LEAGUE OF NATIONS . okmunicated to 0. 306.1932.1. „ Members 01 council. Geneva, March 4 th , 1932.

PROTECTION OF MINORITIES IN POLANT.

Petition of M. Graebe-, Deputy, concerning the right of the German

Minority in the question of put lie instruction in the Volvolie3

of Poznan and Poqicrze.

Note by the Secretary-General.

In accordance with the Council resolutions of June 27th, 15 21 aid eptemrer 5th, 19 23, the Secretary-General on August 2 9th, 1931, forwari- i to the Polish Delegation accredited to the League of Nations, for the

Nervations of the Polish Government, a letter dated Jun^ 23rd, 1331, ignei by MM. Graebe, Naumann and Utta, communicating two petitions, in ermen, French and English. These petitions deal with the educational ights of the German Minority in the Voivodies of Poznan and Pomorze,

.ni in certain other parts of , respectively.

After having obtained from the President of the Council an extension

the time limit f ix°d for the presentation of its observations, the olish Government, by a letter from its Permanent Delegation dated

-oruary 27th, 1932, forwarded to the Secretary-General its observations nM. Graebe’s petition.*

The Secretary-General has the honour to circulate, for the ini'ormn- icn of the Members of the Council, the letter from MM. Graebe, Naumann

'M TJtta, the petition from M. Graebe, and the observations of the Polish

'0'',urmnent thereon. The petition having been communicated to the

-reteriat in the form of a printed pamphlet and in a limited number of

iso, only one copy is circulated to each Member of the Council,

Tj-ke petition from M. Utta, together with the observations of the -olish Government thereon, was circulated for the information of “k® Members of the Council in C .153.1932.1. I . - LETTRE LE l'El. GR^EPE, NaLTIANN ET UTTA.

Onction V arsovie, le ?3 juin 1931.

A LA SOCIETE LES NATIONS, GENEVE.

Les soussignés ont 1’honneur de trahsmettre deux exposés

relatifs a la pénible situation scolaire de la minorité allemande

de Pologne, en priant instamment le Cnnsuil de la Société des Na­

tions de bien vouloir veiller à ce que n?tre jeunesse soit entiè­

rement assurée de recevoir, lorsqu'elle a atteint Vêge de la fré­

quentation scolaire, 1 1 enseignement dans sa langue maternelle et

la culture allemande à l r école allemande.

Il peut paraître singulier que les deux pétitions parallèles

traitent le même sujet sans cependant donner une description com­

plète de la situation de nctre Minrrité nationale allemande. Cola

provient du fait que notre Minorité hationale des diverses régions

de la Pologne doit alléguer différentes sources juridiques de pro­

tection internationale pour faire respecter les mêmes principes, c'est-à-dire 1’égalité de tous les citoyens, indépendamment de la race, de la confession et de la langue, Pour la minorité polonaise de Haute-Silésie, c’est la Convention germano-polonaise qui est applicable, c’est-à-dire un traité international bilatéral qui fixe spécialement aussi bien le droit au fend que la procédure de protec­ tion internationale. Le Conseil de la Société des Nations e fréquemment reçu des pétitions relatives à la situation sco­ laire de la minorité allemande de Haute-Silésie et elle connaît

âonc la situation de cette région. Les pétitions ci-annexées concer­ nent les fractions de la minorité allemandu de Pologne qui habitent les anciens territoires prussiens de Poznan et de Fomorze et l 'an­ cienne Pologne du Congrès, Ces deux régions bénéficient également, comme il a été dit ci-dessus, de dispositions protectrices qui con- — 2 ~

sacrent les mCmcs principes, m ais qui présentent aussi certaines

divergences accessoires sans que toutefois nous puissions admettre

que cette différence de droit pesitif autorise un traitement discri­

minatoire des deux groupes nationaux allemands. Au contraire, nous

sommes d'avis que les divers groupes de la minorité allemande de

Pologne sont également fondés à exiger le respect de leur race,

l'enseignement dans leur langue maternelle, et l'égalité de droits

-.vec tous les autres citoyens polonais et qu’ils peuvent, en tant

que membres dv la même minorité nationale d’un seal et mCmc pays,

:rétendre à un é g a l respect de leurs droits.

Notre point de vue est confirmé par l ’article 109 dv le Cons­

titution polonaise qui garantit les mêmes droits culturels à toutes

les minorités et qui doit se trouver en harmonie avec les disposi­

tions du Traité de protection précité en vertu du Préambule eu traité

signé entre les Puissances alliées et associées le 28 juin 1919.

Afin de ne pus cc répliquer davantage cet aperçu des nombreuses particularités locales et juridiques, on n'a pus compris dans les

exposés des deux pétitions Certains territoires secondaires qui comp­ tent des éléments de la rainerité allemande. Il convient de mentionner

que la situation scolaire de la minorité allemande de G-alicie n'est

ns aussi défavorable, encore cu'on puisse formuler des réclamations

justifiées, notamment au sujet de la fraction catholique de la mino­

rité allemande de cette région.

En Poznan .t en lomcrzc, les tendances à la dénationalisation,

i'ns le domaine culturel, ont d’aberd été effacés par toutes les me­

sures visant à expulser entièrement du pays la minorité allemande et

1 lui enlever le plus possible ses possibilités d’existence. Bans

- -ncienne Pologne russe, toutes les me sures dirigées, dès le début,

entre la minorité allemande visaient essentiellement à détruire nr-

Vle culturelle prepre, notamment dans le domaine sc o la ire .

Les deux pétitions ci-jointes apportent une documentation aTecn-

nte qui montre 1 ’ ad m in istratio n au service d’une p o litiq u e fa ta le - 3 - n. dégermanisation. Il nous semble intolérable et contraire à l ’es- trit du Traité de protection des minorités que l ’administration use

tous les pouvoirs qu'elle détient pour dénationaliser les membres di la minorité allemande. Nous ne trouvons aucune protection auprès de l'Etat morne dont nous sommes citoyens car les tribunaux natio­ naux refusent, par principe. de considérer le Traité de protection des minorités comme une source de droit interne. L’arrêt rendu lu

21 avril 1923 par la Cour supreme, toutes Chambres réunies, déclare :

"Au contraire, les normes d’un traité int rnational no constituent pas et ne peuvent constituer une source immédiate dont dériveraient les droits et obligations des citoyens polo­ nais au regard de leur propre Etut. Ces normes peuvent et doi­ vent être prises en considération pour interpréter les disposi­ tions pertinentes de la législation polonaise, mais ne peuvent ni les suppléer, ni s'y substituer, En conséquence, les citoyens de la République polonaise ne peuvent invoquer directement les dispositions du Traité de protection des minorités qui lient uniquement l'Etat polonais envers d’autres Etats, sans confé­ rer aucun droit direct à chaque citoyen individuellement."

L'arrêt de la même Cour du 18 décembre 1929, est conçu d'une maniere an alogue:

"Il n’y a pas lieu d’examiner si et dans quelle mesure l ’Etat polonais a contrevenu, en se prévalant du droit de rachat, aux engagements assumés par lui dans la Convention sur les mi­ norités. Les obligations prévues par cette Convention lient l'Etat polonais envers les Puissances qui y sont parties. Par contre, elles ne confèrent, à 1'encontre de l ’Etat polonais, aucun drojt direct aux citoyens qui appartiennent aux minorités nationales. En conséquence, les infractions à cette Convention ne peuvent être poursuivies que devant une Juridiction interna- tiohalc, mai s ne permettent pas à la Cour de considérer comme illégaux les actes de l'Etat polonais qai sont entièrement fondés en droit in te rn e ."

C’est pourquoi nous prions instamment le Conseil de la Socié­ té des Nations de bien vouloir intervenir aussitôt que possible, car il est la seule juridiction compétente pour faire appliquer, à notre

3aor à, les dispositions du Traité de protection des minorités.

Nous vous ferons parvenir ultérieurement des imprimés et traductions en langues anglaise et française.

signé : Graebe, Naumann, Utta, Député. Président du Comité Sénateur, central allemand de P ologne. - 4 -

I I . - PETITION DE i:. GRAEBE.

La pétition et ses annexes se trouvent conte­ nues dans deux brochures imprimées communiquées par le pétiticnn?: ire. Etant donné le volume de eus brochures

(26 et 121 pages respectivement, avec des tableaux gra­ phiques), il a été impossible de les incorporer dans ce docioment et e lle s sont communiquées séparément aux Mem­ bres du Conseil. I I I . CES EH VATI PI'S DU GOUVI'RIJ S.: EST r CLOUAIS.

égation polonaise auprès de la iété des Mstio n s . Genève, le 27 fé v rie r 1 9 3 2 .

konsieur le Secrétaire Général,

Par ne lettre en date du 20 janvier 1932 Ho 24C/32

j’ai eu 1’honneur de vous faire parvenir les observations du

Gouvernement polonais relatives à une pétition émanant de

il. lTtta et ayant trait au droit de la minorité allemande en

matière d’instruction publique dans certaines parties de la

Pologne. ^ ’ J ’ai maintenant l'honneur de vous adresser ci-après

les observations de mon Gouvernement relatives à une pétition

de 1". Graebe concernant le même sujet, et visant spécialement

les voievodies de Poznan et de Pomorze.

Le Gouvernement polonais croit opportun d'exprimer

encore une fois ses réserves au sujet du droit que s'arroge le

pétitionnaire de soumettre les pétitions au nom de l 'ensemble de

la minorité allemande en Pologne. Le Gouvernement polonais se

rend compte q u 'i l est p a rfo is assez d i f f i c i l e d ’imposer aux pé­

titionnaires (qui transmettent leurs exposés à titre de simples

informations ) un langage strictement conforme à l'esprit et à

la lettre des Traités pour la protection des minorités ainsi que

des règles de procédure adoptées dans ce domaine. Il estime

pourtant indispensable que les écarts ainsi tolérés n’aient

point pour effet de vicier le fonctionnement des règles de la

Procédure par l'interprétation extensive des textes sur lesquels

fclles sont b asées.

En abordant le fond de la pétition de M. Graebe, le

Gouvernement polonais tient à déclarer qu’aussi bien la

institution polonaise que le Traité pour lyprotection des

’1) Voir doc. C, 153.1952.1 (Note du Secrétaire général). - 6 -

minorités (et notamment l ’article 9 de oe Traité, qui s'applique

plus particulièrement aux questions faisant l'objet du le péti­

tion) sont basés sur l régalité des droits de tous les citoyens

polonais sans différence du reco, ce l e ngue ou de relig io n . Le

Gouvernement polonais ne saurait un aucun cas admettre une situa­

tion privilégiée pour certains groupes de 32 population; il n’y

est, d’ailleurs, nullement tenu. Une part prépondérante du la

m inorité elle-meme ne réclame pas de privilèges d’aucune sorte.

Ce n’est qu’un petit nombre de personnes qui s ’arrogent le titre

de parler au nom de la minorité tout entière et qui, toujours

mécontentes, formulent des prétentions irréalisables.

Cette attitude est foncièrement nuisible aux intérêts

fondamentaux de la m in o rité car e l l e s ’attaque aux bases même

aussi bien morales que juridiques des principes reconnus dtns le

domaine de la protection des minorités. Les Traités prévoient

la protection des d ro its lég itim es des m in o rités, me. is non pas la

protection des prétentions injustifiées d’un certain nombre de-

personnes au sein d’un Etat, personnes dont l ’activité dissolvante

n’a d’eutre but que d’empecher la collaboration de tous lus

citoyens.

Fermement décidé à remplir ses devoirs envers les citoyens

polonais appartenant à la minorité allemande, le Gouvernement

polonais exprime la conviction et l ’espoir que cette activité

néfaste ne ti ràera pas à cesser pour le plus grand bien des popu­

lations intéressées, de leurs relations mutuelles qu’elle s’efforce

Il n’est pas sans intérêt de remarquer qu’en m&tière d’en­

seignement secondaire, le Gouvernement polonais n’est pas tenu,

â-'Eprès les dispositions de l ’art. 9 du Traité pour la protection

i6s minorités, d’accorder des ’’facilités appropriées pour assurer l’enseignement de la minorité”. Le même article stipule la création d'écoles primaires dans les districts où réside une "proportion

considérable" de ressortissants polon&is de langue autre que la

langue polonaise. Il est évident. qu'il s ’agit non pas dTun

nombre déterminé drenfants, mais du pourcent de la population

minoritaire par rapport à la population totale des districts.

Si le Gouvernement polonais se laisse it guider uniquement par

une interprétation rigoureuse des textes, "une proportion

considérable" d’écoles existantes se trouverait supprimée de

ce fait. La législation interne, par contre, indépendamment

du texte ci-dessus, tient plus largement compte des besoins

de la minorité en matière dT enseignement.

La base juridique de l ’organisation scolaire de la minorité allemande dans les voievodies mentionnées par le pétition se trouve dans le Décret Roi du 10.III.1920 qui pose

comme disposition fond? mentait, le principe qu’elle "doit assurer 1 ’éducation fondamentale polonaise aux enfants polonais et la même éducation allemande aux enfants allemands" ( de citoye- neté polonaise).

L ' enseignement public primaire est réglé selon les principes suivants :

1) Le nombre de 40 enfants de parents habitant une commune est suffisant pour la création ou le maintien d'une

école publique allemande. Elle ne sera supprimée que si le nombre des enfants descend en-dessous de ce chiffre au'moins pendant deux années consécutives.

2) Dens le cê-s où une école allerir nde s e ra it fermée dons les conditions prévues ci-dessus, les enfants sont trans­ férés dans les écoles allemandes les plus proches et ne sont envoyés à l ’école polonaise qu’à défaut de celle-là. - 8 -

3) Les in s titu te u r s 3 ont nommés, révoqués ut transférés

dans les conditions prévues pour 11 ensemble dus instituteurs

par la loi y relative (du 1.VII. 1926). La quc.si-totalité

des directeurs ( 87 sur 90) ut des instituteurs (158 sur 159)

qui dirigent et enseignent duns les écoles prime ires alle­

mandes sont de n a tio n a lité allemande.

Le Gouvernement polonais estime opportun de donner £es

précisions suivantes sur les questions susmentionnées :

1. Le chiffre de 40 enfants est admis pour tout le

territoire polonais, il ne peut donc être question de créer

un privilège pour une catégorie d’enfants (ce qui relèverait

en outre sensiblement les fr&is d’entretien d-, s écoles à un moment où tous les efforts sont orientes vers des économies parfois bien sévères).

2. Dans un certain nombre de c?s (district de Koscier-

zyna, We.jcherow, D zialdcw o, e tc ) , le M inistre de l 'I n s tr u c ­ tion publique a usé de sa fL culte dt maintenir des écoles allemandes avec un nombre d’enfants inférieur à 40. Vu les considérations exposées ci-dessus, il ne peut s'agir pourtant d’une règle générale, mais d'un nombre de cas assez restreint.

3. Il est certain que les conditions d’avancement et du transfert d.s instituteurs doivent être les mêmes pour tous les fonctionnaires publics sms distinction de race ou de lan­ gue . Il ne peut donc être question dt soustraire certains instituteurs dans une mesure plus eu moins grande à l'autorité des organes scolaires compétents.

4. Les revendications du pé titicnnaire tendant à la création d'un réseau scolcire spécial, placé sous un contrôle spécial et fonctionnant d’après les règles particulières ne - 9 - sont justifiées à aucun point de vue; elles seraient incom­ patibles avec le principe de l ’égalité de traitement prévu par la Constitution polonaise et le Traité pour la protection des minorités. Les conditions actuelles rendent impossible l ’éta­ blissement d’un système coûteux dont le besoin ne se fait point sentir. L’attitude des autorités scolaires envers l'en- seigiiement privé allemand est aussi bienveillante qu’en ce qui concerne l ’enseignement public. Les autorités doivent veiller, bion entendu, à la stricte observation des disposi­ tions légales en vigueur (conditions pour- lcsbnt iments sco­ laires, pour 1’exercice de la profession d’instituteurs,etc) et appliquées à l ’ensemble de l ’organisation scolaire en lo- logne sur toute l ’étendue du territoire polonais.

Une école secondaire (gymnase) qui compte 243 élèves est en treten u e par l ’E ta t à T.orun,

En outre, 1C11 enfants allemands d’une autre citoyenne­ té que polonaise sont admis à fréquenter les écoles primaires allemandes publiques ou privées sans que l ’obligation sco­ laire, bien entendu, leur soit appliquée.

L1 aide-mémoire ci-annexé contient des données précises qui permettent de se rendre compte de l ’état de fait dans le domaine du fonctionnement de l'organisation scolaire, aussi bien publique que privée,

(s) Th. GWIAZBOWSKI,

Chargé d'affaires p. i.

1 annexe. - m -

AIDE-MEMO IRE.

Sur les 35.CGC enfants allemands d'âge scolaire sur le terri­ toire des voievodies de Poznan et de Fomorze, il n'y a guère que

3 .CGC enfants auxquels leur langue n'est pas enseignée. Le reste bénéficie de Venseignement de sa langue maternelle de différentes manières (année scolaire 1931/1932):

a) 14.943 enfants fréquentent les écoles primaires allemandes publiques ;

b) 5.266 enfants fréquentent les écoles primaires allemandes p riv ées ;

c) 256 enfants reçoivent 1’ enseignement à la maison de leurs parents ;

d) 11.773 enfants recevaient une éducation allemande partielle (écries bilingues, langue allemande, enseignement religieux).

Le Gouvernement polonais tient à faire nbsurver que les trois mille enfants allemands qui ne peuvent apprendre 1'allemand se trouvent dans cette situation pour des raisons tout à fait indé­ pendantes de la bonne volonté des autorités scolaires. Deux mille enfants de c e tte catég o rie dans la voievoaie de I-oznan æ nt rép ar­ tis entre 460 écoles primaires, ce qui démontre clairement les difficultés et les dépenses que nécessiterait 1'organisation pour eux d'un enseignement spécial.

En ce qui concerne 1 'enseignement privé, il peut être carac­ térisé par le fait que 5.266 enfants allemands fréquentaient 114

éooles primaires privées.

Il faut noter que sur le nombre de 114 écoles, 4C écoles se trouvent logées dans ri. s bâtiments publics loués à cet effet à des conditions avantageuses. Un nombre considérable de bâtiments scolai­ res est mis gratuitement (du consentement des autorités scolaires)

à la disposition de l 1 enseignement privé allemand (Myslivd.cc, - 1 1 -

Jaworze, Stanislavski, Labfdi, Ostrtiw, Plewno, Krupocin, Topolno etc»).

Cela suffit pour dénontrer la prétendue ,Tmalveillance fï des autorités scolaires à l'égard de l'enseignement allemand,

Si les autorités s ’opposent parfois à la création d'écoles primaires privées, elles ne le font que pour des raisons de fait purement Objectives (logement, hygiène pu­ blique, concurrence faite à une école publique allemande existant dans la même localité). Eingabe des Sejmabgeordneten Kurt Graebe, (), an den Hohen Volkerbundsrat betreffend Wabrung der Rechte der Deutschen Minder- heit in denWojwodien (Poznan) u.Thorn (Torun) auf dem Gebiete des Schulwesens.

Pétition du Député de la Sejm Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), adressée au Haut Conseil de la Société des Nations pour garantir les droits de la mino­ rité allemande dans le domaine de l ’instruction publique des Voivodies de Posen (Poznan) et de Tliorn (Torun).

Petition by Sejm deputy Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), to the Supreme Council of the League of Nations con­ cerning the educational rights of the German minority in the Voivodeships of Posen (Poznan) and Thorn (Torun). I n h a 11.

Deutscher Text...... 1— 9 Franzôsischer T e x t ...... 11— 18 Englischer T e x t ...... 19—26 Anlagen: siehe Sonderheft.

Contenu.

Texte allem and...... 1— 9 Texte fr a n ç a is ...... 11— 18 Texte a n glais...... 19—26 Pièces annexées: voir pièce spéciale.

Contents.

German t e x t ...... 1— 9 French text ...... 11— 18 English t e x t ...... 19—26 Supplements : see special inclosure. Eingabe des Sejmabgeordneten Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), an den Hohen Volkerbundsrat betrefFend Wahrung der Rechte der Deutschen Minder- heitin denWojwodien Posen (Poznan) u.Thorn (Torun) auf dem Gebiete des Schulwesens.

Bydgoszcz (Bromberg), den 23. Juni 1931. ni. 20 stycznia 20 Nr. 37.

An den Hohen Volkerbundsrat G e n f.

I. Das deutsche Schulwesen im ehemals preuBischen Gebiete Posen-Pommerellens zeigt infolge der staatlichen MaBnahmen eine so erschreckende Abwartsbewegung, daB die deutsche Minderheit gezwungen ist, eine Entscheidnng des Hohen Vôlkerbundsrats dariiber zu erbitten, ob sich die MaBnahmen der polnischen Regierung auf kulturellern Gebiete im Einklang mit dem Minderheitenschutzvertrage befinden. Der beherrschende Leitsatz des Minderheitenschutzvertrages besagt doch wohl, daB der fremdstammige Burger des polnischen Staat es dem Angehôrigen des staatsführenden Volkes grund- sâtzlich gleichgestellt sein soil. Aus der rechtlichen Gleichstellung auf kulturellern Gebiet ergibt sich, daB, wie der Staat dem polnischen Kinde den muttersprachlichen Unterricht und die Vermittlung polnischen Kulturgutes durch die Schule sicherstellt, parallel gerichtet staatliche Leistung und staatliche Duldung dem deutschen Kinde den Unterricht in seiner Sprache und die Vermittlung deutschen Kulturgutes sichern soli. Vergeblich hat die deutsche Minderheit sich durch mehr als ein Jahrzehnt darum bemiiht, bei den Reprasentanten der Staatsgewalt die Verwirklichung ihrer Forderungen durehzusetzen. Sie hat für ihre Wünsche kein Verstândnis gefunden. Keine der seit- herigen Regierungen hat ihrer Kritik am Bestehenden und ihren Besserungsvorschlagen Gehor geschenkt. Ein von der deutschen Fraktion ausgearbeiteter Gesetzentwurf zur Sicherstellung ihres Kulturlebens, der sich eng anlehnte an ahnliche gesetzgeberische Arbeiten, die in anderen Staaten von Regierung und Parlament sanktioniert wurden, und die ohne Schadigung des Staatsinteresses zur Befriedung der Minderheiten geftihrt haben, ist schon in der Parlamentskommission zu Grabe getragen worden, gleicherzeit mit einem beachtenswerten Parallelentwurf der Polnischen Sozialistischen Partei. Für den polnischen Politiker war und ist, wie auf anderen Gebieten des ôffentlichen Lebens, so auf dem Gebiete der staatlichen Kulturpolitik das A und 0 die Entnationali- sierung des deutschen Elements, die Entdeutschung des Landes — „odniemczenie kraju“ — . Einen letzten Appell richtete der Senator Utta am 5. 3. d. J. für das Gesamt- deutschtum in Polen an die Regierung. Darauf hat der Kultusminister Czerwinski im Senat am 5. 3. 1931 erklârt, daB der ProzeB, der sich gegenwartig vollzieht, ein ProzeB der Entdeutschung der polnischen Gebiete ist. Angesichts dieser an Deutlichkeit nicht zu übertreffenden Zurückweisung des Anspruches der deutschen Minderheit auf Er- haltung ihres Volkstums muB sie den Minderheitenschutzvertrag nach seinem vollen Sinn und in allen seinen Rechtsnormen für sich in Anspruch nehmen. Der nun schon mehr als ein Jahrzehnt anhaltende Spannungszustand muB endlich einem Zustande der Entspannung weichen, der Zustand der Ungleichlieit von einem Zustand der Gleich- berechtigung abgelôst werden.

3 II. Allgemeines. In den Wojwodien Posen und Thorn betrug die Zahl der deutschen Kinder, die eine Yolksschule besuchten, am 1. Dezember 1929 35 111. Von diesen Volksschtilern besuchten a) staatliche Volksschulen mit deutscher Unterrichtssprache 16 085, b) private deutsche Volksschulen 3208. Aile tibrigen deutschen Volksschüler, das heiBt 15 818 Kinder waren g e - notigt, Schulen mit polnischer Unterrichtssprache zu b e - suchen. Das bedeutet, daB in dies em Jahre 45,1 % aller deutschen Volksschüler die ihnen zukommende deutsche Schule e n t - behren muBten. Dieser gegenwârtige Zustand unzulânglicher Beschulung konnte nur entstehen, weil der Staat es unterlassen hat, d ie Vorschriften der Artikel 8 und 9 des Minder heitenschut z - vertrages vom 28. Juni 1919 u n d d e s Artikels 109 der polnischen Verfassung sinnvoll auszuführen. Infolge dieser Unterlassung ermangelt sowohl das offentliche Minderheitsschiilwesen wie das Privatscliulwesen der deutschen Minderheit noch heute einer gesetzlichen Grundlage, die den modernen Ideen tiber Minderheitenschutz entspricht, wie sie dem Vertrage vom 28. Juni 1919 zugrunde liegen. Auch die autonomen Minderheitsverbânde, von denen Artikel 109 der Verfassung spricht, haben bis heute liicht entstehen konnen.

in. Das offentliche Schulwesen. Die Eepublik Polen hat die Griindung und Unterhaltung offentlicher Volksschulen durch das Gesetz vom 17. Februar 1922 und die Nachtrage dazu geregelt. Sein Artikel 18 lautet: „Die Gründung und Unterhaltung von offentlichen Volksschulen für die religiôsen und nationalen Minderheiten der Eepublik regelt ein besonderes Gesetz.“ E in sole h es besonderes Scliulgesetz fiir die deutsche Minderheit ist bis her nicht erlassen worden. Die in Art. 9 des Ver­ trages vom 28. Juni 1919 ihr verheiBenen „angemessenen Erleichterungen1 ‘ sind also nicht verwirklicht. Vor ErlaB des Gesetzes vom 17. Februar 1922 waren in dem Gebiete „Schulsozietaten ‘ die Trâger des Volksschulwesens. Diese Kôrperschaften des offentlichen Rechtes umfaBten die Hausvâter eines grôBeren, von den Gemeindegrenzen unabhângigen Bezirkes. Sie waren ganz überwiegend konfessionell gegliedert. Da es Evangelische, die sich national zum Polentum bekannten, in diesem Gebiet kaum gab, bildeten die evangelischen Schul- sozietaten ein rein deutsches Schulnetz. Die zum deutschen Volk stum sich bekennenden Katholiken dagegen waren in national paritâtischen, katholischen Schulsozietâten mit den zum Polentum sich bekennenden Katholiken zusammengeschlossen. Es ware also ein Leichtes gewesen, durch Beibehaltung der evangelischen Schul­ sozietâten der deutschen Minderheit die in Art. 9 des Vertrages vom 28. Juni 1919 vorgesehenen „angemessenen Erleichterungen11 zu schaffen, um sicherzustellen, daB den Kindern dieser polnischen Staatsangehôrigen in den niederen Schulen der Unterricht in der deutschen Sprache erteilt wird. Dabei ware den Interessen der katholischen Minderheitsangehôrigen leicht dadurch Rechnung zu tragen gewesen, daB man deren Kinder aus polnisch gewordenen Schulen ausschulte und benachbarten deutschen Minderheitsschulen zuwies. Das lediglich den Bedürfnissen des Staatsvolkes Rechnung tragende Gesetz vom 17. Februar 1922 stellt in Artikel 9 Ziffer 3 als Norm auf, daB die geringste Kinderzahl eines Schulbezirkes 40 sein miisse. Für die Schulbedürfnisse der deutschen Minderheit blieb in Ermangelung des verheiBenen Minderheitenschulgesetzes die Ver- fügung vom 10. Marz 1920 über Schul- und insbesondere Sprachunterricht in Kraft. Diese bestimmt in Ziffer 4, daB eine deutschsprachige Schule oder Klasse dann zu halten

4 oder einzurichten ist, wenn in einer Gemeinde 40 schulpflichtige Kinder von E ltern v o rh a n d en sind, die in dieser Gemeinde ansâssig sind. Darin liegt eine auBerordentliche Benachteiligung, da für die Minderheit nicht wie im Gesetz vom 17. Februar 1922 für dis Staatsvolk die Erftillung der Mindestfrequenz durch Kinder ans dem S c h u 1 - b e z irk, sondern aus dem engeren Raume einer politischen Gemeinde verlangt wird. In Anwendung dieser Vorschrift lehnen die Schulbehorden die Anrechnung von Pflege- kindern auf die Mindestfrequenz ab und belegen solche Kinder als Gastschüler mit dem erhôhten Gastschulgeld. Der Herr Wojewode in Thorn hat auf eine gegen diesen Standpunkt eingelegte Beschwerde in allerjüngster Zeit erwidert, daB diese Handhabung dem Gesetz vom 17. Februar 1922 und auch dem noch in Kraft befindlichen preuBischen Gesetz vom 11. Dezember 1845 entspreche. Dabei ist hinsichtlich des preuB. Gesetzes vôlli0" tibersehen, daB der preuBische Kultusminister schon durch einen ErlaB vom 21. Januar 1882 diesen Standpunkt abgelehnt hat (Pr. Zentralblatt der Unterrichts- verwaltung 1882, Seite 432). In der Durchführung der Bestimmung, daB nur in einer Gemeinde ansâssige Schul- kinder zum Besuch der dort befindlichen Schule berechtigt sind, gehen die Behorden so weit, daB sie den Versuch der deutschen Minderheit, deutsche Schulkinder aus Ge meinden ohne deutschsprachige Schulen in Nachbargemeinden unterzubringen, um dort die Mindestzahl von 40 Kindern zu halten, als eine strafbare Handlung ansehen. Die Schulbehorden befolgen den Grundsatz, wenn die Mindestfrequenz nicht mehr vorhanden ist, die deutschen Schulen zu schlieBen, die Schulsozietâten aufzulôsen und deren Eigentum an Schulhâusern, Lehrerwohnungen, Schulland der politischen Gemeinde zu iibertragen. Die deutschen Kinder aber werden nicht etwa benachbarten deutschen Schulen zugeteilt, sondern in polnische Schulen eingewiesen. Die Schulbehorden wenden damit die Vorschriften, die den Ausbau des Schulnetzes durch Errichtung polnischer Schulen zum Ziele haben, an auf die Entscheidung tiber die Erhaltung bestehender Sozietâtsschulen der evangelischen Deutschen. S i e machen bei diesem Vorgehen nur in unzulânglichem M a B e Gebrauch von dem ausdrücklichen Vorbehalt des Artikels 8 d e s Gesetzes, der vorsieht, daB der Kultusminister Schulen gründen oder belassen kann, wenn die Mindestfrequenz von 40 Kindern nicht vorhanden ist'. Die Behorden überschreiten ferner oft die Bestimmungen, indem sie entgegen der Verfügung vom 10. Mârz 1920, Ziffer 4, eine Minderheitsschule s o f o r t auflôsen und nicht erst dann, wenn in zwei aufeinanderfolgenden Jahren die Zalil der deutschen Schulkinder stândig zurückgeht. In zahlreichen Fallen wird die Auflosung deutscher Schulen auch dann verfügt, wenn die Schulkinderzahl noch über 40 liegt. In vielen Fallen ist offensichtlich die Auflosung einer deutschen Schule erfolgt, um einer polnischen Schule eine Hoherorganisierung zu ermoglichen. Eine listenmaBige Nachweisung einer Reihe von Beispielen für derartige MaBnahmen der Behorde, die mit den Grundsâtzen des Art. 9 des Vertrages vom 28. Juni 1919 nicht vereinbar sind, liegt bei. Durch rigorose Anwendung von Bestimmungen werden selbst solche Erleichterungen nur in Ausnahmef allen g e - w a hr t, die bei sinnvoller Anwendung gegebener Môglich- keiten Harten ausgleichen kônnten ohne Schadigung der I nteressen des Staatsvolkes. Das trifft insbesondere zu auf die Errichtung von Sammelschulen für Kinder aus benachbarten Gemeinden oder Schulbezirken. Die wenigen noch bestehenden Schulen dieser Art verschwinden, je weiter die Neuordnung und Hoherorganisierung des pol­ nischen Schulwesens fortsclireitet. Eine Übersicht über die zahlenmâBige Verringerung der staatlichen Schulen und Klassen mit deutscher Unterrichtssprache gibt die beigefügte Tabelle. Sie vergleicht den Stand am 1. Dezember 1925 mit dem Stand vom 1. Dezember 1930. Von 646 Klassen mit deutscher Unterrichtssprache sind in fünf Jahren 344 aufgelôst worden, das ist mehr als die Hâlfte des gesamten Bestandes von 19251). Die Selbstândigkeit der deutschen Schulen ist so gut wie tiberall geschwunden; die deutschen Klassen sind meist in ein Schulsystem unter einem Leiter polnischen Volkstums eingeordnet.

*) Die Auflosung dieser Klassen kann nicht etwa mit der bekanntlich sehr starken Abwand-erimg des deutschen Bevôlkerungsteiles erklârt werden. Diese Bewegung hat sich in der Hauptsache in iea Jahren 1920 bis 1923 vollzogen. In den Jahren seit 1925 ist sie auf ein geringes MaB gesunken. Auf die Ernennung, Versetzung und Entfernung von L e h r e r n an den staatlichen Schulen mit deutscher Unterrichtssprache ist die deutsche Minderheit ohne Einfluô. Sie rechnet durchaus nicht aile Lehrer, die an Schulen mit deutscher Unterrichtssprache unterrichten, zur deutschen Minderheit und bringt ihnen um g0 weniger Vertrauen entgegen, je unsicherer die Stellung der oft nur einstweilen an- gestellten Lehrer ist, die natürlich in ihrer Laufbahn ganz von den vorgesetzten Dienst- stellen abhângen. Das Vertrauen in die Absichten der Schulbehôrde ist in neuester Zeit um so mehr erschüttert worden, weil seit dem 1. September 1929 in der Wojwodie Thorn viele Lehrer pommerellischer Herkunft, die sich offen zur deutschen Minderheit bekannten, aus ihrer Heimat nach Gegenden fremder Kultur an Schulen mit polnischer Unterrichtssprache y versetzt oder vorzeitig aus ihrem Lehramt in den erzwungenen Ruhestand überführt worden sind. Eine nicht vollstândige Übersicht über diese Versetzungen liegt bei. 'Çy G e g e n üb e r dieser Tendenz und Praxis der Schulbehorden / verlangt die deutsche Minderheit als angemessene Erleichte- rung, daB 1. der Staat iiberall da Schulen mit deutscher Unterrichtssprache zu errichten liât, wo eine ausreichende Zabi deutscher Kinder zusammengebracht wird unabhângig von normativen Vorschriften über die Grenzen des Schulbezirkes, 2. ihr die Môglichkeit gesichert wird, bei der Anstellung von Leitern und Lehrern für offentliche Minderheitsschulen ihre Wünsche zu âuBern, und daB diese Wünsche weitgehend berücksichtigt werden, 3. die Schulaufsicht über die offentlichen Minderheitsschulen von der über die polnischen Volksschulen getrennt und einem besonderen Aufsichtsorgan tiber- tragen wird, 4. ihr in den Organen der Schulselbstverwaltung eine ausreichende Vertretxmg- gesichert und Vorsorge getroffen wird, daB in den Angelegenheiten der Minder- heiten eine Majorisierung der Minderheitsvertreter in diesen Kôrperschaften ausgeschlossen wird, 5. Elternbeirâte aus Mitgliedern der Minderheit für jede Minderheitsschule oder Klasse gebildet werden, 6. an jeder deutschen Minderheitsschule ein eigener deutscher Leiter bestellt wird.

IV. Das Privatschulwesen. Die geringe Zabi der in Privatschulen beschulten deutschen Kinder (vgl. S. 4), die im Schuljahr 1929 nur 3208 betrug, kônnte den Eindruck erwecken, als ob die deutsche Minderheit keinen genügenden Gebrauch mâche von der Môglichkeit, auf eigene Kosten für eine ausreichende Beschulung ihrer Jugend zu sorgen. D e r wahre G r u n d ist aber, daB die Minderheit in der F r a g e des Privatschul­ wesen s „e i n e allgemein feindselige H a 1 tu n g der Behôrden 2):1 konstatieren muB, die g e g e n den aus Art. 8 des Vertrages vom 28. Juni 1919 sich ergebenden Gleichheitssatz verstôBt. Das Schulkuratorium Posen hat gegen das Privatschulwesen durch Rundschreiben vom 25. Januar 1927 Stellung genommen, in dem es von einer „unnatürlichen Aus- breitung des Privatschulwesens“ und von „verschiedenen Nebenrücksichten“ bei dessen Ausbreitung spricht. Diese gegen die Bestrebungen der deutschen Minderheit gerichtete Tendenz hat ihre Wirkungen in diesem Sinne gezeitigt, wie folgende Zahlen beweisen: Am 1. Dezember 1930 bestanden 87 private deutsche Volksschulen mit deutscher Unterrichtssprache. Von diesen wurden errichtet im Kalenderjahr 1920 ...... 9 Schulen 192 1 ...... 2 1922 ...... 2 1923 ...... 4 1924 ...... 16 1925 ...... 16

a) Urteil des Standigen Internationalen Schiedsgerichts vom 26. April 1928 (Publications de la Cour Permanente de Justice Internationale, Serie A Nr. 15, Recueil des Arrêts Nr. 12).

