Revue De Presse Novembre 2017

Revue de Presse

Novembre 2017

LE FIGARO ETUDIANT – Vendredi 3 novembre 2017

Le classement 2017 des meilleures écoles de jeux vidéo

CLASSEMENT ‐ Supinfogame‐Rubika et Isart Digital occupent les deux premières places du palmarès réalisé par le Figaro Étudiant. L’IIM, qui vient de remporter le Ping Award, supplante de justesse l’Enjmin‐Cnam.

La Paris Games Week a ouvert ce mercredi 1er novembre à la porte de Versailles de Paris et court jusqu’au dimanche 5 novembre. L’occasion pour le Figaro Étudiant de faire son point annuel sur les meilleures formations pour intégrer les studios de production de jeux vidéo. Pour établir ce classement 2017, nous avons de nouveau interrogé des producteurs de jeux vidéo (BigBen Interactive, Cyanide Studio, Focus Home Interactive et Amplitude Studios) pour connaître leurs écoles préférées et celles où ils recrutent le plus. Nous avons également tenu compte d’autres critères, comme les campus à l’étranger, la possibilité d’étudier en alternance ou la reconnaissance des diplômes par le Syndicat national du jeu vidéo (SNJV) notamment. Nouveauté du classement 2017: nous ajoutons le critère des prix et récompenses reçues par les écoles depuis 2013. Trois distinctions sont prises en compte: Unity Award, Ping Award et Imagine Cup France. » LIRE AUSSI ‐ Les écoles de jeux vidéo en direct de la Paris Games Week Du changement à la troisième place Pour la troisième année consécutive, Supinfogame‐Rubika truste la tête de notre classement. «Son principal atout est sa formation transversale, assure Benoît Clerc, directeur de l’édition chez BigBen Interactive. Les étudiants portent un regard à la fois technique et artistique sur la création de jeux vidéo. Avant même d’intégrer Rubika, les étudiants présentent un bon niveau, qui se consolide au fil de leurs stages obligatoires». En plus d’être particulièrement apprécié dans le milieu, en témoigne son affiliation au Syndicat national du jeu vidéo, l’école valenciennoise possède tous les atouts d’une formation d’excellence: un campus en Inde et à Montréal, des échanges Erasmus et le plus haut niveau de reconnaissance par l’État pour son parcours en 5 ans. «Les diplômés d’IIM développent des compétences transversales sur le processus de production»Christophe Live, directeur du département animation chez Cyanide Studio L’Isart Digital , à Paris, reste sur la deuxième marche du podium. L’école fondée en 1999 par Xavier Rousselle, possède elle aussi un campus à Montréal. En outre, elle a noué un partenariat privilégié avec la Tokyo University of technology. «Les élèves d’Isart Digital sont formés à tous les métiers du jeu vidéo. Ils terminent leur formation avec déjà beaucoup d’expérience et sont habitués aux projets en équipe, insiste Mathieu Girard, cofondateur d’Amplitude Studios. Cette année, l’Institut de l’internet et du multimédia (IIM), basé à Paris‐La Défense, déloge l’Enjmin‐Cnam de sa 3e place. Un point sépare les deux écoles. Les professionnels apprécient avant tout sa double formation. «Les élèves sont préparés à la fois à la création et à la gestion de projet», explique Théophile Gaudron, producteur exécutif chez Focus Home Interactive. «En plus d’être préparés aux responsabilités, les étudiants développent des compétences transversales sur le processus de production des jeux vidéo», ajoute Christophe Live, directeur du département animation chez Cyanide Studio. Enfin, l’IIM vient de remporter le Ping award 2017! Les écoles d’ingénieurs et d’informatique également plébiscitées Lisaa, qui a déjà progressé dans le classement 2016, gagne une place cette année et devance toujours l’Ican. Cette dernière passe de la 7e à 5e place, grâce notamment aux récompenses obtenues. Les Gobelins, élue meilleure école d’animation au monde, reste bien placée dans notre classement mais passe de la 5e à la 8e place. » LIRE AUSSI ‐ Mon avis sur les Gobelins: «J’ai fait moins de dessin que je ne pensais» Précisons que les écoles d’ingénieurs comme l’École Polytechnique ou CentraleSupélec, ou de programmation informatique comme l’École 42 ou l‘Épita (groupe Ionis), ont également été citées par les professionnels. «Parmi nos cinq derniers recrutés, deux sont issus d’écoles d’ingénieurs (Insa, Esgi) et l’un est diplômé en master d’arts graphiques à l’Esag‐Penninghen», indique Mathieu Girard, cofondateur d’Amplitude Studios. «Nous avons parfois besoin d’ingénieurs d’Epita, Polytechnique ou Centrale pour gérer des équipes, mais surtout pour répondre aux défis techniques de l’élaboration d’un jeu vidéo», ajoute Oskar Guilbert (Dontnod). N’étant pas spécifiquement des écoles de jeux vidéo, nous ne les avons pas incluses dans ce classement. Découvrez les écoles présentes à la Paris Games Week en vidéo.

