Le Numéro : fr. 2° Anniîf» — M" ifi 1 17 MovpmVn-,

Hebdomadaire fiersque vous passez devant un @inéma = Paraît = == illustré = (jnémagazine le Vendredi soyez persuadés que

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E UNE PREMIÈRE A LOS ANGELES AVEC MAÊ MURRAY, par Robert Florey .. 224 ; SUBLIME INFAMIE (Drame où vous applaudirez à nouveau E ON FAIT AUSSI DU CINÉMA EN AUTRICHE, par Lucien Doublon 226 E HOBART BOSWORTH, le héros du " Secret des Abîmes" E UN NOUVEAU FILM DE MABËL NORMAND : RÊVE DE SEIZE ANS 22/ : POSSESSION (Comédie dramatique avec ETHEL CLAYTON) S LES GRANDS FILMS : LE PRINCE DES TÉNÈBRES 228 \ E NOTRE CONCOURS 230 : AU CLAIR DE LUNE (Comédie avec BRYANT = CINÉMAGAZINË-ACTUALITÉS, dessins de Mars-Trick 231 :

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\T OUS êtes née à Rennes, m'a-t-on af- — N'empêche que pour arriver à être CINÉMATOGRAPHES HARRY ' firme... dis-je à Mme Jalabert, avec artiste, j'ai dû vaincre une résistance achar- qui je conversais depuis un moment. née : celle de mon père, qui ne voulait à 158*" rue du Temple, PARIS — Téléphone : Archives 12-5} — ParFaitement exact !... Mais ne aucun prix Faire de sa fille une comédienne. comptez pas sur moi pour avoir des détails — Quel métier souhaitait-il donc vous voir apprendre ? Région du Nord Région de l'Est Alsace-Lorraine sur mon enFance dans cette ville ! Là-des- sus, je serai muette... et pour cause : j'avais — Il s'en rapportait à ma mère... Il vi- 23, Grand'Place 6, rue Saint-Nicolas 15. rue du Vieux-Marcaé aux-Vi dix-huit mois à peine quand j'ai quitté Ren- vait loin de nous, sans touteFois abandon- LILLE NANCY STRASBOURG nes, et je n'y suis jamais revenue depuis... ner mon éducation. Il dictait une ligne de — Quoi ! Jamais ? conduite générale et laissait le soin de la suivre à ma mère ; à elle de découvrir mes Belgique Région du Centre Région du Midi — Non !... C'est même assez bizarre ! J'ai parcouru la du nord au^ midi, aptitudes et de me tracer la route qui con- 97, rue des Plantes 8, rue de la Charité 4, Cours St-Louis de l'est à l'ouest ; j'ai visité, grâce a mon viendrait le mieux à notre situation. C'est BRUXELLES LYON MARSEILLE métier, presque toutes les jolies cités de notre ainsi, qu'étant, pour une assez longue pé- pays — et Dieu sait s'il y en a ! — mais riode, engagée au théâtre des Célestins, à Région du Sud-Ouest Lyon, elle me plaça comme apprentie chez Algérie Suisse je n'ai point trouvé une seule Fois l'occa- 2o, rue du Palais Gallien sion de revoir ma ville natale ! une Fleuriste, et que, je dus pendant deux M. Seiberras Étab's Gaumont — Le Fait est que vous avez dû pas ans, Faire contre Fortune bon cœur... J'étais BORDEAUX petite ouvrière en fleurs artificielles lorsque 17, rue Auber 12, BJ du Théâtre mal voyager ! 8, rue Dutemps — Et j'ai commencé jeune... Mes pa- j'atteignis ma dix-septième année, mais ALGER TOULOUSE GENÈVE rents étaient comédiens ; je les ai suivis j'avais la ferme intention de ne plus monter dans tous leurs déplacements, m'accommo- en grade dans cette partie... I- dant fort bien de la vie nomade des artistes. — Comment êtes-vous arrivée à entrer □OG — Enfant de la « balle » ! au théâtre ? (pmagazine- 220 221 v'-"-"-'-'"-"""-'- (jémagazîne - Ma rnere savait que mon goût pour et d'autant plus facilement que nous avions En effet, en janvier 1914, Mme Jala- J'étais navré maintenant de