6 im Kalenderjahr 1926 23 Schulen 1927 1928 1 Schule 1929 4 Schulen ii « 1930 Diese Liste zeigt, wie die deutsche Minderheit in den Jahren 1924 bis 1926 den Versuch macht, die Verluste an deutschsprachigen offentlichen Schulen durch Gründung eigener privater Schulen wettzumachen, und wie dieses Bestreben seit dem Rund­ schreiben vom Januar 1927 abgedrosselt wird. Das Schulkuratorium Thorn hat eine Anordnung wie die Posener vom 25. Januar 1927 nicht verôffentlicht. Die Praxis in seinem Geschâftbereich zeigt aber, daB die Bekâmpfung des Privatschulwesens der deutschen Minderheit hier noch schârfer be- trieben wurde als im Bezirk Posen. Im Bezirk Thorn war es der Minderheit überhaupt nur môglich, bis 1925 Privatschulen genehmigt zu erhalten, und zwar im ganzen f ii n f Schulen. Seit 1925 ist keine Privatschule mehr genehmigt worden! Das Ergebnis ist, daB am 1. Dezember 1929 im Bezirk Thorn von 11577 deutschen Volksschülern 7712 oder 66,6 % in polnischen Schulen waren. Angesichts dieser Tendenz der Schulbehorden ist es kein Wunder, wenn das Gefühl der vôlligen Aussichtslosigkeit aller Antrâge, insbesondere im Bezirk Thorn, dahin gefülirt hat, daB die der deutschen Minderheit angehôrenden Eltern sich immer seltener dazu entschlieBen, überhaupt noch Antrâge anzubringen. Das wird besonders verstândlich. wenn man sich klar macht, mit welchen inquisitorischen Untersuchungen seitens der Schulbehorde Eltern zu rechnen haben, wenn sie Antrâge stellen, die diesen Behorden unerwünscht sind. Eine Sammlung von 25 Beispielen zeigt, welche Schicksale ebenso viele Antrâge der deutschen Minderheit bei den Behorden hatten — sie wurden aile abgelehnt oder nicht erledigt! Als „eine allgemein feindselige Haltung der Behorden112) empfindet die deutsche Minderheit: 1. Die Vorschrift, daB die Antrâge auf Errichtung neuer Schulen nur einmal im Jahr, am 1. Mârz, eingereicht werden diirfen. Da staatliche Schulen meist zum Ende des Schuljahres (Juni) aufgelôst werden, die neuen Schulen aber erst zum 1. Mârz des folgenden Jahres überhaupt beantragt und dann frühestens zum Beginn des neuen Schuljahres, dem 1. September des nâchsten Jahres erôffnet werden kônnen, müssen die Kinder aufgeloster Minderheitsschulen mindestens 1 Jahr lang eine polnische Schule besuchen, ehe sie in eine ihnen Ersatz bringende deutsche Privatschule überführt werden kônnen. 2. Die Verordnung des Ministers vom 26. Januar 1921, betreffend die vorlâufige Organisation der Schulbehorden im 'êhëmàlsTpreuBischen Teilgebiet, durch die Kreisschulràte als Organe der Selbstverwaltung geschaffen worden sind, denen auch die Antrâge auf Errichtung deutscher Privatschulen vorgelegt werden müssen. Da die Beschlüsse mit Stimmenmehrheit gefaBt werden und fast regelmâBig der evangelische Geistliche das einzige deutschstâmmige Mitglied ist, wird die Frage der Notwendigkeit nahezu immer verneint. Die deutsche Bevôlkerung kann einen derart zusammengesetzten Schulrat nicht als eine Vertretung anerkennen, die berufen wâre, über ihre Interessen zu urteilen. 3. Die Praxis der Wojewodschaft Thorn, grundsâtzlich die Bedürfnisfrage zu verneinen, wenn in einer am Ort befindlichen offentlichen Schule Deutsch als Unterrichtsfach mit nur 2—4 Wochenstunden gegeben wird. Welchen Wert ein derartiger Unterricht in der Muttersprache hat, beweist ein in der Anlage abgedruckter Brief eines deutschstâmmigen Kindes, das einen solchen Unter­ richt genossen hat. In welch geringem Umfange überhaupt Deutsch als Unterrichtsfach noch an polnischen Schulen gelehrt wird, zeigt die Anlage. Dabei ist zu beachten, daB auch diese Reste deutschen Unterrichts vielfach auBerhalb der Schulstunden und gegen besondere Bezahlung erteilt werden. 4. Die Tatsache, daB nicht ihr Wille zur Beschulung ihrer Kinder in einer Privat­ schule allein entscheidend ist, sondern die Rücksicht auf den Organisationsgrad der Staatsschule mit polnischer Unterrichtssprache (siehe das Rundschreiben des Kuratoriums Posen vom 25. 1. 1927 in Anlage Nr. 7). 5. Die Forderung des Nachweises eines Schulraumes, ehe entschieden oder jn Aussicht gestellt wird, ob die neue Schule überhaupt eingerichtet werden darf. 6. Die immer hâufigere Weigerung der politischen Gemeinden, die in ihr Eigentum iibergegangenen Schulhâuser an eine deutsche Privatschide zu verpachten selbst wenn diese für Zwecke der Staatsschule nicht gebraucht werden. Wir legen eine Sammlung vor, die Beispiele der Schwierigkeiten zeigt denen die Privatschulen bei der Gewinnung von Schulràumen begegnen. 7. Das Verlangen, daB jeder Lehrer, der an einer Privatschule mit deutscher Unterrichtssprache unterrichten will, den Beweis seiner polniscben Staatsbtirger- schaft zu erbringen hat (Verordnung vom 23. Juni 1924). Lehrern deutscher Staatsangehorigkeit ist der Unterricht an Sehulen in Polen verboten3). Die aus friiherer Zeit vorhandenen deutsehen Lehrer, denen nach dem tibergan» der Staatshoheit an Polen die polnische Staatsangehorigkeit nicht zuerkannt wurde, sind samtlich aus den Mittelschulen entfernt worden. Neb en der Frage der Staatsangehorigkeit gewinnt eine iimner verhàngnis- vollere Bedeutung für die deutsche Minderheit die sog. „opinja“, d. h. eine Begutachtung der Loyalitât der Lehrer durch die politischen Behôrden. Diese opinja wird geheim neben dem tiblichen polizeilichen Fiilirungszeugnis von politischen Organen abgegeben, ohne daB der Lehrer erfahrt, wer über ihn berichtet und was berichtet wird. Auf Grand derartiger Geheimberichte, gegen die es keine Verteidigung, kein Rechtsmittel gibt, wird dem Lehrer die Unterrichtserlaubnis versagt oder entzogen. Das trifft alte Lehrer und Anfanger, Manner und Frauen. Sie verlieren ihren Lehrberuf, ohne daB sie erfahren weshalb. 8. Obwohl der Staat aufs stârkste in den Betrieb der deutsehen Privatschulen, in den Lehrplan und den Lehrerbestand eingreift, ist keiner deutsehen Privat­ schule bisher das Offentlichkeitsrecht erteilt worden. Dieses Recht besitzen dagegen Privatschulen mit polnischer Unterrichtssprache in erheblicher Zahl. Der Mangel des Offentlichkeitsrechtes schlieBt die deutsehen Schüler von den Vorteilen aus, die den Schülern staatlicher oder mit Rechten begabter Privat­ schulen polnischer Unterrichtssprache gewâhrt werden (Zurtickstellung vom Militardienst bis zum abgelegten SchluBexamen, Vorrecht verbilligter Eisen- bahnfahrt). AuBer der Behebung dieser Beschwerdepunkte glaubt die deutsche Minderheit für ihr Privatschulwesen folgende Forderangen erheben zu kônnen: 1. das Recht, private Sehulen aller Art da zu errichten, wo der Staat die Be- schulung der deutsehen Kinder in der Muttersprache ablehnt, 2. das Recht, diese Sehulen von jedem Kind besuchen zu lassen, ftir das der Er- ziehungsberechtigte die Erklarung abgibt, daB es zum deutsehen Volkstum gehort und eine Schule mit deutscher Unterrichtssprache besuchen soil, ohne daB den Eltern aus solcher Erklarung ein Nachteil erwachsen darf, 3. die deutsche Unterrichtssprache in diesen Sehulen in allen Unterrichtsgegen- standen mit einziger Ausnahme des Unterrichts in der Landessprache und eine Begrenzung des Lehrstoffs in der Landessprache in diesen Sehulen nach pâdagogischen Moglichkeiten, 4. das Recht, die Leiter und Lehrer zu berufen, denen die Lehrerlaubnis nicht versagt werden darf, wenn sie den behordlichen allgemein bekanntgegebenen Anforderungen auf wissenschaftliche Befahigung und sittliche Haltung geniigen, und die nur durch ein ordentliches Verfahren aus ihrem Amte entfernt werden dürfen, bei dem dem Unterhaltstrager Gelegenheit gegeben wird, sich zu der Anklage gutachtlich zu âuBern, 5. billige Nachsicht bei den von privaten Sehulen benutzten Schulràumen, daB iiberdies Staat und Gemeinde gehalten sind, die Minderheit bei ihrem Streben durch Hergabe von Râumen zu untersttitzen,

a) Wir weisen zum Vergleich auf die grundsâtzlich andere Regelung dieser Dinge in PreuBen hin. Dort erlaubt die Ordmung zur Regelung des Schulwesens für die polnische Minderheit vom 31. Dezember 1928 die Beschaftigung von Lehrern mit polnischer Staatsangehorigkeit. Zur Zeit sind an 53 privaten polnischen Volksschulen im Geltungsbereich dieser Verordmmg von insgesamt 70 Lehrern 68 Lehrer mit polnischer Staatsangehorigkeit tâtig. 6. ein ZuschuB zu dem Unterhalt privater deutscher Schulen, da sie eine Er- gânzung der offentlichen Funktionen und Aufgaben auf dem Gebiete der Erziehung und Schulung der Jugend darstellen, 7. das Eecht, soweit erforderlich, Wanderlehrer anzustellen.

V. Deutscher Vorschlag für ein Schulnetz.

Die deutsche Minderheit hat bereits 1927 ein Projekt für ein Schulnetz ausgearbeitet, das eine befriedigende Lôsung der Frage der Beschulung der deutsehen Jugend in deutschsprachigen Schulen sicherte. Dieses unserer Regierung vorgelegte Projekt ist niemals einer Antwort gewürdigt worden. Die Auflôsung des deutsehen Schulwesens ist seit dieser Zeit planmâBig weiterbetrieben und hat zu dem heutigen Tiefstand oefiihrt. Die von unserer Regierung in der Verfassung und im Schulgesetz vom 17. Februar 1922 verheiBenen gesetzlichen Regelungen unserer Rechte stehen noch in weitem Felde. Die deutsche Minderheit hat daher als Zwischenlôsung erneut das Projekt eines Schulnetzes entworfen, das in der Anlage beigefügt ist. Würden die Schulen entstehen, die unser Vorschlag annimmt, so wiirde die Zahl der nicht ordnungsgemâB in einer deutschsprachigen Minderheits- schule beschulten Volksschulkinder von 45,1 % der Gegenwart, auf 3,2 % s ink en. Unser Vorschlag geht davon aus, daB der Staat seiner Ver- pflichtung entsprechend der deutsehen Minderheit angemessene Erleichterungen gewâhrt, indem er den offentlichen Minderheitsschiilen den Charakter als Sammelschulen gibt, die unabhângig von den Grenzen der Schulverbànde die Einschulung deutscher Schüler nach dem Willen der Erziehungsberechtigten da ermôglichen, wo nach Lage der Ver- kehrsverhâltnisse ein regelmâBiger Schulbesuch gesichert ist, und daB er sie von der rigorosen schematischen Anwendung des Prinzips der Mindestfrequenz freistellt. Das deutsche Schulwesen ist seit dem Übergang der Staatshoheit an Polen ein Triimmerfeld geworden. Nur noch 54,9 vom Hundert der deutsehen Kinder, das ist nur jedes zweite Kind, findet eine Stâtte zum Unterricht in der Muttersprache. Und auch diesen Resten droht die Auflôsung.

VI. Antrag. Erfüllt von dem Gefühl der Verantwortung für ihr hochstes Gut, ihre Jugend, und getragen von dem Vertrauen zu den Garanten ihrer Rechte, bittet die deutsche Minderheit unter Bezugnahme auf die vorstehenden Darlegungen und Forderungen den Hohen Vôlkerbundsrat, die zur Wahrung ihrer Rechte notwendigen Mafinahmen zu treffen.

gez.: G r a e b e , Abgeordneter im Sejm. Pétition du Député de la Sejm Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), adressée au Haut Conseil de la Société des Nations pour garantir les droits de la mino­ rité allemande dans le domaine de l’instruction publique des Voivodies de Posen (Poznan) et de Thorn (Torurï). Bydgoszcz (Bromberg), le 23 juin 1931. ul. 20 stycznia 20 Nr. 37.

Au

Haut Conseil de la Société des Nations,

Genève.

I. L’organisation scolaire allemande montre, en suite des mesures de l’Etat, aux territoires autrefois prussiens de la Posnanie et de la Pomérélie (Posen-Pommerellen) un déclin si effrayant que la minorité allemande se voit forcé de prier le Haut Conseil de la Société des Nations de bien vouloir décider si les mesures du Gouvernement Polonais employées au domaine culturel sont compatibles avec le traité sur la protection des minorités. L’élément fondamental du traité sur la protection des minorités est, à notre avis au moins, le fait que le citoyen polonais de langue étrangère doit, en principe, avoir la même position que les membres de la nation dominante. De cette égalité de droits au domaine culturel s’ensuit que, comme l’Etat assure à l’enfant polonais l’enseignement dans sa langue maternelle et la connaissance des biens de la civilisation polonaise par l’école, il doit assurer par un travail analogue et sous une tolérance officielle à l’enfant allemand l’enseignement dans sa propre langue et la connaissance des biens de la civilisation allemande. La minorité allemande s’est efforcé plus de dix ans en vain, à faire réaliser ses postulats par les représentants de l’autorité publique. Elle les a trouvés indociles à ses désirs. Aucun des Gouvernements pendant cette période a donné audience à sa critique de l’état actuel et à ses propositions de réforme. Un projet de loi élaboré par le groupe parlementaire allemand pour assurer la vie culturelle des Allemands, un projet Æ' qui suivit étroitement des travaux législatifs analogues sanctionnés en d’autres Etats Jz par les gouvernements et les parlements, et qui ont eu pour résultat un apaisement des minorités sans entraver les intérêts des Etats, fut déjà enterré à la commission par­ lementaire en même temps qu’un projet analogue remarquable du parti socialiste polonais. Le but unique des hommes politiques polonais était et est encore, au domaine de la politique culturelle de l’Etat comme aux autres domaines de la vie publique, la dénationalisation de l’élément allemand, la dégermanisation du pays — „odniemczenie kraju“. — Le 5 mars de cette année M. le Sénateur Utta fit, pour la totalité des Allemands en Pologne, un dernier appel au gouvernement. En y répondant le 5 mars 1931 au Sénat, le ministre des cultes et de l’instruction publique, M. Czerwinski, a déclaré que le procès d’évolution qui a lieu actuellement, est un procès de dégermanisation du territoire polonais. Vis-à-vis de ce refus du droit de la minorité allemande à la conservation de son Volkstum, — refus dont la clarté ne peut pas être dépassée, la minorité doit réclamer le traité des minorités d’après son importance entière et en ce qui concerne toutes ses maximes de droit. L’état de tension qui dure déjà plus de dix ans doit enfin être remplacé par un état de détente, l’état d’inégalité doit être suivi d’un état d’égalité de droits.

12 n. Généralités. Dans les voiévodies de Poznan (Posen) et de Torun (Thom) le nombre des enfants allemands qui fréquentaient une école primaire s’éleva le 1er décembre 1929 à 35 111. De ces élèves des écoles primaires fréquentaient /(,oZ i a) des écoles primaires publiques à langue véhiculaire allemande: 16 085, 3 2j

III. L’organisation des écoles publiques. La République Polonaise a réglé la fondation et l’entretien d’écoles primaires publiques par la loi du 17 février/et ses suppléments. Son article 18 est conçu en les termes suivants: A „La fondation et l’entretien d’écoles primaires publiques pour les minorités religieuses et nationales de la République sont réglés par une loi particulière." U n e telle loi particulière pour la minorité allemande n’a pas é t é promulguée jusqu’aujour d’h u i. Une réglementation légale, tenant compte des soulagements à demander d’après l’article 9 du traité du 28 juin 1919 par la minorité allemande en ce qui concerne les écoles primaires publiques, n'existe pas, quoique les représentants parlementaires de la minorité allemande, au cours des dernières neuf années, n’aient pas cessé de demander vivement la promulgation de cette réglementation promise. Avant la promulgation de la loi du 17 février 1922, les „Schulsozietâten“ (sociétés scolaires) étaient les représentants des écoles primaires dans le territoire en question. Ces corporations de droit public embrassaient les pères de famille d'un district de grandeur moyenne et indépendant des limites des communes. Elles étaient, en grande majorité, limitées d’après les confessions. Etant donné qu’il ny avait pas de protestants dans ce territoire qui déclaraient appartenir au peuple polonais, les sociétés scolaires protestantes formaient un réseau scolaire purement allemand. Les catholiques par contre qui déclaraient appartenir au Volkstum allemand étaient compris en des sociétés scolaires catholiques à parité nationale avec les catholiques déclarant appartenir au peuple polonais. On aurait donc pu créer facilement, en conservant les sociétés scolaires protestantes de la minorité allemande, les „soulagements appropriés11 prévus par l’article 9 du traité du 28 juin 1919, pour assurer aux enfants de ces ressortissants polonais aux écoles primaires l’enseignement dans la langue allemande. En réalisant une réglemen­ tation pareille, on aurait facilement pu tenir compte des intérêts des membres de la minorité catholique, en éloignant leurs enfants des écoles devenues polonaises et en les incorporant dans les écoles minoritaires allemandes voisines. L;i loi du 17 février 1922. qui ne tient compte que des besoins du peuple dominant, établit par son article 9, chiffre 3, la norme qu’un district scolaire doit contenir au moins 40 enfants. Faute de la loi sur les écoles minoritaires promise pour leurs besoins scolaires, le décret du 10 mars 1920 sur l’enseignement scolaire et tout particulièrement sur 1 enseignement des langues reste en vigueur. Ce décret prescrit par chiffre 4 qu’une

13 école ou classe à langue véhiculaire allemande est à conserver ou à fonder si dans une commune se trouvent 40 enfants qui sont dans l’âge de la scolarité obligatoire et de parents domiciliés dans cette commune. Cette prescription comporte un détriment extra ordinaire pour la minorité, car on ne demande pas d’elle, comme la loi du 17 février 1929 le prescrit pour la nation dominante, que le nombre indispensable d’enfants se trouve au district scolaire, mais plutôt dans le cadre plus étroit d’une commune politique En employant cette prescription, les autorités scolaires refusent de compter des enfants qui sont des pensionnaires parmi les enfants composant le nombre nécessaire pour 1- fréquentation minimum et demandent de ces enfants l’écolage élevé des „élèves étrangers1'' M. le voiévode de Torun (Thorn) a répondu tout récemment à une plainte dressée contre une telle procédure que cette manière d’agir correspond à la loi du 17 février 19?-) et à la loi prussienne du 11 décembre 1845, qui est encore en vigueur. En procédant ainsi, on a pourtant complètement négligé que, en ce qui concerne la loi prussienne le Ministre des Cultes Prussiens a déjà refusé, par un décret du 21 janvier 1882, une’ telle interprétation de la loi. (PreuJJ. Zentralblatt der Unterrichtsverwaltung 188? S. 432.) En exécutant la prescription que seulement des enfants domiciliés dans une com­ mune aient le droit de fréquenter l’école locale, les autorités vont si loin qu’elles considèrent comme action punissable toute tentative de la minorité allemande de placer des élèves allemands de communes sans école à langue véhiculaire allemande en des o, -communes voisines pour y maintenir le nombre minimum indispensable de 40 enfants. <$/ \ Les autorités scolaires suivent le principe de fermer les écoles allemandes, de dissoudre les sociétés scolaires et de céder à la commune politique leur propriété. / c’est-à-dire les maisons d’écoles, les habitations des instituteurs, les bien-fonds des sociétés, quand la fréquentation minimum n’a plus lieu. Mais les enfants allemands ne sont pas incorporés dans une école voisine allemande, mais dans des écoles polonaises. Les autorités scolaires se servent donc, en procédant ainsi, des prescriptions ten­ dant à l’agrandissement du réseau scolaire par la fondation d’écoles polonaises pour trouver des décisions contre la conservation d’écoles sociétaires existantes appartenant aux allemands protestants. E n procédant ainsi, les autorités ne se servent que d’une manière insuffisante de la réserve expresse de l’article 8 de la loi, article qui prévoit que le Ministre des cultes peut fonder ou conserver des écoles quand la fréquen­ tation minimum de 40 enfants n’existe pas. Les autorités violent en outre souvent les dispositions en procédant, en contradiction avec l’article 4 de l’arrêt du 10 mars 1920A immédiatement à la dissolution d’une école Z minoritaire, au lieu a attendre que le nombre des élèves allemands se diminue pendant deux années consécutives continuellement. En des cas nombreux, la dissolution d’écoles allemandes est aussi décrétée quand le nomber des élèves est encore au-dessus de 40. En beaucoup de cas on a décrété évidemment la dissolution d’écoles allemandes pour rendre possible l’organisation supérieure d’une école polonaise. Ci-joint une liste d’un certain nombre d’exemples d’un tel procédé des autorités qui est incompatible avec les principes de l’article 9 du traité du 28 juin 1919. E n employant rigoureusement certaines dispositions, on accorde seulement en des cas exceptionnels des soulagements qui, si on réalisait raisonnablement certaines possibilités données, pourraient adoucir des duretés sans entraver les intérêts de la nation dominante. Ce fait se voit tout particulièrement quand on considère la fondation d’écoles collectives pour des enfants de communes voisines ou de districts scolaires voisins. Les écoles peu nombreuses de ce genre qui existent encore, disparaissent d’autant plus que le groupement nouveau et l’organisation supérieure du système scolaire polonais se développe. Un tableau de la diminution numérique des écoles et classes publiques à langue véhiculaire allemande est donné par la liste ci-jointe. Ce tableau compare l’état du 1er décembre 1925 avec l’état du 1er décembre 1930. On a dissous au cours de 5 années 344 de 646 classes à langue véhiculaire allemande, c’est-à-dire plus que la moitié du nombre total en 1925 1). L’indépendance des écoles allemandes est, pour ainsi dire, disparue i) La dissolution des classes ne peut, en aucun cas, être expliquée par rémigration de la partie allemande de la population, qui, comme on sait, a été très forte. Ce mouvement d’émigration a eu lieu en première ligne pendant les années 1920—1923. Pendant les années après l’an 1925 » est tombé à un degré peu important.

14 rtout" la plupart des classes allemandes a été incorporée dans un système scolaire sous u n directeur polonais. La minorité allemande n’a pas d’influence sur la nomination, le déplace­ ment et l’écartement des instituteurs aux écoles publiques à langue éhiculaire allemande. Elle ne considère aucunément tous les instituteurs qui enseignent aux écoles à langue véhiculaire allemande comme appartenant à la minorité allem ande et met d’autant moins de confiance en eux, plus la situation de ces institu­ teurs est incertaine, étant donné qu’ils sont placés souvent seulement temporairement et dépendent en ce qui concerne leur carrière complètement de leurs autorités supérieures. La confiance en les intentions des autorités scolaires a été ébranlée tout dernière­ ment d’autant plus que depuis le 1er septembre 1929 dans la voiévodie de Torun (Thorn) beaucoup d’instituteurs d’origine pomérélienne qui ont déclaré ouvertement d’appartenir à la minorité allemande furent déplacés de leur province natale en des contrées avec une civilisation étrangère et furent attribués à des écoles à langue véhiculaire polonaise, ou qu’ils furent éloignés prématurément de leur place et mis à, une retraite forcée. Ci-joint un résumé non. complet de ces déplacements. & E n présence d’une telle pratique des autorités scolaires la minorité allemande demande comme soulagement justifié que 1. L’Etat doit fonder partout des écoles à langue véhiculaire allemande, où un nombre suffisant d’enfants allemands est rassemblé, indépendamment de prescriptions normatives concernant les limites du district scolaire, 2. lui soit assurée la possibilité d’exprimer des désirs au placement des directeurs & ^ et des instituteurs des écoles minoritaires publiques et que ces désirs soient pris sérieusement en considération, 3. que le contrôle scolaire des écoles minoritaires publiques soit séparé de celui des écoles primaires polonaises et qu’il soit conféré à un organe de contrôle particulier, 4. que soit assurée à la minorité une représentation suffisante dans les organes de l’autonomie scolaire et que des précautions soient prises afin qu’une majori- sation des représentants minoritaires dans les corporations s'occupant des affaires de la minorité soit exclue, 5. que des conseils de parents soient formés de membres de la minorité pour chaque école ou chaque classe minoritaire, G. qu’un directeur particulier allemand soit nommé pour chaque école minoritaire allemande.

IV. Le système des écoles privées. Le nombre restreint des enfants allemands fréquentant des écoles privées — nombre qui au cours de l’année scolaire de 1929 ne s’éleva qu’ à 3208 — pourrait faire naître 1 impression que la minorité allemande ne fasse pas un usage suffisant de la possibilité de pourvoir, à ses propres frais, à une instruction scolaire suffisante de sa jeunesse. Mais en réalité la minorité doit constater en ce qui concerne 1 organisation des écoles privées „u n e attitude généralement hostile des autorités..2) qui est opposée aux principes d’égalité exprimés par l’article 8 du traité du 28 juin 1919. La commission scolaire de Poznan (Schulkuratorium Posen) s’est exprimée contre le système des écoles privées par circulaire du 25 janvier 1927 en y parlant „d’une expansion \ & p anormale de l’organisation scolaire privée11 et de „différents points de vue secondaire" résultant de cette expansion. Cette phrase dirigée contre les efforts de la minorité N. allemande a eu des conséquences répondant à ces intentions, comme est prouvé par les chiffres suivants: Le 1er décembre 1930 existaient 87 écoles primaires privées allemandes à langue véhiculaire allémandé. De ces écoles furent fondées

2) Arrêt de la Cour Permanente de Justice Internationale du 26 avril 1938 (Publications de la (jour Permanente de Justice Internationale, Série A, Nr. 15, Recueil des Arrêts Nr. 12).

15 au cours de l’année civile 1920 ...... 9 écoles

55 55 55 55 55 1921 . . . ., 2 55

55 55 55 55 55 1922 ...... 2 55

55 55 55 55 55 1923 ...... 4 55

55 55 55 55 55 1924 ...... 16 95

55 55 55 55 55 1925 ...... 16 59

55 55 55 55 55 1926 ...... 23 99

55 55 55 55 55 1927 ...... 5 59

55 55 51 55 55 1928 ...... 1 école

55 55 55 55 55 1929 ...... 4 écoles

55 55 ’ 5 55 55 1930 ...... 5 99 Cette liste montre que la minorité allemande fait l’essai, aux années de 1924— 19^;, de compenser la perte des écoles publiques à langue véhiculaire allemande par la fondation de propres écoles privées et que ces efforts furent étouffés depuis la circulaire du janvier 1927. La commission scolaire de Torun (Schulkuratorium Thorn) n’a pas publié une circulaire analogue à celle de la commission de Poznan du 25 janvier 1927. Mais la pratique exercée dans son domaine administratif montre que la lutte contre l’organisation des écoles privées de la minorité allemande y fut menée d’une manière encore plus acharnée qu’au district de Poznan (Posen). Au district de Torun (Thorn) la minorité ne pouvait obtenir des concessions pour la fondation d’écoles privées que jusqu’à l’année 1925, et le nombre total de ces écoles s’élève a cinq. Depuis 1925 on n’a plus permis la fondation d’une école privée. Il résulte de ces faits que le 1er décembre 1929 au district de Torun (Thorn) de 11577 élèves allemands des écoles primaires 7712 ou 66,6% fréquentent des écoles polonaises. En considérant ces tendances des autorités scolaires on ne peut pas s’étonner que la conviction que toutes les demandes minoritaires sont absolument inutiles a eu, au district de Torun (Thorn), le résultat que les parents appartenant à la minorité allemande se décident de plus en plus rarement à présenter des demandes. Ce fait devient tout particulièrement compréhensible quand on se représente à quelles recherches inquisi­ toriales de la part des autorités scolaires se voient exposés les parents quand ils présentent des demandes que l’autorité ne souhaite pas. Une collection de 25 exemples montre quelles étaient les destinées des demandes allemandes auprès des autorités: toutes furent refusées ou non-expédiées! La minorité allemande ressent comme „attitude généralement hostile des autorités 2)“ : 1. La prescription que les demandes proposant la fondation d’écoles nouvelles ne peuvent être présentées qu’une fois par année, c'est-à-dire le lfr mars. E ta n t donné que les écoles publiques"sont ïermées en général vers la fin de l’année scolaire, mais que les écoles nouvelles ne peuvent être proposées que le 1er mars de l’année suivante et peuvent être ouvertes alors le plus tôt au commencement de la nouvelle année scolaire, le 1er septembre de l’année prochaine^ les enfants d’une école minoritaire fermée doivent irèquènter une école polonaise au moins pendant une année avant de pouvoir être placés dans une école privée allemande qui remplace l’école polonaise. 2. L’ordonnance du Ministre du 26 janvier 1921 concernant l’organisation préalable des autorités scolaires dailS^é"ferrïtôlrè"cle l’ex-annexion prussienne, par laquelle des conseils d’école des districts (Kreisschulràte) ont été créés comme organes de l’autonomie scolaire. A ces conseils les demandes pour la fondation d’écoles allemandes privées doivent être présentées. Etant donné que les résolutions sont prises à majorité de voix et que le pasteur protestant est presque régulièrement le seul membre allemand, la question de la nécessité est pour ainsi dire régulièrement niée. La population allemande ne peut pas considérer un conseil d’école composé de cette manière comme une représentation qui serait compétente de juger de ses intérêts. 3. Le procédé de la Voiévodie de Torun (Thorn) qui nie en principe la question d’un besoin scolaire quand on donne dans une école publique locale l’allemand (2—4 leçons par semaine) comme branche d’enseignement. La qualité d’un tel enseignement de la langue maternelle est prouvée par la lettre d’un enfant allemand, copiée à l’annexe. Cet enfant a eu un tel enseignement allemand. Le rôle minime que joue la langue allemande comme branche d’enseignement aux écoles polonaises actuelles est démontré par l’annexe. A ce fait il faut considérer en outre que mêmes ces restes de l’enseignement de l’allemand sont & souvent données en dehors des leçons ordinaires et moyennant un paiement particulier. & 4. Le fait que ce n’est pas sa volonté de faire instruire ses enfants en des écoles privées qui soit décisive, mais l’égard au degré d’organisation de l’école publique à langue véhiculaire polonaise (voir la circulaire de la commission scolaire de Poznan du 25 janvier 1927, à l’annexe Nr. 7). 5. La demande de la preuve de la" propriété d’une localité scolaire, avant de donner une décision ou l’expectance que l’installation de l’école nouvelle sera permise. 6. Le refus des organes communaux, devenu de plus en plus fréquent, de louer à l’école privée allemande des maisons d’école devenues la propriété des communes politiques, même quand elles ne sont pas utilisées pour les élèves de langue polonaise. Nous présentons un tableau d’exemples qui démontrent les difficultés auxquelles les écoles privées sont exposées en cherchant des localités. 7. La demande de la preuve que chaque instituteur qui désire enseigner à une école privée à langue véhiculaire allemande, possède la nationalité polonaise (Ordonnance du 23 juin 1924). Il est défendu aux instituteurs de nationalité allemande d’enseigner en des écoles polonaises3). Tous les anciens instituteurs allemands auxquels la nationalité polonaise ne fut pas attribuée après la transition de la souveraineté à la Pologne, ont été éloignés des écoles primaires supérieures. A côté de la question de la nationalité la soi-disante „opinja“ prend une importance de plus en plus funeste pour la minorité allemande; cette „opinja“ est un avis sur la loyauté des professeurs, donné par les autorités politiques. A côté du certificat de conduite habituel policier cette „opinja“ est donnée secrètement par des organes politiques, sans que le professeur apprenne, normalement, qui fait cette opinja ni ce qu’elle contient. Suivant tels rapports secrets, contre lesquels il n’y a pas de défense et pas de recours de droit, on accorde ou refuse à l’instituteur la permission d’enseigner. Ceci frappe les vieux comme les jeunes instituteurs, hommes et femmes également. Ils perdent leur profession d’instituteur sans apprendre pourquoi. Quoique l’Etat se mêle le plus détaillément de la vie des écoles privées alle­ mandes en ce qui concerne le plan d’études et le corps professoral, on n’a donné jusqu’aujourd’hui à aucune école privée allemande le droit de publicité (Offent- lichkeitsrecht). Les écoles privées à langue véhiculaire polonaise possèdent pourtant ce droit en grand nombre. L’absence de ce droit exclue les élèves allemands des avantages accordés aux élèves des écoles publiques ou des écoles douées de certains droits qui se servent de la langue polonaise comme langue véhiculaire (L’ajournement du service militaire jusqu’a l’examen final terminé.) Outre la demande de faire droit à ces griefs, la minorité allemande croit avoir le droit d’exiger pour l’organisation de son système scolaire privé : 1. Le droit de pouvoir fonder des écoles privées de tout genre partout où l’Etat refuse l’instruction scolaire des enfants allemands en leur langue maternelle, 2. le droit que ces écoles peuvent être fréquentées par tout enfant pour lequel les personnes autorisées à son éducation déclarent qu’il appartient au Volkstum allemand et qu'il doit fréquenter une école à langue véhiculaire allemande, sans que pour les parents ne doive résulter d’une telle déclaration aucun désavantage, 3. la langue véhiculaire allemande dans toutes les branches d’enseignement, à la seule exception de l’enseignement de la langue du pays, et la limitation des

3) Nous prions de comparer la réglementation fondamentalement différente de ces questions en “russe. L’ordonnance réglant le système scolaire de la minorité polonaise du 31 décembre 1928 y permet l’occupation de professeurs de nationalité polonaise. Actuellement au domaine administratif subordonné à cette ordonnance d’iun nombre total de 70 instituteurs 68 de nationalité polonaise sont placés à 53 écoles primaires privées polonaises.

17 matières d’enseignement dans la langue du pays dans ces écoles d’après les possibilités pédagogiques, 4. le droit de placer les directeurs et les instituteurs et la certitude que ia permission d’enseigner ne puisse pas être refusée à ces personnes quand ils correspondent aux exigences généralement publiées des autorités en ce qUj concerne leur capacité scientifique et leur conduite morale, et que les directeurs et les instituteurs ne puissent être éloignés de leurs places que par un procédé régulier, au cours duquel l’institution qui entretient l’école aura le droit de donner son avis sur la plainte, 5. l’indulgence en ce qui concerne les localités utilisées par les écoles privées- en outre, l’Etat et les communes seront obligées d’aider la minorité en lui accordant des localités, 6. une subvention aux écoles privées allemandes parce qu’elles représentent un supplément des fonctions et des tâches publiques au domaine de l’éducation et de l’instruction scolaire de la jeunesse, 7. le droit de placer des instituteurs ambulants.

V. Proposition allemande pour un réseau scolaire. La minorité allemande a, en 1927 déjà, élaboré un projet d’un réseau scolaire qui garantirait une solution satisfaisante de l’instruction scolaire de la jeunesse allemande par des écoles à langue véhiculaire allemande. Ce projet, présenté à notre gouverne­ ment, ne fut jamais répondu. La destruction de l’organisation scolaire allemande a été continuée systématiquement depuis ce temps et a pour résultat l’état déplorable actuel. La réglementation légale de nos droits, promise par le gouvernement par la constitution et par la loi scolaire du 17 février 1922, est encore fort loin. Comme solution inter­ médiaire, la minorité allemande a donc esquissé de nouveau le projet d’un réseau scolaire qui se trouve à l’annexe. Si on créait les écoles prévues par notre proposition, le nombre des enfants fréquentant non régulièrement une école primaire minoritaire à langue véhiculaire allemande tomberait de 45,1 % à présent à 3,2 % à l’avenir. Le point de départ de notre proposition est celui que l'Etat, conforme à ses devoirs, accorde des soulagements justifiés à la minorité allemande, en donnant aux écoles minori­ taires publiques le caractère d’écoles collectives qui, sans dépendre des limites des associations scolaires, permettent l’instruction scolaire des élèves allemands d’après la volonté des personnes autorisées à leur éducation partout où les con­ ditions de la circulation assurent une fréquentation régulière de l’école, et que l’Etat délivre les écoles minoritaires de l’application schématique du principe de la fréquen­ tation minimum. Dès la transition de la souveraineté à la Pologne, l’organisation scolaire allemande est devenue un champ de ruines. Ce ne sont plus que 54,9 % des enfants allemands, c’est seulement un enfant sur deux, qui trouvent une place pour être enseigné dans la langue maternelle. Et même ces restes d’organisation sont menacés de dissolution.

VI. Motion. Remplie du sentiment de responsabilité pour son bien le plus sacré, sa jeunesse, animée de la confiance en les garants de ses droits, et en se référant aux explications et aux demandes proposées ci-dessus, la Minorité Allemande prie le Haut Conseil de la Société des Nations de prendre les mesures propres au maintien de ses droits. Signé: Graebe. Député au Sejm. Petition by Sejm deputy Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), to the Supreme Council of the League of Nations con­ cerning the educational rights of the German minority in the Voivodesliips of Posen (Poznan) and Thorn (Torun). Bydgoszcz (Bromberg), 23rd June 193i ul. 20 stvcznia 20 Nr. 37.

To

the Supreme Council of the League of Nations,

G en eva.

