30 MAI 1924 ~Ourquoi ~As ? L

ATORZIÈU A!CNÉE. - N' 51:1 Le numéro : 75 centimes ourquoiPas? GAZETTE HBBOOMÂDAIRB PA.R.AJSSA.NT LB VBNDREDI L. OUMONT-WILDBN O. OARNIR L. SOUOUBNBT

ÉMILE \Il AUTERS :: ; ,

Br~• ll.i JMtJ suPh1turt1 J e haut ~n bas - lis dent• 111/iricutej dt hal en haut. ' " :: t ~ efnoil cela, C'1d 11 uul mog11. Je J~. 6orraun ln 1ntuJl1m -!.:. "°''~ d1ntur1Jes l'>lc.; t!.::; - ~ m1nts qui y oJl,,..rc•·J.

R.,Jfll'U#f/_,, ,_,,. ,._ r. ~ i \ tA1.)()'\ h4,...... h- 1J. rw 1'44~ "' l-~. BRl.IXELl.ES,

:...... :

bes deux meilleurs hôtels·1'estaorants de Bruxelles LE M ÉT ROPOLE LE MAJESTIC PLAC E DE BROUCKÈRE PORTE DE NAMUR S plendide aalle pour noces •t banqueta Salle de restaurant au premier Mac•

: -1 LE DERNI ER MOT DU CONFORT MODERNE :-: .lt.:ATORZI P. MI! ANNtl!. - N° 513 VENDREDI 30 MAI 1924 ~ourquoi ~as ? L . DUMONT- WILDB N - O. OARNIR - L. SOUOUBNBT AJ>)IOOSTUT&Ua • Albert Colla

AaOHN&MIJ'rtTI u.,.,. 6 Mots l M.011 A D)llNISTU TION : 1 Compte cb&q11 .. postau. Bcf6fttUe. 30.00 18.00 9 .00 a• 16.664 1, fi• dt Bcrl1 lmoo l, BRUXBLLBS Con... 35.00 14.150 - . ~CT, se oo 20 OO 1 Il Tflfph11 : N., 137,&J cl l9J,0 , Emile WAUTERS

Après un,· lungue absence. Enul,· W<1utt'rs •'>t Il arpartient à une /anulle de bourgeois de Bru donc re1·e11u au f'"Y"· rour 1uuir de la gloire; 011 ne :œl/ô uù, ctrtes, on >a~·a1t ,,. que c'e>t qu'un lil 1ouit i·raiment de la gloire qu'aux lieux qui 1·uu:. ble<1u e. Sa 1amws qu'une vraie passion: la peinture). iV'em pern turc, assurt'me11t, ne ressemble en rien J ct'llt• pèclze que. selon la bonne traditwn. ses parents com que l'un /11it au1uurd'/iu1, que l'on aime l'i qui' 1'011 mencèrent par s'opposer énergiquement à sa voca achdt' 01111wrd'/wi. Il 11'<1 rien de cubiste, ni mt'mc tion. Tl ~·oulail être pdntri: on <11mm1•nça par le d'unpre."i!>nnislt', le bon maî!re Emile Wautus, pl<1cer che: le décorale11r ChcJrks All>crt, clzargê de mws, parmi /t's artistes, ceux-là mêmes qui, .iprès lui apprendre à placer le ton " lumineux et trcm s 'ëtr, ral11mt's dt• /'imprt ssionnisme, st' rappro quillt qui conl'ient à une sa/11• à man11,•r ., à c faire chent a1wurd'h111 du cubisme ou de ce qui en reste, parler une corniche " .·t ci pént'trcr les arcanes du s'inclin1nl J,·1•a111 lui. ,., 1•culent bien lui reconnaitrt• style Rt•n.iissance flamande. Il ,e rb•l!n.i el, grâce Je> qu<1l1tés. C'e~t que sa pdnturt• a Ct'SS,I d'ètre d cett,• résif!nation. finit rar obtt'nir d'entrer à /'aÏe dl11wd11e pour de1•enir historique. li1•r Portaels. On '(lll le rôt,· qu'eut d<1ns nuire t'cole le père ??? Pcirtae/s. Toul le mon.te, t'n l:klR1q11c, a été /'élèt•e C'est 1•ra1mt•nt un .uu:ëtre, en effet, qu'Emile de Purtaels. depuis Emile Wauti:r, ;usqu'à KhnopJ! Wauters: 11 t''t d1 lb./6. t:t sun premier tubl1 i1u, t'I à G.-ilf. Stevens, ce qui montn• qut' ce vieux Edith n:troul'anl le corp~ du Roi Harold sur 1. tyran tolërail tout de mt'me unt' certaine uberté 'd'in champ de bata1llc de Hastings. est de 1868. On pt•ut laprtitalion che: ses .t1sdplt'>. Emile Wauters. lui, le 1•uir cJU c~rcle, ce tal.>leau: il purtt• t• ml>ll'mrnt fut le bon élève. celui qui acceplt' toutes les tradi la marqut' cfr su11 époqu,•, a1·1:c srs rrétentiuns ar· tions du maitre. et ne cl1ach,• ras cl 1,• dépasser. chi'olog1qu,•s. sa comp"slfwn d'un rom,in11sm1· 11s Poun,int. commt. s'il ne song1•<1it {'Ils à réformer Sc1g1. s.i coult•ur brunàtre, mais tout J;• m1'mr. les 1<1 peinture. il Ol'a11 du mom' /'ambitwn d }' faire 1eunes pnnlrt'' qur ' 'att.irJenl dt'1•11nt 1 eltt' to·I,· un.• belle carrière. 11 comprit dt' bonne h.·ure que 1 énér11b/,• st111t b1t'n 1orc.:, de se dir,· qut'. >I .iu.-un /'cnsr1i;:nt'ment de Portaels pou1•ait être comrlété. d'eux nt' sun~ciJ J }Jtre un parât ta/>/t'Jll, c't•st p1•ut• Comme on était encore au t1·mps où l'on crovait êlre qu'aucun d'eux nt' serai/ jirhu J,• le /air1·. Tant qu'un ;eune peintri• Ji:i·ait f.iire son tour d'Europe, de rersonn<1gt•s , et tous dessinés. r<'lls1•; Jonc: Il rartit pour Paris. 1•/, sur les consii/s et a~t'c la Emile W.i11t1•rs est d'un temps. en 1t'ff1•t, où. en rt'<'Ommandation de son ami Cb..ir Godecharle . .fils pe1nt11rt• on m.111quait pt•ut-ètre de gétUe. mJ1s où 1fu tt!lèbrt• stcJluaire. il t•ntr.i à l'alt'lier (iJr6me. /'on apprt•nnit son métier, t'I où un lt• sa1•a1t tu111u11r, Puis, 1011iours selon la tradition, Ct' fut /'Italie, Flo plus 1111 moi11s quand on commencait J e.\poser. Sa rt' nœ. Rome. Venise . carrù'ie. à ,••• point de rue. est une iolit· paf!<' Je C',sl 11prè; son n•tour 1•n Itali1• qu'il ,xpose sa /'lustuin• dt l'art belge. 1'J1a1lle de Hastings. C't'< un suer,\ un .~r11s suc- Pourquoi ne pas voua adresser p o ur voa bijoux aux joaillier a-orfè vre• LE PLUS GRAND CHOIX & Colliers, Perle1, Brillanta StUr belle c je PRIX AVANTAGEUX t S.20-22. RUE DES FRJPl.ERS, 8Rl1XÂ1.l.ES FOur-=l U.Oi P a s ?