n'avoir su lart dramatique n avait pas varié. C'est toujours double engagement... grâce a elle et au concours de vieux arms bert fut sollicitée par Luitz-Morat ; attirée éviter ce rappel de douloureux souvenirs, et Les lecteurs de Cinémagazine ont trop de ma famille. M. et Mme Poujin, que je par cet art nouveau, elle accepta les propo- je ne savais plus trop comment ramener no- présents à la mémoire les succès remportés parvins a fléchir mon père. sitions qui lui étaient faites, et tourna, chez tre entretien sur un terrain moins pénible... pendant quinze ans par ce couple excellent « Nous avions quitté Lyon pour Nice ; Gaumont, son premier film : L'Elan. Son Ce fut Mme Jalabert qui, voyant mon pour que je rappelle ici les menus faits de visage calme et doux de bonne maman, embarras, vint à mon secours. leur vie calme, durant laquelle la charmante son jeu si naturel séduisirent les metteurs en comédienne partagea sa tendresse entre son scène et les engagements affluèrent ; avec mari, ses enfants et son art. Je ne donnerai elle, Louis Feuillade réalisa L'Enfant de point non pus la nomenclature des pièces la Roulotte ; Fescourt, Maman ; Le Somp- de son répertoire ; cet article n'y suffirai! tier, Crand'Maman. Enfin, elle achevait de pas... Je rejoindrai Mme Jalabert en 1913 filmer Madame Corenline lorsqu'on vint an- alors que, seule désormais, elle entra au noncer au studio que la guerre était dé- Théâtre des Arts pour y créer Les yeux qui clarée... changent, puis au théâtre des Champs Ely- — J'ai vu deux guerre, hélas !... me dit sées où elle joua Le Veau d'or et Tarluje. Mme Jalabert, tandis que son regard se Si je souligne cette époque de sa vie voilait soudain de tristesse. Lors de la pre- d'artiste, c'est qu'elle devait marquer la mière — celle de 1870 — j'avais onze date de ses débuts à l'écran. ans ; j'étais près de ma mère, qui tremblait pour mes jours ! Nous avons toutes deux vécu six semaines dans les caves de Stras- bourg... Pour la seconde, celle de 1914, ce fut à mon tour de trembler pour les miens, pour mes enfants... et non sans raison, car j'ai largement payé mon tribut aux deuils de notre pays... — Vous avez été fort éprouvée, Ma- dame, fis-je, ému de voir mon interlocutrice retenir à grand peine ses larmes. Mais je sais aussi que vous avez été très courageuse. — Comme les autres mères... Mais ce sont des coups dont on se relève difficile- ment... Mme JALABEnT dans Madame Sans-Gêne — Excusez-moi d'avoir involontairement rouvert des plaies mal fermées... là, j'exposai mes vœux à M. et Mme Pou-

jin, très bons comédiens, avec lesquels Mme JALABERT dans « Maman ». jouait ma mère. On me fit réciter quelques tirades — à force d'entendre les miens répé- — Malgré l'arrêt presque complet du ter leurs rôles, j'en avais le crâne farci ! — travail dans les studios, poursuivit-elle, j'ai M. Poujin me trouva des qualités et pria tourné, pendant la guerre, de nombreux mon père de me laisser suivre une voie pour films. En 1915, au Film d'Art, je parus laquelle il me croyait toute désignée. Ma dans Claudie fille d'auberge, et dans Le mère et moi, nous joignîmes notre prière à Mannequin, réalisés par Pouctal ; puis, dans la sienne et mon père consentit !... Après une bonne demi-douzaine d'autres avec quelques brèves études avec le papa Pou- Maurice Mariaud. En 1916, Charles Bur- jin, je débutai au Théâtre Municipal dans guet me