42E Festival International Du Film De La Rochelle Du 27 Juin Au 6 Juillet 2014 Président D’Honneur Jacques Chavier

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

42E Festival International Du Film De La Rochelle Du 27 Juin Au 6 Juillet 2014 Président D’Honneur Jacques Chavier 42e Festival International du Film de La Rochelle du 27 juin au 6 juillet 2014 Président d’honneur Jacques Chavier PRÉSIDENTE ATELIERS DU FESTIVAL Hélène de Fontainieu Amélie Compain Patrice Elegoet DÉLÉGUÉE GÉNÉRALE Yves-Antoine Judde Prune Engler François Perlier Jean Rubak DIRECTRICES ARTISTIQUES Tangi Simon Prune Engler et Pascal-Alex Vincent Sylvie Pras HÉBERGEMENT COORDINATRICE ARTISTIQUE Jérémie Galerneau Sophie Mirouze AFFICHE DU FESTIVAL assistée de ACCUEIL DES INVITÉS Stanislas Bouvier Alexis Pommier Sandie Ruchon PHOTOGRAPHIES ADMINISTRATEUR GÉNÉRAL RÉCEPTIONS Philippe Lebruman Arnaud Dumatin Isabelle Mabille Jean-Michel Sicot CHARGÉE DE MISSION ACCRÉDITATIONS BANDE ANNONCE RELATIONS PUBLIQUES, Aurélie Foucherot Emmanuel Anthony PARTENARIATS, LOGISTIQUE Mathilde Blary Anne-Charlotte Girault PRESSE Baptiste Fertillet assistée de matilde incerti et Ariane Teillet Morgane Moreau assistée de et Emma Roufs Jérémie Charrier SIGNALÉTIQUE et Nicolas Germé Aurélie Lamachère COMPTABLE Martine Poirier PUBLICATIONS SITE INTERNET assistée de Anne Berrou Claire Leitner Webdesign : RDSC Online assistée de Développement: Gonnaeat Catalina Cuevas (documentation) Actualisation: Paul Morel DOCUMENTATION ET BILLETTERIE et Philippe Reilhac (relecture) Philippe Reilhac BUREAU DU FESTIVAL (PARIS) TRADUCTIONS 16 rue Saint-Sabin 75011 Paris DIRECTION TECHNIQUE ET RÉGIE COPIES Karen Grimwade Thomas Lorin Tél.: 33 (0)1 48 06 16 66 assisté de Fax: 33 (0)1 48 06 15 40 MAQUETTE CATALOGUE [email protected] Johannes Escure Olivier Dechaud Lucas Perrinet et Marco Segui CONCEPTION GRAPHIQUE BUREAU DU FESTIVAL (LA ROCHELLE) ET AUTRES MAQUETTES 10 quai Georges-Simenon SÉANCES ENFANTS Catherine Hershey 17000 La Rochelle Morgane Moreau Iro Tél. et Fax: 33 (0)5 46 52 28 96 [email protected] COORDINATION DIFFUSION ET CULTURE LAB ACCOMPAGNEMENT PIANO Mariya Shapatina Jacques Cambra www.festival-larochelle.org 42e Festival International du Film de La Rochelle du 27 juin au 6 juillet 2014 APPROCHER LE LOINTAIN La Palme d’or du dernier Festival de Cannes a fort justement été attribuée au très grand film turc Winter Sleep. Nuri Bilge Ceylan avait présenté ses films mais aussi son travail photographique à La Rochelle, en 2009. Nous sommes d’autant plus heureux de la reconnaissance dont il jouit aujourd’hui. Ce n’est pas déflorer le vaste contenu de ce film (qui est programmé au festival) que d’en isoler un moment, particulièrement troublant : le personnage principal quitte son village et part à la gare prendre un train pour Istanbul. Or, finalement, il feint seulement de partir et décide de rester là où il est. Un peu de la même manière, Jean-Luc Godard choisit de ne pas se rendre à Cannes pour présenter Adieu au langage et adresse de Suisse une lettre filmée aux organisateurs « pour rester là où il est ». Pourtant, comme chacun le sait, le cinéma est un voyage. Les mouvements de caméra (travellings en tête !) nous y invitent. Il se trouve que la question du déplacement, quel qu’en soit le motif, est au cœur de bien des films en cette année 2014. Par ailleurs, la confusion, le brouillage, la rumeur assourdissante du monde nous inciteraient plutôt à rester là (si aucun danger ne nous en empêchait), pour y regarder de plus près et tenter de démêler ce fatras. À peu d’exceptions près, Bruno Dumont a précisément choisi de filmer un territoire familier, géographiquement restreint, qui, pourtant, lui permet d’exprimer une infinité d’attitudes et de sonder la profondeur de ceux qui l’habitent ou qui le hantent. Nous montrons l’intégralité de son travail. Hanna Schygulla a, semble-t-il, trouvé sa place à Paris et c’est un bien grand honneur qu’elle nous fait. Née en Allemagne, elle a