Le palmarès 2017 des écoles de jeux vidéo Rechercher :

Tarif par an Années RNCP (moyenne Rang Ecoles d'études (niveau) sur le cursus) en €

Supinfogame‐Rubika, Aulnoy‐lez‐ 1 5 ans I 8600 Valenciennes

2 Isart Digital, Paris 3 ans I 7580

IIM (Institut de l'Internet et du 3 5 ans I 7220 multimédia), Paris‐La‐Défense

4 CNAM‐ENJMIN, Angoulême 2 ans I 470

5 ICAN, Paris 5 ans I 6760

6 LISAA, Paris 3 ans II 8490

7 Aries, Lyon 3 ans II 7250

8 Gobelins, Paris 1 an I 10500

ECV 9 5 ans I 8150 Paris/Bordeaux/Lille/Aix/Nantes

10 Bellecour école, Lyon 3 ans II 7180

11 IUT de Bobigny 3 ans II 189

12 Pôle 3D, Roubaix 5 ans II 7500

12 Autograf, Paris 5 ans I 6780

Tarif par an Années RNCP (moyenne Rang Ecoles d'études (niveau) sur le cursus) en €

Université Paul Valéry, 12 5 ans I 189 Montpellier

15 Studio M, Paris 3 ans III 6650

15 Créajeux, Nimes 3 ans ‐ 5883

17 Art FX, Montpellier 5 ans I 7800

18 New 3dge, Paris 4 ans ‐ 6500

18 Studio Mercier, Paris 3 ans III 5200

E‐art sup, Paris, Bordeaux, Lille, 20 5 ans II 7980 Lyon, Nantes

20 Emile Cohl, Lyon 5 ans II 7670

22 Objectif 3D, Montpellier 4 ans III 6850

23 Gamagora, Université de Lyon 2 1 an ‐ 189

24 IEFM 3D, Montpellier 4 ans ‐ 5885

Méthodologie du classement du Figaro Etudiant : Membre du SNJV (Syndicat national du jeu vidéo) : 10 points ; Erasmus, Cumulus, CGE, Visa, alternance : 5 points ; RNCP (Repertoire national de certification professionnelle) : 10 (NI), 8 (NII), 5 (NIII) ; Ecole à l'étranger : 5 points ; Ecoles préférées : 10 à 6 points selon position ; Derniers recrutés : 5 points par école citée ; Prix/récompenses : 5 (Gagnants), 2 (Nominés) Sources : écoles http://etudiant.lefigaro.fr/les‐news/palmares/detail/article/le‐classement‐des‐ meilleures‐ecoles‐de‐jeux‐video‐21863/

CHARENTE LIBRE – Samedi 4 novembre 2017

CHARENTE LIBRE – Lundi 6 novembre 2017

ECRAN TOTAL – Mardi 7 novembre 2017

La France récolte de nombreuses nominations aux Emile Awards

Le réalisateur et producteur britannique Peter Lord, l’un des fondateurs d’Aardman Animations et président des European Animation Awards, a dévoilé lundi 6 novembre, en direct des Studios Nexus à Londres, la liste des 48 nommés (sur 500 œuvres soumises), qui seront en compétition pour la première édition de la cérémonie des Emile Awards. Organisée par les European Animation Awards, en partenariat avec la région Hauts‐de‐France et Pictanovo, l’événement vise à récompenser le meilleur de l’animation européenne au cours d’un cérémonie qui aura lieu le 8 décembre, au Nouveau Siècle à Lille, et sera ouverte au public. Les 16 récompenses ont été divisées en quatre sections : films d’études et courts métrages ; longs métrages ; création sonore ; et production audiovisuelle et films de commande. Pour chaque section, un jury de trois experts européens a désigné les trois nommés pour chacune des catégories. Pour les films d’étudiants et courts métrages, le jury était composé de Carolina Lopez (Espagne), Alexis Hunot (France) et Regina Pessoa (Portugal). Pour les longs métrages, le jury réunissait Maria Anestopoulou (Grèce), Tomm Moore (Irlande) et Claire Jennings (Royaume‐Uni). Pour la création sonore, le jury rassemblait Bruno Coulais (France), Emmanuel Deletang (France) et Tom Van Waveren (Pays‐Bas). Enfin, pour la production audiovisuelle et les films de commande, le jury était composé de Marion Edwards (Royaume‐Uni), Olivier Barbeau (Suisse, France) et Yulia Aronova (Russie).

Ouverture des scrutins ce mardi 7 novembre Chaque catégorie sera soumise au vote en ligne des membres de l’association des European Animation Awards entre le 7 et le 30 novembre. Seuls les membres de l’association sont habilités à voter. Il est possible de devenir membre pour 2017 et donc de participer au vote en se rendant sur le site officiel de l’association. Les adhésions faites après le 27 novembre ne permettront de voter que pour l’édition 2018 des Emile Awards. Le vainqueur de chaque catégorie sera annoncé durant la cérémonie. Richard Williams honoré Peter Lord a aussi précisé le nom du premier récipiendaire du Lotte Reiniger Lifetime Achievement Award. Il s’agira du canado‐britannique Richard Williams. Le Lotte Reiniger Lifetime Achievement Award récompense un individu en reconnaissance de sa contribution exceptionnelle à l’art de l’animation durant sa carrière. Animateur de légende, Richard Williams a dirigé l’animation du multi primé Qui veut la peau de Roger Rabbit ? et a réalisé le long métrage Le Voleur et le cordonnier. Il est aussi l’auteur du livre Techniques d’animation (The Animator’s Survival Kit), considéré comme la bible de l’animation pour tout apprenti animateur. Richard Williams recevra le trophée des mains de Peter Lord. Par ailleurs, il est à noter que la cérémonie sera suivie par l’avant‐première du long métrage irlandais The Breadwinner, réalisé par Nora Twomey, en présence des producteurs et de la réalisatrice.