fit interpréter Les yeux qui accusent. une pièce en un acte qui s'appelait, je m'en « Mais je ne vous fatiguerai point par souviens : Les Projets de ma Tante... une trop longue liste. Qu'il vous suffise- de « En août 1878, je quittai Nice pour savoir que, de 1 91 6 et 1 91 8, j î passai d'un le Havre où je tins, pendant cinq mois, metteur en scène à l'autre. Après Burguet, l'emploi de première ingénue à côté de celui ce fut Mariaud, puis Feuillade, puis Her- qui devait me donner son nom... Je me ma- vil. Violet, Pouctal, Roger Lion, Léonce riai bientôt à ce bel artiste qu'était M. Ja- Perret. Avec Burguet j'ai réalisé Mères labert et, dès ce moment, en épouse sou- Françaises, aux côtés de Sarah Bernhardt ; mise, je suivis partout mon mari, ainsi que puis, près de notre pauvre peti.e Suzanne Monsieur le Maire me l'avait recommandé, Grandais, Le Tournant. » Mme JALABERT dans La Grâee de Dieu ». JALABERT dans « Madame Corenline ». Dix-sept jours après la signature de (pmagazine- 2221 3 Qnémagazine l'armistice, Mme Jalabert fut engagée pour Burguet pour filmer La Course aux Flam. us contenter des deux seules que conte- de ne point faire monter nos bagages... donner, à Bruxelles, aux Galeries Saint- beaux. Nous arrivâmes à Cannes sans dif- it l'auberge ; les femmes en prirent une, Bien lui en prit de nous faire quitter sans Hubert, en compagnie de M. de Féraudy ficulté ; de cette ville nous devions nous s hommes, l'autre. Comme lits : des plan- retard cette zone dangereuse : le paquebot et de Marcelle Géniat, la première repré- rendre dans un petit village perdu en mon- es montées sur des pieds mal équarris... qui suivit la route du nôtre, quelques heures sentation d'art français. Ils jouèrent L Elé- tagne... Une voiture voulut bien consentir uel souvenir ! plus tard, sauta sur une mine... vation. à nous mener jusqu'à Toreuque, presqu'au Des aventures et des souvenirs, Mme Ja- Mme Jalabert a paru sur tous les écrans, sortir de la ville, mais ce fut tout... Il nous bert n'en manque pas ; son esprit obser- joué dans tous les studios, communiquant à restait une quinzaine de kilomètres à faire, teur et vif enregistra maints détails, in- tous l'émotion de son jeu simple et si natu- dans la neige pour atteindre le lieu de mes pour d'autres, mais qui, comme autant rel, charmant ses camarades par sa grâce et rendez-vous. Je crois n'avoir jamais vu tant 'images, illustrèrent dans sa mémoire sa sa douceur maternelle... de neige... Nous en avions jusqu'aux ge- ngue carrière dramatique. C'est ainsi « — ...Mais jamais, m'avoua-t-elle en me noux... mais que c'était beau ! Enfin, au prix de pas mal de fatigue et de quelques chutes, nous touchâmes au but de notre as- cension, une petite auberge... la seule de l'endroit ! « Mais, comment vous peindre le tableau pittoresque que nous offrions quelques ins- tants plus tard ?... Nous étions transis et notre premier soin à tous fut de nous dé- chausser et de nous dévêtir pour faire sé- cher nos vêtements trempés. Ah ! le séchage d'une troupe de comédiens autour d'un poêle de campagne !... Bas et chaussettes, bottes et petits souliers, pantalons et jupons, fumaient en choeur dans un assemblage co- mique... Nous étions morts de fatigue, mais nous n'y pensions guère, tant nous étions occupés à exposer nos hardes aux ardeurs du foyer... Comme chambres, nous dûmes

Mme JALABERT dans « La Fiancée morte ».

