RAPPORT TECHNIQUE Rapport Provisoire

Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural et de la Pêche Commission européenne

PROGRAMME D’ACTIONS PILOTE POUR LE DÉVELOPPEMENT RURAL ET L’AGRICULTURE EN ALGÉRIE PAP ENPARD - ALGÉRIE Siège : Direction Générale des Forêts, Chemin Doudou Mokhtar, Ben Aknoun Algérie

Mise en place de centres de ressources coordonnés dans les wilayas pilotes

Phase 1 : Etat des lieux détaillés des structures existantes et recommandations pour la mise en place de centres de ressources coordonnés Wilaya de Aïn Temouchent

RAPPORT TECHNIQUE

(05 novembre – 21 novembre 2017) Rapport Provisoire

Expert CT Tarik Boumediene BOUCHETATA

NOVEMBRE 2017

IBF EUROCONSULT

Belgique 1

RÉSUMÉ EXÉCUTIF ...... 7 1 Introduction ...... 8 1.1 RAPPEL DES RÉSULTATS ATTENDUS PAR LE PROGRAMME ...... 8 1.2 RAPPEL DES RÉSULTATS ATTENDUS DE LA MISSION – TERMES DE RÉFÉRENCES ...... 9 1.3 MÉTHODOLOGIE ...... 10 II. Recherche documentaire ...... 14 1. Les potentialités du territoire ...... 14 1.1 PRÉSENTATION DE LA WILAYA ...... 14 1.2 SECTEUR AGRICOLE ...... 16 1.3 SECTEUR AGRO ALIMENTAIRE ...... 18 1.4 SECTEUR DES FORÊTS ...... 19 1.5 SECTEUR DU TOURISME ET DE L’ARTISANAT ...... 22 1.5.1 Tourisme ...... 22 1.5.2 Artisanat ...... 25 2. Les Centres de Ressources (CR) ...... 29 3. Rôle des Partenariats Pluri-acteurs, Public-Privé ...... 31 III. Travail de terrain ...... 32 1. Analyse des acteurs ...... 32 1.1 LES DIRECTIONS ...... 32 1.1.1 La Direction des Services Agricoles (DSA) ...... 32 1.1.2 La Conservation des Forêts (CF) ...... 36 1.1.3 La Direction du Tourisme et de l’Artisanat (DTA) ...... 39 1.2 CHAMBRES CONSULAIRES (CAW/CAM) ...... 41 1.3 STRUCTURES DE FORMATIONS ...... 47 1.3.1 Centres de formations professionnelles ...... 47 1.3.2 Centre Universitaire Belhadj Bouchaib d’Aïn Temouchent ...... 54 1.4 GROUPEMENTS/ASSOCIATIONS ...... 56 1.4.1 Association des céréaliculteurs ...... 56 1.4.2 Oléiculteurs ...... 58 1.4.3 Viticulteurs et maraîchers ...... 60 1.4.4 Artisan(e)s /Associations et offices ...... 64 2. Analyse du cadre règlementaire ...... 68 3. Analse de l’iplatatio & atogaphie des Centres de Ressources (CR) ...... 74 4. Analyse SWOT – Centres de Ressources (CR) ...... 82 IV. Recommandations ...... 84 1. Missions, stratégie & fonctionnement ...... 84 2. Système de coordination entre les Centres de Ressources (CR) ...... 85 CONCLUSION ...... 86 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ...... 89

LISTE DES FIGURES

Figure 1. Démarche méthodologique Figure 2. Situation géographique et découpage administratif de la Wilaya de Aïn Temouchent Figure 3. Les zones homogènes de la wilaya de Ain Temouchent Figure 4. Principales productions – Aïn Temouchent Figure 5. Eploitatios agioles et ode deploitatio des tees Figure 6. Patrimoine forestier dAïn Temouchent Figure 7. Bassins versants dAïn Temouchent Figure 8. Forêt récréative de Rechgoune Figure 9. Forêt récréative de Kamerata Figure 10. Forêt récréative dAï El Aaa Figure 11. Forêt récréative de Sidi Ali Cherif Figure 12. Principaux enjeux du SDATW et principaux acteurs Figure 13. Cartographie des flux - DSA Figure 14. Cartographie des flux - CF Figure 15. Cartographie des flux – DTA Figure 16. Cartographie des flux – Associations/Artisan(e)s / CAW Figure 17. Cartographie des flux – CFPA/INSFP Figure 18. Catogaphie des elatios et flu difoatio – ITMA Figure 19. Catogaphie des elatios et flu difoatio - C.U Figure 20. Vision actuelle viticulteurs/maraîchers Figure 21. Vision future avec un CRAC Figure 22. Cartographie des Centres de Ressources Associatifs Coordonnés (CRAC) Figure 23. Analyse SWOT -CR

LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1. Bassis esats dAï Teouhet Tableau 2. Tpologie de latisaat et pat de la fee - Aïn Temouchent (2017) Tableau 3. Noe datisas pa tahe dâge - Aïn Temouchent (2017) Tableau 4. Rencontre avec les subdivisions agricoles - Direction des Services Agricoles (DSA) Tableau 5. Réceptivité des subdivisionnaires - Direction des Services Agricoles (DSA) Tableau 6.Rencontre avec les chefs de districts et circonscriptions - Conservation des Forêts (CF) Tableau 7. Réceptivité des chefs de districts et circonscriptions - Conservation des Forêts (CF) Tableau 8. ‘eote ae la Dietio du Touise et de lAtisanat (DTA) Tableau 9. ‘eptiit de la Dietio du Touise et de lAtisaat DTA Tableau 10. Missions des Chambres consulaires (CAW/CAM) Tableau11. Rencontre avec la Chae dAtisaat et des Mties CAM Tableau12. Reptiit de la Chae dArtisanat et des Métiers (CAM) Tableau 13. Rencontre avec le Cete de Foatio Pofessioelle et dAppetissage CFPA Tableau 14. Réceptivité du Cete de Foatio Pofessioelle et dAppetissage CFPA Tableau 15. Rencontre Institut Technologique Moyen Agricole Spécialisé (ITMAS) Tableau 16. Réceptivité ITMAS Tableau 17. Rencontre Centre Universitaire Belhadj Bouchaib (C.U) Tableau 18. Réceptivité Centre Universitaire (C.U) Tableau 19. Rencontre - Association des céréales de la Wilaya - Aïn Temouchent Tableau 20. Réceptivité - Associations des céréales Tableau 21. Réceptivité – Oléiculteurs

Tableau 22. Rencontre viticulteurs « Pergola » en cours de structuration (GICA) – Sidi Ben Adda Tableau 23. Rencontre maraîchers - Oulhaça Tableau 24. Rencontre - Artisanat/Tourisme Tableau 25. Réceptivité – Artisan(e)s/Associations

LISTE DES ENCADRES Encadré 1. Synthèse par secteur Encadré 2. Loi doietatio agiole Loi °-16 du 10 Août 2008) Encadré 3. Loi n°03-03 relative aux zoes depasio et sites touistiues (JO n°11 -2003) Encadré 4. Textes relatifs à la qualification professionnelle, au label de qualité, aux fonds de pootio datisaat et au aatages fisau Encadré 5. Centre de Ressources (Sud-ouest) Encadré 6. Centre de Ressources (Centre) Encadré 7. Centre de Ressources (Nord-est) Encadré 8. Analyse « Coopérative – Association » et besoins exprimés

LISTE DES ANNEXES

Annexe 1 : Doupage adiistatif de la ilaa d’Aï Teouhet Annexe 2: Carte des ressources naturelles et des potentialités de Aïn Temouchent Annexe 3 : Identification des besoins exprimés en matière de formation Annexe 4 : Groupements actifs, intéressants et intéressés Annexe 5 : Personnes rencontrées Aee : Fous Goupe & Guide d’etetien Aee : Taleau d’Aalse

Sigles et acronymes

ANAT Agee Natioale dAageet du Teitoie

ANGEM Agence Nationale de Gestion du Microcrédit

ANSEJ Agence Nationale pour le Soutien à l'Emploi des Jeunes

ATA Assistae Tehiue dAppui

CAM Chae de lAtisaat et des Mties

CAW Chae de lAgiultue de Wilaa

CCL Comité de Concertation Locale

CF Conservation de Forêts

CFPA Cete de Foatio Pofessioelle et dAppetissage

CNAC Caisse Natioale dAssuae Chôage

CR Centre de Ressources

CRAC Centre de Ressources Associés Coordonnés

CT Court Terme

DC Direction de la Culture

DEFP Dietio de lEseigeet et de la Foatio Pofessioelle

DGF Direction Générale des Forêts

DHW Dietio de lHdauliue de Wilaa

DMI Dietio de lIdustie et des Mies

DSA Direction des Services Agricoles

DTA Dietio du Touise et de lAtisaat

DPISB Direction de la Programmation des Investissements et du Suivi Budgétaire

DRAG Direction de la Réglementation et des Affaires Générales

EAC Exploitation Agricole Collective

EAI Exploitation Agricole Individuelle

ENPARD European Neighborhood Programme for agriculture and Rural Development

FNPAAT Fods Natioal de Pootio de lAtisaat et de lAtisaat Taditioel

GICA Goupeet dItt Cou Agiole

INRAA Istitut Natioal de la ‘ehehe Agooiue dAlgie

INSFP Institut National Supérieur de la Formation Professionnelle

ITELV Istitut Tehiue de lEleage

ITAFV Istitut Tehiue de lAoiultue Fuitière et de la Vigne

ITCMI Institut Technique des Cultures Maraichères et Industrielles

ITGC Institut Technique des Grandes Cultures

ITMAS Institut Technologique Moyen Agricole Spécialisé

INSID Institut National des Sols, de l'Irrigation et Drainage

MADRP Ministère de l'Agriculture, du Développement Rural et de la Pêche

MRE Ministère des Ressources en Eau

PAM Plantes Aromatiques et Médicinales

PATW Pla dAageet du Teitoie de la Wilaa

PME Petite et Moyenne Entreprise

PMH Petite et Moyenne Hydraulique

PMI Petite et Moyenne Industrie

SAU Superficie Agricole Utile

SWOT Strengths – Weaknesses – Opportunities – Threats

TDR Termes de Référence

RÉSUMÉ EXÉCUTIF

Les Termes de Références (TdRs) invitent les experts à faire preuve dietiit e présentant une méthodologie de travail innovante et adaptée débouchant sur la réceptivité (ou pas ) des différents acteurs sur le processus de mise en place de Centres de Ressources Associatifs Cordonnées (CRAC).

En effet, il est aujourdhui eou ue le deloppeet soio-économique du monde ual epose su loffe de seie de oseils tehiues et ooiues dot les esois sont de plus en plus croissants chez les acteurs du développement. Par conséquent, les dispositifs de oseil se doiet dassue le tasfet de ouelles oaissaes et la fouitue de seies adapts à lesele des ateus. La dispoiilit et la iulatio difoatios de ualit deieet alos ipotates pou latteite des ojetifs de développement rural. Dans la mesure où il est souvent difficile pou es ateus de soffi deu-mêmes les services nécessaires pour développer leur atiit, il a u esoi dogaisatios pofessioelles, dassoiatios diles et fiables capables de leu ede des seies petiets et ue essit de sattahe le oous de stutues dappui effiaes et effiietes.

Doù litt de deloppe des etes de essoues ui offet des seies difoatios, doietatios et de foations. Ils jouent également un rôle ditediaies ete les seies tehiues, les istitutios de ehehe et les groupements.

La psete issio oespodat à u tat des lieu dtaill a peis didetifie les stutues daueil potetielles apale dassue le fotioeet des etes de ressources.

Les besoins en formation complémentaire et définition des grandes lignes de la stratégie de communication et de visibilité.

Les données récoltées, les entretiens et rencontres avec différents acteurs (directions, services de formations, chambres consulaires et groupements/associations) de la wilaya de Ai Teouhet a peis didetifie, de atogaphie tois (03) Centres de Ressources Associatifs Coordonnés engagés dans trois localités le log du taset sud-est / nord- ouest pou se stutue et sogaise e oits de oetatios loales CCL pou mener une réflexion commune sur des produits locales à valoriser dans le but de redynamiser leur territoire.

Laalse de liplatatio des centres de ressources dans la wilaya a été précisée sous forme de SWOT suivi de recommandations pour engager la prochaine phase de réflexion (Atelier-Réflexion - Phase 2).

Efi, ous teos à eeie les ateus eots, le hef datee et points focaux dAi Teouhet pou leu daise, leu appui et ui ot ie oulu se pte, e u temps très court, à l'approche consultative et participative adoptée.

1 INTRODUCTION

La Politique de renouveau agricole et rural (PRAR), lancée en 2008, fait suite à une stratégie engagée depuis le début des années 2000 (Plan national de développement agricole de 2000 auquel a été ajoutée la dimension de développement rural en 2002, Stratégie nationale de développement rural lancée en 2003 dans laquelle la sécurité alimentaire nationale, la diesifiatio de looie et la edaisatio des teitoies uau ostituet les objectifs fondamentaux. La PRAR introduit toutefois de nouveaux principes. E ettat laet su la detalisatio et la esposabilisation des acteurs au niveau local et sur le développement rural participatif, le pilier du renouveau rural se situe délibérément dans le ade de la foe de lÉtat, de la doatisatio de la soit, de la oe goueae des territoires ruraux et du processus de décentralisation conduit dans le pays. Il prend en opte les ojetifs ooiues et soiau e atie deploi, de eeu et de stailisatio des populatios tout e sisiat das les liges dieties du “ha atioal daénagement du territoire.

1.1 RAPPEL DES RÉSULTATS ATTENDUS PAR LE PROGRAMME

Le Pogae dAtios Pilote pou le deloppeet agiole et ual est u pogae ilatal U.E./Algie dot lojetif gal est de otiue à lalioatio des oditions de ie pa laugetatio des eeus et de leploi e ilieu ual, otaet das les ilaas dAi-Temouchent, Laghouat, Sétif et Tlemcen “o ojetif spifiue est dalioe lutilisatio, la aloisatio et la diesifiatio des ressources loales e failitat legee due ouelle gatio de pojets ioats de deloppeet agiole et ual ipliuat lesele des seteus ooiues oes e faoisat la utualisatio des essoues et des oes pa lappohe patiipative et intersectorielle.

Le ut is est de deloppe due aie oodoe letepeaiat des seteus agiole, forestier, artisanal, et éco-touristique. Le terme « Produit » utilisé ci-aps pote su lu ou lesele des tois seteus susentionnés.

La statgie du pogae est ase su tois aes diteetio oespodat aussi au tois résultats attendus : Résultat 1 : Mise e plae du poessus patiipatif pou lidetifiatio des projets de développement rural durable dans les wilayas pilotes. Résultat 2 : Mise en valeur des produits et des ressources locaux et amélioration de leur qualité en vue de leur mise sur le marché ; Résultat 3 : ‘efoeet de la ouiatio et de lifoatio su les initiatives entrepreneuriales des acteurs locaux.

Les priorités thématiques qui découlent de ces résultats sont en lien direct avec le programme régional européen de développement agricole et rural pour les pays du voisinage (ENPARD) et la Politique Agricole et Rurale définie par le gouvernement algérien.

La mise en place de centres de ressources conformément au résultat 3 du PAP ENPARD est un élément clé du développement et de la croissance des groupements des producteurs actifs das les tois seteus d’atiits du PAP ENPARD. Lojectif visé est de mettre en place dans des stutues daueil eistates i u sste d’appui-conseil sur la valorisation des ressources et produits du terroir ; (ii) un système de communication peettat lifoatio et la diffusion des initiatives visant à la valorisation territoriale rurale ; et (iii) un système de suivi des initiatives entrepreneuriales.

Lappohe du Pogae e atie dappui au goupes iles est ase su ue impulsion par la demande.

Létat des lieux détaillé des structures existantes et recommandations pour la mise en place de centres de ressources coordonnés dans la wilaya de Aïn Temouchent est un travail diestigatio, didetifiatio « partagé » avec comme principe de conduite : la participation des différents acteurs.

L’analyse SWOT/AFOM de l’iplatatio des Cete de Ressoues doit peette d’appie et de préciser la perception et le degré de réceptivité des acteurs impliqués dans le processus de développement rural.

1.2 RAPPEL DES RÉSULTATS ATTENDUS DE LA MISSION – TERMES DE RÉFÉRENCES Tenons compte des TDRs, les résultats attendus sont :

. Les stutues daueil potetielles apale dassue le fotioeet des etes de ressources sont identifiées ; 2. Les objectifs qualitatifs et quantitatifs du réseau de centres de ressources sont définis en fonction des publics cibles, des services rendus et des effets attendus ; 3. Le fonctionnement du réseau de centres est précisé compte tenu des moyens humains, matériels et financiers à prévoir ; 4. Un sste de oodiatio ete les etes daueil au sei de la ilaa et ete les wilayas pilotes est défini ; 5. Les besoins en formation complémentaire et les grandes lignes de la stratégie de communication et de visibilité sont définis ; 6. Une analse de liplatatio de etes de essoues das la ilaa est pise sous forme de SWOT ; . U pla datio de haue ete idetifi est dfii.

Une démarche participative de prospection est définie en concertation avec les acteurs locaux identifiés.

Rappelons que les diagnostics territoriaux participatifs réalisés pendant la phase de démarrage du PAP ENPARD ont mis en évidence :

1. La essit de alise des pestatios d’aopageet des goupeets dans la durée afin de répondre aux problématiques liées au développement de leur entreprise ; 2. L’eistee das haue ilaa de essoues pouat te oilises pou faoise le transfert de connaissance et de savoir faire ainsi que de nombreuses structures non coordonnées entre elles.

Les centres de ressources ont un double ancrage : (i) territorial car bien entendu la demande intéressera en premier lieu les groupements à l'intérieur d'un territoire s'il s'agit d'organiser des échanges d'expériences et des rencontres ; mais aussi (ii) wilayal si une structure à vocation formative est identifiée ou sil eiste des hages ete teitoies.

Les deades adesses au uate hefs datees is e plae pa le PAP das les ilaas pilotes indiquent que les problématiques posées par les groupements sont très diversifiées.

Elles ne concernent pas seulement la valorisation des produits mais aussi des demandes d’ifoatios et de ouiatio su les essoues dispoiles dans la wilaya ainsi que des deades dappuis tehiues e eleant pas directement du mandat du Programme. Il est donc important que les présentes études/missions puissent aussi examiner les réponses possibles à ces questions dans le cadre des centres de ressources à mettre en place.

L'objectif spécifique : Définir les modalités de mise en place et de fonctionnement de Centres de ressources sappuat su les optees spifiues des stutues daueil potetielles idetifies offrant des services au profit du développement communautaire afin de développer la synergie et minimiser les coûts.

1.3 MÉTHODOLOGIE

Pour répondre à la méthodologie de travail exprimée dans les TdR, qui se veut participative et inclusive, nous avons opté pour le focus, les guides deteties et la atogaphie des flu difoatios Figure 1). Les groupes cibles communs aux trois phases sont les acteurs des secteurs publics, parapublics mais aussi tous les acteurs de la société civile, en particulier les groupements de producteurs et des acteurs individuels.

Pour avoir une compréhension coplte du sujet ue lo tudie, pou foui u potait eat de la alit telle uelle est ue et alue et aalse les esois ous aos opt pou la technique du « Focus group ». La méthode du « Focus Group » est une méthode qualitative qui favorise l'émergence de toutes les opinions ; Elle ne poursuit donc pas la recherche du consensus. Elle répond aux « Pourquoi ? Et au comment ? ».

L'intérêt des « focus groups » est que les commentaires d'un participant peuvent susciter des commentaires chez d'autres participants. Des idées peuvent ainsi être développées et approfondies et complète ainsi les guides d'entretiens individuels. Les discussions s'avèrent généralement très fructueuses. Les focus

10 groups sont utiles et constituent un instrument privilégié pour identifier des questions pertinentes. Nous avons opté pour une discussion organisée (mais structurée de manière flexible) qui rassemble des petits groupes ( entre 4 et 6 participants), qui dure entre 1 à 1 heure 30 de temps pour permettre en effet dassue la patiipatio de tout le ode et doffi u teps de parole à chaque participant. Cela permet de contrôler les relations de domination/soumission qui se développent au sein du groupe, ainsi que les conversations en aparté entre les participants.

La discussion a été structurée autour d'un questionnaire/ Guide d'entretien (Annexe 6) définissant les différents thèmes de l'étude pour répondre notamment aux questions suivantes :  Qui sont les parties prenantes / partenaires? Quelle est leur structure juridique?  Quels sont les intérêts en jeu?  Quelles sot les elatios / flu difoatio ete haue patie peate?  Qui est prêt/opposé à hébergé le centre de ressource?  Quels bénéfices en seront retirés par les unes et par les autres parties ?

Nous avons conçu et utilisé trois (03) outils supplémentaires et complémentaires pour appofodi laalse otaet des paties peates Taleau daalse des ateus, Taleau de eptiit, atogaphie des flu difoatio pou la ophension des potetialits, failesses, esois des ateus aisi ue leu peeptio du C‘, litt du C‘ et leur degré de réceptivité. Il sagit en fait didetifie lesele des ateus, deaie leus rôles, leurs intérêts, réceptivités et le degré de collaboration ou résistance potentielles entre les diffets ateus. Nous aos atialis les flu difoatio ete les ateus, des lies et interactions par le biais de cartographie des flux. Les flèches a sens unique ou double sens, dédit fort ou faible, étroit ou distendu, nous ont permis de quantifier et qualifier les flux.