Les nominations Meilleur film d’étudiant • Merlot (Italie) • O Matko! (Pologne) • Pro Mamu (Russie) Meilleur film de commande • Otto ’Time’ (Allemagne) • The Last Job on Earth (Royaume‐Uni) • The Story of an Idea (Royaume‐Uni) Meilleur court métrage d’animation • Chulyen, histoire de corbeau (France) • Min Börda (Suède) • Sredi chernyh voln (Russie) Meilleurs décors et designs de personnages d’un court métrage • Manivald (Estonie, Croatie et Canada) • Peripheria (France) • Rêve d’enfant (France) Meilleure production audiovisuelle • Revolting Rhymes (Royaume‐Uni) • The Amazing World of Gumball (Royaume‐Uni) • We’re Going on a Bear Hunt (Royaume‐Uni) Meilleurs décors et designs de personnages d’une production audiovisuelle • Ernest & Célestine (France, Belgique, Luxembourg) • Hey Duggee saison 2 (Royaume‐Uni) • Puffin Rock saison 2 (Irlande) Meilleure animation d’une production audiovisuelle • Revolting Rhymes (Royaume‐Uni) • The Amazing World of Gumball (Royaume‐Uni) • We’re Going on a Bear Hunt (Royaume‐Uni) Meilleur scénario d’une production audiovisuelle • Flapacha, où es‐tu ? saison 2 (France) • Mon chevalier et moi (France, Belgique) • The Amazing World of Gumball (Royaume‐Uni) Meilleur storyboard d’une production audiovisuelle • Revolting Rhymes (Royaume‐Uni) • Shaun The Sheep saison 5 (Royaume‐Uni) • The Amazing World of Gumball (Royaume‐Uni) Meilleure création sonore d’une production audiovisuelle • En sortant de l’école saison 3 (France) • Lastman (France) • Mon chevalier et moi (France, Belgique) Meilleur long métrage • Le Grand Méchant Renard et autres contes (France, Belgique) • Ma vie de Courgette (Suisse, France) • La Tortue rouge (France, Belgique, Japon) Meilleurs décors et designs de personnages d’un long métrage • Ethel & Ernest (Royaume‐Uni, Luxembourg) • Psiconautas, los niños olvidados (Espagne) • Tout en haut du monde (France, Danemark) Meilleure animation pour un long métrage • Ethel & Ernest (Royaume‐Uni, Luxembourg) • La Jeune Fille sans mains (France) • La Tortue Rouge (France, Belgique, Japon) Meilleur scénario pour un long métrage • Ethel & Ernest (Royaume‐Uni, Luxembourg) • Louise en Hiver (France, Canada) • Ma vie de Courgette (Suisse, France) Meilleur storyboard pour un long métrage • Psiconautas, los niños olvidados (Espagne) • La Tortue Rouge (France, Belgique, Japon) • Tout en haut du monde (France, Danemark) Meilleure création sonore pour un long métrage • La Jeune Fille sans mains (France) • Ma Vie de Courgette (Suisse, France) • Tout en haut du monde (France, Danemark)

SUD OUEST – Mercredi 8 novembre 2017

Angoulême : un point d’étape sur "l’usine du futur"

La société angoumoisine Iteca était notamment présente à ce séminaire à l’espace Franquin. photo anne lacaud

Un séminaire se tenait à Franquin sur un dispositif d’aide régional aux entreprises. Dans le cadre de sa visite à Angoulême, le président de la Région Alain Rousset a également fait escale en fin de matinée à l’Espace Franquin. C’est là que se tenait un séminaire annuel réunissant 350 entreprises de la Nouvelle‐Aquitaine engagées dans le programme « Usine du futur ». La Région a injecté 42,5 millions d’euros dans ce programme. 80 entreprises de l’ex‐ Poitou‐Charentes participent à ce dispositif, dont 16 Charentaises. Diagnostic personnalisé Au cours de cette journée, les entrepreneurs ont ainsi fait un point d’étape sur leur engagement dans « Usine du futur ». Lequel a été lancé début 2014 et a pour but d’« accompagner les entreprises vers l’excellence opérationnelle, puis soutenir la transition vers l’usine numérique connectée ». Il s’agit d’un processus relativement long, s’étalant sur pas moins de dix années. Il débute par un diagnostic réalisé dans les entreprises volontaires. Il vise à déterminer les besoins en terme de technologie, d’organisation de formation, de conditions de travail et d’économie circulaire. La Région soutient ensuite les projets issus de cette évaluation. L’objectif de la Nouvelle Aquitaine est d’avoir 600 entreprises à accompagner d’ici 2020. Le but de ce programme est avant tout, selon Alain Rousset, de « faire croître les PME. C’est l’arrière‐pensée de cette stratégie. » 200 entreprises supplémentaires seront retenues de 2018 à 2020 pour bénéficier de l’accompagnement « Usine du futur ». Les PME sont ainsi appelées à manifester leur intérêt. Celles qui seront sélectionnées bénéficieront d’un diagnostic personnalisé suivi d’un plan d’amélioration de la performance industrielle. 100 % du coût du diagnostic est pris en charge par la Nouvelle Aquitaine et des Fonds européens.

