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SIMPLES REFLEXIONS Sur Le Principe De L’Égalité Sur Le Dogme Nouveau M

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SIMPLES REFLEXIONS Sur Le Principe De L’Égalité Sur Le Dogme Nouveau M Ofr. 2 5 1 9 3 2 ADMINISTRATION ET RÉDACTION AV. 36 e Année. — N° 14 .6S7 IB. R n du Pact. CLERMONT-FERRAND Télépboo« : 1.53, B.B4 LUNDI Adi. tâdrapbqiM : AVENIR.CLERMONT BAULKS DK OÉPÉCHES 3 1 4. HUE SLA TIN. CLEEMONT-Fd Tltepfe. 8.4« OCTOBRE ABONNEMENTS ^ EBsÉs ^ noit I m PUY-DE-DOME - ALLIER AVEYRON - CORRÈZE La Publicité est reçue dans no* BUREAUX, P»y-de- D6«e et Dép. fiait 22 40 75 CANTAL • HAUTE-LOIRE ]DU PLATEAU CENTRAL CREUSE . LOIRE - LOZÈRE 15, rue du Port,et à l’AGENCE HAVAS, Autres Département* .... 25 4 5 80 4 2 , s t . des ÉteU-Unia, Clermont-F errand Euaafet (port en plus). La Publicité extra-régionale A l’ Agence Haras, QUATRE ÉDITIONS QUOTIDIENNES en M a u r ic e Directrice : M~ A. DUMONT Rédacteur chef: VALLET 62, rue de Richelieu, Paris. COMPTE COURANT POSTAL 8 9 » P rtm iè rt : ALLIER. CREUSE, LOIRE - O tuxitsM HAUTE-LOIRE, CARTAL. LOZERE. AVEYROR Troisième : PUY-DE-DOME. CREUSE. CORREK LOME - Quatrième CLERMONT et Banlieue JL m UN ACCORD AVEC LA FRANCE An Bnrean International dn Trava? ! LA JOURNÉE M. Herriot expose sa politique à Poitiers SIMPLES REFLEXIONS sur le principe de l’égalité sur le dogme nouveau M. Herriot, après avoir prononcé undes droits ne peut être impossible Parlant des compressions budgétaires prévues dans 1e projet gouver­ de l’égalité militaire discours politique à Poitiers, est parti déclare le chancelier Von Papen pour l'Espagne. nemental, le Président du Conseil déclare : « Nous ne toucherons Il n ’en est pas, pour un historien de Buenos-Aires, 30 octobre. pas à notre sécurité actuelle tant qu’elle n’aura pas été remplacée et plus inintelligent et de moins équitable. Le mauvais temps sévit un peu par­ Deux nations n’ont ni la même superficie, tout en France. On signale des inonda­ La « Nacion » publie une interview que le chancelier Von Papon a accordé au cor­ même accrue par des garanties nouvei.es. » ni la même population. Egalité militaire ? tions. respondant de la « Nacion » pour l’Europe, Des Etats sont couverts par des frontières M. Ontiz Echague. le» unes naturelles et fermées, les autres M. le Président de la République a Après avoir déclaré qu’une politique de Poitiers, 30 octobre. à la fraude ? Notre devoir n’est-il pas de pro­ artificielles et à claires-voies. Egalité mili­ téger le bon contribuable contre celui qui taire ? Un peuple est campé au travers présidé la cérémonie de la remise de la rapprochement franco-allemande doit être Poitiers a fait aujourd’hui au président le charge par sa défaillance ? Nous voulons d’une route séculaire des invasions humai­ croix de guerre à l’Ecole des Arts et Mé­le pivo-t de la paix mondiale, le chancelier, du Conseil un chaleureux accueil. éviter de nouveaux impôts, mais n’est-il pas nes, et l’autre enfermé dans une île hermé­ tiers de Paris. répondant aux questions du correspon­ Parti de la gare d’Orsay hier soir, A légitime, par exemple, de réajuster la taxa­ dant, a déclaré, au sujet de la situation 23 h. 30, le train présidentiel est arrivé en tion des véhicules lourds 7 Nous avons pro­ tique. Egalité militaire ? nationale : gare de Poitiers ce matin, à 6 heures. Le mis aussi d’éviter le plus possible le recours Un Empire est colonial et le voisin est « Les inquiétudes de la France, relative­ à l’emprunt. Mais peut-on nous demander de continental. Egalité militaire ? wagon-salon a été dirigé sur une voie de prendre â la charge d’un budget si éprouve ment à la préparation militaire allemande garage, ainsi que M. Herriot en avait ex­ Pareil nivellement et semblable abstrac­ ne sont pas fondées. L’opinion française certaines dépenses de premier établissement, tion no sont concevables, que si tous les primé le désir. par exemple pour des routes et des ports, Etats d’Europe étaient incorporés dans une interprête mal les aspirations de la jeunes­ Le chef du Gouvernement apparaît â pour l’électrilication des campagnes 7 se allemande, dont les associations équiva­ 9 heures 5 à la portière de son wagon, 11 Même en agissant ainsi nous serons ame­ organisation fédérale et contrôlée par une lent à l’American Legion aux Etats-Unis et est reçu sur le quai de la gare par M. Baf- nés à demander certains sacrifices pour as­ autorité supérieure. M. Herriot parle bien, mais il parle trop. aux associations d’anciens combattants frey, prefet de la Vienne, et par les auto­ surer l’égalité de tous devant l’effort néces­ français en France. saire, principe essentiel pour des démocra­ Ces deux choses ne sont pas incompatibles. rités civiles