Notre démarche méthodologique se veut pparticipative. Nous avons réalisé les entretiens avec les stutues deadeet et les goupeets su la ase due liste établie par luipe de latee dAïn Temouchent) afin de comprendre les relations entre acteurs et identifier les potentiels structures porteuses de CR.

Nous avons présenté les résultats obtenus (Cartographie des CR, zone de pertinence et la SWOT- CR) à luipe dAï Teouhet pour validation/amendement.

Réunion : Chef d’antenne - Points focaux : CF ; DSA ; DTA

Calendrier des rencontres & Méthodologie

Recherche documentaire  Potentialités du territoire  Textes de loi par secteur  Centre de Ressources (CR)

Directions CF ; DSA ; DTA FOCUS GROUPE « Questions/Echange »

Chambres ENTRETIENS INDIVIDUELS CAW ; CAM TABLEAU FORCES /FAIBLESSE ASSOCIATIONS TABLEAU RECEPTIVITE GIC CARTOGRAPHIE DES FLUX Agriculteurs Artisan(e) s SWOT-CR

ITMA CFPA C. Universitaire

DEBRIEFING VALIDATION/AMENDEMENT

Figure 1. Démarche méthodologique

La dahe thodologiue sest atiule autou de : 1. Description et analyse des potentialités de la wilaya de Aïn Temouchent; 2. Desiptio des seies deadeet et aalse des pateaies; 3. Recherche des textes de loi par secteur ; 4. Rencontres et entretiens avec les acteurs (Tableaux et cartographie des flux); 5. Identification CR et cartographie ; 6. Analyse SWOT- CR ;

Huit (08) questions et deux (02) tableaux (Acteurs et Réceptivité) sont ainsi conçus, présentés et discutés avec les différents acteurs pour les renseigner.

Enfin, sur une feuille vierge les acteurs sont invités à représenter sous forme de sphères les pateaies pohes et litesit des hages eistats. Une grande proximité implique des hages gulies et u loigeet des hages peu gulies. Lpaisseu de letit des flèches traduit le volume des informations échangées. Plus lpaisseu est gade, plus gade est la uatit difoatios iulat das le ses idiu.

Coeat lidetifiatio des stutues daueil potetielles apale dassue le fonctionnement des centres de ressources, ous aos is laet su la libre composition des comités de concertations exprimées par nos interlocuteurs et sur la zone de pertinence pouvant couvrir plusieurs communes appartenant à différentes daïras voisines avec la ehehe de stutues deadeet de poiit aat un ancrage permanent dans la wilaya.

Nous aos adopt ue appohe sultate du hage ete epets suite au iefig de daage dAlge le oee, pou oei due appohe oue.

Un croisement entre les résultats obtenus dans les deux (02) wilayas voisines est recommandé afin de rechercher et de préciser les connectivités entre CR identifiés en vue de préparer la phase 2 (Atelier de Réflexion).

II. RECHERCHE DOCUMENTAIRE

Notre travail a nécessité la collecte de diverses données, à savoir : - Does issues des adiistatios loales D“A, CF, CAW, CAM, DPAT, et de lANDI. Ces données sont essentiellement des statistiques et des recensements portant sur différents secteurs dans la wilaya ; - Rapports depetise de bureaux dtudes (BNEDER) et du Ministère (MADR) ; - Travaux de mémoires et articles universitaires. - ‘appots esuels de latee dAï Teouhet, e patiulie le appot datiit dAoût 2017. - Textes législatifs et réglementaires pour les secteurs (Journal Officiel (JO)).

Les références bibliographiques utilisées sont portées à la fin de ce document.

1. LES POTENTIALITÉS DU TERRITOIRE

1.1 PRÉSENTATION DE LA WILAYA

La wilaya est délimitée territorialement selon la Loi N° 84/09 du 04 Février 1984 portant Organisation Territoriale des Wilayates. Aïn Témouchent, est une wilaya du nord-ouest de l'Algérie. Située à 520 km de la capitale Alger avec une superficie de 2.376,89 Km2, elle compte à fin 2015 une population de 410.423 habitants avec une densité de 173 habts/Km2. Sa position géostratégique lui permet de jouer un rôle très important dans l'économie de la gio e atie diestisseet ultisetoiels. La Wilaya est issue du découpage administratif de 1984 composé de 08 daïras et 28 communes (Figure 2).

Figure 2. Situation géographique et découpage administratif de la Wilaya de Aïn Temouchent

Sur le plan naturel, la ilaa dAi touhet est ostitue de trois (03) zones agro- écologiques distinctes définies dans le ade du pla d’aageet de la Wilaa PAW: -Les plaies itieues La pliae dAi Teouhet-El Amria) constituée de plaines et coteaux ; - La plaie de Mleta ui se situe ete la “ekha dOa et le esat septetioal de Tessala;

-La bande littorale qui fait partie de la chaîne tellienne (Massif côtier de Beni SAf; Le plateau dOuled Boudjea; La aie de Bouzedja. - La zoe otageuse dot laltitude oee aie ete et Les taas oietau; Les hautes collines de Nerkeches; Les monts de Tessala) (Figure 3).

Figure 3. Les zones homogènes de la wilaya de Ain Temouchent Caractérisé par un climat méditerranéen haud e t et tep lhie. Le régime climatique est caractérisé par des vents ui appotet galeet ue peu dhuidit. Par ailleurs, les reliefs méridionaux (SEBAA - CHIOUKH, TESSALA, MONTS DE TLEMCEN) ont une ifluee faoale e etaat laie des ets otietau ses et hauds du “ud “irocco). La population est concentrée principalement dans les zones littorales et les plaines favorables aux activités économiques (agriculture, pêche). - La zone des plaines 201 998 habitants (51%) avec les principaux centres urbain (Ain Temouchent, El malah, Hammam Bouhdjar, Chabat El Ham, El Amria); - La zone du littoral 99 184 habitants (24%) (Beni Saf Sidi Bn Adda, Terga, Ouled Boudjema) ; - La zone de montagne 100 241 habitants (25%) (Oualhaça, Ain Elkihel, Ain Tolba, Tamazourra, Oued Essabah); Le nombre de ménage total et de 77438. La daïra de Beni Saf est composé de 21 462 ménages, Ain Témouchent 18 870 ménages, Hammah bouhdjar 16 351 ménages et El Amria 14 379 ménages. Laalse de la patitio de la populatio pa âge fait essoti lete jeuesse de la population de la wilaya avec 34 % ayant mois de 20 ans et 45% ayant moins de 25 ans. La population active est de 268 994 personnes. Dont 243 036 occupés, le secteur des services oupe . % de la populatio atie, le seteu de lagiultue epsete .% , le secteur de BTP emploi 14.19% de la population occupée. Selon le rapport du DPAT (2015) le chômage est estime à 9.65% les communes de El Malah, El Amir Abdelkader, Ouled Boudjema, Aghlal sont les plus touche avec 15.05%, 14.87%, 14.78% et 14.25%. La population occupée de la wilaya est de 243.036, les secteurs de l'agriculture et du service emploient le plus de main-dœue ae espetieet , et ,. Selon le rapport du DPAT (2015) le chômage est estime à 9.65%, les communes de El Malah, El Amir Abdelkader, Ouled Boudjema, Aghlal sont les plus touche avec 15.05%, 14.87%, 14.78% et 14.25%.

 La ilaa dAïn Temouchent occupe une position géographique avantageuse : située entre tois gades topoles de lOuest Oa Tlee et “idi Bel As à une heure des pots dOa et de Ghazaouat.  La diversité des trois (03) zones agro-écologique confère à Aïn Temouchent une spécificité de ses territoires.

1.2 SECTEUR AGRICOLE

La SAU est estime à 180994 Ha (76% de la superficie totale 237.689 Ha) répartie sur 8159 exploitations agricoles, les exploitations agricoles collectives occupent 119976 Ha soit 67% des terres agricole utiles. La superficie occupée par les propriétaires privées est estime à 41543 Ha soit 23% de la SAU. La répartition de la SAU pa oue fait essoti ue la daïa dAi Laeaa a la plus gade superficie 41 757 Ha (23%) notamment au niveau des communes de Oued Essabah et Tamazourra, la superficie irriguée est gligeale . Ha , % de la “AU. La daïa dAi Touhet efee Ha e iigu % suii de la Daïa dOulhaça ae Ha %. La ilaa dAi Touhet est ue ilaa à oatio agiole disposat due supefiie agiole utile important couvrent plus de 76% de la superficie totale avec une diversité de productions (Figure 4).

Figure 4. Principales productions – Aïn Temouchent

Le ode deploitatio des tees, le sste de ultue /, les essoues aiales et les ressources hydriques révèlent la dominance des grandes cultures (céréales, légumes secs) suivi des cultures pérennes (arboricultures fruitières et vignobles) qui représentent 24 852 ha 13.74 % de la SAU (Figure 5).

Figure 5. Eploitatios agioles et ode deploitatio des tees

La commercialisation des productions agricoles se fait à travers les différents marchés quotidiens et hebdomadaires de la wilaya ou régional (Tlemcen, Sidi Bel Abbas, Oran, Alger). Concernant la situation des marchés de détails au niveau de la wilaya, les marchés couverts sont au nombre de 09 à travers les communes (Ain Temouchent, Sidi Ben Adda, Terga, El ameria, Hammam Bouhdjar, Sidi Safi) dont 03 au niveau du chef-lieu de wilaya. La commercialisation des productions agricoles pour Rechgoune concerne Culture maraichers (oignon, carotte, haricot verts), fruits et cultures maraichères (légumineuse, Bakor, raisin) à Terga. La doiatio et lidetifiatio des ahs de gos ifoels e sot pas petois das la liste formalisée par la direction du commerce de la wilaya et ne ressort pas dans le répertoire des ahs loau alg lipotae de es deu ahs das latiit agiole et looie de ces deux territoires (Oualhaça et Terga).

1.3 SECTEUR AGRO ALIMENTAIRE

Comparativement aux Wilaas oisies, le seteu de lidustie est peu delopp. Plus de la moitié des entreprises activent dans les services. Il est paradoxal de constater le quasi absence didusties eses das lagoalietaie alos ue latiit agiole eegiste de bonnes performances en matière de volumes de productions et de qualité des produits. Cependant, la wilaya tente de rattraper ce retard en réservant des terrains aux futurs investisseurs dans la zone industrielle de Tamazoura. Dans le secteur agro-alimentaire, lietaie des pooteus le un nombre important des investissements projetés dans les zones d'activités (Tamazoura) dans le cadre de la transformation des produits agricoles. Il serait utile de planifier les besoins de consommation de ces unités industrielles et les potentialités réelles de la matière première en amont avec les principaux acteurs et partenaires de la chaine de transformation (filière). Ces acteurs sont principalement les institutions locales (DSA, PME-PMI, commerce, industrie) et les organisations professionnelles (CAW, groupements professionnelles, associations, fellah en vue dtali ue plaifiatio patiipatie et oete. Les PME/PMI ui atiet das le seteu de lagoalietaie, sot oposes de : 2 unités de poduits laities due apait de L/J et ui eploiet salais ; 1 ioteie due capacité de production de 500 Qx/j et qui emploie 18 salariés (Trabelsi et al.,2016). Faute de pesoel à Ai Touhet, la ppiie detepises et le entre de facilitation pour liestisseet sot situs à Oa ; pa ailleus, il est fait tat du dfiit e atie dtudes de faisailit et de ahs piset das le doaie de lagoalietaie ; la oeio este à établir entre producteurs agricoles et investisseurs dans ce domaine, tâche normalement dévolue au haes de lAgiultue due pat et du Coee et de lidustie daute pat (Trabelsi et al.,2016). A partir de la liste des projets agrées dans le secteur agro alimentaire, 28 projets sont localisés dan la zone industrielle de Tamazoura. 68 unités industrielles répartis comme suit (Lait et dérivés : 20 ; Huile et transformation : 14 ; Aliments de bétail : 25). Faute de pesoel à Ai Touhet, la ppiie detepises et le centre de facilitation pour liestisseet sot situs à Oa ; pa ailleus, il est fait tat du dfiit e atie dtudes de faisailit et de ahs piset das le doaie de lagoalietaie ; la oeio este à établir entre producteurs agricoles et investisseurs dans ce domaine, tâche normalement dévolue au haes de lAgiultue due pat et du Coee et de lidustie daute pat.

De nombreuses perspectives de développement agricole (2015/2019) sont annoncées. Ils conceret laugetatio des podutios agioles aisi ue llaoatio d'ue ate thématique de wilaya consacrée à l'investissement dans le secteur agricole intégrant la conception du sha dieteu de deloppeet de l'iestisseet agiole, e egageant notamment les P.M.E/P.M.I e atie de aloisatio des poduits agioles pa la atio otaet d unités de séchage pour prunes, raisins; Huileries-ofiseies dolies; Petits oulis spialiss pour pois chiche par exemple, Mini laiteries ; Unités agro-alimentaires (transformation de raisin, tomate, carotte ).

1.4 SECTEUR DES FORÊTS

La Conservation des Forêts de la wilaya est créée par décret 95-333 du 25/10/1995. Les principales missions de la conservation des forets découlent des dispositions de la loi forestière 84-12 du 23/06/1984 portant régime général des forêts. Elles portent principalement sur la protection, le développement, l'extension, la gestion et l'exploitation des forêts ainsi que la conservation des sols et la lutte contre toute forme d'érosion et de dégradation des sols et à la police judiciaire. Ainsi que les nouvelles orientations stratégiques du renouveau rural (PRR). A l'échelle de la Wilaya de Ain Témouchent , la consistance forestière couvre 29 592 ha ( 11 388 ha de forêts composées principalement par une essence très sensible aux aléas feux de forêts (pin dAlep et ha de auis thua soit ,% de la supefiie totale de la Wilaa . ha Figue . elles sot loalises pou lessetiel das les assifs ôties dEl Aia et les Mots du Tessala ; hormis leur rôle avéré dans la protection des sols et la conservation de la biodiversité, leu appot à looie de la gio est peu sigifiatif. Copte teu du ieau de pauet des populations qui vivent dans ces territoires, en témoigne les taux de chômage élevés (Emir Adelkade, Ouled Boudjeaa et Aghlal , lEtat a alis das es zoes u pogae ititul : « Programme Emploi Rural » au bénéfice des petits agriculteurs ; les actions financées entièrement pa lEtat ot oe piipaleet :les ifastutues de dselaeet, les platatios fuitiesoliie, ige, lalioatio foie, les aptage de soues et des ouages de conservation des sols.

Figure 6. Patrimoine forestier dAïn Temouchent

La wilaya compte quatre (04) bassins versants (Tableau 1 & Figure 7).

Superficies Dénomination Superficie totale à traiter Traitées Bassin versant des monts des Traras-Sebaa 31.420 Ha 11.400 Ha 2.166 Ha (19%) chioukh Bassin versant des monts du Tessala 78.469 Ha 18.500 Ha 4.998 Ha (27%) Bassi esat d’Oued - El-Maleh 85.298 Ha 16.758 Ha 2.803 Ha (16,72%) Bassin versant des zones côtières 42.502 Ha 18.500 Ha 1.201 Ha (06,49%)

Tableau 1. Bassis esats dAï Temouchent La wilaya compte quatre (04) zones humides, dont une protégée (île de Rachgoune) (classement RAMSAR2011). Un dénombrement et un inventaire faunistique (2015) assez riche (Perdrix Gambra (20 000 espèces) ; La cigogne blanche (90 couples) ; Le eeseet hieal des oiseau deau estimé à 20 132 espèces). La oseatio des fots a u pogae daageet de quatre (04) forêts récréatives et de loisis das le ade due opatio pilote : forêt de Rechgoune, Kamérata ; Ain El Arbaa et Sidi Ali Chérif. Des sites qui ont été identifiées en vue de leurs concessions ( Figure 8 ;9 ;10 & 11).

Figure 7. Bassins versants dAïn Temouchent

Figure 8. Forêt récréative de Rechgoune

Figure 9. Forêt récréative de Kamerata

Figure 10. Forêt récréative dAï El Aaa

Figure 11. Forêt récréative de Sidi Ali Cherif

1.5 SECTEUR DU TOURISME ET DE L’ARTISANAT

1.5.1 Tourisme La Dietio du touise et de latisaat DTA est u talisseet puli, e etu du décret n° 95/260 du 29 août 1995 sous la tutelle du Miiste du Touise et de lAtisaat. Ses missions concernent ltalisseet du pla datio auel elatif au atiits touistiues, lIitiatio de esues suseptiles de e u eioeet faoale et iitatif au développement durable des activités touristiques locales.

Mais comment ? Par la mise en valeur de toutes les potentialités locales, tout en encourageant l’egee d’offes touistiues de ualit et diesifies pa la ise e œue de pogae des activités touristiques et de thermalisme. Une de ses missions consiste à collecter, analyser et alimenter l’outil d’oseatio statistiue du seteu e atie d’ifoatios et de does statistiues relatives aux activités liées à looie du touise et du thealise. La DTA, assure la diffusion, contribue avec les secteurs concernés à la promotion du partenariat atioal et tage, otaet das les doaies de liestisseet et de la foatio des ressources humaines. La DTA est aussi hage ditge les atiits touistiues das les istuets daageet du teitoie et duaise et de valoriser des zones et des sites depasio touistiue, aisi que d’oiete et de suie, en liaison avec les organismes concernés, les pojets d’iestisseet touristique. Elle veille à la conformité des activités touistiues et à lappliatio des gles, oes et standards de qualité. Elle ise à otiue à lalioatio des pestatios touistiues otaet elles aat tait à lhgie, la potetio de la sat et la suit lies à latiit. La DTA assue aussi le suii de la ise e œue des opatios de soutie au tite du fods dappui à liestisseet, à la pootio et à la ualit des atiits touistiues Elle patiipe efi à llaoatio et à la ise e œue des fiaeets des atiités touristiques par les fonds spéciaux. Le “ha Dieteu dAageet Touistiue “DAT de Wilaa est u outil d’aide à la décision, une feuille de route référentielle qui trace les grandes lignes stratégiques du développement touristique pour les vingt (20) prochaines années. L’atile de la loi elatie à l’aageet et au deloppeet duale du teitoie définit les modalités de développement des activités et des équipements touristiques compte tenu des spécificités et des potentialités des régions, des besoins économiques et socioculturels, des oligatios deploitatio atioelle et ohete des zoes et des espaes touistiues. Le “ha Dieteu dAageet Touistiue de Wilaa “DATW Figure 12) se fixe les objectifs suivants : -Identifier les facteurs clés du succès des investissements ; -Déterminer la stratégie (à court, moyen et long terme) ; - Moilise les oes essaies à sa ise e œue ; -Deloppe et poouoi lattatiit du teitoie pa la ise e aleur des produits et des ressources locales.

Les principaux enjeux du SDATW

 ‘efoe lattatiit du teitoie ;

Deloppe et ette e aleu la ualit de loffe touistiue e ettat e aleu les essoues locales ;

Associer les communes et les ateus loau autou du pojet ou et ipulse ue dynamique de développement durable du tourisme ;

Affie ue idetit touistiue e tees diage et de otoit ; Faire en sorte que cette image soit porteuse à la fois pour : Les résidents ; Les touristes ; Les prescripteurs de séjours ; Les investisseurs ; Les exploitants touristiques privés et les collectivités

locales.

Acteus de ise e œue du SDATW

Les agences de voyage au nombre de six (06) localisées en majorité au niveau du chef-lieu de la Wilaa dAï Touhet. Les offies loau du touise hage deouage le deloppeet touistiue et la préservation des sites touristiques et culturels, sont au nombre de six (06).

Le oe total dassoiatios ages pa la ilaa Lauaie statistiue est de assoiatios dont : - 01 activant dans le tourisme ; - 02 associations culturelles ; Figure 12. Principaux enjeux du SDATW et principaux acteurs Le tourisme de participation (Tourisme solidaire) est une nouvelle démarche adoptée dans le cadre du SDATW. La démarche consiste à mobiliser et impliquer « secteurs et acteurs » en favorisant la utualisatio des essoues et des oes pa lappohe patiipatie et itesetoielle e ettat e segie les diffet seteus datiits e ettat e aleu loigialité, la singularité des valeurs propres, la personnalisation culturelle du territoire et de sa vocation. Qui sont les acteurs concernés ? Au niveau territorial: Il fait intervenir les compétences locales (Maturation /Elaboration du projet) Au niveau opérationnel: ipliatio des ateus du touise pou deloppe liitiatie, logaisatio, la oodiatio et lappopiatio des aitios touistiues de la Wilaa. Une Wilaya situe ete tois gades topoles de lOuest Oa, Tlee et “idi Bel Abes) à ue heue des pots dOa et de Ghazaouet. Près de deux (02) aéroports Es-“eia dOa et )eâta de Tlee, Aï Touhet sitge naturellement entre ces pôles et les complète par ses spécificités touristiques. Le thermalisme compte plus de 30 sources et trois (03) stations thermales situées au niveau de la commune de Hammam Bouhdjar. Le Folklore est une tradition ancestrale. La Waada de “idi El Cheikh à Ouled El Kihel fatasia, habits traditionnels, Melhoune et chants populaires) se rencontrent avec des centaines de tentes représentant une tribu ou « Aarch ».

