Marseille Et Ses Moments Musicaux : Ville Et Scenes Musicales

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

Marseille Et Ses Moments Musicaux : Ville Et Scenes Musicales MARSEILLE ET SES MOMENTS MUSICAUX : VILLE ET SCENES MUSICALES. J-S. BORDREUIL, R. SAGE, G. SUZANNE Avec la participation de C. DUPORT Rapport Final Février 2003. Programme Interministériel de recherche : « Culture, Ville et Dynamiques Sociales ». Ministère de la Culture et de la Communication. 29/11/2000 SOMMAIRE INTRODUCTION 6 CHAPITRE 1 : de reggae en raggas, Marseille Sound System 20 Premières captations. Balayage étale et reconfigurations locales. 21 Première partie : entre punks et rastas. 21 1. Marseille entre punks et africains. 21 1.1. Les punks et les ska de Marseille. 21 1.2. Région morale et aire culturelle : Marseille la « black ». 22 2. Quelques éléments sur la Jamaïque et son folklore. 23 2.1. L’élaboration d’un contrat de performance. 23 2.2. L’âge d’or du Ska et du rock steady. 25 2.3. Balayage étale : quelques notes sur le déplacement de la musique. 26 Deuxième partie : roots, rock, reggae. Comment le reggae arrive à Marseille. 30 1. Rock et reconfiguration locale. 30 2. De rock’n’roll au rock il n’y a qu’un pas : Paris et les années 1968-1970. 34 3. Albert et sa fanfare poliorcétique : entre revival rock’n’roll et « rock situ ». 37 4. Du Rock au reggae : retour à Marseille. 39 Troisième partie : reconfiguration locale. 41 1. Les radios libres et les premiers « dee jays ». 41 2. La reconfiguration locale d’un genre : Jo Corbeau et le reggae méditerranéen. 43 3. Une remarque sur ce contexte marseillais. 46 Première ré-élaboration. Chambre d’écho locale et Rub-a-dub Style. 47 Première partie : les « raggas ». 48 1. Massilia Dub : les « francs-tireurs ». 48 2. Collège d’expérimentateurs. 51 3. Itinéraire d’un ragga : Jagdish. 54 4. Les premiers explorateurs des défriches ragga : le public et l’appréciation. 57 Deuxième partie : les Sound System. 60 2 1. Des carrières qui s’enclenchent dans le sound system. 60 2. Contrat de performance et déplacer de la musique. 63 Troisième partie : région morale. 67 1. Région morale et entrée dans des carrières de sound boy. 68 2. Le « 200 Lunes » et la « Maison Hantée » : deux institutions. 69 3. Sur les radios, fin des années 80. 70 4. Le patois, un déplacement du genre qui s’organise dans ces régions morales : le rub-a-dub marseillais. 71 5. Une carrière qui passe par ces aires culturelles : Boris 51. 74 Cause commune. Troubamuffin style. 78 Première partie : constitution d’une esthétique comme activité collective. 80 1. Travail croisé de désignation : Une esthétique justifiée. 80 1.1. Marseille et les bases définitionnelles d’un genre. 80 1.2. Toulouse et la preuve. 82 1.3. En résumé. 84 2. Les aléas de la cause esthétique : engagement et distanciation. 85 Deuxième partie : élaboration d’une cause commune comme activité collective. 88 1.Le fondement de la critique et désignation croisée : la posture folklorique. 88 2. Un exemple de forfaiture : la refolklorisation. 90 3. Epaisseur relationnelle d’une cause. 92 4. Du Troubamuffin à la défense de la langue. 95 Massilia Sound System. Un monde de l’art qui fonctionne. 98 Première partie : désorganisation du milieu ragga. 98 1. Caroline B. et Rocker Promocion : milieu ragga et carrière de manager. 98 2. Un système de production à la Jamaïcaine : du ragga-hip hop au rap marseillais. 99 3. Marseille : un nouveau contexte. 103 4. La Linha Imaginòt comme activité collective. 105 Deuxième partie : un réseau de distribution et de production à la mesure de Massilia Sound System. 106 1. Rocker Promocion et la découverte d’un réseau de distribution moins contraignant. 106 3 2. Vitrolles et l’Estudio Zéro. 109 3. La Chourmo. 112 4. Jan-Mi et Tornavira : milieu ragga et carrière de tourneur. 115 Troisième partie : la fragilité d’un monde de l’art. 119 1. Entre reggae et ragga : une culture qui s’étoffe. 119 2. De la censure politique à l’incompatibilité commerciale. 120 Un dispositif re-dimensionné. MIC MAC et le renouveau du genre occitan. 121 Première partie : MIC MAC. 121 1. La fin d’une époque : la fermeture de Tornavira. 121 2. La constitution de MIC MAC. 122 3. Un laboratoire des démarches artistiques. 4. L’accès périlleux aux systèmes de commercialisation. 125 Deuxième partie : dans le giron de MIC MAC, le renouveau occitan. Deux carrières qui mobilisent ce dispositif. 128 1. Manu Théron et Gacha Empega. 128 2. Sam Karpiénia et « Dupain ». 2.1. Du centre social à Kanjar’oc. 130 2.2. Le regain de la chanson de langue occitane. 