entrepris, avec R. W. Fassbinder, le grand chantier du cinéma d’après la guerre. À travers leurs films, ceux d’autres cinéastes et aussi des siens, elle accompagne cette édition. Quand ils viennent à La Rochelle, les festivaliers apprécient de faire un détour par l’Italie. Pippo Delbono, avant tout homme de théâtre, mais aussi acteur (il fut, en 2013, le « Henri » de Yolande Moreau) sera leur guide iconoclaste et énervé avec ses quatre films fraternellement révolutionnaires, sentimentaux et organiques, le tout dernier s’appelle Sangue (sang). Jean-Jacques Andrien laboure les terres du nord-est de la Belgique, un petit monde francophone, où frappent dur les quotas laitiers. Un monde d’éleveurs, d’agriculteurs, qui ne se posent pas des questions d’avenir mais une seule, la plus cruelle de toutes : celle du lendemain. Et à l’autre bout du monde, en Birmanie et à Taïwan, le jeune Midi Z examine le flux et le reflux d’une interrogation inquiète, omniprésente aujourd’hui. Vaut-il mieux rester où l’on est et souffrir ou émigrer vers un ailleurs qui n’attend personne ? La Rochelle accueille, chaque année, une cinématographie spécifique. Nous montrons les images d’une République tchèque entièrement imaginaire puisqu’il s’agit presque uniquement de films d’animation, essentiellement destinés aux enfants mais pas seulement. Des années 1950 à nos jours, de Petite Taupe en Drôle de grenier, les petites créatures d’un monde coloré s’incarnent sur des musiques inventives. Le cinéma n’impacte pas seulement l’espace mais aussi le temps. Sur l’écran, des hommes, des femmes nous dévisagent de leurs yeux immenses et pourtant ils ne sont plus. Bernadette Lafont fait désormais partie de ceux-là. En revoyant ses films, en particulier La Fiancée du pirate, nous mesurons à quel point elle était impertinente, drôle, libre : unique. La programmation muette de cette édition a rassemblé des films soviétiques tournés entre 1924 et 1930. Leurs metteurs en scène, célébrissimes ou oubliés, font preuve d’une inépuisable énergie et prennent le social et le politique à bras-le-corps pour créer des images nouvelles destinées à un vaste public, nouveau lui aussi. À la même époque, de l’autre côté de l’Atlantique, Howard Hawks tourne Une fille dans chaque port. Nous suivons sa glorieuse carrière (parlante, brillamment dialoguée, parfois même chantante et musicale) jusque dans les années soixante, à travers une vingtaine de films tournés sur terre, dans les airs et le long de mythiques rivières et dont il serait superflu, ici, de rappeler l’importance. Chaque année, sous la houlette de Jean Rubak et d’Amélie Compain, les détenus de l’île de Ré réalisent un film. Celui de 2014 s’appelle Par ici la sortie. Chaque année, pendant toute une nuit, les festivaliers s’enferment volontairement dans une salle de cinéma, pour s’évader… Ensemble, nous partagerons ce rêve de trouver notre place, d’hier à aujourd’hui, ici et ailleurs. Les films, parfois, nous aident à la trouver… Prune Engler Sylvie Pras Déléguée générale Directrice artistique Sommaire Hommages 7 Jean-Jacques Andrien (Belgique) 8 Pippo Delbono (Italie) 18 Bruno Dumont (France) 26 Hanna Schygulla (Allemagne) 38 Découverte 61 Midi Z (Birmanie/Taïwan) 62 Vive le cinéma d’animation tchèque ! 71 Se souvenir de Bernadette Lafont 87 Rétrospectives 99 L’âge d’or du cinéma muet soviétique 100 Howard Hawks (États-Unis) 116 D’hier à aujourd’hui 139 Films restaurés et rééditions Ici et ailleurs 163 Films inédits et avant-premières Musique et cinéma 223 Bruno Fontaine 224 Laurent Petitgirard 228 Orval Carlos Sibelius 230 Nuit blanche de l’évasion 233 Le festival à l’année 241 Remerciements 249 Répertoire depuis 1973 256 Index des films 269 Index des cinéastes 272 partenaire officiel du FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE LA ROCHELLE A L’OCCASION DU FESTIVAL, RETROUVEZ SUR CINE+CLASSIC TOUS LES JEUDIS DU MOIS DE JUILLET A 20H45 LE CYCLE HOWARD HAWKS AVEC : LE SPORT FAVORI DE L’HOMME, RIO BRAVO, RIO LOBO, HIS GIRL