Les Zaouïas « Le Patrimoine de la Sagesse », est aussi les aaouts, saits patos des illes et villages de la région avec : - A Oulhaça, ses Zaouïas des cheikhs El Jazouli et Sidi Yakoub, qui constituent le patrimoine protégé à travers les générations. - A Sidi Yakoub, village perché dans les montagnes abrite le Zaouïa du même nom, vieille de plus de sept siècles. - A Sidi Saïd, Sidi Djelloul, Sidi Ayed, Sidi Benyahia et les dizaies dautes lieu pehs das les hauteus des otages toigat de la gosit, la sipliit et lattaheet des haitats à leurs traditions ancestrales. Cest efi la )aouïa Tidjaia ui appelle ue ette gio est u ete de aoeent social et religieux. Le teitoie dAï Teouhet ele u patioie ahitetual oloial : des athdales et des synagogues et des maisons qui constituent des « joyaux architecturaux ». La ilaa peut se ate daoi les plus elles plages de la côte algérienne qui accueillent près de sept illios destiats haue ae, au ieau des plages ouetes à la aigade. Le foie touistiue dt egloe di )oes dEpasio et “ites Touistiues )ET, totalisant une superficie foie de lode de ha.

Le tourisme est orienté principalement vers un tourisme balnéaire et de santé , mais la wilaya dispose aussi dautes essoues pou deloppe plusieus tpes du touise : de ie-être, culturel, religieux, scientifique, de douete et dduatio. Tourisme de santé et de bien être : La présence des sources thermales de Hammam Bouhdjar à haute valeur thérapeutique confère une vocation prisée par la clientèle nationale et étrangère. Le Tourisme culturel et religieux : Le tourisme culturel et religieux ne doit pas seulement être considéré comme une seule activité économique, mais plutôt comme celle englobant des circuits ae des thatiues diffetes. La )aouïa de “idi Yakou situe das la oue dOulhaça jouit due eoe gioale et atioale. Le Tourisme scientifique : Le tourisme scientifique permet de sensibiliser les visiteurs sur la biodiversité, de leur faire prendre conscience de son importance. Cette formule devient un véritable outil de communicatio tout e satisfaisat la uiosit des isiteus. La ilaa dAï Temouchent avec ses plages, ses zones humides, ses forêts et ses sites archéologiques, offre toutes les oditios au deloppeet du touise sietifiue, oithologiue et archéologique. L’Eo - Tourisme : contribuerait à sensibiliser les populations locales afin de préserver leur leioeet. Il a ue doule oatio dduatio et de sesiilisatio, ais geait aussi des revenus importants dans l'économie locale.

1.5.2 Artisanat La Dietio du Touise et de lAtisaat est hage dlaoe les plas d’atios auels et pluriannuels relatif au développement des activités artisanales, diitie les esues suseptiles de créer un climat favorable au développement durable de l’atiit atisaale, de contribuer à la protection et la sauvegarde du patrimoine artisanal et à sa réhabilitation. Elle eille à lappliatio et au espet des lois et des oes de ualit e atie de podutio et deeie des atiits atisaales, elle patiipe au suii de la ise e œue des opatios de soutie au tite du fods atioal de pootio des atiits de latisaat taditioel. Elle ostitue lu des ateus ajeus das la patiipatio, llaoatio et la ise e œue des financements des activités artisanales par les fonds du sud et hauts plateaux.

Elle patiipe au effots ditgatio des atiits de latisaat das la sphe ooiue locale et soutient les actions des organisations et des associations et espaces intermédiaires iteeat das le doaie de latisaat. Elle initie aussi des enquêtes et des études à caractère technique, économique et social se appotat à l’aluatio des atiits atisaales. A et effet, elle ollete et diffuse les ifoatios et does statistiues e atie d’atisaat, elle eade et aie les aifestatios ooiues pou la pootio de l’atisaat et des ties.

La oelatue de latisaat et des ties est dite pa l’odoae °9-01 du 10 Janvier 1996 fiat les gles gissat latisaat et les ties, Cette odoae a dfii les oditios dlaoatio de la oelatue des atiits de latisaat et des ties à taes le det N°97-140. Lodoae a aussi fi au péalable un ensemble de règles pour arrêter la nomenclature des atiits de latisaat et des ties à taes la dfiitio de tois doaies datiits à savoir :  Latisaat taditioel et dat,  Latisaat de podutio de ies.  Latisanat de production de services. Llaoatio de la oelatue des atiits atisaales et des ties et ue gade ipotae a elle ostitue la fee juidiue de ase pou toute deade disiptio das le egiste de latisaat et des ties, ui peet lappateae pofessioelle au secteurs définis dans la nomenclature. Etant donné que le fichier national des artisans est la soue la plus ipotate ue dtiet le seteu de latisaat, sa gestio, peet daod destie les capacités humaines actives locales et nationales. En sens de la présente ordonnance n° 96 -01, il est entendu par artisanat et métiers, toute activité de podutio, de atio, de tasfoatio, de estauatio dat, detetie de paatio ou de prestation de services, à dominante manuelle, exercée :  à titre principal et permanent.  sous une forme sédentaire, ambulante ou foraine, Selon les modalités suivantes :  Soit individuellement  “oit das le ade due oopatie datisaat et des ties  “oit das le ade due etepise datisaat et des ties Il est du aute poit de u de osid oe atisa, toute pesoe ui eee à tite datiit piipale et gulie ue oupatio dot le aate auel est doiat das la produtio, la tasfoatio ou loffe de seies. E su, il est do essaie, oute laspet auel : • Daoi ue ualifiatio pofessioelle liitatio de liet dtalisseet ; • Que le pesoel de letepise e dpasse pas di ouriers (limitation de taille). Les artisans se répartissent prioritairement dans la production de services (1977 artisans) soit 62 % des atisas, puis das latisaat dats % suii de la podutio de ie atisas soit % des artisans au 1er semestre 2017 (Tableau 2).

Natue d’atiits Nbre % Nbre de % Artisan(e)s femmes Latisaat taditioel et dat 688 21% 388 56 Latisaat de podutio de ie 544 17% 85 16 Latisaat de podutio de seies 1977 62% 334 17 Total 3209 100% 807 25%

Tableau 2. Tpologie de latisaat et pat de la fee - Aïn Temouchent (2017) Laalse de does elaties à la participation de la femme dans le secteur artisanal révèle la dominance de la femme dans l’atisaat taditioel et d’at (56 %).

Les activités concernées sont la couture traditionnelle, les gâteaux traditionnels, coiffure et esthtiue sois à la pesoe, la peitue su soie, ojets dats, doatio fleual, ijou traditionnel, vannerie, tissage, poterie et le travail du verre. Par ailleurs, il est à noter une présence de l'artisanat en milieu urbain mais surtout en milieu rural. En effet, dans beaucoup de régions de la Wilaya, l'artisanat faisait partie de la vie quotidienne. Jadis, on fabriquait tout ce dont on avait besoin dans la famille et c'est ainsi que chaque ménagère pouvait être potière, couturière et tisseuse en même temps. N'empêche que dans certains secteurs, l'artisanat « Témouchentois » connaît un renouveau. On remarque la naissance de formes modernisées pour les « Robes traditionnelles » et la « Poterie ». En dehors des artisans, les entreprises artisanales investissent également fortement dans la formation de leurs futurs artisans, les apprentis. (Qualification de plus 1000 jeunes qui bénéfiiet du otat dappetissage -Année 2017).

Le secteur est largement ouvert aux jeunes (Tableau 3). Tahe d’âge Nombre % 18/30 ans 847 26 % 31/50 ans 1934 61 % Plus de 51 ans 424 13 % Tableau 3. Noe datisas pa tahe dâge - Aïn Temouchent (2017) Les jeunes sont présents dans les activités de service avec une forte part des 31/50 ans : coiffure, plomberie, électricité, menuiserie-serrurerie, réparation automobile. Les métiers du bâtiment sont également relativement ouverts aux jeunes, à l’iese de l’atiit tetile et hailleet, ui et chaussures, où la part des jeunes est moindre. La formation continue des artisans et leur accompagnement concerne la créativité et l'innovation. L'artisanat constitue un secteur d'activités économiques propice à l'évolution professionnelle de la femme. En ce sens qu'à travers ses différentes branches, l'artisanat constitue un milieu idéal pour l'épanouissement de la femme qui y apporte toute sa sensibilité.

Encadré 1. Synthèse par secteur Secteur agricole La ilaa dAï Touhet est ue ilaa à oatio agiole disposat due supefiie agiole utile important couvrent plus de 76% de la superficie totale.

 Latiit agiole est doie pa les gades ultues ales, lgues ses ui epsetet 128320 Ha.

Les terres en jachère représentent 19036 Ha soit 81.41% de la SAU agricole totale. 

Les cultures pérennes (arboricultures fruitières et vignobles) représentent 24852 ha soit 13.74 % de  la SAU.

Secteur des forêts

Aménagement des forets récréatives : un pogae daageet de 04 forêts récréatives et de loisirs das le ade due opatio pilote : fot de ‘ahgoue, Kaata ;Ai El Aa et “idi Ali Chif.

Seteu du Touise et de l’Atisaat

 U des ojetifs du “DAT W est de deloppe et de poouoi lattatiité du territoire par la mise en valeur des produits et des ressources locales. Le tourisme est orienté principalement vers un tourisme balnéaire et de santé , mais la wilaya dispose aussi dautes essoues pou deloppe plusieurs types du tourisme : de bien-être, culturel, religieux, scientifique, de découverte, déducation et de sensibilisation populations locales afin de préserver leur l’environnement « Eco-Tourisme ».

 Les artisans se répartissent prioritairement dans la production de services (1977 artisans) soit 62 % des artisans, puis das latisaat dats 21%) suivi de la production de bien (544 artisans) soit 17 % des artisans au 1er semestre 2017.

Le secteur de l’atisaat est largement ouvert aux jeunes et la participation de la femme dans le secteur révèle la doiae de la fee das latisaat taditioel et dat %.

2. LES CENTRES DE RESSOURCES (CR) Il est reconnu que le développement socio-économique du monde rural et des exploitations agioles e gal epose su loffe de seie de oseils tehiues et ooiues dot les besoins sont de plus en plus croissants chez les producteurs. Les besoins sont de plus en plus croissants chez les producteurs. Par conséquent, les dispositifs de vulgarisation et de conseil agiole se doiet dassue le tasfet de ouelles oaissaes aux producteurs et la fouitue de seies adapts à leus esois. La dispoiilit et la iulatio difoatios de ualit deieet alos ipotates pou latteite des ojetifs de deloppeet agiole et rural assignés aux dispositifs de vulgarisation (Norton, 2005).

Dans la mesure où les producteurs sot iapales de soffi deu-mêmes les services essaies pou lalioatio de la optitiit et de la podutiit de leus eploitatios, il a u esoi dogaisatios, de goupeents de producteurs qui se professionnalisent. Des groupements crédibles et fiables capables de leur rendre des services pertinents et une nécessité de s’attahe le oous de stutues d’appui effiaes et effiietes. Doù litt de Cetes de ‘essources (CR) ou de CRAC (Centres de Ressources Associatifs Coordonnés) ui offet des seies difoatios, de foatios et dappui tehiue. Ils jouet galeet u ôle ditediaies ete les istitutios, les istituts tehiues, les centres de recherche et les paysans « fellaha ».

Nous ettos lhpothse ue les CRAC sont « efficaces » das laugetatio des flu difoatios. Mais pou appofodi et aspet, o se doit d’aoi des poses à u esele de uestios, à savoir :  Quelles sont les principales activités développées par les CRAC ?  Quels sot les ogaises ui appuiet les C‘AC et pou uels tpes dappui ?  Quels sot les lets ostitutifs des flu difoatios das les C‘AC ?  Quel est la contribution des CRAC dans laopageet des ogaisatios de producteurs ? Il est avant important de définir quelques concepts :  La vulgarisation agricole Swanson (2008) définit la vulgarisation agricole comme un dispositif ayant pour rôle développement du capital social et huai, lalioatio des oaissaes et des optees pou la podutio et la tasfoatio, la failitatio de las des poduteus au ahs et les hages, logaisatio des poduteus e goupes et le deloppeet e ollaoatio avec ces derniers des pratiques de gestion durable des ressources naturelles. Quant à Birner et al. (2006), ils définissent la vulgarisation agricole comme « un dispositif entier qui appuie les différents acteurs de la production agricole dans la résolution de leurs problèmes, lotetio difoatios, de optees et de tehologies das le ut daoite leus oes deistee et leu ie-être ». Cette deie dfiitio et e elief lipotae joue pa lifoatio das les dispositifs de vulgarisation. Cette deie dfiitio et e elief lipotae joue pa lifoatio das les dispositifs de vulgarisation.

 Innovation LOgaisatio pou la Coopatio et le Deloppeet Eooiue OCDE dfiit lioatio comme la ise e œue de poduits sigifiatieet alios ies ou seies, du poessus, due ouelle thode de oeialisatio, due ouelle thode dogaisatio des affaires, du lieu de travail ou des relations externes. Nous entendons aussi par innovation : une idée, un procédé ou un objet qui est perçu comme nouveau par une audience.  Diffusion Nous retiendrons que la diffusion est : « le processus par lequel une innovation est communiquée à travers des canaux au cours du temps aux membres du sste soial ».

 Information Elle est définit par Swanson et al. (1997) comme un ensemble de données qui a été traité, et dans u otete pis edu utile et sigifiatif, puis ouiu à u destiataie ui lutilise pou prendre des décisions.  Flux « d’ifoatios » Nous entendrons par flux : la circulation des informations entre les différents acteurs « les centres de ressources, les groupements, coopératives, associations, Exploitants, Entrepreneures et leurs partenaires. Plus précisément, le terme se rapporte au sens, à la nature et au volume des échanges.

Les CRAC doivent mobiliser un esele d’ifoatios, de does, de oaissaes pour informer et former les producteurs. De plus, les activités de production impliuet u eous à des soues dappoisioeet e atiel de ase et des douhs pou louleet des poduits. Ainsi, les CRAC collaborent avec diverses parties prenantes qui peuvent être des sources ou des destiataies difoatios. La collaboration entre les CRAC et toutes les autres parties prenantes impliquent des flux difoatios.  Tpologie d’ifoatio

Nous pouos distigue uate atgoies d’ifoatios, à saoi : - Les informations relatives aux techniques agraires et de production, comme le calendrier des seailles et des oissos, lutilisatio des itats, lleage et la sat du tail, la protection des cultures ou la conception des bâtiments agricoles ; - les ifoatios elaties à la gestio de leploitatio, oe la teue due optailit, la gestion financière et organisationnelle, les problèmes juridiques ; - les informations relatives à la commercialisation et à la transformation, comme les prix, les options du marché, les procédures de stokage, les tehiues deallage, le transport et les normes internationales de qualité, de pureté et ; - les ifoatios elaties au deloppeet ouautaie, oe logaisatio et le regroupement des producteurs en associations.

3. RÔLE DES PARTENARIATS PLURI-ACTEURS, PUBLIC-PRIVE Une collaboration entre partenaires de différentes natures permet des concertations sstatiues ete pateaies pa le dialogue, gage due solutio des situatios de tesios ou de conflits qui constituent autant de freins à un développement harmonieux et durable.

Le partenariat pluri-acteurs permet la mise en place opérationnelle des politiques publiques lorsque celles ci sont définies après concertation entre les pouvoirs publics et les organisations de la société civile. Quand les réglementations sont adoptées, ces mêmes organisations de la société iile taaillet la ai das la ai ae les autoits loales pou failite la ise e œue concrète des avancées réglementaires ou législative, fruit de leurs expériences au niveau local (EuropeAid, 2012).

Les exemples qui illustrent cette dynamique de collaboration participative et la concertation entre le secteur public, le secteur privé et la société civile sont nombreux. Des nouvelles formes de collaboration et de redevabilité entre acteurs sont nécessaires pour assurer un développement économique inclusif et une gestion durable des ressources naturelles.

De nouvelles formes de collaboration Public/Privé sont recherchées. En raison du caractère agraire de la plupat des ooies uales, lago-industrie devrait jouer un rôle essentiel pour réaliser et aitei ue oissae tie pa le seteu pi. Lojetif est de contribuer à améliorer la valeur ajoutée du secteur, par la transformation, le contrôle de la qualité et la normalisation des systèmes de classement afin de différencier entre les qualités et types de produits agricoles bruts et semi-finis destinés à la consommation agro-industrielle (BAD, 2011).

Le secteur privé joue un rôle de moteur de la croissance économique en redynamisant les territoires, en améliorant le revenu des populations rurales. Pour espérer un développement rural durable, la participation et l'implication des acteurs (public/ privé) est essentielle.

Aujoud'hui, le seteu pi est e tai daui de lepiee et deiet de plus e plus mature pour affronter les défis du monde agricole. Le secteur privé contribuerait au deloppeet ual du fait uil est ateu deplois et gateu de revenus, fournit des biens de consommation et des services.

Dans le cadre du programme PAP ENPARD, la participation du secteur privé pourrait être envisagée das le ade du pojet ioat etepeeuial. Exemple de la oopatio due laiterie avec les producteurs et les collecteurs et relation avec les agriculteurs. Cette approche est aussi alale pou dautes poduits: agioles oigo, toates), produit forestier (caroubier), produit artisanal (tapis/laine) et produit touristique (forêt récréative et gite).

III. TRAVAIL DE TERRAIN

1. ANALYSE DES ACTEURS

1.1 LES DIRECTIONS

1.1.1 La Direction des Services Agricoles (DSA) La direction des services Agricoles est une institution décentralisée au niveau de la wilaya (direction) elle est représenté au niveau des daïras par des Subdivisions. Elle est composée de cinq (05) services : - Linspection vétérinaire et de la protection phytosanitaire, aménagement rural et de la promotion des investissements, statistique agricole et des études ooiue, dogaisatio de la podutio et de lappui tehiue, ladiistatio des oes ; - Douze (12) bureaux : Inspection vétérinaire, inspection phytosanitaire, promotion des investissements et de suivi des projets, statistiques agricole, production agricole et des entreprises uales, gestio de pesoels de la foatio, ise e aleu et de logaisatio foie, eutes ooiues, foatio, et pefetioeet de leploi agiole et de la ulgaisatio, gestion du budget et des moyens généraux, hydraulique agricole et des équipements ruraux, organisation et la normalisation. Avec un effectif global (personnel : 215) dont encadrement technique (108), vétérinaire (37) ,corps commun (66) et inspecteur phytosanitaire (04).

Les subdivisios teitoiales de l’agiultue sont répartis à travers le territoire de la wilaya ; ce sont les représentations du service au niveau local (Daïras et communes). Nombre de subdivisions : 13 (Ain Elkihel, El Amria, Hammam Bouhdjar, Ain Larbaa, Oued Esabah, Hassasna, Beni Saf, Oualhaça, El Malah, Terga, Chabat Elham, Ain Témouchent, Ain Tolba). Organisation des subdivisions agricoles au niveau local : Deux (02) bureaux (Bureau des statistiques ; Bueau de lappui tehiue).

Tableau 4. Rencontre avec les subdivisions agricoles - Direction des Services Agricoles (DSA)

Missions Intérêt pour un CR Mode de Forces faiblesses Besoins Commentaires (Connaissances) fonctionnement

-Connaissance du Valoriser la région à Une (01) personne Vulgarisatio Manque en Formation en Organiser les agriculteurs en milieu rural travers sa vocation qui gère une base de n moyens de informatique, association « agricole » données Communications programmation -Assistance Existence Moe doietatio pou stages administrative et Mise à disposition Un « Guichet Unique » du seie (bulletins Formation en gestion de perfectionnement technique des rendements et de phytosanitaires) de base de données. prévisions En intégrant trois (03) statistiques CR : Opportunité pour la -Rôle administratif (commune) bureaux : Système de Information relative au dynamique des territoires (Etablissement de (fichiers: collecte des statut juridique plans de cultures - Information et -Bureau de la mise en arboricole, données (qui (foncier agricole, CR : Apporte un plus aux engrais) orientation des valeur agricole viticole, reste estimatif) planification des instruments de préservation des demandeurs de avicole, opérations, terres agricoles -Amélioration des réalisation de projet -Bureau de la apicole) commercialisation des capacités des diestisseet promotion des produits) CR : information agriculteurs investissements et du suivi des projets budget de “ite iteet -Vulgarisation fonctionnement dédié au CR Regroupement -Bureau de Lige diete ddie -Information, dateus diffets lhdauliue agiole spécialisés dans un sensibilisation et équipements ruraux CR: développe des méthodes domaine précis Moyens de transport - Orientation Et travail en Collaboratives dans différents Lieu dhage et collaboration avec domaines travail en groupe CAW, ITMAS CR : Aide à la modernisation des Un guichet unique exploitations pour les services et sstes deploitatios techniques, délégués rationnelles. communaux

Tableau 5. Réceptivité des subdivisionnaires - Direction des Services Agricoles (DSA)

ACTEURS POTENTIALITES INTERET DE C.R RECEPTIVITE (Expériences à partager) (Apports et Bénéfices) (Par rapport à la mise en place du Centre de Ressources) (Savoir Faire à transmettre) ++ : Bonne ; + : Moyenne ; - : Faible

Chefs de bureau de Vulgarisation, information et Renforcer les capacités ++ vulgarisation sensibilisation humaines et techniques

Avoir un réseau de

communication entre les

acteurs

Diffusion rapide des Subdivisionnaires informations et par

conséquent accélérer le traitement des problèmes et la prise de décision, + Espace de travail par thème Liaison entre services Assurer une coordination des services agricoles et CCLS, banque, Chambre dagiultue, C‘MA, Istituts (INPV, ITGG, ITAF… Dfede litt ou des agriculteurs

A la direction des services agricoles, nos interlocuteurs ont exprimé cet impératif de réviser les lois pour statuer sur le foncier agricole, fournir aux agriculteurs et éleveurs des outils de travail et des informations statistiques fiables, este à loute du « fellah » et créer des associations professionnels pour les filières agricoles.