132 2.3. L’expérimentation d’un nouveau son occitan. 135 2.4. L’ancrage sur différents circuits. 135 Massilia, toujours dans la place. Entre socialisation de la parole d’artiste et action culturelle. 138 Première partie : la socialisation d’une démarche créative. 138 1. Travail de désignation en cours. 138 2. Nouveau contexte et crédit de confiance. 141 Deuxième partie : la reconfiguration d’une action culturelle. Travail de refolklorisation. 143 1. La Chourmo. 143 2. Itinéraire de Jeff, permanent de la Chourmo. 144 3. Le baleti : un retour de la production indépendante Marseillaise. 146 4 CHAPITRE 2 : histoire des musiques électroniques. 147 Acte I : Les révoltés du Detroit. 1979 / 1988. 148 Contexte. 148 Première coordonnée : La radio. 149 Deuxième coordonnée : les soirées. 150 Premier essai musical : l’esprit des fêtes. 151 Deuxième essai musical : le devenir techno d’une musique. 153 Naissance d’un monde l’art local. 159 Du local à l’international. 161 Acte II : L’Angleterre amplificatrice. 1987 / 1992. 163 Flashback : l’essor du DJ et de la house. 163 Le phénomène acid house et la naissance de raves. 167 Acte III : Un monde de l’art local. Aix-Marseille. 1990 / 2002. 175 Région esthétique. 175 Formation d’un public et magasins spécialisés. 177 Un petit milieu qui prend forme (1990/92). 179 Les premiers magasins spécialisés (1993/94). 183 Quelques observations. 189 Labels et promoteurs (1993/2002). 192 Rappel du développement des labels. 192 Combler un manque artistique. 194 Soutenir la scène. 195 Faire valoir une identité sonore. 196 Polarisation esthétique. 198 Les promoteurs (1993/2002). 202 Janus Bifrons. 202 La part citadine des musiques électroniques. 204 Radio Grenouille : instance critique de la scène citadine. 206 La part d’ombre du « mouvement » : la scène free party. 209 Critique de la raison free party. 210 CHAPITRE 3 : le déplacement des conventions musicales comme processus situé : formes, moments, acteurs. 217 I. La part du lieu comme entité réceptive : l’hypothèse de la chambre d’écho revisitée. 219 1. La formulation initiale de l'hypothèse de la "chambre d'écho" et ses limites. 219 5 2. Le modèle du marché comme filtre appréciatif et qu'en faire… 220 3. De nouveaux genres qui ne sont pas hors concurrence mais qui en déplacent les critères. 222 4. La part du local au plan réceptif : l'émergence de nouvelles conditions d'audition. 225 5. Indications sur les nouvelles conventions auditives. 6. D'une "chambre d'écho" à d'autres ; ou bien du modèle d'un codage appréciatif. filtrant à la réalité de la construction de nouveaux auditoriums. 227 II. La part du local comme entité transmissive. 229 Une transmission créatrice à mettre au compte d'opérateurs locaux. 1. La part du local dans l'acheminement des conventions sonores. 229 2. La part du local dans l'acheminement des conventions auditives : colporter/transposer. 230 Colporter. 230 Transposer. 233 3. Le déploiement local des nouvelles conventions. 235 Le caractère ouvert des scènes d'ancrage des conventions. 236 Conventions d'ambiance et "montée en musicalité" de ces conventions. 238 4. Deux diagrammes différents dans le déploiement local des conventions. 239 Exfiltrations des publics. 239 Infiltrations urbaines. 240 CHAPITRE 4 : A la rencontre de la ville . 243 I. Des musiques qui ne tiennent pas en place. 245 II. La part des lieux dans les mobilisations autour de nouvelles conventions : les théâtres locaux des incursions musicales. 254 III. Espace urbain et partage renforçant des convictions : les chambres de conspiration esthétique. 261 CONCLUSION. 270 BIBLIOGRAPHIE. 278 6 INTRODUCTION "Créativité de et/ou dans la ville"? Une question délicate, et quelques remerciements adressés à ceux qui nous l'ont posée Le texte qui suit traite d'une question particulièrement vaste, particulièrement lourde, une question sans doute trop grande pour la sociologie et les outils conceptuels dont elle dispose, du moins ceux que nous savons manier. Cette question serait celle de la part qu'on peut accorder à la ville, aux contextes urbains dans la créativité artistique. On commencera par dire que nous n'aurions jamais risqué une telle question; jamais osé nous mettre de nous-mêmes dans la délicate position d'avoir à y répondre. Il se trouve simplement que d'autres que nous l'ont lancé, alentour -- et via la procédure instituée d'un "appel d'offres". Alors tout change. Pourquoi? En premier lieu nous voilà quitte d'avoir à assumer le choix de la question, d'avoir à répondre de son éventuel caractère oiseux. On ne prête sans doute pas suffisamment attention au fait que