et militaires du département. Or, cette conception juridique de la vie » Considérez-vous comme possible, étant tes. La fonction gouvernementale s'accommo­ A 9 h. 30, le président du Conseil se rend APEL AU GIVISME internationale et cette limitation des liber­ donné l’état actuel des relations interna­ au Monument aux Morts et dépose au jpied derait parfois de quelque silence, spéciale­ r DES FONCTIONNAIRES tés nationales, la Grande-Bretagne, qu’elle M. Atul CHATTERJEE tionales. une entente franco-allemande ? de la statue élevée a la gloire des soluait» soit gouvernée par des travaillistes, des ment à une heure où, pour remplir tout« Je la tiens pour possible et désirable. Nous saurons, de toute façon, protéger le président du BjI.T. pour l’année 1932*1832 poitevins de la Grande Guerre une magni-1 salaire minimum, le salaire vital. Notre pro­ radicaux ou des unionistes, les repousse son rôle, elle doit se libérer le plus possi­Je ne puis croire que la nation française, fique gerbe de fleurs cravatée aux couleurs jet actuel exonère les traitements jusqu’à avec la tenace méfiance d'un empirisme ble de tout ce qui paraît ienchaîner à laqui proclama les droits de l’homme, puis­ nationales. Une minute de silence est ob­ 10.000 fr. et ne demande rien aux indemni­ insulaire. tyrannie des partis. se s’obstiner à refuser à l’Allemagne l’éga­ servée et le cortège se reforme pour ga­ tés pour charges de famille. Un chef de Gouvernement qui rencontre Gouvernement et opinion ne se rallient UN AVION POSTAL ALLEMAND M. Herriot, en route pour l’Espagne, lité des droits Un accord avec la France gner l’Hôtel de Ville où la municipalité néanmoins, par une contradiction et avec sur ce principe si élémentaine ne peut être offre un vin d’honneur au président du des difficultés comme celles que j’aborde, s'est arrêté à Poitiers, afin, nous disent les une imprévoyance qui leur sont coutu- impossible. » n’a-t-il pas le droit de faire appel au civisme TOMBE PANS U MANCHE agences, de présider le banquet organisé Conseil. de tous ceux qui comprennent l’étendue et mières, à cet axiome de l’égalité militaire, pour fêter l’élection de M. Hulin comme M- Morain, maire de Poitiers, salue le la nécessité du devoir imposé à tous ? Ces sur lequel les géomètres du Rhin comptent, chef du Gouernement. mesures soulèvent, évidemment, des criti­ député de la Vienne. Bien entendu, il y de déduction en déduction, pour briser la On est sans nouvelles des aviateurs U N E F Ê T E M. Herriot remercie le maire de Poitiers ques. Je suis le premier à m’en rendre parla. compte. prétendue supériorité de la France victo­ Londres, 30 octobre. des paroles élogieuses qu’il a adressées à rieuse et pour rompre l’armature juridique Le moins qn’on puisse dire de cette des Tambours français sa personne : « Mais, dit-il, ma personne IL FAUT METTRE DE L'ORDRE de l’Europe versuillaise. L’avion postal allemand du service Croy- visite et de cette éloquence est qu’elles ne ne compte pas : l’ambition d’un homme DANS LA MAISON Pourquoi et comment le peuple le plus don-Cologne-Berlin, qui avait quitté Croy­ s'imposaient pas. Le Président du Conseil en Angleterre d’Etat doit être de s'oublier pour l’œuvre Avant d’aborder les réformes, il faut mettre aristocratique dans son organisation so­ don samedi, à 20 h. 45, avait envoyé à eût mieux fait de se satisfaire de la majo­ commune et collective. Notre Gouverne­ de l’ordre dans la maison. Je vous prie, ci­ ciale et dans sa vie extérieure, le moins 21 h. 40 un signal de détrese. rité imposante qui a sanctionné son dis­ ment vient à son heure pour servir l’inté­ toyens, de ne pas prendre au sérieux ceux abstrait dans ses manières de penser et L’avion ne donnait pas sa position, mais qui se contentent de négations sans nous ap­ on croit qu’il se trouvait entre Douvres et cours de vendredi sur la politique exté­ rêt national. Pour m a part, je n ai pas porter des projets positifs. Je suis prêt à d’agir, s’est-il laissé prendre au piège d'autre souci que de mettre tous mes ef­ d’une formule égalitaire et idéologique, Déal. rieure. Les raisons qui peuvent expliquer écouter, à étudier toute suggestion raisonna­ L équipage de l’avion se composait d’un forts, tout mon travail au service de mon ble. J’ai le droit de demander, si l’on con­ dont le premier Empire du globe et la pre­ son geste ne se réfèrent à aucun degré à pilote et d’un radiotélégraphiste. pays. » teste nos projets, qu’on y oppose des propo­ mière flotte du monde, ne sauraient m an­ l'intérêt général qui, actuellement, doit Un vin d’honneur est servi, puis le cor­ sitions precises et réalisables dans les délais quer un jour, sous une forme ou sous une Londres, 30 octobre.
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