C•'>: un rt'Connait qu·11 a droit à une des médailles Wauters commençu11 à se démoder. Tou1ours est-il du ~a/on. ,\lParis. li y a fait beaucoup de temp-là, on ne croyait ra" aux rro.liges On lui portr.ms, surtout JU ras/el. fOrlrcuts r/c; princesse:,, arpr•·nd qu'il faudra attendrt?, mais, en comrensa de comtesse>, de baronnes el de quelqut·:; financiers; twn, le dm•fttur des /:fraux-Ar/s d'alors. 1•an Soust il y a mérité /'t:>lime des membres de l'lnstilu/ et de Borcl:en1âJt, /u1 offre une m1·itation à /'inau,;. - des gt'tiS du monde. Jfais dan> le mundi: de l'ùrt, et ra/lon du Canal de Suez. Au fond. cela 1altUI beau SUrlOUt rJnni ltS 1eunes, il}' t'Sf, depuis longtcmrs. cour mieux qu'un.· midaille. l:n Egyrte, 11 n·eut ,·omrit'temen/ 1gnurê. Lù Belgique, elle-mëme, pa' le temrs de lra1·ailler beaucoup (il n'y demeura l'avait oublié. Ainsi 1•a le monde, ainsi i•a la glo1r1 que 1ro1s ''mairies), mai' il en rarporta le désir d'y ln1ustt' out!i. l.'t'.Tpos1twn du Cerde Amsuque rc1 e;ur, et d'1111/es rela'1ons dans le mondt de /'ar' le demontre. Em1lt· Wautas, assurément, n est ras inr, rnal10nal. Thiorhik Gautier, Fromentin Duruy de C<'s /;rands cn1ateurs qui marquent dans une école é'taien1 du myal!e; Emile Wauters. qui tenait à faire de pt'inturt: sa 1·1siun n ·est pi2, c'est La folie d·Hugo \an der Goes. d'un Khnopff, 1/ ne prêtt p.is aux t'Xplications >a /'llls des rartraits. bt•aucoup dt• portraits, geru du l'dntes: sa technique ne demùnde aucun comml'n monJe, m1n1,tres, fonctionnaires. bourl!eois richt" taire: p11s mo} n dt tartiner sur la portëe sonale d con_,iJérés:.. Et ri collec11onne les médailles et les de son œuvre comme sur celle d'un Constantin litres: méda1ll<'s à Paris. méda1/lt, à Bru:i.elles, mé .\feuma au d'un l>egroux, sa peintun· 1•st de /'hon tfailli·s à 1·n·nne, à Berlin. à Madrid: il est membre nête peinture, habile. puissante et un peu bour d toute.; /, s Acadr'mte,, décoré de tous les •1rdres. ,;eo1sc Auss• s'est-il attirt? 1.id1s, les foudres Je tous ri t st , harl!•' des ran neaux historiques de /'escalier les critiques d'a1•ant-garde.: aujourd'hul, on recon des Lions dt• /'Hôtel dr ville: sa réputation dei•ient nait qut• cette honnête peinture a b1rn son méritl'. 1•urnréenne. Aussi est-il char(!t! par une sociillé au Ce mélit•r brillant et sûr que l'on affecta de mt'pri trrchienn1 dr ranorama' de reinJre la />Jtaillt• dt' ser "'' ce qui lui ••audra la sun·1e. \Iain tenant <'uçtn::a. C'est une belle al!aire. un vos sucâs. qu ïl l'>t historique. nos faui·es les plus fau1·e, ,\lais la commande faite, i•oilà qu'on s'ai'ise qur cr srnclinent tout de même de1•ant ce que cet art bour ranorama pourrait /lien froisser les susn·ptibilités Reois a de solide et de consciencieux 1/Jliennes. la dirlomatie s'en mile et /'on remplace Et ruis. tout de méme. ils ont leur style, ces por Custo::a rar rarnv«e du prince RoJolpht• au Caire. traits tour.~eois, 'i carrément bourgeois: ils racon Cela. au moins. c'était de tout repos. Et cela nous fl:nl /'1·puq11e bourgeoise. comme les portraits de Ri a i•alu cr panorama du Caire qui. après différents gaud racontent le grand si~cle. Au Salon de Paris. av1Jtars a fini dans la mosquée du Parc du Cinquan· en ce moment il y a une exposition de Bonnat, de- trnaire. "ù le peintre Alfred Bastien 1·ien/ de le 1 ant qui l'on s'incline comme dev.inl une solide remettre à neuf. g/01re du passé: l'exposition IVauters, à Bruxelles. lui donne la réplique. Wauters. c'est un peu noire Puis c tst encore Sobieski devant Vienne ( 1882 ). Bonnat. à nous, el cela. croyons nous bien que la lts grande, comrositwns orientales rarportêes du peinture en ce moment ob.iisse à une toute autre ,\faroc et d' r:,paRnt et des portraits. tou1ours des direction, c'est un très bel t'loge. Cet ancêtre di'sor portraits: \1. famar, go111•erm•ur de la Banque Nu mai..~ historique mérite que les jeunes qui /'ont tant llanale. 11 l>aron et la baronne Go/finet, li: prince et nié aillent lui porta la couronne dt· laurier. la prince,s1 de Caraman-Chimay, la f.imi//e Som :t!e: Wauti rs est alors le portraitiste officiel de la l!!S TROIS MOUSTIQUAJ RES. Belgique. le Rrand pt•rntre dt•s Cours et des gou1•er• nt•ments. Fn I88ï. 11 fait une t'Xposition d'ensemble dans son atelier: le Roi lui-mérr. e en fwt /'oui·er ture et le crée Commandeur de son ordre. C'est h' triumpht•, le 1•rai triomphe. Lo Belgique lui a donM tour ce qu'elle pou1•ait donn rr Wauters s'en 1·a \LuXI conquénr Paris .. "- I SAVON EN PAILLETTES ??? Ne ré lr ~c it p ai,. les laines Peut-étre éttlil-il un peu tard. On était <'n 1890 L'imrressionnisme triomphait. la peinture à la V · • ...... ,io -