la recherche sociologique exige de "son" sociologue qu'il travaille toujours aux limites de ses capacités, de ses ressources. D'un coté le contrat inhérent au format recherche stipule qu'il doit ramener du grain à moudre, de l'information fiable, du factuel, du tangible, et semblablement tangible par d'autres que lui -- c'est l'impératif d'objectivité dans "l'établissement des faits". De l'autre, les faits rapportés le sont en général pour leurs portées significatives, pour leur capacité à dire du général, qui excède, et si possible largement, les théâtres concrets où on les a relevés. Le risque est alors de "trop leur faire dire", et ce risque hante d'autant plus la conscience du chercheur que l'exercice théorique vise à extraire le plus de sens possible des documents récoltés, et qu'ainsi, du plus au trop, la limite est parfois difficile à cerner.
Recommended publications
  • Subkulturní Rysy Na Brněnské Scéně Populární Hudby. Srovnávací Studie O Publiku Popu, Techna a Metalu
    Masarykova univerzita Filozofická fakulta Ústav hudební vědy Hudební věda Martina Marešová Subkulturní rysy na brněnské scéně populární hudby. Srovnávací studie o publiku popu, techna a metalu. Bakalářská diplomová práce Vedoucí práce: doc. PhDr. Mikuláš Bek, Ph.D. Brno, 2013 Prohlašuji, že jsem bakalářskou diplomovou práci vypracovala samostatně s využitím uvedených pramenů a literatury. ................................................................................. Podpis autora práce Na tomto místě bych chtěla poděkovat mému vedoucímu práce doc. PhDr. Mikuláši Bekovi, Ph.D. za cenné náměty a připomínky. Dále bych chtěla poděkovat i všem ostatním, kteří mi poskytli rady a pomoc. OBSAH 1 ÚVOD ...................................................................................................................................................................................................2 2 SUBKULTURA ..................................................................................................................................................................................3 2.1 Subkultury v ................................................................................................... 4 3 POP MUSIC ................................České republice................................ a brněnská................................ scéna ........................................................................................5 3.1 ........................................................................................................ 5 4 METALStručná
    [Show full text]
  • Rave-Culture-And-Thatcherism-Sam
    Altered Perspectives: UK Rave Culture, Thatcherite Hegemony and the BBC Sam Bradpiece, University of Bristol Image 1: Boys Own Magazine (London), Spring 1988 1 Contents Introduction……………………………………………………………………………………………………...……… 7 Chapter 1. The Rave as a Counter-Hegemonic Force: The Spatial Element…….…………….13 Chapter 2. The Rave as a Counter Hegemonic Force: Confirmation and Critique..…..…… 20 Chapter 3. The BBC and the Rave: An Agent of Moral Panic……………………………………..… 29 Conclusion…………………………………………………………………………………………………………….... 37 Appendices…………………………………………………………………………………………………………...... 39 Bibliography………………………………………………………………………………………………………...... 50 2 ‘You cannot break it! The bonding between the ravers is too strong! The police and councils will never tear us apart.’ In-ter-dance Magazine1 1 ‘Letters’, In-Ter-Dance (Worthing), Jul. 1993. 3 Introduction Rave culture arrived in Britain in the late 1980s, almost a decade into the premiership of Margaret Thatcher, and reached its zenith in the mid 1990s. Although academics contest the definition of the term 'rave’, Sheila Henderson’s characterization encapsulates the basic formula. She describes raves as having ‘larger than average venues’, ‘music with 120 beats per minute or more’, ‘ubiquitous drug use’, ‘distinctive dress codes’ and ‘extensive special effects’.2 Another significant ‘defining’ feature of the rave subculture was widespread consumption of the drug methylenedioxyphenethylamine (MDMA), otherwise known as Ecstasy.3 In 1996, the government suggested that over one million Ecstasy tablets were consumed every week.4 Nicholas Saunders claims that at the peak of the drug’s popularity, 10% of 16-25 year olds regularly consumed Ecstasy.5 The mass media has been instrumental in shaping popular understanding of this recent phenomenon. The ideological dominance of Thatcherism, in the 1980s and early 1990s, was reflected in the one-sided discourse presented by the British mass media.
