Rpertoire Alphabtique Des Principales Localits Mentionnes Dans Le
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RÉPERTOIRE ALPHARÉTIQUE DES PRINCIPALES LOCALITÉS MENTIONNÉES DANS LE COMPENDIUM^T LE CONSPECTUS FLOR^ ATLANTICjE, AVEC DEUX CARTES BOTANIQUES DE L'ALGÉRIE ET DES NOTICES SUR CES CARTES E. COSSON Auteur du Compendium Florœ Atlantlcœ, du Conspcctus Florœ Atlanticœ, des Illustrationcs Florœ Atlanticœ, etc. AVEC LE CONCOURS DE MM. L. KRALIK, A. LETOURNEUX, V. REBOUD, A. WARION. DEUXIEME EDITION AUGMENTÉE DE NOMBREUSES INDICATIONS D'ALTITUDES RÉCEMMENT RELEVÉES PAR MM. LES OFFICIERS D'ÉtAT-MaJOR ET PAR MM. LES INGÉNIEURS DES CHEMINS DE FER. PARIS G. MASSON, LIBRAIRE-ÉDITEUR BOULEVARD SAINT-GERMAIN, N» 120 M DCCG LXXXII ^^^ 'ik'li'ik'ik'A'A'firi'ii'A'A^ iiiTiiiMiMii^ ***y l ma 1 CHICAGO NATURAL HISTORY MUSEUM I Digitized by the Internet Archive in 2011 with funding from The Field IVIuseum's Africa Council http://www.archive.org/details/rpertoirealphabtOOcoss REPERTOIRE ALPHABETIQUE DES PRINCIPALES LOCALITÉS MENTIONNÉES DANS LE COMPENDIUM ET LE CONSPECTUS FLOR^ ATLANTIC^ AURILLAG, IMPRIMERIE H. GENTET, RUE MARCHANDE. RÉPERTOIRE ALPHARÉTIQUE DES PRINCIPALES LOCALITES MENTIONNEES DANS LE COMPENDIUM ET LE CONSPECTUS FLORJE ATLANTICJE, AVEC DEUX CARTES BOTANIQUES DE L ALGERIE ET DES NOTICES SUR CES CARTES E. COSSON Auteur du Compendmm Florœ Atlanticœ, du Conspectus Florœ Atlanticœ, des Illustratlones Florœ Atlanticœ, etc. AVEC LE CONCOURS DE MM. L. KRALIK, A. LETOURNEUX, V. REBOUD, A. WARION. DEUXIEME EDITION AUGMENTÉE DE NOMBREUSES INDICATIONS D'ALTITUDES RÉCEMMENT RELEVÉES PAR MM. LES OFFICIERS D'ÉtAT-MAJOR ET PAR MM. LES INGÉNIEURS DES CHEMINS DE FER. PARIS G. MASSON, LIBRAIRE-ÉDITEUR BOULEVARD SAINT-GERMAIN, N» 120 I M DCCC LXXXII l'!4707 NOTICE SUR LE RÉPERTOIRE ALPHABÉTIQUE DES LOCALITÉS MENTIONNÉES DANS LE COMPENDIUM ET LE CONSPECTUS FLOR^ ATLANTIC^, EXPLICATION DES PRINCIPALES ABRÉVIATIONS EMPLOYÉES DANS CE RÉPERTOIRE ET INDICATIONS DESTINÉES À EN FACILITER L'USAGE. Dès 1860, la multiplicité des recherches à faire dans les nombreuses cartes de l'État-Major, ou dans les autres cartes les plus récentes de l'Al- gérie, de la Tunisie et du Maroc, pour y trouver les noms des localités à mentionner dans le Compendhim Florse Atlanticœ, nous avait conduits, mon ami M. L. Kralik et moi, à dresser un Répertoire alphabétique de ces localités. Ce Répertoire était indispensable pour l'énumération régu- lière des localités par pays, par régions naturelles et par provinces, suivant leur orientation et leur latitude. Nous n'avons reculé devant aucune des difficultés d'exécution que présentait un semblable travail dans l'état actuel des connaissances géographiques. Ces difficultés étaient de plusieurs ordres : aucune des cartes, même les plus récentes et à la plus grande échelle, ne présentait un tableau suffisant des noms de lieux, et l'orthographe adoptée par leurs auteurs, sans en excepter l'État-Ma- jor, se produisait sous des formes si variées qu'il était trop souvent diffi- cile de reconnaître une même désignation géographique sous les diverses transformations qu'elle avait subies d'une carte à une autre. De plus, nous devions inscrire dans notre Répertoire des localités d'un intérêt géographique trop secondaire pour figurer sur les cartes ou dans les tra- vaux même les plus détaillés, mais qui cependant ofî'raient un véritable intérêt au point de vue botanique; ainsi nous avons dû mentionner les noms de simples accidents de terrain, de petits bois, de broussailles, de pâturages, de sources, de petits ruisseaux, etc., lorsque à ces stations ont été signalées des plantes spéciales ou rares. b NOTICE SUR LE REPERTOIRE DES LOCALITES. Nous avions établi, dans un premier travail, l'énumération de toutes les localités botaniques à citer, en les repérant sur les cartes que nous avions alors à notre disposition, et, qu'au préalable, nous avions divisées par les lignes de longitude et de latitude en carrés de demi-degrés dési- gnés chacun par une lettre et un nombre. Mais nous n'avons pas tardé à reconnaître que, réduit à ces proportions, le Répertoire était tout à fait insuffisant et qu'il était indispensable de procéder à un travail beau- coup plus étendu, indiquant pour chaque localité, outre le carré de la carte spéciale que nous faisions dresser, son nom dans la géographie ancienne, lorsqu'il existe, la province, la région naturelle à laquelle elle appartient, son altitude lorsqu'elle est déterminée et son orientation rela- tivement aux points les plus importants et les plus rapprochés. Dans le Répertoire que nous publions aujourd'hui, les localités sont énumérées par ordre alphabétique d'après leur nom propre, et non d'a- près le qualificatif ou l'article qui peut le précéder. Cette disposition nous a permis d'éviter les nombreuses répétitions qui se