The whole German educational system in the former Prussian territory of Posen- Pomerellen shows such a terrible decline as a consequence of the measures directed against it by the State, that the German Minority is compelled to request the Supreme Council of the League of Nations to decide whether the measures of the Polish Govern­ ment in the domain of education can be reconciled with the Protection of Minorities Treaty. The principal article of the Treaty lays down that Polish citizens of foreign extraction shall be placed in exactly the same position as those who form a majority in the state. Legal equality in the matter of education would signify that, just as the State through its schools guarantees that the Polish child shall be taught in its mother-tongue and receive its heritage of Polish culture, so an equal measure of performance on the part of the state and an equal tolerance should safeguard the German childs being taught in its own mother-tongue and receiving its corresponding heritage of German culture. In vain has the German minority endeavoured for more than a decade to secure the satisfaction of its demands from the representatives of the State. No sympathy has been shown for its aspirations. Not one government so far has lent an ear to the criticism of existing State of affairs or to the suggestions for improvement. A draft law for safeguarding their culture drawn up by the German fraction, which was in close agreement with similar laws sanctioned by governments and parliaments in other countries, and which would have satisfied the minority without detriment to the interests of the State, was soon committed to burial by a parliamentary Commission simultaneously with parallel proposals drafted by the Polish Socialist Party which were well worthy of consideration. In the domain of the state educational policy, just as in other departments of public life, the alpha and omega for the Polish politician has been and is still the denationalisation of the German element, the de- of the country — “odniemczenie kraju” — . A final appeal was made to the government on the 5th March of this year by Senator Utta on behalf of the whole of the German population. In his reply M. Czerwinski, the Minister of Education, explained quite clearly that „the process which is going on at present is a process of the de-Germanisation of the Polish districts ’. In view of this rejection of the German minority’s demand that their nationality should be respected, a rejection which could hardly be surpassed for directness, the German minority sees itself compelled to fall back on the Protection of Minorities treaty in its full meaning and in all its legal implications. The state of tension which has now existed for more than a decade must at last be relaxed, the conditions of inequality be replaced by conditions where there is an acknowledgement of equality of rights.

20 n. General. In the Administrative Districts (Wojwodien) of Posen and Thom, the number of German children who attended an elementary school, was 35,111 on 1st December 1929 Of these elementary school-cliildren a) 16.085 attended state elementary schools having German as the instructional language. b) 3,208 attended private German elementary schools. All the remaining German elementary school-children, that is to say to t h e numberof15,818, were obliged to attend schools having Polis h s t]ie instructional language. This means that in these years, 45 \% of all the German elementary school-children were de­ prived of the German schooling rightfully due to them. The present position of insufficient school facilities has only arisen because the State has neglected to carry out the in - tent ion of Articles 8 and 9 of the Minorities Treaty of 28th June 1919 and of Article 109 of the Polish Constitution. As a result of this neglect, both the public and the private minority school systems of the German minority to-day still lack any legal basis corresponding with modern ideas about the protection of minorities as laid down by the Treaty of 28. 6. 1919. Nor have the autonomous minority associations, mentioned in Art. 109 of the Constitution, been set up until now.

III. The System of Public Education. The Republic of Poland has regulated the establishment and maintenance of public elementary schools by the law of 17th February 1922 and supplementary measures. Art. 19 of this law reads: “The establishment and maintenance of public elementary schools for the religious and national minorities of the Republic shall be regulated by a separate law.’’ SuchaspecialEducationActfortheGermanminorityhasnever been passed. There has been no adjustment by law of the public elementary educational system which would give the relief demanded by the German minority in accordance with Article 9 of the Treaty of 28th June 1919, although during the past nine years the parliamentary representatives of the German minority have continually pressed that such an adjustment should at last be made by law. Prior to the passing of the law of 17. 2. 1922, „Educational Associations" were responsible for elementary education in the territory. These associations, constituted under the public law, included the parents of a substantial district which was indepen­ dent of the boundaries of the communities. They were organised almost entirely in accordance with the religion of the members. As in the territory there were no Protestant educational associations which recognised themselves as being of Polish nationality, the Protestant associations constituted a purely German educational organi­ sation. On the other hand, the Catholics who recognised themselves as being German were combined, with equal national rights, with those Catholics who recognised them­ selves as belonging to Poland in Catholic educational societies. By retaining the Protestant educational associations, therefore, it would have been easy to have created suitable facilities in accordance with Art. 9 of the Treaty of 28th •lune 1919 for securing to the German minority that the children of these members of the Polish nation should be taught in German in the elementary schools. If that had been done, it would have been easy to safeguard the interests of the Catholic minority by taking their children away from schools which had become entirely Polish and sending them to neighbouring schools of the German minority. The law of 17th February 1922, which is essentially framed in accordance with the needs of the Polish majority, lays down in Art. 9 Par. 3, that 40 children must he looked on as the normal minimum of a school district. For the educational needs of the German minority in view of the lack of a Minority Education Act as already mentioned, the regulations of 10th March 1920 referring to school, and especially to language instruction, have remained in force. These regulations lay down in Par. 4

21 that a German-speaking school or class is to be maintained or established when in any local district (Gemeinde) there are 40 children of school age belonging to parents who are resident in that district. In this provision there lies a very great disadvantage, because compliance with the minimum number of children is demanded in the case of the minority, not from a school district (Schulbezirk), as in the case of the majority by the law of 17th February 1922, but from the more limited area of a local political district (Gemeinde). In interpreting this regulation, the education officials, when reckoning the minimum, refuse to count children who are not living with their parents, and charge such children with higher fees as “Visitin»- pupils”. The supervising official in Thorn, in reply to a complaint recently made about this interpretation, replied that this reading was in accordance with the Act of 17th February 1922 and also with Prussian law of 11th December 1845, which was still in force. So far as the Prussian law is concerned, it has been completely over­ looked that the Prussian Minister for Education had already refused to admit this inter­ pretation by an order of 21st January 1882 (“Preufi. Zentralblatt der Unterrichts- verwaltung” 1882, p. 432). In carrying through the regulation that only those school children who reside in a community are entitled to go to the school there, the officials go so far that they regard as a punishable offence any attempt on the part of the German minority to send German school children out of communities which have no German-speaking schools, to live in neighbouring communities in order to keep the minimum number of children higher than 40. The education officials follow the principle, when the attendance falls below the minimum, of closing the German schools, of dissolving the educational associations and of transferring to the political community their property in the way of school-buildings, teachers’ residences and land. The German children, however, are not distributed amongst neighbouring German schools, but are sent to Polish schools. The regulations, which have for their object an extension of the educational system through the establishment of Polish schools, are applied by the educational authorities when deciding about the retention of the existing association-schools of the German Protestants. In this connection, they make only very inadequate use of the express proviso of Art. 8 of the Act, which provides that the Minister for Education may establish or retain schools eve n w heret here is not aminimu mattendanceof 40 children. Furthermore, the officials frequently go beyond the regulations in so far as they do not wait before closing a minority school until, in accordance with the order of 10th March 1920 Par. 4, the number of the German school-children has continuously declined for two successive years. Again in numerous cases German schools are closed even when the number of children remains above 40. In many cases, the closing of a German school has clearly been due to the desire to make an extension of a Polish school possible. A list of examples of measures taken by the authorities in contravention of the provisions of Art. 8 of the Treaty of 28th June 1919 is appended. B y a rigorous application of the regulations, even such mitigations as could relieve hardships without any damage to the interests of the Polish majority, if they were applied in a proper spirit on suitable occasions, are only very seldom made use of. This applies especially to the establishment of collective schools for children out of neighbouring communities or educational districts. The few remaining schools of this kind are vanishing in proportion as the extension and higher organisation of the Polish education system progresses. The appended table gives a summary of the numerical reduction of the state schools and classes with German as the language in which the instruction is given. It gives a comparison between the position on 1st December 1925 and on 1st December 1930. Out of 646 classes with German as instructional language, 344 have been abolished in 5 years, that is to say more than half of the total number which existed in 19251). The indépendance of the German schools has vanished practically everywhere, the German classes have mostly been dovetailed into the school system and are taught by someone of Polish nationality.

*) The abandoning of these classes cannot be explained by the well-known and strongly marked exodus of the German population. This movement took place chiefly during the years 1920—1923. In the years since 1925 it has fallen to small proportions.

22 Ihe German minority has no say in the appointment, transfer and removal of hers in the state schools which have German as instructional language. The German minority does not by any means include as belonging to it all those who teach in schools with German as instructional language, and the less safe the position of the teachers is, the less confidence does the minority place in them, for they are often on ly appointed provisionally, and naturally are entirely dependent for their careers on the superior authorities. Recently, confidence in the intentions of the educational authorities has been still further destroyed because, since September 1st 1929, in the administrative district of Thom many teachers of Pommerellen extraction, who openly gave themselves out as belonging to the German minority, have been transferred from their homes to districts of alien culture and to schools with Polish as instructional language. Or, they have been prematurely removed from their positions and forcibly placed on the retired list. A survey, by no means complete, of such transfers is appended. \ < As against this policy and practice of the educational authorities, the German minority demand as an appropriate xf

55 55 55 55 1923 ...... 4 55

55 55 55 55 1924 ...... 16 55

55 55 55 55 1925 ...... 16 55 2) see p. 24.

23 in the calendar year 1926 23 schools

55 5) 55 55 1927 5 „ „ „ „ „ 1928 1 school „ „ „ 1929 4 schools » 55 55 55 1930 5 ,, This list shows how, in the years 1924— 1926, the German minority attempted to make good the losses in the German-speaking public schools by establishing its own private schools, and how these endeavours have been throttled by the circular of January 1927 The educational authority of Thorn has not published an order like that of Posen of 25th January 1927. The practice within its district shows, however, that the suppression of the German minority’s private schools has gone forward here even more energetically than in the district of Posen. In the district of Thom, the German minority were only able to obtain permission for private schools till 1925, and altogether there are only five such schools. Since 1925, no further permission has been obtained for private schools. The result is that in the district of Thorn on 1st December 1929, out of 11,577 German elementary school-children, 7,712 or 66,6 % were in Polish schools. In view of this policy of the education authorities, it is no wonder that the feeling of the utter futility of all applications, especially in the administrative district of Thorn, has produced the result that parents belonging to the German minority are making ever fewer and fewer applications of any kind. That can be understood all the more readily when one realises what inquisitional investigations by the education officials the parents have to put up with, when they send in applications of a kind which are not desired by the officials. The attitude of the education officials is further illustrated by the fact that the highest education authority of the administrative district of Thorn absolutely declines to permit a private school with German as instructional language to be set up in a place where the children of German nationality have an opportunity of enjoying 2—4 hours of German instruction weekly in a public school, in which, however, all the other lessons are given in Polish. A list of 25 examples shows the fate of applications by the German minority at the hands of the officials — they were all either refused or not dealt with. The German minority considers the following to denote “a generally hostile attitude on the part of the officials” 2): 1. The proviso that applications to start new schools may be handed in only once a year, on 1st March. In view of the fact that state schools are generally abandoned at the end of the school year (in June), that applications for new schools can first be made only on 1st March of the following year and may then, at the earliest, be opened at the commencement of the new school year on 1st September of that year, the children of abandoned minority schools must go to a Polish school for at least a year, before they can be transferred to a German private school. 2. The Order of the Minister of 25th January 1921, respecting the provisional organisation of education authorities in former Prussian territory, under which district education committees have been set up as organs of self-government. Applications to set up German private schools must be laid before them. As its decisions are reached by a majority of votes and as the Protestant clergyman is practically always the only member of German nationality, the question of the necessity for a new school is almost always negatived. The German population cannot recognise an education committee composed in this fashion as representing it, nor as a body which is competent to come to decisions in matters relating to its interests. 3. The practice of the administration of the Thorn district, completely to deny that there is any demand for a German school whenever German is taught as a subject in the local public school for as little as 2—4 hours a week. How much value such instruction in the mother-tongue possesses is shown by the

a) Judgement of the Permanent International Court of Arbitration of 26th April 1928 (Publica­ tions de la Cour Permanente de Justice International, Serie A Nr. 15, Recueil des Arrêts Nr. 12).

24 appended letter of a child of German extraction which has enjoyed such instruction. An Appendix shows to what a small extent German is still taught at all as a subject in Polish schools. And it must further be noted in this connection that these remnants of German teaching are often given outside ordinary school hours and have to be paid for separately. 4 The fact that it is not the desire to have the children educated in a private school which is the only consideration, but that the matter is judged according to the organisation of the state school with Polish as instructional language. (See the circular of the Kuratorium of Posen dated 25. 1. 1927 in Appendix No. 7.) 5. The demand that evidence of the possession of a school-room shall be given, before it is decided or appears probable, that the new school may be established. 6. The refusal of the Polish communes, which is growing ever more and more frequent, to let to a German private school the school buildings which have passed into their possession, even when such buildings are not required for the purposes of the state school. In an Appendix we give a collection of examples which show what difficulties are met with by private schools in obtaining class-rooms. 7. The demand that every teacher who desires to give instruction in a private school having German as instructional language must produce a certificate of his Polish nationality (Order of 23fd June 1924). Teachers of German nationality are forbidden to teach in Polish schools8). The German teachers, who were available from the previous period, but who were not acknowledged as being Polish citizens after the transfer of the districts to Poland, have, without exception, been removed from the middle-grade schools. Apart from the question of nationality, the so-called “opinja”, i. e. a certification of the loyalty of the teacher by the political officials is becoming more and more ominous for the German minority. This “opinja” is made secretly by the political authorities and is additional to the usual certificate of behaviour by the police. It is made, as a rule, without the teacher knowing that a report has been made about him, or what has been reported. As a result of such secret reports, against which no protection, no legal remedy exists, the permit to teach is refused or taken away from the teacher. This refers to senior teachers and beginners, to men and to women. Their profession as teacher is taken away from them without their knowing why. 8. Until now, no German private school has been “publicly recognised”, although the State interferes constantly in the work of the German private schools, with their syllabuses and with the teaching staff. On the other hand, a con­ siderable number of private schools with Polish as the instructional language are so publicly recognised. The fact that a school is not publicly recognised means, that the German children are excluded from the benefits which are granted to the pupils of state schools or publicly recognised private schools (Postponement of their military service until they have passed their final examination; the right of reduced railway fares). Apart from these complaints, the German minority believes it is justified in demanding the following for its private schools: 1. The right to establish private schools of every description wherever the Stole refuses to provide for the education of German children in their mother- tongue. 2. The right for every child to attend such a school when those responsible for its education declare that it is of German nationality and is to attend a school having German as instructional language. And further, that the parents shall not be prejudiced as a result of such a declaration. 3. German as the language in which teaching is given in all subjects, with the exception of the teaching of the language of the country, and a limitation of the amount of Polish teaching in accordance with what is pedagogically possible. s) For the sa,ke of comparison we draw attention to the entirely different position in Prussia, ihere the Order for the Regulation of the Education of the Polish Minority of 31st December 1928, pe,rmits the employment of teachers of Polish nationality. At, the present time, in the territoiy wnere this Order is in force, at 53 private Polish elementary schools, out of a total of 70 teachers, are of Polish nationality.

25 4. The right to appoint headmasters and teachers. Permits to teach shall not be refused as long as there is compliance with the published requirements of the officials in respect of learning and morals; and a headmaster or teacher shall be removed from his position only after a proper inquiry at which an opportunity is given to the body responsible for the school to express its views about the accusation. 5. Consideration in respect of the class-rooms utilised by private schools, and that the State and the community shall assist the minority in its efforts by placing rooms at its disposal. 6. Contributions to the support of the German private schools as they supplement the functions and responsibilities of the State in the domain of the education of the young. 7. The right to appoint travelling teachers, so far as it may be requisite.

V. German Proposals for the Distribution of Schools. The German minority had in 1927 already worked out a plan for systematising the distribution of schools, which would secure a satisfactory solution of the question of a y educating German children in schools having German as instructional language. This project was laid before our Government, but has never been favoured with a reply. From that time forward, the destruction of the German school system has been systematically proceeded y£y with and has led to the present low ebb. Any adjustment of our rights by our Govern- ment in accordance with the Constitution and with the Education Act of 17th February 1922, remains dubious in the extreme. As a solution, the German

minority has, in the meanwhile, drafted anew the proposals for a system of schools, and / they are given in an Appendix. If the schools for which our proposals provide were set up, t h e number of elementary school children, not at present taught in a German-speaking minority school, would sink from 45,1 % to 3,2 %. Our proposal is based on the suggestion that the State should carry out its duty and grant suitable relief to the German minority by giving to the public minority schools the character of collective schools (that is, schools serving several neighbouring districts). These should be independent of the boundaries of the educational authorities and should make possible the education of German children in accordance with the wishes of their parents and guardians. Regular attendance at school would be secured in accordance with the transport facilities and such schools should be freed from the rigorous systematic application of the principle of minimum attendance. Since these districts were transferred to Poland, the German school system has fallen into ruin. Only 54,9 per cent of the German children, that is only every second child, can still find a place where it can be taught in its mother-tongue. And even these remnants are threatened with extinction.

VI. Appeal. Having regard to the facts and the claims which have here been set out, the German Minority, filled with a feeling of responsibility towards its most valued possession, its youth, and relying on the guarantors of its privileges, begs the Supreme Council of the League of Nations to take the steps necessary to preserve its rights. (signed) Graebe Member of the Sejm.

26

Anlagen zur Eingabe des Sejmabgeordneten Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), an den Hohen Vôlkerbundsrat betreffend Wahrung der Rechte der Deutsehen Minder­ heit in den Wojwodien Posen (Poznan) u.Thom (Torun) auf dem Gebiete des Schulwesens.

Annexes de la Pétition du Député de la Sejm Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), adressée au Haut Conseil de la Société des Nations pour garantir les droits de la mino­ rité allemande dans le domaine de l’instruction publique des Voivodies de Posen (Poznaû) et de Thom (Torun).

Appendices to the Petition by Sejm deputy Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), to the Supreme Council of the League of Nations concerning the educational rights of the German minority in the Voivodeships of Posen (Poznan) and Thorn (Torun). Anlagen zur Eingabe des Sejmabgeordneten Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), an den Hohen Vôlkerbundsrat betreffend Wahrung der Rechte der Deutsehen Minder­ heit in denWojwodien Posen (Poznan) u.Thorn (Torun) auf dem Gebiete des Schulwesens.

Annexes de la Pétition du Député de la Sejm Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), adressée au Haut Conseil de la Société des Nations pour garantir les droits de la mino­ rité allemande dans le domaine de Finstruction publique des Voivodies de Posen (Poznan) et de Thorn (Torun).

Appendices to the Petition by Sejm deputy Kurt Graebe, Bydgoszcz (Bromberg), to the Supreme Council of the League of Nations concerning the educational rights of the German minority in the Voivodeships of Posen (Poznan) and Thorn (Torun). 1 Anlage Annexe Appendix 2, 2b 3 I $ 6 7 8 9 18 11

12 il 13 14 15 16 I y

Entwurf zu einem Gesetz

iiber die ku Hurdle Selbstverwaltung polnischer Staatsbiirger deutsehen Volkstums.

Art. 1. Den polnischen Biirgern deutsehen Volkstums wird die voile und freie Entwicklung ihrer vôlkischen Eigenart gewahrleistet.

Art. 2. Die deutsche Minderheit hat das Recht, zu diesem Zwecke einen Kulturverband ôffentlich-rechtlichen Charakters zu bilden.

Art. 3. Zur deutsehen Minderheit gehôrt, wer sich zu ihr bekennt. Das Bekenntnis wird durch Beitritt zum Kulturverband oder durch Anmeldung eines Kindes zur deutsehen Schule ausgedriickt. Das Bekenntnis darf nicht nachgepriift und bestritten werden.

Art. 4 ff. bis Art. 11 sind fortgelassen.

Art. 12. Der deutsche Kulturverband wird rechtlicher Tràger der eigenen Kultur- und Wohlfahrtseinrichtungen der deutsehen Minderheit in Polen, insbesondere ihres Schul- wesens.

Art. 13. Der deutsche Kulturverband hat das Recht, Wohltatigkeitsanstalten sowie Kinder­ garten und Schulen jeder Art für die deutsche Bevôlkerung zu gründen, zu leiten und zu beaufsichtigen. Eine Prüfung des Bedürfnisses findet nicht statt.

Art. 14. Bezüglich aller Einrichtungen des Kulturverbandes (Art. 13) stêht dem Staat das Recht der Beaufsichtigung und Kontrolle zu.

Art. 15. Der Staat übernimmt für die Volksschulen des Kulturverbandes die gesamten Kosten, wenn 40 Kinder so zu einer Klasse vereinigt werden konnen, daB der regel- maBige Schulbesuch, unbeschadet des Schulweges, gesichert ist. Er übernimmt die Hâlfte der Kosten, wenn mehr als 20 aber weniger als 40 Kinder vereinigt werden. Er sichert dem Kulturverband die Übereignung oder Mitbenutzung eines berechtigten Anteiles an dem Schulvermogen und den Schuleinrichtungen.

Art. 16. Die Selbstverwaltungskorperschaften tragen zur Unterhaltung der Kosten für die Schulen des Deutsehen Kulturverbandes einen dem Verbaltnis der deutsehen Volks- gemeinschaft zur Gesamtbevôlkerung der betreffenden Gemeinde entsprechenden Teil bei.

Art. 17. Der Staat gewâhrt für Mittelschulen, Fachschulen, Fortbildungsschulen und Lehrer- bildungsanstalten Zuschiisse in dem Umfange, wie er sie für den Kopf eines Schulers polnischer Nationalitât gewâhrt.

4 Art. 18. Allé Schulen des Kulturverbandes werden den offentlichen Schulen nach ihren Rechten gleichgestellt. Art. 19. Die Schüler aller Schulen des Kulturverbandes genieBen dieselben Rechte wie die Schiiler gleichartiger Staatsanstalten. 2b Art. 20. In einer Schule des Kulturverbandes darf nur unterrichten, wer sich zur deutsehen Minderheit bekennt. Es ist auch deutschstâmmigen Biirgern anderer Staaten, die dort eine Lehrbefahigung erworben haben, gestattet, an den Verbandsschulen zu unterrichten. 3 Art, 21. Dem Kulturverband obliegt die Berufung, Disziplinierung und die Versetzung der Lehrer in den Ruhestand. I Die Berufung der Lehrer unterliegt der Bestâtigung durch die staatlichen Schul- behorden. Die Bestâtigung darf nur dann verweigert oder eine bereits erteilte Be­ stâtigung nur dann zuriickgezogen werden, wenn dafiir konkrete Grtinde moralischer Natur angeftihrt werden konnen oder nachgewiesen wird, daB der Lehrer sich eine staatsfeindliche Handlung hat zuschulden kommen lassen. Vor Versagung bzw. Ent- 3 ziehung der Bestâtigung sind die Grtinde der den Lehrer berufenden Organisation zur gutachtlichen AuBerung zuzusenden. Art. 22. 6 Die Lehrer der Verbandsschulen jeder Art genieBen dieselben Rechte wie die Lehrer an gleichartigen Staatsschulen. Ihre Ruhegehalts- und Hinterbliebenenversiehe- rung übernimmt der Staat auf Grund der für die Staatsbeamten geltenden Emeritur- und Pensionsgesetze. 7 Art. 23. Die Lehrplâne sâmtlicher Schulen des Verbandes, in denen sich die kulturellen Bediirfnisse der deutsehen Minderheit mit den berechtigten Forderungen des Staates zu eigenen Unterrichtsplânen vereinigen miissen, werden durch die Zentralverwaltung 8 des Deutsehen Kulturverbandes im Einvernehmen mit der staatlichen Schulbehorde ausgearbeitet. Art. 24. 9 Die Unterrichtssprache in sâmtlichen Schulen des Deutsehen Kulturverbandes ist die deutsche. Der Unterricht in der polnischen Sprache ist in dem nach den Lehrplanen vergeschriebenen Umfange (Art. 23) obligatorisch und beginnt mit dem 2. Schuljahr. 10 Art. 25. Die Art und die Bedingungen der fjhernahme der bestehenden staatlichen und privaten Schulen mit deutscher Unterrichtssprache durch den Deutsehen Kultur­ verband sowie alle notwendigen Ausftihrungsbestimmungen zu diesem Gesetz werden 11 durch Verstândigung zwischen der Zentralverwaltung des Kulturverbandes und der maBgeblichen staatlichen Behorde spâtestens im Verlaufe von sechs Monaten nach Inkrafttreten dieses Gesetzes festgesetzt und bekanntgegeben. 12 Art. 26. Die Ubernahme der in Art. 25 genannten Schulen durch den Deutsehen Kultur­ verband erfolgt am Anfange des Schuljahres, das auf die Bekanntgabe der Aus- fiihrungsbestimmungen (Art. 25) folgt. 13 Art. 27. Das Gesetz tritt mit dem Tage seiner V er of f entliehung in Kraft. 14 Art. 28. Die Ausfiihrung dieses Gesetzes wird dem Kultusminister, dem Innenminister und dem Finanzminister im Umfange ihrer Kompetenzen übertragen. Anmerkung: Die Artikel 4 bis 11 enthalten Bestimnmngen liber die Griindung des Deutsehen 15 Kulturverbandes und allgem eine V erwaltungs'vorschrif ten. 5 16 1

Projet d’une loi sur l’autonomie culturelle des ressortissants polonais de langue allemande.

Art. 1. Aux ressortissants polonais de langue allemande le développement plein et entier de leur individualité nationale est garanti.

Art. 2. La minorité allemande a le droit de former à cet effet une Union culturelle (Kultur­ verband) à caractère d’institution de droit public.

Art. 3. A la minorité allemande appartiennent les personnes qui déclarent y appartenir. La déclaration se fait par l’adhésion à l’Union culturelle ou en faisant inscrire un enfant à l’école allemande. Il n’est pas permis d’examiner ou de contester la déclaration.

Art. 4 jusq’au Art. 11 sont omis. Art. 12. L’Union culturelle allemande (Kulturverband) devient le représentant juridique des institutions culturelles et de bienfaisance appartenant à la minorité allemande en Pologne, en particulier de son organisation scolaire.

Art. 13. L’Union culturelle allemande (Kulturverband) a le droit de fonder, de gérer et de contrôler des institutions de bienfaisance, comme des jardins d’enfants et des écoles de tout genre pour la population allemande. Il est défendu d’examiner si ces institutions répondent à un besoin. Art. 14. En ce qui concerne toutes les institutions de l’Union culturelle (Kulturverband) (Art. 13), le droit de surveillance et de contrôle appartient a l’Etat.

Art. 15. L’Etat prend à sa charge les frais totaux pour les écoles primaires de l’Union culturelle (Kulturverband) si 40 enfants peuvent être réunis à une classe de telle manière que la fréquentation régulière de l’école soit assurée, sans préjudice du chemin à l’école. Il prend à sa charge la moitié des frais si plus de 20, mais moins de 40 enfants sont réunis. Il assure à l’Union culturelle (Kulturverband) la cession ou cojouissance d’une part justifiée de la fortune scolaire ou des institutions scolaires.

Art. 16. Les corporations administratives autonomes contribuent à la réunion des fonds nécessaires pour les écoles de l’Union culturelle allemande (Kulturverband) une part correspondante à la proportion des habitants allemands à la population totale de la commune. Art. 17. L’Etat accorde aux écoles primaires supérieures, écoles professionnelles, écoles complémentaires et aux écoles normales destinées à l’instruction d’instituteurs des verse­ ments supplémentaires au même degré que le montant moyen des dites allocations faites par élève de nationalité polonaise.

Art. 18. Toutes les écoles de l’Union culturelle (Kulturverband) auront les mêmes droits que les écoles publiques.

6 Art. 19. Les écoliers et écolières de toutes les écoles de l’Union culturelle (Kulturverband) jouissent des mêmes droits que les écoliers et écolières des écoles publiques du même caractère. 2i Art. 20. Ne doit enseigner dans une école de l’Union culturelle (Kulturverband) que qui s’est déclaré membre de la minorité allemande. Il est permis aux sujets d’autres Etats 2b qui y ont acquis un brevet d’enseignement et qui sont d’origine allemande d’enseigner aux "écoles de l’Union culturelle (Kulturverband).

Art. 21. A l’Union culturelle (Kulturverband) incombe la convocation, le disciplinement et 3 la mise à la retraite des instituteurs. La convocation des instituteurs est soumise à la sanction des autorités scolaires de l’Etat. Cette sanction peut seulement être refusée ou une sanction déjà prononcée peut I seulement être retirée au cas que des raisons concrètes de nature morale peuvent être alléguées ou que l’on peut prouver que l’instituteur a commis une action contre le bien de l’Etat. Avant de refuser ou de soustraire la sanction, les raisons d’un tel procédé sont à envoyer à l’organisation qui convoque l’instituteur afin qu’elle puisse donner son avis là-dessus. $ J Art. 22. Les instituteurs des écoles de l’Union culturelle (Kulturverband) de tout genre jouissent des mêmes droits que les instituteurs des écoles publiques du même 6 caractère. L’Etat se charge' de leurs droits à la retraite et de l’assurance de leurs survivants en vertu de la loi en vigueur sur les pensions et les mises en retraite.

Art. 23. 7 Les plans d’études de toutes les écoles de l’Union, dans lesquels les besoins culturels de la minorité allemande doivent se joindre aux postulats justifiés de l’Etat en ce qui concerne ses propres plans d’études, seront élaborés par l’administration centrale de l’Union culturelle allemande (Kulturverband) en collaboration avec les autorités scolaires 8 de l’Etat. Art. 24. La langue véhiculaire dans toutes les écoles de l’Union culturelle allemande 9 (Deutscher Kulturverband) est la langue allemande. L’enseignement de la langue polonaise est obligatoire dans l’étendue prescite par les plans d’études et il commence à la deuxième année scolaire. Art. 25. La manière et les conditions sous lesquelles l’Union culturelle allemande (Deutscher 10 Kulturverband) se charge des écoles publiques et des écoles privées existantes à langue véhiculaire allemande, comme toutes les dispositions nécessaires pour l’exécution de cette loi, seront fixées et publiées après entente entre l’administration centrale de l’Union culturelle allemande (Deutscher Kulturverband) et l’autorité compétente de l'Etat, au II plus tard au cours de six mois après la mise en vigueur de cette loi.

Art. 26. L’Union culturelle allemande se charge des écoles nommées à l’article 25 au com­ 12 mencement de l’année scolaire qui suit la promulgation des dispositions exécutives (Art. 25). Art. 27. Cette loi est mise en vigueur au jour de sa publication. 13

Art. 28. Le Ministre de l’Instruction Publique et des Cultes, le Ministre de l'Intérieur et le 14 Ministre de Finances sont chargés de l’exécution de cette loi d’après l’étendue de leurs compétences respectives.

Note: Les articles 4—11 contiennent des dispositions concernant La fondation de l’Union culturelle allemande (Deutscher Kulturverband) et des prescriptions administratives générales. 15 16 Draft of a Law for the Cultural Autonomy of Polish Citizens of German Nationality.

Art. 1. The full and free development of their national peculiarities shall be granted to Polish citizens of German nationality. Art. 2. With this end in view, the German Minority shall have the right to establish a Cultural Union (Kulturverband)recognised publicly by law.

Art. 3. All persons may belong to the German Minority who wish to do so. The recognition of such membership shall be expressed through membership in the Cultural Union or by entering a child at a German school. Such membership shall not be investigated or disputed. Art. 4 to Art. 11 are omitted.

Art. 12. The German Cultural Union will be the body legally responsible for the arrangements for the culture and welfare of the German minority in Poland, especially education. Art. 13. The German Cultural Union shall have the right to establish welfare institutions, and also Kindergarten and schools of all kinds for the German population, and also to direct and supervise them. There shall be no investigation of the demand for such arrangements.

Art. 14. With reference to the arrangements of the Cultural Union, the State shall have the right of supervision and control. Art. 15. The State will undertake to defray the total expenses of the elementary schools of the Cultural Union in cases where 40 children can be combined in a class so that regular attendance is guaranteed, without reference to the means of reaching the school. It will undertake to meet half the expenses in such cases where more than 20, but less than 40 children can be brought together. It guarantees to the Cultural Union the appropiation of, or a proportionalty just share in, the school property and the school arrangements. Art. 16. For meeting the charges of the schools of the German Cultural Union the autonomous bodies will bear a proportion which is proportional to the ratio of the German community to the total population of the district concerned.

Art. 17. The State guarantees contributions to the middle-grade schools, technical schools, continuation schools and teachers training colleges in the same proportion per head as in the case of pupils of Polish nationality.

Art. 18. All schools of the Cultural Union shall have the same rights as the public schools.

8 «

Art. 19. The pupils of all schools of the Cultural Union shall enjoy the same rights as the pupils of similar state institutions. 2 < Art. 20. In a school of the Cultural Union instruction may only be given by someone belonging to the German minority. Citizens of other States who are of German 2b extraction, and who have gained there a qualification to teach, will also be permitted to teach in the schools of the Union.

Art. 21. The Cultural Union will be responsible for the appointment, discipline and 3 retirement of teachers. The appointment of teachers shall be confirmed by the State educational authorities. Such confirmation shall only be refused, or a confirmation already given shall only be withdrawn, when concrete reasons of a moral nature can be given I therefore, or it can be shown that the teacher has laid himself open to a charge of behaviour inimical to the State. Reasons for withdrawal of the permission to teach shall be sent to the organisation which has appointed the teacher for its information.

Art. 22. $ The teachers of the schools of the Union of every description shall enjoy the same rights as teachers in similar state schools. The State will take over their pensions and the pensions for their survivors as laid down in the law for the retirement 6 and pensioning-off of State officials. Art. 23. The syllabuses of all schools of the Union, in which the cultural requirements of the German minority must be brought into line with the rightful demands of the 7 State respecting its educational arrangements, shall be worked out by the central governing body of the German Cultural Union in conjunction with the state educational authorities. Art. 24. 8 German shall be the language of instruction in all schools of the German Cultural Union. Instruction in the is obligatory to the extent laid down in the syllabuses and shall begin with the second school year. 9 Art. 25. The method of and the conditions for the German Cultural Union taking over the existing state and private schools which have German as instructional language, 1 0 . together with all the necessary regulations for carrying this law into effect, shall be settled and published by agreement between the central governing body of the Cultural Union and the competent state authorities not later than 6 months after this law comes into force. Art. 26. 11 The schools referred to in Art. 25 shall be taken over by the German Cultural Union at the beginning of the school-year which follows on the publication of the conditions (Art, 25). 12 Art. 27. This law shall come into operation on the day of its publication. Art. 28. 13 The carrying out of this law will be left to the Minister of Education, the Minister for Home Affairs, and the Minister of inanee as it affects them respectively. 14

Note: Art. 4 to 11 contain the conditions for the establishment of the German Cultural Union and 15 ! general directions for its management. 16 i I1 Anlage Annexe Appendix 2 i 2 6 3 I ' $ 6 7

9 10 11 12 13 I Hi 14 15 11 16 odien Thorn (Toruri) und Posen (Poznan).

Stichtage: 1. Dezember Dezember 1929.

