quatrième opéra, Les Deux Neveux, qui marquait indubitablement une mars 1837 jusqu’à la création en septembre. nouvelle étape dans son développement artistique. Dès le mois suivant, la Symphonie en ut mineur (composée du 3 au Si le Second Concerto présente des caractéristiques très proches du Premier, bouillonnant d’une fougue juvénile, 31 mars) vint confirmer cette avancée. Après douze symphonies pour cordes, c’était la première que le jeune musicien l’œuvre n’en présente pas moins de réels attraits. On y saluera notamment l’entrée en matière originale, avec le écrivait pour grand orchestre. L’œuvre fut présentée dans le cadre familial le 14 novembre 1824, pour le dix-neuvième piano qui coupe à deux reprises l’herbe sous le pied du véhément orchestre. Le thème principal prend ensuite son anniversaire de la sœur aînée de Felix, Fanny. La première exécution publique eut lieu avec succès au Gewandhaus de envol. Sombre et tourmenté, il s’oppose à un second thème plus lyrique et lumineux dans une forme sonate pleine de er Leipzig le 1 février 1827. surprises, où rien ne revient jamais à l’identique. L’idée la plus marquante est certainement la manière dont l’univers Alors que les symphonies pour cordes portent la marque de l’enseignement de Zelter – l’obsession pour le contrepoint du second mouvement s’insinue progressivement dans les derniers soubresauts du thème principal, le tendre si bémol strict (avec de nombreux passages fugués), l’étude des maîtres anciens –, la Symphonie en ut mineur s’émancipe de cet majeur à venir se heurtant au dramatique ré mineur du mouvement initial. L’Adagio déploie une superbe cantilène, qui héritage. Si elle présente tous les attributs de la juvénilité par son énergie et sa passion, elle appartient bien au groupe prend ensuite différents vêtements sans perdre de sa douceur exquise. Le troisième mouvement combine le brio d’un des cinq “grandes” symphonies du compositeur (et n’est certes pas la treizième des symphonies de jeunesse, comme finale de concerto avec la vivacité espiègle d’un scherzo. Comme le premier, il fait montre d’une virtuosité qui laisse Mendelssohn l’avait numérotée initialement). Le compositeur s’inscrit dans le modèle de la symphonie classique. Le imaginer quel pianiste hors du commun était Mendelssohn. premier mouvement est ainsi une forme sonate à deux thèmes, avec exposition, développement, réexposition et coda. Mendelssohn laisse huit ouvertures de concert, toutes plus belles les unes que les autres. Franz Liszt n’a pas encore Dépourvu d’introduction lente, il nous plonge directement dans l’univers tempétueux du premier thème, en ut mineur. inventé le terme de poème symphonique (le premier d’une lignée de treize sera Ce qu’on entend sur la montagne Le second thème apporte comme il se doit détente et lumière, dans le ton relatif, mi bémol majeur. À plusieurs reprises, de 1850) ; mais c’est bien de cela qu’il s’agit dans ces mouvements symphoniques reposant sur un élément on pressent l’ouverture du Songe d’une nuit d’été, composée l’année suivante. programmatique extérieur, que ce soit un tableau, un texte ou une curiosité naturelle. Commande de la Philharmonic L’Andante est lui aussi typiquement mendelssohnien. Comme le sublime Adagio religioso de la Deuxième Symphonie Society de Londres, La Belle Mélusine y fut présentée en 1834. Puis, en vue de la publication de la partition chez “Lobgesang” (1840), il mêle un lyrisme tendre à une pointe de sentiment religieux : le thème est en effet harmonisé Breitkopf & Härtel et d’une reprise par son orchestre de Leipzig, Mendelssohn entreprit une révision profonde de comme un choral luthérien, habillé à chaque retour par différentes techniques contrapuntiques et opposant les cordes cette œuvre qu’il trouvait jusqu’alors “à moitié terminée”. Sous cette forme définitive, il la jugeait comme l’une de ses et les bois comme les claviers d’un orgue (instrument dont Mendelssohn était virtuose). La partie centrale est plus pièces les plus réussies. La légende de Mélusine remonte au Moyen Âge. Victime d’une malédiction, cette princesse se emportée et instable. transforme régulièrement en une sorte de sirène. Le chevalier Raymond de Lusignan s’en éprend et elle l’épouse à la Le sombre ton d’ut mineur domine le Menuetto, celui des quatre mouvements qui regarde le plus vers le passé : ses condition qu’il la laisse seule chaque samedi sans chercher à l’espionner – elle retourne en fait à sa forme aquatique. accents vigoureux, ses syncopes et contretemps l’inscrivent en effet dans la rhétorique du mouvement préromantique Mais Raymond finit par céder à la curiosité ; leur bonheur s’évanouit et Mélusine est condamnée à vivre comme sirène du Sturm und Drang – auquel plusieurs symphonies de Haydn et Mozart ont adhéré. Le climat s’apaise dans le trio pour l’éternité. central, en la bémol majeur, avec ses nappes de vents étales à peine irisées par de petits mouvements des cordes. S’il s’inspire de cette légende, Mendelssohn ne cherche pas à la suivre pas à pas. L’ouverture est avant tout une Un arpège impétueux d’ut mineur lance l’Allegro con fuoco final, dont le premier thème est aussi mendelssohnien que magnifique peinture sonore, nourrie par trois idées principales : le thème de Mélusine, ondoiement en fa majeur le second, en mi bémol majeur (un solo de clarinette qui sonne encore comme un choral, sur le contrepoint des cordes introduit par les clarinettes ; puis deux idées formant le second groupe thématique : le thème du chevalier Lusignan, en pizzicatos). Par deux fois (développement et coda), Mendelssohn introduit un fugato qui montre son talent en la martial et dramatique, en fa mineur, et ensuite une phrase lyrique aux violons en la bémol majeur, d’un abord serein, matière tout en offrant à ce mouvement conclusif un supplément de grandeur. mais rapidement envahie par des éléments menaçants issus du thème précédent – l’amour tragique qui lie les deux personnages. Le développement central métamorphose et superpose ces différents éléments, avant leur réexposition Le 25 mai 1829, Mendelssohn dirigea l’œuvre pour ses débuts à la Philharmonic Society de Londres. À cette occasion, en ordre inverse : d’abord le second groupe thématique, où le thème d’amour est cette fois submergé par les il remplaça le troisième mouvement d’origine par une orchestration du Scherzo de son Octuor à cordes de 1825 (mais déferlements du thème de Lusignan ; enfin, le thème de la sirène, qui ramène le calme initial : Mélusine est retournée il se ravisa ensuite et restaura le morceau initial pour la publication de l’œuvre en 1834).
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