— Quel voyage impressionnant I dit- elle. Nous pûmes assez facilement parvenir SUZANNE GRANDAIS et Mme JALABERT dans « Le Tournant jusqu'à Lille. De cette ville à Tournay, quittant, je n'ai éprouvé autant de satis- nous montâmes dans un train anglais et, u'elle me conte que, pendant la grève des faction qu'en filmant Les Mystères de Paris. malgré les douloureuses visions qu'offraient hemins de fer, elle partit, avec Le Bargy, nos contrées dévastées, cette partie de la n voiture pour jouer Le Duel. Quel art Burguet a déployé dans sa mise en scène !... La rue aux Fèves est simple- route s'accomplit encore à peu près norma- i — Les bagages suivaient, me dit-elle ; lement. Mais, à partir de Tournay, plus de aïs ils suivaient de loin, de sorte que, si ment une merveille de reconstitution. Et chemins de fer... nous dûmes achever notre ous arrivâmes vers dix heures du soir pour quelle troupe !... Huguette Duflos, Suzanne Bianchetti et Yvonne Sergyl sont délicieuses voyage en camionnette sur des routes dé- onner une représentation qui, normalement, foncées. urait dû commencer à huit et demie, nos de fraîcheur et de talent... et Bérangère ! et Dalleu ! et Vermoyal !... et Guitty... » Vous dire ce que fut ce*te représen- ailes n'arrivèrent que le lendemain, et l'un tation, le délire de cette salle archi-comble, es artistes de la troupe dut jouer avec ma tous, tous sont parfaits... Même quand je l'émotion de tous ces braves gens fêtant les hemise de nuit... D'ailleurs, avec Le Duel n'y avais rien à faire, j'avais envie de venir au studio, tant je prenais de plaisir artisti- premiers artistes français venus en Brabant ous avions déjà eu des accrocs... aux cos- depuis cinq ans, m'est impossible... Ce sont Mies (si j'ose dire !) puisque, à Smyrne, que à voir réaliser chaque bout !... » des instants inoubliables... des sensations que "ridant la guerre des , nous avions ANDRE BENCEY. l'on n'éprouve qu'une fois... Heureu- u nous contenter des seules robes d'abbé Erratum. — Dans mon dernier article con- sement !... » sacré à Donatien, une erreur de plume m'a 'dévêque, nos malles étant restées à fond fait attribuer à Melchior le rôle du capitaine Après cette période, la vie de Mme Ja- «cale... Nous devions remonter à bord et Morhange, de, L'Atlandide. mes lecteurs auront epartir sitôt fini le spectacle ; aussi, le ca- rectifié d'eux-mêmes, et le lieutenant de Saint- labert reprit son cours normal. Avit excusera, je l'espère, cet avancement im- — En 1918, me dit-elle, je partis avec itaine du navire avait-il trouvé plus sage prévu. Mme JALABERT dans « Margot Qnémagazine UNE PREMIERE A LOS-ANGELES AVEC j. Vlayo s'empressèrent de les accla- nous partons tourner des extérieurs à Santa- ' également... A la sortie, l'auto de Maë ÏVlonica... er ,, t urée et nous eûmes toutes les peines en 0 Vous pensez bien que je ne manquai pas il' monde à pouvoir y pénétrer pour nous de m: trouver à ce rendez-vous et, le lende- ■ndre de nouveau aux « Ambassador's ». main matin, dix autos emportaient la troupe £ntre deux toasts (Heidsiek Monople) rie Maë Murray sur les bords du Pacifique kl me glissa confidentiellement où l'on devait tourner les premiers exté- OTRE Broadway de Los-Angeles, door » et, de là, nous gagnâmes la loge Trouvez-vous demain matin à 7 heu- rieurs de « Coronation », sous la direction N quoique n'offrant pas un aspect aussi d'avant-scène qui nous était réservée. L'obs- K aux studios Goldwyn à Culver-City, de Robert Léonard. grandiose et gigantesque que le Broadway curité nous favorisa, car un film comique, de New-York, n'en n'a pas moins, la nuit, ou prétendu tel, passait à ce moment. Il est une certaine ressemblance avec la grande nécessaire de vous dire qu'en Amérique artère de la Cité de l'Est. la salle reste dans l'obscurité durant tout Dimanche dernier une foule dense, plus le spectacle et qu'il n'y a pas une seuls épaisse encore que de coutume, se pressait interruption. Les films passent d'un seul aux abords du « Loew-Theatre » bâti