FRIDAY ET UN AMOUR PAS COMME LES AUTRES. CINE+ EST DISPONIBLE PAR SATELLITE ET ADSL SUR ET PAS LE CABLE SUR CINEPLUS.FR LE CINEMA DE REFERENCE HOMMAGES Jean-Jacques ANDRIEN Pippo DELBONO Bruno DUMONT Hanna SCHYGULLA Jean-Jacques ANDRIEN JEAN-JACQUES ANDRIEN Emmanuel d’Autreppe Critique, enseignant, éditeur Les buveurs d’étiquette, dont on ne jouera le jeu ici que le temps de briser la glace, commenceraient peut-être par se demander si Jean-Jacques Andrien est un cinéaste documentaire qui réalise des films de fiction, ou un cinéaste de fiction dont la démarche demeure profondément documentaire. Question de degré plus que de nature, on le sait ! Dès ses origines, le cinéma du réel, pour des raisons techniques ou esthétiques tout autant que de convention théâtrale, a pu recourir à la mise en scène, exprimant le vrai par le détour du faux. À la rencontre des deux logiques, on trouve une kyrielle de définitions ou de délimitations dont les légitimités, contradictoires, se valent souvent voire s’annulent. Une première modernité a pu surmonter par l’exemple, au seuil de la Seconde Guerre mondiale, cette fausse dualité ; cinéma de l’urgence, de l’évidence, de la nécessité : le néoréalisme italien. Mais on perçoit moins bien que ce questionnement a également irrigué en quelque sorte une « seconde modernité » (dans les acquis de laquelle le cinéma actuel se tient désormais parfois un peu trop confortablement), celle qui allait nourrir notamment l’évolution du cinéma de Godard, mais aussi par exemple celui des Straub-Huillet ou encore, mettons, d’un Kiarostami. Cinéma de l’ambiguïté des genres, de la qualité de l’approche et de la pertinence de l’ancrage. Cinéma de l’essai, procédant par erreurs et corrections, et conviant son public en chemin dans la recherche active d’un nouveau positionnement. À la fois modestement et avec éclat, pour qui savait y voir, Jean-Jacques Andrien aura fait partie de ceux-là, dès les années 1970 et ses premières tentatives, suivant le fil de thèmes ou d’obsessions dont l’universalité devait n’apparaître que progressivement.
Recommended publications
  • An Ethnographic Inquiry of a Coven of Contemporary Witches James Albert Whyte Iowa State University
    Iowa State University Capstones, Theses and Retrospective Theses and Dissertations Dissertations 1981 An examen of Witches: an ethnographic inquiry of a coven of contemporary Witches James Albert Whyte Iowa State University Follow this and additional works at: https://lib.dr.iastate.edu/rtd Part of the Anthropology Commons, New Religious Movements Commons, and the Other Religion Commons Recommended Citation Whyte, James Albert, "An examen of Witches: an ethnographic inquiry of a coven of contemporary Witches" (1981). Retrospective Theses and Dissertations. 16917. https://lib.dr.iastate.edu/rtd/16917 This Thesis is brought to you for free and open access by the Iowa State University Capstones, Theses and Dissertations at Iowa State University Digital Repository. It has been accepted for inclusion in Retrospective Theses and Dissertations by an authorized administrator of Iowa State University Digital Repository. For more information, please contact [email protected]. An examen of Witches: An ethnographic inquiry of a coven of contemporary Witches by James Albert Whyte A Thesis Submitted to the Graduate Faculty in Partial Fulfillment of the Requirements for the Degree of MASTER OF ARTS Department: Sociology and Anthropology Maj or: Anthropology Signatures have been redacted for privacy Iowa State University Ames, Iowa 1981 ii TABLE OF CONTENTS Page INTRODUCTION 1 WITCHCRAFT 10 WITCHES 23 AN EVENING WITH THE WITCHES 39 COVEN ORGANIZATION 55 STRESS AND TENSION IN THE SWORD COVEN 78 THE WITCHES' DANCE 92 LITERATURE CITED 105 1 INTRODUCTION The witch is a familiar figure in the popular Western imagination. From the wicked queen of Snow White to Star Wars' Yoda, witches and Witch­ like characters have been used to scare and entertain generations of young and old alike.