lai1 la g11erre. \"oo:; n'ttc:. pour npil1.1g.. tl d·impru1l1 nu·, cpw suivit l'u1- mÏ!ihrr. Quant.! on a 1·11 trcour:; a \OU!\. lt'S off.lires allJi1~111 au plll! ruai, , 1 il scra.l tout à fai1 inj•al<" Je ,..,.., r~1·ro cher ci(, n'a•oir pu rtahSsent dr \UU> dire qu• wut \a bien, qlll' I• peuple poiera, que l'opoi>emenl se !,,ru, >oui; rend

rtlr•. Cf''-t pourquoi. }(~n~ieur le t11ÏnÎS.lr"'.' 0 \ùU'!' al1."7. \f n1"nl •lu mérite à ~lrt' j1>1ial, eomrne d1 t le Lon don. li~·· de lhrtin Chuule"iu. /'uur quoi Pus ' A M. Theunis embarrassé 11 1 n '· z 111 l 1 •• \1. 'I 111 t e. Autou, de !'Affaire Goppée fomrne cr bon \1, ~ li 11r1, 1 autrr 1our, dtreJndJll, :nec un ur.:;-..sll n11: • lonn~m• ... sa \C ~ u .. 11 /. il lil nltil 1fo·· Il lf tJ • \ U• • u .. l -· po r 1lr~ nou\t..11 ' rni[•Ùh •JUC' \ us 0011': a\1'7. promi~. un• l••lle aif:ure. (,, nfr:ik111Nrl. une a!foire •l'a<>iSl"' o!Tr \'1115 lut J\1·1 r··pu111l11 ll'un Jwlil ,1ir ~;;ulf.u·,) IJIJi' l'on uu '['Cdal'le n<>f7 l.unc-ntohlc. L',1n-us#. pall\re dtaL1•, ,,\ail cre-ê t.1111 •l'impi\f, ù1.•1111i11 l .11111i .. fit'P 'lll'il n'Mait P-ct l'ornnw tic:ra·>f~ p.11 h>11lr. la madüue :i.01·ialf". Innot·r111 11ur cMmnt>•ll'." 1r1 11 1rouH·r dr 11ou,·1~u\ 1 m:u~ q'w lous Olt roupahic tl 3('['0' 311. Je, a ni l,1 Ï'I lh '• tout :1 f.1il 1 larz en tr:~n dt Ire rhc[Y'."hcr tl 11ur 'ous les lromrriez diminue Pl tomme ane:\nlr. t.:e n'ecl 111u~ qu'une p;iU\J 1 rtnmcm li. chose ballollëe au tvurs d c•ycns:. T.m, il laJt qu'il n') 11cu1 1i11:uw1rr 11 ;:111ir11\:. l.a th.unl1r<• a J,l,·n f,1it 111• 1 ir'-• el riN1; il all1•nd tJU1..' I•• 1lr!.lin cho'6i4;;;."· l:Plle fois~ ce n\ 'l \oui; tncz l1i n fJÎl 1lr la fJirt ''.te. \'ou\!; êl··~ un l~pc 1Jan~ pus 1... r-as. L'aaa~,.,, t•ct 1111 pu1s... :rnt du tu<>Ctc.le. l!'t~t &or 1 e "'""ri<- tt 1 t nn _e d l11cLc11s, •Pl cl1• r.ha1t tvu· lwnneur r1ui se 1011•. liais 11 a d"" orm.s terribkJ : • Ji • d:" ~ la \Il, If, 'ÎI 1at·1mc oÙ ron 'l Ju mrnte à million~. ><'5 rdolJon..•, son pa-->. Ili.' r1uel air tl dit au• • ll'l· Jf)Hill. ' 111 m '! \oi1à ! 1.,. ('ontnbuable, lui, n~ rît ma~1slr.il•. ~ Pn 'oit bien que '"""ne aa,rz pa! a 'I" , .. •. Il ne f.111 plu~ un ['3• ~.ms •»~lir r~ •• r sur lui la c•ut 1p1<' l.1 'i.e 11'1111 imluè'ltri."'! ! • l\1u·Ht'"' J1ablo1,.~ ' 111111111• m.1â11 rl11 Îl'-1". !'Il (lin1' ,111 "'!ilJ11r::111l, li• hSt.~ hü •oL>' rouge ! Que orJ • il foui r ' r le< frais Je 13 rccon- plus gr.inde 1•11Stdtra1ion P'-'ur ~ s.:1ence. mw «li ~lru IHMl. 1 • 'I 1111<' 3\ rn e 0 (,11 l I' \ llm1:t;:;nc C1t11, lrna- F.rlCll• c l'•nlt11IM 11uelqncf"" à rrgvl-'r ~ur d'< q "'l 11 mL ni. pa1l"r;t. l.'r"l un m1 n •• ,,,,,;,. ,i,. 11\I, flfia- 011 le' ni Je 1•l••' ~" 1•lu;: IJus celk aU.1ir~. toul •h cr ' ft \ •ni , Il l 1, Nl (lrtfcr,111 n"tn (l,nd ik' pl.11dOÏrlCS fl du rllt•Jrt. Quand le JUlf 5' I' p. r; 11 v • , ri n < 1 d.trite rnlre les i:ou- comple1. ment )! ••. c nd On .; t mi ·t à q 1 Il. S n tùl plu_. d, monlJ •'e1pnlihr tl I'· d' lanl pl 1s q 1er " nif tre, 'Nt ,n !!a.ire. fl, Î r • 1tlltORlrt" tl ,1 d !i urrlh < rtpC' 1 , \l lS, le pltti !OU\Cfll, il ?On pl lt f101u· f"'t llt f.1i1, lt.11c...flr )(• Jiii\ !11' b \Ir", n\l''l·\ùll5 rial: Il n\1111t1~ ra'!> lis l13g.arr s d. if'I) 1i&1-to1~. Au surplu.t, '"' ( 'f'bl .r~ui;nl(·nl r le• 1mp."ol.$. 1 ço.• pocltrs. fllO)Oll! ! El rùW. do'< amca'-' r.sl "·· 1\ Nllr.llP•'f'. lln rauend ou rêq111 I~ lnns nlo' "' .tl'C folS e ~ 001 i;r:tUë le fond d" ..,1vï,..,. kun poch '1!Ji' le frnnt ne n:m nLI pa• tl la HC roll- ~OUS n'<'Cl ,_,lllJUCS d •tlkur~ qu•U• !MgJtelk$ do: la lmu Je r<'li~h nr. \11>,..., 1 bon 'Ol• commtnce ~ 131 port • l.'mterrq;alo1re p taw:e dJM I~ dkt.. 11'. t ·-hn1qutZ, lrou•er mau\JI>• •• d11Ticilcs ~ s:ii51r. Et k public se b e: d n Y Nmpn"ad '""" Il de• r~ , , 1-<>n·•Lk de œlt. s1tll.'lllon • .Ut>n>1Nr i;oullo'. E

