Sénégal (2000-2012)
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Momar-Coumba Diop (dir.) Sénégal (2000-2012) Les institutions et politiques publiques à lépreuve dune gouvernance libérale CRES - KARTHALA SÉNÉGAL (2000-2012) LES INSTITUTIONS ET POLITIQUES PUBLIQUES À LÉPREUVE DUNE GOUVERNANCE LIB ÉRALE Le Consortium pour la recherche économique et sociale (CRES) remercie le Centre de Recherches pour le Développement international (CRDI), établi à Ottawa, au Canada, qui a pris en charge les frais dédition de ce volume dans le cadre de linitiative Think Tank . Cependant, les vues qui y sont exprimées ne refl ètent pas nécessairement celles du CRES et du CRDI. International Development Centre de recherches pour le ResearchCentre développement international KARTHALA sur Internet : http://www.karthala.com Paiement sécurisé Illustration de couverture : uvre intitulée Bayaalu Colobaane de Fally Sow Sène , qui a aimablement autoris é sa reproduction Composition et mise en page : Charles Becker CRES et KARTHALA , 2013 ISBN : 978-2-8111-0878-6 Momar-Coumba Diop (dir.) Sénégal (2000-2012) Les institutions et politiques publiques à lépreuve dune gouvernance libérale Pr éface de Jean Copans CRES KARTHALA BP 7988 22-24 bd Arago Dakar Médina 75013 Paris Le Consortium pour la Recherche économique et sociale (CRES) a été cr éé par des enseignants-chercheurs de diverses sp écialit és (économie, droit, techniques quantitatives, sociologie). Les principaux objectifs du CRES sont de : • renforcer les capacit és de recherche et danalyse en sciences économiques et sociales au Sénégal et dans le reste de lAfrique ; • promouvoir une expertise de qualité permettant daider à la prise de décision sur les questions économiques et sociales ; • concevoir et impulser des programmes de recherche-formation dans le domaine de lé ducation, de lé conomie et de la sociologie ; • développer le partenariat entre les chercheurs universitaires, les experts de ladministration et les institutions de coop ération et daide au développement. Le CRES dispose dun potentiel de recherche permettant de promouvoir une meilleure connaissance des structures économiques et sociales, des comportements des acteurs, des relations internationales, des mécanismes qui déterminent lé volution des pays africains. Le CRES mène les activit és suivantes : • conception et mise en uvre de programmes de recherche et dé tudes dans les domaines de lé ducation, lé conomie, le droit, la sociologie, et les techniques quantitatives ; • recherches et études pouvant contribuer à lé laboration, au suivi et à lé valuation des politiques économiques et sociales ; • formation à caractère multidisciplinaire dans le cadre dune école doctorale sur les questions économiques et sociales. Adresse : Rue 10 prolong ée, Cit é Iba Ndiaye Diadji, n° 1 et 2, Pyrotechnie Dakar (S énégal) CP 12023 - BP 7988 Dakar Médina [email protected] - www.cres-sn.org À la mémoire de Jacques Faye 1946-2010 Jacques Faye a été un chercheur engagé qui a mis son intel- ligence raffinée, son immense générosité et son talent exceptionnel au service exclusif de la promotion du monde rural en Afrique de l’Ouest, notamment au Sénégal. Remerciements Depuis plus de vingt ans, les autorités de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar et mes collègues magnifiques m’ont accordé la liberté totale d’organiser et d’animer des groupes de recherche sans interférer dans mes entreprises éditoriales. J’ai aussi travaillé dans la plus grande autonomie quand j’ai mis sur pied le Centre de recherches sur les politiques sociales (CREPOS) que j’ai dirigé entre 2004 et 2009. Le soutien moral des autorités universitaires et de mes collègues ne m’a jamais fait défaut. Voilà pourquoi je les remercie vivement au moment où je mets un terme définitif, avec ces publications, à un engagement continu dans les travaux d’équipe qui a com- mencé à la fin des années 1980. Les résultats de ces travaux ont été publiés grâce au soutien constant de Robert Ageneau. Le programme de recherche que j’ai rédigé en 2009, et qui est à l’origine de ces publications, n’engage cependant pas l’université Cheikh Anta Diop de Dakar ou une autre institu- tion publique ou privée sénégalaise. Malgré ses nombreuses occupations et les contraintes liées à l’enca- drement des doctorants, Jean Copans, un ami personnel depuis plus de trois décennies, a accepté, spontanément, la lourde tâche consistant à rédiger la préface à ce volume. C’est de manière délibérée que je lui ai demandé de le faire pour rendre hommage à cet illustre professeur qui est un très grand ami du Sénégal et un membre éminent de notre communauté universitaire. Les collègues qui publient des contributions dans ce volume et le suivant l’ont fait de manière généreuse et surtout bénévole. Je rends hommage à la patience notée à l’occasion des réglages et révisions des papiers, à leur gran- de courtoisie, malgré les pressions relatives au respect des délais. Dans leur majorité, ces collègues ont, par la suite, participé à la relecture et au contrôle des contributions, faisant ainsi de ce volume une véritable création collecti- ve . J’ai été impressionné par leur