    [Show full text]
  • JWO Vol. 17 Corrected.Indd
    28 Merlyn Q. Sell How Shakespeare Lost the American West Merlyn Q. Sell Independent Scholar hakespeare was among the first European settlers in the American West. He first hitched rides in the packs of fur S traders in the 1830’s and then stuck around, hanging out through the cattle drives of the 1890s. Considering Shakespeare’s large role in the Wild West of history, his absence from the Wild West of popular culture is glaring. While fictions of the Wild West are not beholden to the facts, the reasons a particular fictitious narrative has dominated the genre deserves interrogation—particularly when that narrative forms a cornerstone of national identity. A key reason for Shakespeare’s disappearance, or erasure, from the myth of the Wild West is his association with upper-class women and their civic reforms. As the “wildness” of the west became idealized, Shakespeare was remembered as a sign of refinement and his wilder and woollier past forgotten. In the mining camps of the West the same pattern emerged time and again. Shakespeare was an integrated part of these rough and rowdy communities from the start. His works were performed alongside variety acts, circuses, and boxing 1 matches for a mostly working class, mostly male audience. Journal of the Wooden O. Vol 16, 28-37 © Southern Utah University Press ISSN: 1539-5758 How Shakespeare Lost the American West 29 As railroads linked these once isolated communities to the trends of the East, Shakespeare’s place within the community transformed. Older versions of Shakespeare performance were not suitable for the changing demographics as cities once dominated by single males saw an influx of women and families.2 While women did not introduce Shakespeare to Western communities, they did employ him in different ways.
    [Show full text]
  • The Films of Raoul Walsh, Part 1
    Contents Screen Valentines: Great Movie Romances Screen Valentines: Great Movie Romances .......... 2 February 7–March 20 Vivien Leigh 100th ......................................... 4 30th Anniversary! 60th Anniversary! Burt Lancaster, Part 1 ...................................... 5 In time for Valentine's Day, and continuing into March, 70mm Print! JOURNEY TO ITALY [Viaggio In Italia] Play Ball! Hollywood and the AFI Silver offers a selection of great movie romances from STARMAN Fri, Feb 21, 7:15; Sat, Feb 22, 1:00; Wed, Feb 26, 9:15 across the decades, from 1930s screwball comedy to Fri, Mar 7, 9:45; Wed, Mar 12, 9:15 British couple Ingrid Bergman and George Sanders see their American Pastime ........................................... 8 the quirky rom-coms of today. This year’s lineup is bigger Jeff Bridges earned a Best Actor Oscar nomination for his portrayal of an Courtesy of RKO Pictures strained marriage come undone on a trip to Naples to dispose Action! The Films of Raoul Walsh, Part 1 .......... 10 than ever, including a trio of screwball comedies from alien from outer space who adopts the human form of Karen Allen’s recently of Sanders’ deceased uncle’s estate. But after threatening each Courtesy of Hollywood Pictures the magical movie year of 1939, celebrating their 75th Raoul Peck Retrospective ............................... 12 deceased husband in this beguiling, romantic sci-fi from genre innovator John other with divorce and separating for most of the trip, the two anniversaries this year. Carpenter. His starship shot down by U.S. air defenses over Wisconsin, are surprised to find their union rekindled and their spirits moved Festival of New Spanish Cinema ....................