L'homme qui revient d'Allemagne

Ceci s~ pa..se dan> une m. lonte d"am,'l!r b l'apaisement tl ~ la pais !• Aors inl • .liai> je revirns d" \llcmagne. ri d,pu1s que J'ai \O~ cen>-là. de(llll' 1. s commun <'e• jusqu'aux Tombera ... T omhera pas ludcndorbtr<, M pensent qu'a b JrllNTe. 11! dNr,tent les 1 rancais •. On r< ~.r: te:- 1 • hu11 jours, i la chute prochaine - El les Bel~ •s? ~t probable du gou\trMm nt. El, en ctrd, St nous ~lions - Le< Belg~~ il:: lei d/.li'nt fo115 ! sur laqu~lle 11 est impo•siLle de s"<•nlrndrr. lf.ii•. il r n - \rt po11r11uo1 l1>ul I• 111on1l•• l1nira par a'rnlcndrc pour njourn~r la q11.-sl1•'n. On 11101c, ! ·~ l 1JU.f11ue chl)5t.'. La nomel~ Bui k l!l:!i G ··1lin1lrc• S~> l~O c~I capololr .\lai< le frnnc belge ne remonte pas • d'allein1lre 11 0 .i 120 kilom~l"' à l'hrurr n pal r. Pour marcher~ •rmblablr 3llur.-. les lre111• •ur ln quatre rou~• \UCITF:L )1\TTlll S 1"1 rt'.sc •e 1 s nuto pianos f'/io110T~. ;onl necr'S!Îrt<. l'nc \'Oilure po!s~.lJnl ,f '" lrr·~s ~ur fn;o-PJ1onola el T 1 f /,on ./a /l~p(t/d, &<' jouant Il J><'Ja~s le• rnurs \R. •t mart·haot à So l1lum~Jre$ nr prut s'orrêltr t't ëleclr1cité combine • qu"apri-; a\'oir parcouru 81) nt !r«. rand ~ qu'aire k • Piano Il n• f1, Cru11rr1 • l 11 k c! rari•. l•ein< •ur h• quatre ro·~. celt Jisl nrr ~t ramrn~e A !IJ, rue ile .'t a r. /Jrur/lt1 - Tri. /"3.'l:', :;1 m..trc<. Q~i pourrai! nier a111011rd"hu1 lt• t'nonnt'll ~\ar' z, s .1 s fr ln.::: aut ,u~lr ro t'."5? Nouveaux impôts La Société des Nations 11. Theuni, '" nous .10 p.:.t.o. On dit qlU' c' 1 in t l· d._ çnl ' rn n. nt lrant• u '."Ott a :>OCJ to! ~s 1\ouons. Il 1 dtl, tl le prod.u~ ; • "'' Ull de< ~rtt 1 s d •J 1, I.e de le f rcr d d • p< h ri ·~ ç 11 11 < 1. P~·m1 1 r irnfôl< que .Il. 1 h u111s a 1mJ 1n • tl l a, par••I 11, un uu goU\eruement be!<;r. lui a ••. croit a a ~ .c. t d • \a hOllo'. tt le ~Hf'nemcnl an~la1• !'11l!km 111. 1 1 donc pôt rur lrs llln.' dr nobk < • l lui-la, du mùi1u, '" 1er. un trtomphe" pour celle in·titutiun aml atnr, que 1 s pas tmpopuf31ft. IAS ll:< d,• r.cnê•c: il est trvp rapide. "J,11 Soci ·te dœ 1\at1ons. d•· r,rof11ah1P de rn Ure 13 noLI c aux rnchhc•. • omnt•· cela s nl-i!<, r-t le renlre d'une •cnc .r·ori:am Jtions 1ccl1111- oe fo11 en Anl!let1111 ~jr . die " la charge J,, n1~Urr en u•u1rc t t1311Jt' sttpulat1ons Quind les 111.-..-s "'' sait 1lu moins quoi •'arh~tent. ~ ~·en tir rP< tra•lês. par e\emple à llantllg ot rl.111s la!' 111'<'.: dl1• l.r>nir. d l'on n'a pa• l~oin de [.rn<• ppp1•I ;) un ~rr hhisl~ a rll<'n ~ à bien ccrtainrs entr~prit acquis en quatre an.<. • YOY\(j[.$ 1 f\t;E.\T, 59, boulcrnr.t lrupad1, Brvzellt . Il• n'ont p;is tort. ·. ·· --- ~ . Fourq\.!ol Pa::.? r;o7

tette mtlran~ e!l à6se2 s c La :s u·c lJ p x du m~ude que 51 elk dt>c11a1! le tuptr-l::tat, la fore.: mor.k u 1-.r~llcmcnt re L·· llW. d.,. li~ud1._, ,.,nqucur aux elcclÏ<>ns franç~•. r,onnu~.'1°" :on$1llua11 la r paul~ •• il' 51-'cle: mnis d"l• I thef> : .Il. Htrrl(,! fi M. Pamlc,ë. Tou; deu\ sont l 1J1·c r-tenl s entr~C;>nar rie leur sp~Clahto qu <1\ec une ditain< un cho" excephon~I de llronze~ J'art, de luHr.:rie, de de pcnonnes dans le monde. C'e•t peut~IN! en cette qua· fer forgl· c! 11~ .,.rn: cric Mcorati>e. IM qu'il a besoin de pratiqu"°'· dan< la ne. une rcrta; •

- Ja ne auv.irs pas q-1e vous etrez ad.fr au Fran/. - J'y ai été aprls l'Armi1tic<"...