Zahl der ujje Kinder in: Prozentsatz der dent- Zusammen schen Kinderin Schu deutschen staatlichen polnischen Sohulen K r e i s P o w i a t sta&tlichen ohne deutsche Spalte 4— 6 len ohne deutsche Bemerkungen Privatschulen Minderheitsschulen pjderheitsschulen 'ivatschulen Unterrichtssprache Unterrichtssprache 1928 ! 1929 1928 | 1929 I 1929 1928 I 1929 1928 1929 192S 1929 l 2 s

I. W oiwodie fIVOivodi oiTodeship) Thorn (Torun). Berent ...... Koscierzyna ...... 3 2 147 117 468 597 615 714 76,1 83,4 Bei den Kreisen Adelnau, Kempen, Briesen...... Wabrzezno...... 1 1 9 8 414 4 5 5 292 402 751 913 38,9 44,0 Schildberg und Soldau sind eingerech- C ulm ...... 3 3 724 720 143 139 867 859 83,5 83,8 net Kinder, deren Eltem sich zum Dirschau ...... T czew ...... 1 1 120 109 299 179 159 268 40,1 40,7 Deutschtum und zum evangelischen Graudenz...... Grudziadz...... 8 8 521 5 5 6 596 666 1117 1222 53,4 54,5 Glauben bekennen, obwohl ihre Haus- K arthaus...... K artu zy...... 5 3 319 418 153 159 472 577 67,5 72,4 sprache nieht die deutsche ist Konitz...... Chojnice...... 8 7 526 4 8 9 311 370 837 859 37,2 43,1 Lôbau ...... 1 189 194 216 194 87,5 27 100,0 Pour les arrondissements d’Adelnau, de Mewe ...... G niew ...... 1 62 113 108 113 57,4 46 100,0 Kempen, de Schildberg et de Soldau, Neustadt...... Wejherowo ...... 1 1 5 2 132 110 183 162 72,1 51 67,9 on a compris dans les chiffres des en­ Putzig ...... P u ck ...... 5 2 8 5 120 211 261 296 45,9 141 71,3 fants dont les parents déclarent S ch w etz...... Sw iecie...... 1 1 1 1 6 6 1182 1254 1299 1371 91,0 70 91,5 appartenir au Volkstum allemand et Soldau...... D zialdow o...... 2 2 8 0 738 722 820 802 90,0 90,0 82 ont la confession évangélique, bien Stargard ...... Starogard ...... 2 2 75 187 195 262 270 71,4 72,2 75 que la langue parlée à la maison ne Strasburg...... 3 2 2 1 85 230 302 550 521 176 m 144 41,8 58,0 soit point l’allemand T h o m ...... T o ru n ...... 7 6 574 53 6 344 383 918 919 37,5 41,1 Tuchel ...... Tuchola...... 2 2 67 5 9 270 289 337 348 80,1 83,0 For the districts of Adelnau, Kempen, Zempelburg...... Sçpolno...... 9 9 4S6 5 1 2 628 657 1114 1169 56,4 56,2 Schildberg and Soldau children are zusammen au total total I ...... 5 4 70 58 2 6 8 241 3646 3 6 2 4 6912 7712 11026 11577 62,7 66,6 i included whose parents are of the protestant confession and regard II. W o iw o oivodeship) P osen (Poznan). voivodi themselves as belonging to German- 7 A delnau...... Odolanôw ...... 1 l 123 1223 1072 1332 1195 91,8 89,7 dom altough their domestic language Bimbaum ...... M iedzychôd...... 2 2 5 4 241 101 117 420 409 24,0 28,6 is not German Bromberg ...... Bydgoszcz ...... 1 1 20 15 1472 367 586 2079 2110 17,6 27,8 Czamikau ...... Czamkôw...... 7 7 416 102 157 517 573 19,7 27,4 8 G nesen...... G niezno...... 7 7 12 9 458 135 175 1054 964 12,8 18,1 G ostyn ...... G ostyn ...... 3 3 1 1 35 33 18 201 202 16,4 8,9 Grâtz...... Grodzisk ...... 1 2 1 2 79 100 70 219 192 45,7 36,4 Hohensalza...... Inowroclaw ...... 3 4 13 11 627 572 192 226 922 971 20,8 22,2 9 Jarotschin...... Jarocin...... 3 3 2 2 107 42 43 210 221 20,0 19,5 K em pen...... Kçpno ...... 850 944 850 944 100,0 100,0 Kolmar ...... Chodziez ...... 2 2 20 19 1159 374 471 1646 1679 22,7 28,6 Koschmin ...... K oim in...... 2 2 2 2 93 60 62 208 212 28,8 29,3 K o sten ...... K o scia n ...... 3 3 10 17 16 91 103 18,7 15,5 Krotosehin ...... Krotoszyn ...... 2 1 5 5 327 84 84 411 429 20,4 19,5 L issa...... Leszno...... 2 2 9 7 475 348 436 995 1029 35,0 42,3 Mogilno ...... Mogilno ...... 4 5 8 7 378 180 157 779 774 23,1 20,3 Neutomischel ...... Nowy Tomysl ...... 1 1 18 22 1169 51 46 112) 1245 4,5 3,7 11 O b om ik ...... Obomiki ...... 3 3 15 11 502 302 325 1087 965 27,8 33,7 O strow o...... Ostrôw ...... 1 1 69 92 101 133 68,3 68,6 Pleschen...... Pleszew ...... 2 3 3 2 188 32 70 355 340 9,0 20,6 P o se n ...... Poznan...... 1 1 4 4 501 84 98 628 609 13,4 16,0 12 R aw itsch ...... B aw icz...... 2 2 3 3 187 126 138 378 368 33,3 37,9 Sam ter...... Szam otuly...... 9 9 1 1 58 89 83 462 506 19,3 16,4 Schildberg...... Ostrzeszôw ...... 687 705 687 705 100,0 100,0 Schmiegel ...... Sm igiel...... 1 1 2 2 83 94 117 227 250 41,4 46,8 13 Schrimm ...... Srem ...... 3 3 144 197 273 314 52,7 62,8 Schroda ...... Sroda ...... 5 5 1 1 46 27 26 283 250 9,5 10,4 S ch ubin...... ...... 2 2 12 11 598 379 388 1157 1127 32,8 34,4 Strelno...... Strelno...... 1 2 1 1 69 87 85 190 195 45,8 43,6 14 W irsitz...... Wyrzvsk ...... 25 24 1223 310 376 1559 1599 19,9 23,5 W ollstein...... W olsztyn ...... 14 14 925 163 163 1101 1088 14,8 14,9 Wongrowitz...... Wagrowiec...... 1 2 16 14 610 189 232 981 940 19,3 24,6 W reschen...... W rzesnia...... 3 3 3 3 124 94 86 302 293 31,1 29,3 15 Znin...... Z n in ...... 5 5 5 4 243 199 245 610 600 32,6 40,8 zusammen . . . . f II ...... 75 80 229 209 12461 7334 8106 23444 23534 31,2 34,4 au to t a l...... < t o t a l...... [ I + II ...... 80 84 299 267 16085 14246 15818 34470 35111 41,3 45,1 16 12 13 Platzhalter Anlage Annexe Appendix

3 1 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 J l 17 16 Auszug aus dem Urteil des Bezirksgerichts in Bromberg in der Strafsache gegen den Führer der deutschen Minderheit, G r a e b e. In diesem ProzeBverfahren ist Graebe am 12. November 1930 wegen Übertretung des § 129 Str.G.B. zu einer Gefângnisstrafe von 6 Monaten verurteilt worden. Aktenzeichen des Bezirksgerichts in Bromberg III. I. K. 218/30 Kp. 888/30.

Begriindung: Der Minister des friiheren preuBischen Teilgebietes erlieB am 10. Màrz 1920 eine Verfiigung iiber die Umwandlung des Schulwesens im friiheren preuBischen Teilgebiet (Dz. Urzçdowy, Nr. 16 vom 15. April 1920). In Beriicksichtigung der Artikel 8 und 9 des Minderheitenvertrages vom 28. Juni 1919 regelte der Minister des friiheren preuBischen Teilgebietes in der erwahnten Verfiigung auch die Frage der deutschen Schulen und bestimmte im Art. 4 folgendes: „Wenn in irgendeiner Gemeinde sich mindestens 40 schulpflichtige Kinder von deutschen Eltern finden, die dort wohnhaft und polnische Staatsbürger sind, so wird in diesem Falle fiir sie eine besondere Volksschule oder eine besondere Schulklasse mit deutscher Unterrichtssprache auf ôffentliche Kosten errichtet bzw. belassen. Diese Anordnung hort erst dann auf, wenn zwei aufeinanderfolgende Jahre hintereinander die Zahl der deutschen Schulkinder standig abnehmen wird.“ Diese Verfügung, sofern sie die deutschen Schulen betrifft, bzw. die Anordnungen der Schulbehorden, der Kuratorien, der Schulbezirke, denen die Ausftihrung der genannten Verfiigung oblag und die auch in dieser Hinsicht entsprechende Ver- fvigungen ausgaben, bemühte sich der Deutschtumsbund zu vereiteln bzw. abzu- schwàchen dadurch, daB er in Ortschaften, in denen eine deutsche Schule bestand, deren Kinderzahl jedoch weniger als 40 betrug oder mit der Zeit unter die Zahl 40 sank, Kinder von deutschen Eltern, die in einer anderen nicht zum betr. Schul- bezirk gehôrenden Gemeinde wohnten, einführte und in dieser Weise die Zahl der Kinder auf 40 ergânzte, um dadurch die deutsche Schule aufrechtzuerhalten und ihre Auflosung zu vermeiden. Das Mittel, das der Deutschtumsbund zur Erreichung seines Zweckes anwandte, war zugleich ungesetzlich im Sinne des § 129 Str.G.B., da es gegen den Art. 4 der genannten Verfiigung verstieB, denn die Griindung bzw. Aufrecht- erhaltung einer deutschen Schule war davon abhângig gemacht, daB sich in der betr. Gemeinde mindestens 40 schulpflichtige Kinder von in derselben Gemeinde wohn­ haften und nicht auch in einer anderen Gemeinde wohnhaften Eltem befanden . . .“

Zur Erlâuterung sei bemerkt, daB das heute noch in Westpolen gültige deutsche Strafgesetzbuch in § 129 die Teilnahme an staatsfeindlichen Verbindungen mit Ge- fângnis bedroht, wobei als staatsfeindlich angesehen werden Verbindungen, deren Zweck oder Beschâftigung darin besteht, die Vollziehung von Gesetzen oder die Mafi- regeln der Verwaltungen zu verhindern oder zu entkraften.

18 Extrait du jugement Idu tribunal du district (Bezirksgericht à Bydgoszcz) dans la procédure criminelle contre Ile chef de la minorité allemande Graebe. Dans cette procédure Graebe fut condamné Ile 12 novembre 1930 à six mois de prison à cause d’infraction au § 129 du Code Pénal.

Exposé des motifs: Le Ministre de la Province d’ex-annexion prussienne publia le 10 mars 1920 4 Inn décret sur la transformation du système scolaire au territoire de l’ex-annexion Iprussienne (Dz. Urzedowy No. 16 du 15 avril 1920). En considérant les articles 8 |et 9 du traité des minorités du 28 juin 1919 le Ministre de la Province d’ex-annexion | prussienne régla dans le décret mentionné aussi la question des écoles allemandes et 5 I décréta à l’article 4 ce qui suit: „Si dans une commune quelconque se trouvent au moins 40 enfants à l’âge de la I scolarité obligatoire de parents allemands qui y demeurent et qui sont des citoyens polonais, une école primaire particulière ou une classe particulière avec langue 6 véhiculaire allemande sera fondée ou conservée aux frais publics. Cette disposition finit d’être en vigueur seulement quand durant 2 années consécutives le nombre des | écoliers et écolières d’origine allemande se diminue continuellement. L’Union- Allemande (Deutschtumsbund) s’efforça de faire échouer ou d’affaiblir '7 j ce décret ou les dispositions des autorités scolaires, des inspections (Kuratorien) des districts scolaires, auxquelles incomba l’exécution du dit décret en ce qu’il concerna les écoles allemandes. En dépit de la publication de dispositions y relatives par la Pologne, on introduisait dans les communes où se trouvait une école allemande dont le nombre d’écoliers était moins de 40 ou, à la longue, tomba sous le nombre de 40, 8 des enfants de parents allemands qui demeuraient dans une autre commune non- appartenant au district scolaire, pour conserver par ce moyen l’école allemande et pour éviter sa suppression. Ce moyen que l’Union Allemande (Deutschtumsbund) 9 employait pour aboutir à son but, était en même temps illégal d’après le § 129 du Code Pénal parce qu’il était opposé à l’article 4 du décret susdit, car la fondation respectivement l’entretien d’une école allemande avait été fait dépendant du fait que dans la commune respective se trouvaient au moins 40 enfants à l’âge de la scolarité obligatoire de parents domiciliés dans la même commune et pas de parents domiciliés 10 I en partie dans une autre commune.“ Pour éclaircir ceci il faut mentionner que le Code pénal allemand qui est encore I aujourd'hui en vigueur dans la Pologne occidentale menace de prison la participation à | des réunions hostiles à l’Etat. On considère comme hostile à l’Etat des réunions dont le 11 but ou l’occupation consiste à empêcher ou à invalider l’exécution de lois ou de mesures des administrations. 12 13 14 15 19 16 Extract from the Judgment of the District Court in Bromberg in the indictment of Graebe, the leader of the German minority. In this case Graebe was condemned to 6 months imprisonment for infraction of Par. 129 Penal Code. Filing number of the District Court in Bromberg III. I. K. 218/30 Kp. 888/30.

Reasons for the Decision: The Minister for the Former Prussian Territories issued regulations on 10.3, 1920 for transforming education in the former Prussian territories (Dz. Urzedowy Nr. lti of 15. 4. 1920). In conformity with articles 8 and 9 of the Minorities Treaty of 28. (i 1929 the Minister of the Former Prussian Territories in these regulations also dealt with the question of the German schools and in Art, 4 ordered as follows: “Whenever in any district there are at least 40 children of school age with German I parents who are resident there and are Polish citizens, a special elementary school or a special school class with German as the instructional language will be established or I maintained for them there at the public expense. This arrangement shall only cease to have effect when the number of the German school children has diminished in two | successive years.” The German Union (Deutschtumsbund) tried to frustrate or to weaken this order, so far as it applied to the German schools, and to the orders of the school authorities, the central educational authorities (Kuratorien) and the school district authorities who were responsible for carrying out the above mentioned order, and who had issued the requisite regulations with reference thereto, by introducing into districts in which there was a German school, yet in which the number of children was less than 40 or in time fell below 40, children of German parents living in another district outside the area of the school. In this way the number of the children was increased to 40 in order to maintain the German school and prevent its being abandoned. The means taken by the German Union for attaining its object were both unlawful in respect of P ar. 129 Penal Code and opposed to Art. 4 of the above-mentioned regulations, for the establish­ ment or maintainance of a German school was made dependent on there being a t least 40 children of school age in the district concerned, and these were to be the children of parents resident in the same and not in another district . . .” By way of explanation it may be remarked that under the German Penal Code Par. 128, which is still operative in West Poland, participation in organisations inimical to the State is threatened with imprisonment. Those organisations are regarded as being inimical to the State of which the aims or activities consist in hindering or weakening the carrying out of the laws or regulations of the authorities.

20 Anlage Annexe Appendix

I

Y 4 5 6 7 8

9 L %

21 Auszug aus einigen Meldungen deutscher Zeitungen in Polen tiber Eingriffe in das Minder heitsschulwesen. Die Meldungen stammen aus der Zeit vom 25. August bis 18. Oktober 1928.

1. In S i p i o r y , , gibt es 9 3 deutsche Schulkinder. 63 da von gehen in die Schule mit deutscher Unterrichtssprache. 30 Kinder miissen in die zweiklassi»e polnische Schule gehen. Eine Eingabe der Eltern, diese 30 Kinder in die Schule mit deutscher Unterrichtssprache zu überführen, blieb ergebnislos. 2. InMarzenzin, , xvurde die von 80 Schtilern besuchte Schule mit deutscher Unterrichtssprache zwecks „Hoherorganisierung“ mit der polnischen Schule zusammengelegt und der deutsche Lehrer der polnischen Leitung unterstellt. 3. In N a k 1 o , , wurden auf Verfügung des Kreisschulinspektors vom 23. August 1928 die beiden Klassen der evangelischen deutschen Schule mit 93 Kindern der siebenklassigen katholischen Madchenschule mit polnischer Unterrichtssprache als Parallelklasse einverleibt. Die Leiterin der deutschen Schule, die 25 Jahre lang im Schuldienst steht, ist ihrer Leiterbefugnis enthoben und der polnischen Lehrerin unter­ stellt, die erst vor zwei Jahren ihre zweite Lehrerpriifung bestanden hat. 4. In Miedzylesie, , gab es eine evangelische deutsche Sammelschule, die von insgesamt 54 Schtilern, und zwar aus Gruntowice, Miedzylesie. Dabrowo und Damaslawek, besucht wurde. Diese Schule wurde aufgehoben. Die 27 Schtiler aus Gruntowice, Miedzylesie und Damaslawek wurden mit der katholischen Schule in Miaza zu einem zweiklassigen System mit polnischer Unterrichtssprache verbunden. Unter Zuhilfenahme der 27 deutschen Kinder aus Dabrowo wurde dort eine Schule mit polnischer Unterrichtssprache aufgemacht. Der deutsche Lehrer in Miedzylesie mit 38 Dienstjahren wurde dem polnischen Lehrer in Miaza, der noch keine zweite Priifung abgelegt hat, unterstellt. 5. In D z i a 1 d o w o , Kreis Soldau, ist auf Veranlassung des Kreisschulinspektors die Oberstufe der deutschen Volksschule mit der Oberstufe der polnischen Schule ver- einigt worden. 6. In Witunia, Kreis Zempelburg, sind die dort vorhandenen 21 deutschen Schtiler der Schule in Wiecbork zugeteilt worden. Sie sind aber nicht in die dort bestehenden deutschen Parallelklassen der hoherorganisierten Schule eingegliedert. sondern auf die polnischen Klassen verteilt worden. 7. In Drozdzienica, Kreis Tuchel, wurden die 58 Schtiler der deutschen Klasse (40 Kinder aus Drozdzienica und 18 Kinder aus Przymuszewo) am 1. Sep­ tember 1928 mit den polnischen Schtilern zu einer dreiklassigen Schule mit polnischer Unterrichtssprache zusammengelegt. Die Leitung wurde dem polnischen Lehrer Woelk gegeben, der ohne zweite Prtifung und ohne feste Anstellung ist, wâhrend der deutsche Lehrer Kowalski 33 Jahre ununterbrochen im Schuldienst steht.

22 Extrait de quelques informations de journaux allemands en Pologne sur des interventions concernant l’organisation des écoles minoritaires. Les informations datent du délai du 25 août au 18 octobre 1928.

1. A , District de Schubin, il y a 93 élèves allemands. 63 d’eux fréquentent l’école à langue véhiculaire allemande. 30 enfants doivent fréquenter l’école polonaise à deux classes. Une pétition des parents de faire fréquenter ces 30 enfants l’école à langue véhiculaire allemande, n’avait pas de résultat. 2. A Marzenin, District de Wreschen, l’école à langue véhiculaire allemande, 5 fréquentée par 80 élèves, fut combinée avec l’école polonaise à cause d’„organisation supérieure11. L’instituteur allemand fut subordonné à la direction polonaise. 3. A Naklo, District de Wirsitz, par ordonnance de l’inspecteur des écoles du district (Kreisschulinspektor) du 23 août 1928, les deux classes de l’école protestante 6 allemande avec 93 enfants furent incorporées comme classes parallèles dans l’école catholique des filles de sept classes à langue véhiculaire polonaise. La directrice de l’école allemande qui est depuis 25 ans au service scolaire, fut relevée de ses fonctions et subordonnée à l’institutrice polonaise, qui n’a fait son deuxième examen 7 d’institut ice que deux ans auparavant. 4. A Miedzylesie, District de Wongrowitz, il y avait une école collective pro­ testante qui fut fréquentée par 54 élèves de Gruntowice, Miedzylesie, Dabrowo et Damaslawek. Cette école fut supprimée. Les 27 élèves de Gruntowice, Miedzylesie et Damaslawek furent réunis avec l’école catholique de Miaza à un système de deux 8 classes à langue véhiculaire polonaise. En se servant des 27 enfants allemands de Dabrowo, on y a ouvert une école à langue véhiculaire polonaise. L’instituteur allemand à Miedzylesie avec 38 années de service fut subordonné 9 à l’instituteur polonais qui n’a pas encore fait son deuxième examen. 5. A Dzialdowo, District de Soldau, par l’instigation de l’inspecteur des écoles du district (Kreisschulinspektor) le degré supérieur de l’école primaire allemande a été réuni avec le degré supérieur de l’école polonaise. 10 6. A Witunia, District de Zempelburg, les 21 élèves allemands qui s’y trouvent ont été attribués à l’école de Wiecbork. Mais ils ne furent pas incoporés dans les classes parallèles allemandes de l’école à organisation supérieure, mais dans les classes polonaises. 11 7. A Drozdzienica, District de Tuchel, les 58 élèves de la classe allemande (40 enfants de Drozdzienica et 18 enfants de Pymuszewo) furent réunis le 1er sep­ tembre 1928 avec les élèves polonais dans une école de trois classes à langue véhiculaire polonaise. La direction fut donnée à l’instituteur polonais Woelk qui n’a 12 pas fait son deuxième examen et qui est sans placement fixe, tandis que l’instituteur allemand Kowalski est au service scolaire depuis 33 années sans interruption. 13 14 15 23 16 Extract from Reports contained in German Newspapers in Poland re Attacks on the Education of the Minority. The reports refer to the period from 25th August to 18th October 1928.

1. In Sipiory, Schubin District, there are 93 German school children, of whom 63 go to the school having German as the language in which the teaching is given. 30 children must go to the Polish school which has two classes. An application of the parents requesting that these 30 children might be transferred to the school with G erm an as the instructional language had no result whatever. 2. In Marzenin, Wreschen District, the school with German as instructional language and having 80 pupils, was amalgamated with the Polish school on the grounds of “Higher Organisation”, and the German teacher was placed under th< Polish headmaster. 3. In N a k 1 o , Wirsitz District, as a result of an order by the district school inspector dated 23rd August 1928 the two classes of the German Protestant school with 93 children wTere amalgamated as parallel classes with the Catholic girls’ school which had 7 classes and has Polish as instructional language. The headmistress of the German school, who has been in the educational service for 25 years, had her permission to act as principal of a school taken away and was placed under the Polish lady-teacher. who only pased her second teacher’s examination 2 years ago. 4. In M i e d z y 1 es i e , Wongrowitz District, there was a German Protestant school which served a number of neighbouring districts and altogether was visited by 54 pupils from Gruntowdce, Miedzylesie, Dabrowo and Damaslawek. This school was closed. The 27 pupils from Gruntowice, Miedzylesie and Damaslawek were brought into a tw o class system in the Catholic school in Miaza which has Polish as the instructional language. With the assistance of the 27 German children in Dabrowo a new school with Polish as the instructional language was started there. The German teacher in Miedzylesie who had 38 years’ service was placed under a Polish teacher in Miaza who had not yet passed his second examination. 5. In D z i a 1 d o wT o , Soldau District, on the recommendation of the district school inspector the higher classes of the German elemantary school were amalgamated with the higher classes of the Polish school. 6. In W i t u n i a , Zempelburg District, the local German children, 21 in number, have been handed over to the school in Wiecbork. They were not, however, placed in the German parallel classes of the higher grade school there, but were distributed amongst the Polish classes. 7. In Drozdzienica, Tuchel District, on the 1st of September 1928, the 58 pupils of the German class (40 children from Drozdzienica and 18 children from Przymuszewo) were combined with the Polish pupils to form a school with 3 classes having Polish as the instructional language. The headmastership was entrusted to the Polish teacher Wo elk who had not passed his second examination and was without the right to a permanent appointment, while the German teacher Kowalski had been uninterruptedly in the education service for 33 years.

24 f

Anlage Annexe Appendix

13 14 15

25 16 , »

Vergleichende Übersicht über die Zahl der deutschen Klassen an polnischen staatlichen Volks- schulen in den Woiwodien Thorn und Posen Schuljahr 1925/26 und 1930/31.

Schuljahr 1925/26 Schuljahr 1930/31

Kreis Zahl Klassen mit Klassen mit Zahl Klassen mit Klassen mit der deutscher gemischter der deutscher gemischter Lfd. Lfd. Nr. Klassen Unterrichts­ Unterrichts­ Klassen Unterrichts­ Unterricht- insgesamt sprache sprache insgesamt sprache sprache

I. W oiwodie Thorn. 1. Berent ...... 8 8 — 2 — 2 2. B riesen ...... 12 12 — 6 5 1 3. C ulm ...... 7 6 1 2 2 4. Dirschau...... 6 6 — 3 3 — 5. Graudenz ...... 23 22 1 7 7 — 6. K arth au s...... 10 6 4 3 2 1 7. Konitz ...... 11 9 2 12 12 — 8. Lobau ...... 4 4 ——— - 9. Mewe ...... —————— 10. Neustadt ...... 3 3 — 1 1 — 11. Putzig ...... 6 2 4 2 — 2 12. Soldau ...... 4 3 1 2 2 — 13. S ch w etz...... 22 18 4 1 1 14. Stargard ...... 3 3 — 2 1 i 15. Strasburg ...... 4 4 — 1 1 — 16. T h o m ...... 18 14 4 8 8 — 17. Tuchel ...... 5 5 —■ — — — 18. Zempelburg...... 15 13 2 10 9 1 Zusammen : 161 138 23 62 54 8 II. W oiw odie Posen. 1. Adelnau ...... 3 2 1 2 2 — 2. B im b au m ...... 9 8 1 4 4 — 3. Bromberg ...... 44 40 4 29 29 — 4. Czarnikau...... 11 11 — 6 6 — 5. G n esen ...... 23 22 1 9 9 — 6. G o sty n ...... 5 5 — 1 1 — 7. Gràtz ...... 4 3 1 1 1 — 8. Hohensalza ...... 26 22 4 11 11 — 9. Jarotsch in ...... 4 4 — 2 2 — 10. K em pen...... 1 1 ———— 11. Kolmar...... 36 33 3 24 24 — 12. Koschmin...... 4 4 — 2 2 — 13. K o s te n ...... 1 1 — — —- — 14. Krotoschin ...... 10 10 — 4 1 3 15. L issa ...... 17 15 2 9 9 — 16. Mogilno ...... 21 21 — 7 7 — 17. Neutomischel.... 38 31 7 25 25 — 18. Obomik ...... 29 23 6 11 11 — 19. O strow o...... ———— —. — 20. Pleschen...... 6 6 — 3 3 — 21. P o s e n ...... 24 24 — 11 11 — 22. R a w itsch ...... 11 11 — 3 3 — 23. S am ter...... 10 10 — 1 1 — 24. Schildberg...... —— —— - __ Transport: 337 307 30 165 162 3

26 Schuljahr 1925/26 Schuljahr 1930/31

£ Kreis Zahl Klassen mit Klassen mit Zahl Klassen mit Klassen mit ■d der deutscher gemischter der deutscher gemischter H Klassen Unterrichts­ Unterrichts­ Klassen Unterrichts­ Unterrichts­ insgesamt sprache sprache insgesamt sprache sprache

Transport: 337 307 30 165 162 3 1 2 25. Schmiegel...... 4 3 — ?fi. Sehrimm ...... 5 5 — — — — 1 1 27. Schroda ...... 4 4 -— — 28. S c h u b in ...... 23 23 — 11 11 — 1 Z9. S tre ln o ...... 4 4 — — 30. W irsitz ...... 39 38 1 25 25 — 15 31. W o llstein ...... 22 22 — 15 — 32. W m igrow itz...... 24 24 — 13 13 — 33. W reschen...... 7 7 — 3 3 — 34. Z nin...... 16 14 2 4 4 — Zusammen: 485 451 34 240 237 3 6 Zusammenstellung. T Woiwodie Thom 161 138 23 62 54 8 II Woiwodie Posen 485 451 34 240 237 3 7 Zusammen: 646 589 57 302 291 11 8 9 10 11 12 13 14 15

27 16 1

Tableau comparatif du nombre des classes allemandes aux écoles primaires polonaises publiques dans les voievodies de Torun (Thorn) et Poznan (Posen). Années scolaires 1925/6 et 1930/1.

Année scolaire 1925/6 Année scolaire 1930/1

No. District Nombre Classes Classes Nombre Classes Classes total à langue à langue total à langue à langue des véhiculaire véhiculaire des véhiculaire véhiculaire classes allemande mixte classes allemande mixte

I. Vo iev o d ie d e Torun (Thorn). 1. Berent ...... 8 8 2 2 2. B riesen...... 12 12 — 6 5 1 3. C ulm ...... 7 6 1 2 2 — 4. Dirschau...... 6 6 — 3 3 — 5. Graudenz...... 23 22 1 7 7 — 6. K arthaus...... 10 6 4 3 2 1 7. Konitz ...... 11 9 2 12 12 — 8. Lobau ...... 4 4 — - — 9. Mewe ...... ————— 10. N e u sta d t...... 3 3 —■ 1 1 11. Putzig 6 2 4 22 — 2 12. Soldau ...... 4 3 1 2 2 — 13. S ch w etz...... 22 18 4 1 1 — 14. Stargard ...... 3 3 — 2 1 1 15. StraBburg ...... 4 4 — 1 1 16. T h o m ...... 18 14 4 8 8 — 17. Tuchel ...... 5 5 ——— 18. Zempelburg...... 15 13 2 10 9 1

Total : 161 138 23 62 54 8

II. Vo iev o d ie de Poznan (Posen). 1. A delnau ...... 3 2 l 2 2 2. Bim baum ...... 9 8 l 4 4 — 3. Bromberg ...... 44 40 4 29 29 — 4. Czamikau...... 11 11 — 6 6 — 5. G n e s e n ...... 23 22 1 9 9 — 6. G ostyn ...... 5 5 — 1 1 — 7. Grâtz ...... 4 3 1 1 1 — 8. Hohensalza ...... 26 22 4 11 11 — 9. Jarotschin...... 4 4 — 2 2 — 10. K em pen...... 1 1 ——— — 11. Kolmar ...... 36 33 3 24 24 — 12. Koschmin...... 4 4 — 2 2 — 13. K o ste n ...... 1 1 ———— 14. Krotoschin ...... 10 10 — 4 1 3 15. L issa ...... 17 15 2 9 9 — 16. Mogilno ...... 21 21 — • 7 7 — 17. Neutomischel. . . . 38 31 7 25 25 18. O b om ik ...... 29 23 6 11 11 19. O strow o...... ———— —— 20. Pleschen...... 6 6 — 3 3 — 21. P o s e n ...... 24 24 — 11 11 — 22. Rawitsch ...... 11 11 — 3 3 — 23. Sam ter...... 10 10 — 1 1 — 24. Schildberg...... ————— — Transport: 337 307 30 165 162 3

28 Année scolaire 1925/26 Année scolaire 1930/31

District Nombre Classes Classes Nombre Classes Classes No. total à langue à langue total à langue à langue des véhiculaire véhiculaire des véhiculaire véhiculaire classes allemande mixte classes almande mixte

Transport 337 307 30 165 162 3

Schmiegel...... 4 3 1 2 2 — ■ Schrimm ...... S c h ro d a ...... 4 4 1 1 S c h u b in ...... 23 23 — 11 11 — S tre ln o ...... 4 4 — 1 1 — W iraitz...... 39 38 1 25 25 — Wollstein ...... 22 22 — 15 15 — W ongrow itz...... 24 24 — 13 13 — W reschen...... 7 7 — 3 3 — Znin ...... 16 14 2 4 4 — 485 451 34 240 237 3 6 R ésum é. I Vol T orun...... 161 138 23 62 54 8 II Voi, Poznan .... 485 451 34 240 237 3 7 Total: 646 589 57 302 291 11 8 9 10 11 12 13 14 15 4* 29 16 I

Comparative Table of the number of German classes in Polish state elementary schools in the administrative districts of Thorn and Posen for the school years 1925/1926 and 1930/31.

School year 1925/26 School year 1930/31

No. District Total Classes with Classes with Total Classes with Classes with Number German mixed Number German mixed of as language instructional of as language instructional- classes of instruction languages classes of instruction lansmages

I. Thorn Distrikt. 1. Berent ...... 8 8 — 2 2 2. B riesen...... 12 12 — 6 5 1 3. C ulm ...... 7 6 1 2 2 — 4. Dirschau...... 6 6 — 3 3 — 5. Graudenz ...... 23 22 1 7 7 6. K arthaua...... 10 6 4 3 2 1 7. Konitz ...... 11 9 2 12 12 -- 8. Lobau ...... 4 4 ——— 9. Mewe ...... ———— 10. Neustadt ...... 3 3 — 1 1 11. Putzig ...... 6 2 4 22 — 2 12. Soldau ...... 4 3 1 2 2 13. S ch w etz...... 22 18 4 1 1 14. Stargard ...... 3 3 — 2 1 1 15. StraBburg ...... 4 4 — 1 1 16. T h o m ...... 18 14 4 8 8 17. Tuchel ...... 5 5 ———— 18. Zempelburg...... 15 13 2 10 9 161 138 23 62 54 3

II. Posen District. 1. A delnau...... 3 2 1 2 2 2. Bim baum ...... 9 8 1 4 4 3. Bromberg ...... 44 40 4 29 29 4. Czamikau...... 11 11 — 6 6 5. G nesen ...... 23 22 1 9 9 6. G o sty n ...... 5 5 — 1 1 7. Gràtz ...... 4 3 1 1 1 8. Hohensalza ...... 26 22 4 11 11 9. Jarotschin...... 4 4 — 2 2 10. K em pen...... 1 1 ——— 11. Kolmar ...... 36 33 3 24 24 12. Koschmin...... 4 4 — 2 2 13. K o s te n ...... 1 1 — — — 14. Krotoschin ...... 10 10 — 4 1 15. L issa...... 17 15 2 9 .9 16. Mogilno ...... 21 21 — 7 7 17. Neutomischel.... 38 31 7 25 25 18. O b om ik ...... 29 23 6 11 11 19. O strow o ...... ———— — 20. Pleschen ...... 6 6 — 3 3 21. P o s e n ...... 24 24 — 11 11 22. Rawitscli...... 11 11 — 3 3 — 23. S am ter...... 10 10 — 1 1

24. Schildberg...... ——— — — Carry Forward: 337 307 30 165 162 3

30on School year 1925/26 School year 1930/31

D istrict T o ta l Classes with Classes with T o tal Classes with Classes with No. N um ber G erm an m ixed N um ber G erm an m ixed of as language instructional of as language instructional classes of instruction languages classes of instruction languages

Garry Forward 337 307 30 165 162 3 4 3 1 2 2 ?ü. Schm iegel...... — %. Schvimm ...... 5 5 —- ——— 4 4 1 1 f>7. gchroda ...... — — 11 11 28. S c h u b in ...... 23 23 — — 39. S tre ln o ...... 4 4 —• 1 1 — 30. W irsitz ...... 39 38 1 25 25 — 22 22 15 15 31. W o ilste in ...... — — 32. W ongrow itz...... 24 24 — 13 13 — 3.1 W reschen...... 7 7 — 3 3 — 34. Z n in ...... 16 14 2 4 4 — 485 451 34 240 237 3

Sum m ary. 6 I Administrative District of T h o r n ...... 161 138 23 62 54 8 7 II Administrative District of P o s e n ...... 485 451 34 240 237 3 646 589 57 302 291 11 8 9 10 11 12 13 14 15 31 16 Anlage Annexe Appendix

6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 V

Verzeichnis von deutschstâmmigen an deutschen Minderheitsschulen der Wojewodie Thorn beschaftigt gewesenen Lehrern, die a) obgleich noch dienstfâhig, in den nichttàtigen oder Euhestand übergeführt b) nach KongreBpolen versetzt sind. a) In den nichttàtigen Stand oder Ruhestand übergeführte Lehrer.