ré- bloc et l'électricité ne se rallume qu'à h cemment au coin de la 7° rue et de Broad- fin du spectacle. Nous étions à peine instal- way. D'immenses panneaux électriques an- lés que « Broadway Rose » fut annoncé à nonçaient au public qu'à l'occasion de la l'écran. Ce film est encore supérieur aux première représentation de « Broadway productions précédentes de Maë, ce qui Rose », Maë Murray assisterait elle-mê- n'est pas peu dire, attendu que les autres me au spectacle dans une loge d'avant- étaient considérées comme de purs bijoux scène. La fameuse danseuse est devenue d'art. l'idole des spectateurs qui ne se lassent « Une étoile de danse d'un grand théâ- plus d'admirer les productions toujours si tre de Broadway épouse secrètement un gracieuses et si fraîches qu'elle présente jeune homme extrêmement riche. Mais, deux ou trois fois chaque arihée. Les deux , dans la crainte d'être déshérité, si son père films précédents de Maë Murray « Pea- apprend la nouvelle de son mariage, le cock Alley » et « Fascination » avaient jeune mari préfère abandonner la danseuse, fait des recettes fantastiques et tenu, pen- divorcer et faire un mariage de raison. La dant des semaines l'affiche du même éta- danseuse, qui s'est aperçue de son erreur, se blissement. Les immenses affiches multicôr remarie de son côté avec un de ses amis d'en- lores qui bariolaient de publicité tous les fance, qui n'a jamais cessé de l'aimer. » murs de Los-Angeles, nous avaient mon- Tel est le scénario très brièvement ré- tré l'artiste d'une façon on ne peut plus at- sumé de « Broadway Rose ». La mise en tractive. Et c'est pour cela que des centai- scène de Robert Léonard est parfaite en nes et des centaines de spectateurs atten- tous points et la photographie du film est daient le moment de pénétrer dans le vaste réellement supérieure. Les décors sont ma- cinéma-théâtre. gnifiques (dessinés par Maë Murray elle- La belle artiste, qui doit certainement même) et la grande étoile s'est encore sur- reporter sur moi la sympathie qu'elle a pour passée dans ce nouveau rôle qu'elle a inter- notre pays, m'avait invité à assister dans prété avec beaucoup de talent. sa loge à la représentation, ce qui n'était Or. comme le film venait de se terminer pas un petit honneur. Robert Léonard, le à l'écran, les spectateurs enthousiastes ma- mari de l'étoile avait offert un grand sou- nifestaient leur profonde admiration pour per à l'Ambassador's à l'occa ion de cette leur idole en applaudissant et en poussant première qui promettait d'être triomphale. d'interminables « Hourrahs », toujours A ce dîner assistaient outre M. Léonard dans l'obscurité. et Maë Murray : Earl William et Ma- A ce moment cinq énormes projecteurs dame, Frank Mayo et Dagmar Godowsky, convergeants leurs pinceaux lumineux vin- son épouse, notre dévoué photographe Paul rent nous frapper en plein visage dans la Ivano et votre serviteur. loge d'avant-scène que nous occupions. Le A huit heures nous quittâmes les Am- public voyant enfin l'étoile trépigna d en- bassador's pour nous rendre au « Low- thousiasme, et Maë dut alors se lever, en- Théâtre ». Pour échapper aux débor- voyer à la foule des fleurs et des baisers dantes manifestations de la foule enthou- et même faire un petit speech... Les spec- siaste, Maë jugea plus prudent d'entrer tateurs ayant aperçu dans la loge deux au- MAE MVRRAY, ROBERT LÉONARD, son mari et directeur, et ROBERT FLOREY dans le théâtre en passant par la « stage tre de leurs favoris, Earl Williams et à Santa-itonica où lu gracieuse artiste tourne « Coronation ». (Tnemagazîne—