Ils ont aussi exprimé la essit d’ue ouiatio effiae, adapte et ette à la disposition du « fellah » des lieux de démonstrations et de bonne pratique « Best practices » en faisant participer les jeunes agriculteurs « transfert de savoir-faire intergénérationnel ».

Ils perçoivent un CR comme une structure ouverte à tous, dont le sige seait l’adiistatio agiole dote d’u outil ifoatiue apitalisat des does au seie du « fellah » et des associations professionnels. Il fonctionnerait comme un « Guichet unique ».  Un « Guichet unique » pour les services commerciaux-CCLS.  Un « Guichet unique » pour les services techniques auprès de délégations communales. Le CR assueait la oodiatio ete les seies afi d’uifoise l’ifoatio et l’iteetio e u teps out. Une bonne réceptivité est exprimée pour la ise e plae du C‘. Il peettait de e et de redynamiser les relations entre acteurs afin de mener une réflexion pour résoudre les problèmes posés par les « fellah ».

Figure 13. Cartographie des flux - DSA

A vocation agricole, la DSA entretien d’toites elatios ae le fellah, les assoiatios agioles et PME puis viennent de relation avec les instituts techniques. Le centre universitaire reste assez loin des services agricoles.

1.1.2 La Conservation des Forêts (CF) La CF est une structure décentralisée de la DGF. Elle est la représentation du MADRP au niveau de la ilaa. Ladiistatio à lhelo de la ilaa CF est opose de : - Trois (03) services (protection de la faune et de la flore, gestion du patrimoine, études et des programmes, extension du patrimoine et de la protection des terres, administration et des moyens). - Neuf (09) bureaux (prévention et lutte contre les incendies et les parasites, chasse, étude et des programme, police forestière, inventaires, des aménagements et des produits forestière, extension du patrimoine, mise en valeur et de la protection des terres, gestion des ressources humaines et de la formation, budget et des moyens). Au niveau local (daïras et communes) la structure administrative forestière est composée de : - Circonscriptions forestières : Trois (03) : Ain Témouchent, Hammam Bouhdjar, Beni Saf sont les représentations (facilitateurs) du programme renouveau rural au niveau des communes bénéficières des différents plans de développement communautaires (CARC/PPDRI). - Les triages forestiers (11 triages) : Une structure administrative essentiellement forestière orientées principalement vers a gestion des espaces forestiers (mission de police forestière, suivi des travaux) relation de proximité avec la population riveraine des forêts.

Tableau 6. Rencontre avec les chefs de districts et circonscriptions - Conservation des Forêts (CF)

Missions Intérêt pour Mode de Forces faiblesses Besoins Commentaires (Connaissances) un CR fonctionnement

Gestion et protection -Gain de temps -Banque de données -Cadres Suivi Etudes 1 CR / Daira du partimoine expérimentés techniques -Failite lifoatio -Cellule composée de Essentiel pour un 3 à 4 personnes dont -Travail en équipe Formations -Orientation 2 cadres Appui technique et administratif -Maîtrise outil Connaisaance de -Assistance -Pluridisciplinaire cartographique la législation (mixte) -accompagnement des porteurs de projets et facilitation des tâches

Tableau 7. Réceptivité des chefs de districts et circonscriptions - Conservation des Forêts (CF)

Chefs de district Expérience (PPDRi ;PER) Failite lauisitio de lifoatio ++ recherchée Chefs de circonscription Reboisement + (Ex. Formations) de la conservation des Travaux sylvicoles + forêts on relative au Appui technique Foui de lifoati domaine forestier Rendre le forestier plus disponible

Les chefs de districts et circonscriptions de la Conservation des Forêts (CF) expriment un intérêt pour un CR et le projettent dans l’istitutio fotioat oe ue ellule composée de 3 à 4 personnes (dont 2 cadres) et dote du outil « Base de données » fouissat de lifoatio relative au domaine forestier.

DTA APC-DAIRA

CENTRE DSA UNIVERSITAIRE

CAW CF DFP

ITMA

ASSOCIATIONS ENVIRONNEMENTS

MAISON DE CAM LA CULTURE Chourouk Main verte

Bencherif

Figure 14. Cartographie des flux - CF

La proximité des assoiatios ipliues das l’eironnement, de la DSA et de la CAW traduit la régularité des échanges. Les poitills taduiset ue elatio ditt o eploite. Ue grande proximité implique des échanges réguliers et un éloignement des échanges peu réguliers. Lpaisseu de letité des flèches traduit le volume des informations échangées. Plus lpaisseu est gade, plus gade est la uatit difoatios iulat das le ses idiu (Une relation CAM-CF pour identifier les mines « carrières » sur le territoire). La relation avec la DTA est faible « pour le choix te terrain ». La relation avec le centre universitaire se fait pour les conventions de stage des étudiants oies et thses de fi dtudes. Aussi la elatio ae la DFP et lITMA est talie « Convention PRCHAT » mais aussi dans les événementiels « joue de lae ; Sensibilisation contre les incendies » avec la Maison de la Culture.

1.1.3 La Direction du Tourisme et de l’Artisanat (DTA) La Dietio du touise et de latisaat est ue stutue detalisée du ministre du Tourisme de lidustie et de lAtisaat elle est opose de : - Trois (03) services (tourisme, administration et des moyens, artisanat) - Neuf (09) bureaux (contrôle, personnels et de la formation, contrôle et organisation des activités artisanal, investissement, budget et comptabilité, promotion des activités artisanales, promotion des activités touristique, moyens généraux, statistiques.

Tableau 8. Rencontre avec la Direction du Tourisme et de lAtisaat DTA

Missions Intérêt pour un CR Mode de Forces Faiblesses Besoins Commentaires (Connaissances) fonctionnement

Promotion du D Structure déjà Adapter la législation à Des CR pour chaque localité Patage lifoatio ote due aue de Pas de Tourisme et de et la documentation données avec un rôle existence, déjà la situation regroupant plusieurs représentation et recenser et pouvoir informative installée actuelle (Exp. Maison communes lAtisaat au niveau actualiser toutes les du tourisme avec communes / données relatives aux statut juridique à -Coordonnées Cadres qualifiés uniquement artisans et instaurer) difastructures liées au Wilaya associations et offices secteur les artisans et Connaissance du su lesele de la les hôteliers, domaine wilaya associations, offices). touristique et artisanal -Documentaire (dépliants, prospectus, flyer, CD audiovisuel)

-Fonctionne comme un « Guichet »

Tableau 9. ‘eptiit de la Dietio du Touise et de lAtisaat DTA

Direction du Tourisme Cadres qualifiés, déjà formés Alioe lifoatio, ++ promouvoir la destination locale et et de l’Atisaat DTA (niveau License, Master Business Administration) pootio de latiit de latisaat

Figure 15. Cartographie des flux – DTA

La DTA est un récepteur de lifoatio et patage lifoatio et la douetatio. La direction recense et actualise les données relatives aux artisans et associations et offices sur lesele de la ilaa. Le flu difoatio es la DFP seffetue piipaleet das le ade de besoin en formation. La DTA est en relation avec les artisan(e)s/associations, par le biais de la CAM.

1.2 CHAMBRES CONSULAIRES (CAW/CAM)

Les chambres consulaires sont des Etablissement Public à caractère Industrielle et Commercial (EPIC). Références juridiques Organisation consulaire Dispositions générales et missions

Etablissement public à caractère industrielle et commercial place sous la tutelle du MADRP.

Art 03 : les CA forum de représentation des

Décret exécutif N° 91-38 du 16 fev intérêts agricole, partenaires privilèges des La hae d’agiultue 1991 portant statut des chambres autorités administratives et techniques locales (CA) ou nationales. d’agiultue

Attributions : organiser et développer les formes de concertations, coordinations et d’ifoatio (institution publique, adhérant dans la sphère de la production, approvisionnement, distribution Décret exécutif N° 92-379 du 13 la hae d’agiultue

Oct 1992 portant création de la de wilaya (CAW) et transformation) ; hae d’agiultue de ilaa Représenter les adhérents auprès des pouvoirs publics ;

Défendre les intérêts professionnels et sociaux

Cotiue à l’laoatio et à la ise e œue de la politique national de développement des activités agricole et à leur diversification ;

Promouvoir la création de toute structure à e d’alioe les pefoaes des productions ;

Organiser les foires, expositions, concoure, failite la diffusio de l’ifoatio sietifiue, technique et économique ;

Art 04 : les CA sont obligatoirement consultées sur tout projet ayant des incidences sur les intérêts des membres notamment en matière d’aageet de l’espae ual.

Etablissement public a caractère industrielle et commercial place sous la tutelle du ministère hag de l’atisaat.

les CA forum de représentation des intérêts artisanaux, partenaires privilèges des autorités administratives et techniques locales ou Décret exécutif N° 101-97 du 29 nationales. la hae d’atisaat et mars 1997 portant création de la des métiers de wilaya Dans le cadre de la politique national de hae d’atisaat et des (CAM) développement des activités artisanales et des métiers de wilaya métiers les CAM sont chargées ;

Tei et ge le egiste de l’atisaat et de métiers ;

Proposer aux autorités un programme de développement des activités artisanales et des métiers ;

Pode à l’authetifiatio des poduits de artisanat traditionnel et délivrer tout actes, certificats, visas de qualité ;

Soumettre aux pouvoirs publics avec la CAMN toute recommandations, proposition, suggestions sur les changements en matière de législation et de règlementation ;

Entreprendre toute action visant la promotion (exportation investissement) ;

Editer et diffuser tous documents, revus, périodique ;

Entreprendre des actions de formation, de perfectionnement et de recyclage ;

Eette u ais su l’iplatatio des atiits artisanales et des métiers ;

Créer des établissements (antenne, école) pour la pootio et l’assistae à l’atisaat aisi que les infrastructures : exposition, espace de ete et zoes d’atiits atisaales.

Tableau 10. Missions des Chambres consulaires (CAW/CAM)

Tableau11. Rencontre avec la Chae dAtisaat et des Mties CAM

Missions Intérêt pour un CR Mode de Forces Faiblesses Besoins Commentaires fonctionnement (Connaissances)

Des CR pour chaque localité regroupant Promotion de Patage lifoatio CAM dote due Structure déjà Chambre Adapter la législation à la plusieurs communes lAtisaat et la documentation et banque de existence, forme des situation actuelle (Exp. recenser et pouvoir données avec un connue, déjà artisan(es Maison du tourisme avec Accompagne actualiser toutes les rôle informatif ; installée et PME statut juridique à instaurer) ; commercialisation des données relatives aux produits artisanaux Organise des Cadres artisans et associations (dépôt-vente) formations aux qualifiés et offices sur artisans ; Diffusio difoatio Deux (02) Missions : Connaissance lesele de la ilaa auprès et entre différentes -Coordonnées les du domaine  Gestion associations infrastructures touristique et fichiers liées au secteur ; artisanal Chambre  -Documentaire consulaire (dépliants, prospectus, flyer, CD audiovisuel) -Fonctionne comme un « Guichet »

Tableau12. Reptiit de la Chae dAtisaat et des Mties CAM

CAM Cadres qualifiés, déjà formés Alioe lifoatio, ++ Gestion de fichiers poouoi latiit de latisaat

Figure 16. Cartographie des flux – Associations/Artisan(e)s / CAW

Les Assoiatios, les offies et les atisaes se plaet au ete de la CAM tat do uils sont très souvent à la CAM (exposent leurs produits et pour de la formation). Les artisan(e)s et associations ont évoqué une initiative de Madame le Wali qui leur a permis de se rapprocher de la Direction de Jeunesse et Sport (DJS) et ont pu acquérir (02 machines, 05 aeuis et des suppots de foatios das le ade due suetio de fods de ilaa. Ils exposent aussi à travers la CF, trois fois par an (Ex. Joue de lae et au ete uiesitaie (1 fois par an). Très proche de la DFP pour avoir une qualification professionnelle ainsi que de la CAM (délivrance de diplôme). A tite deeple das la gio dOulhaça connue par le métier de la vannerie et une forte fréquentation estivale. Pour Temouchent, Malah, Chaabat El ham connue par le bijoux traditionnel par des artisanes actives. La région Hamman Bouhdjer (fréquentée beaucoup par le thermalisme) est connue par le costume traditionnel féminin dit « Blouza temouchentiya ». Pour Msaid, Bouzedjar, El amria , produits faits maison : confiture de figue (beaucoup de figuiers). les produits pré identifiés et faire venir les touristes vers ces pôles pré identifiés.

Les artisan(e)s et associatios epiet litt daoi u espae de psetatio pou présenter leurs nouveaux produits destinés à la vente « Show room » en plus des centres de latisaat, à tite deeple les hôtels. U esoi uget daopageet est aussi epi pour la commercialisation de leurs produits mais aussi les possibilités de diversification. Ils déclarent la forte possibilité de convertir les potentialités artisanales et touristiques à un produit personnalisé de ces localités pour promouvoir la « destination » déclarent-ils.

1.3 STRUCTURES DE FORMATIONS

1.3.1 Centres de formations professionnelles

E atie de foatio pofessioelle, la ilaa dispose du Istitut Natioal “upieu de la Formation Professionnelle (INSFP), 10 Centres de Formation Pofessioelle et dAppetissage (CFPA) et 02 annexes de CFPA offrant une capacité totale de 3 600 postes de formation répartis comme suit : - 2 278 pour la formation résidentielle. - 2 880 pour la formation par apprentissage. - 529 pour la formation du soir. Il eiste u CFPA ddi au ties de lagiultue Ai Laaa et u aute ddi au ties de leau Chaâat El Lha. A ela sajoute lIstitut tehologiue oe agiole spialis ITMA“ dAi Touhet, spialis das laoiculture fruitière et la viticulture et dédié à la formation de techniciens de lagiultue et dadjoits tehiues , aisi uue statio de lIstitut Tehiue de lAoiultue Fuitie et de la Vige (ITAFV) qui dispense des séances de vulgarisation aux arboriculteurs et viticulteurs.

Tableau 13. Rencontre avec le Cete de Foatio Pofessioelle et dAppetissage CFPA

Acteurs Structure juridique Missions Intérêt pour un Mode de Forces faiblesses Besoins Commentaires (Connaissances) CR fonctionnement

11 CFPA à travers la Accompagnement Oui il est Voir le cadre Doter en Questionnement : En amont des Guichet Unique Wilaya Des jeunes porteurs bénéfique pour juridique ressources Quel cadre campagnes de comme substitut DEFP de projets lesele des humaines juridique pour un sensibilisation Il existe un centre acteurs qui rentre Choix du lieu CR (institution sur le CR auprès Décision de CFPA ddi à lagiultue Orientations dans le cadre du De moyens étatique) du public cible création par partenariat Besoin pédagogiques Mme Wali (Ain El Appui conseil difoatios su Plus de clarté Arbaa) la nature sur son Choix du lieu du Voir le tableau de juridique du CR fonctionnement CR nomenclature (BTS11 BT 2 CMP 1 Impliqué les Deux CAP 17 autorités établissement de locales dans la formation Total de formés 17 création CR peuvent être (Voir le PPT) jumelés (CFPA- ITMAS) Diplôme de qualification (Bovin Gisement Aviculteur deihissement /Apiculteur et de la espaces verts : 57 nomenclature Dont 1 fille) du CFPA

Tableau 14. Réceptivité du Cete de Foatio Pofessioelle et dAppetissage CFPA

ACTEURS POTENTIALITES INTERET DE C.R RECEPTIVITE (Expériences à partager) (Apports et Bénéfices) (Par rapport à la mise en place du (Savoir Faire à transmettre) Centre de Ressources) ++ : Bonne ; + : Moyenne ; - : Faible

DEFP Appui Conseil Bénéfique mais reste ambigu sur le ++ (sous réserve) cadre juridique CFPA Accompagnement technique Moyen de coordination entre acteurs Ouvert à tout publique Laboratoire de contrôle de qualité alimentaire

Figure 17. Cartographie des flux – CFPA/INSFP

Le CFPA Foatio ualifiate se positioe oe u guihet uiue, ue stutue daueil et dorientation pour la jeunesse et le Fellah. (Point de contact pour informer et orienter les jeunes stagiaires, agriculteurs et potentiels candidats). Un jeune oléifacteur présent dans la salle de réunion au CFPA présente son initiative : qui consiste à produire « une huile de qualité », il epie u esoi e atie dappui en marketing et la nécessité de recourir à un lao daalses. Il perçoit un CR comme une structure qui doit permettre de mettre en relation lolifateu et les strutues disposat du laoatoie de otrôle (public ou privé). Pour le centre de formation, il mène une réflexion sur la démarche CR en prévoyant de concerter la tutelle (MEFP) et un collègue de Tlemcen pour uniformiser la démarche CR. Il propose de prévoir une communication via une « journée porte ouverte ou salon » afin dinformer davantage sur lintérêt dun CR dans la localité. Le ete de foatio dispose du laboratoire daalse uil eisage de lette à dispositio de professionnels et le mettre au service dans le cadre dopération dites « Opération Hors Budget» et convention spécifique à déterminer.

Tableau 15. Rencontre Institut Technologique Moyen Agricole Spécialisé (ITMAS)

Missions Intérêt pour Mode de Forces faiblesses Besoins Commentaires (Connaissances) un CR fonctionnement

Formation initiale Moyen de Gestion des fichiers Démarche UE - Formation de Formateurs ayant acquis des compétences technicien/Adjoint diffusion documentation, acquise depuis quelques dans le cadre de Programmes U.E (Diveco 1; documentaire formation et personnes 2009 sur le formateurs DIVECO 2; PROFAST ; PROFAST C +; ENDERFOC et formatif ressources par une (01) projet spécialisés (pour (Banque Africaine) personne dtalisseet éviter de faire appel à des formateurs hors ITMA)

Equipement du laboratoire

Tableau 16. Réceptivité ITMAS

ACTEURS POTENTIALITES INTERET DU C.R RECEPTIVITE (Expériences à partager) (Apports et Bénéfices) (Par rapport à la mise en place du Centre de Ressources) (Savoir Faire à transmettre) ++ : Bonne ; + : Moyenne ; - : Faible

Directeur Capait daueil plaes Impulser les initiatives entrepreneuriales ++ Responsable Fichier personnes ressources Servir des agriculteurs pédagogique Terrain 93 ha Informer : nouvelles procédures, crédits E.A : ovin, bovin Apiculture, cuniculture Pisciculture

L’Istitut de Tehologie Moe Agiole Spécialisé (ITMAS) a une mission formative: ème  La formation de techniciens de l'agriculture (niveau de recrutement: terminale ou 3 Année Secondaire) ème  La formation d'adjoints techniques de l'agriculture (niveau de recrutement: 9 Année Fondamentale ou 4ème Année moyenne)  Le perfectionnement des cadres du secteur (techniciens et +)  La formation et le perfectionnement des agriculteurs (tout niveau) En plus des stages de courtes durées au profit des cadres et des agriculteurs dont le nombre est assez important, cette école a formé à ce jour, 2264 techniciens et 785 Agents et adjoints techniques. Les enseignants/formateurs : 10 Ingénieurs, 01 Technicien supérieur, 04 Techniciens. LITMA“ dispose du 01) laboratoire nécessitant des équipements adéquats ; Une (01) bibliothèque de plus de 3000 ouvrages, des brochures, des revues et des rapports techniques des promotions sortantes. Aussi, une (01) salle informatique bien équipée (connexion Internet).

INPV ; ENSID ITMA

DSA CAW

Associations

professionnels & Agriculteurs

Figure 18. Catogaphie des elatios et flu difoatio – ITMA

LITMA“ dispose due eploitatio Agiole (SAT : 123,8 ha (127,8 ha cadastrés) ; SAU : 93 ha (sol maigre et calcaire) ; Plantation : 22 ha, Terre nue : 71 ha ; Elevage Bovin : 13 têtes dont huit (08) vaches laitières ; Elevage Ovin : 29 têtes dont 13 brebis et 01 bélier ; Matériel Agricole et atelier mécanique, forge et menuiserie.

La elatio est fote ae les istituts tehiues lINPV et lEN“ID Figue pou faie appel à des formateurs spécialisés. La relation avec les associations professionnelles se fait le plus souvent pa le iais de la CAW et de la D“A. Ae la CF lhage a t fuet e PPD‘i.