In den In den Ltd. Geburts- nichttàtigen Name des Lehrers Bisheriger Dienstort Nr. datum Stand Ruhestand versetzt am versetzt am

1. Fenger, Adolf 18. 11. 87 Wielka Zlawies, Kr. Thorn 1. 10. 1930

2. Haase, Alois 21. 6. 94 Zamarte, Kr. Konitz 1. 12. 1930

3. Lenz, Bruno 27. 2. 85 Kensau, Kr. Tuchel 1. 1. 1930

4. Mielke, Ernst 4. 2. 85 Poleczyn, Kr. Karthaus 1. 10. 1929

5. Holler, Joh. 8. 2. 79 Wieldzadz, Kr. Culm 1. 9. 1930

6. Schiiman — Graudenz — 1. 9. 1930 b) Nach KongreBpolen versetzte Lehrer.

Lfd. Im Lehramt Neuer Dienstort Name des Lahrers Bisheriger Dienstort versetzt am Nr. seit in KongreBpolen

1. Aberle, Kurt 1922 Briesen 15.11.1930 Warschau

2. Bonus, Bruno 1921 Kladau 1. 9.1929 Bilgoraj, Woj. Lu­ blin 3. Czinke, Bruno 1921 Zaudersdorf 1. 9.1930 Zabarow, Woj. War­ schau 4. Bartsch, Franz 1913 Dirschau 1. 9.1929 Warschau

5. Czelinski, Joh. 1898 Neustadt 1. 9.1929 Garwolin, Woj. Lublin 6. Ewert — Richnau 1.11.1929 Pruszkow, Woj. Warschau 7. Fritz, August 1902 Neukirch 1. 4.1930 Pinczow, Woj. Krakau 8. Gollnick, Joh. 1913 Malankowo, Kr. Schwetz 1. 11.1930 Bilgoraj, Woj.Lublin

9. Kowalski, Franz 1898 Drausnitz 1. 9.1929 Chelm, Woj.Lublin

10. Kursinski, Gustav 1901 MalePulkowo, Kr.Briesen 1. 4.1930 Radom, Woj.Krakau

11. Lawrenz, Gustav 1907 Plewno 1. 4.1931 Kielce

12. Liick — Marienhof 1. 9.1929 Makowmazowiecki, Kr. Warschau 13. Prohl, Robert 1905 Wielka-Nieszawka, 1. 8.1930 Obora, Kr. Slupca Kr. Thorn 14. Raddatz, Ewald 1925 Pluznica, Kr. Briesen 1.10.1929 Warschau

15. Strehlau, Kurt 1914 Briesen 1. 9.1929 Biala Podlaska, Woj. Lublin 16. Strey, Franz 1901 Kokocko, Kr. Culm 1. 4.1931 Pomorzany, pow. Olkusz 17. Templin, Walter 1919 Dobowalaka, Kr. Briesen 1.11.1929 Skiemiewice, Woj. Warschau 18. Tuschick, Joseph 1894 Konitz 1. 9.1929 Lublin

34 Liste a instituteurs de langue allemande qui ont été occupés aux écoles minoritaires de la voivodie de Torun (Thorn) et a) qui, en dépit qu’ils étaient encore aptes au service, furent mis en inactivité ou pensionnés; b) que l’on fit passer aux territoires autrefois russes de la Pologne. a) Instituteurs mis en inactivité ou pensionnés :

Nom de Date de Fit son service jusqu’à Mis a Pensionné No. l’ instituteur naissance présent à l’inactivité

1. Fenger, Adolf 19. 11. 87 Wielka Zlawies, Distr. Torun 1. 10. 1930

2. Haase, Alois 21. 6. 94 Zamarte, Distr. Konitz 1. 12. 1930

3. Lenz, Bruno 27. 2. 85 Kensau, Distr. Tuchel 1. 1. 1930

4. Mielke, Emst 4. 2. 85 Poleczyn, Distr. Karthaus 1. 10. 1929

5. Môller, Joh. 8. 2. 79 Wieldzaz, Distr. Culm 1. 9. 1930

6. Schüman — Graudenz — 1. 9. 1930 b) Instituteurs que l’on fit passer aux territoires autrefois russes de la Pologne :

Au service Nouveau lieu de Nom de Fit son service jusqu’à Date du service aux scolaire No. l’instituteur présent à déplacement territoires polon. depuis autrefois russes 7

1. Aberle, Kurt 1922 Briesen 15. 11.1930 Varsovie 2. Bonus, Bruno 1921 Kladau 1. 9.1929 Bilgorai.Voi.Lublin 8 3. Czinke, Bruno 1921 Zaudersdorf 1. 9.1930 Zaborow, Voi. Varsovie 4. Bartsch, Franz 1913 Dirschau 1. 9.1929 Varsovie 9 5. Czelinski, Joh. 1898 Neustadt 1. 9.1929 Garwolin, Voi. Lublin

6. Ewert — Richnau 1. 11.1929 Pruszkow, Voi. Varsovie 10 7. Fritz, August 1902 Neukirch 1. 4.1930 Pinczow, Voi. Cra- covie 8. Gollnick, Joh. 1913 Malankowo, Kr. Schwetz 1.11.1930 Bilgoraj, Voi.Lublin

9. Kowalski, Franz 1898 Drausnitz 1. 9.1929 Chelm, Voi. Lublin 11

10. Kursinski, Gustav 1901 Maie Pulkowo, Kr. Briesen 1. 4.1930 Radom,Voi.Cracowie 11. Lawrenz, Gustav 1907 Plewno 1. 4.1931 Kielce 12 12. Lück — Marienhof 1. 9.1929 Markowmazowieck, Voi. Varsovie 13. Prohl, Robert 1905 Wielka-Nieszawka, 1. 8.1930 Obora, Kr. Thom Distr. Slupca 13 14. Raddatz, Ewald 1925 Pluznica, Kr. Briesen 1. 10.1929 Varsovie

15. Strehlau, Kurt 1914 Briesen 1. 9.1929 Biala Podlaska, Voi. Lublin 14 16. Strey, Franz 1901 Kokocko, Kr. Culm 1. 4.1931 Pomorzany, pow. Olkusz 17. Templin, Walter 1919 Dobowalaka, Kr. Briesen 1. 11. 1929 Skiemiewice, Voi. Varsovie 15 18. Tuschick, Joseph 1894 Konitz 1. 9.1929 Lublin 5 35 16 I /

List of Teachers of German extraction formerly engaged at German Minority Schools ' the administrative district of Thorn who, a) although still able to work, have been withdrawn from service or placed on retired pay, or b) transferred to Congress-Poland. a) Teachers who have been withdrawn from service or placed on retired pay

Withdrawn Date of No. Teacher’s name Former place of service from service Put on birth on retired pay

1. Fengcr, Adolf 18. 11. 87 Wielka Zawies (Thom Distr.) 1. 10. 1930

2. Haase, Alois 21. 6. 94 Zamarte (Konitz Distr.) 1. 12. 1930

3. Lenz, Bruno 27. 2. 85 Kensau (Tuchel Distr.) 1. 1. 1930

4. Mielke, Ernst 4. 2. 85 Poleczyn (Karthaus D.) 1. 10. 1929

5. Môller, Joh. 8. 2. 79 Wieldzadz (Culm Distr.) 1. 9. 1930

6. Schümann — Graudenz — 1. y. 1930 b) Teachers transferred to Congress Poland.

Has been New place of Transferred No. Teacher’s name teaching Former place of service service in on since Congress Poland

1. Aberle, Kurt 1922 Briesen 15.11.1930 Warsaw

2. Bonus, Bruno 1921 Kladau 1. 9.1929 Bilgoraj (Lublin Distr.) 3. Czinke, Bruno 1921 Zaudersdorf 1. 9.1930 Zaborow (Warsaw Distr.) 4. Bartsch, Franz 1913 Dirschau 1. 9.1929 Warsaw

5. Czelinski, Joh. 1898 Neustadt 1. 9.1929 Garwolin (Lublin Distr.) 6. Ewert Richnau 1.11.1929 Pruszkow (Warsaw Distr.) 7. Fritz, August 1902 Neukirch 1. 4.1930 Pinczow (Krakau Distr.) 8. Gollnick, Joh. 1913 Malankowo 1.11.1930 Bilgoraj (Lublin Distr.) 9. Kowalski, Franz 1898 Drausnitz 1. 9.1929 Chelm (LublinDistr.)

10. Kursinski, Gustav 1901 Male Pulkowo (Briesen 1. 4.1930 Radom (Krakau Distr.) Distr.) 11. Lawrenz, Gustav 1907 Plewno 1. 4.1931 Kielce

12. Liick __ Marienhof 1. 9.1929 Makawmazowiecki (Warsaw Distr.) 13. Prohl, Robert 1905 Wielka-Nieszawka 1. 8.1930 Obora( S1 upcaDistr.) (Thom Distr.) 14. Raddatz, Ewald 1925 PI uznica (Briesen Distr.) 1.10.1929 Warsaw

15. Strehlau, Kurt 1914 Briesen 1. 9.1929 Biala, Podlaska (Lublin Distr.) 16. Strey, Franz 1901 Kokocko (Culm Distr.) 1. 4.1931 Pomorzany, pow. Olkusz 17. Templin, Walter 1919 Dobowalaka (Briesen 1.11.1929 Skiemiewice Distr. ) (Warsaw Distr.) 18. Tuschick, Joseph 1894 Konitz 1. 9.1929 Lublin

36 Aniage Annexe Appendix

7 8 9 10 11

12 Ml 13 14 15 37 16 1

Posener Tageblatt vom 10. Marz 1929. Nr. 58.

Aus dem Rundschreiben des Kuratoriums Posen an die Schulinspektoren vom 25. Januar 1927. ,,Durch die unnatiirliche Ausbreitung des Privatschulwesens, deren Ursache des ofteren weder in der Sorge um das Wohl der Schulkinder, noch der Sorge um die Em- wicklung und Hebung des Schulwesens überliaupt, sondern in verschiedenen Neben- riicksichten zu suchen ist, hat sich das Kuratorium zu emeuter Untersuchung dieser Angelegenheit und zum Beschlufi folgender Bestimmungen veranlaBt gesehen; Weil auf Grund der Verordnung des Ministeriums für Religionsbekenntnisse und offentliche Aufklarung vom 15. 6. 1926 keine nichtqualiflzierten Kandidaten mehr für den Schuldienst angenommen werden dürfen, wird das Kuratorium keine Konzession und Unterrichtserlaubnis in Privatschulen mehr an Kandidaten erteilen, die nicht im Besitz der für das Volksschulwesen vorgeschriebenen Qualifikation sind. Mit Rücksicht darauf, daB die Entstehung von Privatschulen wahrend des Schul- jahres das offentliche Schulwesen desorganisiert, wird die Errichtung neuer Privat­ schulen grundsâtzlich in Zukunft nur am Anfang des Schuljahres môglicb sein. Die Gesuche um Erteilung neuer Konzession zur Eroffnung und Unterhaltung einer Privatschule sind bis zum 1. Marz jedes Jahres bei dem Kuratorium einzuieichen. Die nach diesem Termin dem Kuratorium oder dem Inspektor vorgelegten Antrage konnen der Gefahr ausgesetzt sein, da6 die Konzession für das betreffende Schuljahr nicht mehr erteilt wird. In diesem Jahr wird der Termin für die Antrage ausnahmsweise bis zum 1. April verlangert. Im Sinne des § 18 h der Verordnung des Ministeriums für Religionsbekenntnisse und offentliche Aufklarung vom 26. Januar 1921 über den vorlâufigen Aufbau der Schulbehôrde wird jeder Antrag um eine Konzession zum Betrieb einer Privatschule dem zustândigen Kreisschulrat zur Begutachtung vorgelegt. Der Kreisschulrat hat sich vor allem darüber zu auBern: 1. ob der Antragsteller die entsprechende moralische Qualifikation besitzt, 2. die Notwendigkeit der Organisierung einer neuen oder die Erhaltung einer bereits vorhandenen Privatschule vorliegt, 3. die Entstehung einer neuen Schule nicht den Organisationsgrad der vorhandenen ôffentlichen Schulen herabsetzt oder nicht die SchlieBung benachbarter Schulen ver- ursacht, 4. die Entstehung einer neuen Privatschule die Hebung des Organisation sgrades der vorhandenen Schulen vereitelt oder nicht das Unterrichtsniveau dieser Schulen herabsetzt, 5. die Privatschule dieselben Unterrichts- und hygienischen Bedingungen haben wird, wie die auf gleicher Stufe stelienden lokalen ôffentlichen Schulen. Mit Rücksicht auf die groBe Bedeutung der hygienischen Bedingungen d e r Schule wird angeordnet, daB in Zukunft die Herren Amtsarzte ihre Zeugnisse über den Zu stand der für Privatschulen bestimmten Raumlichkeiten amtlich an das K uratorium senden. Da es des ofteren vorkommt, daB private Volksschulen und sogenannte Vor- bereitungsschulen ein den Programmen der auf gleicher Stufe stelienden ôffentlichen Schulen nicht entsprechendes Lehrprogramm einführen, und daher manchmal nur ver-

38 w

, te Mittelschulen sind, wird angeordnet, daB mit Beginn des kommenden Schul- • hres der Unterricht in den durch die Programme der Volksschulen und Abteilungs- Ifliulen nichterfaBten Fachern, d. h. vor allem in den klassischen Sprachen, in den Privatschulen vom Typ der Yolks- und Abteilungsschulen nicht gestattet sein wird. Schulen. die diesen Unterricht eingefiihrt haben oder einfiihren wollen, mtissen sich um due Konzession für Mittelschulen bewerben. Die Benutzung eines anderen Namens als des in der Konzession angegebenen oder die Anwendung eines in der Konzession nicht vorgesehenen Programms ist Grund zur Entziehung der Konzession. Zwecks Regelung der Schulprogramme wird angeordnet, daB in Zukunft jedem \ntrag mn eine Konzession eine Erklarung beizufügen ist, nach welchem Programm 1er Unterricht stattfinden soil und samtliche Abweichungen von den Programmen der ôffentlichen Volks- und Abteilungsschulen genau anzugeben sind. Die Stundenplane müssen wie bisher den Inspektoraten vorgelegt werden. Auch darf es für die Schidbehôrde nicht gleichgültig sein, wer die Schule unter- hâlt bzw. welche Leistungen die Eltern zur Unterhaltung der Privatschule tragen. Deshalb wird angeordnet, daB in Zukunft den Gesuchen um eine Konzession ein Schul- haushalt beizufügen ist, aus welchem hervorgeht, wer die Schule unterhâlt, welche Leistungen und von wem zur Unterhaltung der Schule bezogen werden. Mit Rücksicht auf die groBe Tragweite der Angelegenheit des Privatschulwesens ist die Beaufsichtigung der Privatschulen eine Angelegenheit von besonders groBer Wichtigkeit. Das Kuratorium bestimmt, daB, auch falls die Privatschulen in finanzieller Hinsicht von den Schulbehôrden nicht abhangig sind, die pâdagogische Aufsicht jedocb nur den Schulbehôrden zusteht und die Schulbehôrden für ihr Niveau in wissenschaft- liclier, erzieherischer und hygienischer Hinsicht verantwortlich sind. Deshalb werden die Herren Inspektoren ersucht, diese Schulen ôfters zu visitieren und ihnen überhaupt mehr Aufmerksamkeit zu widmen. Über die Visitation und Revision jeder Privatschule muB wenigstens eine Revisionsberichterstattung für jedes Schuljahr dem Kuratorium iibersandt werden. In diesem Bericht ist festzustellen, ob die betreffende Schule das ihr vorgeschriebene Programm ausführt. Zu den aus der Beaufsichtigung sich er- gebenden Pflichten gehôrt auch, daB darauf geachtet wird, daB in den Privatschulen niemand unterrichtet, der nicht die Konzession oder Erlaubnis zum Unterricht besitzt. Es darf jedenfalls nicht vorkommen, was sich leider oft ereignet hat, daB die Lehrer einige Wochen nach Amtsantritt bei dem Kuratorium wegen Erteilung der Unterrichts- 8 genehmigung eingekommen sind. Denn das Kuratorium bestatigt nichti die Lehrer der Privatschulen, sondern erteilt ihnen die Konzession oder Unterrichtserlaubnis, ohne welche sie nicht das Recht des Eintritts in die Schule haben. In Zukunft wird das 9 Kuratorium diejenigen Leiter von Privatschulen, die Lehrer ohne Unterrichts- genehmigung annehmen, wegen Überschreitung der Vorschriften und die Herren Inspektoren wegen Unachtsamkeit zur Verantwortung ziehen. Zwecks Kontrollierung der hygienischen Bedingungen des Privatschulwesens, das 10 infolge der obigen Bestimmungen sowie infolge endgiiltiger Regulierung der Angelegen- heit der Lehrerqualifikationen mit Ende des laufenden Schuljahres groBen Arerande- mngen unterliegt, werden die Herren Schulinspektoren ersucht, dem Kuratorium bis zum 1. Marz 1927 ein Verzeichnis der Privatschulen ihrer Kreise nach beigefügtem Muster zu übersenden. 11 Zwecks Kontrollierung der hygienischen Bedingungen der Privatschulen ordnet das Kuratorium an, daB jede Privatschule künftig ein Sanitatsbuch zu führen hat. Bis zum 1. Mai 1927 übersenden allé Privatschulen durch das Inspektorat dem Kuratorium O.S.P. das ausgefüllte erste Formular des Bûches unter der Überschrift „Zustand der 12 Râumlichkeiten und Einrichtung der Schule“. Die Anzahl der Kinder und Râume ist nach dem Stand vom 1. Januar 1927 anzugeben. Das Sanitatsbuch ist in Poznan in der Ksiegarnia Spolki Pedogogicznej, ul. Podgorna zu haben. Bei Gelegenheit der 13 Visitation der Privatschulen überzeugen sich die Inspektoren, ob in dem Sanitatsbuch die wirkliche Zahl der Kinder in den einzelnen Klassen angegeben worden ist, und ob diese Zahl nicht zu hoch ist. Auf ein Kind soil in dem Klassenraum wenigstens 1 qm FuBbodenflâche bzw. 3,5 m3 Luft entfallen. 14 In der Angelegenheit der Konzession zur Errichtung von Privatschulen. Das Kuratorium gibt bekannt, daB bei der Erledigung der Antrage um Konzession zur Errichtung von privaten Volks-, Abteilungs- und Mittelschulen folgende Grundsatze gewahrt werden: 15 39 16 1. Um eine Konzession kônnen sich nur die Personen bemühen, die im Besitz d ' für den betreffenden Schultyp vorgeschriebenen Berufsqualifikationen sind. 2. Derselbe Grundsatz bezieht sich auch auf die Unterrichtserlaubnis. 3. Die Antrage um eine Konzession sind bis zum 1. Mârz jedes Jahres einzu reichen. Im laufenden Jahre wird das Kuratorium die Antrage bis zum 1. Ami annehmen. 4. Dem Antrag ist beizulegen: a) ein Unterrichtsprogramm oder Erklârung, daB das Programm der beabsichtio-ten Anstalt ohne Verânderungen den vorschriftsmâBigen Programm en der staat- lichen Schulen entsprechen soil; b) ein Plan des als Schule bestimmten Lokals mit den MaBen; c) ein Verzeichnis der Unterrichtskràfte und Schuleinrichtungen; d) ein Voranschlag des Schulhaushalts mit Angabe der Unterhaltung derselben 5. Der in der Konzession festgesetzte Name ist obligatorisch für die Anstalt; ein anderer darf nicht benutzt werden. 6. Nur das in der Konzession bestâtigte Programm darf in der Schule angewandt und ôffentlich bekanntgemacht werden. 7. Die Erôffnung neuer Schulen ist grundsâtzlich nur mit Beginn des Schuljahres zulâssig. 8. Vor Erteilung der Konzession dürfen unter keiner Bedingung Schüler in der Schule versammelt werden.11

40 P osener Tageblatt du 10 mars 1929, Nr. 58.

Extrait de la Circulaire de la commission scolaire de Poznan (Posen) adressée aux inspecteurs des écoles, le 25 janvier 1927. ,,L’expansion anormale des écoles privées dont la cause n’est à trouver assez souvent ni dans les soins du bien-être des écoliers ni dans les soins du développement et de l’amélioration de l’instruction publique en général, mais dans différentes considérations secondaires, a engagé la commission scolaire (Kuratorium) d’examiner de nouveau cette question et de prendre les résolutions suivantes: Etant donné qu'en suite du Décret du Ministère des cultes et de l’instruction publique du 15 juin 1926 des candidats non-qualifiés pour le service scolaire ne sont plus admis, la commission scolaire (Kuratorium) n’accordera plus de concessions et d’autorisations d’enseignement à des candidats qui ne possèdent pas la qualification prescrite pour les écoles primaires. En considérant le fait que la formation d’écoles privées pendant l’année scolaire désorganise l’instruction publique, par principe, la fondation de nouvelles écoles privées, à l’avenir, ne sera possible qu’au commencement de l’année scolaire. Les demandes pour obtenir des concessions nouvelles pour l’ouverture et l’entretien d’une école privée doivent être présentées à la commission scolaire (Kuratorium) jusqu’au 1er mars de chaque année. Les demandes présentées à la commission scolaire (Kuratorium) ou 8 à l’inspecteur après ce terme, pourront courir risque que la concession ne sera plus accordéé pour l’année scolaire en question. Dans cette année le terme pour la pré­ sentation des demandes sera, par exception, prolongé jusqu’au 1er avril. 9 D’après l’alinéa h du § 18 du décret du Ministère des cultes et de l’instruction publique du 26 janvier 1926 sur l’organisation préalable des autorités scolaires, chaque demande pour obtenir la concession pour l’ouverture d’une école privée est soumise à l’examen de l’inspecteur des écoles du district (Kreisschulrat) compétent. L’inspecteur devra s’exprimer avant tout sur les questions suivantes: 10 1. Si le proposant possède la qualification morale respective, 2. Si la nécessité de l’organisation d’une nouvelle école privée ou de la conservation d’une école privée déjà existante est donnée, 11 3. Si la fondation d’une école nouvelle ne discrédite pas le degré d’organisation des écoles publiques déjà existantes, ou si elle ne cause pas la fermeture des écoles voisines, 4. Si la fondation d’une nouvelle école privée ne fera pas échouer l'amélioration 12 du degré d’organisation des écoles déjà existantes ou ne dépréciera pas le niveau de l’enseignement de ces écoles, 5. Si l’école privée possédera les mêmes conditions d’enseignement et d’hygiène que les écoles publiques locales du même degré. 13 En considérant la grande importance des conditions hygiéniques de l’école est décrété que MM. les médecins officiels (Amtsarzte) envoient, à l’avenir, leurs certificats sur l’état des locaux destinés pour les écoles privées officiellement à la commission scolaire (Kuratorium). 14 Etant donné qu’il est arrivé plusieurs fois que des écoles primaires privées et des soi-disantes écoles préparatoires introduisent un programme d’études qui ne correspond Pas aux programmes d’études des écoles publiques du même degré et que ces écoles 15 préparatoires sont donc parfois au fond des écoles primaires supérieures masquées, 41 16 m i est décrété que dès le commencement de l’année scolaire prochaine l’enseignement dans les branches non-saisies par les programmes des écoles primaires et des écoles polonn allemandes (Abteilungsschulen), c’est-à-dire en première ligne l’enseignement des langue classiques ne sera plus permis dans les écoles privées du type des écoles primaires et des écoles polono-allemandes (Abteilungsschulen). Des écoles qui auront introduit ce* enseignement ou veulent l’introduire, doivent demander une concession pour dos écoles primaires supérieures. L’emploi d’un autre nom que celui qui est indiqué dans h concession ou la réalisation d’un programme non prévu dans la concession est une raison pour la retirer. En ce qui concerne la réglementation des programmes scolaires, est décrété que à l’avenir, chaque demande de concession doit être accompagnée d’une déclaration d’après quel programme l’enseignement devra avoir lieu. Dans cette déclaration doivent être indiquées précisément toutes les variations qui distingueront l’enseignement projeté de l’enseignement d’après les programmes des écoles primaires et des écoles polono- allemandes (Abteilungsschulen) publiques. Comme pour le passé, les tableaux des leçons doivent être présentés aux inspections des écoles (Inspektoraten). En outre, les autorités scolaires ne pourront pas être indifférentes vis-à-vis de la question de savoir quelles personnes maintiennent l’école, respectivement quels payements sont faits par les parents pour soutenir l’école privée. Par conséquent est décrété qu’à l’avenir les demandes d’une concession doivent être accompagnées d’un budget scolaire dont résulte quelles personnes entretiennent l’école, quels payements sont faits pour l’entretien de l’école et par qui ils sont faits. En considérant la grande portée de la question des écoles privées, le contrôle des écoles privées est une affaire d’une importance particulièrement grande. La commission scolaire (Kuratorium) décide que, même quand les écoles privées ne dépendent pas, au point de vue financier, des autorités scolaires, le contrôle pédagogique appartient exclusivement aux autorités scolaires et que les autorités scolaires sont responsables de leur niveau sous le point de vue scientifique, pédagogique et hygiénique. Par conséquent MM. les inspecteurs sont priés de visiter ces écoles souvent et de leur attribuer en général plus d’attention. Sur la visite et la revision de chaque école privée doit être envoyé à la commission scolaire (Kuratorium) au moins un rapport de revision pour chaque année scolaire. Ce rapport doit constater si l’école en question exécute son programme prescrit. Les devoirs résultants de cette inspection comportent aussi de faire attention que dans les écoles privées personne n'enseigne qui ne possède pas la concession ou l’autorisation pour l’enseignement. En tout cas ne devrait pas arriver ce qui s’est passé malheureusement assez souvent, c’est-à-dire que les professeurs se sont adressés seulement quelques semaines après leur entrée en charge, à la commission scolaire (Kuratorium) pour obtenir l’autorisation pour l’enseignement, Car la commission scolaire ne confirme pas les professeurs des écoles privées, mais elle leur accorde la concession ou l’autorisation pour l’enseignement sans lesquelles ils n ’ont pas le droit d’entrer dans l’école. A l’avenir la commission scolaire (Kuratorium) demandera compte aux directeurs des écoles privées qui admettent des professeurs sans autorisation pour l’enseignement à cause d’infraction des prescriptions, et à MM. les inspecteurs à cause d’inattention. Pour contrôler les conditions hygiéniques des écoles privées qui en suite des dispositions susmentionnées comme en suite de la réglementation définitive du problème de la qualification des professeurs seront soumises à de grandes transformations vers la fin de l’année scolaire, MM. les inspecteurs sont priés, de bien vouloir envoyer à la commission scolaire (Kuratorium) jusqu’au 1er mars 1927 une liste des écoles privées de leurs districts, dressée d’après le modèle ci-joint. Pour contrôler les conditions hygiéniques des écoles privées, la commission scolaire (Kuratorium) décrète que chaque école devra tenir désormais un livre de santé. Jusqu’au 1er mai 1927 toutes les écoles privées envoient par l’inspection (Inspektorat) à la com­ mission scolaire (Kuratorium) O.S.P. le premier formulaire complété du livre sous le titre „Etat des localités et ameublement de l’école“. Le nombre des enfants et des localités est à indiquer d’après l’état du 1er janvier 1927. On peut faire venir le livre de santé de Poznan (Posen), de la Ksiegarnia Spolki Pedagogicznej, ul. Podgorna. Pendant l’inspection des écoles privées les inspecteurs doivent s’assurer si dans le livre de santé le vrai nombre des enfants qui se trouvent dans les classes respectives est indiqué et si ce nombre n’est pas trop haut. Dans les classes doit correspondre à un enfant au moins 1 qm de superficie du plancher, respectivement 3,5 m3 d’air.

42 En ce qui concerne les concessions relatives à la fondation d’écoles privées: La commission scolaire (Kuratorium) fait savoir que les principes suivants seront e c t é s ^ l’expédition des demandes de concession pour la fondation d’écoles primaires privées polono-allemands (private Volks-Abteilungsschulen) et d’écoles primaires supérieures: 1 Ne peuvent demander une concession que les personnes qui possèdent les quali­ fications professionnelles prescrites pour le type d’école en question. 2. Le même principe s'applique aux autorisations d’enseignement. 3. Les demandes de concession sont à présenter jusqu’au 1er mars de chaque année. Dans Vannée courante, la commission scolaire (Kuratorium) acceptera les demandes jusqu’au 1er avril. 4. La demande doit être accompagnée: a) d’un programme d’enseignement ou d’une déclaration que le programme de l’école projetée doit correspondre sans variation aux programmes des écoles de l’Etat; b) un plan de la localité destinée pour l’école, avec les mesures; c) une liste du personnel d’enseignement et des institutions de l’école; d) un calcul préalable du budget scolaire, avec des renseignements sur l’entretien de l’école. 5. Le nom fixé par la concession est obligatoire pour l’école; il est défendu d’employer un autre nom. 6. Seul le programme affirmé par la concession doit être exécuté et publié par l’école. 7. Par principe l’inauguration d’écoles nouvelles n’est admise qu’au commencement de l’année scolaire. 8. Sous aucune condition des élèves ne doivent être rassemblés à l’école avant que la concession soit accordée." 8 9 10 11 12 13 14 15 43 16 From the Posener Tageblatt of 10th March 1929. No. 58.

Extract from the Circular dated 25th January 1927 from the Education Authority in Posen to the school inspectors. “Owing to the unnatural extension of private schools, due frequently neither to anxiety for the welfare of the schoolchildren nor to anxiety for the development and improvement of school conditions generally, but which on the contrary can often he traced to various secondary causes, the School Authority has found it necessary to examine this question anew and to determine on the following regulations: Since as a result of the Order of the Ministry for Religion and Public Enlightenment of 15. 6. 26 no more unqualified candidates can be accepted for the education service, the Education Authority will issue no more permits and teaching-certificates for private schools to candidates who are not in possession of the qualifications specified for public elementary schools. With a view to the fact that the setting-up of private schools during the school year disorganises the routine of the public schools, the founding of new private schools will in future only be permitted at the beginning of the school year. Applications for permission to open and maintain a private school must be handed in to the Education Authority before the 1st March in each year. Applications sent in to the Education Authority or the inspector after this date run the danger that the permit for the year in question will not be granted. This year the final date for applications will, as an exception, be extended to 1st April. In accordance with § 18 h of the Order of 26th January 1921 of the Ministry for Religion and Public Enlightenment with reference to the provisional increase of school officials, every application for a permit to keep a private school will be laid before the district inspector of education (Kreisschulrat) for his approval. The district inspector of education must express his views particularly with regard to: 1. Whether the person applying for the permit possesses the necessary moral qualifications. • 2. The necessity for organising a new, or for maintaining an already existing private school. 3. Whether the opening of a new school may not reduce the standard of organisation of the existing public schools or may not cause the closing of neighbouring schools. 4. Whether the opening of a new private school may not be prejudicial to raising the standard of organisation of existing schools or whether it may not reduce the educational level of these schools. 5. Whether the private school will possess the same standard of education and hygiene as the local public schools of the same class. With reference to the great importance of the hygienic conditions of the school, the official inspecting doctors are instructed for the future to send their reports about the condition of the rooms set apart for private schools officially to the Education Authority. As it often happens that private elementary schools and so-called preparatory schools have a syllabus which does not correspond with the educational programme of

44 Mo elementary schools of the same category, and are sometimes, therefore, only Lcruised middle-grade schools, it is ordered that from the beginning of the coming school year subjects are prohibited which are not included in the syllabus of the dementary and departmental schools; i. e. particularly classical subjects in private echools of the same type as the elementary and departmental schools. Schools which ? e already introduced these subjects, or which wish to introduce them, must make an application for recognition as middle-grade schools. The use of a name other than that in the permit, or the following of a syllabus not provided for in the permit, will be retvarded as sufficient reason for the withdrawal of the permit. In order to regulate the syllabuses of schools, it is now ordered that in future every application for a permit must be accompanied by a declaration as to the educational programme which will be followed, and all departures from the programmes of the public elementary and departmental schools must be exactly specified. Time­ tables must be laid before the inspectors as heretofore. Nor is the question of who maintains the school a matter of no importance to the education officials, or what contributions are made by the parents to the maintenance of private schools. It is accordingly ordered that in future applications for permits must be accompanied by a budget showing by whom the school is maintained, and what contributions are made to the support of the school and by whom. With reference to the great range of possibilities connected with private schools, the supervision of private schools is a matter of great importance. The Education Authority makes the local education officials alone responsible for the supervision of private schools, even in cases where such schools are not dependent on them financially, and the education officials are responsible for the standard maintained in respect of knowledge, up-bringing and hygiene. The inspectors are therefore requested to visit such schools frequently and generally to pay more attention to them. A report on the visitation and inspection of every private school must be sent in to the Education Committee at least once in every school year. In this report it must be stated whether the school in question conforms with the syllabus laid down for it. Among these duties of supervision, attention must be paid that no one teaches in the private schools who does not possess the permit, or permission to teach. In any case it must not occur, as unfortunately it has often done, that teachers come to the Education Authority for 8 permission to teach several weeks after commencing their duties. For the Education Authority does not confirm teachers in their appointments, but grants them a permit or permission to teach, without which they have no right of entry to the school. In 9 future, the Education Authority will hold heads of private schools, which accept teachers without permits, responsible for a breach of the regulations and will hold the inspectors responsible for inattention to duty. F or the sake of controlling the hygienic condition of private schools, which must undergo considerable changes at the end of the current-school year as a result of the 10 above-mentioned decisions and also as a result of the final regulation of the qualifica­ tions of teachers, the inspectors are requested to send in to the Education Authority before 1st March 1927 a review of the private schools in their district in accordance with the model enclosed. 11 In order to regulate the Sanitary conditions of the private schools, the Education Authority orders every private school to keep a health book in future. Before the 1st May 1927 all private schools will send to the Education Authority O.S.P. through the inspectors the first form in the book ready filled-in, under the heading „Conditions 12 of space and arrangement of the school". The number of children and rooms is to be given in accordance with the position on 1st January 1927. The health book can be obtained in Poznan in the Ksiegarnia Spolki Pedagogicznej, ul. Podgorna. At the time of making their visitation to private schools, inspectors should satisfy themselves 13 whether the actual number of children in the separate classes is given in the health book, and whether this number is not too high. In the classroom there should be at least 1 square meter of floor space and 3,5 cubic Meters of air for each child. 14 , With reference to the permit for starting private schools, the Education Committee gives^ notice that the following principles will be observed where applications for a Permit to open private elementary, departmential or middle grade schools are dealt with: 1. Only such persons may apply for a permit as are in possession of the requisite 15 Professional qualifications for the type of school in question. 6* 45 16 2. The same condition also applies to the permission to teach. 3. Applications for a permit must be handed in before 1st March in each year. in the current year the Education Authority will accept the applications until 1st Apri] 4. The Application must be accompanied by: a) a syllabus of work or a declaration that the programme of the proposed institution will not depart from the syllabus of the state schools as laid j 0wn in the regulations; b) a plan of the building proposed for the school, with the dimensions; c) a descriptive list of the teaching staff and school arrangements; d) a provisional list of the school household, together with a statement how they will be maintained; 5. The name mentioned in the permit is obligatory for the institution and no other may be used. 6. Only the syllabus of work certified in the permit may be put into force in the school and published. 7. The opening of new schools is permitted under the regulations only at the commencement of the school year. 8. Under no circumstances may scholars be assembled in the school before the permit has been granted.”

46 Aniage Annexe Appendix

8 9 10 11 12 13 14 15 47 16 Interpellation der Abgeordneten des Deutschen Parlamentarischen Klubs und anderer wegen N icht- gewahrung einer deutschen Schule mit 60 Kindern im Kreise Birnbaum.

Der Ort Schillen, , ist ein gesehlossener Ort von 600 Einwohnern, von denen 90 Prozent Deutsche sind. Gegenwârtig sind in Schillen 60 deutsche Kinder katholischer Konfession und nur 18 polnische Kinder. Trotzdem die Voraussetzungen für die Aufrechterhaltung einer deutschen Klasse gegeben sind, ist schon seit Beginn der polnischen Herrschaft, wo der zahlenmâBige Stand der deutschen und polnischen Schüler ein âhnlicher war, wie heute, die polnische Unterrichtssprache eingeführt worden. Trotz der verschiedensten Bemühungen ist es nicht gelungen, eine deutschsprachige Klasse zu bekommen. Den Deutschen wurden nur einige deutsche Sprachstunden in der Woche zugebilligt. Mit Beginn des Schuljahres 1929, also am 1. September 1928, wurden auch diese deut­ schen Sprachstunden gestrichen. Diese MaBnahme rief die hellste Emporung unter den dortigen Hausvâtern hervor. Sie stellten nun Mitte 1928 einen Antrag an das Kuratorium in Posen auf Einführung der deutschen Unterrichtssprache, da ihnen ja nicht bloB deutsche Sprachstunden, sondern schon immer die deutsche Unterrichts­ sprache zugestanden hâtte. Dieser Antrag der Eltern wurde vom Kuratorium in folgender Weise erledigt: Er wurde an den Amtsvorsteher (wojt) gegeben mit der offenbaren Weisung, die Eltern zur Zurücknahme ihres Antrages zu veranlassen. Zitte Januar wurden sâmtliche Haus- vâter, die das Gesuch unterzeichnet haben, 80 an der Zahl, vom Gemeindevorsteher zu einer Unterredung mit dem Wojt in die Schule bestellt. In diesem Schreiben wurde gleich bemerkt, daB der, der nicht erschiene, nach Birnbaum zum Y e r h ô r geladen werden würde. Der Wojt erschien im Auto und hielt sich beim Gemeindevorsteher eine Stunde lang auf, wâhrend welcher er die versammelten Eltern in der Schule warten liefi. Als er nun endlich im Klassenzimmer ohne GruB erschien, sprach er die Anwesendenin polnische r Sprache an, was keiner verstand. SchlieBlich übersetzte der Gemeindevorsteher die Rede des Wojt dahin, daB der Antrag der Eltern an das Kuratorium bei ihm eingegangen sei, wonach die Eltern deutsche Unterrichtssprache verlangten. Ein solcher Antrag sei vollkommen ungerechtfertigt. Es würde noch angângig gewesen sein, wenn sie wenigstens nur einige Deutschstunden verlangt hâtten. Als ein Sprecher der Eltern erwiderte, sie verlangten nichts weiter, als was ihnen gesetzlich zustânde, erklârte der Wojt, er v e r s t a n de nicht D e u t s c h und er würde auch nicht mehr Deutsch verstehen, wenn sie zu ihm kâmen, irgendwelche A u s w e i s e zu erlangen. Wenn sie wieder in sein Büro kâmen, danii sollten sie sich einen Dolmetscher mitbringen. Nach dieser ungehôrigen Bemerkung des Amtsvorstehers wurde jeder Hausvater einzeln in ein anderes Zimmer gerufen und jedem die Frage vorgelegt, ob er die Unter- schrift unter dem Antrage zurückziehen wolle. Die Leute wurden mit folgenden Drohungen eingeschüchtert: „Sie wollen doch auch einmal nach Deutschland hiniiber- gehen und brauchen dann doch einen Ausweis?“ — „Sie bekommen doch R en te und wollen diese doch nicht verlieren?" — „Ihre Tochter ist doch drüben in Stellung und lâBt sich immer wieder ihren PaB verlângern, das soil doch wohl auch in Zukunft geschehen?11 —- „Sie haben doch gar keine Kinder, wie konnen Sie dann einen so lc h e n Antrag mitunterschreiben?“ — „Sie haben doch einen Dauerausweis und werden wohl die langste Zeit über die Grenze zur Arbeit gegangen sein!“ — „Sie sind doch Vor-

48 und fü r ein Mündel, das werden Sie die lângste Zeit gewesen sein.“ — „Politik ist Ihnen wohl lieber als Brot?“ — „Sie haben doch ein Gemeindeamt, wie kommen Sie dann dazu, so einen Antrag zu unterschreiben?" —- j[it solchen und âhnlichen Drohungen wurde jeder individuell bearbeitet. Dieses lyvlaubliche Verfahren, die deutsche Minderheit um ihre schulischen Rechte zu prellen, inuB auf das schàrfste verurteilt werden. Nach dieser Inquisition erhielt die Gemeinde weder vom Kreisschulinspektor noch vom Kuratorium eine A n t w o r t auf den gestellten Antrag um Einführung der deutschen Unterrichtssprache. Statt dessen sind stillschweigend wieder z w e i deutsche Sprachstunden pro Woche eingeführt worden. Damit gibt sich die Elternschaft aber durchaus nicht zufrieden; denn den Kindern steht die deutsche Unter­ richtssprache zu, da die Yoraussetzungen für die Aufrechterhaltung einer deutschen Klasse gegeben sind. Wir fragen deshalb den Herrn Minister an: 1. Sind ihm diese Vorgànge in Schillen, Kreis Birnbaum, bekannt? 2. Was gedenkt er zu tun, um den deutschen Kindern in Schillen die ihnen gesetz- lich zustehende deutsche Unterrichtssprache zu sichern? 3. Will er das Posener Kuratorium wegen der ungehôrigen Behandlung der Elterneingabe zur Yerantwortung ziehen?

Warschau, den 1. Marz 1929. Die Interpellantes

(Abgedruckt in „Deutsche Rundschau11 vom 5. Mârz 1929, Nr. 53, Jahrgang 53.)

9 10 11 12 13 14 15 49 16 Interpellation des représentants du Club Parlementaire Allemand et d’autres représentants à cause du refus d’une école allemande avec 60 enfants au district de Birnbaum.