Les scènes à enregistrer se passaient sur Toutes deux luttent avec ardeur et enthon les terrasses du Casino de Monte-Carlo. siasme, toutes deux rivalisent d'efforts. L Placé dans l'angle du caméra j'examinai Société du docteur Zuchs, la Viia, aclièv le champ qui pouvait parfaitement passer en CÎ moment un film d'une formule abso pour Monte-Carlo. Maë, assise dans une lument spéciale : Samson et Dalila ; l'an chaise roulante, avait une jambe entourée tre, la Sacha, vient de vendre, pour 1 de pansements, elle était censée avoit fait monde entier, une page magistrale : So quelques jours plus tôt une grave chute du- dame et Gomorrhe. rant les courses d'hydroplanes. Ces films, et bien d'autres, sont monté Près de Maë se tenait un autre passa- dans des studios dont vous ne pouvez pa ger de l'hydro, également contusionné et vous faire la moindre idée, avec tous I dans le back-ground enfin défilait la foule perfectionnements, loges d'artistes, cham montecarlienne. Pour « faire » la foule, le bres d'artistes, salles de bains... d'artistes régisseur de Léonard avait eu soin de sélec- salles à manger confortables. tionner tout ce que Los-Angeles compte de figurants cosmopolites. Ah ! comme nous voilà loin de Vincenne- Après avoir enregistré six fois la pre- ou de Montreuil ! Et j'ajoute que dans les dits studios on travaille nuit et jour, les ar- mière scène, le metteur en scène prit des close-up du visage de Maë Murray. En- tistes ne savent pas travailler « à la mati- suite l'on photographia une vue panora- née » ou à « la journée ». Le cachet mique des habitués du cercle. n existe pas et « tourner » est un métier et pas une occasion. Midi tintait à l'horloge du petit vil- lage de Santa-Monica. Les artistes de ciné se réunissent dans Je déjeunai de quelques sandwichs en un café qui s'appelle « Café du Film » et compagnie de Maë Murray et de Robe>t qui est situé à proximité des bureaux des Léonard et, quand on eut apporté le café, deux grandes sociétés de là-bas. j en profitai pour demander à Maë Mur- En vérité, je le dis, qu'on y prenne garde, ray la matière suffisante à remplir son pe- bientôt Vienne sera en matière de cinéma la Une scène de « Rêve de Seize ans » tit recensement artistique et sentimental, que Californie, lé Los Angelès de l'Europe. vous trouverez dans un numéro prochain. Qu'on y veille... Les Empires centraux UN NOUVEAU FILM DE MABEL NORMAND n'ont pas fini de nous jouer de mauvais ROBERT FLORE Y. tours. Nous possédons là-bas,, heureusement, iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiHiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiili RÊVE DE SEH1E AMÎ un déf enseur d'une activité inlassable en la pprsonhe de l'agent général de Pathé-Con- Malheureusement pour nos amoureux Danny sortium, M. Goldenweiser, qui s'attache J Es parents de Molly Dair, une adorable OQ fait aussi du Cinéma eu Autriche " jeune fille de seize ans, habitent l'un des Smith est lui-même au bal. et, en fiancé écon- à défendre et nos intérêts et notre produc- duit, il va prendre le rôle de justicier ! Aussi, tion avec un dévouemant incessant. Nous faubourçrs de New-York. Seize ans !... C'est l'âge pour marier une lorsque Molly veut regagner le foyer pater- lui devons beaucoup. nel au bras du Docteur Bryant, son père, fou N parle beaucoup depuis quelque fille !... Aussi, son père a-t-il trouvé le gendre Et c'est un peu pour cela que nous idéal en la personne de Danny Smith, compa- de colère, jette sa fille à la porte ! O temps en Franoe et à Paris du film Ce qui arrive ensuite, laissons au film le allemand. On ne dit pas un mot du film avons vu ces temps derniers Pierre Maro- gnon de labeur, qu'il invite presque chaque soir. Mais Molly n'a aucun penchant pour soin de vous le conter... Après mille péripé- autrichien. don, André Legrand, de Marsan, de Bois- Danny Smith !... Comme la plupart des jeunes ties, tout se termine enfin comme dans un riven s'en aller là-bas tourner des films fran- — Il y a du film autrichien ? Les Au- filles, elle s'est fait un idéal, et cet idéal res- conte de fées ! trichiens « tournent » ? çais. Qu'en ditzs-vous ? semble étrangement à un certain Docteur Comédie dramatique, indique le sous-titre. — S'ils tournent ! J'arrive de Vienne Bryant, jeune célibataire de la société New- Soit, mais une comédie n'est jamais terrible- et je demeure ébahi de ce que j'ai vu. Je Lucien DOUBLON. yorkaise, dont la fortune est colossale et