    [Show full text]
  • 2020 Journal
    THE OFFICIAL Supplied free to members of GFAA-affiliated clubs or $9.95 GFAA GAMEFISHING 2020 JOURNAL HISTORICAL THE OFFICIAL GAME FISHING ASSOCIATION OF AUSTRALIA 2020 JOURNAL THE OFFICIAL GAME FISHING ASSOCIATION SPECIAL FEATURE •Capt Billy Love – Master of Sharks Including gamefish weight gauges, angling Published for GFAA by rules/regulations, plus GFAA and QGFA records www.gfaa.asn.au LEGENDARY POWER COUPLE THE LEGEND CONTINUES, THE NEW TEREZ SERIES OF RODS BUILT ON SPIRAL-X AND HI-POWER X BLANKS ARE THE ULTIMATE SALTWATER ENFORCER. TECHNOLOGY 8000HG MODELS INFINITE POWER CAST 6’6” HEAVY 50-150lb SPIN JIG 5’10” MEDIUM 24kg CAST 6’6” X-HEAVY 65-200lb SPIN JIG 5’8” HEAVY 37kg THE STELLA SW REPRESENTS THE PINNACLE OF CAST 6’6” XX-HEAVY 80-200lb SPIN JIG 5’9” MEDIUM / HEAVY 24-37kg SHIMANO TECHNOLOGY AND INNOVATION IN THE CAST 7’0” MEDIUM 30-65lb OVERHEAD JIG 5’10” MEDIUM 24kg PURSUIT OF CREATING THE ULTIMATE SPINNING REEL. CAST 7’0” MEDIUM / HEAVY 40-80lb OVERHEAD JIG 5’8” HEAVY 37kg SPIN 6’9” MEDIUM 20-50lb SPIN 7’6” MEDIUM 10-15kg SPIN 6’9” MEDIUM / HEAVY 40-80lb SPIN 7’6” HEAVY 15-24kg TECHNOLOGY SPIN 6’9” HEAVY 50-100lb SPIN 7’0” MEDIUM 5-10kg SPIN 6’9” X-HEAVY 65-200lb SPIN 7’0” MEDIUM / LIGHT 8-12kg UPGRADED DRAG WITH SPIN 7’2” MEDIUM / LIGHT 15-40lb SPIN 7’9” STICKBAIT PE 3-8 HEAT RESISTANCE SPIN 7’2” MEDIUM lb20-50lb SPIN 8’0” GT PE 3-8 *10000 | 14000 models only SPIN 7’2” MEDIUM / HEAVY 40-80lb Check your local Shimano Stockists today.
    [Show full text]
  • “Early Bird” High School Fishing Tournament Rules And
    “Early Bird” High School Fishing Tournament Rules and Map Mandatory Rules meeting for all participants at 7:00 am Central Time at Nestegg Marine. Meeting will conclude by 7:30 am at the latest. Tournament will begin after meeting. *Awards Banquet and Student Raffle held at Marinette Elks Club following the weigh-in. Walking distance from Nestegg Marine* General Rules: All Anglers must obey Wisconsin and Michigan DNR fishing regulations. Wisconsin Fishing License - (16 years or older) Including Great Lakes Trout Stamp if targeting or intending to keep Trout. o Anglers may fish the Menominee River and everywhere south of Menominee River including the whole Southern Bay of Green Bay. See Map for details. Michigan Fishing - (17 years or older) All Species License o Anglers may fish the Menominee River and everywhere north of Menominee River to Cedar River. See Map for details. Wisconsin and Michigan License o Anglers may fish from Cedar River and anywhere south in the Bay of Green Bay and includes the Menominee River. Each student-angler, and parent must sign Tournament Medical Release Waiver. Make sure that you DRESS WARM! Even though it is getting warmer, being on the water will be much colder than on land. Target Species and Bag Limits: Each student-angler allowed to register 1 Walleye, 1 Trout, and 1 Northern Pike for individual awards. Each 4-angler (students/adults) team can register up to 4 Walleye, 6 Northern Pike(pictures of length), and 6 Trout. Anglers may begin weighing in at 12:00 pm central time at Nestegg Marine. Fishing ends at 3:00 pm and anglers must be in line to weigh-in by 3:30 pm.