1.3.2 Centre Universitaire Belhadj Bouchaib d’Aïn Temouchent Le ete uiesitaie a ouet les filies dagooie et dologie gtale. Nos itelouteus : Responsables du département Sciences de la Nature et de la Vie (SNV) et le Professeur Ziadi Abdelkader – Directeur Adjoint chargé de la Post-Graduation, de la recherche scientifique et des elatios etieues ous ot epi litt de liplatatio de etes essoues oodos ui pouait aoi u effet dipulsio, de poiit et daessiilit pou les usages cibles (les producteurs « fellah » et associations. Il pourrait intervenir en offrant un service de formation en mettant les compétences disponibles (des professeurs spécialisés dans la gestion des sols) et en faisant appel à des enseignants retraités pour bénéficier de leur expérience en « sciences des sols » e isistat su le fait de litt de lutilisatio atioelle des fetilisats afi de ge la ressource « sol » dont la maîtrise de sa gestion et une connaissance approfondie de sa composition (Analyse physico –chimique ) est indispensable pour un rendement appréciable des terres agricoles. Le suppot douetaie ouages, thses de fi dtudes su la aloisatio du ois de ige pourrait aussi mis à disposition des producteurs agricoles. En abordant les 104 projets relatifs aux promoteurs agro-alimentaire dans les nouvelles zones datiits (Tamazoura), ils e disposet pas de foatios adaptes pou lago-alimentaire. Par contre, ils sont disposés de réaliser des études diagnostics phytoécologiques des écosystèmes foesties et de patiipe à lietaie floistiue pou idetifie les potetialits pou les plates aromatiques et médicinales. Ils sont dans une approche « Recherche-action » pou œue à alioe la podutiit des terres agricoles. Ils ont constaté que beaucoup de bacheliers évitent la filière « agronomie » dans leur choix disiptio pa faute difoatio. Ils poposet dalle à leote dagiulteus et dassoiatios agioles e les iitat à participer à des journées dtudes afi de sesiilise les oueau ahelies au métier dagiulteu et de assele les agiulteus durant une demi-journée et les sensibiliser sur litt de utualise leus effots et de se egoupe e Goupeet ditt ou et de les inciter à participer dans les travaux de recherche et développement « Recherche-action » qui sera mis à leurs services (agriculteurs - universités) qualifiée de (win-win /gagnant-gagnant). La aiso de letepeaiat pouait faie u test e faisat appel à des goupeets dagiulteus au lieu dtudiats haituelleet pou faie ege des ides de io etepises et les foe su la gestio due etepise teue de comptabilité) et gestion de projet innovant avec un document valorisant la prestation (attestation de participation et de réussite).

Tableau 17. Rencontre Centre Universitaire Belhadj Bouchaib (C.U)

Missions Intérêt pour un Mode de Forces faiblesses Besoins Commentaires (Connaissances) CR fonctionnement

Formation Démarche Réflexion Laboratoire équipé Pas de système ou - Motivation des chercheurs pour activer dipulsio, associant des de centre de das le ade du ete de essoue Encadrement proximité, compétences Ressource humaine à ressources jusque là accessibilité de (services) haute compétence Ou bien de centres de ressources dans des Analyses du sol lifoatio communes « pilotes » en fonction des Composée de Thèses Master et spécificités Formation- représentants du doctorat orientés sur Recherche centre la thématique du Réflexion sur la durabilité des centres de universitaire, des développement rural ressources et sur tous les moyens services agricoles permettant la mise à niveau des et de latisaat Laboratoire (Extraction agriculteurs et groupements des huiles, Analyse des sols, Techniques diigatios

Etudes diagnostics écologiques

Tableau 18. Réceptivité Centre Universitaire (C.U) ACTEURS POTENTIALITES INTERET DE C.R RECEPTIVITE (Expériences à partager) (Apports et Bénéfices) (Par rapport à la mise en place du (Savoir Faire à transmettre) Centre de Ressources) ++ : Bonne ; + : Moyenne ; - : Faible

Ressource humaine à haute Centre Universitaire Mise à niveau des producteurs ++ compétence Science de la Nature et de la Vie (SNV) Vulgariser la science (sols et végétation)

Figure 19. Catogaphie des elatios et flu difoatio - C.U

Le centre universitaire est en contact avec une association ualifie datie « Association défense des itts des utilisateus de l’eau et potetio de l’eioeet - Terga ». Lassoiatio reçoit les enseignants lors de sorties terrain (TP).

1.4 GROUPEMENTS/ASSOCIATIONS

1.4.1 Association des céréaliculteurs Lassociation des céréales créée en 2012 expose les principales contraintes rencontrées (Manque en matière de qualité des semences et faible pluviométrie). Pou lassoiatio, les freins actuels pour la céréaliculture sont : Les semences non adaptées aux conditions climatiques, la superficie (surface restreinte), la cherté des produits phytosanitaires et intrants et absence de rotation de cultures. Parmi les solutions proposées : La création due coopérative « locale » ; La création duits de tasfoatio minoterie, traitement de semences) Exp. Pois chiches à transformer ( dérivés). Le Psidet de lassoiatio etioe litt dalioe les oaissaes oeat la multiplication des semences autochtones adaptées aux conditions édapho climatiques et litt de la participation à des campagnes de sensibilisation (Labours, semailles, désherbage, fertilisation et moisson de battage)ainsi que les é changes de savoir et savoir faire entre agriculteurs. Lannée de références a été 2012 (Pic de production enregistré 50 quintaux).

Tableau 19 : Rencontre - Association des céréales de la Wilaya - Aïn Temouchent Missions Intérêt pour un CR Mode de Forces faiblesses Besoins Commentaires fonctionnement (Connaissances)

Forum Oui Structure souple et Force de Absence Appui à la formation Deade lidpedae de efficace . proposition dogaisatio pour la CAW Orientation Augmenter les Voages dtudes à ltage les associations et échanges entre Exp. Cave (Bien privé Répartis sur toute (pour capitalisation) par des Liberté dans la gestion et Information conseils professionnels Wilaya projets/ associations action sur le terrain de lEtat interprofessionnels (agriculteurs) similaires Dé Fort intérêt pour lamise en dutio due soe daget Gestion association plae du C‘ symbolique de la professionnelle production par la CCLS (Exp. 200 DA) et qui sera versé au compte de lassoiatios

Tableau 20. Réceptivité - Associations des céréales ACTEURS POTENTIALITES INTERET DE C.R RECEPTIVITE (Expériences à partager) (Apports et Bénéfices) (Par rapport à la mise en place du Centre de (Savoir Faire à transmettre) Ressources) ++ : Bonne ; + : Moyenne ; - : Faible

Association des céréales Savoir faire Flu difoatio (Crédibilité ; Mise à jour avec les nouvelles Diffusio de lifoatio ++ techniques Disponibilité) La vulgarisation (Appui/Conseil) 1ere vocation de la Wilaya

En 1995 : 93.000 Ha En 2015 : 110.00 Ha

1.4.2 Oléiculteurs La rencontre réalisée à Sidi Slimane avec deux (02) oléiculteurs/aviculteurs et deux (02) associations professionnelles aviculture et oléiculture ont révélé un certain nombre de constats :  Manque de professionnalisme a des oléifacteurs (il existe que 5 huileries dont 2 en activité mais qui imposent leur mode de fonctionnement (délivrance après extraction due huile aute ue lhuile etaite le jou e (ce qui ne permet pas la traçabilité du produit) ;  Vente directe des olives au lieu de la transformer en huile ;  Absence de coopérative oléicole ;  Pas de système ogaisatioel ae asee dadhsio des poduteus au associations ;  Asee de lieu de eote pou lassoiatio aps h Pourquoi pas mettre en place un Club Professionnel dit « El Malka » ? ) Comme le club des « Courtia » ;  Manque de formation. Comment attirer des agriculteurs pour adhérer à un groupement ?  Manque pour les agiulteus e atie de stokage de lolie ;  Manque de stabilisation des prix ;

 Les dires de nos interlocuteurs : Pour faciliter nos approvisionnements, réduire nos coûts et mettre en valeur nos produits et les commercialiser, nous devrions : - Mette e plae u Cete de ‘essoues C‘ ui sea u lieu de eote de lesele des professionnels et acteurs concernés « Club » ; - Réactiver et redynamiser les conseils inter filières ; - Encourager les producteurs à se regrouper en « Goupeet dIntérêt Commun – GIC » et sogaise. Pouuoi ? pour acquérir un financement (Crédit fédératif : Remboursement après 24 mois sans intérêt) ; - Mettre e plae u sste de ate dadhsio « Carte de membre du CR/Club » ; - Pese à ue aue de ualit et ue IGP pou lhuile dolie ; - Se réferer à des modéles réussis (Exp. Du Maroc ( Modèle « Aïcha » Cluster)

Tableau 21. Réceptivité – Oléiculteurs ACTEURS POTENTIALITES INTERET DE C.R RECEPTIVITE

(Expériences à partager) (Apports et Bénéfices) (Par rapport à la mise en place du Centre de Ressources) (Savoir Faire à transmettre) ++ : Bonne ; + : Moyenne ; - : Faible

Implantation AZROU (Sidi Slimane) Cete de ollete difoatios AZROU ET Groupeets doliulteus (Hammam Bouhdjar) Regrouper les personnes

et daiulteus Club de professionnels (transparence) Savoir faire (de Kabylie) Organiser les oléiculteurs et réguler le ++ « Avantage de Ain Temouchent marché

Caractéristiques sol très favorable pour oléiculture »

Mee CAW oseil dadiistatio force de décision

Crédibilité

Eistee difastutues aes à aménager en coopérative ou en unités de transformation

Dispositif crédit fédératif

1.4.3 Viticulteurs et maraîchers Les échanges avec les viticulteurs (Sidi Ben Adda) et les maraîchers (Oulhaça) ont été fructueuse et ue fleio est a ee ae lesele des ateus concernant la mise en place de Comités de Concertations Locales (CCL) avant la phase 2. Les Comités de Concertations Locales (CCL) seraient des comités constitués de personnes (Représentants des groupements (associations, coopératives actives de la localité), représentant des directios et e epsetat de litepofessio. Nos interlocuteurs se mettent en accord pour mutualiser et estiet uils ot eauoup apprendre, que le début pourrait être difficile mais ensemble ils espèrent se faciliter les tâches avec comme certaines oditios uils juget essetielles Ete à loute ; Dépasser les intérêts individuels et se focaliser sur un intérêt collectif (à trouver en commun) ; Les présents informent les absents en plus de la traçabilité écrite (PV de réunion)). Ils nous présentent leur vision actuelle (présente) sans Centre de Ressource Associatif Coordonnée (CRAC) (Figure 20) , ils se positioet assez loi de la CAW et de lAPC. Esuite, ils se pojettet autou du C‘, egoupe autou du pojet ou ae plus diformations sur les fournisseurs, sur le marché (commercialisation) (Figure 21),où ils se voient force de proposition en sadessat à laaiie et à la dietio du oee pou le hoi et leplaeet du ah réservé à leurs produits.

Figure 20. Vision actuelle viticulteurs/maraîchers

Figure 21. Vision future avec un CRAC

 Les dires de nos interlocuteurs : E se egoupat autou du C‘ et ae les ifoatios fouis, ous seos plus outill et ous serons force de propositio pou sadesse à la aiie oeat os poles (commercialisation, emplacement de marché).

Le mot de la fin

Nous allos appede à hage et à s’oute, ous allos agi esele. « Il y aura des erreurs et il faudra les affronter et faire face »

Le chemin est long mais il y aura des retombées économiques sur nos territoires (nos oues et os efats feot e taaille des ges d’ailleus.

Tableau 22. Rencontre viticulteurs « Pergola » en cours de structuration (GICA) – Sidi Ben Adda Missions Intérêt pour un Mode de Forces faiblesses Besoins Réceptivité (Connaissances) CR fonctionnement Bonne : ++ ; Moyenne : + Faible : -

Production raisin Produire et Orientation de table partage de Accord commun Absence de labo Information/Documentation « Pergola » connaissances Réflexion Engagement à se daalses Formation technique Echange de savoir associant des regrouper en Etre encadrer à la mise ne place du et savoir faire compétences perspective en Déconnexion entre CR ++ coopérative les acteurs de la Mutualisation des CR : regroupant Volonté filie oe s il Noalise letesio de la ige moyens les données Savoir faire a pas de filière) « Pergola » (compétence) Orientation relatifs à la vigne Mise en place sur le marché Adhesion des institutions (DSA, Retour à la terre BADR, ITAFV, (sinon surproduction et problème de Adhésion des commercialisation) INRAA investisseurs (Innovation), convertis du Université de bâtiment vers Tlemcen lagiultue (Biotechnologie) Chambre de commerce) Investisseur/Privé, Consultat) Faciliter la commercialisation

Tableau 23. Rencontre maraîchers - Oulhaça ACTEURS POTENTIALITES INTERET DE C.R RECEPTIVITE

(Expériences à partager) (Apports et Bénéfices) (Par rapport à la mise en place du Centre de Ressources) (Savoir Faire à transmettre) Bonne : ++ ; Moyenne : + ; Faible : -

Savoir faire culture maraîchère Groupements de producteurs de CR : U flu difoatios Ehage ++ Oulhaça entre acteurs Faire connaître les opportunités de marché (Commande) Mise en réseau entre agriculteurs et acteurs du secteurs (Directions, opérateurs économiques, marché, gossiste … ‘egoupe lesele des ateus autou du poduit eou das la région : lOigo la

1.4.4 Artisan(e)s /Associations et offices Les calendriers des otats des assoiatios atiat das le doaie de latisaat poiet la rencontre de 09 associations artisanes, 01 association « Racines » à Ain Temouchent et 02 offices de tourisme. Nous avons rencontré le Mercerdi 8 et jeudi 9 novembre :  Le Présidet de loffie touise de « Oualhaça » et Président office promotion du tourisme des jeunes de « Beni saf ».  Une association : Meziane Zaaibli Zhor - Psidete de lassoiatio des ties traditionnels.  24 artisans (06 artisans et 18 artisanes).

Les artisan(e)s ont manifesté leur intérêt pour cette étude pour la mise en place de centre de ressources. Ils souhaitent être accompagner au plus vite pour se structurer en associations, acquérir les letaies due gestio itee due assoiatio aat dadhe et de porter un centre de ressources et atie au pofit du seteu de latisaat. Ils epiet litt daoi u espae de psetatio pou psete leus oueau poduits destinés à la vente (Show room).

Tableau 24. Rencontre - Artisanat/Tourisme

Acteurs Intérêt pour un CR Forces faiblesses Besoins Commentaires

Partager mon Savoir faire Maue depo. E Formation (design, marketing) “oues difoatios : expérience avec salon Artisans entourage Tech. Maitrise de la technique de nouvelles CAM, Internet, Documentation immédiat cuisson (publicité) matières (Céramiste, potier, Projets innovants : transformation de Arriver à travers de Tech. Pas de moyens de Large exposition au niveau des pierre faire connaitre et Façonnage transport différentes salles à travers le territoire Projet conditionné par des expositions naturelle,couturière) de valoriser mon national ou international nationales produit artistique Tech. Pas de local, vitrine design depositio Créer des relations et les renforcer avec Pa lausitio du “ho oo Reconnaissance fournisseurs et commerçants Pas datelie de Financement : « Qualité transformation artistique » Recherche autres opportunités Faible disponibilité de M.P que ANGEM, ANSEJ, CNAN

Acteurs Intérêt pour un CR Forces faiblesses Besoins Commentaires

Association Acquérir les Savoir faire Maue depo. E salo Poits depositio et de ete Développer davantage notre activité nouvelles (publicité) Artisanale et technologies (Grandes surfaces) travaux manuels (confection, cuir..) Pas de moyens de transport Soues d’ifoatios :

Internet, CAM pas suffisante Opportunité de Pas de local, vitrine (Radio, Association. Plus difoatios financement Internet) Artisane (Terga) depositio Les joues de latisaat : événement Formatrice insuffisant Patage dides et Faible disponibilité de M.P Identifier des commerçants difoatios Innovation spécialisés dans la vente Esprit de Maue dexpérience créativité et Nouvellement créée de travail en Manque en matière de groupe Association de formation « work shop »

tourisme Atelier destiné pour les (Beni saf) Partager membres “tutue souple oe loffie de tourisme lifoatio (partage des missions , les rôles, les tâches Besoi daopageet Echange des (communication expériences Promotion Chargé de formation De coaching pour rechercher de la Chargé de promotion, chargé des sources financières Promotion de la destination de marketing)

destination locale locale Sous un leader Trouver un moyen pour Offices tourisme (chef de groupe –chef commercialiser les produits de (Oulhaça) (faire connaitre les (faire doheste ui patit les lassoiatio circuits connaitre tâches sous une démocratie touristiques) les circuits participative) touristiques) Organisation interne ; Travail datelie

Tableau 25. Réceptivité – Artisan(e)s/Associations

Artisans (Céramique, Couture) Savoir faire/Expérience Meilleu as à lifoatio ++ Pa loietatio -Formation -Accès à plus de moyens financiers

-Canaux de commercialisation

-Faciliter le contact avec les EPIC ++ Associations artisanes Formatrices (effet multiplicateur) Chambres de commerces Etat et Privés

suffisat oe soue difoatio

-Faire émerger des produits qui sadaptet à la gatio et tehologie daujoudhui

-Alioe lifoatio, poouoi la destination locale et promotion de latiit de latisaat

Nous avons aussi rencontré La Présidente de lassoiatio “idi Bouif Assoiatio daide et dassistae au pesoes e hadiap de Bei “af e e , ui a fii dappui das le ade de pogaes dappui au assoiatios ONG puis ONG II. “atisfaite des fies des appuis et accompagnement des deux (02) programmes, elle est partie prenante dans le programme PAP-ENPA‘D pou ote daatage e optee et ous a pal due fleio sur un projet réussi (ferme pédagogique). Les types d'activités réalisés sont la confection et la commercialisation des produits : Habits traditionnels (bedaya, pyjama, djelaba féminin) Tenu de travail (industrie, hôpitaux) ; Raccommodage des vêtements ; Participation aux salons et expositions. Lassoiatio au salo pou la atio des io etepises à Alger et à divers expositions. Les difficultés rencontrées au niveau du fonctionnement concernent lisuffisae de foatio e atie d'ogaisatio et e atie de gestio siplifie aisi ue lasee de aitise e matière de technique de marketing et de commercialisation. Elle est patie peate pou la ise e plae du C‘A‘ pou efoe la ouiatio et l'ifoatio pou lesele des assoiatios is e seau autou du pojet teitoie.

2. ANALYSE DU CADRE RÈGLEMENTAIRE Parallèlement au travail de terrain : rencontres et entretiens (Annexe 2) avec les différents acteurs, une partie du travail de recherche documentaire est consacrée à la recherche des principaux textes de références.  Pou le seteu de l’agiultue, la loi de référence est la loi n°08-16 du 03 Août 2008 portant orientation agricole (JO N°46) .

Au sens de la loi n°08-16 portant orientation agricole : « sont de nature agricole, toutes les atiits oespodat à la aitise et à leploitatio du le biologique de caractère végétal ou animal et constituant une ou plusieurs étapes nécessaires au déroulement de ce cycle ainsi que les atiits ui se doulet das le pologeet de late de podutio et, otaet le stockage, le conditionnement, la transformation et la commercialisation des produits végétaux ou aiau losue es poduits sot issus de leploitatio».

Latile Chapite I relatif à la valorisation des productions agricole) ; Latile elatif à lorganisation professionnelle agricole et les deux (02) articles 60 et 61 relatifs aux groupements ditts ous - Section 4 (Encadré 2).

Encadré 2. Loi d’oietatio agiole Loi °08-16 du 10 Août 2008)

Loi n°08-16 du 03 Août 2008 potant orientation agicole (JO N°46)

CHAPITRE I : DE LA VALORISATION DES PRODUCTIONS AGRICOLES

Art. 32. Pour la valorisation et la promotion des produits agricoles et des produits d'origine agricole, il est institué un système de qualité qui permet :  de les distinguer par leur qualité ;  d’attester des conditions particulières de leur production et/ou de leur fabrication et ce, notamment en matière d'agriculture biologique  de définir des mécanismes de traçabilité prouvant et garantissant leur origine ou terroir ;

 d’attester que leur production et/ou leur fabrication a été opérée selon les savoir-faire et les modes de production qui leur sont associés. CHAPITRE II : DE L’ORGANISATION PROFESSIONNELLE AGRICOLE

Art. 48. Les organisations professionnelles agricoles (OPA) peuvent revêtir la forme :

 dassoiatios pofessioelles dagiulteus ;  de coopératives agricoles ;  de haes dagiultue ;  de groupements d’intérêts communs ;  dtalisseets et ogaises itepofessioels ;  de mutualité agricole. Section 4

Des goupeets d’itts ous Art. 60. Deux ou plusieurs exploitants agricoles peuvent par acte authentique, constituer un goupeet d’itts communs agricoles pour une durée déterminée dans le but, notamment :

 ils jugent nécessaires pour développer de ette e œue tous les oes u’ l’atiit agiole et ooiue de hau d’eu ;

 d’alioe ou aoîte les sultats de ette activité et réaliser des économies d’helles ;  de créer et/ou gérer des ouvrages hydrauliques nécessaires à leur activité. Art. 61. Le contrat de groupement fixe les statuts qui doivent indiquer, à peine de nullité, notamment :

 La dénomination du groupement ;  Lojet du goupeet ;

 Ladesse du sige du goupeet ;  les fees de la ate dagiulteu de haue ee ;  la durée du contrat ;  le nom du gestionnaire.

