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Notes du mont Royal www.notesdumontroyal.com 쐰 Cette œuvre est hébergée sur « No- tes du mont Royal » dans le cadre d’un exposé gratuit sur la littérature. SOURCE DES IMAGES Google Livres LES Î:I ED R EE N jC E3 .1 i AVEC LA TRADUCTION i ET LES REMARQUES, DE MADAME 1M 01m, TOME PREMIER. -.(.--n-. v - Aux parus DE GASPAR Fxrrscuu . MDCCXVII. ri AVEC PRIVILEGE. v A I K12 rîtes mæ-rw A , î x L Hàrvaréitslïégeiübrary I Eowie Cabochon ’’Mrs. il E. D. Bandage I ’l’lov. 9, 1908 l I . (préf) . ...-.r....v. F... 4.. u.x .m:- au.4. x1! a. un ’TRIVTLEGIE E sunna; un HOLLAND mon WEST; VRIESLAND dom le water»: Alfqo Ons ver- toond i: , by Caftan: me!» Boekvcrkoopex van Rot, tctdam , du hy Sunna; mais! hebbendc la amodies. ùTemm Min ùîrafoà,rù la TMdlaùn (rough; mua." à M44. Dahl, avec du Hum, in 06341»a bedug: vus, da: attige quaadwillife menfchcn hem Sunna!!! havoouocndq Bock w: momumadmk. km, ne: des Supyüanu zeuzstoole (chaude, 31:00 du: am ne: liman haha hadde gcdaan ; aux, kurde hy ampli»: 153 le: ION S. vexmek’mdc. (la: be: ONSE goule gelieftc zy. ont du gnan". kclydœ [chulo mon le komen. hem Supplianne ver... kana Oâroy vont du: ryd van vyûîçn callan de Juan, on: in dieu Iyd , lm vomgcmclde Bock, tu Candie: de hmm, Latin à Frflpù.dçî l’initiale; 0 avec du 3mm: du MMDm’çr, au: figura, in modanig Formant en Tale , als hy Stimulant ml goedv’mdcn in du: Lucien alleu to mosan dmkcn, don datcha en W51, me: înmdiâie au alle ancien, on het marra. Bock in ’: gched, onc: docte . ma te dkaen, ofledders nangedruckr zyndc. in du: Landen in «brugenof. me VelkOOpcn , op page vanConfifcauie un; au; m, danigc Exemplaarcn , Ils by hua Contraventçlusgul, leu wudcn gcvonden . en de «rhum van. gansant. me van mie Doyzcnd Guldcm, du: wckke çuilà. cade du: Sup liant nllœnlyck «rhodiage va. con, merckdycke bade made miauler: ZOO 181,. du! Wy de Zaeck: and: ’z Vulcain molli. avenu merda: hcbbende, and: gamases: mufle le: bade un dan suppliant uyt Onze regs: Weœnfçhnpdom. vçxaine Mas: ende mmda fabcnSuppliaas. sa: , gamme: and: gamma heb- en a Manteau: , «contenu «de camperez han. au" «un, du hy agadumdc du: t d van "fuel: «la agremnvolgcn e Juan hot Bock semant: La (malin de Tmm. Latin (v Franflù, à la TIadlBiæcvau tu Remarque: de Mal. Dada, au: figura , in 08m , bizuta den voufz. Outil Lande alleu: ml mon imites. du: (hucha. langeaient ende velkoopen; valident daman al- len cade en icgclykea, la une Bock in’l sellât! . a a 0 c ofte deèl, te «lynchent tu? (Ç anches, te doen un examen, te Verhandelcn .’ (me plexkbopen. ofie el- ders naagcdmckt , binhe’n don zelven Onfen La ne le brengen, uyx te geeveu’ofre te Verhandelen e de vexkoopeu , op de vexbeufle van au: de naagedmék- le. ingebragle’ verhandclde où: VelknglcExcmpla- un , ende sen-Botte vau Brie Duyzeud Guldcns du: en’boven te verbeuren , te nppliceeren een demie par: foot tien onde: die de «lange dgeu zal, een darde par: vous Ideu Armeu de: Platane du: het Catin voomHeu zal’, ende het refiçereude (inde pan voo: de): ’Suppliaut, cude dit t’elckcus. zoo menigmaal ais dezelve zullen werdeh agterhaalt 5 Ailes in dieu «renauda: WÏ (leu Suppllaut met dezen enfeu Garoye alleeu wil enfle gratificeeren m: verhocdin e van zyne lehade, dont hot uaadmckeu van het vooy z. Bock, du: doc! in genigeu ideele verflaan deu in- houden vau dieu te amhmifeeren, 0er readv’ouexe’n, eude veel min het zelve onde! Onfe proreêie eude in- l Tchermîuge eenî g (merder Credit , Aaanzien , ofte Re- pomÎe le invar, ucmaar (leu Suppliantiin cas daar moeienou ehooxlykxzoudeîufluereu, aile het zelve lot zyueu lafie ml gchoudeuwezen le verautwooxden , me dieu eynde wel expreflelycltbeveelende, dm . by aldien hy Jeun Onlèn O&toye. voor ha zelve Bock :21 willeu fiellen . du" van geeu geabbrevieerde ofte geconuaheerde menti: zal mogen maacken . neume: houden Man het zelve omoy in ’z gcheel ende zon- er eenige omiflÎe daar voor te dmcken , ende , dat hy* gehooden zal zyn een Exemplâax van hot veorfz. Bock r bondeu en-wel ecouditioueen te brengen in de Bis liorheeckvau On e Univerfiteynor Leyden,cnde du: vau behoorlyk le doen b1 cken sAlles op poenevan ber défi vau dieu te verlie en. Ende ren eynde den Suppl. 