SUD OUEST – Jeudi 9 novembre 2017

CHARENTE LIBRE – Jeudi 9 novembre 2017

LE FILM FRANCAIS – Vendredi 10 novembre 2017

Le Film Français – Mardi 14 Novembre 2017

Jean-Paul Rouve a démarré le tournage de "Lola et ses frères"

Date de publication : 14/11/2017 - 09:50 http://www.lefilmfrancais.com/cinema/134696/jean‐paul‐rouve‐a‐demarre‐le‐tournage‐de‐lola‐et‐ses‐ freres?utm_source=Eole&utm_medium=Emailing&utm_campaign=Alerte+info

Pour son quatrième long métrage en tant que réalisateur, Jean-Paul Rouve a réuni Ludivine Sagnier, José Garcia et Ramzy Bedia.

Le tournage de Lola et ses frères a débuté le 8 novembre pour une durée de huit semaines entre Angoulême, La Rochelle, Cognac, Bordeaux et Paris.

Sur un scénario qu'il a cosigné avec David Foenkinos, Jean-Paul Rouve y dirige Ludivine Sagnier qui incarne Lola. Cette dernière à deux frères, Benoit (Jean-Paul Rouve) qui se marie pour la 3ème fois. Et Pierre (José Garcia) qui arrive en retard au mariage après une matinée compliquée, improvise son discours et ... est incapable de se souvenir du prénom de la nouvelle femme de son frère. Excuses, reproches, engueulades, brouilles, chacun essaye de vivre sa vie de son côté. Benoit, opticien amateur de gadget, ne semble pas prêt à être père et ne perçoit d'ailleurs pas les allusions de sa femme. Lola, avocate spécialisée dans les divorces, rencontre Zoher (Ramzy Bedia) dont elle vient justement de s'occuper du divorce. Quant à Pierre, ses problèmes professionnels ne se règlent pas facilement. Pauline Clément est également au casting.

Le film est produit par Maxime Delauney et Romain Rousseau pour Nolita Cinema, déjà producteurs de son précédent film Les Souvenirs (1,1 million d’entrées en 2015), et Jean-Paul Rouve pour Les films du Monsieur, et coproduit par France 2 cinéma et TF1 Studio. Il a également pour partenaires Canal+, OCS, France télévisions et TV5 Monde, côté télévision, et le département de la Charente et Cofinova complètent le plan de financement de ce long métrage au budget de 5 970 676 €.

Le film sera distribué par UGC Distribution pour le compte de TF1 Studio, qui gère tous les mandats.

Océane Le Moal

Charente Libre – Mercredi 15 Novembre 2017

Ecran Total – Mercredi 15 Novembre 2017

Blue Spirit crée Just Kids, sa nouvelle filiale de production

Le groupe Blue Spirit, producteur de séries et de longs métrages d’animation et studio de fabrication, ouvre Just Kids, une nouvelle filiale de production. Basée à Paris, Just Kids est dirigée par Muriel Achery, qui était précédemment conseillère artistique au sein de l’unité jeunesse de TF1. Just Kids a pour ambition de produire des programmes originaux ou adaptés d’œuvres existantes pour les diffuseurs français et internationaux. La société travaille actuellement sur sa première série, une adaptation des livres à succès de Rob Scotton, Splat le chat, publiés chez Nathan.

Sud Ouest – Mercredi 15 Novembre 2017

Sud-Ouest – Mercredi 15 Novembre 2017

Les Echos – 15 Novembre 2017

L'animation recrute à tour de bras Marina Alcaraz Le 15/11 à 18:25 https://www.lesechos.fr/tech‐medias/medias/030878653441‐lanimation‐recrute‐a‐tour‐de‐bras‐ 2130462.php#xtor=CS1‐1

Le secteur de l'animation profite de différentes mesures de hausse des crédits d'impôt et de changement de règles du CNC. ‐ Laurent CERINO/REA

Les effectifs dans l'animation ont grimpé en France. De nombreux studios ont relocalisé leur production dans l'Hexagone.

A l'écran, les personnages de dessin animé peuvent avoir l'air japonais ou de Beverly Hills, mais ils sont bel et bien « Made in France ». L'animation crée de plus en plus d'emplois dans l'Hexagone. En 2016, ce sont 700 salariés de plus qui ont grossi les rangs des studios, dont l'effectif dépasse désormais les 6200 salariés, selon une étude d'Audiens pour le SPFA (Syndicat des producteurs de films d'animation), à l'occasion des Rencontres animations formation d'Angoulême, cette semaine.

« On devrait arriver à l'objectif que l'on avait donné de 1000 collaborateurs supplémentaires à horizon 2018 », explique Stéphane Le Bars, délégué général du SPFA. Parallèlement, la masse salariale a progressé de 15 % en 2016, pour atteindre 138 millions d'euros, après une hausse de 16 % en 2015. Au total, en treize ans, la masse salariale a presque triplé.