Le village de Schillen, district de Birnbaum, est un endroit cohérent de 600 habitants, dont 90 % sont des Allemands. Actuellement vivent à Schillen 60 enfants allemands de la confession catholique et seulement 18 enfants polonais. Quoique les conditions pour la conservation d’une classe allemande soient donc données, déjà depuis le commencemeàit de la domination polonaise où l’état numérique des écoliers allemands et polonais était semblable, la langue polonaise a été introduite comme langue véhiculaire. En dépit des efforts les plus variés on n’a pas réussi à obtenir une classe de langue allemande. On n’accorda aux Allemands que quelques leçons de langue allemande par semaine. Au commencement de l’année scolaire de 1929, c’est-à-dire le 1er septembre 1928, même ces leçons de langue allemande furent supprimées. Cette mesure causa la plus vive indignation des pères de famille à Schillen. Ils adressèrent donc au milieu de l’année 1928 une demande à la commission scolaire (Kuratorium) de Poznan (Posen) pour faire introduire la langue allemande comme langue véhiculaire, parce qu’ils n’avaient non seulement le droit à des leçons de langue allemande, mais toujours déjà à la langue allemande comme langue véhiculaire. Cette demande des parents fut expédiée par la commission scolaire (Kuratorium) de la manière suivante: Elle fut donnée au chef du district (Amtsvorsteher, wojt) avec l’instruction évidente, d’engager les parents à la reprise de leur demande. Au milieu du mois de janvier, à tous les pères de famille qui avaient signé la demande, fut donné rendez-vous à l’école par le maire pour y parler avec le wojt. Dans la lettre d’invil ation fut déjà dit que ceux qui ne paraîtraient pas, seraient cités à un interrogatoire à Birn­ baum. Le wojt arriva en auto et s’arrêta auprès du maire pendant une heure en faisant attendre les parents rassemblés à l’école. Quand il entra enfin dans la classe, sans saluer les personnes présentes, il parla polonais à l’assemblée, et personne ne le comprit. Finalement le maire traduisit le discours du wojt ainsi que la demande adressée par les parents à la commission scolaire était arrivée chez lui — demande d’après laquelle les parents demandaient la langue allemande comme langue véhiculaire. Une telle demande serait, à son avis, complètement injustifiée. Il aurait été supportable s’ils avaient demandé au moins seulement quelques leçons allemandes. Quand un des représentants des parents répliqua que l'on ne demanda qu’un droit accordée par la loi, le wojt répondit qu’il ne comprit pas l’allemand. Et en outre, il ne comprendrait plus Vallemand s’ils venaient le chercher pour obtenir des papiers de légitimation quelconques. S’ils venaient à l'avenir dans son bureau, ils devraient se faire accompagner par un interprète. Après ces mots inconvenants du wojt tous les pères de famille — l’un après l’autre furent appelés dans une chambre voisine, et on posa à chacun la question s’il ne voulait pas retirer sa signature sous la demande. Les hommes furent intimidés par les menaces suivantes: „Vous avez donc l'intention de vous rendre occasionellement en Allemagne, vous aurez alors besoin d’une légitimation?14 —- „Vous touchez une rente, n 'e st-c e pas, et vous n’aurez pas envie de la perdre?11 — „Votre fille a donc une position là-bas et se fait prolonger de temps en temps son passeport, cela devra donc se faire aussi à l’avenir?11 —- „Vous n’avez pas d’enfants, comment est-ce que vous pouvez signer une demande pareille?11 —- „Vous avez une carte d’identité perpétuelle — mais peut-être, à l’avenir, vous ne passerez plus si facilement la frontière pour travailler là-bas?'1 —

50 Vous êtes tuteur d’une pupille, — je suppose, que vous ne le resterez plus longtemps!“ — Vous semblez préférer la politique au pain!“ — „Vous revêtez une charge communale; qu’est-ce qui vous fait signer alors une telle demande ?“ par des menaces pareilles chacun fut influencé individuellement. Ce procédé incroyable d’escroquer à la minorité allemande ses droits scolaires doit être condamné le plus sévèrement. Après cette inquisition la commune ne reçut de réponse à sa demande concernant fintroduction de la langue allemande comme langue véhiculaire ni de 1 inspecteur des écoles du district (Kreisschulinspektor) ni de la commission scolaire (Kuratorium ). Au lieu de toute réponse on a introduit de nouveau, silencieusement, deux leçons de langue allemande par semaine. Les parents ne sont absolument pas satisfaits par ces deux leçons, car les enfants ont le droit à l’enseignement en langue allemande parce que les conditions pour la conservation d’une classe allemande sont données. Nous demandons donc à M. le Ministre: 1. Est-ce qu’il connaît ces événements à Schillen, district de Birnbaum? 2. Que pense-t-il faire pour assurer aux enfants allemands de Schillen la langue allemande comme langue véhiculaire qui leur est accordée par la loi? 3. Demandera-t-il compte à la commission scolaire (Kuratorium) de Poznan (Posen) à cause de l’expédition inconvenante de la demande des parents?

Varsovie, le Ie"1 Mars 1929. Les Interpellateurs.

(Publié par la „Deutsche Rundschau" du 5. mars 1929, Nr. 58, Année 53.)

9 10 11 12 13 14 15 16 Memorandum by the Members of the German Parliamentary Club and others concerning the neglect of a German School with 60 children in the Birnbaum administrative district.

The township of Schillen in the administrative district of Birnbaum is an enclosed area with 600 inhabitants, of whom 90 per cent are German. At the present time there are GO German children of the Catholic religion in Schillen and only 18 Polish children. In spite of the fact that regulations exist for the maintenance of a German class in the school, Polish has been introduced as the language in which the teaching is given ever since the commencement of the Polish domination, when the numerical proportion of German and Polish children was the same as it is to-day. In spite oi every attempt it has not been possible to secure a class where German is the language of instruction. Only the teaching of the during a few hours a week has been granted. At the beginning of the 1929 school year i. e, on 1st September 1928, this teaching of German was also cancelled. This actio» produced great anger amongst the local parents. In the middle of 1928 they sent an application to the Education Authority (Kuratorium) in Posen with regard to the introduction of German as the language in which the instruction should be given, as they had always had a right, not only to German! lessons, but to the use of Germai as the language in which the instruction was given in the school. This application of the parents was dealt with by the Education Authority (Kuratorium) as follows: It was handed to the presiding official (wojt) with obviously an instruction that should encourage the parents to withdraw their application. In the middle of January all the parents of the children who had signed the application. 80 in number, were invited by the chief-official of the township to a consultation with the Wojt in the school. At the same time it was stated in this Communication that anyone who did not appear would receive an invitation to Birnbaum for a hearing oi his case. The Wojt appeared in a motor-car and remained for an hour 'w ith the overseer, during wrhich time he let the parents wait in the school. At last he appeared in the class room, made no kind of greeting and addressed those present in Polish, a language which no-one understood. Afterwards the overseer translated the remarks of the Wojt to the effect that the application of the parents to the Education Authority in which they demanded German as the instructional language had been placed in Ms hands. Such an application was entirely indefensible. It might have been considered if they had only demanded a fewr German lessons. When a spokesman of the parents answered that they were demanding no more than they were legally entitled to, the Wojt declared that he did not understand German and would not understand German any better when they came to him for documents of any kind. When they next came to him in his office they were to bring an interpreter with them. After this very unsuitable remark, each father was called separately into another room and the question was put to each whether he would withdraw his signature to the application. The people were intimidated with the following threats: “You will want to cross over to Germany one day, and you will then need a pass, w ill you not?” — “You receive a pension and do not want to lose it?” — “Your daughter is in a situation over there and gets her passport renewed repeatedly; you want that to continue in future, don’t you?” — “But you have no children; how can you sign such an application?” — “You have a permanent pass, haven’t you, and spend the greater part of your time oh the other side of the frontier.” — “You are guardian of a ward,

52 and h av e been so for a long time.” — “You prefer politics to bread!” — “You hold office in the towship; how can you sign an application of this kind?” Each individual was worked upon with similar threats. This unbelievable attempt to cheat the German minority out of their school rights can only be criticised in the severest possible way. A fte r this inquisition the township received no reply to the application for the introduction of German as instructional language either from the district school inspector or from the Education Authority. Instead, tw o German lessons a week h av e again been quietly introduced. But the German parents are by no means satisfied therewith; for the children are entitled to be taught in German, and there are the existing regulations for the maintenance of a German school class. We, therefore, desire to ask the Minister the following questions : 1. Is he aware of these occurrences in Schillen, in the district of Birnbaum? 2. What does he propose to do to ensure German to the German children in Schillen as the instructional language to which they are legally entitled? 3. Is he prepared to take up the question of the responsibility of the Trustees in Posen for the inproper way in which the parents were dealt with?

Warsaw, 1st March 1929. Signatories to the Memorandum,

(reprinted from the „Deutsche Rundschau11 of 5th March 1929 Nr. 53, 53rd year.)

9 10 11 12 13 14 15 16 Aniage Annexe Appendix

9 19 11 12, 13 14 15 55 16 Lfd. Datum des Schulort, Kreis Antragsteller(in ) Nr. Konzessionsantrages

1. 1. Antrag: Betty Rohrbeck, Kreis Sepolno 18. 7. 1925 Volksschullehrerin

2. Antrag : Erich Müller, 10. 2. 1926 V olksschullehrer

3. Antrag : Karl Krieg, 20. 7. 1926 V olksschullehrer

4. Antrag : Hans Bauer, 24. 9. 1926 V olksschullehrer

5. Antrag: Walter Thiedemann, 28. I. 1927 V olksschullehrer

2. Czaramn 1. Antrag : Otto Mahlke, Kreis 14. 9. 1926 Volksschullehrer

2. Antrag: Heinrich Stallmann, 10.3. 1927 Volksschullehrer

emeuert im Heinrich Stallmann, September 1927 Volksschullehrer

3. Antrag : Heinrich Stallmann, 22. 2. 1928 Volksschullehrer

4. Antrag: Heinrich Stallmann, 15. 2. 1929 V olksschullehrer

3. Skôrzewo 1. Antrag : Karl Draber, Kreis Szubin 25. 2. 1928 Volksschullehrer

2. Antrag : Friedrich Frick, 18. 2. 1929 Volksschullehrer

3. Antrag : 1. dto.

2. dann Erwin Kukla, V olksschullehrer

56 Geplante ünterbringung der Ablehnungsgründe Bemerkungen privatschule

Im unbenutzten staat- Die Antragstellerin wird in den Staasdienst Weitere Bemühungen um die lichen Schulhaus berufen; dadurch wird der Antrag hinfàllig Einrichtung der Privatschule scheiterten daran, daB die ôrt- jm unbenutzten staat- Die Ablehnung des Antrages erfolgt ohne An- liche Gemeindevertretung die lichen Schulhaus gabe von Gründen. (Verfügung des Schul- Verpachtung des Schulhauses kuratoriums Toruri v. 6. 3. 26 Nr. I 1948/26) ablehnte

Im unbenutzten staat- Der Antragsteller wird in den Staatsdienst be­ lichen Schulhaus rufen; dadurch wird der Antrag hinfàllig

Im unbenutzten staat- Abgelehnt ohne Angabe von Gründen lichcn Schulhaus

Im unbenutzten staat- Abgelehnt ohne Angabe von Gründen lichen Schulhaus

Im unbenutzten staat- Der Antragsteller wird am 24. 1. 1927 in den Weitere Versuche zur Einrichtung lichen Schulhaus Staatsdienst berufen; dadurch wird der An­ der Privatschule muBten einge- trag hinfàllig stellt werden, da der Gemeinde­ vorsteher von Czarmun seine Im unbenutzten staat- Das Schulkuratorium in Poznan bemàngelt die Mitwirkung bei der Verpach­ lichen Schulhaus niedrige Pachtsumme und bestâtigt nicht die tung des Schulraumes versagte Pachtvertràge. (Verf. v. 4. 7. 27 Nr. I 376/27)

Im unbenutzten staat- Abgelehnt unter Hinweis darauf, da8 Privat­ lichen Schulhaus schulen innerhalb des Schuljahres nicht er- iiffnet werden diirfen. (Verfg. v. 2. 1. 28 I Wyrz. 762/27)

Im unbenutzten staat- Abgelehnt unter Berufung auf das Gesetz von lichen Schulhaus 1839. (Verfg. vom 22. 8. 28 I Wyrz. 420/28) 10 Im unbenutzten staat- Der Antrag wird am 18. 2. 1930 unerledigt lichen Schulhaus zuriickgegeben, da der Mietsvertrag bemàngelt wird 11

Im unbenutzten staat- Abgelehnt unter allgemeinem Hinweis auf die 12 lichen Schulgebàude Instruktion von 1839. (Verfügung des Schul- kuratoriums in Poznan vom 27. 6. 1928 Nr. I Szub. 244/28) 13 Im unbenutzten staat- Abgelehnt ohne Angabe von Gründen. (Verfg. liohen Schulgebàude vom 26. 9. 29 I 14083/29) 14 Im unbenutzten staat- lichen Schulgebàude Der zweite Antragsteller ( Kukla) wurde im Januar 1931 in den Staatsdienst berufen; der Antrag wurde dadurch hinfàllig 15 57 16 Lfd. Datum des Schulort, Kreis Antragsteller (in) Nr. Konzessionsantrages

4. Grabowno 1. Antrag; Karl Ohlinger, Kreis Wyrzvsk 17. 2. 1929 V olksschullehrer

2. Antrag: Gustav Eisenberger, 10. 2. 1930 Volksschullehrer

5. Sokolec 1. Antrag: Walter Rogner, Kreis Chodziez 1. 8. 1926 Volksschullehrer

2. Antrag: Fritz Brosowski, 5. 10. 1926 Volksschullehrer

3. Antrag : Paul Wandrey, 28. 3. 1927 Volksschullehrer

6. Tuchola Antrag am Georg Koell, 12. 3. 1925 Volksschullehrer

7. Dabrowa Antrag am Fritz Mielke, Kreis Wagrowieo 16. 3.1927 V olksschullehrer

8. Barcin Antrag am Rudolf Ginz, Kreis Szubin 27.3.1927 Volksschullehrer

9. Kowalewo Antrag am Robert Wegner, Kreis Wabrzezno 15. 4.1928 Volksschullehrer

10. Recz Antrag am Auguste Bigalke, Kreis Znin 24. 2. 1928 Volksschullehrerm

58 (R e p la n te Unterbringung der Ablehnungsgründe Bemerkungen Privatschule

lu einer unbenutzten Abgelehnt unter Hinweis darauf, daB der Lehrer ehemaligen staat- bereits an einer anderen Privatschule be- lichen Schulklasse, schàftigt sei die Eigentum der ev. Kirchengemeinde ist lu einer unbenutzten Der Antrag blieb unerledigt unter Hinweis Nach der vorlàufigen Entschei- ehemaligen staat- darauf, daB die ev. Kirchengemeinde in dung der Behôrde muBte die licheu Schulklasse, Grabowno mit dem Staat um den Besitz des Erneuerung des Antrages zum die Eigentum der ev. Kirchenlandes und des Schulhauses einen 1. 3.1931 unterbleiben Kirchengemeinde ist ProzeB führt

Im unbenutzten staat- Abgelehnt im September 1926 vom Schulkura­ lichen Schulgebàude torium in Poznan

Im unbenutzten staat- Der Antragsteller wurde in den Staatsdienst lichen Schulgebàude übemommen; dadurch wurde der Antrag als hinfàllig angesehen

Abgelehnt ohne Angabe von Gründen

In einem Privatraum Abgelehnt ohne Angabe von Gründen vom Schul­ kuratorium in Toruri. (Verfügung vom 12. 8. 1925 Tgb. Nr. 8673/25—1)

In der unbenutzten Abgelehnt vom Schulkuratorium in Poznan. 10 staatlichen Schule (Verfg. vom 25. 6. 1927 Tgb. Nr. I Wa 223/27) 11 Im Koniirmandensaal Abgelehnt ohne Angabe von Gründen vom Schulkuratorium in Poznan 12

Im Koiifirmandensaal Abgelehnt vom Schulkuratorium in Torun unter allgemeinem Hinweis auf die Instruktion von 13 1839. (Verfg. vom 14. 7. 1928 Tgb. Nr. I 7566/28) 14

Im unbenutzten staat­ Abgelehnt im Mai 1928 vom Schulkuratorium lichen Schulhaus in Poznan unter Hinweis auf die Instruktion von 1839 15 59 16 Lfd. Datum des Schulort, Kreis Antragsteller(in ) Nr. Konzessionsantrages

11. Wielen Antrag am Otti Gargesheimer, Kreis Czarnkôw 20. 2. 1928 Volksschullehrerin

12. Czersk Antrag am Erich Müller, Kreis Chojnice 2. 9. 1925 Volksschullehrer

13. Osielsko Antrag am Willi Ris tau, Kreis Bydgoszcz 1. 10. 1926 V olksschullehrer

14. Mrocza 1. Antrag : Frau Auguste Jantz, Kreis Wyrzysk 21. 2. 1928 Volksschullehrerin

2. Antrag : Sammelantrag der Eltern Februar 1929 für Frau Jantz

3. Antrag: Johann Bâcker, 18. 2. 1930 Volksschullehrer

4. Antrag : Klara Finger, 20. 2. 1931 Volksschullehrerin

15. Bodies Antrag am Wilhelm Kôller, Kreis Koscierzyna 28. 7. 1925 Y olksschullehrer

16. Lesniewo Antrag am Eugen Krause, Kreis Puck 3. 2. 1925 V olksschullehrer

60 G e p la n te Unterbringung der Ablehnungsgriinde Bemerkungen Privatschule

[m Privatraum Abgelehnt vom Schulkuratorium in Poznan unter allgemeinem Hinweis auf die Instruk­ tion von 1839. (Verfg. vom 15. 6. 1928 Nr. I Cza. 152/28)

In einer unbenutzten Abgelehnt vom Schulkuratorium in Toruri mit staatlichen Schulklasse der Begriindung : „Die Bedingungen zur Ein­ richtung einer Privatschule fehlen.“ (Verfg. vom 4. 11. 1925 Nr. 12405/25—1)

[j einer unbenutzten Abgelehnt vom Schulkuratorium in Poznan im staatlichen Schulklasse Januar 1927 unter Hinweis darauf, daB inner- halb des Schuljahres Privatschulen nicht eingerichtet werden diirfen

In einem Privatraum Abgelehnt vom Schulkuratorium in Poznan ohne Angabe von Gründen. (Verfg. vom 26. 4. 1928 Nr. I. Wyrz. 186/28)

In einem Privatraum Die Ablehung erfolgte aus formalen Gründen, da Antrage nur von Lehrkraften gestellt werden diirfen

In einem Privatraum Der Antrag bleibt unerledigt Die Behôrde erklàrt, sie kônne den Antrag nicht behandeln, da die Konzessionspapiere abhanden gekommen seien

In einem Privatraum Die Entscheidung des Kuratoriums steht aus Die begutachtende Zwischenin- 10 stanz (Kreisschulrat) hat den Antrag am 2 5 .3 . 1931 abge­ lehnt mit dem Hinweis, daB die Einrichtung einer Privatschule 11 in Mrocza die „Hoherorgani- sierung“ der polnischen Orts- schule store 12

In einem Privatraum Abgelehnt durch Bescheid des Kreisschulin- Der gleiche Lehrer hat spâter mit spektors vom 7. 8. 1925 Tgb. Nr. 2478/25. Der gleichen Zeugnissen die Lchr- 13 Kreisschulinspektor lehnt die Behandlung des erlaubnis für eine private Volks- Antrages ab, weil der Antragsteller nicht die schule im Kuratoriumsbezirk genügende Qualifikation besitze Poznan erhalten. 14 la einem Privatraum Abgelehnt vom Schulkuratorium Toruri am 13. 5. 1925 Tgb. Nr. 4672/25 I. Die Qualifika­ tion des antragstellenden Lehrers wird be- 15 zweifelt 61 16 Lid. Datum des Schulort Kreis Antragsteller (in) Nr. Konzessionsantrages

17. Gniew Antrag am Horst Grochowski, 19. 8. 1929 Volksschullehrer

18. Chelmno Antrag im Jahre 1926 auf eine Volksschullehrer Liedtke und 1 Sammelschule für die Kinder Volksschullehrerin aus den Nachbarorten Maria Jagusch

19. Swiniary Antrag am Martin Lindholz, Kreis 20. il. 1930 Volksschullehrer

20. Chabsko Antrag am Wilhelm Zindl, 19. i l . 1929 Volksschullehrer

21. Zelgniewo Antrag am Bruno Kunze, Kreis Chodziez 10. i i . 1930 Volksschullehrer

22. Wasowo Antrag auf Erôffnung einer Fami- Frl. Rhode, Kreis Nowo-Tomysl lienschule im Februar 1930 Volksschullehrerin

23. Otorowo Antrag im September 1930 Walter Schroder, Kreis Szamotuly Volksschullehrer

62 Geplante Vnterbringung der Ablehnungsgriinde Bemerkungen privatschule

In einem Privatraum Abgelehnt vom Schulkuratorium in Torun mit Die Beschwerde des Antragstellers dem Hinweis, der Schulraum geniige nicht den iiber den ablehnenden Bescheid Vorschriften. (Verfg. vom 8. n . 1930 Nr. I wurde vom Ministerium zuriick- 28200/29) gewiesen. (Entscheidung des Ministeriums vom 9. 5. 1930 Nr. 11.7536/30)

In Privatrâumen Abgelehnt im Dezember 1926 vom Schulkura­ In den gleichen Râumen hat in torium in Torun. Die Râume wurden als den Jahren 1920—1923 eine unzulânglich beanstandet private Schule unbean standet bestanden

Im Konfirmandensaal Abgelehnt vom Schulkuratorium in Poznan. Be- mângelung des Schulraumes. (Verfg. vom 3. 4. 1930 Tgb. Nr. I. 9179/30)

In einem Privatraum Abgelehnt vom Schulkuratorium in Poznan. Die Râumlichkeiten werden behôrdlich bean­ standet. (Verfg. vom 6. 5. 1929 Tgb. Nr. I. 4262/29)

Im unbenutzten staat- Abgelehnt vom Schulkuratorium Poznan, weil Die in Aussicht genommene lichen Klassenraum der Nachweis eines geeigneten Baumes nicht 2. polnische Klasse ist bis zum erbracht sei. Nach der ordentlichen Verpach- April 1931 nicht eingerichtet 10 ung und nach der Eingabe des Antrages worden.—Eine Verpachtung des kündigte der Schulvorstand den Pachtvertrag Raumes für Privatschulzwecke mit der Begründung, daB die Klasse zur Ein- lehnte der Ortsschulvorstand richtung einer 2. polnischen Klasse benôtigt im Januar 1931 emeut ab werde 11

Ineinemprivaten Schul- Abgelehnt vom Schulkuratorium in Poznan Von 1924— 1929 bestand in Waso- 12 gebâude wegen zu geringer Kinderzahl. (Die Schule wo eine private Volksschule. wollten 13 Kinder besuchen) Sie wurde vortibergehend ge- schlossen und sollte am 1.9.1930 wieder erôffnet werden 13 14 Im unbenutzten staat- In der bestehenden Privatschule wird ein Die Privatschule in Otorowo be­ lichen Schulraum Lehrerwechsel nôtig. Die Weiterverpachtung stand seit dem 11. 9. 1926 des Schulraumes für Privatschulzwecke wird bei diesem AnlaB verweigert. Infolgedessen 15 fàllt der Konzessionsantrag G3 16 Lfd. Datum des Schulort, Kreis Antragsteller(in) Nr. Konzessionsantrages

24. Kolodziejewo 1. Antrag: Hedwig Koebernick, Kreis Mogilno im November 1927 V olksschullehreria

2. Antrag: Eugen Kerber, 20. 2. 1928 Volksschullehrer

3. Antrag : Helene Szahvicki, 15. 2. 1929 Volksschullehrerin

4. Antrag: Georg Schick, 15. 2. 1930 Volksschullehrer

5. Antrag : Georg Schick, 28. 6. 1930 V olksschullehrer

25. Jastrzebovvo 1. Antrag: Hubert Banas, Kreis Mogilno 25. 2. 1929 Volksschullehrer

2. Antrag: Max Grossert, 1. 2. 1930 Volksschullehrer

Antrag erneuert Max Grossert, am 17. 6. 1930 Volksschullehrer

Antrag erneuert Max Grossert, im Februar 1931 V olksschullehrer z

G épiante Unterbrmgung der Ablehnungsgriinde Bemerkungen Privatschule

Im Konfirmandenramn Abgelehnt vom Schulkuratorium in Poznan mit der ev. Kirehenge- dem Hinweis, daB Antrâge nur am 1. Marz meinde einzureichen sind

Im Konfirmandenraum Abgelehnt. Der Raum wird bemângelt; er sei der e v . Kirchenge- zu klein für 56 Kinder. (Verfg. vom 26. 3. 28 meinde Nr. I Mog. 109/28)

Im Konfirmandenraum Abgelehnt, der Raum wird bemângelt. Es sei der e v . Kirchenge- ein gemeinsamer Hauseingang mit dem Pfarrer meinde vorhanden. (Verfg. vom 6. 5. 29 Nr. 1 4266/29)

Im Konfirmandenraum Abgelehnt un ter Hinweis auf die Instruktion von der ev. K irchenge- 1839. (Verfg. vom 31.3.30 Tgb. Nr. 17560/30) meinde

Im Konfirmandenraum Am 1. 3. 1931 noch nicht erledigt der ev. Kirchenge- meinde

Im unbenutzten staat- Der Antrag wird abgelehnt wegen Fristversàum- Es wurden neue Dokumente als lichen Schulgebaude nis. (Ablehnung durch das Schulkuratorium Ergànzung des Antrages ver- in Poznan) langt, die erst 10 Tage nach dem Terrain geliefert werden konn- ten

Im unbenutzten staat- Abgelehnt unter Berufung auf die Instruktion Das vorher von der Staatsschule lichen Schulgebaude von 1839 benutzte Gebàude wird bean- standet. Eine Beschwerde der Eltern über den abgelehnten Antrag wird zurückgewiesen. Das Recht zu derartigen Be- schwerden wird den Eltern ab- gesprochen. (Verfg. vom 26. 4. 1930 Nr. I 11475/30) 10 Im unbenutzten staat- Der auf Kosten der Eltern hergerichtete Schul­ lichen Schulgebaude raum wird für die Staatsschule gebraucht

Antrag ist noch nicht entschieden, 11 In einem Privatraum Schulbehôrde lehnt Erôffnung wâhrend des Schuljahres ab 12 13 14 15 65 16 »

Lieu de l’école Date de la demande de la No. Proposant(e) District concession

1. Wysoka Distr. Sepolno lère demande: Betty Rohrbeck, 18. 7. 1925 Institutrice d’ecole prim aire

2ème demande: Brich Müller, 10. 2. 1926 Inst. d’éc. primaire

3ème demande: Karl Krieg, 20. 7. 1926 Inst. d’éc. primaire

4ème demande: Hans Bauer, 24. 9. 1926 Inst. d’éc. primaire

5ème demande : Walther Tiedemann, 28. 1. 1927 Inst. d’éc. primaire

2. Czarmun Distr. Wyrzysk lêre demande: Otto Mahlke, 14. 9. 1926 Inst. d ’éc. primaire

2ême demande: Heinrich Stallmann, 10. 3. 1927 Inst. d’éc. primaire

renouvelée au mois de Heinrich Stallmann, septembre 1927 Inst. d’éc. primaire

3 ?me demande: Heinrich Stallmann, 22. 2. 1928 Inst. d’éc. primaire

4ême demande : Heinrich Stallmann, 15. 2. 1929 Inst. d’éc. primaire

3. Skorzewo Distr. Szubin lère demande: Karl Draber, 25. 2. 1928 Instituteur d’école p rim a ire

2ême demande : Friedrich Frick, 18. 2. 1929 Inst. d’éc. primaire

3ème demande : 1. de même 10. 2. 1930

2. puis: Erwin Kukla, Inst. d’éc. primaire

66 w

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placement projeté Motifs du refus Observations de l’école privée

Dans la maison d’école La proposante fut convoquée au service public; Des efforts ultérieurs pour instal­ publique non utilisée par conséquent la demande devient inutile ler l’école privée échouèrent par la résistance des représentants Dans la maison d’école La demande est refusée sans déclaration de municipaux locaux qui refu­ publique non utilisée raisons. (Ordonnance de la commission sèrent la location de la maison scolaire [Schulkuratorium] Torun du 6. 3. 26 d’école No. I 1948/26).

Dans la maison d’école Le proposant est convoqué au service public ; publique non utilisée par conséquent la demande devient inutile

Dans la maison d’école Refusée sans déclaration des motifs publique non utilisée

Dans la maison d’école Refusée sans déclaration des motifs publique non utilisée

Dans la maison d’école Le proposant est convoqué au service public le Des tentatives ultérieures pour publique non utilisée 24. 1. 1927; par conséquent la demande de­ installer l’école privée devaient vient inutile être discontinuées parce que le maire de Czarmun refusa Dans la maison d’école La commission scolaire de Poznan (Schulkura­ sa coopération à la location de publique non utilisée torium) déclare le loyer trop bas et ne confir­ la localité pour l’école me pas les bails. (Ordonnance du 4. 7. 27 No. 1/376/27)

Dans la maison d’école Refusée en faisant observer que des écoles publique non utilisée privées ne doivent pas être ouvertes pendant l’année scolaire. (Ordonnance du 2. 1.28 I Wyrz. 762/27) Dans la maison d’école Refusée en se référant à la loi de 1839. (Ordon­ 10 publique non utilisée nance du 22. 8. 28 I Wyrz. 420/28)

Dans la maison d’école La demande est rendue non-résolue le 18. 2. 1930, publique non utilisée parce que le bail est considéré comme insuffi­ sant 11 12/ Dans la maison d’école Refusée en se référant généralement à l’instruc­ publique non utilisée tion de 1839. (Ordonnance de la commission scolaire ( Schulkuratorium) à Poznan du 27. 6. 28 No. 1 Szub. 244/28) 13 Dans la maison d’école Refusée sans déclaration des motifs. (Ordonnance publique non utilisée du 26. 9. 29 I 14083/29) 14 Dans la maison d’école Le deuxième proposant (Kukla) fut convoqué publique non utilisée au service public au mois de Janvier 1931; la demande devint par conséquent inutile 15 67 16 Lieu de l’école Date de la demande de la No. Proposant(e) District concession

4. Grabowno Distr. Wyrzvsk 1 ère demande : Karl Ohlinger, 17. 2. 1929 Instituteur d ’école primaire

2ême demande: Gustav Eisenberger, 10. 2. 1930 Inst. d’éc. primaire

5. Sokoleo Distr. Chodziez l#re demande: Walter Rogner, 1. 8. 1926 Instituteur d’école primaire

2ème demande: Fritz Borsowski. 5. 10. 1926 Inst. d’éc. primaire

3ême demande: Paul Wandrey, 28. 3.1927 Inst. d’éc. primaire

6. Tuchola Demande : Georg Koell, 12. 3. 1925 Inst. d’éc. primaire

7. Dabrowa Distr. Wagrowiec Demande : Fritz Mielke, 16. 3.1927 Inst. d’éc. primaire

8. Barcin Distr. Szubin Demande : Rudolf Ginz, 27. 3. 1927: Inst. d ’éc. primaire

9. Kowalewo Distr .Wabrzezno Demande : Robert Wegner, 15. 4.1928 Inst. d’éc. primaire

10. Recz Distr. Znin Demande : Auguste Bigalke, 24. 2. 1928 Institutrice d’école primaire

11. Wielen Distr. Czamkôw Demande : Otti Gargesheimer, 20. 2.1928 Inst. d’éc. primaire

12. Czersk Distr. Choinice Demande : Erich Müller, 2 .9 . 1925 Inst. d’éc. primaire

68 w

Placement projeté Motifs du refus Observations de l’école privée

pas une ancienne classe, Refusée en se référant au fait que l’instituteur non utilisée, d’une est déjà occupé à une autre école privée école publique qui appartient a la pa­ roisse protestante

Pans une ancienne La demande resta en suspenson; fit observer D’après la décision préalable de classe, non utilisée, que la paroisse protestante de Grabowno était l’autorité le renouvellement de d’une école publique en procès avec l’Etat à cause de la propriété la demande au 1 .3. 1931 ne fut qui appartient à la des fonds de terre de l’église et de la maison pas admis paroisse protestante d’école

Dans une maison d’école Refusée au mois de septembre 1926 par la publique non utilisée commission scolaire (Schulkuratorium) de Poznan

Le proposant fut convoqué au service public; par conséquent la demande devint inutile

Refusée sans déclaration des motifs

Dans une localité privée Refusée sans déclaration des motifs par la commission scolaire (Schulkuratorium) de Torun (Ordonnance du 12. 8.1925. Journal No. 8673/25—1)

Dans l’école publique Refusée par la commission scolaire (Sehulkura- non utilisée torium) de Poznan. (Ordonannce du 25. 6. 27. Journal No. I Wa. 223/27)

Dans la salle des caté­ Refusée par la commission scolaire (Schulkura- chumènes torium) de Poznan sans déclaration des motifs 10

Dans la salle des caté­ Refusée par la commission scolaire (Schulkura­ chumènes torium) de Torun en se référant généralement 11 à l’instruction de 1839. (Ordonnance du 14. 7. 1928, Journal No. I 7566/28)

Dans la maison d’école Refusée au mois de mai 1928 par la commission 12 z publique non utilisée scolaire de Poznan (Schulkuratorium) en se référant à l’instruction de 1839

Dans une localité privée Refusée par la commission scolaire (Schulkura­ 13 torium) de Poznan en se référant généralement à l’instruction de 1839. (Ordonnance du 15. 6. 1928 No. I Cza. 152/28) 14 Dans une classe de Refusée par la commission scolaire (Schulkura­ l’école publique non torium) de Torun avec les mots suivants: utilisée „Les conditions pour l’installation d’une école privée ne sont pas données." (Ordon­ 15 nance du 4. 11. 1925 No. 12405/25— I) 9* 69 16 Lieu de l’école Date de la demande de la No. Proposant(e) District concession

13. Osielsko Distr. Bydgoszcz Demande : Willi Bistau, 1. 10. 1926 Inst. d’éc. primaire

14. Mrocza Distr. Wyrzysk 1ère demande : Mme Auguste Jantz, 21.2. 1928 Inst. d’éc. primaire

2ème demande : Demande collective des pa­ Fevrier 1929 rents pour Mme Jantz

3ème demande: Johann Bâcker, 18.2 1930 Inst. d’éc. primaire

4ême demande : Klara Finger, 20. 2.1931 Institutrice d’école primaire

15. Podles Distr. Koscierzyna Demande : Wilhelm Kôller, 28. 7. 1925 Inst. d’éc. primaire

16. Leéniewo Distr. Puck Demande : Bugen Krause, 3. 2. 1925 Inst. d’éc. primaire

17. Gniew Demande : Horst Grochowski, 19. .8 1928 Inst. d’éc. primaire

18. Chelmno Demande de l’année 1926 Instituteur d’école primaire proposant une école Liedtke et institutrice d’éc. collective pour les en­ primaire Maria Jagusch fants des endroits voisins placement projeté Motifs du refus Observations de l’école privée

Dans une classe de Refusée par la commission scolaire ( Schulkura­ l’école publique non torium) de Poznan au mois de janvier 1927 utilisée en faisant observer qu’il n’est pas permis d’installer des écoles privées au cours de l’année scolaire

Dans une localité privée Refusée par la commission scolaire (Schulkura­ torium) de Poznan sans déclaration des motivs. (Ordonnance du 26.4.28 No. I Wyrz. 186/28)

Dans une localité privée Refusée à cause de la raison formelle que des demandes ne doivent être faites que par des instituteurs

Dans une localité privée La demande reste en suspens L’autorité déclare ne pas pouvoir expédier la demande, parce que les papiers concernant la demande sont disparus

Dans une localité privée La décision de la commission scolaire (Schulkura­ L’instance intermédiaire qui devait torium) est en suspens émettre son avis (l’inspecteur des écoles du district, Kreis- schulrat) a refusé la demande le 25. 3. 1931 en faisant observer que l’installation d’une école privée à Mrocza dérange l’orga­ nisation supérieure de l’école locale polonaise

Dans une localité privée Refusée par communication de l’inspecteur des Le même instituteur a obtenu plus écoles du district, du 7. 8. 1925, Journal tard avec les mêmes certificats No. 2478/25 le permis d’enseignement pour 10 L’inspecteur refuse l’expédition de la demande, une école primaire privée au parce que le proposant ne possède pas la district de la commission sco­ qualification nécessaire laire de Poznan 11 Dans une localité privée Refusée par la commission scolaire ( Schulkura­ torium) de Torun le 13. 5. 1925, Journal No. 4672/25 I. On met en doute la qualifi­ cation de l’instituteur proposant 12

Dans une localité privée Refusée par la commission scolaire de Torun La plainte du proposant à cause avec le motif que la localité ne suffit pas aux du refus fut rebuté par le 13 prescriptions. (Ordonnance du 8.2. 1930 Ministère. (Décision du Mi­ No. 1—28200/29) nistère du 9. 5. 1930 No. II 7536/30) 14

En des localités privées Refusée au mois de zécembre 1926, par la Dans les mêmes localités se trou­ commission scolaire (Schulkuratorium) de To­ vait de 1920— 1923 une école run. Les localités furent désignées comme privée. Alors il n’y avait pas de 15 insuffisantes reclamation 71 16 Lieu de l’école Date de la demande de la No. Proposant(e) District concession

"— 19 Swiniary Distr. Gniesno Demande : Martin Lindholz, 20. 2. 1930 Inst. d’éc. Primaire