11mn Onfen Canfenre ende Oûroye mage genicten, als un: behooren , Lafien Wy alleu en’de eeu yegelyc. heu dit ’t aangaan mag , da! fy den Suppl. vau den iu- houde van dezen doen , laaren ende gedo en mflelyk , nedelyk ende volkomentlyk geuieten en c gebruyken, eefletende alle belexh tercouturie. Gedaau in den liage onde: mon Grooteu Segelc hier aan dom baugea op (leur meeæutwintigfleu September, in ’x Jaar Oufer Heexen ende Sali gmalken feveutieu bonder: feflien. A. HEINSlUS. vt. Ter ardonmvm’e ou de 8mm I SIMON VAN BEAUMONT. PRÉFACE. Il je E U xïqui ont vû les 10mn; ges que j’ai données à FLA une: dans la Préà v - 749 face ne j’ai faire fur cet Auteur , 8C qui verront Celles que je vais donner à TERENCEL m’accuferon’t eut-être d’être tom- bée dans le défaut des faifeurs de Pa- negyriques. t Mais pour peu’qu’on veuille lire ces deux Préfaces avec application , j’efpere. qu’on ne me fera pas ce reproche, J 8C .qu’o’nl ent- trera dans des fentitnenstpeu dich rcns des miens. I -’ ï l l Il cit certain qu’il n’y airionïîdc plus difficile que cette el’péce de cri.- tique ui comme à ju et des hom- mes, gc à fairelïvoir es avantages qu’ils ont les uns fur les" autres. Ilïy a tant d’égards à. obferver , I tant de rapports à uuir’,”’taut de difl’erences àpefers que c’efi fine cho’fclptèefque Infime; 8c il fcmble que pour s’en ’ a 3 bien w PRÉFACE bien aquiter il faudroit avoir un ef- prit fuperieur’ à deux dont on juge, commesil cit necellhire que la main ui fe fert d’une balance (oit plus otte que les choiesqu’elle veut pe- fer. Cela étant, on ne doit pas at- tendre dc moi une comparaifon exac- te 8C achevée de TERENCE 8C de PLA U T E; tout ce que je puis faire , c’elt d’examiner en général les avantages fenfibles qu’ils ont cha- cun en articulier, - 1 J’ai it que P L A U T n avoit plus d’efprit ne T E n E NC a , 8K: qu’il étoit au ell’us de lui par la vivacité A de l’aétion, 8c par le nœud des in- trigues 3 8: enfin qu’il fait plus agir que fparler; au lieu que TE R E N- c E» 1t plus arler qu’agir, C’elt ce que les pus zelez partifans de .T E R E N c E ne fautoient contef- ter 5- 8C s’il y en avoit qui ne vou- lulTent as tomber d’accord d’une Vérité 1 claire, il n’y auroit pour les Convaincre qu’à faire jouer une Pie- ,. ce de PLAUTE, 8C une de’TE- n en c n , je fuis, perfuadée que v I ’ ’ 7 a l’une PRE.F.ACE. une l’une attacheroit. lus que l’autre, 8: fur rendroit toujours davantage ’ lei - atour ar la .nouveautéêt par la variété de es incidens. Voila les grandes qualitez qu’on ne [auroit difputcr à P L A U T E. Mais com- me les hommes ne lavent donner or- dinairement que des louanges exclu- fives, ils croyent que quand on don- ne à quelqu’un l’avantage enquelquc chofe, on le préfère en tout. C’efl: un préjugé fort injufie 3 chacun a fes vertus 5 8c comme il n’y a rien de plus valle que laPoëfie en éné- ral, 8C en particulier que la oëfie Dramatique; il n’y’ a rien aufli. où; les hommes a eut des talons plus dia vers, 8C" où il; réüfliïmt plus difi’e-J remment. Les uns manient’bi’én’unv fujet, 8c lavent nouer et dénouer une intrigue. Les antres excellent à repréfenter les pallions. Celui-lent fait ne peindre les mœurs,’ -celui-’ là réunit à certains enfleras, 8c. cit malheureux en d’autres. Enun mot il encfidu Théatre comme de la Pein-- . turc ,voùvhsum’fontbons pour l’or- ’ a 4. don- vu: P’R ERAC-E. donnanCC, les autres our les atti- tudes; celui-ci pour Ë coloris, 86 celui-là pour la. eauté des figures; TERENCE ’elli châtié dans fa compofition, 8C Page dans lacon- duite de les fujets.» Verltablement il n’a pas cette viVacité d’aé’tion,’&: cette varieté d’incidens qui enfla- ment la curiofité , 8C-qui jettent l’efprit dans l’impatience de lavoir de quelle maniere le fera le dénoûe-* ment. Mais il donne des plailirs plus fréquens 8C plus fenfibles: s’il ’ ne fait as attendre avec impatience la fin es avanturcs , il ’y conduit d’u- ne .maniere qui nelailTe rien à defi- rem, parceque rl’efprit 8C le cœur, font. toujours wégalement fatisfaits , 5C. qu’à chaque Scene , ou pour mieux’ dire, à’chaque Vers on trouve des chofes qui enchantent 8C que l’on ne peut quitter. On pourroit com-* parer P L A U T E -*à ces Romans qui gît des chemins louvent ennuyeux defagréables , menent quelquefois ’ ’ dans des lieux enchantez, où tous les fëns’font ravis.. Mais on peut di- . .z. re PRÉFACE.