Le secteur se féminise

Phénomène notable, le secteur, très masculin, commence à se féminiser. En 2008, 30 % des primo‐entrants de 20 à 25 ans sur le secteur étaient des femmes, aujourd'hui elles représentent 45 %. De nombreux studios ont rapatrié ou augmenté leur production en France, ces dernières années, à l'image de Xilam, Cyber Group, Go‐N Productions, Watch Next Media etc. « Aujourd'hui, la plupart des sociétés d'animation ont fait le choix de se relocaliser alors qu'ils travaillaient souvent par le passé en Asie », précise Philippe Alessandri, président du SPFA et de Watch Next (« Oscar est en retard »).

En cause : des mesures prises par différentes institutions en 2016. Les crédits d'impôt ont été revus à la hausse, notamment le taux du crédit d'impôt international ‐ pour les projets réalisés en France destinés à l'étranger. Le CNC (Centre national du cinéma et de l'image animée) a également revu son système d'attribution des aides avec un système de points liés à la localisation en France.

Peur sur le possible passage de France 4 en diffusion numérique exclusive

Et le cercle vertueux devrait se poursuivre. « Un certain nombre de diffuseurs internationaux, notamment les réseaux américains favorisent les co‐productions dans l'Hexagone pour profiter des financements français, reprend Philippe Alessandri. On devrait commencer à voir monter le volume de production avec des commandes de l'étranger ».... Ce qui devrait créer encore plus d'emplois.

Le SPFA s'inquiète toutefois des pistes évoquées par un document interne ‐non définitif‐ du Ministère de la Culture qui a fuité dans « Le Monde », évoquant un possible passage de France 4 en diffusion numérique exclusive. « Cela ruinerait des années d'efforts collectifs pour construire une industrie qui est numéro 2 mondial », souligne le syndicat.

Une école accessible sans diplôme : Le groupe TeamTO (« Angélo la débrouille », production executive des « Lapins crétins » etc.) a lancé cette année l'Ecas (Ecole cartoucherie animation solidaire) dans la Drôme. L'objectif est de former des animateurs 3D sur une période de 6 mois ‐ la première débute en janvier‐ qui pourront intégrer les équipes de production de la société. « 2500 postes d'animateurs 3D seront à pourvoir en France d'ici 2020 », souligne TeamTO. Au‐delà du fait qu'elle est courte, l'originalité de cette formation est qu'elle est accessible à tous, sans condition de diplôme, mais aussi gratuite. Plus de 1000 personnes ont passé une première sélection cet été, puis après plusieurs tests, 31 profils ont été choisis pour inaugurer l'Ecas. « On a des gens qui n'ont pas le bac, d'autres qui ont de longues études en musicologie etc », dit Guillaume Hellouin, patron de TeamTO. Le budget est d'environ 200.000 euros la première année, financé à un cinquième par TeamT0.

Marina Alcaraz

Charente Libre – Jeudi 16 Novembre 2017

Le Film Français – 16 Novembre 2017

L’emploi dans l'animation en plein essor en 2016 Date de publication : 16/11/2017 ‐ 14:10 http://www.lefilmfrancais.com//index.php?option=com_papyrus&view=article&id=134740&catid=1 33&Itemid=25&utm_source=Eole&utm_medium=Emailing&utm_campaign=Le+film+Fran%C3%A7ais

Pour la deuxième année consécutive, l'emploi dans l'animation est en pleine croissance, selon les chiffres dévoilés ce jour par Audiens à l’occasion des Rencontres animation formation d’Angoulême et repris par le Syndicat des producteurs de films d'animation (SPFA).

L’emploi dans l’animation est en forte hausse avec une masse salariale à 138 M€ en 2016 (+15%) et en progression de 33% par rapport à 2014. Une évolution positive aidée par "différents crédits d’impôts modifiés par le Parlement en 2014 et 2015 (cinéma et audiovisuel, international) et de la réforme du Fonds de soutien à la production audiovisuelle d’animation du CNC en vigueur depuis le 1er janvier 2016", souligne le SPFA. Mais aussi "la capacité des producteurs indépendants français à prendre pleinement le risque de la relocalisation sur le territoire français d’une partie importante de la fabrication des œuvres".

Ainsi en 2016, plus de 6 200 salariés ont exercé dans le domaine de l’animation, soit 700 de plus que l’année précédente (+13%), dont 150 de plus en CDI. Les CCDU (contrat à durée déterminée dit d’usage) restent majoritaires (84%), même si les CDI sont en progression de 24%.

Dans le détail, les employés de l’animation sont dans l’ensemble de jeunes actifs, 75% des techniciens en CCDU et plus de 60% du personnel en CDI ont moins de 40 ans, et sont principalement des hommes. Même si, comme le souligne l’étude, "la féminisation du secteur est en cours". Ainsi en 2016, les femmes représentent 42% du personnel permanent et 32% des salariés sous CDD d’usage. Ce phénomène s’accompagne d’une légère réduction des inégalités salariales, "nettement inférieurs aux écarts constatés sur l’ensemble de la population active", même si ces dernières persistent (de l’ordre de 5 à 10% en fonction du contrat de travail, du poste occupé, du statut de cadre ou de non cadre).