 Pour les associations, se référer au décret n° 12-06 du 12/01/2012 relative aux associations . At . Lassoiatio est le egoupeet de pesoes et/ou de pesoe oales su ue ase contractuelle à durée déterminer ou à durée indéterminé. Ces personnes mettent en commun, bénévolement et dans un but non lucratif, leurs connaissances et leurs moyens pour promouvoir et encourager les activités dans les domaines, notamment, professionnels, sociaux, scientifiques, religieux, éducatifs, culturels, sportifs, environnementaux, caritatifs, et humanitaires.

 Pour le secteur des forêts, la loi de référence est la loi n° 84-12 du 23 Juin 1984 portant régime général des forêts (JO N° 26).

Cette loi porte régime général des forêts. Elle est formée par 94 articles répartis en 7 titres, à savoir: Dispositions générales (I); Protection du patrimoine forestier (II); Aménagement, classification, gestion et exploitation des forêts (III); Développement des terres à vocation forestière et lutte contre l'érosion (IV); Police forestière (V); Dispositions pénales (VI); Dispositions particulières (VII). La loi n°84-12 du 23 juin 1984 portant régime général des forêts recommande en son article , ltalisseet du adaste foestie ae pou fialit, la eoaissae et la dliitatio du Domaine Forestier National (DFN). Cette loi est modifiée et complétée par le décret n°2000-15 du 24 mai 2000 fixant les règles dtalisseet du adaste foestie atioal. Cette loi a, e oute, fi u esele de gles tendant à assurer la préservation des forêts, leur développement, leur extension et leur gestion atielle. Cest aisi ue fut is e plae u gie foestie atioal. Ltalisseet du adaste foestie peet la oseatio de lintégrité du DFN, la sauvegarde de la lisière du milieu forestier, de cerner les délits et le efoeet et lapplication de la réglementation concernant la protection des forêts.

 Pour le secteur du Tourisme, une (01) loi et un (01) arrêté interministériel concernent le développement durable du Tourisme et le “ha Dieteu dAageet Touistiue (SDAT).

- Loi n°03-01 du 17 février 2003 relative au développement durable du tourisme (JO n°11-2003). - Arrêté interministériel du 09 juillet 2006 fixant la composition et les modalités de fonctionnement de la oissio etale d’laoatio du pojet de sha dieteu d’aageet touistiue (JO n°65 – 2006). Concernant les activités liées au Tourisme, un (01) décret et un (01) arrêté interministériel fixent les activités de « Guide de Tourisme ».

- Décret exécutif n°06-224 du 21 juin 2006 fixant les conditios et les odalits d’eeie de l’atiit de guide de tourisme (JO n°42 - 2006).

- Arrêté interministériel du 18 mars 2008 fixant définissant les modèles-tpes de l’aget de guide de tourisme ainsi que de la carte de guide de tourisme (JO n°27 - 2008).

Pou les )oes d’Epasio et Sites Touistiues, la loi de référence est la Loi n°03-03 du 17 février 2003 elative aux zoes d’expasio et sites touistiues (JO n°11 -2003) (Encadré 6).

Pour la mise en place de la banque de données du tourisme et de fonds de promotion touristique, deux (02) décret fixent les modalités de mise en place et de fonctionnement (JO n°15-2004 & JO n°16-1990) (Encadré 3).

Encadré 3. Loi n°03-03 elatie au zoes d’epasio et sites touistiues (JO n°11 -2003)

Les textes en application de la loi n°03-03 (JO n°11 -2003).

 Décret exécutif n°09-226 du 29 juin 2009 portant délimitation, déclaration et classement des zoes depasio et sites touistiues de )elfaa ilaa de Ghadaia et de Hammam Bouhadjar ( wilaya de Ain Témouchent) (JO n°39 - 2009).  Décret exécutif n°10-131 du 14 Joumada El Oula 1431 correspondant au 29 avril 2010 potat dliitatio, dlaatio et lasseet de zoes depasio et sites touistiues (JO n°30 - 2010).

Banque de donnée du tourisme

 Décret exécutif n°04-81 du 14 mars 2004 fixant les modalités de mise en place de la banque de données du tourisme (JO n°15 -2004).

 Arrêté du 23 octobre 2006 fixant les modalités de transmission des données recueillies par les dietios du touise de ilaa, loffie atioal du touise, lagee atioale de développement touristiques ainsi que les associations oeuvrant dans le tourisme (JO n°14 - 2007).  Arrêté du au 23 octobre 2006 fixant le modèle-tpe de aeas dinformations, de eseigeets et didiatios pou aliete la aue de does du touise, détenus par les institutions nationales, les administrations publiques et les organismes publics(JO n°14 - 2007).

Fonds de Promotion Touristique

 Décret exécutif n°90-112 du 17 avril 1990 fixant les modalités de fonctionnement du opte daffetatio spiale du tso °- « fods daffetatio de la otiutio à la promotion touristique ». (JO n°16 - 1990).

Modifié par :

* Décret exécutif n°97-86 du 16 mars 1997 modifiant le décret exécutif n°90-112 du 17 Avril 1990 fiat les odalits de fotioeet du opte daffetatio spiale du tso °-057 « fods daffetatio de la otiutio à la pootio touistiue »(JO n°15 - 1997). * Décret exécutif n°08-408 du 24 décembre 2008 modifiant et complétant le décret exécutif n°90- du Ail fiat les odalits de fotioeet du opte daffetatio spiale du trésor n°302- « fods daffetatio de la otiutio à la pootion touristique ». (JO n°73 -2008).

* Décret exécutif n° 14-19 du 21/01/2014 modifiant et complétant le décret exécutif n° 90–112 du ail fiat les odalits de fotioeet du opte daffetatio spiale ° -057 ititul « Fods daffectation de la contribution à la promotion touristique». (JO n°04 -2014).

- Arrêté interministériel du 12 juin 2005 fixant la nomenclature des recettes et des dépenses du fods daffetatio spiale du tso °- ititul « fods daffetatio de la contribution à la promotion touristique » (JO n°84 - 2005).

- At iteiistiel du au jui fiat les odalits de suii et daluatio du fods 71 daffetatio spiale du tso °- ititul « fods daffetatio de la otiutio à la promotion touristique » (JO n°84 - 2005).  Pour l’atisaat, une (01) ordonnance fixe les règles régissat latisaat et les ties. - Ordonnance n°96- du jaie fiat les gles gissat l’artisanat et les métiers (JO n°3- 1996). Coeat les talisseets sous Tutelle, u det fie logaisatio et le fotioeet des Chambres de latisaat et des ties. - Décret exécutif n° 97- du as fiat l’ogaisatio et le fotioeet des Chaes de l’atisaat et des ties (JO n° 18 novembre 1997) modifié et complété par le Décret exécutif n°09-323 du 11 octobre 2009 modifiant et complétant le décret exécutif n°97- as fiat logaisatio et le fotioeet des Chaes de latisaat et des ties(JO n°59 - 2009). Concernant leeie des datisaat et datisaat à doiile, u det fie les oditios deeies. - Décret exécutif n°97- du juillet fiat les oditios d’eeie des atiits d’atisaat et d’atisaat d’at à domicile (JO n°48 - 1997).

Encadré 4. Textes relatifs à la qualification professionnelle, au label de qualité, aux fonds de pootio d’atisaat et au aatages fisau

Qualifications professionnelles Décret exécutif n°97-145 du 30 avril 1997 définissant les qualifications professionnelles dans le seteu de latisaat et des ties. (JO n°27 - 1997)

Modifié par : *Décret exécutif n°04-74 du 4 mars 2004 modifiant le décret exécutif n°97-145 du 30 avril 1997 définissant les ualifiatios pofessioelles das le seteu de latisaat et des ties (JO n°13 - 2004).

* Arrêté interministériel du 19 février 2013 fixant les conditions et les modalités de déroulement du test de ualifiatio pou las au tite datisan (JO n°37 - 2013).

Délivrance du label de ualit, d’authetiit et de l’estapillage des poduits de l’atisaat et des ties  Décret exécutif n°97-390 du 19 octobre 1997 fixant conditions, modalités et formes de dliae du lael de ualit, dauthetiit et de lestapillage des poduits de latisaat traditionnel (JO n°69 - 1997). Fonds de promotion d’atisaat  Décret exécutif n°93-06 du 2 janvier 1993 fixant les modalités de fonctionnement du opte daffetatio spiale °-066 intitulé « fonds national de la promotion des atiits de latisaat taditioel »(JO n°02 - 1993). Modifié par : * Décret exécutif n°08-301 du 24 septembre 2008 modifiant et complétant le décret exécutif n°93- 06 du 2 janvier 19931993 fixant les modalités de fonctioeet du opte daffetatio spiale n°302- ititul « fods atioal de la pootio des atiits de latisaat taditioel » (JO n°56 - 2008). *Arrêté interministériel du 6 septembre 2009 fixant la nomenclature des recettes et des dépenses du opte daffetatio spiale du tso °-066 intitulé « fonds national de la promotion des atiits de latisaat taditioel » (JO n°09 - 2010). * Arrêté interministériel du 16 Ramadhan 1430 correspondant au 6 septembre 2009 fixant les modalités de suii et daluatio du opte daffetatio spiale du tso °-066 intitulé « fods atioal de la pootio des atiits de latisaat taditioel »(JO n°09 - 2010). Avantages fiscaux  Décret exécutif n°09-428 du 30 décembre 2009 portant détermination des prescriptions du cahier des charges à souscrire par les artisans traditionnels ainsi que par ceux exerçant une atiit datisaat dat eepts de lipôt fofaitaie uiue.(JO n°77 – 2009).

Les encadrés 2 ; 3 & 4 synthétisent le résultat de la recherche des textes de références (Principaux textes) pour les secteurs : agricole, touristique et artisanal. Il a lieu, pou lesele des ateus ipliu das le deloppeet de leu teitoie loalits, e plus de pendre connaissance pour veiller par la suite à lutilisatio et à lappliatio effetie des atiles comme pour les groupements qui prévoient de se constituer en GIC pour bénéficier de crédits fédérateurs) et pour promouvoir un artisanat et un tourisme adapté aux potentialités des localités préalablement identifiés.

Concernant laspet juridique lors de la mise en place des centres de ressources. Il est important de appel uil e sagit e auu as de e ue structure supplémentaire qui viendrait se juxtaposer ou se surajouter a celle déjà en place car les centres de ressources doivent en priorité s’appue su les stutues djà eistates.

En abordant cet aspect « juridique » avec les différents acteurs, il apparaît que :

-Pour les associations, (CR informatif-documentaire et accessoirement formatif sur exploitation au besoin) cela ne semble pas posé de problème pour eux dans la mesure où cela constituerait une activité mais à définir et à préciser (tâches, fonctionnement, services proposés, système daluatio , u aspet à aode au oet de latelie de fleio Phase 2).

- Pour les structures formatives « principalement », informatives, documentaire (ITMAS, CFPA, Cete uiesitaie, Maiso de leioeet et les dietios CF, DSA, DTA) ils sont en fleio pou popose au oet de latelie de fleio, le statut le plus adapt pou te reconnu comme Centre de Ressources après consultation des tutelles respectives et examen des articles (JO respectifs), même si pour certains (Cas de la Maiso de leioeet ui pote djà un projet « Centre de Ressources »)

Les modalités de mise en place et de fonctionnement de centres de ressources, sa configuration en terme de structure, les servies proposés, ses modalités d aluation, devront être défini consensuellement, sur la base du cadre règlementaire et des appuis légaux identifies selon les structures choisies et disuts au oet de latelie de fleio (Phase 2).

3. ANALYSE DE L’IMPLANTATION & CARTOGRAPHIE DES CENTRES DE RESSOURCES (CR)

Les CR servent de cadre de concertation entre les acteurs impliqués dans le secteur agricole, artisanal, touristique et du développement rural en général.

Pou liplatatio des C‘, il ous a pau judiieu de osidérer des critères identifiées et validées par les acteurs à savoir :  Les potetialits du teitoie autou due essoue poduit ateu de eeu ;  La capacité de groupement associatif coordonnée autour du produit (engagement, compétences, expériences, transfert de savoir faire) ;  Lintérêt commun de la mise en place du CRAC (Centre Ressource Associatif Coordonné).

“u la ase des eotes aliss das les diffetes loalits de la ilaa dAi Teouhet ae lappui des poits foau D“A, CF, DTA), une réflexion est faite sur l’implantation et la cartographie des centres de ressources. Ainsi, sur la base des résultats obtenus issus des « focus groupe », des entretiens individuels, de l’analyse des tableaux d’acteurs et de réceptivité ainsi que des représentations des flux d’information et relations réalisés par les institutions et groupements trois (03) Centres de Ressources Associatifs Coordonnés (CRAC) à vocation informative-documentaire principalement et formative sur exploitation accessoirement (au besoin) sont identifiés le long du taset sud-est /nord-ouest. Les centres de formations (CFPA) ; Instituts techniques (ITMAS) et centre universitaire sont partie prenante pour être centre de ressources après approbation de leur proposition de projet par leur tutelle. Les porteurs des centres de ressources sont des associations qui sont en phase de constituer un comité local de concertation intégrant différents acteurs pour aborder les contraintes et difficultés rencontrés (Encadré 5; 6 ; 7 & 8).

CR Zone de pertinence Sud-est / Nord-ouest Zone industrielle

Figure 22. Cartographie des Centres de Ressources Associatifs Coordonnés (CRAC)

Encadré 5. Centre de Ressources (Sud-ouest) SIEGE : Association « Akhdem Ardek » (informative-documentaire-formative sur exploitation) - OULHACA

COMITE DE CONCERTATION LOCAL (CCL) : 14 MEMBRES

 Association « Akhdem Ardek » (jeunes agriculteurs)

 Un (01) GICA (PAM: Safran)

 Deux (02) associations : El Chourouk (zone humide : sensibilisation autour des zones humides, PAM) & association la main verte (compostage, recyclage) unité pour transformer déchet en compost et aussi pour le recyclage les sachets plastiques)  Deux (02) Fellahs  Une (01) Association de tourisme (Beni saf)

 Loffie de touise Oulhaça  Une (01) assoiatio daide et dassistae au pesoes e hadiap handicap (Beni saf - Ferme pédagogique)  U Jeue ui taail à lAPC dOulhaça  Le Chef district  Le subdivisionnaire

 Un Ingénieur agricole  Un cadre de la direction du commerce

DIFFERENTS PRODUITS

Agricole : oignon, carotte, PAM

Artisanat : poterie, vannerie Tourisme : circuit touristique Environnement : randonnées zone humides (étudiants, lycéens)

ZONE DE PERTINENCE

Daïra de Oulhaça : Commune de Oulhaça

Daïra de Beni saf : commune de Beni saf et Amir Abdelkader Daïra de Ain Kihal : commune Ain Tolba Trois (03) Daïras – Quatre (04) communes

Total : Quatre (04) Communes

Les contraintes et difficultés exprimés par les groupements et ui ephet dalioe leus revenus concernent :

 Manque de professionnalisme  Pole d’ate de popit ; Pole d’auisitio de ate d’agiulteus.  Maue de epsetativit de l’agiulteu au iveau de la hae CAW  Commercialisation (les intermédiaires) qui tirent profit des produits de terroirs  Manque de maîtrise pour valoriser les plantes aromatiques : Menthe ; Coriandre, Piment rouge, (Helba ; Grains de lin)  Maue d’ifoatio de la pat de l’adiistatio  Asee d’uit de tasfoatio de poduits agioles Exemple de la forte production de toate de l’ae deie ui ’a pas pu te stoke eegistat eauoup de petes.  Problème de proximité des services (CCLS)

Les produits à valoriser identifiés concernent:  Produits agricoles ; Oignons carotte et haricots verts  Produis touristiques

Les solutios eisages pou failite lappoisioeet, duie les oûts et ette e aleu les poduits et les oeialise sot le egoupeet e GIC et sogaise stutuatio.

Nos interlocuteurs ont surtout évoqué : - L’aopageet su l’itiaie tehiue Exeple de oduite des ultues aaihes ; -Techniques de conservation des semences autochtones ; -Etre indépendant des intrants- externes

Concernant la question : Avez-vous pensé à de nouveaux produits ou de nouvelles façons de produire ? - Marque de qualité et une IGP

Le produit évoqué (Oignon blanc) ne semble pas avoir des problèmes pour le placer sur un ah ouetiel. Il est ou das dautes gios du pas. Ils se sont rapprochés de la direction commerce pour demander un terrain pour installé le « Marché légumes », ils ot eu u aod pou tois ha, este laod de la D“A a il sagit due tee agiole. Une proposition est faite : Marché de légumes de 5h à 9 h puis marché de produits touristiques à partir de 9h.

La filière PAM est au stade embryonnaire à Aïn Temouchent. De ce fait elle soufre de plusieurs carences, à savoir : lieistee dassoiatios ddies au PAM ; lasee de ai-dœue qualifiée ; asee duipeet li et la foatio des agiulteus.

Encadré 6. Centre de Ressources (Centre) SIEGE : Viticulteurs en cours de GICA (informative-documentaire-formative sur exploitation) – SIDI BEN ADDA

COMITE DE CONCERTATION LOCAL (CCL) : 12 MEMBRES

 Le GICA (05 membres)  Un représentant de la DSA  Un représentant de la wilaya  Un représentant de la direction du commerce  Consultant (Conseil choix variétal)

 Investisseur du Sud du pays  Chef district (Conseil : Brise vent ; Pédologie)  U ade de lITAFV PRODUITS

Raisin de table (dans un premier temps en raison de la spécificité de la région)

ZONE DE PERTINENCE

Daïra de Ain Temouchent : Commune de Ain Temouchent et commune de Sidi Ben Adda Daïra de EL malah : Coue d El Malah , de Terga , de Chaabat El Leham et de Ouled Kihal

Deux (02) Daïras - Six (06) communes

Total : Six (06) Communes

Encadré 7. Centre de Ressources (Nord-est)

SIEGE : Association professionnelle d’agriculture « association oléicole » (informative-documentaire (principalement) - formative sur exploitation) – Ain Larbaâ / Ancienne cave située au centre de Hammam Bouhdjar

Nom attribué : Club Professionnel « El Malka »

COMITE DE CONCERTATION LOCAL (CCL) : 11 MEMBRES

 Le GICA (05 membres : Mrs AZROU)  Association professionnelle Mr Okacha et Association aviculture  Un Consultant  Le chef district  Le subdivisionnaire  Un ingénieur agronome PRODUITS

Agricole : Olive huile et compost Artisanat : pespetie de tasfoe et aloise le ois de loliie Tourisme : pespetie pootio de lhuile dolie aups des hôtels et statio

thermale. Environnement : liite lutilisatio des egais hiiues e le sustituat e egais organique (compost)

ZONE DE PERTINENCE

Daïra de Hammam Bouhadjar : Communes de Hammam Bouhadjar, de Oued Berkeche et Hasasna.

Daïra Ain El Arbaa : Communes de Ain El Arbaa, sidi Boumediene, Oued Sebbah et Tamazoura.

Deux (02) Daïras Sept (07) communes –

Total : Sept (07) Communes

Encadré 8. Analyse « Coopérative – Association » et besoins exprimés

Pour les acteurs du secteur agricole rencontrés (agriculteurs, groupements professionnels, cadres de la DSA), La notion de coopérative reste confuse pour les agriculteurs en particulier au regard de son historique en Algérie. Il ya un manque de compréhension des principes internationaux de coopératives et une mauvaise approche et gestion des aspects financiers des coopératives. De plus, une faible diversité des services rendus et une faible pénétration dans la chaine de valeur et présence modeste dans la mise en marché avec une « faible coopération entre coopérative ». Pourtant de réelles opportunités existent.

Dans la loi n°08-16 du 3 Août 2008 portant orientation agricole, une alternative est évoquée, celle de constituer des GIC conformément à loi n°08-16 (Art.60) (J.O N°46).

BESOINS EXPRIMES

Les ateus du seteu agiole saodet su litt de lifoatio pou les groupements professionnels mais qui reste très fragmentée.  E tees d’ifoatios et de does Tpe difoatio :

 Les informations relatives aux techniques agraires et de production, comme le

aledie des seailles et des oissos, lutilisatio des itats, lleage et la santé du bétail, la protection des cultures ou la conception des bâtiments agricoles ;

 Les ifoatios elaties à la gestio de leploitatio, oe la teue due comptabilité, la gestion financière et organisationnelle, les problèmes juridiques ;

 Les informations relatives à la commercialisation et à la transformation, comme les

prix, les options du marché, les procédures de stockage, les tec hiues deallage, le transport et les normes internationales de qualité, de pureté et ;

 Les informations relatives au développement communautaire, comme

logaisatio et le egoupeet des poduteus e assoiatios.  E tees d’oietatio  Fournisseurs

 Démarches, procédures et formations au montage de projet

 Structures spécialisés pour la formation

79 – Les besoins en formations et/ou études émanent des associations Les agiulteus estiet uue tude appofodie de elles-i sipose das le ade de la ise aleu de la floe eistate et das le otete de la atio due aue de does ui regroupe et illustre les valeurs propres à chaque espèce.