    [Show full text]
  • Download” As They Are Whisked Away Into a Multidimensional Realm That Cameras Cannot Go
    ALTAR STATES: SPIRIT WORLDS AND TRANSFORMATIONAL EXPERIENCES ____________ A Project Presented to the Faculty of California State University, Chico ____________ In Partial Fulfillment of the Requirements for the Degree Master of Arts in Social Science ____________ by © Peter Treagan 2019 Summer 2019 ALTAR STATES: SPIRIT WORLDS AND TRANSFORMATIONAL EXPERIENCES A Project by Peter Treagan Summer 2019 APPROVED BY THE INTERIM DEAN OF GRADUATE STUDIES: _________________________________ Sharon Barrios, Ph.D. APPROVED BY THE GRADUATE ADVISORY COMMITTEE: _________________________________ _________________________________ Eugenie Rovai, Ph.D. Sarah Pike, Ph.D., Chair Graduate Coordinator _________________________________ Celeste Jones, Ph.D. _________________________________ Randy Larsen, Ph.D. PUBLICATION RIGHTS No portion of this project may be reprinted or reproduced in any manner unacceptable to the usual copyright restrictions without the written permission of the author. iii DEDICATION This work is dedicated to the future ancestors living in harmony with Nature. iv ACKNOWLEDGMENTS I am forever grateful for my committee and family; your endless patience and support made all of this possible. Many thanks to the Idea Fab Labs for providing 24- hour access to the facility, training with the high-tech tools, and the creative space for unexpected collaborations throughout the process. Thank you to the MFA Gallery and Museum of Anthropology at CSU Chico for the opportunity to exhibit my work to the public and making the vision a reality. Special thanks to the talented musicians who contributed original compositions to the Altar States soundscape: Chelu de la Isla, The Sámi Brothers, Flow State, GeOMetrae, Anahata Sacred Sound Current, Puka, and Shimshai & Susana. For the inspiration and encouragement to create and share this artwork, infinite thanks to Chances R Good, Makhno Mata, Alfredo Zagaceta, Juan Carlos Taminchi, Michael Divine, and Alex & Allyson Grey.
    [Show full text]
  • Spiritual Technologies and Altering Consciousness in Contemporary Counterculture* Graham St John
    CHAPTER 10 Spiritual Technologies and Altering Consciousness in Contemporary Counterculture* Graham St John Introduction With a focus on virtual reality, techno-rave culture, and “psychedelic trance,” this chapter explores practices of consciousness alteration within contemporary countercultures. By contemporary, I mean the period from the 1960s to the present, with the chapter addressing the continuing leg- acy of earlier quests for consciousness expansion. Central to the discus- sion is the development and application of spiritual technologies (cyber, digital, and chemical) and the appeal of traditional cultures in the lifestyles of those sometimes referred to as “modern primitives.” I also pay attention to specific individuals, “techno-tribes,” cultural formations and events heir to and at the intersection of these developments, with special observations drawn from the Boom Festival—Portugal’s carnival of consciousness. Fur- thermore, the chapter considers the prevalence of DiY consciousness echoed in practices of modern shamanism. As the contiguity between altering consciousness and altering culture is explored, the chapter considers the psychological and political dimensions of that which has been variously held as “consciousness” among spokespersons and participants within visionary-, arts-, and techno-cultures. *Portions of this chapter are adapted from “Neotrance and the Psychedelic Festival” by Graham St John. Published in Dancecult: Journal of Electronic Dance Music Culture,1(1), 35–64, 2009. 204 Altering Consciousness Psychedelic Experience and Consciousness It is necessary to begin with a discussion of the 1960s countercultural milieu, whose quest for and techniques of experience are a continuing leg- acy found in the conditions of ecstatic embodiment and visionary mind- states charted in this chapter.