•1' ··I 1c ;:nn , el qu'il ~rü•t. par .nempl • Le franc belge 111111 ~t neœ-- Il< d avphqu r, quand on ~t au i;ou,u nement, la !"'!.lique qu'on a prc nl!ce qu~od nn ~la•~ Il '11 1 1 l• 11 .. un JU 111~1n• po1nl. L mom• nt Il

1 PALE-ALE, STOUT C • NECTAR & CALDERS 11.UE KEYENVELD, 61·69 SCOTCH T•téph. Brus. t 113.14 • 277.00

La prison dorée

On tkm• nde •Y. de .lluntiè, un !}.-. !ut11r> mini.11..,. du Bloc des gauch~s : c E«t- ' ou.< •o u ~ m•llu P•mltve rElv-~ ? ~ 1'JJl1I u ! rcpund \1 . il·· llun11•', 11 faut ~b•olurnenl 1 me1t1 hor' 1r••l t ,J. n 1trf·.

Bltl'•lOL T \ \ l.R)E IPorl<' bum) !J, • a (, "'1• r ll~r Il rr 1 r,, - f.,, 1 r. ><>111

Savon Bertin à la Crème de Lanoline l:on,1•r1eo u ln penn le ' c louk d e l.1 je u ur"c

L'art d'être mayeur

l>Jn, 11 f' hh.. \lllt 1lu Il iu3ul, ~111-.i . ur:; n1• 111liJnl~ 1lnf•Utl1.1nalt;lll lts \O~J- lll1i .i 1\uht: vu a Ll sorlh: •h.~ la ar,, Il ' a•~•I I•. e\ld mm nt. do me>urc< 1!. police ~ \lll'-l\, ·,; rur des li. '1. 1r.udre:çl11 h Cd •l. Iovo en 1rlno ou ma!cur 1 ni, le, ~ 1 If• 'f'O>,, ~ 1 dei n r :' l·m L~ l141 fl lœur Je lui t.I :-•• tdu.. ;ut J !i.UfllJ1Um.r aul. '' mt-1 Il.mu » (u\Îu-nu: .. ou \ieiH~,1.tcf,J Il) pn,Jlt1g•' d(.• ~··n· ,J,e la nuun rn cel t 11111 1t, oû • ..i rrr lt.uru;·~ heure~. 11 Y Soieries. Baisse de 30 à 40 p. c. alfh.1<1• .. • I, 1 "'" 1 romenl. profit • rdir. r. Jl'auh ~ I' •!. ·1 ' nlall rumlllit p3r le tnsk $1Je1:13d< ~u'uflr.111 \ .11\1'0\ ! l/1ldt ~ LJt. 1·u 10 j•lut... c 01 ... ""0.nt dt J111•n1ii~o1 .. a~1· gtJlll IJ g.i ~. ~ Qu• f•ll • '! Il ,_·J~l~JI( rit l"OllCllrtl I~ lhJllk 3\tC f,• '"" 1 l l'o d1-,, d de l'tqu11,. En cd~ ~ra'e on orrcnr~. le Pla\ ur J rda , 1 : lt< m lhrurttn pourra•• ni, :i 0 1our J e rvle, d1" un I' ntl.rnl l111i1 jou1>, t\trc. r 1, n" l , 0 ,1 P"''' r La luoall\t"~ fouc 1 'tn .. au'\ Dhortl'- J~ ]J 8l~tt1J>n. 4lucl \u;11~ 11 lu~ r J1 '.ul 1ntll1 e t111 formah .. 1" 111• cc bo111t.:uc1111 .. 11c n :nu:ut 1r,111H~ l·•·th._.~Ja ·> .. 1fe tl ·n1.1m. IJut• "'!! ~ml· ~.t \oïl:. i.;,1mmc •JU ~a~_,s .... 11. nolr·· 1ld lill? ~ul ne le i;ait • Jll"'l ; maico h:s l)(')r'-5 ;nui-. tl.... ami l!r:inquarl - pour n 11.1~ I• M>mmer - 11 • o t• ll. ll•rrwl ne c3chenl !'•' qu al ,.,1 ~<>ri• de l'enlr,rnc s niu. a 1.i t"tlire d B nK-k'-t411llt, un • me-nd1:rnt t~t assez ooudeux. H me! V5 nif il"'• dan, le qudln. l.111 .n3Î1 vig.. g .. le goU\c1ncm ni dr1111 •10nr aue :-0nt 1 rribk·rncnl emLromll··L·:-. tl la po..Ç,illon 1f,-i prtmi•:r mu11sl1 t• r'l loin 1nLr~ d» toul 1qoos. !::lie o·r,1 11'01113nl plu. 1hlho·ile ("' r Entre Ketjes Bruxellois \1, 11.-mw. si, tonune c'"'' 1 !ir 11ncnl proh3hl•. ~·c-1 1 q1u prend l~ r o no1r, que I' n d !Jol. m son n • , •« ln ses qu•il ... IHt n d1f11ult dr" t ... r, 11 Il). f]uanrt JC le ~'' '1 t c'«l un .:,, "" ·r .. clfll lot• l1ud!.. t tt dr SIJJ'(: ;m r Ir 1l•ml1J ..... Jct.:1111 '"l'i' 1 - • ( tJtlJhtJ OllH j 111' 111.q l~IJ~ r.• 1 l, !!'T'311 • Ill f (Il" mf'r 1... ùo11M1 1 11 1111t ri1·u 1~ .. ~r-alt ph11t ~unplt ... on d • ri~.ui'll ~ • 1 lcHs. n1 \ l.'1 un~ 53\Elll par quot 11 ri·mpl.1 r : n i ... on n' • l l'.J" p... r l ., 11~ «Il ' f, l•oor M \. \ Jnlr-h •ut ,\ c 1r - quoi le r•·r:op' r • lrs ~on 1 ' pJrl ni br n d un 1•« .. 1 ;11 • , ~·~. htlrn!lll Sli 1.. 3Jll!31 Ill 1' \f, fi mol •r rt. d b compte ç l\ n 1 l"ilrt!;C surlout, r ('llt! m urr r1 , .. Juli''" mur~ r~t pm1.ur11• Ill• rit irn• hs.1h1,., Et pu1-r, il v ,, 1, (t)(,. lionnaim:. 1p1i r·."J:inu rit oie l'au~mr11t,1lion (il• onl Eh L1 •n ! Qu'en 11 I• ""'Il' ,; prol'hêle d~ l'autorrce ~ kJ! k-s merl ('IJl'B prnpaganùo•I du Hloc ol :s ~auch • , \'eu:; n0u- rnunlncz n uro1 r·t le m nd, ~\ lu.u11 """ moi qui~ l'l'lourncra enl 1dain onlr h 1 lonau•; • Il faudra thIU< repu!.-. Hl. tu CITATF.\U lf\flllE\\f:? la Jirlatur~. nr•i.. le Jirt1teur su~ un homme de gaucl1~. "°"'1-qvoi Ptu ! l'intl•f{Ue corum~ r.es dtclalcur• wnl loujour~ \ ~nus d• la gaurh•, t l mi'me Io> relHk•·\OUI> de l'el11r. 1lr rt-.\h1.. ff11 ...gaulk>n li! Le grand maréchal et le Roi d'Espagne I''' • pour sonl inc:ira"1M de la pratiquer, tl put!, il< du f'IY•locol~ et de l'thqurtte. L• •l son meuer; il le fa11 ont beaucoup tro11 peur ile 1 nlrr ur" a1c11lurc • 1:, ont rn .::onsc1'nt~ fi 11unn~ il a arr~ ~ Ir pro,'t"31nmt" ~·un~ !nul ,j y rcr.lr... :>'11 y a j.imais 1111 dictatr11r .,, !'rance, f1 t1~ uu d"une rf!t ~pilon . r 1 n ne J>OHI 1 1t l'en f.ure 1Jé111or· rc '-f'r.l un !-O< iaJ15fr ou un ro1un11111ic tf'. En B1·lgu11u·. n d1,., l,>1'8 ile l.1 11 1lo• 1111 lloi J'~, l'•'I!""• \l11hu11'1(• \JIJ, pnm1ait birn Nre un r3n11ll,~ llm ... rn:ln". t1 '"115 '"rn1·1 :lot1\rra1n :-po1 tif, a\alf 111k'1s.-•1r1<·1tt 1111 du.:lal qui l.OU• rc•mm,.. CfS Zf·11~.. J 1 ~··~.:ii"'n t ltif'11 fai1c tirtr l'Ur k pClJfllr! r .. 11 à llvit;forl. Il ~1.11 lt plus \tf dt 1r d'a,,j,•~r Il la 11c 0 rror•tjét•, rou< S. rue jk l'~;cuyer 1l·J.·phone : :!:!~ !Ill d~·:; \ngl:1i~. y•-. rr1111p.11r;ot~ . Elle 01• poU\-ait naurnplir l'rn.nnom d1 J 4 r; hrurr rc nt•• san' le ll»i, 11<111 aug•l'-le rpoux. ~Jui..,i ~ut J..:au ttrnde>·\Oll' M' i·l~eant• in-m~r que la l:em" l">Urr:lll h1l'11 aller toute seule .,. f1, 15 de " I '" '" ,, rc r1lhr •ur le lomJ.,. u n~'JÎ<: 11 eut !.>tau mellrr la Qnl• r&Jtion •ur Je pcrlcc•1om1 n 111 t! b rat<: chc,ahr,,., Teinturerie De Geest 39·4 I, rue de l'H6pltal :- I• gr~n·I marccha 1" \oui 11 rien • \n1r. ll~biluê à obë1r t:.,." to•p '!I t.apro'f'1t1u•Ttl 2&9 ?8 .11sx 1111~ cJ1• l'dl11ui•ll1•, I•· tl1J1 ~ n• i~· t, ~laie;. on dit qn'i• ~n11ll' une- rl1•nt ~11 ·•1 :11111 1utu.'-1·h:t1. Zones de •ilence