Outre ses aspects techniques, il a été demandé des formations en : i. gestion des projets ; ii. communication Interpersonnelle/Gestion des conflits ; iii. formation en marketing et commercialisation

Des tudes appofodies ae lappui du PAP sur : iv. possibilité de donner un signe de qualité

Une structuration des associations et une approche territoriale

Bie ue les elatios ete lÉtat et le oueet assoiatif sot e tai de hage pou devenir plus des relations de partenariat que de domination du premier sur le second. Cependant, la ultue assoiatie est pas eoe assez diffuse et affeie pou ue latio des assoiatios soit suffisamment efficace au niveau de la wilaya de Aïn Temouchent ou du moins de ce qui sort de nos entretiens avec les associations. En effet, la plupart des individus responsables des associations achoppent encore sur des difficultés inhérentes à leurs natures mêmes de présidents, dirigeants, gérants, ou tout autre statut de membre de bureau de lassoiatio, e e ses uue ts gade ajoit dete eu est loi daoi les ualits essaies au o fotioeet de lassoiatio. Aisi le aue de ualifiatio, due oe gestio, due oaissae suffisate du hap datio, due eellete oodiatio liite osidaleet ltedue et leffiait de latio assoiatie. Cette aalse est alide losue es assoiatios eistet. Avant de proposer de former des « groupements » de producteurs sous réserve de certaines conditions « sine qua non » : former des GICAs1 de quatre (04)/ cinq (05) personnes au maximum réunissant des gens se connaissant bien, car créer des associations nécessite un nombre minimum dadhets. Se réunir et former des GICAs réunissant quatre (04) voir cinq (05) personnes au maximum ayant des affinités et une même activité professionnelle pour développer des activités communes et tali des oopaties de seies pou lappoisioeet et la oeialisatio auisitio ditats et oeialisation de produits). Les représentants des GICAs pourront former une plateforme de concertation locale.

1 La atio du GICA eige oie de pesoes ? Quel est le nombre minimal pour créer une association ? Deux (02) pesoes uies de ates dagiulteus, dlies pa la Chae dAgiultue peuet e u GICA Goupeet ditts communs agricoles) en application de la loi 08-16 du 03 août 2008 portant orientation agricole.

Cela se fait pa ate otai. Pou lAssoiatio, il faut au ois pesoes et le dpôt du dossie se fait au ieau de la wilaya, à la D‘AG, et la ate dagiulteu est pas essaie. La atio se fait e application de la loi 12-06, relative aux associations.

 Tpes d’atios e faeu du seteu agiole epies par les associations

 veiller à appliquer des politiques publiques nationales et multilatérales pour pouvoir assurer la potetio, las et la gestio duale et uitale des essoues atuelles « en terres et en eau » ;  garantir des revenus justes et viables aux producteurs ;  aussi, la recherche doit se rendre plus utile en rendant accessibles les connaissances existantes et les mettre au service de tous les acteurs locaux ;  étudier avec attention, loaleet et e gloaleet les tasfoatios à lœue et proposer des solutions en concertation avec les acteurs locaux ;  les instituts tehiues agioles et de foatio doiet aujoudhui, adapte leu tie et servir un développement agricole et une agriculture - écologique compatible avec les contraintes naturelles ;  et enfin, intégrer les savoirs locaux et diffuser toutes les innovations qui fonctionnent.

 Analyse Artisan(e)s/ Associations et offices du Tourisme

Les besoins en formation des artisan(e)s ; Associations et office du Tourisme concernent :  La formation en entrepreneuriat et en gestion de projet.  la formation de formatrices en « Design et application de modèles » avec une forte demande pour multiplier la formation en formant de jeunes filles rurales (16-20 ans) pour transmettre et perpétuer ce savoir-faire.

Les esois epis e tees d’aopageet conceret due pat u appui pou adhe à u seau ou se ette e seau pou patage les epiees et patiipe à plus depositios atioales et daute pat u appui pa des tudes su les possiilits dioatio.

Pour les trois (03) CRAC identifiés, le Centre de Ressource (CR) serait une solution appropriée Il a eu legee due popositio de la part des groupements et des services de ladiistatio agiole et des sudiisioaies de foui à taes ue « Cellule et/ou Antenne » qui capitaliserait les données en fonction des spécificités des localités. A quel niveau ? Au niveau des subdivisions et/ou associations.

Lesele des ateus poposet u ete de essoues ifoatif piipaleet ae suppot documentaire et accessoirement formatif (sur exploitation).

4. ANALYSE SWOT – CENTRES DE RESSOURCES (CR)

La SWOT réalisée met en évidence les principales forces et faiblesse de la mise en place de CR. Nous ostatos plus de foes uate et doppotuits si (06) exprimés contre trois (03) faiblesses et quatre (04) menaces. Pour une grande partie de nos interlocuteurs, il ya un début de réceptivité avec même une vision inversée (c'est-à-dire adapter le conseil, la formation et la recherche à leurs besoins) : « Bottom- up » pour les groupements demandeur et la présence de cadres engagés pour appuyer les groupements. Il ya en contrepartie, une confusion entre base de données et CR (entre outils et structure) et un cloisonnement entre les groupements, le secteur privé, les instituts de formation, les chambres consulaires et Université. Il a ue pise de osiee de la essit du deloppeet au pofit des teitoies uau. La Mise e œue de politiues et de pogaes patiipatif PAP ENPAD constitue une réelle oppotuit pou lesele des ateus. Laspet juridique (règlementation) pour la pérennité des CR (après programme), la faible adhésion « idéologique » pour certains groupements et la aite dattitude idiidualiste (Monopolisation et accapaatio du C‘ pa lhegeu) constituent les principales menaces exprimées (Figure 23).

Forces Faiblesses

 Début de réceptivité des acteurs  Confusion entre base de données et CR  Existence de structures institutionnelles (entre outils et structure) (Ex. subdivisions agri et districts forêts) à  Manque/Déficit e atie dite- travers le territoire de la wilaya sectorialité (coordination entre secteurs  Des groupements demandeurs pour une autou d’u pojet fdateu). vision inversée (c'est-à-dire adapter le  Cloisonnement entre les groupements, conseil, la formation et la recherche à le secteur privé, les instituts de leurs besoins) : Bottom-up formation, les chambres consulaires et  Présence de cadres engagés pour Centre universiataire/Université. appuyer les groupements

Opportunités Menaces

 Mise e œue de politiues et de  Caractère juridique (règlementation) programmes participatif PAP ENPAD pour sa pérennité (après programme)  Changement de mode de consommation  Faible adhésion « idéologique » pour au niveau national et prise de conscience certains groupements de litt de Poduie de ualité et  Gestion (financière et administrative) et offrir des services : offrir des prestations atualisatio de lifoatio au ieau de qualité, CR  Eistee du det elatif à la  Monopolisation et accaparation du CR certification, la labellisation (Indication pa lhegeu géographique, Indicateur de qualité) de produits de terroirs potentiels  Disponibilités de ressources humaines qualifiées (formateurs et contenu des formations)  Adhésion au concept : Les associations sot adhets à lide dade à lifoatio fiale apidement et ciblé et disponible.  Lancement des travaux de la caractérisation et ciblage des produits de qualité dans des différentes régions.

Figure 23. Analyse SWOT –CR

Laalse de liplatatio de Cetes de ‘essoues C‘ a t pise sous foe de “WOT. Ue aalse e tee doppotuits s foes et de eaes s failesses a peis didentifier en concertation avec les parties prenantes lors de la mission (Phase 1) les points susceptibles dassue ou detae le sus de la ise e plae des CR.

Une bonne réceptivité pour la mise en place de centre de ressource (CR) a été exprimée par les diffets ateus e ui se taduit pa ue pise de osiee de la essit du développement au profit du territoire rural. Les besoins en formation complémentaires identifiés das le ade de ise e plae des C‘ otet galeet litt porté au bon fonctionnement, suivi et pérennité du CR.

Les structures identifiées lors de la mission (Phase 1) comme Centres de Ressources (CR) potentiels représentent la diversité du territoire de part leurs spécificités. La diversification et la multiplication des missions et des fonctions des structures identifiées pourront se traduire par liplatatio de plusieus C‘ à laei qui pourront se juxtaposer ou se compléter. Cette multiplicité des centres de ressources pose alors le problème de leur mise en réseau : Chacun doit garder son identité, sans pour autant faire bande à part.

IV. RECOMMANDATIONS

1. MISSIONS, STRATÉGIE & FONCTIONNEMENT Les centres de ressources associatifs coordonnés (CRAC) ont un objectif, qui est de permettre le transfert de oaissaes et lhage depiees au pofit des goupeets de poduteus das les seteus de lagriculture, de lartisanat et du tourisme. Les centres de ressources (CRAC) peuvent avoir une ou plusieurs vocations : informative ou formative ou les deux à la fois.

Les structures identifiées rencontrées lors de la mission, nous ont permis de confirmer la nécessite de sappue su les oatios spifiues de es stutues et de e des passeelles ete elles, afi de ge des segies, dale lhage depiees et de satisfaie les esois exprimés par les différents groupements.

Ltat des lieu ous a peis de ostate ue la dfiitio, ôle, fotioeet, atiits et vocation des centres de ressources (CRAC) diffèrent du goupeet à u aute. Il seait aatageu duifoise es etes afi dalioe la ouiatio, lhage ete es etes et stiule lappohe patiipatie et osesuelle. Pou ela u « cahier de Charge » pourrait être développé.

La mise en place des CRAC passerait par trois (03) étapes :

 Etape 1 : Mobilisation des acteurs suivant une démarche inclusive et participative ;

 Etape 2 : Définir ensemble la mise en place de ces CRAC

 Etape 3 : Mettre en place des Systèmes : dappui oseil, doietatio, de communication et de suivi des initiatives Entrepreneuriales.

Les ateliers de réflexion (Phase 2) nous permettrons de consolider la mobilisation des acteurs autou du C‘AC et de deloppe le ahie de hage. Pou ela, ous poposos lutilisation de deux (02) outils qui permettraient de développer les critères indispensables à la mise en place :

 Le « Mapping » du CRAC ;  LAppohe Cosesuelle des Ateus ACA.

Le « Mapping » permettra dotei ue iage laie de e ue doit te le CRAC. La méthode employée va nous aider à répondre aux questions sur le Pourquoi, le Quoi, le Qui, le Quand, le Où et le Comment pour mettre en place « un CRAC ». En faisant cela avec le groupe de personnes impliquées, nous pourrons rapidement démarrer et obtenir immédiatement une image et les capacités pou la ise e œue des etes de essoues C‘AC.

Esuite, lAppohe Cosesuelle des Ateus ACA peetta au ateus de faie le hoi ddutif du C‘AC idetifi. Ce taail peetta à leseble des acteurs de consolider le choix des structures identifiés sur une base objective (basée sur la faisabilité pour garantir ainsi la pérennité de la réflexion engagée pour la phase 3).

2. SYSTÈME DE COORDINATION ENTRE LES CENTRES DE RESSOURCES (CR) La mise en place de réseaux de coordination entre acteurs et les différents centres de ressources identifiés peet de stiule le patage difoatio, de oes patiues et depetise et depiees, dalue ojoiteet les pogs, de dfii esemble des objectifs communs et de mener à bien les activités concertées.

Les centres de ressources ayant un double ancrage : (i) territorial et (ii) wilaya, il est évident que les centres de ressources doivent être connecté entre eux au niveau de la wilaya mais également connecter aux autres centres de ressources des wilayas pilotes en premier lieu. A long terme, il seait peis daitioe le deloppeet due « Toile » au niveau national.

Pou e faie, il sagia didetifie « UN » système de structue daueil et de ette e plae dans cette structure :

 un Système dappui-conseil sur la valorisation des ressources et produits du terroir ;  un Système de ouiatio peettat lifoatio et la diffusio des iitiaties visant à la valorisation territoriale rurale ;  Et un Système de suivi des Initiatives Entrepreneuriales.

Une rfleio su la ise e plae du aise de oodiatio et Coopatio des diffets CR de la wilaya et inter-wilaya (4 wilaya pilotes) : Exemple des missions wilayates voisines : Ain Temouchent/Tlemcen serait pertinente.

Cette vision a pour but de mettre en place les instruments nécessaires à fluidifier pour la connectivite entre CR des différentes wilayates autou du poduit à intérêt commun et pourra ainsi répode au aspets ditesetoialité.

Le renforcement des capacités des acteurs du développement rural passe également par le renforcement des structures existantes identifiées. Un autre axe du renforcement des structures concerne la pérennité, laquelle passe souvent par leur autonomie financière.

Au-delà du fiaeet des atiits de ise e œue, le Centre de Ressource (CR) aura besoin de couvrir ses frais de fonctionnement et ses frais de personnel. Une des craintes constatées auprès des différents acteurs rencontrés est la garantie à terme de la pérennité (le financement) de ces centres de ressources. Une fois opérationnel, ces centres doivent être capable de générer des revenus basés sur la commercialisation de leurs produits ou services.

Il serait judicieux de prévoir pour la phase 2 des rencontres à Alger (en début de mission) avec les instituts et Centres de Ressource au niveau national (INRAA et CROSC), mais aussi au niveau local (communal - APC pou tali does et djà u lie ae les différentes initiatives et de permettre aisi ue segie oi ue opletait. Cei pouait efoe lipat des atios communes à mener et partager les résultats.

CONCLUSION La Wilaya dAï Teouhet a une vocation agricole avérée, conséquence du poids économique et social que représente le secteur agricole. E effet, ltedue de la “AU, la oe ualit des sols, leistee de pôles agioles remarquables par la qualité et la diversité de leurs produits, la ruralité de la quasi-totalité de son teitoie, ofiet ette oatio ui deait faie oege, pa osuee, lessetiel des activités du programme. Cependant, cette agriculture reste confrontée à plusieurs contraintes ou insuffisances qui brident son rythme et son niveau de développement :  Lisuffisae des dispoiilits e eau diigatio aggae pa ue uasi asee de gestion collective des ouvrages de mobilisation (retenues collinaires) qui se dégradent et dont certains sont en cours de réhabilitation ;  La filière maraichère qui recèle des atouts singuliers (précocité, originalité et qualité des produits) mais dont les producteurs en tirent de modestes profits et avec lesquels un processus de labellisation pourrait être enclenché et accompagné par le programme ;  Le ieau de tehiit des agiulteus ui este à ehausse afi dotei des gais de productivité face à la hausse constante du prix des intrants ;  La faile stutuatio des agiulteus et leu ulailit à leioeet e aot et en aval du processus de production ;  Letepeaiat agiole ui peie à se deloppe fae à leigee de possessio de tee agricole et de perspectives claires et de visibilité économique qui favoriseraient liestisseet ;  Lisuffisae, sio lasee duits de ollete, stokage et tasfoatio des poduits agricoles à proximité des bassins de production qui fragilise les filières.

Par ailleurs, la Wilaya recèle des atouts intéressants (côte maritime, plages, zones humides, vestiges archéologiues peettat deisage u deloppeet ipotat du touise oe de latisaat taditioel ui fiieait de ses etoes ; Pou lesele des seteus datiit, il a u dfiit e atie dtudes, de stutuatio des acteurs à la ase poduteus, assoiatios, stutues dappui et de formation; en ce dernier domaine, la relative consistance des établissements de formation (Instituts techniques, centres de foatio pofessioelle peet deisage ue pose apide aux besoins exprimés) ou rechercher des formations adaptées qui répondraient à leurs besoins spécifiques. Il serait aussi bénéfique de susciter et consolider la connexion entre tourisme même saisonnier, artisanat et agriculture au bénéfice partagé des acteurs et des futurs entrepreneurs. La présente tude didetifiatio des stutues eistates Phase 1) pour la mise en place de Cetes de ‘essoues Assoiatifs Coodos C‘AC a peis didetifie et de atogaphie su le log du taset sud-est /nord-ouest trois (03) CRAC.  Le CRAC sud-ouest pot pa lassoiatio « Akhdem Ardek », le second au centre par le groupement (en cours de structuration en GICA) et le troisième CARC au nord-ouest par une association professionnelle oléicole.

 Le CRAC sud-ouest porté par une association loi n ° 12-06 (J.O N°2 du 15 Janvier 2012) composée de GIC (Art.60 de la loi n°08-16) (Encadré 5).  Le CRAC centre est composée dagiulteus en cours de former GIC (Art.60 de la loi n°08- 16) (Encadré 6).  Le CRAC nord-est est pot ue assoiatio pofessioelle dagiultue loi °-16 (J.O N°46 du 10 Août 2008) composée de deux oléiculteurs en cours de regroupement en GIC (Art.60 de la loi n°08-16) oléiculteurs et associations professionnelles « oléiculture et aviculture » (Encadré 7).

Litt de la ise e plae des etes de essoues oodos est plus a dot, il est perçu et exprimé comme un centre physique qui peut être un centre difoatio , de documentation et/ou bien virtuel qui peut pede la foe due plate foe egoupat les différents acteurs.

Les résultats de la présente mission (Phase 1) à permis de fournir les éléments clés pour la mobilisation des acteurs nécessaire pour la phase 2 (atelier de réflexion) suivant une démarche ilusie et patiipatie. Cette phase a aussi peis dotei des appuis à la ise e œue de la phase 3 (formation complémentaire du personnel, définition de la stratégie de communication et de visibilité, définition du système de suivi des initiatives entrepreneuriales). Cependant, il est primordial de prévoir :  La construction effective de comité de concertation local (CCL) regroupant tous les acteurs autour du centre de ressources ;  Une formation du personnel qui aura la charge de la gestion du CR pour assurer sa durabilité/ pérennité.

Un des résultats intéressant de la mission a été le nouveau rôle attribué au Centre de Ressource, à savoir celui de l« Orientation ». Ce oueau ôle sispie de elui des Bueau dAccueil dIfoatio et dOrientation (BAIO) présent au niveau des Centres de Formation Professionnelle et dApprentissage (CFPA).

Une bonne réceptivité pour la mise en place des Centre de ressources (CR) a été exprimée. Ce résultat sest taduit pa lidetifiatio et la atogaphie de sept (07) Centres de ressources potentiels dans les deux (02) wilayas voisines (Trois (03) Ain-Temouchent) et quatre (04) à Tlemcen.

La disponibilité de capacité humaine, cadre qualifié et de structures physiques (bureau, lieu de réunion, hébergement) avec une bonne adhésion au concept de Centre de Ressource (CR) est considéré par les parties prenantes comme une condition permettant aux acteurs au niveau du teitoie daoi u as apide, fiale, et il à lifoatio et/ou formation.

La faisabilité est conditionnée par la remobilisation des acteurs déjà rencontrés lors de la 1ère phase, suivant une démarche inclusive et participative das le ade dateliers de réflexion (Phase 2). Il faudra prévoir avant la tenue des ateliers de réflexion prévue pour la 2ème phase, de revoir certaines structures qui ont été identifiées mais qui nécessitent une attention supplémentaire vu le ôle uelles pouaiet joue das la ise e plae de etes de essoues, tel que la Maison de leioeet à Aïn Temouchent (qui peut porter un projet CR).

La aiso de leioeet est e phase de fleio en raison due faile psee dassoiatios. Il est eoad pou latee dAï Teouhet de programmer dautes rencontres ae plus dassoiations environnementales actives avant la phase 2.

Il est aussi intéressant de rencontrer la Coopérative des producteurs de lait de Hammam Bouhdjar, lassoiatio des gades ultues et des lgues ses dAi Tola et lassoiatio des jeues apiculteurs de Beni “af ui ot pas pu te joit phase.

A Tlee, il sagit de eoi la Fot Modle Tlee FMT et luiesit pole etepeeuial : Blue) et de eote lassoiatio Aal fees uales et Assoiatio “pot & Natue de la commune de Beni-Snouss.

La psete issio a peis didetifie les stutues daueil potetielles C‘AC aisi uue aalse de liplatatio de Cetes de ‘essoues C‘ a t pise sous foe de “WOT. Les besoins en formation complémentaire pour le centre de ressource ont pu être identifiées notamment : foatio e ifoatiue, ulgaisatio et diffusio difoatio, gestio et planification et gestion de base de données. A lissu de la phase de latelie de fleio Phase, seot dfiis les objectifs qualitatifs et quantitatifs du réseau de centres de ressources en fonction des publics cibles, des services rendus et des effets attendus. Aussi, le fonctionnement du réseau de centres pourra être explicité et précisé compte tenu des moyens humains, matériels et financiers à prévoir. U sste de oodiatio ete les etes daueil au sei de la ilaa et ete les ilaas pilotes pourra aussi être défini. Les grandes lignes de la stratégie de communication et de visibilité pourront être définies ainsi que le pla datio de haue ete idetifi est dfii.