L’activité reste principalement implantée en Île‐de‐France, progressant sur d’autres territoires, qui regroupent désormais près de 20% de la masse salariale totale du secteur. La multiplication des créations de studios dans les régions Nouvelle Aquitaine, Hauts‐de‐France ou encore Auvergne‐Rhône‐ Alpes devraient maintenir cette tendance à la hausse dans les prochaines années.

Enfin, le dynamisme de l’animation française se traduit également avec sa performance historique à l’exportation en 2016 avec 106,3 M€ de recettes, soulignent le SPFA. Des résultats positifs qui contrastent donc pour le syndicat avec les réformes "non validées", selon la ministre François Nyssen, du document de travail du ministère de la Culture, qui prévoit entre autres une diffusion exclusivement numérique de France 4. "Le groupe France Télévisions représente 50% des investissements des diffuseurs français dans le secteur de l’animation. À l’image de tous les services publics européens, il se doit d’intégrer dans son bouquet une chaîne jeunesse et famille, accessible gratuitement sur tout le territoire et pour tous les enfants", commente l’organisme. "France 4 est le pilier de l’offre 360° du service public. Envisager une telle éventualité, c’est tout simplement ruiner des années d’efforts collectifs pour construire une industrie performante qui est aujourd’hui numéro 2 mondial", indique‐ t‐il.

Océane Le Moal

Charente libre – Vendredi 17 Novembre

Sud Ouest – Vendredi 17 Novembre

LE FILM FRANCAIS – Vendredi 17 novembre 2017

SUD OUEST – Samedi 18 novembre 2017

CHARENTE LIBRE – Samedi 18 novembre 2017

LE FILM FRANÇAIS – Vendredi 20 octobre 2017

ECRAN TOTAL – Mardi 21 novembre 2017

Les Radi et les RAF ont réuni plus de 300 participants

Plus de 300 participants étaient présents pour la 3ᵉ édition des Rencontres animation développement innovation (Radi) et la 9ᵉ édition des Rencontres animation formation (RAF), qui se son tenus du 15 au 17 novembre à Angoulême. Les Radi, dont l’objet est de traiter des enjeux de la recherche et du développement pour les studios d’animation, ont connu une fréquentation en forte hausse. Un phénomène qui illustre le besoin des professionnels de réfléchir à la mise en place de méthodologies et d’outils permettant des gains de productivité dans un contexte de concurrence internationale. Les différentes interventions ont souligné les avantages que peut représenter l’intégration d’un outil de gestion du flux de production dans des studios, y compris de taille plus modeste. La mutualisation des efforts portés sur la R&D, le remplacement d’outils logiciels contraignants par des alternatives plus souples ont fait partie des pistes de réflexion. Cette édition des Radi a également confirmé la recherche par les studios de profils techniques (Technical Directors), souvent de niveau cadre, afin d’améliorer la gestion de pipelines de production de plus en plus complexes. Les Radi sont organisées par le pôle image Magelis avec le soutien du CNC, de la CPNEF Audiovisuel (Commission paritaire nationale de l’emploi et de la formation), de la Ficam et du SPFA. Des alternatives aux approches "classiques" Aux RAF, il a été mis en avant que l’année 2017 a confirmé les effets des crédits d’impôt dans le secteur de l’animation. En un an, le CNC et le SPFA ont noté un doublement des dépenses en France dans le secteur (+172 M€). Cette augmentation s’accompagne d’une croissance du volume de production avec 388 heures aidées (+36,1%). Les chiffres d’Audiens ont confirmé cette tendance avec une année record en termes de masse salariale : 138 M€ et 5.300 techniciens intermittents (contrat à durée déterminée d’usage) représentant 70% de celle‐ci. Dans le même temps, le secteur poursuit sa structuration avec 730 ETP (Equivalents temps plein) dont 83% sont en CDI (+150 CDI depuis 2015). Ce marché de l’emploi "en tension", comme l’ont qualifié de nombreux studios, impacte de fait les écoles, sollicitées pour former des profils plus techniques et d’encadrement, et sur des durées plus flexibles. Plusieurs initiatives de formation récentes ont permis d’évoquer des alternatives en termes d’approche. Quelques exemples L’école L’Idem a ainsi présenté son dispositif de CFA (Centre de formation des apprentis) mis en place en 2016. Le studio TeamTO, en partenariat avec l’école La Poudrière, a fondé une école solidaire à Bourg‐lès‐Valence. Gratuite et ouverte aux jeunes sans diplôme, elle forme au métier d’animateur 3D sur une période de six mois. En septembre 2018, la réforme de la filière du Design et des métiers d’art (DMA) proposera un nouveau diplôme national, le DNMAD (Diplôme national des métiers d’art et du design), qui succède aux DMA (Diplôme des métiers d’art) des écoles publiques en élargissant la formation avec une troisième année, centrée sur la pratique professionnelle. Le modèle pédagogique d’ArtFX, qui s’affranchit des cours et des notes au profit de savoirs et d’ateliers dans un parcours délinéarisé pour chaque étudiant, fait également partie de ces approches singulières. Un rapport coût‐performance inédit Les RAF ont enfin confirmé la pertinence de la Préparation opérationnelle à l’emploi collective (POEC), dispositif soutenu par l’Afdas et Pôle Emploi. En 2017, plus de 200 stagiaires et une douzaine d’entreprises en ont bénéficié pour des formations pointues répondant à des demandes concrètes de studios. Toutes ces initiatives ont en commun une démarche consistant à former des professionnels sur des points techniques précis en lien avec des demandes des studios, sur des périodes moins longues pour une mise sur le marché du travail plus rapide. "La France dispose d’un rapport coût/performance des techniciens de l’animation unique au monde", a indiqué Jacques Bled, président d’Illumination MacGuff. "Encore faut‐il veiller à le maintenir ; il convient de se poser la question de l’accompagnement des studios, des jeunes diplômés et cela peut, par exemple, passer par des partenariats studio/école pour un dialogue renforcé". Les RAF sont organisées par le pôle image Magelis, en partenariat avec le CNC, le SPFA, la CPNEF Audiovisuel, l’Afdas, Audiens et la Ficam.