Ou t:onn r ,, ~ l1~... c\fH:fl nce failt la fit tmune tlt 1tuèn-, pal et ~ im.!• tueur .. (1111ro1 • ou 1amp 1Jc la tu.ur hll\.' {llt'U"'l'): C>ll \ U (.Hl 1!i·lo11n11 ho1~ LÎt,111.:"H dt• di\ 111ille kil<" de m1'•tl1111c pour so\oir m <111ds ..i1d101rs le Porto Rosada... Ora1 1 ... lu uit 1Jr. l:t tl '"·rlagrution !•·t••1l rntr111Ju d ('0 1p1ds c1nhoit.~ 11 ne J,• ~ 1 a11 l'as. lln ••phc 1•0ll\0Îr » q· 1111ri'.:!1tnt 1an1 Il'< u1' qui m.1il~u1 1•1 l"i 111.irc d.111~ 11 111lim1t~:' 1·11l1lu1u'-'S <·l fJHI. 1~11u1ilnt 1,.. cJ.ingrr qu·ils Ur J 5 (•landH"< 1 1 ùl 11'10$ Jl1CÎ1tt5 1J'un ITl:l l~ 1IÎ (l dt~ lOI 1f1·~ \0(',1lç~ (11e i.:aton' an~ut1 110111 pour lié: tl•·"ohlu.~rr PL'I :-.1;mal') : une 1um• clt• ~ih:nr1· !\l" \:11\-. dlL"~Î- 1"1 J partir du 1·111~111001<' '·"'l: 11 fo11t·•uil• jus1p1'411 fond de la oall" Oa a ronstalt enlm •JU<, •la:is k r•unions 1•ultl1qu,s 1•1' !'lus en1houi;10 li'!, ccll(• ou tous lt< cœurs tl toutes lt• \ul\ \ll•I Cil! à !'tlOl'-u!l (•>tir b glorÎfi

l.;i t ,..,·pt1an ou \ ~S pour Jimr<.