    [Show full text]
  • Underground Club Spaces and Interactive Performance
    Underground Club Spaces and Interactive Performance: How might underground club spaces be read and developed as new environments for democratic/participatory/interactive performance and how are these performative spaces of play created, navigated and utilised by those who inhabit them? Kathleen Alice O‟Grady Submitted in accordance with the requirements for the degree of Doctor of Philosophy The University of Leeds School of Performance and Cultural Industries December 2009 The candidate confirms that the work submitted is her own and that appropriate credit has been given where reference has been made to the work of others. This copy has been supplied on the understanding that it is copyright material and that no quotation from the thesis may be published without proper acknowledgement. Acknowledgements This thesis is dedicated to my parents who have always believed in me and to my daughter, Maisie, who is my source of inspiration and joy. Gratitude goes to my PhD supervisors Professor Mick Wallis and Dr Martin Crick, both of whom have given me continued support and guidance throughout this research. Thanks also to my colleagues and my students at the School of Performance and Cultural Industries who have encouraged me and kept me going with their sense of humour, wise words and loyalty. Thank you to all the club and festival organizers that have allowed me access to their events, particularly those involved with Planet Angel, Synergy, Duckie, Riff Raff, Planet Zogg, Speedqueen, Manumission, Shamania, Beatherder, Nozstock and Solfest. Special gratitude to Fatmoon Psychedelic Playgrounds for allowing me the room to move creatively and to develop this practice in a supportive environment.
    [Show full text]
  • Dance Vs House Music
    Dance vs house music click here to download From wikipedia: House music is a genre of electronic (dance) music created by club DJs and music producers in Chicago in the early s. Early house music. Is it related to the amount of ectascy you take before you start listening?:p. Seriously, they seem to be quite similar if not the same thing to me. If you say you hate all things EDM, but really like House music, you're Electronic dance music (also known as EDM, dance music, club music. Subscribe me for more EDM Music: www.doorway.ru Facebook: www.doorway.ru Create your own. Difference between trance and house music? quora., What's interesting is how the term 'trance' has. EDM vs. House. Will dance music festivals extinguish the minimalistic sound of club culture, or fuel its next fire? a buzz term for the last few years, electronic dance music has been here for decades. House is one of the most popular forms of EDM. EDM is all electronic dance music: House, Trance, Drum & Bass, Breakbeat, Tiesto has made some House tracks, and AFAIK primarily plays. do they belong in the dance/house folder with swedish house mafia or pop if you are playing for people who like traditional "House" www.doorway.ru - Hop to EDM(House Music). Eddie Amador's dancefloor classic “House Music” proudly and repeatedly on the ever-changing landscape of electronic dance music. House music is associated with Chicago in the early s, and Techno To oversimplify vastly, it seems like "house" is the root style of dance.