seraient nécessaire- ment produites si l'ordre eût été établi d'après l'article ou le qualificatif souvent variable. D'autre part, le nom de certaines tribus pouvant indif- féremment prendre comme qualificatif les mots Béni, Ouled ou AU, il en serait résulté, si nous n'avions pas subordonné le qualificatif au nom pro- pre, qu'une même tribu aurait dû figurer trois fois au Répertoire. — Les sources (Ain), les cours d'eau ou les ravins (Oued) ont dû être également placés à leur nom propre, tandis que les noms de localités, dans la com- position desquels entrent comme éléments intégrants les mots Ain ou Oued, reliés dans ce cas au nom propre par un trait d'union, sont inscrits àAïN-ouàOuED-; ainsi Am-eM5e?;, caravansérail ; Oued-Fodda, YÏWdige.— Les indications géographiques pour les rivières, les ruisseaux, les ra- vins, désignés sous le terme générique d'Oued, ne sauraient donner une véritable description du cours de l'Oued, mais doivent surtout fournir le moyen facile de le trouver sur notre carte. Au surplus, un même Oued changeant généralement de nom à chaque territoire ou à chaque centre habité qu'il traverse, et dont il tire sa nouvelle dénomination, on ne peut en embrasser l'ensemble qu'en ayant recours aux cartes et en cherchant dans le Répertoire les divers noms qu'il porte successivement. L'orthographe suivie dans le Répertoire est exactement celle adoptée dans le Compendium et dans le Conspectiis.-*- Les noms composés devront être cherchés à l'initiale du premier mot qui entre dans leur composition ; ils sont caractérisés par les traits d'union qui en réunissent les éléments. Il n'est fait d'exception que pour les mots commençant par l'article fran- çais ou l'article arabe (El-)] ce dernier, bien que suivi d'un trait d'union, est, comme l'article français, rejeté après le nom et mis entre parenthè- ses; ainsi Eh-OuAi\voyez Ouar(El-), La Galle voyez Galle (La). — Pour tous les noms composés qui ne se trouvent pas à la place indiquée par leur qualificatif, une note avertit qu'ils doivent être cherchés à leur nom — NOTICE SUR LE REPERTOIRE DES LOCALITES. i propre.— Ne sont pas considérés comme noms composés ceux qui com- mencent par les noms communs arabes ou kabyles les plus usuels, tels que : Ain, AU, Béni, Bir, Bordj, Daïa, Djebel, Feclj, Gour, Kef, Ksar, Ogla, Oued, Ouled, Redir, Sebkha, Teniet, Tizi, etc. Pour ces noms, il n'y a pas de traits d'union, et on doit les chercher à leur nom propre ; ainsi, pour Oued Abaïch voyez Abaïch (Oued), Djebel Ahmar voyez Ahmar (Djebel), Djebel Bou-Abid voyez Bou-Abid (Djebel). Dans la transcription en français des mots arabes ou kabyles, toutes les lettres, comme en latin, devant être prononcées, nous avons supprimé Ve muet fmal toutes les fois que la prononciation de la consonne finale précédente permet cette suppression; ainsi, par exemple, au lieu de Ta- guine, Medaguine, Relizane, nous avons écrit Taguin, Medaguin, Relizan, bien qu'ils doivent se prononcer comme s'ils étaient terminés par un e muet. Les noms latins des villes ou stations romaines correspondant aux noms de lieux actuels sont placés entre parenthèses ; ainsi, Alger [Ico- sium]. Les noms de lieux anciens sont empruntés surtout à la carte de l'Afri- que sous la domination romaine et à la Notice sur cette carte (1). Nous avons également trouvé d'utiles renseignements dans VAlgeria romana, de M. Mac Carthy (2), ainsi que dans l'ouvrage de Mannert(3). Le nom ancien suivi d'un ? indique que l'attribution de ce nom à la localité mo- derne n'est que probable et n'offre pas un degré suffisant de certitude. - Les noms attribués par Desfontaines dans le Flora Atlantica aux localités qu'il a explorées ont été pour nous l'objet d'assez longues recherches (4) et ce n'est que très récemment qu'un passage de Shaw (5) a mis notre ami M. A. Letourneux à même de nous indiquer la synonymie et la position de Basilbab. Les noms de provinces ou de pays sont indiqués par leur lettre initiale ; ainsi G. désigne la province de Constantine, A. la province d'Alger, 0. la province d'Oran, T. la régence de Tunis ou Tunisie, M. l'empire du Maroc. (1) Carte de l'Afrique sous la domination des Romains, dressée au Dépôt de la Guerre d'après les travaux de M. Fr. Lacroix, par M. Nau de Cliamplouis, 1864. Notice sur cette carte, par M. Nau de Ghamplouis. (2) 0. Mac Carthy, Algeria romana, Recherches sur l'occupation et la colonisa- tion romaines en Algérie, publiées dans la Revue africaine. (3) Mannert, Géographie der Griechen und Rœmer. — La partie consacrée à la géographie du nord de l'Afrique, a été traduite par MM. L. Marcus et Duesberg et publiée sous le titre de Géographie ancienne des États barharesques, avec des additions et des notes par M. L. Marcus, 1842. (4) Peyssonnel et Desfontaines, Voyages dans les régences de Tunis et d'Alger, publiés par Dureau de la Malle, 1838.