CHARENTE LIBRE – Mardi 21 novembre 2017

SATELLIFAX – Mardi 21 novembre 2017

Charente Libre – Mercredi 22 Novembre

Sud-Ouest – Mercredi 22 Novembre

SUD OUEST – Jeudi 23 novembre 2017

CHARENTE LIBRE – Jeudi 23 novembre 2017

LE FILM FRANCAIS – Vendredi 24 novembre 2017

CHARENTE LIBRE – Samedi 25 novembre 2017

SUD OUEST – Samedi 25 novembre 2017

CHARENTE LIBRE – Lundi 27 novembre 2017

CHARENTE LIBRE – Mardi 28 novembre 2017

CHARENTE LIBRE – Mercredi 29 novembre 2017

SUD OUEST – Mercredi 29 novembre 2017

CHARENTE LIBRE – Jeudi 30 novembre 2017

PAYS :France RUBRIQUE : Formations artistiques PAGE(S) :1-6 DIFFUSION :275310 SURFACE : 33 % JOURNALISTE : Valérie Second PERIODICITE :Quotidien 30 novembre 2017 - N°NC - Universités & Grandes Ecoles

L' ANIMATION FRANÇAISE AUTOPMONDIAL Les écoles hexagonales alimentent les studios de création . En France, le secteur emploie déjà 6200 personnes et les salaires sont en hausse. PAGE 6

Le cinéma d ' animation , une success story la française Le secteur est un desfers de lance de la French tech et attire les maisons deproduction étrangères. Chose rare : emplois et salairesy sont en augmentation

' Productions , Mikros Image Animation postes d encadrement technique. être artiste et ' peut et surtout chez le leader , le « Il n' y a pas assez d animateurs en vivre . La production franco-américainIllumination Mac Guff , a expérimentés, de s' insérer ' qui capables rapidement et ' de films d animation localiséen France toutes ses dans des , et à la sortie de l école , ' productions. équipes d effets visuels est en c' ne sont assez estime Sachant qu' un film 3D , est ils pas , ' spécialisés» hui ' aujourd quasiment personnespendant au moins deux ans , ce Jacques Bled , patron d Illumination Mac le seul secteur artistique studio est passé en dix ans de à Guff . Néanmoins , cette formation est 2000 ont ' dans lequel , depuis , les salaires collaborateurs . Il travaille reconnue et d envisager des ' permet augmenté en même temps que l activité. actuellementsur trois films Les Minions 2 , Tous carrières nomades les ' pour jeunes Porté l les dessins par engouement pour en scène 2 et Comme des bêtes 2. diplômés , souligne Julien Deparis , animés dans le monde , ce secteur Alors il MOPA vient petit qu' avait ou six grands ancien directeur du de ' y cinq qui connaît hui une très forte ' ' aujourd longs-métrages d animation en fonder l Ecole des nouvelles images à croissance, en France , troisième y compris productionchaque année , il y en a plus de ' : « Ils démarrent souvent en producteurmondial . Il recrute massivement Avignon dix aujourd hui en France qui aspirent tous France , à Londres et au Canada où ils se dans les métiers , de la préproduction les graphistes les plus expérimentés. créent une spécialisation qui leur (scénariste , story boa character Entre et 2016 , le secteur est ' 2015 passé permettraensuite d aller travailler dans les designer)à la postproduction (effets de 5500 à salariés , dont plus de ' ' studios américains de la , en tous les métiers grands pour faire spéciaux) passant par %% en « CDD d usage» (contrat d extra) . 3D, ou japonais ou scandinaves pour les techniques de la 3D (modeleur , rigger , Il devrait rapidement dépasser les ' en 2D . » Ainsi animateur , directeur , etc . salariés . « Ce d activité des grands longs-métrages technique ). 7000 transfert ces en « recrutement aguerris , créatifs « reviennent Alors que les difficultés de Etats-Unis vers les studios français ' France vers l de 4° ans », sont dans la 3D de leur dans l âge complète apparues depuis plusieurs témoigne confiance efficacité Et 2D a Christophe Jankovic . peuvent obtenir années , même la production du mal française» , dit Vincent Chiarotto , ' ' des rémunérations assez élevées pour aujourd hui à trouver des animateurs coordinateurdu cursus animation à l ECV, une un secteur expérimentés» , selon Christophe école a trois antennes animation à artistique. qui Leur est sur ce Jankovic Prima succès tel marché qui , , directeur de production chez Bordeaux , à Lille et depuis peu à Paris. Linea ' fonctionnant par projets , connaît , spécialisé dans les longs-métrages Les diplômés des écoles d animation ' animation en structurellementun fort turnover , que les d deux dimensions. françaises sont très appréciés pour leur gros studios cherchent à pérenniser polyvalence , leur culture , leur capacité à leurs , en distribuant des primes De 5 à salariés une de en équipes acquérir spécialisation plus sur La soutien indexées le succès du box-office réforme du fonds de à plus pointue et à intégrer des logiciels ' ' . Ainsi Mac animation mondial , Illumination Guff l en 2015 et l augmentation ' ' a distribué 23 millions d euros de des crédits d impôts pour le cinéma , y primes à 450 collaborateurs , compris pour les oeuvres étrangères , toujours plus nombreux dans ce secteur. représentant3 à 4 mois de salaires ont contribué à relocaliser Même si, lors des Rencontres animation