    [Show full text]
  • Film Film Film Film
    Annette Michelson’s contribution to art and film criticism over the last three decades has been un- paralleled. This volume honors Michelson’s unique C AMERA OBSCURA, CAMERA LUCIDA ALLEN AND TURVEY [EDS.] LUCIDA CAMERA OBSCURA, AMERA legacy with original essays by some of the many film FILM FILM scholars influenced by her work. Some continue her efforts to develop historical and theoretical frame- CULTURE CULTURE works for understanding modernist art, while others IN TRANSITION IN TRANSITION practice her form of interdisciplinary scholarship in relation to avant-garde and modernist film. The intro- duction investigates and evaluates Michelson’s work itself. All in some way pay homage to her extraordi- nary contribution and demonstrate its continued cen- trality to the field of art and film criticism. Richard Allen is Associ- ate Professor of Cinema Studies at New York Uni- versity. Malcolm Turvey teaches Film History at Sarah Lawrence College. They recently collaborated in editing Wittgenstein, Theory and the Arts (Lon- don: Routledge, 2001). CAMERA OBSCURA CAMERA LUCIDA ISBN 90-5356-494-2 Essays in Honor of Annette Michelson EDITED BY RICHARD ALLEN 9 789053 564943 MALCOLM TURVEY Amsterdam University Press Amsterdam University Press WWW.AUP.NL Camera Obscura, Camera Lucida Camera Obscura, Camera Lucida: Essays in Honor of Annette Michelson Edited by Richard Allen and Malcolm Turvey Amsterdam University Press Front cover illustration: 2001: A Space Odyssey. Courtesy of Photofest Cover design: Kok Korpershoek, Amsterdam Lay-out: japes, Amsterdam isbn 90 5356 494 2 (paperback) nur 652 © Amsterdam University Press, Amsterdam, 2003 All rights reserved. Without limiting the rights under copyright reserved above, no part of this book may be reproduced, stored in or introduced into a retrieval system, or transmitted, in any form or by any means (electronic, me- chanical, photocopying, recording or otherwise) without the written permis- sion of both the copyright owner and the author of the book.
    [Show full text]
  • 43E Festival International Du Film De La Rochelle Du 26 Juin Au 5 Juillet 2015 Le Puzzle Des Cinémas Du Monde
    43e Festival International du Film de La Rochelle du 26 juin au 5 juillet 2015 LE PUZZLE DES CINÉMAS DU MONDE Une fois de plus nous revient l’impossible tâche de synthétiser une édition multiforme, tant par le nombre de films présentés que par les contextes dans lesquels ils ont été conçus. Nous ne pouvons nous résoudre à en sélectionner beaucoup moins, ce n’est pas faute d’essayer, et de toutes manières, un contexte économique plutôt inquiétant nous y contraint ; mais qu’une ou plusieurs pièces essentielles viennent à manquer au puzzle mental dont nous tentons, à l’année, de joindre les pièces irrégulières, et le Festival nous paraîtrait bancal. Finalement, ce qui rassemble tous ces films, qu’ils soient encore matériels ou virtuels (50/50), c’est nous, sélectionneuses au long cours. Nous souhaitons proposer aux spectateurs un panorama généreux de la chose filmique, cohérent, harmonieux, digne, sincère, quoique, la sincérité… Ambitieux aussi car nous aimons plus que tout les cinéastes qui prennent des risques et notre devise secrète pourrait bien être : mieux vaut un bon film raté qu’un mauvais film réussi. Et enfin, il nous plaît que les films se parlent, se rencontrent, s’éclairent les uns les autres et entrent en résonance dans l’esprit du festivalier. En 2015, nous avons procédé à un rééquilibrage géographique vers l’Asie, absente depuis plusieurs éditions de la programmation. Tout d’abord, avec le grand Hou Hsiao-hsien qui en est un digne représentant puisqu’il a tourné non seulement à Taïwan, son île natale mais aussi au Japon, à Hongkong et en Chine.
    [Show full text]
  • Surviving and Thriving in a Hostile Religious Culture Michelle Mitchell Florida International University, [email protected]
    Florida International University FIU Digital Commons FIU Electronic Theses and Dissertations University Graduate School 11-14-2014 Surviving and Thriving in a Hostile Religious Culture Michelle Mitchell Florida International University, [email protected] DOI: 10.25148/etd.FI14110747 Follow this and additional works at: https://digitalcommons.fiu.edu/etd Part of the New Religious Movements Commons Recommended Citation Mitchell, Michelle, "Surviving and Thriving in a Hostile Religious Culture" (2014). FIU Electronic Theses and Dissertations. 1639. https://digitalcommons.fiu.edu/etd/1639 This work is brought to you for free and open access by the University Graduate School at FIU Digital Commons. It has been accepted for inclusion in FIU Electronic Theses and Dissertations by an authorized administrator of FIU Digital Commons. For more information, please contact [email protected]. FLORIDA INTERNATIONAL UNIVERSITY Miami, Florida SURVIVING AND THRIVING IN A HOSTILE RELIGIOUS CULTURE: CASE STUDY OF A GARDNERIAN WICCAN COMMUNITY A thesis submitted in partial fulfillment of the requirements for the degree of MASTER OF ARTS in RELIGIOUS STUDIES by Michelle Irene Mitchell 2014 To: Interim Dean Michael R. Heithaus College of Arts and Sciences This thesis, written by Michelle Irene Mitchell, and entitled Surviving and Thriving in a Hostile Religious Culture: Case Study of a Gardnerian Wiccan Community, having been approved in respect to style and intellectual content, is referred to you for judgment. We have read this thesis and recommend that it be approved. _______________________________________ Lesley Northup _______________________________________ Dennis Wiedman _______________________________________ Whitney A. Bauman, Major Professor Date of Defense: November 14, 2014 The thesis of Michelle Irene Mitchell is approved.