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Annexe 1 : Découpage adiistatif de la ilaa d’Aï Teouhet

Daïra Nombre de Communes communes

Oulhaça El 2 Oulhaça El Gheraba • Sidi Ouriache

Gheraba Hammam Bou Hammam Bou Hadjar Oued 4 •

Hadjar Berkeche • Chentouf • Hassasna

El Malah 4 El Malah • Terga • Chaabat El Leham • Ouled Kihal El Amria • Bouzedjar • Ouled Boudjemaa • M'Said • Hassi

El Amria 5 El Ghella

Beni Saf 3 Beni Saf • Sidi Safi • El Emir Abdelkader

Aïn Témouchent 2 Aïn Témouchent • Sidi Ben Adda

Ain Kihal 4 Aïn Kihal • Aghlal • Aïn Tolba • Aoubellil Aïn El Arbaa • Tamzoura • Sidi Boumedienne • Oued

Aïn El Arbaa 4 Sebbah

Annexe 2 : Carte des ressources naturelles et des potentialités de Aïn Temouchent

Annexe 3 : Identification des besoins exprimés en matière de formation N° Besoins exprimés / thématique resultat du Nombre de Nom du groupement Procedures respectée Avis de CdA/ PF ordre programme personnes Association des oléiculteurs 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association des viticulteurs 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible Association des aviculteurs 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible 1 Formation en gestion et structuration (R1) Association des agriculteurs d’oualhaça 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible Association des métiers de l’artisanat 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association khadra 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association la main verte 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association des oléiculteurs 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association des viticulteurs 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible Association des aviculteurs 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible Mise en valeur des produits et 2 Association des agriculteurs d’oualhaça 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible commercialisation (R2) Association des métiers de l’artisanat 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association khadra 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association la main verte 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association des oléiculteurs 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association des viticulteurs 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible Association des aviculteurs 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible 3 Information et communication (R3) Association des agriculteurs d’oualhaça 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible Association des métiers de l’artisanat 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association khadra 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association la main verte 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association des oléiculteurs 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association des viticulteurs 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible Association des aviculteurs 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible 4 Innovation et formulation de projet (R2) Association des agriculteurs d’oualhaça 20 à 30 Oui (demarche PAP) éligible Association des métiers de l’artisanat 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association khadra 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Association la main verte 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible

Etude sur les opportunités et potentialités Oui (demarche PAP) éligible 5 de la vigne de la wilaya d’Ain témouchent Association des viticulteurs 20 à 30 (R2) Oui (demarche PAP) éligible Etude et coaching pour la création d’unité 6 Association la main verte 05 à 10 de recyclage des déchets plastique (R2) Oui (demarche PAP) éligible Etude et diagnostic sur les opportunités et Office du tourisme de Beni saf 05 à 10 potentialités des ressources touristiques Association JOUDOUR 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible 7 de la Wilaya (développement du tourisme Association la main verte 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible rural) (R2) Association Khedra sidi ben adda 05 à 10 Oui (demarche PAP) éligible Oui (demarche PAP) éligible Association des agriculteurs Etude sur la valorisation des produits de 20 à 30 8 terroirs (appui à la démarche de d’oualhaça labellisation) (R2) Association des oléiculteurs 10 à 20 Oui (demarche PAP) éligible Oui (demarche PAP) éligible formation structuration et gestion pour la - Coopérative des producteurs de la 9 création en coopérative polyvalente. vigne de table en PERGOLA de Sidi Ben 15 (R1/R2/R3) Adda Oui (demarche PAP) éligible formation structuration et gestion pour la Coopérative des producteurs de lait 10 création en coopérative de services. 10 de Hammam Bouhdjar (R1/R2/R3)

Association des grandes cultures et des Oui (demarche PAP) éligible 10 à 15 légumes secs CAW Association des grandes cultures et des Oui (demarche PAP) éligible 8 légumes secs d’A.Tolba Association des apiculteurs 7 Oui (demarche PAP) éligible Information et communication interne et Coopérative des producteurs de lait de Oui (demarche PAP) éligible 11 10 externe. (R3) Hammam Bouhdjar Oui (demarche PAP) éligible

Coopérative des producteurs de la vigne 15 de table en PERGOLA de Sidi Ben Adda

Association des grandes cultures et des Oui (demarche PAP) éligible 10 à 15 légumes secs CAW Association des grandes cultures et des Oui (demarche PAP) éligible 8 légumes secs d’A.Tolba Innovation et formulation de projet (plan 12 Association des apiculteurs 7 Oui (demarche PAP) éligible d’affaires) (R2) Coopérative des producteurs de lait de Oui (demarche PAP) éligible 10 Hammam Bouhdjar Coopérative des producteurs de la vigne Oui (demarche PAP) éligible 15 de table en PERGOLA de Sidi Ben Adda Association des grandes cultures et des Oui (demarche PAP) éligible 10 à 15 légumes secs CAW Association des grandes cultures et des Oui (demarche PAP) éligible 8 légumes secs d’A.Tolba Mise en valeur des produits et 13 Association des apiculteurs 7 Oui (demarche PAP) éligible commercialisation (marketing) (R2) Coopérative des producteurs de lait de Oui (demarche PAP) éligible 10 Hammam Bouhdjar Coopérative des producteurs de la vigne Oui (demarche PAP) éligible 15 de table en PERGOLA de Sidi Ben Adda Etude sur les opportunités et potentialités Coopérative des producteurs de la Oui (demarche PAP) éligible 14 de la vigne dans la wilaya d’Ain vigne de table en PERGOLA de Sidi Ben 15 témouchent (R2) Adda Source : Rappot d’atiit Août

Annexe 4 : Groupements actifs, intéressants et intéressés

Besoins exprimés en matière de formation et Nom du groupement Stratégie – thème fédérateur d’aopageet

Etude sur la valorisation des produits de terroirs Assoiatio des agiulteus doualhaça Valorisation des produits locaux en facilitant Association des oléiculteurs appui à llaoatio due statgie de aketig par les démarches collectives et due distitio oeiale Appui à la formation structuration et gestion pour Coopérative des producteurs de la vigne de Valorisation des produits locaux la création de GICA table en PERGOLA de Sidi Ben Adda Coopérative des producteurs de lait de Hammam Bouhdjar Appui à la formation structuration et gestion pour Association des grandes cultures et des Valorisation des produits locaux la atio due oopatie de seies. lgues ses dA.Tola Association des jeunes apiculteurs de Beni Saf

Etude et diagnostic sur les opportunités et Office du tourisme de Beni saf Valorisation des ressources naturelles et potentialités des ressources touristiques de la Association JOUDOUR culturelles Wilaya (développement du tourisme rural) Office du tourisme de Oualhaça Etude de marché national sur les PAM Association Echorouk Valorisation des produits locaux

Source : Antenne Ain Temouchent, Octobre 2017

Annexe 5 : Personnes rencontrées

Date : Lundi 06/11/2017 - Matinée Lieu : Conservation des forêts (CF) Nom et prénom Qualité Contact

Bouziane Rahmouni Chef d’antenne Ain Témouchent 0560684392

Hadjira Abdellaoui Point focal DSA 0772296286

Sid Ahmed Benacceur Point focal CF 0696270489

Kamel Elmerarbi Point focal artisanat 0770725384

Saidi Djamel Conservateur des forêts 0771994081

Bellahouel Baroudi Chef service de gestion de CF 0561812618

Amamra M’hamed Président de la CAW 0541511145

Bousaid Otmane Président de la CAM 0661266759

Après-midi La chambre de l’agriculture

Hadjira Abdellaoui Point focal DSA 0772296286

Amamra M’hamed Président de la CAW 0541511145

Adada Okacha Président association des oléiculteurs 0796014797

Aidouni Mohamed Président association des Viticultures 0661228396

Belatbi Mohamed Président association des producteurs lait 0661282882

Boutara Mohamed Président association des Grandes cultures -

Amrani Smail Membre association des Maraichers 0553314666

El Ghaouta Bel ouhrani Président association des Maraichers 0699482829

Bentabet Bouhdjar Membre de la CAW –association machinisme 0792327939

Abebsi Ahmed Association Technicien machinisme 0676277454

Date : Mardi 07/11/2017

Lieu : Direction des Services Agricoles (DSA) Nom et prénom Qualité Contact

Hadjira Abdellaoui Point focal DSA 0772296286

Messar Mohamed Ingénieur DSA Fouzi

subdivisionnaire subdivisionne Ain Benguerdi AbdelKarim 0778520960 Larebaa

Hassaine Ikhlef subdivisionnaire subdivisionne Benisaf 0775602145

Bouchriha Mohammed subdivisionnaire subdivisionne Oualhaça 0556891182

Bouchareb subdivisionnaire subdivisionne 0778572139 Abdelkader Oued.Sebbah

Laâla Tayeb Amine subdivisionnaire subdivisionne Elamria 0540340329

Liamari Djella subdivisionnaire subdivisionne Elmallah 0559756637

subdivisionnaire subdivisionne Boubekeur Meafek 0697083653 H.Bouhdjar

Moussouni beljelloul subdivisionnaire subdivisionne Terga 0558260419

subdivisionnaire subdivisionne Boulefred Ahmed 0778309082 Chabet.Elham

Boumediene subdivisionnaire subdivisionne Hassasna 0797726933 Noureddine

Benmazouz Said Ingénieur DSA - Chef service SARPI 0557529380

Kirech Adnane Ingénieur DSA 0668751468

Belhadj Kadour Technicien supérieur 0779750255

Boudaoud Sid ahmed Chef bureau Ain El Kihel 0794439412

Madani Asmaa Ingénieur DSA 0792712163

Hounat Hafida Ingénieur DSA 0552328146

Kacimi Khadidja Technicienne

Mammar Noureddine Chef service DAT/DIA 0794600801

Touil Mohamed Chef bureau SOPA -

Bousaid Otmane Président de la CAM 0661266759

Date : Mardi 07/11/2017

La conservation des forêts (CF)

Après-midi

La conservation des forêts Sid Ahmed Benacceur Point focal CF 0696270489 Hadjira Abdellaoui Point focal DSA 0772296286 Megharbi Mostefa P/ chef district ain larbaa -

Tratg djilalli - P/ chef district hammam bouhdjar Boumahdi Bachir -

P/ chef circonscription beni saf Bengraa Nordine Chef district El Malah -

Bekradda Abdelkader Chef circonscription Hammam - Bouhdjar

Achouri Ali Chef district El Amira -

Benamar miloud Chef service de la protection de - la faune et de la flore

Haddou Wahbi Chef circonscrition Ain - Témouchent

Benyamina Tayeb Chef district Ain kihal -

Benhamida Mohamed Chef district Benisaf -

Date : Mercredi 08/11/2017 La Dietio de Touise et de l’Atisaat (DTA)

Nom et prénom Qualité Contact Kamel Elmerarbi Point focal artisanat 0770725384

Hadjira Abdellaoui Point focal DSA 0772296286

Dine said Inspecteur du tourisme 0669340828

Yousfi Bouziane Chef de mission DTA 0774858016

Bendahmane Zoulikha Chef de service DTA 0793883936

Ramadai Noureddine

Sidi Ali cherif Fatima Inspectrice du tourisme 0773986839

Date : Mercredi 08/11/2017 La Chae de l’Artisanat et des Métiers (CAM)

Après-midi La Chae de l’Atisaat et des Mties CAM)

Nom et prénom Qualité Contact

Kamel Elmerarbi Point focal artisanat 0770725384

Benamara Abdelhakim Président office tourisme -Oualhaça 0779601453

Président office promotion du tourisme des Bensafi Nor-Said 0793530463 jeunes Beni saf

Benkrama Abdelkader Artisan 0696202686

Meziane Zaaibli Zhor Présidente d’association des métiers traditionnels

Zhor Mira Artisane 0556169729

Karima Belarbi Artisane 0779701662

Boukhars Malika Artisane 0790048702

Ben Ameur Sidi Jaafar Artisan

Hakimi Bilal Artisan 0790581616

Kadri Hayat Artisane

Date : Jeudi 09/11/2017 La Chae de l’Artisanat et des Métiers (CAM)

Nom et prénom Qualité Contact

Kamel Elmerarbi Point focal artisanat 0770725384

Sid Ahmed Benacceur Point focal CF 0696270489

Benkrama Abdelkader Artisan 0696202686

Meziane Zaaibli Zhor Présidente d’association des métiers - traditionnels

Albi Chahrazad Artisane 0791257926

Guerroudj samira Artisane 0776035997

Zhor Mira Artisane 0556169729

Karima Belarbi Artisane cordonnier 0779701662

Boukhars Malika Artisane cordonnier 0790048702

Ben Ameur Sidi Jaafar Artisan 0790581616

Hakimi Bilal Artisan 0790581616

Kadri Hayat Artisane décoration sur miroir 0559029149

Marouf Maghnia Artisane Bijouterie 0778628440

Benderdder Houria Artisane décoration 0553437098

Bedreddine Fatima Artisane décoration 0550666415

Benfissa Lalia Artisane haute couture 0553806948

100

Khaldi saida Ingénieure environnement 0771310342

Fatmi Frid Sihem Ingénieure environnement 0558026575

Chikh Bekhada Amaria Artisane couture 0790149178

Khiat Radia Artisane couture 0791707486

Moudjahed nacira Artisane couture 0797598297

Kehloul Yamia Artisane 0778900761

Date : Jeudi 09/11/2017 Institut de Technologie Moyen Agricole Spécialisé (ITMA)

Après-midi Institut de Technologie Moyen Agricole Spécialisé (ITMA)

Nom et prénom Qualité Contact

Saad Salam Directeur

Boudiab Fatima Zohra Direction de Pédagogique

Date : Dimanche 12/11/2017 Centre Universitaire Belhadj Bouchaib de Ain Temouchent

Nom et prénom Qualité Contact

Mazour Mohamed Département Sciences de la Nature et de la Vie 07 70 31 10 (SNV) 89

05 54 98 60 Ziadi Abdelkader Vice-Recteur du Centre Universitaire 55

05 57 57 57 Belarbi Lahcène Directeur Institut des Sciences 27

05 42 66 08 Amara Mohamed Directeur Adjoint Sciences 46

Après-midi Associations professionnelles – Chambre d’agriculture

06 99 27 85 Boutara Mohamed Président Grandes cultures - Céréaliculture 71

05 53 31 46 Amrani Smain Directeur coopérative multiservice 66

101

Date : Lundi 13/11/2017 Assoiatio des agiulteus d’ Oulhaça

Nom et prénom Qualité Contact

Djalti Omar Fellah

05 56 89 11 Benmedeh Khatir Agriculteur 82

05 56 89 11 Bouchiha Mohamed Subdivisionaire 82

07 72 98 72 Benmedadah Fatiha Forêt 17

05 54 31 00 Mohamad Balhadj Boucif Fellah –Association Akhdem Ardek 17

07 94 60 65 Bengozi Hocine Fellah 59

05 52 59 19 Bellahoual Mohamed Chef district Oulhaça 87

Benneddah Khatir Fellah

07 93 01 09 Sidi Ykhlef Khatir Ingénieur Subdivision 22

Fin d’après-midi Association Sidi Boucif: Association d’aide et d’assistance aux personnes en handicap - Beni Saf

Soussi Nacira Présidente Association Boucif -

102

Date : Mardi 14/11/2017 Centre de Formation et de Professionnelle Agricole (CFPA) Aïn Larbâa

Nom et prénom Qualité Contact

Sebbar Mohamed Ghalem Directeur de la Formation Professionnelle 07 71 84 94 01

Chef de service Direction de la Formation Kaddour Mouffok 07 73 78 18 41 professionnelle

Khattar Bouziane Directeur du CFPA 07 74 29 37 82

Bouderba Zahira Chef de service DFEP 06 61 10 29 68

Belouadi Mohamed Cadre DFEP 07 77 04 94 35

Douis Hichem Professeur Formation Professionnelle 07 74 36 29 22

Guitour Mohamed Professeur Formation Professionnelle 05 50 90 75 70

Bekkaoui Hamad Conseiller CFPA 07 70 10 70 17

Mansour Aicha Professeur Formation Professionnelle 06 59 63 67 79

Sadeddine Rachid Professeur Formation Professionnelle 07 75 77 26 46

Benabed Abdelkader Porteur de projet 07 97 64 30 42

Après-midi Oléiculteurs AZROU – Sidi Slimane (Hammam Bouhdjar)

Azrou Rachid Oléiculteur 05 50 46 01 42

Azrou Hacen Oléiculteur

Aidouni Mohamed Président Association Viande Blanche 06 61 22 83 96

Adada Okacha Président association oléicole 07 96 01 47 97

103

Date : Mercredi 15/11/2017 Viticulteurs (non structuré) -Sidi Ben Adda

Nom et prénom Qualité Contact

Bouazza Marouf Abdelkader Agriculteur 05 51 46 50 86

Kada Modtefa Zenagui Agruiculteur 05 54 21 63 43

Dardek Lahbib Consultant 07 70 32 60 39

Labdi Bendjelloul Agriculteur 07 70 31 26 51

Après-midi Maison de l’environnement – Ain Temouchent

Lasri Habib Maison de l’environnement 05 53 39 11 91

Taouil Karim Président association Echourouk

Zehouani Mohamed Président de la main verte 07 92 77 81 93

Fatmi Frid Siham Coordinatrice Maison de l’environnement 05 58 02 65 75

Benedra Saliha Ingénieur Maison de l’environnement

Date : Jeudi 16/11/2017 Debriefing Antenne : Matinée - Radio : Après midi Ain Temouchent Nom et prénom Qualité Contact

Bouziane Rahmouni Chef d’antenne 0560684392

Abdellaoui HAdjira Point focal DSA 0772296286

Bennaceur Sid Ahmed Point focal CF 0696270489

El mererbi Kamel Point focal Artisanat 0770725384

104

Annexe 6 : Fous Goupe & Guide d’etetie

Q1- Quelles sont les difficultés que vous rencontrez et ui ous ephet dalioe os revenus ? (Contraintes/faiblesses) ;

Q2- Quels sont les produits que vous pensez pouvoir valoriser ? (R2 Identification produits) ;

Q3- Quelles solutions pourraient vous faciliter votre approvisionnement, réduire vos coûts et mettre en valeur vos produits et les commercialiser ?

(R1 Processus participatif/Structuration);

Q4- Avez-vous pensé à de nouveaux produits ou de nouvelles façons de produire ?

(R2 Filière/ innovation) ;

Q5- Comment placer votre produit sur un marché concurrentiel ? (R2 Labellisation) ;

Q6- Vous avez un savoir-faire et un produit, par quels moyens pensez-vous les faire connaître ? (R3 Communication et information sur les initiatives entrepreneuriats et sur le produit) ;

Q7- Savez-vous où et comment trouver des réponses à vos préoccupations (organisationnel, montage financier, amélioration technique, et formation (précisez vos attetes foatio tehiue, gestio de pojet, ogaisatio, pla pisioel… ? (R3 Renforcement de la communication et de l’ifoatio su les iitiaties entrepreneuriats) ;

Q8 - Si vous avez des projets innovants, comment comptez-ous les ette e œue ? (R1 ; R2 ; R3).

105

Guide d’etetie

GROUPEMENTS PROFESSIONNELS (AGRICULTURE, ARTISANAT, TOURISME) IDENTIFICATION Identification du groupe - No du goupe…………………………………………………………………… - Loalit………………………………………………………………………………… - Date de atio…………………………………………………………………… - Statut : - Noe de ees : ……. H……..F ACTIVITES Quels sont les contraintes que vous avez pour développer vos activités? - Quelles sont vos principales difficultés pour la vente de vos produits ? - Quelles sont les principales difficultés dans vos productions ? - Quelles sont les freins actuels au développement de votre activité? - Quelles solutions voyez-vous pour les lever ? - Faites-vous de la transformation ? Oui Quoi ?

Non ____ Êtes- vous intéressé? ______

Sur quel domaine vous aimeriez faire une « formation ou stage » qui puisse vous servir dans votre travail ?

COMPETENCES/SAVOIR FAIRE Quels- sont vos compétences ? Avez-vous une expérience particulière réussie ? Avez-vous partager cette expérience ? Quels sont vos besoins en compétences ? Avez-vous une idée de la structure compétente pour ce besoin ? MARCHE Où vendez-vous produits ?

Seriez-ous itess pou distiue ede os poduits esele ae dautes poduteus ?

Est-e ue ous osidez uaoi u poit de ete ou est ipotat et utile ?

106

Avez-vous de suggestions ou de commentaires ? COMMUNICATION

FLUX D’INFORMATION DANS LE GROUPE Quels sot os diffetes soues difoatios les listez - Quels tpes difoatios oteez-vous de ces différentes sources, à quelle occasion, par qui et par quels moyens ? - Avez-vous eu des opportunités de formation (nombre de formations reçues et sujets de ces formations) : - En cas de formation, tous les membres du groupe y participent-ils ? - Sinon comment choisissez-vous ceux qui y participent Que faites-vous des informations une fois à votre disposition ? - A qui donnez-vous des informations (les listez) ? - Quels tpes difoatios doez-ous à hau deu, à uelles oasios et pa uels oes ? Votre groupe a-t-il déjà été sollicité pour offrir des formations aux autres producteurs ? Si oui : • pa ui et à uelles oasios (quels étaient les membres impliqués) ? • oie de fois ? Quels taiet les fiiaies ? Quel s tait et les sujets de foatio ?

FLUX DE MATERIELS DANS LE GROUPE

Quels sont les partenaires qui vous apportent des appuis matériels ? (les listez) - Que vous apportent chacun des partenaires comme matériels? À quelles occasions et à quelle fréquence ? - Que faites-vous du matériel reçu (lorsque les quantités sont insuffisantes pour satisfaire tout le monde y-a-t-il des membres privilégiés et qui décide de la répartition) ?

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Annexe 7 : Taleau d’Aalse

TABLEAU D’ANALYSE DES ACTEURS

Missions Intérêt pour un Mode de Forces faiblesses Besoins Commentaires (Connaissances) CR fonctionnement

TABLEAU DE RECEPTIVITE DES ACTEURS ACTEURS POTENTIALITES INTERET DU C.R RECEPTIVITE (Expériences à partager) (Apports et Bénéfices) (Par rapport à la mise en place du (Savoir Faire à Centre de Ressources) transmettre) ++ : Bonne ; + : Moyenne ; - : Faible

Source : ECT, Novembre 2017

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