Studebaker Six Ill''\ l H \' 1 1 \ l' \1\.. ;:.;, r ue de l'l.Cll)cr l , 1t 1.._ ruL ,.,, nr.c !JU !'!-on c: ~'" gra"d con/orl - ~ fint irint rè, ,•\Jr tous les ma•'

Un personnel de choix Un revenant

l J• n ... prmJ que n:cole moyenr L'l , A.hv, J ..n. dtroral!!. r ~Ur, à l'ari1, k m.m de lion, oomp!A! dans !On corps en!e1gnanl : li. Oteu. d., lkfeure el 1çme1 en \ris. \'01là, a«urémcnl, un peuonn• 1 de choit. On D<' pnurr.1 O•leure 1llu•1ra, en tffcl, nombre de pdils joui naux bru· 1•lus pretrndre assurémool, IJU• !'Ecole moyenne de Mons \ellois J'1I y a une trentaine d'anntts <:t ln!q~nt.t le 51 un.- ~oie uns Dieu. Diablt-ou.Corpt d'alors. ~ Temps .Xnt do lui : " O'on gme bolland:u;e, 11 a aubi touttt les HcJ>s1tudts: suc Pourquoi, depu15 la femme cluc ju~u·11 l'homme d"~f ct>~1rement Lalayeur au thè~lre d' \rns1trdam, ~ri vain. f.11'<'ll beso~n•u1, achèten1-1ls une 10 ou une 5 llP. Citro~n? le>SinnlPur J l'tlcol. d' \m•tu.ln111. coll31,...rateur aux Parc~ que lei u•int'.'I litroln on t pu adapt•r Il leur> chl• 1• .irions I~ 1~u•11•n 11 1• pp3rJI! A la rtctnte "PC> ilion flff'c tarr°'S('rlfl"\ f1rf'c ri• f r• llUt toue dikirrnf du pan1 lon de lllra:ui. • Parmi les 3\1ll8r& d• D r ure. le mo:ns CW'I Ul u'e;l pa:>. en rr 1 JO. 11a'on ;mut r.nnu conunis-\'O\ !leur en pharmacie, 1lc•a1! : • Je fais Ras... Mages ... dB B\1005 nee lkl ure. • La ""1"anti~ de O.leure parais -~ut, à lort. d'ailleun, ulo•r celle de Dq>erdu$51n. On 9" llefg1quc Hsi Lamb.lus; on ne lui 1oinit pJS c.rue na celle qu'il n maintenJnl, On peut Joue dire IJUP Iota le; l'orl .i le ms )> aux l11Jib d'Onent ! 'iom aclu•I- port ni la marque Je [1.f,ure et rfo Oe~r I.e Prin et • comp tr1otes du;,,'n, et le plus a1nguh r, c'C!I que c't!l par le dtssin. "oot bn' 3nts. pomm>dés . P3rb~ ! un zot'.lt de 13 J'M~. un choix du contour probabkm1·r1I Tarrari 'e11an1 du \11 bic' rlus qu'u~ so IICe de la mèc.inl11u,, qu'a i:l~ guidé Oc ~e de•rend-1 11 pas ,fes . Si·rbo1.-? p.:rdussin. Die ce nourrisson 1lu . l'liarnace, Poê•·• S) mp 1hique et dou1. b note délicates u .tonnée. Jan! 1otre inl~rieur. par C.-rtains d1 i nt (chacun 1cs t;01lts) : les lustres et brome• dt la Cc B. E L. (Joos). G5, rue • f3u1 qu'on >'dfrn " quand le raa p1>;e ! 11 de h Il "'"· Bnaolle Le ra> t'-Our.I, cl le> hourr35 Eclalt'nt 1 Le pl'uple s<11 dnnne ! IRIS à raviver. - 50 teintes à la mode Tand~ qu'en all3r.! ' et'I la Cokmnt, Le Roi parll' de mort au r;u; ! Histoire de cantonnier A'ee Tallari, 11 ~ a, 0'311ln! \Ï 1l•u..; d'iniporlJnc" LE \'U\ \Gf.lR ,au C(lntomurr - \Ion brare hnmmc, ta faim 1lts honnrurs lit, je ptn~. comhien de temp- J'iri au prr..:liam ,;1 a~c? ~ortir l'R.ulou d~ l'\b0tJ)R • LE 1 \\ TO\\If.n. \uirer IS, 11 ' a' ait J. ul heure• t:ocO"a. ~ado Touk la g mme ll~u·kur, maJS, dep111s hi!'!', il ne r ut plu~ que 11n~t m. Fut au complu, &\ec ~goum, nutcs. '~ d<'rll'er nrrl\ .. nl d' houm • J.F: \ 0\ \(,f;L n. J, ne •dlSis pa . \xoum 1 \ v°" souh.111•, lladame !... LE! \\l'O\\l!:R. f:h bien, 101là: t;'e~I que, 1l~pui• hier. le calé qui se trou\e 6 mi-chemin a ét~ tl~tn:it par \ Gaud. pan;ll-iL Oil trou\a n 1uccnd1c. \Ous comprcn z.? Le Ras Leau - n'ffi-<'l' ra• 1 giq 1 f, \ O\\f.Elll. hidcœm 'li mon bro1 , je \Ou- \!u11 à A'l' u, a•1 Zool i;:1que, ~mpn•nd , n .,.,.. . r... na • rhl-on. ""'te • \}. l·a ! l'alfa.ri

Le permi r M-1"1!'1'nl, entunt Jans lt• chambrts de 13 f~ sera un s~aek pl•in de lanl.lisie et d"tmprcvu, l<'S lrou11c cl •'adre<ni inscrit$ au prO!;ramme : \ \'C"t \OU< coudu "" o·llquettca 7 •"•.,.t, rommt• on Jit .,, argot d<' IMatre. un c plalt'111u li l:N111ha111, avec le plus grand sang froid : qu'nucun directeur ne p1.urrait ollrir b ~a cli~ntèlc ... 011 1 'erg"nl, ellf'! ~onl roud1w~. Il ""''" quc lquts plarrs au bu r<>au de location du t h ~A· '"'· l,-1gcs û 15 lranc.1; luuloiuls à 10 [ranœ, stallt'll à SPIDOLEINE R 11 anra •t promtno1,.,. à 5 franc<, 1 L'hut' id --.ou· \*""W"""''"'· Les Pralines Val. WEHRLI sont ré~utées Le livre de la semaine : Reliquite en vente dans toute bonne maison F.xigcz le nom \\'HIRLI ur cti3que bonbon. Usine l'e •ont il~ rehqu<0. en dîd, q11t dr maiu> pieust• <•Ill r C<'Ut'lllÎr~. C'c5t 1"œuvrc cf'un j11UllC ~·c r i\ciin h~lgr, et bureau : 12, rue Jean Stas :-: BRUXELLES. 111n1t ;\ 1ingl ans: Chnrlt, 1.rrm~ (1) ll1u\ de Mfl moilre• ont r:i'seml•l•• Ir, page> qu'il al'ail Style écaussinnois et matrimonial 0rhiques à la m ni~r.. de \\:olldire. c, pa~t; de mt•l1!ulion, d'ironie ou de compagm••, aura donner à nos Mteon une hao.te td~ cfeA I• ndrt't!u1u l..r• " ''''/"rro .,,Ï\•tflnt h!' rf'g:HI •tiie ta11t de laill:u1B 1.et tl"'hba.tairca, 11 nulun:b toH'tJl---1b, q•.;.i tépondron~ nom rcpo:r< ~ ni tli• brul,lmirnt four hfs da ru l•'llr "'""' l1m1x A l'1n,·it.ition que novs leur rt1t~rona aa nom do l".\po. Jlanil ut btr '1111 r•lrnu. .at on :.ratr:.:nom.al(' r,e m.a.nqueront pu de 1°f-n f'Clldre ccmrt• '-il do..t• qae, db Ion, tlt ne aolenl décidlo l IOltr do IO