dont ment dramatique quand sa protagoniste est la elle a vu la photographie dans un journal. joyeuse Mabel Normand. Vous trouverez donc crois m'y connaître un tant soit peu en dans Rcvc de Scicc ans, de la gaieté, du senti- matière cinématographique. Eh bien, ce que Un heureux concours de circonstances, et le Hasard, qui fait bien les choses, met Molly ment, en même temps que certaines scènes pal- j'ai constaté là-bas m'a épaté. sur le chemin du Docteur, et une douce amitié pitantes ; un aéroplane parti à la poursuite — Epaté ? mais alors ces gens-là n'ex- naît entre eux. d'un ballon, le survole, le pliote laisse pendre portent pas ? Nous ne connaissons rien Ceci est loin de plaire au papa Dair qui une échelle de corde, se laisse glisser le long- d'eux. S'ils tournaient réellement cela se "approuve certes pas que sa fille fréquente dès flancs du monstre, descend dans la cabine, saurait ! U'Almanacfi su Cinéma ] des Messieurs à chapeau haut-de-forme. sauve la jeune fille, et les deux amoureux... descendent en parachute ! L'impression de — Cela va se savoir. A Vienne mêmi, A quelque temps de là, le Docteur Bryant pour 1923 cette scène sera grande sur le public. deux puissantes compagnies travaillent sans organise un bal auquel Molly parvient à as- sister. L,es événements se succèdent si rapide- La photographie est remarquable, et il faut relâche. L'une est dirigée par le docteur paraîtra en Décembre j nient dans cette fête que Molly se trouve bien- noter la grâce et l'esprit avec lesquels tout Zuchs, l'autre par le Comité Colovrade. tôt dans les bras de son Prince Charmant. a été réalisé et interprété. 229 (pmagazine

Georgia. cependant, vit chez son étrange Le bal va se donner. Miles et Graham y ont protecteur. Elle ne sort que le soir et voilée : été, sournoisement attirés. Sally se rend éga- on l'a surnommée « La Belle de Nuit ». Elle lement à la cérémonie. Elle a appris le projet est inquiète et voudrait quitter la ville pour de Bill et est en train de le faire échouer. aller se marier au loin avec celui qu'elle aime, Elle n'y parvient pas ; dans une bagarre qui et puis elle a compris qu'O'Rourke avait jeté éclate, Jimmy est blessé. Par contv dans la les yeux sur elle. lutte engagée entre Graham et Mike, ce der- Sallv Monroe, jalouse de son amant, et nier a le dessous et, fait prisonnier, dévoile à ayant deviné la pureté de Georgia, a contribué la police les ressorts de l'Association. [à éveiller cette méfiance chez la jeune file. Mais Georgia a appris le crime inspiré par Steven Graham, poursuivant son enquête, O'Rourke. Décidée à venger Jimmy, elle se s'est rendu chez Mrs Rodman. Il a fait la con- rend au bal, et clame à la foule son mépris pour naissance de Mary, la sœur aînée, et s'en est O'Rourke, en révélant le rôle odieux que épris. joue cet homme, puis, comme elle tire un re- Cependant, Pierson, le greffier de Miles, a volver, c'est Sally qui s'en empare et châtie mis O'Rourke au courant des projets que la son amant. police trame contre lui. Ces soucis n'empê- Graham emmène Georgia évanouie chez sa chent d'ailleurs pas le chef des bandits de s'oc- mère qui lui pardonne. Elle y retrouve Jim- cuper des apprêts du grand bal annuel qu'il a my qui guérira et avec lequel elle pourra LES GRAND FILMS l'habitude de donner à toute sa clientèle de s'unir. Graham lui-même épousera Mary. » San Francisco. A ce bal, il ne danse qu'une fois avec la favorite qu'il élit pour l'année qui Lon Chaney est une des plus grandes ve- Le prince des Ténèbres vient. Il y a des scènes vives entre Sally et son dettes du monde entier. Sa création du rôle de amant. Sally. chassée, profère des menaces. Blizzard dans Satan fut et demeure inoublia- Pendant ce temps, la police a réussi à mettre T K5 Films Erka viennent de nous présenter bl. Il se contraignit, ail prix d'un véritable la main sur Garrison. contrebandier d'opium, r-* un film étrange où nous retrouvons ce Comme le drame s'est passé à la table des martyre, à dissimuler ses jambes repliées