    [Show full text]
  • The Social Mediation of Electronic Music Production
    People, Platforms, Practice: The Social Mediation of Electronic Music Production Paul Chambers Thesis submitted for the degree of Doctor of Philosophy Faculty of Arts School of Social Sciences Discipline of Anthropology The University of Adelaide May 2019 Contents Contents 2 Abstract 5 Thesis Declaration 6 Acknowledgements 7 List of Figures 8 Introduction Introduction 9 Electronic Music: Material, Aesthetics and Distinction 12 Electronic Music: Born’s Four Planes of Social Mediation 17 Methodology 21 Thesis Overview 31 Section 1: The Subject 38 Chapter 1 Music & Identity in the ‘Post-Internet’ 39 Music, Gender and the Self 42 Val: Clubbing in ‘Digitopia' 45 Sacha: Pasifika Futurism 50 Nico & Alex: ‘Digital Queering’ 54 Travis & Moe: ‘Persona Empires’ 61 Conclusion 66 Chapter 2 Politics of the Personal 70 Music, Freedom & Modernity 73 Brother Lucid & Kyle: The Studio as Autonomous Zone 75 Nix & Bloodbottler: Transposing Alienation 80 Klaus, Clifford & Red Robin: Frequency Response 87 Ali & Miles: Laptop Lyricists 92 Conclusion 98 2 Section 2: The Object 100 Chapter 3 Anyone Can Make It 101 The DAW & the Future of Pedagogy 103 Ableton: Meet the Superstar 107 Learning the Tropes: The Role of the Institution 113 Jamming with Myself: Who Needs a Band? 125 Code Composers: Who Needs a Human? 128 Conclusion 132 Chapter 4 Eurorack Revolution & the Maker Movement 135 Towards a Theory of the Modular 138 Sound Affects: How Low Can I Go? 145 Patching into the Field: Interacting with a Sonic Ecology 150 Glad Obsession: Capitalism and Audiophilia 155
    [Show full text]
  • Proceedings of the Third Conference on Computation, Communication, Aesthetics and X
    University of Huddersfield Repository Adkins, Monty and Segretier, Laurent Skyler and Bliss Original Citation Adkins, Monty and Segretier, Laurent (2015) Skyler and Bliss. In: xCoAx 2015: Proceedings of the Third Conferenc on Computation, Communication, Aesthetics and X. Universidade do Porto, Porto, p. 311. ISBN 978-989-746-066-1 This version is available at http://eprints.hud.ac.uk/25390/ The University Repository is a digital collection of the research output of the University, available on Open Access. Copyright and Moral Rights for the items on this site are retained by the individual author and/or other copyright owners. Users may access full items free of charge; copies of full text items generally can be reproduced, displayed or performed and given to third parties in any format or medium for personal research or study, educational or not-for-profit purposes without prior permission or charge, provided: • The authors, title and full bibliographic details is credited in any copy; • A hyperlink and/or URL is included for the original metadata page; and • The content is not changed in any way. For more information, including our policy and submission procedure, please contact the Repository Team at: [email protected]. http://eprints.hud.ac.uk/ Proceedings of the third Conference on Computation, Communication, Aesthetics and X. xCoAx 2015: Proceedings of the Third Conference on Computation, Communication, Aesthetics and X. Edited by Design Alison Clifford Ana Miguel Reis Miguel Carvalhais Miguel Carvalhais Mario Verdicchio Joana
    [Show full text]
  • Electronic Dance Music: from Deviant Subculture to Culture Industry
    UNLV Theses, Dissertations, Professional Papers, and Capstones 12-1-2015 Electronic Dance Music: From Deviant Subculture to Culture Industry Christopher T. Conner University of Nevada, Las Vegas Follow this and additional works at: https://digitalscholarship.unlv.edu/thesesdissertations Part of the Sociology Commons Repository Citation Conner, Christopher T., "Electronic Dance Music: From Deviant Subculture to Culture Industry" (2015). UNLV Theses, Dissertations, Professional Papers, and Capstones. 2528. http://dx.doi.org/10.34917/8220096 This Dissertation is protected by copyright and/or related rights. It has been brought to you by Digital Scholarship@UNLV with permission from the rights-holder(s). You are free to use this Dissertation in any way that is permitted by the copyright and related rights legislation that applies to your use. For other uses you need to obtain permission from the rights-holder(s) directly, unless additional rights are indicated by a Creative Commons license in the record and/or on the work itself. This Dissertation has been accepted for inclusion in UNLV Theses, Dissertations, Professional Papers, and Capstones by an authorized administrator of Digital Scholarship@UNLV. For more information, please contact [email protected]. ELECTRONIC DANCE MUSIC: FROM DEVIANT SUBCULTURE TO CULTURE INDUSTRY by Christopher T. Conner Bachelor of Arts Indiana University Purdue University-Indianapolis 2007 Master of Arts Indiana University Purdue University-Indianapolis 2010 A dissertation submitted in partial fulfillment
    [Show full text]
  • From Live Coding to Virtual Being
    Live Coding and Machine Listening Nick Collins Durham University, Department of Music [email protected] ABSTRACT Live coding control of machine listening processes, or more radically, machine listening control of live coding, provides an exciting area of crossover between two research frontiers in computer music. is article surveys the state of the art, and reports a number of experimental projects that point to potentially productive further directions. 1. Introduction Live coding has established itself as a viable and productive method of computer music performance and prototyping, embracing the immedicacy of modern computer programming languages (Collins et al. 2003; Ward et al. 2004; Blackwell and Collins 2005; Brown and Sorensen 2009; Collins 2011; McLean 2011; Magnusson 2014). New avenues in interfacing for programming are being embraced, including tangible computing of unit generator graphs and musical sequences (see for example Mónica Rikić’s buildacode), natural language processing (e.g., Craig Laa’s oth) and computer vision (e.g., Nik Hanselmann’s bodyfuck (2009) brainfuck interface). Performance ventures range from the current vogue for algoraves, showcasing generative and interactive creation of electronic dance music (Collins and McLean 2014) to contemporary dance and live arts. Complementing existing work, this paper explores the interaction of live coding with machine listening, from listening functionality within existing performance systems towards the use of live audio analysis as programming interface itself.