    [Show full text]
  • BROOKS ATKINSON THEATER (Originally Mansfield Theater), 256-262 West 47Th Street, Manhattan
    Landmarks Preservation Commission November 4, 1987; Designation List 194 LP-1311 BROOKS ATKINSON THEATER (originally Mansfield Theater), 256-262 West 47th Street, Manhattan. Built 1925-26; architect Herbert J. Krapp. Landmark Site: Borough of Manhattan Tax Map Block 1018, Lot 57. On June 14 and 15, 1982, the Landmarks Preservation Commission held a public hearing on the proposed designation as a Landmark of the Brooks Atkinson Theater and the proposed designation of the related Landmark Site (I tern No. 7). The hearing was continued to October 19, 1982. Both hearings had been duly advertised in accordance with the provisions of law. Eighty witnesses spoke or had statements read into the record in favor of designation. Two witnesses spoke in opposition to designation. The owner, with his representatives, appeared at the hearing, and indicated that he had not formulated an opinion regarding designation. The Commission has · received many letters and other expressions of support in favor of this designation. DESCRIPTION AND ANALYSIS The Brooks Atkinson Theater survives today as one of the historic theaters that symbolize American theater for both New York and the nation. Built during the mid-1920s, the Brooks Atkinson was among the half-dozen theaters constructed by the Chanin Organization, to the designs of Herbert J. Krapp, that typified the development of the Times Square/Broadway theater district. Founded by Irwin S. Chanin, the Chanin organization was a major construction company in New York. During the 1920s, Chanin branched out into the building of theaters, and helped create much of the ambience of the heart of the theater district.
    [Show full text]
  • Social Psychology
    Social Psychology OUTLINE OF RESOURCES Introducing Social Psychology Lecture/Discussion Topic: Social Psychology’s Most Important Lessons (p. 853) Social Thinking The Fundamental Attribution Error Lecture/Discussion Topic: Attribution and Models of Helping (p. 856) Classroom Exercises: The Fundamental Attribution Error (p. 854) Students’ Perceptions of You (p. 855) Classroom Exercise/Critical Thinking Break: Biases in Explaining Events (p. 855) NEW Feature (Short) Film: The Lunch Date (p. 856) Worth Video Anthology: The Actor-Observer Difference in Attribution: Observe a Riot in Action* Attitudes and Actions Lecture/Discussion Topics: The Looking Glass Effect (p. 856) The Theory of Reasoned Action (p. 857) Actions Influence Attitudes (p. 857) The Justification of Effort (p. 858) Self-Persuasion (p. 859) Revisiting the Stanford Prison Experiment (p. 859) Abu Ghraib Prison and Social Psychology (p. 860) Classroom Exercise: Introducing Cognitive Dissonance Theory (p. 858) Worth Video Anthology: Zimbardo’s Stanford Prison Experiment* The Stanford Prison Experiment: The Power of the Situation* Social Influence Conformity: Complying With Social Pressures Lecture/Discussion Topics: Mimicry and Prosocial Behavior (p. 861) Social Exclusion and Mimicry (p. 861) The Seattle Windshield Pitting Epidemic (p. 862) Classroom Exercises: Suggestibility (p. 862) Social Influence (p. 863) Student Project: Violating a Social Norm (p. 863) Worth Video Anthology: Social Influence* NEW Liking and Imitation: The Sincerest Form of Flattery* Obedience: Following Orders Lecture/Discussion Topic: Obedience in Everyday Life (p. 865) Classroom Exercises: Obedience and Conformity (p. 864) Would You Obey? (p. 864) Wolves or Sheep? (p. 866) * Titles in the Worth Video Anthology are not described within the core resource unit.