20 Chabsko Distr. Mogilno Demande : Wilhelm Zindl. 19.2.1929 Instit. d ’éc. primaire

21 Zelgniewo Distr. Chodziez Demande : Bruno Kunze, 10.2. 1930 Instit. d’éc. primaire

22 Wasowo Distr. Nowy- Demande proposant la Mlle Rhode, Tomysl fondation d’une école Institutrice d’école primaire de familie au mois de février 1930

23 Otorowo Distr. Szamotuly Demande du mois de Walter Schrôder, septembre 1930 Instit. d’éc. primaire

24 Kolodziejewo Distr.Mogilno 1ère demande: Hedwig Koebemick, Novembre 1927 Inst. d’éc. primaire

2ème demande : Bugen Kerber, 20. 2. 1928 Inst. d’éc. primaire

3 ème demande : Helene Szalwieki, 15. 2. 1929 Inst. d’éc. primaire

4ème demande: Georg Schick, 15.2. 1930 Inst. d’éc. primaire

Sème demande: Georg Sehick, 28. 6. 1930 Inst. d’éc. primaire Placement projeté Motifs du refus Observations de l’école privée

Dans la salle des caté­ Refusée par la commission scolaire (Schulkura­ chumènes torium) de Poznan. On fit des réclamations contre la localité. (Ordonnance du 3. 4.1930 Journal Nr. I 9179/30)

Dans une localité privée Refusée par la commission scolaire (Schulkura­ torium) à Poznan. On fait des réclamations officielles contre les localités. (Ordonnance du 6. 5. 1929, Journal Nr. I 4262/29)

Dans une classe de Refusée par la commission scolaire ( Schulkura­ La deuxième classe polonaise l’école publique non torium) de Poznan, parce qu’il ne fut pas projetée ne fut pas installée utilisée prouvé que la localité était appropriée. jusqu’au mois d’avril 1931. Après la location dûment effectuée et après Une location de la classe pour la présentation de la demande, le directeur de l’installation d’une école privée l’école dénonça le bail avec la motivation fut refusée par le directeur au que l’on avait besoin de la classe pour mois de janvier 1931 de nou­ l’installation d’une deuxième classe polonaise veau

Dans un bâtiment Refusée par la commission scolaire à Poznan De 1924 à 1929 se trouva une d’école privée à cause du nombre trop petit des enfants. école primaire privée à Wasowo. (13 enfants voulaient fréquenter cette école) Elle fut fermée temporairement et devait être ouverte de nou­ veau le 1.9. 1930

Dans une localité sco­ Dans l’école privée qui exista, un échange L’école privée à Otorowo exista laire publique non des professeurs devient nécessaire. A cette dès le 11.9. 1926 utilisée occasion om refuse de continuer la location de la localité à une école privée. Par consé­ quent la demande de concession devient inutile 10 Dans la salle des caté­ Refusée par la commission scolaire (Schulkura­ chumènes de la pa­ torium) de Poznan avec la mention que des roisse protestante demandes doivent être présentées seulement le 1er mars 11 Dans la salle des caté­ Refusée. On fait des réclamations contre la chumènes de la pa­ localité; on dit qu’elle est trop petite pour 56 roisse protestante enfants. (Ordonnance du 26. 3. 28 Nr. I Mog. 109/28) 12 /

Dans la salle des caté­ Refusée. On fait des réclamations contre la chumènes de la pa- localité; on dit qu’il y avait une entrée riosse protestante commune de la maison pour le pasteur et 13 pour l’école. (Ord. du 6. 5. 29 Nr. I 4266/29)

Dans la salle des caté­ Refusée en se référant à l’instruction de 1839. chumènes de la pa­ (Ordonnance du 31.3.30, Journal Nr. I 14 roisse protestante 7560/30)

Dans la salle des caté­ Pas encore décidée le 1 er mars 1931 chumènes de la pa­ 15 roisse protestante 73 16 Lieu de l’école Date de la demande de la Proposant(e) District concession

Jastrzebowo 1 ère demande: Hubert Banas, 25. 2. 1929 Instituteur d’école primaire

2 ème demande: Max Grossert, 1. 2. 1930 Inst. d’éc. primaire

La demande fut renou­ Max Grossert, velée le 17. 6. 1930 Inst. d’éc. primaire

Lâ demande fut renou­ Max Grossert, velée au mois de février Inst. d’éc. primaire 1931 f

placement projeté Motifs du refus Observations de l’école privée

Pans une maison d école La demande est refusée parce que le délai On demanda des documents publique non utilisée prescrit ne fut pas observé. (Refus par la nouveaux complétant la deman­ commission scolaire ( Schulkuratorium) de Poz­ de qui ne pouvaient être fournis nan) que dix jours après le terme prescrit

Dans une maison d’école Refusée en se référant à l’instruction de 1839 On fait des réclamations contre publique non utilisée le bâtiment utilisé auparavant par l’école publique. Une plainte des parents à cause du refus de la demande est rebutée. On dénie le droit des parents de faire des plaintes pareilles. (Ord. du 26.4.30 No. I 11475/30) Dans une maison d’école La localité scolaire, arrangée aux frais des publique non utilisée parents, est utilisée pour l’école publique

Dans une localité privée La demande est encore en suspens L’autorité scolaire refuse l’ou­ verture pendant l’année sco­ laire

10 11 12 13 14 15 District where Date of Person making No. school is situated Application for Permit the Application

1. Wysoka (Sepolno District) 1st Application: Betty Rohrbeck, 18. 7.1925 Elementary school teacher

2nd Application: Erich Müller, 10. 2. 1926 Elementary school teacher

3rd Application: Karl Krieg, 20. 7. 1926 Elementary school teacher

4th Application: Hans Bauer, 24. 9. 1926 Elementary school teacher

5th Application: Walter Thiedemann, 28.1. 1927 Elementary school teacher

2. Czarmun (Wyrzysk Distr.) 1st Application: Otto Mahlke 14. 9. 1926 Elementary school teacher

2nd Application: Heinrich Stallmann, 10.3. 1927 Elementary school teacher

renewed on Heinrich Stallmann, September 1927 Elementary school teacher

3rd Application: Heinrich Stallmann, 22. 2. 1928 Elementary school teacher

4th Application: Heinrich Stallmann, 15. 3. 1929 Elementary school teacher

3. Skorzewo Szubin District 1st Application: Karl Draber, 25. 2. 1928 Elementary school teacher

2nd Application: Friedrich Frick, 18. 2. 1929 Elementary school teacher

3rd Appiclation: 1. ditto 10. 2. 1930 2. Erwin Kukla, Elementary school teacher

4. Grabowno Wyrzysk District 1st Application: Karl Ohlinger, 17. 2.1929 Elementary school teacher

2nd Application: Gustav Eisenberger, 10. 2. 1930 Elementary school teacher »

proposed location Reasons for Refusal R em a rk s of the Private School

In disused state school The applicant was transferred to the state building service and the application lapsed

In disused state school The application was refused without any Further efforts to establish the building reasons being given. (Regulations of the private school fell through, be­ Educational Authority in Torun vom 6.3.1926 cause the local authority refused No. 1 1948/26) to let the school building

In disused state school The applicant was transferred to the state building service and the application lapsed

In disused state school Refused without any reasons being given building

In disused state school Refused without any reasons being given building

In disused state school The applicant was transferred to the state building service on 24.1.1927; and the application therefore lapsed

In disused state school The school authority in Poznan considered the Further attempts to establish the building rent too low and did not confirm the tenancy private school had to be aban­ agreement doned, as the chief official of Czarmun district withdrew his In disused state school Refused on the grounds that private schools support for the letting of the building may not be opened within the school year schoolroom (Reg. of 2. 1.28 I Wyrz. 762/27)

In disused state ' school Refused under the law of 1839. (Reg. of building 22. 8. 28 I Wyrz. 420/28)

In disused state school The application was returned without having building been settled as the tenancy agreement was considered unsatisfactory 10

In disused state school Refused under a general reference to the in­ building struction of 1839 (Regulation of the school authority in Poznan of 27. 6. 28 No. I Szub. 11 244/28)

Refused without any reasons being given (Reg. of 26. 9. 29 I 14083/29) 12 The 2nd applicant (Kukla) was transferred to the state service in January 1931 and the application accordingly lapsed 13

h a disused former Refused on the grounds that the teacher was state class-room, the already engaged in another private school property of the Pro­ 14 testant C ongregation The application was not dealt with on the In accordance with the provisional grounds that the Protestant Congregation in decision of the officials, a rene­ Grabowno was engaged in legal proceedings wal of the application had to against the State re the ownership of the wait until 1. 3. 1931 15 church land and the school building 10* 77 16 - = 1 District where Date of Person making No. school is situated Application for Permit the Application

5. Sokolec Chodziez Distr. 1st Application : Walter Rogner, 1. 8. 1926 Elementary school teacher

2nd Application : Fritz Brosowski, S. 10. 1926 Elementary school teacher

3rd Application : Paul Wandrey, 28. 3. 1927 Elementary school teacher

6. Tuchola 1st Application: Georg Koell, 12. 3. 1925 Elementary school teacher

7. Dabrowa Wagrowiec Application: Fritz Mielke, District 16. 3. 1927 Elementary school teacher

8. Barcin Szubin District Application : Rudolf Ginz, 27. 3. 1927 Elementary school teacher

9. Kowalewo Wabrzezno Di­ Application: Robert Wegner, strict 15. 4. 1928 Elementary school teacher

10. Recz Znin District Application: Auguste Bigalke, 24. 2. 1928 Elementary school teacher

11. Wielen Czamkow District Application: O tti Gargesheimer, 20. 2. 1928 Elementary school teacher

12. Czersk Chojnice District Application: Erich Müller, 2. 9. 1925 Elementary school teacher

13. Osielsko Bydgoszcz Distr. Application: Willi Ristau, 1.10. 1926 Elementary school teacher

78 proposed location Reasons for Refusal R em ark s 0f the Private School

In a disused state school Refused by the school authority in Poznan in building September 1926

The applicant was taken into the state service and the application looked on as having lapsed accordingly

Refused without any reasons being given

In a private room Refused by the school authority in Thorun without any reasons being given. (Reg. of 12.8. 1925 Tgb. No. 8673/25—1)

1 In a disused state school Refused by the school authority in Poznan. (Reg. of 25. 6. 1927 Tgb. No. I Wa. 223/27)

1 In the confirmation Refused by the school authority in Poznan class-room without any reasons being given

1 In the confirmation Refused by the school authorities in Torun under I class-room a general reference to the instruction of 1839 (Reg. of 14. 7. 1928 Tgb. No. I 7566/28)

1 In a disused state school Refused by the school authority in Poznan in 10 1 building May 1928 under a generel reference to the instruction of 1839 11 1 In a private room Refused by the school authority in Poznan under a general reference to the instruction of 1839 (Reg. of 15. 6. 1928 No. I. Cza. 152/28) 12

1 h a disused state school Refused by the school authority in Torun. The 13 1 class-room reason given was: „The necessary conditions for establishing a private school are lacking11. (Reg. of 4. 11.1925 No. 1240/25—1) 14

1 In a disused state school Refused by the school authority in Poznan in 1 class-room January 1927 on the ground that private schools may not be startedwithin the school 15 year 79 16 District where Date of Person making No. school is situated Application for Permit the Application

14. Mrocza Wyrzysk District 1st Application : Mrs. Auguste Jantz, 21. 2. 1928 Elementary school teacher

2nd Application: Application made by the February 1929 parents jointly for Mrs. Jantz

3rd Application: Johann Backer, 18. 2. 1930 Elementary school teacher

4th Application: Klara Finger, 20. 2. 1931 Elementary school teacher

15. Podler Koscierzyna Application : Wilhelm Kôller, District 28. 7. 1925 Elementary school teacher

16. Lesniewo Puck District Application : Eugen Krause, 3. 2. 1925 Elementary school teacher

17. Gniew Application : Horst Grochowski, 19. 8. 1929 Elementary school teacher

18. Chelmno Application made in the year 1926 Liedtke and Maria Jaguscb, for a collective school for the Elementary school teachers children from the surrounding district

19. Swiniary Gniezno District Application: Martin Lindholz, 20. 2. 1930 Elementary school teacher

80 proposed location Reasons for Refusal Remarks of the Private School

[g a private room Refused by the school authority in Poznan without any reasons being given (Reg. of 26. 4. 28 No. I Wyrz. 186/28)

In a private room The refusal was due to formal reasons as applications may only be made by teachers

In a private room The application has not been dealt with The officials declared they could not deal with the application as the permit forms had been lost

In a private room The decision of the school authority has not been Confirming authority (Distr. Edu­ received cational Council) refused the application on 25. 3. 31 on the ground that the establishment of a private school in Mrocza would disturb the „higher orga­ nisation" of the local school

In a private room Refused by a communication of the District The same teacher later received school inspector of 7. 8. 25 Tgb. No.2478/25. the teachers’ permit for a The District school insprector refused to deal private elementary school in with the application because the applicant the Administrative District of did not possess sufficient qualifications Poznan with the same certi­ ficates

In a private room Refused by the school authority in Torun on 13. 5. 1925 Tgb. No. 4672/25 I. Doubts were cast on the qualifications of the teacher making the application 10 k a private room Refused by the school authority in Torun on the The applicant’s complaint about 11 ground that the schoolroom did not comply the refusal was returned by the with the regulations (Reg. of 8.2. 1930 ministry (decision of the mini­ No. 1—28200/29) stry of 9. 5. 1930 No. I I 5736/30 12 h private rooms Refused by the school authority in Torun in A private school existed in the 13 December 1926. The rooms were considered same rooms during the years to be insufficient 1920/23 without exciting any complaints 14 h the confirmation Refused by the school authority in Poznan. class-room School-room considered insufficient. (Reg. 15 of 3.4. 1930 Tgb. No. I 4262/29) 81 16 District where Date of Person making No. school is situated Application for Permit the Application

20. Chabsko Mogilno District Application: Wilhelm Zindl, 19. 2. 1929 Elementary school teacher

21. Zelgniewo Chodziez District Application: Bruno Kunze, 10.2. 1930 Elementary school teacher

22. Wasowo Nowy-Tomysl Application to open Kinder­ Miss Rhode, District garten in February 1930 Elementary school teacher

23. Otorowo Szamotuly District Application in Walter Schroder, September 1930 Elementary school teacher

24. Kolodziejewo Mogilno 1st Application: Hedwig Koebernick, District November 1927 Elementary school teacher

2nd Application : Eugen Kerber, 20. 2.1928 Elementary school teacher

3rd Application: Helene Szalwicki, 15. 2. 1929 Elementary school teacher

4 th Application : Georg Schick, 15. 2.1930 Elementary school teacher

5th Application: Georg Schick, 28. 6. 1930 Elementary school teacher

82 proposed location Reasons for Refusal R em ark s 0f the Private School

In » private room Refused by the school authority in Poznan. The room was officially condemned (Reg. of 6. 5. 1929 Tgb. No. I. 4262/29)

In a disused state class­ Refused by the school authority in Poznan, Up to April 1931 the proposed room because proof of the suitability of the room second Polish class has not been was not forthcoming. After the room had established. The local school been let in the ordinary wray and after the authority again refused to let application had been handed in, the local the room for the pruposes of a authority terminated the agreement of private school in January 1931 tenancy on the grounds that the class-room was needed for establishing a second Polish class

In a private school Refused by the school authority in Poznan From 1924—1929 there was a building because the number of children was too private elementary school in small. (13 children proposed to attend the Wasowo. It was provisionally school) closed and was again to be opened on I. 9. 1930

In a disused state school A change of teachers became necessary in the The private school in Otorowo had room existing private school. Under these existed since the 11. 9. 1926 circumstances a renewal of the tenancy of the school room for the purposes of a private school was refused. As a result the application for the permit fell through 10

In the confirmation Refused by the school authority in Poznan on class-room of the Pro­ the ground that applications could only be 11 testant Congregation handed in on the 1st of March h the confirmation Refused. The room was condemned; it was class-room of the Pro­ considered too small for 56 children. (Reg. 12 z testant Congregation of 26. 3. 28 No. I Mog. 109/28)

In the confirmation Refused. The room was condemned ; it had a class-room of the Pro­ common entrance with the house of the 13 testant Congregation clergyman. (Reg. of 6. 5. 1929 No. I 4266/29)

In the confirmation Refused under reference to the instruction of class-room of the Pro­ 1839 (Reg. of 31. 3. 30 Tgb. No. I 7560/30) 14 testant Congregation

I» the confirmation Had not been dealt with on 1.3. 1931 class-room of the Pro­ 15 testant Congregation 11 8 3 16 District where Date of Persen making No. school is situated Application for Permit the Application

25. Jastrzebowo 1st Application: Hubert Banas, 25. 2. 1929 Elementary school te a c h e r

2nd Application : Max Grossert, 1. 2. 1930 Elementary school te a c h e r

Application renewed Max Grossert, on 17. 6. 1930 Elementary school te a c h e r

Application renewed Max Grossert, on February 1931 Elementary school te a c h e r

84 9

proposed location Reasons for Refusal Remarks 0 f t h e Private School

In a disused state school Application was refused as having been handed Further documents in support of building in too late. (Refusal by the school authority the application were demanded, in Poznan which could only be handed in 1 0 days after the closing date

In a disused state school Refused under a reference to the instruction of The building previously used by building 1839 the state school was criticised. A complaint by the parents about the refusal of the appli­ cation was returned. The parents were refused the right to make complaints of that kind (Reg. of 26. 4. 1930 No. I (11475/30) In a disused state school The school room fitted up at the parents, building expense was required by the state school

In a private room No decision has yet been reached about the application. The school authority refuses to sanction the opening during the school year

10 11 12 13 14 15 Anlage Annexe Appendix

10 I 11 12 13 14 15 16 Übersetzung eines Bescheides des Schulkuratoriums Thorn auf den Antrag, die Genehmigung ziir Eroffnung einer deutschen Privatschule zu erteilen.

Kuratorium des Schulbezirks Pomorze. Thorn, den 14. Juli 1928. L. dz. I 7506/28. In Saclien der Eroffnung der Volksschule mit deutscher Unter­ richtssprache in Kowalewo.

An Herrn R. Wegner w. Nowosolny-Wsi p. Lodz.

Auf Ihr Gesuch vom 15. April d. J. gebe ich bekannt, daB auf Grund der Verfügung des Staatsministeriums vom 31. Dezember 1839 in Sachen der Ausführung der Kabinetts- order über die staatl. Aufsicht über die privaten Schulen und Lehrpersonen, welche sich mit dem Unterricht und der Erziehung der Jugend beschâftigen, in Kowalewo die Be- dingungen zur Anlage einer privaten Volksschule mit deutscher Unterrichtssprache fehlen, weil die Kinder deutscher Nation alitât die Môglichkeit besitzen, Unterricht in deutscher Sprache in der offent-lichen Schule des Ortes zu erhalten. Daher berücksichtige ich nach Anhôrung der Meinung des Kreisschulrates in Wabrzezno —• auf Grund des § 18 lit. B der Verfügung des Ministeriums W. R i, O.P. vom 26. Januar 1921, herausgegeben im Einvernehmen mit dem Minister des ehemals preuB. Teilgebietes über die vorlâufige Bestellung der Schulaufsichtsbehorden auf dem Gebiet dieses Gebietes (Dz. Urz. Min. W. R. i. 0. P. Nr. 1, Punkt 6) — Ihren Antrag uni die Erlaubnis der Eroffnung einer privaten Volksschule mit deutscher Unterrichtssprache in Kowalewo nicht. Der Kurator des Schulbezirks. gez.: J. Szwemin.

88 Traduction d'une décision de L’inspection des écoles (Schulkuratorium) de Torun (Thorn) concernant la demande d’autorisation pour ouvrir une école privée allemande.

Inspection du district scolaire de Pomorze. Torun, le 14 juillet 1928. L. dz. I 7566/28. Concernant l’ouverture de l’école primaire à langue véhiculaire alle­ mande à Ivowalewo. A Monsieur R. Wegner w. Nowosolny-Wsi p. Lodz.

En réponse de votre demande du 15 avril de cette année je vous fais savoir qu’en vertu du décret du Ministère de l’Etat du 31 décembre 1839 concernant l’exécution de l’ordre de cabinet sur le contrôle ministériel des écoles privées et des personnes qui s'occupent de l’enseignement et de l’éducation de la jeunesse, à Kowalewo les con­ ditions nécessaires pour l’ouverture d’une école primaire privée à langue véhiculaire allemande ne sont pas données, parce que les enfants de langue allemande ont la possibilité de recevoir l’enseignement de la langue allemande à l’école publique locale. Donc, après avoir entendu l’opinion de l’inspecteur du district (Kreisschulrat) à Wabrzezno —• en vertu du § 18 lit. B du décret du Ministère W. R. i. 0. P. du 26 janvier 1921 publié après entente avec le Ministre de la province d’ex-annexion prussienne, concernant l’organisation préalable des autorités scolaires de contrôle dans le domaine de ce territoire (Dz. Urz. Min. W. R. i. 0. P. No. 1, alinéa 6) — je ne consens pas à votre demande pour obtenir l’autorisation d’ouvrir une école primaire privée à langue véhiculaire allemande à Kowalewo. L’Inspecteur (Kurator) du District scolaire. Signé: J. Szwemin. 11 12 13 14 15 89 16 Translation of a Communication from the School Kuratorium (School Authority) in Tliorn to an Application to grant Permission for the Opening of a German Private School.

Kuratorium of the Educational District Pomorze. Thorn, 14. July 1928. L. dz. I 7566/28. re the opening of an elementary school with German as the language of instruction in Kowalewo. To Mr. R. Wegner w. Nowosolny-Wsi p. Lodz. With reference to your application of the 15th April last, I have to inform you that in accordance with th e regulations of the State-Ministry of the 31. 12. 1839 re Carrying out the Cabinet Order as to supervision by the State of the private schools and their teaching staff who are concerned with the instruction and education of young people, that the conditions for setting up a private elementary school with G erm an as instructional language are not fulfilled in Kowalewo because the children of German language have the opportunity of receiving their education in German in the local public schools. After hearing the views of the district school-inspector in Wabrzezno, in accordance with Par. 18 lit. B of the regulations of the Ministry W. R. i. 0. P. of the 26. 1 1921, published with the concurrence of the Minister for the Former Prussian Territories, concerning the provisional orders to the educational inspecting officials in these terri­ tories (Dz. Urz. Min. W. R. i. 0. P. No. 1, point 6), I am unable to grant your application for permission to open a private elementary school with German as the instructional language in Kowalewo. The Kurator of the Educational District, signed J. Szwemin.

90 Aniage Annexe Appendix

11 12 13 14 15 16 „Deutsche Rundschau in Polen“ vom G. Februar 1931, Nr. 29.

Die Schulnot deutscher Kinder, die polnische Schulen besuchen miissen.

Ein erschiitterndes Dokument veroffentliclit die ,,Deutsche Schulzeitung in ]’olen‘; in der Nr. 9 vom 1. Februar 1931, ein Dokument, das laut und eindriicklich vmi der Not solcher deutscher Scliulkinder spricht, die aus mancherlei Grtinden gezwungen sind, polnische Schulen zu besuchen. Es handelt sich um den Aufsatz eines vierzehnjahrigen deutschen Mad- chens, das bisher in einem Dorf, in dem es keine deutsche Schule gibt, eine polnische Anstalt besuchen muBte. Die Schriftleitung betont eingangs, daB sie sich von der buchstâblichen Ubereinstimmung der Abschrift mit dem Original überzeugt hat. Der Aufsatz lautet: Montak, d. 26. Januar 1931.

Fon gestern. Is byn gestern nach di sztal gegangen und habe gehert, das der Fordoner autobus ist in die bra gefaren mit, 20 persolnen. Wifyl perzohnen in unglik kamen kan is nis beszraiben. Um 8 ur zol das unglik pasirt zajn. Den kam is nach halzy unt habe dos die muti ercejlt. Nach mitak um 3 ur gingen wir bin unt woltyn wysvn was d a pasirt ist aber der autobus ist szon in der gasans talt gefaren.

Der Aufsatz müBte im richtigen D e u t s c h wie folgt lauten:

Von gestern. Ich bin gestern nach der Stadt gegangen und liabe gehôrt, daB der Fordoner Autobus mit 20 Personen in die Brahe gefahren ist. Wie viele Personen ins Ungliick kamen, kann ich nicht beschreiben. Um 8 Uhr soil das Ungliick passiert sein. Dann kam ich nach Hause und habe das der Mutter erzâhlt. Nachmittags um 3 Uhr gingen wir hin und wollten wissen, was passiert ist, aber der Autobus war schon in die Gas- anstalt gefahren. „Deutsche Rundschau in Polen“ du 6. fevrier 1931, Nr. 29.

La misère scolaire des enfants allemands qui doivent fréquenter des écoles polonaises.

La „Deutsche Schulzeitung in Pole'n“ No. 9 du 1er février 1931 publie un document émotionnant qui révèle d’une manière impressionnante et fort démonstrative la triste situation des écoliers et écolières qui, par des raisons différentes, sont forcés de fréquenter des écoles polonaises. Il s’agit de la composition d’une jeune fille allemande de quatorze ans qui jusqu’à présent devait fréquenter une école polonaise dans un village où il n’y a pas d’école allemande. La rédaction souligne au commencement de son article le fait qu’elle s’est persuadée de l’identité littérale de la copie avec le texte original. Voilà la composition:

Montak, d. 2G. Januar 1931.

Fon gestern. ls byn gestern nach die sztal gegangen und habe gehert, das der Fordoner autobus ist in die bra gefaren mit 20 persolnen. Wifvl perzohnen in unglik kamen kan is nis beszraiben. Um 8 ur zol das unglik pasirt zajn. Den kam is nach halzy unt habe dos die muti ercejlt. Nach mitak um 3 ur gingen wir hin unt woltyn wysvn was da pasirt ist aber der autobus ist szon in der gasans tait gefaren.

En allemand correct, le texte de cette petite composition serait:

Von gestern. Ich bin gestern nach der Stadt gegangen und habe gehort, daB der Fordoner Autobus mit 20 Personen in die Brahc gefahren ist. Wie viele Personen ins Unglück kamen, kann ich nicht beschreiben. Um 8 Uhr soil das Unglück passiert sein. Dann kam ich nach Hause und habe das der Mutter erzahlt. Nachmittags um 3 Uhr gingen wir hin und wollten wissen, was passiert ist, aber der Autobus war schon in die Gas- anstalt gefahren. 12 13 14 15

12* 93 16 (From the „Deutsche Rundschau in Polen“ of the 6lh of February 1931 No. 29)

The hardships of German children who have to go to Polish schools.

The “German School News in Poland” publishes a pathetic document in its ninth number dated 1st of February 1931. It is a document which speaks loudly and distinctly of the hardships of such German children who for many different reasons are compelled to go to Polish schools. It refers to a composition by a fourteen-year old German girl, who until now has had to go to a Polish school in a village in which no German school exists. In an introductory note the editor emphasises that he has convinced himself of the verbal agreement of the copy with the original. The composition is as follows:

Montak, d. 26. Januar 1031. Foil gestern. Is byn gestern nach die sztal gegangen und habe gehert, das der Fordoner autobus ist in die bra gefaren mit 20 persolnen. Wifyl perzohnen in unglik kamen kan is nis beszraiben. Um 8 ur zol das unglik pasirt zajn. Den kam is nach halzy unt halie das die muti ercejlt. Nach mitak um 3 ur gingen wir hin unt woltyn wysvn was da pasirt ist aber der autobus ist szon in der gasans talt gefaren.

The text of this report would be as follows correct German.

Von gestern. Ich bin gestern nach der Stadt gegangen und habe gehôrt, daB der Fordoner Autobus mit 20 Personen in die Brahe gefahren ist. Wie viele Personen ins Ungliick kamen, kann ich nicht beschreiben. Um 8 Uhr soil das Ungliick passiert sein. Dann kam ich nach Hause und habe das der Mutter erzahlt. Nachmittags um 3 Uhr gingen wir hin und wollten wissen, was passiert ist, aber der Autobus war schon in die Gas- anstalt gefahren.

94 Anlage Annexe Appendix

12 13 14 15 95 16 Übersicht über den deutschen Sprachunterricht, den diejenigen Kinder der deutschen Minderheit erhalten, die aus Mangel an deutschen Minderheitsschulen gezwungen sind, polnische Schulen ohne deutsche Unterrichtssprache zu besuchen.

Stand 1. Dezember 1930.

Zahl der deutschen Von den Kindern in Spalte 2 erhalten Kinder in deutschen Sprachunterricht polnischen Wojewodie Schulen Bemerkungen ohne 1—2 3—4 deutsche keinen Stunden Stunden Unterrichts- wôchentlich wôchentlich spracho 1 2 3 4 5 6

T h orn ...... 7 505 6 732 365 *) 405 *) In einigen Fallen haben die Kinder 5-6 Dcutsch- Posen...... 7 783 5 083 2 023 *) 672 stunden wôchentlich.

zus. 15 288 11 815 2 396 1 077

96 Résumé de l’enseignement de la langue allemande, donné à ceux des enfants de la minorité allemande qui, à défaut d’écoles minoritaires allemandes, sont forcés de fréquenter des écoles polonaises sans langue véhiculaire allemande.

Etat du 1er décembre 1930.

Nombre des Des enfants de la colonne 2 reçoivent enfants alllemands en un enseignement de la langue allemande des écoles Voievodie Observations polonaises 1—2 3— 1 sans langue nul leçons par leçons par véhiculaire semaine semaine allemande

1 2 3 4 5 6

Torun...... 7 505 6 732 368 *) 405 *) En quelques cas les enfants ont 5 — 6 Poznan...... 7 783 5 083 2 028 *) 672 leçons par semaine

Total : 15 288 11815 2 396 1 077

13 14 15 16 Summary of the instruction in German given to the children of the German Minority who are compelled to go to Polish schools giving no teaching in the German language, as a result of the lack of German Minority schools.

As at 1st December 1930.

Number of Children in Column 2, who are German children in taught German Polish schools Districts Rem arks without 1—2 3—4 German as not at all hours hours instructional weekly weekly language

I 2 3 4 5 6

T hom ...... 7 505 6 732 368 *) 405 *) In a few cases the chil­ dren are taught Ger­ Posen...... 7 783 5 083 2 028 *) 672 man 5— 6 hours a week

15 288 11815 2 396 1077 Anlage Annexe Appendix

13 14 15 16 Die Verpachtung Lfd. Schulort und Kreis des Schulraums Als Pâchter ist in Aussicht genommen Nr. ist beantragt

1. Wydartowo, Rr.Mogilno Februar 1930 Der Volksschullehrer Hellmut Bomke

2. Osowagora Februar 1930 Der Volksschullehrer Kurt Brandt Kr. Bydgoszcz

3. Lodzia Herbst 1926 Der Volksschullehrer Gaeske Kr. Wyrzysk

4. Grochowiska a) Februar 1930 Kr. Znin b) Februar 1931

5. Grabowie Juni 1930 Der Volksschullehrer Jakob Gexel Kr. Brodnica

6. Duszniki November 1930 Die Volksschullehrerin Paula Leszczynski Kr. Szamotuly

1 0 0 I

(; épiante Unterbringung Bemerkungen der Scbule

preie gchulklasse im Der Gem eindevorstand hatte den Schulraum an die Privatschule verpachtet. alten nicht benutzten ■— Der Schulvorstand erhob Widerspruch dagegen und lehnte die Verpachtung Schulgebaude für Privatschulzwecke ab

Bine unbenutzte Klasse Der Gemeindevorstand stimmte der Verpachtung zu, der Schulvorstand im ataatlichen Schul- lehnte ab gebàude

Freie Klasse in einem Die Gem eindevertretung lehnte die Verpachtung ab unbenutzten Schul- gebâude

Freie Klasse in der a) Der Schulvorstand verlangt 2000 zl Miete; die ârmliche deutsche Eltem- ataatlichen Schule gemeinde muB dieses Angebot ablehnen b) Der Schulvorstand weigert sich, den Raum zu verpachten

Unbenutzte staatliche Der Schulvorstand verweigert die Verpachtvmg. — Von 1924 bis Juli 1929 bestand Sebule in Grabowiec eine Privatschule. Sie wurde auf Anordnung des Kreisschul- inspektors geschlossen, da die Starostei in Brodnica die Freigabe der Klasse zur Einrichtung einer „Abendschule“ verlangte. — Die Klasse war jedoch im September 1930 noch unbenutzt!

Unbenutzte staatliche Ein Lehrerwechsel macht die formale Emeuerung bzw. die Verlângerung des Schule Pachtvertrages erforderlich. Der Vertrag wird am 21. Nov. zwischen der neuen Lehrerin einerseits und dem Gemeindevorsteher, dem polnischen Schulleiter und dem stellvertr. Wojt. andererseits abgeschlossen. Einstimmiger BeschluB : Der Schulraum darf bis zum 1. 7.1931 von der Privatschule benutzt werden. — Einige Tage spàter erschien der Sekretar der Starostei in Szamotuly beim Gemeinde­ 14 vorsteher und holte den Vertrag ab. Seitdem sieht die Schulbehôrde die Pachtung als nicht vollzogen an

15 (\

13* 101 16 La location de la Lieu de l’école No. localité scolaire Comme preneur a’été proposé et district a été demandée

1. Wydartowo Février 1930 L’instituteur d’école primaire Hellmut Bomke Distr. Mogilno

2. Osowagora Février 1930 L’instituteur d’école primaire Kurt Brandt Distr. Bydgosczc

3. Lodzia Automne 1926 L’instituteur d’école primaire Gaeske Distr. Wyrzysk

4. Grochowiska Ks. a) Février 1930 Distr. Znin b) Février 1930

5. Grabowiec Juin 1930 L’instituteur d’école primaire Jakob Gexel Distr. Brodnica

6. Duszniki Novembre 1930 L’institutrice d’école primaire Distr. Szamotuly Paula Leszczynski

102 placement projeté Observations de l’école

Classe libre dans une Le maire avait baillé la localité scolaire à l’école privée. Le directeur de l’école maison d’école non publique polonaise contredit cette décision et refusa la location pour l’installation utilisée de l’école privée

Une classe non utilisée Le maire adhéra à la location, le directeur de l’école publique polonaise la refusa dans la maison de l’école publique

Classe libre dans une Les délégués municipaux refusèrent la location maison d’école non utilisée

Classe libre dans l ’école a) Le directeur de l’école demande un loyer de 200 zl; la communauté des parents publique très pauvre, doit refuser cette proposition b) Le directeur de l’école publique polonaise refuse la location de la localité

École publique non uti­ Le directeur de l’école publique polonaise refuse la location. — Depuis 1924 jusqu’au lisée mois de juillet 1929 il y avait une école privée à Grabowiec. Par ordre de l’in­ specteur des écoles du district elle fut fermée, parce que la starostie de Brodnica demanda l’évacuation de la classe pour y installer une „école de soir“. — Mais la classe n’était pas encore utilisée au mois de septembre 1930

Ecole publique non uti­ Un changement des professeurs rend nécessaire le renouvellement du bail de lo­ lisée cation. Le bail fut conclu le 21 novembre entre l’institutrice nouvelle de l’un côte, et le maire, le directeur polonais et le représentant du wojt de l’autre côte. Résolution unanime : L’école privée a le droit de se servir de la localité scolaire jusqu’au 1er juillet 1931.— Quelques jours plus tard le secrétaire de la starostie 14 de Szamotuly vint voir le maire et prendre le bail. Dès lors l’autorité scolaire considère la location comme non effective 1 5 , 103 16 Locality of the School Date of Application Person to whom it is proposed No. and District to rent the Schoolroom the rooms shall be rented

1. Wyrdatowo Mogilno February 1930 Elementaiy school-teacher Hellmut Bomke District

2. Osowagora Bydgoszcz February 1930 Elementary school-teacher Kurt Brandt District

3. Lodzia Wyrzysk Autumn 1926 Elementary school-teacher Gaeske District

4. Grochowiska Ks. a) February 1930 Znin District b) February 1931

5. Grabowiec Brodnica Juni 1930 Elementary school-teacher Jakob Gexel District

6. Duszniki Szamotuly November 1930 Elementary school-teacher Paula Leszczynski District Place proposed R em a rk s for the school

An empty school-room The D istrict Council had let the room to the private school. The Management jn a former, now of the Polish state school objected and refused the letting for the purposes disused school buil­ of a private school ding

A disused class-room in The D istrict Council agreed to the letting. The Management of the Polish the building of a state state school refused it school

A free class-room in a The D istrict representatives refused to let disused school build­ ing

A free class-room in the a) The M anagement of the school demands 2000 z. rent; the impoverished state school parents of the German community were obliged to decline this offer b) The Management of the Polish state school refused to let the room

Disused state school The Management of the Polish state school refused the letting. From 1924 till July 1929 there was a private school in Grabowiec. It was closed by order of the District school-inspector as the officials in Brodnica demanded the free use of the class-room for establishing a „night-school“. However, the class-room was still disused in September 1930

Disused state school A change of teachers makes a formal renewal or extension of the tenancy agreement necessary. The agreement was made on the 21st November between the new lady teacher on the one side and the chief official of the community, the Polish headmaster and the deputy district officer on the other side. Unanimous resolu­ tion : the schoolroom may be used by the private school till 1.7.1931. A few days later the secretary of the Starostei (district authority) in Szamotuly visited the chief official of the community and tock away the agreement. Since then the 14 school authorities have looked on the letting as not having been completed 15 105 16 Anlage Annexe Appendix

14 15 16 Auszug aus der Rede des Abgeordneten Eugen Naumann, gehalten am 5. Dezember 1929 im Warschauer Sejm (vgl. ..Deutsche Rundschau in Polen“ vom 10. Dezember 1929 Nr. 284)

In Pommerellen sind die auf dem Gebiete des Schulwesens beliebten Kampfmethoden um eine neue Erfindung bereichert worden. Um hier schneller zum Ziele zu kommen sind in letzter Zeit teils altgediente, teils neuangestellte deutschstammige Lehrer den dortigen Schulen genommen und in rein polnische Gegenden ostlich von Warschau ver- setzt worden. Die MaBnahme zeigt ein Übelwollen der Schulbehôrde, wie es schlimmer nicht gedacht werden kann. Denn die versetzten Lehrer hatten zum Teil am Ort ihier Heimat ein eigenes Anwesen, das sie sich mit allem Fleifi und aller Sorgfalt ausgestaltet und eingerichtet hatten und an dem sie mit aller Liebe hingen. In den Orten ihrer neuen Tâtigkeit finden sie aber nicht einmal eine den bescheidensten Anforderungen gemigende Mietwohnung ftir sich und ihre Familie. Nicht nur, daB man den Kindern der pommerellischen Gemeinden ihren deutschen Lehrer nahm und damit gewollter- maBen Sinn und Buchstaben des Minderheitenschutzgesetzes verletzte, macht man es auch alien den Lehrern, die der Versetzungsverfiigung notgedrungen Folge leisten mtissen, unmoglich, die eigenen Kinder dem deutschen Volkstum zu erhalten. Das eben ist ja der Zweck der MaBnahme. Denn warum erfolgte die Versetzung? Hier habe ich die polizeiliche Anzeige, die zur Versetzung des Lehrers Bartsch führte: „Kreiskommando der Staatspolizei, Tczew (Dirschau) vom 30. November 19271 —- Nr. 5769/27 —. Vertraulich. An den Schulinspektor Herrn Bienek, Tczew. Hiermit berichte ich, daB der Lehrer der Neustadtschule, Bartsch. wohnhaft in Tczew, sein Haus in deutschem Sinne ftihrt und mit Frau und Kindern deutsch spricht. Wie ich aus glaubwürdiger Ouelle erfahren habe, werden in seiner Wohnung ver-| schiedene deutsche Lieder gesungen, wie z. B. „Ich hatt’ einen Kameraden" usw. AuBer- dem unterhalten seine Kinder Beziehungen zu Kindern der deutschen Schule. Kreis-| kommando der Staatspolizei, in Vertretung: Stajka.“

Dieser Anzeige folgt eine zweite vom Kreisstarosten in Tczew vom 15. Marx 19281 — Pr. 64/28 —, sie lautet: „Paul Jankowski, der sich bei Cichocki in dessen Wohnung, die tiber der Wohnung I des Bartsch liegt, aufgehalten hat, hat mehrfach bei Bartsch das Spielen deutscher] Lieder auf dem Harmonium gehort, z. B. „Ich hatt’ einen Kameraden11 und „0 Tannen- baum“. Er horte auch das Singen dieser Lieder in deutscher Sprache durch die ganze I Familie, die Erwachsenen und die Kinder zusammen. Zu bemerken ist ferner noch, daB | Kinder mit roten Mützen aus dem deutschen Gymnasium bei Bartsch verkehren. Dytkiewicz, Starost." Wenn also ein deutschstammiger Lehrer, der eine deutsche Frau hat, mit seinen I Familienangehôrigen zwei der popularsten, in der ganzen Welt bekannten deutschen! Volkslieder singt, „0 Tannebaum“, ein Lied, mit dem jedes deutsche Kind, noch ehe es I lesen und schreiben kann, das nahende Weihnachtsfest begrüBt, so ist das Grand genug.[ den Lehrer bei seinen Vorgesetzten als reif ftir eine Strafversetzung zu d e n u n zieren. [ Was bedeutet eigentlich noch das Recht auf Erhaltung volkischer Eigenart, der Sprat" und Tradition, wenn der deutschen Familie nicht einmal mehr in der eigenen W ohnung I das Singen unserer harmlosesten Volkslieder gestattet ist. Die Regierung kann ver- sichert sein, daB wir gegen solche Barbarei mit allen uns zur Verfügung stehendenj Mitteln ankâmpfen werden. Die Versetzung des Lehrers Bonus aus dem Kreise Konitz in die Wojewodschaftl Lublin begründete der Thorner Kurator ganz offen und unverbliimt damit, daB die| verstârkte und beschleunigte Entdeutschung Pommerellens durch die Râumung des Rheinlandes bedingt sei!