    [Show full text]
  • Victor Turner and Electronic Dance Music Culture Graham St John {
    Chapter Seven Trance Tribes and Dance Vibes: Victor Turner and Electronic Dance Music Culture Graham St John { Is there any one of us who has not known this moment when compatible peo- ple—friends, congeners—obtain a fl ash of lucid mutual understanding on the existential level, when they feel that all problems, not just their problems, could be resolved, whether emotional or cognitive, if only the group which is felt (in the fi rst person) as “essentially us” could sustain its intersubjective illumina- tion. (Turner 1982a: 48) Does anyone who has experienced the benevolent, expectant, and even mil- lenarian “vibe” of a dance party not recognize what Turner meant by this statement?1 Excavating and renovating his ideas, scholars of electronic dance music culture (EDMC)2 have indeed begun looking to Turner for insights. While other youth, music, and alternative cultural phenomena—including Deadheads (Sardiello 1994), New Age Travelers (Hetherington 1998, 2000), the Maleny “Fire Event” (Lewis and Dowsey-Magog 1993), ConFest (St John 1997, 2001a) and Burning Man (Gilmore and Van Proyen 2005; Kozinets 2002)—have received illumination via Turnerian thought, EDMC (especially the genre and culture of “trance”) stands to gain from its heuristic insights. Though EDMCs have received growing attention within contemporary cul- tural and ethnographic studies—with, for instance, the study of acid house raves (Redhead 1993), international “house” (Rietveld 1998), clubbing (e.g., Jackson 2004; Malbon 1999; Pini 2001; Thornton 1995), and post-rave (see St John 2001b) cultures serving to buttress or introduce varying theoreti- 149 150 Victor Turner and Contemporary Cultural Performance cal positions post-CCCS (Birmingham’s Centre for Contemporary Cultural Studies)—“trance” as a countercultural EDMC has been little understood or studied.
    [Show full text]
  • Techno Rebelde Un Siglo De Músicas Electrónicas
    Colabora con la cultura libre Desde sus inicios Traficantes de Sueños ha apostado por licencias de publicación que permiten compartir, como las Creative Commons, por eso sus libros se pueden copiar, distribuir, comunicar pública- mente y descargar desde su web. Entendemos que el conocimiento y las expresiones artísticas se producen a partir de elementos previos y contemporáneos, gracias a las redes difusas en las que participamos. Están hechas de retazos, de mezclas, de experiencias colectivas; cada persona las recompone de una forma original, pero no se puede atribuir su propiedad total y excluir a otros de su uso o replicación. Sin embargo, «cultura libre» no es sinónimo de «cultura gratis». Producir un libro conlleva costes de derechos de autor, traducción, edición, corrección, maquetación, diseño e impresión. Tú puedes colaborar haciendo una donación al proyecto editorial; con ello estarás contribuyendo a la liberación de contenidos. Puedes hacer una donación (si estás fuera de España a través de PayPal ), suscribirte a la editorial o escribirnos un mail Techno Rebelde Un siglo de músicas electrónicas Ariel Kyrou traficantes de sueños Traficantes de Sueños no es una casa editorial, ni siquiera una editorial independiente que contempla la publicación de una colección variable de textos críticos. Es, por el contrario, un proyecto, en el sentido estricto de «apuesta», que se dirige a cartografiar las líneas constituyentes de otras formas de vida. La construcción teórica y práctica de la caja de herra- mientas que, con palabras propias, puede componer el ciclo de luchas de las próximas décadas Sin complacencias con la arcaica sacralidad del libro, sin concesiones con el narcisismo literario, sin lealtad alguna a los usurpadores del saber, TdS adopta sin ambages la libertad de acceso al conocimiento.
    [Show full text]