La voiture utilitaire MATH 1S La plus avantageuse Tatlersall Automobile. 8, Av. Livingstone. Brux., Tél: 349,89

Mots d'enfanu Le français tel qu'on le parle... à Londres

Hrn~ dit la mcrr. qu'esl<<' que c la •i~mne ? Il 1 1 n leur~ 1 r \ 1 d'un ~ rr 4\, Il J U\ (>9nlnltS fon< cc pl ord tl J r' n lrOU\ rlus un carcul re ou 90 lat t • •1u un ;..p.1 :--0 !: !'SO v• lt t • 1t "rO • ,:if nnn quu k-u.t - Il fot!J1t trè$ 11011· d.ms ce I' 1cDr•I, manun. Je n a1 •dr Ht A Lond u e.t 'u •t ·uni~ pomme . O>l•'d Srrocf, t.onJon \1. 1. ?17 Eh hwn : \ l,1ri~. \'OU"' D\ 1 Z tlil .1 'Hie ) \Onnr qui-. "'I elle pwmell 11 ol'i"trc •3~e. elle nura.t d11 i;Me'1u ·: - 0111 \lod~me. - \ 1 cll pronns ? Q"' l-cc J' ' D 1-epontlu ~ - F.'lc a r pll f Il~ • rie d i;~I au U ri ? • TERYUEREN PARC - RESTAURANT SEVIN

Mnl•on de t o rdre. - Cublnc et cave r~put é t s l rs manu1c:nt1 et /r1 1ffl rnt nt lt"'tJn' na1 ,,ndu1 .Silu11llon unique. Clientè le d'élite. Tél. : Ter•. J.

La matinée G. Hau?:eur CHENARD ~ W ALCKER Le 13 m. llll~ Ol'g3DI~ le prog •0·12- 15 ~·~ 2 1. • 3 llt 11 J , la ~la 11 b mma~ Il 1 m n rur~ de Ge<>r• b. Chalda1n. I G Il z r tt dont le produit t:!I d tm~ à ~ula~er u~ d J. Clf,\ \'i:E -.1 crel • 111!ortune, rlunit les noms de tow les UllaJ' l< 1t1. Place da BRUXELLES acll: llen~nt 6 Bru1efüs, du ttgrcll' rt>'U~lt . 512 Pourquoi Pas?

Style administratif La drolerie de& titre&. llonnairr do• po•!!'s 1 l ' ~· n m15 a r.: 1 l ''" Ion ~ ln turc de la Prnwrr Il· rc (~ ~ n •) : ra~zlomt-:rahon l'3\'ÎS ~tll\Alll: LI. n \ S T \ftlll \'('ulllt"J: l~l"r fl'l\f J)Otro blJJ"M\I fJOUr foum.ar des l'enarigno A l,'ttOTLI. Dl: \'ILLE mf·nt• ron«-rn:mt nn MWOÎ rNnmmantM 'llll n'a pu êtro n:•m•1 DE BnL 'li.LES flQ'nr Uh mQU!. . U.S-E REi Ll'flUs lts conhibuahl,, !<:>ni l1,u1 .,1t 1! •pprcnJr~ que IS-< \\l.\Zll:\ ~:s loN9u• l'odmmi tral!on ne l'l'mtl pas une lettre au d

l'IL.'t~ Mol :-tL. c I .e, abonnement• au' JOU rna u" et puhlil-.1 1ion• 1:1 •e de lu,r, belce,, lra n ~a.i• et n u ~ l a i • Mnt re~ o~ 11 1· u;i;' CC En fût.c ri N1 l1011k1llr•. nr;errE:-0:-iE, ''· rnr du Pr r•il, Brt"cllc•. • T1 l~phnnr : llru\~ll s 1~tL06

L'crthographe phonétique

,,. "" ~ d' " u,ine du C• ;r ! ant cliar,:ë si:iu gar- d. n d~ nu t ùe hû !aire, chaque malin. un P'"t11 "'!'i'Otl sur C:e pe0n bure:iu la phni·• ~unantl' • U 4 /am~ dt jrm1njcr 11t1;onp/u. Annonces et enseignes lumineuses... · ,..,•• 1.:.., 1'<>:1ho~aphe ph•111 ·llq•Je .• S11r la h1·aJ,. 1lu Io• JI d< 1 Il· 1v11 bd9t '"lll!Jr IÎ'/"'• F ablea-express looul1·1anl ni"<'l"'lf41~1111. 011 lit, .. u !Nire~ de leu: D.t"u d1t J rn1 a.a p:u-o .e : lm1, Or don• le pharaoleil rJd1cu1. 1t• jusl<· qui n' ura1rnl p•> rrc ,J c lmoc.ihon md•· C'est alors que tout en écoutJnl b foule. '1dutllc pour cette tèumvu 60111 pn~ de cor.• dcrcr le l'a enl<'Ddant r· rler de reuoncer lrs loml!.-;, ~ ·, •mr- t ' • Il fol pns ùc cc0lère, et db10:11ant 1autre mt1mk-, roui CD fixant EUT elle 1111 llll ro mrh d'em 1e, Jrun ton à 1.1 loi< railleur tl Cl ucl, SANDEMAN n'a que des vins de choix Il 1l1t : « a Cècile 'orHlle? • ? ~!? « Q·•el t-1, ô 'I all.u i ! l•1nt que \'>US aimrz le mir11, (1 la h~uri ~ » Moralité· l~ R~• dit: c \oir • ! ??? Q11and li lut \Ï•Ïl