108 Extrait ju discours du député Eugen Naumann, fait au Sejm de Varsovie, le 5 décembre 1929. (Voir: „Deutsche Rundschau in Polen“ du 10 décembre 1929, Nr. 284.)

Les méthodes employées en Pomérélie, au domaine scolaire, ont été enrichies d’une invention nouvelle. Pour réaliser plus vite les buts désirés, on éloigne des écoles de cette province dernièrement des instituteurs de langue allemande, qui, en partie, ont fa it leur service depuis longtemps ou qui furent nommés nouvellement, et on les a déplacés en des contrées purement polonaises à l’est de Varsovie. Cette mesure prouve une malveillance des autorités scolaires qui ne peut pas etre imaginée plus forte. Car les instituteurs déplacés avaient, en partie, des propriétés sur leur sol natal qu’ils avaient cultivées et installées avec beaucoup de zèle et d’assiduité et auxquelles ils étaient attachés de tout coeur. Mais aux places de leur activité nouvelle ils ne trouvent même pas un appartement à louer pour eux-mêmes et pour leurs familles qui correspond aux exigences les plus modestes. Non seulement que l’on prit aux enfants des communes de la Pomérélie leur instituteur allemand et viola ainsi exprès le sens et la lettre de la loi concernant la protection des minorités, on rendit impossible à tous ces instituteurs qui sont forcés d’obéir les décrets de déplacement, de conserver leurs enfants au Volkstum allemand. Voilà le vrai but de cette mesure. Car à cause de quelles raisons a-t-on déplacé les instituteurs ? Je me permets de vous lire le rapport de police qui a eu pour conséquence le déplacement de l’instituteur M. Bartsch : „Direction de Police du District, Tczew (Dirschau) du 30 nov. 1927, Nr. 5769/27. Confidentiel. A. M. l’inspecteur d’écoles Bienek, Tczew. P ar la présente je rapporte que l’instituteur de l’école de Neustadt, M. Bartsch, domicilié à Tczew, fait son ménage au style allemand et qu’il parle allemand avec sa femme et ses enfants. J’apprends d’une source digne de foi que l’on chante chez lui des chansons allemandes comme par exemple „Ich hatt’ einen Kameraden“ etc. En outre, ses enfants ont des relations avec les enfants de l’école allemande. Direction de Police du District. Pour le Directeur absent: Stajka.“ Ce rapport fut suivi d’un deuxième rapport du Staroste du district (Kreisstarost) à Tczew, du 15. mars 1928 — Pr. 64/28. Le voilà: „Paul Jankowski qui a visité Cichocki dans son appartement qui se trouve au- dessus de l’appartement du dit Bartsch, a entendu à plusieurs reprises que l’on a joué des chansons allemandes à l’harmonium. Il entendit aussi que toute la famille, les adultes et les enfants ensemble, chantait ces chansons. En outre il faut mentionner que des enfants avec les casquettes rouges du collège allemand fréquentent la maison de Bartsch. Dytkiewicz, Staroste.11 Donc, quand un instituteur de langue allemande qui a une femme allemande chante avec sa famille deux des chansons populaires allemandes les plus connues par tout le monde, „0 Tannenbaum . . .“ —- une chanson par laquelle chaque enfand alle­ mand, avant de savoir lire et écrire, salue la fête de Noël qui s’approche — alors un tel fait suffit pour dénoncer cet instituteur comme digne d’être déplacé par mesure d’ordre. Que signifie donc alors le droit à la conservation de l’individualité nationale, ie la langue et de la tradition, si la famille allemande n’a plus le droit de chanter nos chansons populaires les plus inoffisives dans son propre appartement? Le Gouvernement peut être persuadé que nous combattrons une barbarie pareille par tous fes moyens qui sont à notre disposition. Le déplacement de l’instituteur Bonus du district de Konitz à la voievodie de Lublin ht motivé ouvertement et sèchement par l’inspecteur (Kurator) de Torun par les mots Tie la dégermanisation augmentée et accélérée de la Pomérélie était la conséquence de l’évacuation de la Rhénanie ! Extract from the speech of Deputy Eugen Naumann, held in the Warsaw Sejm on 5. 12. 1929 (see „Deutsche! Rundschau in Polen“ of 10. 12. 1929, Nr. 284).

In Pommerellen the will-known Combative methods in connection with the educational system have been enriched by a new discovery. In order that the object may be more quickly achieved here, teachers of German extraction, in part those of long service and in part some who have only been lately appointed, have latterly been taken from the local schools and transferred to purely Polish districts to the east of Warsaw. These measures indicate bad intentions on the part of the educational authorities which one could hardly imagine to be worse. For many of the transferred teachers possessed property where they had lived, which they had established with great industry and care and to which they felt themselves attached by ties of affection. But in their new places of work they cannot find lodgings which are sufficient to meet even the most modest requirements of themselves and their families. Not only have the children of the communities in Pommerellen been deprived of their German teachers and in this way has the spirit and letter of the law for the protection of minorities been inten­ tionally broken, but it has been made impossible for all these teachers, who naturally were compelled to obey the order transferring them, to maintain their own children as members of the German community. That, of course, is the purpose of these measures. For why was the transfer made? I have here the police notice for the transfer of a teacher called Bartsch: “District Station of State Police, Tczew (Dirschau), 30. 11. 1927 Nr. 5709/27. Private. School-inspector Mr. Bienek, Tczew. I hereby report that the teacher Bartsch of the Neustadt-School, living in Tczew, conducts his house in a German manner and speaks German with his wife and children. 1 have learned from a credible source that German songs are sung in his house as for instance „Ich hatt einen Kameraden11 etc. Furthermore his children are in communication with the children of the German school. District Station of State Police, per pro Stajka.“ To this notice there follows a second from the Kreisstarost (district officer) in Tczew of the 15th of March 1928 — Pr. 64/28 —, as follows: “Paul Jablowski who stayed with Cichocki in his flat which is over the flat of Bartsch, has heard German songs being played frequently on Bartsch’s harmonium, e. g. „Ich hatt einen Kameraden'1 and „0 Tannenbaum11. He also heard these songs being sung in the German language by the whole family, grown-ups and children too. It is further to be noticed that children with red caps from the German Grammar School visit at Bartsch’s. Dytkiewicz, Starost”. When, therefore, a teacher of German extraction, who has a German wife, and the members of his family, sing two of the most popular German folk songs which are known throughout the whole world, „0 Tannenbaum11, a song with which every German child greets the approaching festival of Christmas even before it can read and write, that is sufficient reason for denouncing the teacher to his principals as being a suitable object for a transfer of a punitive nature. What meaning can we still attach to the right to maintain national peculiarities, speech and tradition when a German family is no longer allowed to sing our most harmless folk songs in its own home? The government can rest assured that we shall fight against such barbarity with all the means at our disposal. The Kurator in Thorn explained the transfer of the teacher called Bonus from the Conitz district to the Lublin district quite openly and without shame, by saying that the de-Germanisation of Pommerellen was necessitated to an increased extent and in a more rapid manner as a result of the withdrawal from the Rhineland.

110 Anlage Annexe Appendix

15 111 16 Verzeichnis deutscher Lehrer, denen die Erlaubnis zum Unterricht an einer Privatschule mit deutscher Unterrichtssprache entzogen oder verweigert worden ist.

1. Krôning, Willibald, war Direktor des Deutschen Privatgymnasiums in Bromberg seit dessen Griindung. Am 12. 9. 1925 ist ihm die Unterrichtserlaubnis entzogen worden. Bei den Verhandlungen wurde ausdrücklich von der Schulbehôrde erklart daB Mangel pâdagogischer oder sittlicher Art nicht der AnlaB zu der Entziehung des Amtes waren. Andere Grande wurden nicht angegeben. 2. Dr. Titze, Hans, war Direktor des Dregerschen Lyzeums Bromberg, verlor die Erlaubnis am 12. 9. 1925, wie bei Nr. 1. Ihm wurde auf Bitten der Eltern sehlieB- lich gestattet, noch ein Jahr im Amt zu bleiben; er wurde dann doch entfernt, 3. Frey, Walter, akademischer Lehrer am Deutschen Privatgymnasium Bromberg, ver­ lor die Erlaubnis am 12. 9. 1925, trotz vieler Bemühungen wurden die Grande nicht bekanntgegeben. 4. Rau, Gertrud, Lyzeallehrerin am Privat-Realgymnasium in Rawitsch, verlor die Erlaubnis am 31. 12. 1925, desgleichen wie bei Nr. 3. 5. Schnura, Walther, Direktor des Deutschen Privatgymnasiums in Bromberg. Ihm ist die Leitung am 30. 6. 1929 und die Befugnis zum Lehren an der Anstalt am 1. 2. 1930 entzogen worden. Beschwerden blieben bisher erfolglos. 6. Bottcher, Franz, Lehrer am Deutschen Privatgymnasium Bromberg, wurde entfernt am 30. 6. 1930; er erfuhr die Grande nicht und muBte abwandern. 7. Rausch, Erich, Lehrer an der Deutschen Privatschule Neutomischel, wurde entfernt am 1. 9. 1929, desgleichen wie bei Nr. 6. 8. Bach, Erich, Lehrer an der Deutschen Privatschule Jarocin, wurde entfernt am 1. 9 1930, desgleichen wie bei Nr. 6. 9. Remus, Karl, Lehrer am Deutschen Privatgymnasium Lissa, wurde entfernt am 1. 9. 1929. Grande wurden auch auf Befragen nicht angegeben — es wurde lediglich auf Position 193 der Min.-Verftigung vom 19. 9. 1924 verwiesen. 10. Schulz, Marie, wiss. Lehrerin am Deutschen Privatgymnasium Lissa, wurde entfernt am 1. 9. 1929, desgleichen wie Nr. 9. 11. Mühlenbeck, Frieda war vom 1. 9. 1926 bis 31. 8. 1930 Lehrerin an der deutschen Privatschule Exin-. Sie erbat auf eigenen Wunsch zum 1. September 1930 die Genehmigung zur Leitung der deutschen Privatschule in Wollstein-Woisztyn. Die Genehmigung wurde abgelehnt, weil polizeiliche Ermittelungen angeblich un- günstige Ergebnisse gezeitigt haben. Griinde wurden nicht bekanntgegeben. 12. Hargesheimer, Elisabeth verlieB auf eigenen Wunsch die ordentlich konzessionierte Familienschule in Markowice, Kreis Hohensalza. Sie erbat eine Lehrerstelle an der priva ten Volksschule in Konojady, Kreis Brodnica-Strasburg, zum 1. Sep­ tember 1930. Die einstweilige Uniterrichtserlaubnis wurde wieder entzogen am 10. November 1930. Die Angabe von Griinden wurde abgelehnt. 13. Koster, Gerhard verlieB das Seminar im Juli 1929, war ein Jahr lang als Organist in der evangelischen Gemeinde in Golassowitz in Oberschlesien, erbat die Lein erlaubnis ftir die Privatschule in Rejowiec, Kreis Wagrowiec-Wongrowitz, zum 1. September 1930. Seine Beschaftigung im Schuldienst wurde ganzlich nbge

112 lehnt durch mündliche Erôffnung des Dezementen. Als Grund kann lediglich der Aufenthalt in Golassowitz in Oberschlesien vermutet werden. An den spâter an dieseni Ort entstandenen Streitigkeiten war der Lehrer vollig unbeteiligt. 14. Henke, Walter, frtiher im Staatsdienst, war ein Jahr Lehrer an der privaten Volks- schule mit deutscher Unterrichtssprache in Golassowitz in Oberschlesien. Ihm wurde dort die Unterrichtserlaubnis entzogen, angeblich weil er nicht aus Ober­ schlesien, sondem aus Pommerellen stamme. Er erbat die Lehrerlaubnis ftir die private Volksschule in Podgorz bei Thorn im Februar 1931. Der Antrag wurde abgelehnt, vermutlich ans dem Grunde, daB er einmal in Golassowitz beschâf- tigt war. 15. Erdmann, Artur erbat am 27. 3. 1927 die Lehrerlaubnis für die private Volks- scliule Ostrowiec, Kreis Wyrzysk-Wirsitz. Der Antrag wurde abgelehnt ohne An- gabe von Grtinden. lti. Marenki, Samuel war bis zum SchluB des Schuljahrs 1927/28 im Staatsdienst, erbat zum 1. September 1928 die Unterrichtserlaubnis für die deutsche Privatschule Tremessen-Tremeszno. Der Antrag wurde abgelehnt ohne Angabe von Grtinden. 17. Mix, Helene erbat am 1. 2. 1926 die Konzession ftir die deutsche Privatschule in Buk, Kreis Grâtz. Der Antrag wurde im April 1926 abgelehnt ohne Angabe von Grtinden. 18. Melka, Bruno, Lehrer seit 1913, bis zum September 1925 im Staatsdienst, erbat seine Entlassung und die Lehrerlaubnis ftir die deutsche private Schule in Schwetz- Swiecie. Die Erlaubnis wurde verweigert, vermutlich weil er als Person pol- nischer Herkunft nicht an deutschsprachigen Schulen unterrichten sollte. Er muBte schlieBlich abwandern. 19. Ringwelski, Karl war Lehrer seit 1910, zuletzt von 1921 bis 1925 an der staat- lichen Mittelschule in Grudziadz. Er schied dort mit dem 31. 8. 1925 auf eigenen Wunsch aus und erbat die Lehrerlaubnis fiir die deutsche hohere Privatschule in Neustadt-Wejherowo. Sie wurde ihm verweigert, weil Ringwelski sich frtiher amt- lich als zum „polnischen Volkstum gehorig“ bezeichnet haben soil. Ringwelski bestreitet das. Die Behorde erblickt in der wechselnden Angabe tiber die Zugehorig- keit zum Volkstum einen „sittlichen Fehler“, der ihn zur Erziehung der Jugend unge- eignet mache. Ringwelski muBte schlieBlich abwandern.

113 Liste des instituteurs allemands auxquels la permission d’enseigner à des écoles privées avec langue véhiculaire allemande a été soustraite ou refusée.

1. Krôning, Willibald — était directeur du Collège privé à Bydgoszcz (Bromherg) depuis la fondation de cette école. Le 12. 9. 1925 la permission d’enseigner lui a été soustraite. Au cours des discussions y relatives l’autorité scolaire a déclaré expressément que des défauts de nature pédagogique ou morale n’étaient pas la cause de la soustraction de la permission. D’autres raisons ne furent pas indiquées. 2. Dr. Titze, Hans —• était directeur du Lycée Dreger, à Bydgoszcz (Bromberg). Il perdit la permission le 12. 9. 1925 comme No. 1. En suite des demandes des parents des ses écoliers il obtint finalement le droit de revêtir sa charge encore une année. Puis il fut éloigné. 3. Frey, Walter — Instituteur académique du Collège privé allemand à Bydgoszcz (Bromberg), perdit la permission le 12. 9. 1925. En dépit de nombreux efforts, les raisons de cette mesure ne furent pas indiquées. 4. Bau, Gertrud — Institutrice de lycée au Privat-Realgymnasium (gymnase pro­ fessionnel privé) à Rawitsch, perdit la permission le 31. 12. 1925, comme No. 3. 5. Schnura, Walther — Directeur du Collège privé à Bydgoszcz (Bromberg). La direction et le droit d’enseigner à cette école lui furent soustraites le 30 . 6. 1929 respectivement le 1. 2. 1930. Des plaintes n’avaient pas encore de succès. 6. Bottcher, Franz — Instituteur au Collège privé de Bodgoszcz (Bromberg). Il fut éloigné de sa place le 30. 6. 1930; il n’apprit pas les raisons de cette mesure et devait émigrer. 7. Rausch, Erich — Instituteur à l’école privée de Neutomischel; il fut éloigné le 1. 9. 1929, même cas que No. 6. 8. Bach, Erich — Instituteur à l’ecole privée de Jarocin, fut éloigné le 1. 9. 1930, même cas que No. 6. 9. Remus, Karl — Instituteur au Collège privé de Lissa, fut éloigné le 1. 9. 1929. Même sur demande expresse, des raisons ne furent pas indiquées — on ne se référa qu’à la position 193 du Décret Ministériel du 19. 9. 1924. 10. Schulz, Marie — Institutrice scientifique au Collège privé de Lissa, fut éloignée le 1. 9. 1929, même cas que No. 9. 11. Mühlenbeck, Frieda — Elle était du 1. 9. 1926 jusqu’au 31. 8. 1930 institutrice à l’école privée allemande d’Exin-Keynia. Elle demanda pour le 1er septembre 1930 l’autorisation de diriger l’école privée allemande à Wollstein-Wolsztyn. L’autori­ sation fut refusée, parcequ’il fut prétendu que des recherches de police avaient eu des résultats défavorables. Des raisons ne furent pas communiquées. 12. Hargesheimer, Elisabeth — Elle quitta à son propre souhait l’école de famille dûment patentée à Markowice, District de Hohensalza. Elle demanda une position d’institutrice à l’école privée à Konojady, District de Brodnica-Strasburg, pour le 1er septembre 1930. La permission provisoire d’enseigner fut retirée le 10. novembre 1930. La communication des raisons de cette mesure fut refusée. 13. Koster, Gerhard —■ quitta le séminaire au mois de juillet 1929, était pendant une année organiste de la paroisse protestante à Golassowitz, Haute-Silésie, et demanda la permission d’enseigner à l'école privée de Rajowice, District de Wagrowie-

114 Wongrowitz, pour le 1er septembre 1930. Son occupation au service scolaire fut complètement refusée par une déclaration orale du chef de l’administration. Comme raison de ce refus ne peut être supposée que le séjour de K. en Haute-Silésie. Aux conflits surgis plus tard à Golassowitz l’instituteur était complètement étranger. 14. Henke, Walter — Etait auparavant au service de l’Etat; était pendant une année instituteur à l’école primaire privée à langue véhiculaire allemande à Golassowitz, Haute-Silésie. Là, la permission d’enseigner lui fut soustraite sous le prétexte qu’il n’était pas originaire de la Haute-Silésie, mais de la Pomérélie. 11 demanda la permission d’enseigner à l’école primaire privée de Podgorz près de Torurï au mois der février 1931. La demande fut refusée; on suppose, à cause du fait qu'il avait été occupé autrefois à Golassowitz. ]5. Erdmann, Artur — Il demanda le 17. 3. 1927 la permission d’enseigner à l’école primaire privée d'Ostrowiec, District de Wyrzysk-Wirsitz. La demande fut refusée sans indiquer des raisons. 16. Maretki, Samuel —■ Il était au service de l’Etat jusqu’à la fin de l’année scolaire 1927/8, et demanda la permission d'enseigner à l’école privée de Tremessen-Tremeszno pour le 1er septembre 1928. La demande fut refusée sans indiquer des raisons. 17. Mix, Helene — - demanda le 1er février 1926 la concession pour l’école privée allemande à Buk, District de Grâtz. La demande fut refusée au mois d’avril 1926, sans indiquer des raisons. 18. Mellca, Bruno — Instituteur depuis 1913, jusqu’au mois de septembre au service de l’Etat, demanda sa démission et la permission d’enseigner à l’école privée allemande de Schwetz-Swiecie. La permission fut refusée, on suppose parce que Melka comme instituteur d’origine polonaise ne devait pas enseigner à des écoles à langue véhiculaire allemande. Finalement il devait émigrer. 19. Eingwelski, Karl — Il était instituteur depuis 1910, en dernier lieu de 1921 à 1925 à l’école primaire supérieure publique à Grudziadz (Graudenz). A sa propre demande il quitta cette école le 31. 8. 1925 et demanda la permission d’enseigner à l’école privée allemande supérieure de Neustadt-Wejherow. La permission fut refusée, parce que Ringwelski, comme on prétend, s’est déclaré autrefois officielle­ ment comme appartenant au Volkstum polonais. Ringwelski conteste ce fait. Les autorités considèrent l’indication variable du Volkstum comme un „défaut moral11 qui le rend impropre à l’éducation de la jeunesse. Ringwelski devait, à la fin, quitter le pays.

16 List of German Teachers from whom permission to teach in a private school with German as instructional language has been taken away or to whom it has been refused.

1. Kroning, Willibald, was Headmaster of the German private Grammar School in Bromberg since its foundation. On 12. 9. 1925 his permission to teach was taken away. During the negotiations the school authorities specifically declared that deficient educational or normal qualifications were not the reason for his bein"- removed from his position. No other reasons were given. 2. Dr. Titze, Hans, was Headmaster of the Dreger High School for Girls in Bromberg, and lost his permit on 12. 9. 1925 as in the case of No. 1. As a result of requests by the parents he was permitted to remain one year longer, but he was then removed. 3. Frey, Walter, Academic Teacher at the German private Grammar School in Brom­ berg, lost his permit on 12. 9. 1925; in spite of many efforts no reasons were given. 4. Ran, Gertrud, Staff Teacher at the private Grammar School in Rawitsch, lost the permit on 31. 12. 1925; same as No. 3. 5. Schnura, Walther, Headmaster of the German private Grammar School in Brom­ berg. He was removed from the headship on 30. 6. 1929 and his permit to teach at the school was withdrawn on 1. 2. 1930. Complaints have so far produced nc results. 6. Bottcher, Franz, Teacher at the German private Grammar School in Bromberg, was removed on 30. 6. 1930: he did not learn the reasons and had to go away. 7. Rausch, Erich, Teacher at the German private school Neutomischl, was remove» on 1. 9. 1929; the same as Nr. 8. Bach, Erich, Teacher at the German Private School in Jarocin, was removed oi 1. 9. 1930; the same as No. 6. 9. Remus, Karl, Teacher at the German Private Grammar School in Lissa, wai removed on 1. 9. 1929. Reasons were not given even after enquiry. Reference was only made to Par. 193 of the Minorities Regulations of 19. 9. 1924. 10. Schulz, Marie, Teacher at the German private Grammar School in Lissa, vva removed on 1. 9. 1929; the same as No. 9. 11. Miihlenbeck, Frieda, was from 1. 9. 192G till 30. 1. 1930 teacher at the Germa: private School in Exin-Kcynia. She herself requested on 1. 9. 1930 to b e give: permission to act as Headmistress of the German Private School in W o lis te in Wolsztyn. Permission was refused because police reports were a p p a re n t! unfavourable. No reasons were made known. 12. Hargesheimer, Elisabeth, at her own wish left the authorised private school i Markowice, District Hohensalza. She requested a post in the private Elemental' School in Konojady, District Brodnica-Strasburg on 1. 9. 1930. Her permission t teach was withdrawn again on 10. 11. 1930. Reasons were refused. 13. Koster, Gerhard, left the Seminary in July 1929, was organist for a year in th Protestant Community of Golassowitz in Upper Silesia, requested the teacher permit for the private school in Rejowiec, District Wagrowie-Wongrowitz on 1. ! 1930. His educational occupation was entirely refused by the District Inspecte by word of mouth. As reason only the residence in Golassowitz in Upper Silese

116 can be imagined. The teacher took no part whatever in the disturbances which later took place there. j4 Henke, Walter, formerly in the state service, was for one year teacher at the private Elementary School with German as instructional language in Golassowitz in Upper Silesia. There his permission to teach was cancelled, apparently because he came from Pommerellen and not from Upper Silesia. He requested a teaching permit for the private Elementary School in Podgorz near Thorn in February 1931. The request w'as refused, presumably because he had once been occupied in Golassowitz. 15. Erdmann, Artur, requested the teaching permit on 27. 3. 1927 for the private Elementary School in Ostrowiec, District Wyrzysk-Wirsitz. The application was refused without any reasons given. 16. Maretki, Samuel, was in the state service till the end of the school year 1927/28; requested the teaching permit for the German private school in Tremessen- Tremeszno on the 1. of September 1928. The application was refused without any reasons given. 17. Mix, Helene, on 1. 2. 1926 requested the permit for the German Private School in Buk, Gratz District. The application was refused in April 1926 without any reasons being given. 18. Melka, Bruno, Teacher since 1913, in the state service till September 1925, requested to be retired and to be given the teaching permit for the German Private School in Schwetz-Swiecie. Permission was refused, presumably because as a person of Polish extraction he was not to teach in German-speaking schools. In the end he had to go away. 19. Ringwelski, Karl, was teacher from 1910; latterly from 1921 till 1925 at the State Middle-grade School in Grudziadz. He left at his own request on the 31. 8. 1925 and requested the teaching permit for the German Higher-grade Private School in Neustadt-Wejherow. It was refused because Ringwelski had formerly notified himself officially as “being of Polish Volkstum”. Ringwrelski disputes this. The authorities see in the divergencies in notifying the Volkstum a “moral fault” which makes him unsuitable for educating young people. In the end Ringwelski had to go away.

15* 117 Anlage Annexe Appendix Am Stichtage, 1. 12. 29, wurden beschult Prozentsatz Zahl | Prozentsatz Sammel­ K inder B estehende Vom die ia K inder, Bei Durchführung des deutsche Kinder in : der deutschen der Kinder, die bei Errichttmg schulen in die als un- Schulnetzentwiirfs wiirde nen: von Sammelschulen mit 40 und staat- polnischen Kinder in zuerric .Minder- m it Schulen beschult ver­ der Prozentsatz der staatliche Zu- mehr Kindem noeh in polnischen deutschen Kinder in K reis P ow iat deutsche deutschen lichen Schulen ohne Schulen ohne de 8a weniger m it bleiben—Un­ Bemerkungen Minder- sam m en jiulen " Schulen ohne deutsche TJnter- Schulen ohne deutsche P riv at- Minder- deutsche deutsche als 40 w eniger terschied zwi- P rivat- S palten schiile richtssprache verbleiben würden Unterrichtssprache heits- heits- Unterrichts- Unterrichts- 40 unj I jafaahme K in­ als 40 schen Spalte — Spalte 8 — gesenkt schulen schulen 4— 6 (Unterschied zwi- werden auf schulen schulen sprache sprache K in kônnen sehen Spalte 6 u. 10| dem K indern 11 und 14 — 10 11 12 13 14 15 16 17

I. W oiwodie (voiv Iro de ship Thorn (Torun). 597 714 83,4 B e r e n t...... Koscierzyna . 2 . 117 1410 187 26,1 8 173 14 1,9 Bei den Kreisen 402 913 44,0 Briesen ...... Wabrzezno .. 1 8 56 455 1255 147 16,1 5 131 16 1,7 Adelnau, Kempen, C ulm ...... Chel m n o . . . . 3 139 720 859 83,8 1446 274 31,8 9 252 22 2,5 Schildberg und Sol- 268 Dirschau .... Tczew ...... 1 159 109 40,7 1 83 26 9,7 1 22 4 1,5 d au sind eingerech- 1222 Graudenz ... Grudi?dz .... 8 556 666 54,5 1444 222 18,1 8 189 33 2,7 net Kinder, deren ICarthaus ... K a rtu z y ...... 3 159 418 577 72,4 Il07 311 53,9 12 281 30 5,2 Eltern sich zum K o n itz ...... Chojnice .... 7 489 370 859 43,1 Is? 43 5,0 3 40 3 0,3 Deutschtum und 194 L o b au ...... L u b a w a ...... 194 100,0 194 7 179 15 7,7 zum evangelischen M e w e ...... G niew ...... 113 113 100,0 113 4 108 5 4,4 Glauben bekennen, 162 Neustadt .... Wejherowo .. 1 52 110 67,9 1 2 108 66,6 5 87 21 1,3 obwohl ihre Haus- 2 85 211 296 71,3 1152 59 19,9 2 47 12 4,0 sprache nicht die Schwetz .... Swiecie ...... 1 51 66 1 254 1371 91,5 1755 499 36,3 17 385 114 8,3 deutsche ist. S o ld a u ...... Dzialdowo .. 2 80 722 802 90,0 1553 169 21,0 5 143 26 3,2 2 75 195 270 72,2 184 68,1 6 145 39 Stargard .... Starogard ... 1 11 1,4 Pour les arrondisse­ Brodnica .... 1 134 85 302 521 58,0 178 34,1 7 160 18 Strasburg.... Im 3,4 ments d’Adelnau, 6 536 383 919 41,1 172 18,7 7 168 T orun I211 4 0,4 de Kempen, de 2 59 289 348 83,0 112 32,1 3 77 T u c h e l...... T u c h o la ...... Im 35 10,0 Schildberg et de 9 512 657 1 169 56,2 210 17,9 7 187 Zempelburg .. S çpolno...... Iw 23 2,0 Soldau, on a com­ 7 712 111 577 66,6 3208 Zusammen (au total, total) I: I 4 58 241 3 624 27,6 116 2774 434 3,7 pris dans les chiffres les enfants dont les II. Woiwodie (von lodeship Posen (Poznan) parents déclarent appartenir à la Adelnau .... Odolanôw . .. 1 I 123 1 072 1 195 89,7 p 103 8,6 4 76 27 2,2 nationalité alle­ Birnbaum ... Miçdzychôd . 2 4 51 241 117 409 28,6 117 28,6 1 31 86 21,0 mande et à la Bromberg ... Bydgoszcz ... 1 15 52 1472 586 2 110 27,8 1376 210 9,9 7 175 35 1,6 confession évangé­ Czamikau ... Czarnkôw . .. 7 416 157 573 27,4 20 137 23,9 5 114 23 4,0 lique, bien que la G n e sen ...... G n iezn o ...... 7 9 331 458 175 964 18,1 6 169 17,5 7 - 141 28 2,9 langue parlée à la G o s ty n ...... G o s ty ri...... 3 1 149 35 18 202 8,9 18 8,9 15 3 1,4 maison ne soit point G r â t z ...... Grodzisk .... 2 2 43 79 70 192 36,4 51 19 9,8 1 18 1 0,5 l’allemand. Hohensalza .. Inowroclaw . . 4 11 173 572 226 971 22,2 63 163 16,7 5 124 39 4,0 Jarotschin .. J a ro c in ...... 3 2 71 107 43 221 19,5 1 ■ 43 19,4 1 39 4 1,8 K e m p e n ...... K ç p n o ...... 944 944 100,0 1(5$ 286 30,2 9 180 106 11,2 For the districts of K o lm a r ...... Chodziez .... 2 19 49 1 159 471 1 679 28,6 215 12,8 9 198 17 1,0 Adelnau, Kempen, Koschmin ... K o z m in ...... 2 2 57 93 62 212 29,3 14 58 27,3 2 47 11 5,2 Schildberg and K osten ...... K o s c ia n ...... 3 87 • 16 103 15,5 16 15,5 16 15,5 Soldau children Krotoschin . . Krotoszyn ... 1 5 18 327 84 429 19,5 8 76 17,7 2 60 16 3,7 are included whose 2 7 118 475 436 1 029 42,3 70 6,8 4 60 10 10,6 parents are of the M o g iln o ...... M o g iln o ...... 5 7 239 378 157 774 20,3 h 125 16,1 7 110 15 1,9 protestant confes­ Neutomischel Nowy Tomysl 1 22 30 1 169 46 1 245 3,7 22 24 1,9 1 12 12 0,9 sion and regard O b o rn ik ...... Oborniki .... 3 11 138 502 325 965 33,7 82 243 25,1 9 231 12 1,2 themselves as be­ 68,6 longing to Ger- Ostrowo .... Ostrow ...... 1 41 92 133 r 44 33,0 2 25 19 14,3 20,6 Pleschen...... P le sz e w ...... 3 2 82 188 70 340 111 29 8,5 1 29 mandom, altough 16,0 their domestic P o s e n ...... P o z n a n ...... 1 4 10 501 98 609 98 16,0 4 64 34 5,5 37,9 23 Rawitsch .... R aw icz...... 2 3 43 187 138 368 115 31,2 5 115 language is not 16,4 German. S a m te r...... Szamotuly... 9 1 365 58 83 506 r 39 7,7 1 16 23 4,5 100,0 h Schildberg .. Ostrzeszow .. . 705 705 127 18,0 4 99 28 4,0 46,8 Schmiegel ... Smigiel ...... 1 2 50 83 117 250 117 46,8 4 107 10 4,0 62,8 i Schrimm .... S r e m ...... 3 117 197 314 96 35,7 4 94 2 0,6 S ro d a ...... 5 1 178 46 26 250 10,4 26 10,4 26 10,4 2 11 141 598 388 1 127 34,4 153 13,5 7 142 11 0,9 43,6 ■ S tre ln o ...... Strzelno .... 2 1 41 69 85 195 78 40,0 4 69 9 4,6 23,5 h W irsitz ...... Wyrzysk .... 24 . 1 223 376 1599 205 12,8 6 175 30 1,8 14,9 Wollstein . .. Wolsztyn ... 14 925 163 1 088 1 92 8,4 4 91 1 24,6 In Wongrowitz.. Wagrowiec... 2 14 98 610 232 940 158 16,8 7 152 6 0,6 29,3 Wreschen ... Wrzesnia .... 3 3 83 124 86 293 r 81 27,6 3 81 40,8 Z n in ...... Z n i n ...... 5 4 112 243 245 600 116 19,3 3 74 42 7,0 34,4 Zusammen . . II.... 80 209 2 967 12 461 8 106 23 534 3666 15,6 133 2964 702 2,9 au total .... 45,1 to ta l ...... I u. II .... 84 267 3 208 | 16 085 15 818 35 111 6874 19,6 249 5738 1136 3,2

120 121 Anlage Annexe Appendix 17