    [Show full text]
  • October 9, 2012 (XXV:6) David Miller, LONELY ARE the BRAVE (1962, 107 Min)
    October 9, 2012 (XXV:6) David Miller, LONELY ARE THE BRAVE (1962, 107 min) Directed by David Miller Screenplay by Dalton Trumbo Based on the novel, The Brave Cowboy, by Edward Abbey Produced by Edward Lewis Original Music by Jerry Goldsmith Cinematography by Philip H. Lathrop Film Editing by Leon Barsha Art Direction by Alexander Golitzen and Robert Emmet Smith Set Decoration by George Milo Makeup by Larry Germain, Dave Grayson, and Bud Westmore Kirk Douglas…John W. "Jack" Burns Gena Rowlands…Jerry Bondi Walter Matthau…Sheriff Morey Johnson Michael Kane…Paul Bondi Carroll O'Connor…Hinton William Schallert…Harry George Kennedy…Deputy Sheriff Gutierrez Karl Swenson…Rev. Hoskins William Mims…First Deputy Arraigning Burns Martin Garralaga…Old Man Lalo Rios…Prisoner Bill Bixby…Airman in Helicopter Bill Raisch…One Arm Table Tennis, 1936 Let's Dance, 1935 A Sports Parade Subject: Crew DAVID MILLER (November 28, 1909, Paterson, New Jersey – April Racing, and 1935 Trained Hoofs. 14, 1992, Los Angeles, California) has 52 directing credits, among them 1981 “Goldie and the Boxer Go to Hollywood”, 1979 “Goldie DALTON TRUMBO (James Dalton Trumbo, December 9, 1905, and the Boxer”, 1979 “Love for Rent”, 1979 “The Best Place to Be”, Montrose, Colorado – September 10, 1976, Los Angeles, California) 1976 Bittersweet Love, 1973 Executive Action, 1969 Hail, Hero!, won best writing Oscars for The Brave One (1956) and Roman 1968 Hammerhead, 1963 Captain Newman, M.D., 1962 Lonely Are Holiday (1953). He was blacklisted for many years and, until Kirk the Brave, 1961 Back Street, 1960 Midnight Lace, 1959 Happy Douglas insisted he be given screen credit for Spartacus was often to Anniversary, 1957 The Story of Esther Costello, 1956 Diane, 1951 write under a pseudonym.
    [Show full text]
  • Newsletter 14/12 DIGITAL EDITION Nr
    ISSN 1610-2606 ISSN 1610-2606 newsletter 14/12 DIGITAL EDITION Nr. 318 - August 2012 Michael J. Fox Christopher Lloyd LASER HOTLINE - Inh. Dipl.-Ing. (FH) Wolfram Hannemann, MBKS - Talstr. 11 - 70825 K o r n t a l Fon: 0711-832188 - Fax: 0711-8380518 - E-Mail: [email protected] - Web: www.laserhotline.de Newsletter 14/12 (Nr. 318) August 2012 editorial Hallo Laserdisc- und DVD-Fans, liebe Filmfreunde! Mit ein paar Impressionen von der Premiere des Kinofilms DIE KIR- CHE BLEIBT IM DORF, zu der wir am vergangenen Mittwoch ein- geladen waren, möchten wir uns in den Sommerurlaub verabschieden. S ist wie fast jedes Jahr: erst wenn alle Anderen ihren Urlaub schon absolviert haben, sind wir dran. Aber so ein richtiger Urlaub ist das eigentlich gar nicht. Nichts von we- gen faul am Strand liegen und sich Filme in HD auf dem Smartphone reinziehen! Das Fantasy Filmfest Fotos (c) 2012 by Wolfram Hannemann steht bereits vor der Tür und wird uns wieder eine ganze Woche lang von morgens bis spät in die Nacht hinein mit aktueller Filmware ver- sorgen. Wie immer werden wir be- müht sein, möglichst viele der prä- sentierten Filme auch tatsächlich zu sehen. Schließlich wird eine Groß- zahl der Produktionen bereits kurze Zeit nach Ende des Festivals auf DVD und BD verfügbar sein. Und da möchte man natürlich schon vor- her wissen, ob sich ein Kauf lohnen wird. Nach unserer Sommerpause werden wir in einem der Newsletter wieder ein Resümee des Festivals ziehen. Es wird sich also lohnen weiter am Ball zu blei- ben. Ab Montag, den 17.
    [Show full text]