engagement désintéressé, mais très sérieux dans la production des connaissances relatives à notre pays, par leur dé- vouement, mais aussi par leur maîtrise sereine des questions examinées. Dans la phase terminale de la préparation des contributions, alors que je recherchais les moyens d’impression, le Consortium pour la recherche éco- nomique et sociale (CRES) a accepté, en novembre 2012, de prendre en charge les frais d’édition de ce volume et du suivant, ce dont je le remercie très vivement. Voilà pourquoi j’ai signé avec le CRES un accord lui permet- tant notamment de figurer comme coéditeur sur la couverture des deux to- mes et de disposer d’un double encadré dans les pages d’entrée de chaque livre. Je remercie Abdoulaye Diagne, son directeur, ainsi que Gaye Daffé qui 8 Remerciements a facilité les relations avec le CRES et assuré, avec Mame Sokhna Thiaw, l’assistante de direction du CRES, le suivi des questions administratives rela- tives à l’impression de cet ouvrage. Jean-Pierre Dozon m’a offert une hospitalité généreuse, en me recevant, pendant plus d’un mois, dans d’excellentes conditions, à la Maison des sciences de l’Homme, à Paris. J’exprime ma profonde gratitude à Dominique Richard, la responsable administrative du programme « Directeurs d’études associés ». Je remercie les dirigeants de la Fondation Maison des sciences de l’Homme (FMSH), notamment Michel Wieviorka, son administrateur, et le personnel de la Résidence Suger de la FMSH, à Paris, pour leur accueil cha- leureux. Charles Becker, un fidèle collaborateur et ami de longue date, m’a beau- coup appuyé pendant cette entreprise éditoriale, notamment par ses conseils pertinents au quotidien. Charles a aussi assuré avec professionnalisme la mi- se en pages et la composition de ce livre. Je tiens à rendre hommage à Angé- lique, son épouse, pour le soutien fraternel qu’elle m’a toujours apporté. Malgré un emploi de temps très chargé, mon « conseiller » Philippe An- toine m’a aidé à vérifier et à améliorer le contenu de certaines contributions. Aboubacry Demba Lom a mis à mon entière disposition sa connaissance étendue de l’administration centrale sénégalaise et a participé avec beaucoup de sérieux à l’évaluation de certaines études. Je remercie Jean-Claude Marut, fortement investi dans l’analyse du conflit casamançais, pour son appui. Gaye Daffé a participé, avec l’engagement que nous lui connaissons, à la révision des contributions relevant de sa compétence. Ibou Diallo a relu cer- tains papiers de ce volume. Mes collègues Ousseynou Faye et Alfred Inis Ndiaye m’ont appuyé, comme ils l’avaient fait lors de la publication des résultats du programme de recherche intitulé Sénégal 2000. Ibrahim Oumarou Sadou, Harouna Was- songma, Mame Demba Thiam, Ibou Diallo et Sandrine Mesplé-Somps ont amélioré ou repris les graphiques de certaines contributions. Ibrahima Sarr a manifesté beaucoup d’intérêt pour ces travaux. Il a aussi aidé dans la recher- che documentaire et les relectures. Le concours de Catherine Boone a été important. Malgré mes sollicita- tions et la lourdeur de ses charges de travail, Cathy a toujours répondu favo- rablement à mes demandes. Je remercie Ibrahima Kane, Mame Thierno Cis- sé et Moussa Samb pour leur important soutien moral. Lamine Sow m’a ap- puyé dans les relectures. Pascal Kambalé m’a permis de participer à une étu- de sur l’aide publique au développement faite par AfriMap et OSIWA. Cer- tains éléments de cette réflexion ont été repris, en partie, dans l’introduction au second volume. Babacar Fall [Baker] m’a apporté un soutien fraternel pendant la recherche des moyens destinés à l’impression des deux volumes. Remerciements 9 Linda Beck, Pascal Bianchini, Sylvie Bredeloup, Alexis Campal, Liam Campling, René Collignon, Fatou Kiné Camara, Jean Copans, Hannah Cross, Hamidou Dia, Pathé Diagne, Alioune Badara Diop, Dialo Diop, Ma- madou Diouf, Sheldon Gellar, Abdourahmane Ndiaye, François Roubaud, Moussa Sy m’ont également aidé à évaluer des papiers de manière bénévole. La responsabilité de ces collègues n’est cependant pas engagée par le conte- nu des contributions proposées dans ce volume. Enfin, je remercie mes enfants Djilane-Penda [Caat ], Isseu-Madjiguène, Ada et mes nièces Mame Fat Diouf et Zeïna. Leurs encouragements ont permis d’aller jusqu’au bout d’une entreprise éditoriale aussi longue et diffi- cile. Préface La famille très étendue de Momar-Coumba Diop Jean Copans * Je ne peux que me sentir une nouvelle fois très honoré par la sollicita- tion de Momar-Coumba Diop à écrire cette préface. Mais soyons francs : à quoi peut bien servir une préface lorsque les textes parlent d’eux- mêmes et que le préfacier actualise à échéances régulières ses connais- sances ‘sénégalaises’ justement par la lecture des volumineux ouvrages collectifs que Momar n’a cessé d’éditer depuis plus de vingt ans et aux- quels j’ai parfois participé comme lecteur, comme contributeur ou encore comme directeur de collection (et proposant de titres) et enfin maintenant comme préfacier ? D’autant que cet ouvrage-ci est le premier tome d’un ensemble de deux volumes et qu’il me paraît maladroit d’en briser l’économie et le projet.