' supplémentaires. Mais cela ne suffit à massivementles tâches créatives et la formation d , en 2016 pas toujours (RAF) Angoulême , tous les talents de en fabrication. Comme chez Gaumont Monello trouver , plus plus , les studios criaient à la pénurie pour les

Tous droits de reproduction réservés PAYS :France RUBRIQUE : Formations artistiques PAGE(S) :1-6 DIFFUSION :275310 SURFACE : 33 % JOURNALISTE : Valérie Second PERIODICITE :Quotidien 30 novembre 2017 - N°NC - Universités & Grandes Ecoles

' ' recherchés dans l architecture , l « Mais celui qui s' est créé une coût des formations qui , sur cinq ans , imageriemédicale , la muséographie et la spécialisationtrès et a du talent avoisinent les euros , excluant de pointue qui ' ' communication. négocie facilement ses tarifs» , dit fait nombre d étudiants . « Le coût d ChristophePauly , de la CFDT . Et s' il évolue entréedans le secteur a beaucoup trop à euros bruts salaires de Jusqu' 200 par jour vers des postes de management , augmenté par rapport aux Autre raison de ces rémunérations comme directeur technique , directeur démarrage» , dénonce Christian Pauly. hors normes : à la différence des jeux artistique ou 3D , le « Trois ans suffiraient pour s' engager ' superviseur vidéo les films d animation ont une dans le secteur estimait , graphistede départ gagnera jusqu' à professionnel , convention collective avec des minima 200 euros bruts par jour. Lionel Fages , de Cube Creative , lors des A Paris un ' de branche . , graphiste Reste que l allongement de la durée de dernières RAF d Angoulême . Dans nos

comme c' démarre autour de 110 euros bruts par la formation , en cinq ans pour la faire domaines ailleurs , est la ' jour , avec un statut d intermittent lui coïncider avec la durée des Masters , est pratiquequi va rapidement primer , et non le ' un ' A moins permettant de passer d projet à aujourd hui très questionné . S' il s' diplôme . de vouloir réellement ' voire ses se l autre , de développer propres expliquepar une élévation continue du spécialiser . projets . Il grimpera à 130 euros au bout niveau technique requis , cet VALÉRIE SEGOND ' d un an et se stabilisera à 150/ 160 euros allongementa considérablement renchéri le par jour au bout de deux ou trois ans.

Les 13écoles les plus cotées La French tech de artistiques (ESMA) , cinéma . animations' internationalise , avec Montpellier: 3D Léonard de Vinci Paris : les Gobelins en figure de , Internet proue . Rubika , à , design , jeux Valenciennes, a ouvert deux campus vidéo , animation 3D. Ecole

' à . L ESMA , elle , Georges-Méliès , Orly: étranger ' cinéma d animation effets enseigne en anglais . ArtFX , ' . se targue d être la « spéciaux Ecole Emile- : 2D premièreécole européenne et Cohl , Lyon dessin , jeux la quatrième mondiale » vidéo , BD, dessin animé ... ArtFX : effets pour les effets spéciaux , et , Montpellier des étudiants de HM ont spéciaux , image de synthèse animation été primés aux Games 3D, 3D, Awards 2017 de Los Angeles jeux vidéo . Ecole Pivaut , et à la Paris Games Week. Nantes : dessin narratif Voici liste des écoles graphisme , design , concept ' art . Ecole des métiers françaises d animation ' préférées du secteur. du cinéma d animation (EMCA) , Angoulême.

' ' LAtelier : Ecole de l image Gobelins , , Angoulême Paris : du scénario aux illustration , BD, animation , ' art ISART techniques d animation. concept . Digital , Paris : MOPA (ex-Supinfocom) , jeux vidéo , animation en Arles : animation , images 3D, formations ah . Université Paris- de synthèse . Rubika ternance VIII : (ex-Supinfocom) , post-production Valenciennes: design , numérique, jeux vidéo , réalité virtuelle , effets ... animation, jeux vidéo . Ecole spéciaux Source : L supérieure des métiers ( Etudiant)

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