der- affilié des bandits, dont elle espère des rensei- curieux artiste qui a nom Lon Chaney. Voici jeunes gens, le chef des policemen emmène rière le dos et marcha sur des moignons arti- Jimmy et Georgia malgré l'intervention de gnements intéressants. O'Rourke vient de con- le scénario de cette œuvre, éditée en Amérique ficiels. par Goldwyn-Pictures : O'Rourke qui parait avoir une certaine in- cevoir un double plan : d'une part, faire dis- fluence sur les agents. paraître Graham en même temps que Garrison La figure de bandit de grande envergure de A San Francisco habite Mrs Rodman. mère sera enlevé. 11 annonce à Georgia sa liberté « Prince des Ténèbres » qu'il campe dans ce dévouée de deux jeunes filles, Mary l'aînée, Le lendemain, nous retrouvons Red en son, quartier général au premier étage au-dessus prochaine et. lui faisant cadeau d'une élé- dernier film, permet à ce remarquable artiste et Georgia, la cadette. Celle-ci s'est fiancée au d'un café et nous le voyons donner des ordres gante robe de soirée, il l'invite à son bal. Par de déployer toutes les facultés de son admira- jeune Jimmy, garçon honnête, mais trop con- ble talent. Sa stature, son visage énergique, ses fiant. pour que Jimmy Halloran soit immédiatement la même occasion il convoque Bill, grand dia- libéré sous caution. ble décidé, et lui ordonne de le débarrasser, yeux dominateurs, tout cet ensemble donne une Le soir du début de l'action, Jimmy et Geor- dès le soir même, de Jimmy. Black Mike se impression de force et de domination presque gia. après avoir été au théâtre vont souper A la même heure, après une nuit inquiète. Mrs Rodman lit un journal relatant le crime: chargera de Graham. magnétiques. au Geai Bleu, établissement dont la clientèle est très mêlée. 11 y a là un nommé Red de la veille et l'arrestation des deux fiancés. Quand Georgia rentre chez elle, elle est reçue O'Rourke. C'est le Roi des plaisirs clandes- par de si vifs reproches qu'elle quitte le domi- tins de San Francisco et le chef d'une vaste association de malfaiteurs. Il est attablé en cile maternel et va trouver son protecteur avec Georgia. O'Rourke leur offre et les persuade compagnie de Clancey, son dévoué lieutenant, de se cacher chez lui en attendant que l'affaire et de Sally Monroe, sa favorite du moment, soit éclaircic. L'offre est acceptée. qui en est follement éprise. Il se trouve qti'O'Rourke connaît Jimmy. auquel il a pro- Un mois plus tard. Miles, officier de police, s'entretient dans son cabinet avec Steven curé sa place actuelle. Jimmy a de l'amitié Graham, assistant de l'attorney du district pour son bienfaiteur dont il ignore la vie té- nébreuse. Les deux hommes lisent les journaux dans lesquels il est parlé du nombre, de plus en L'on voit que la beauté de Georgia a fait plus grand, de crimes impunis commis dans la une impression profonde sur le bandit. ville. Steven Graham est d'avis qu'il faut en En cet instant, la porte s'ouvre ; entre un finir avec cet O'Rourke et trouver un chef individu louche traqué par la police qui va de- définitif d'inculpation contre lui. Plusieurs jeu- mander conseil à son maitre. O'Rourke l'écon- nes filles ont disparu : il doit être l'auteur ou duit brutalement et l'envoie s'asseoir à la ta- l'instigateur de ces rapts ; Georgia est du ble de Jimmy. Cependant, les policemen sont nombre. Steven Graham va partir à sa re- entrés. Une bagarre éclate : un des policiers cherche. Cette conversation est surprise par s'écroule et, profitant du tumulte, l'individu s'échappe. Pierson. le greffier de Miles, personnage lou- che, vendu à O'Rourke. T X CONCOURS DE Les Billets de " Cinémafrazine " X X Qncmagazine Quanfl nos Brands Artistes étaient petits DEUX PLACES (3e Série) I à Tarif réduit | | Valables du 17 au 23 Novembre 1922 f — y t r.F BILLET NE PEUT ÊTR" VENDU En aucun cas il ne pourra être perçu y avec ce billet une somme supérieure *>' Règlement X " à 1 fr.75 par place pour tous droits. du Détacher ce coupon et le présenter dans l'un des établissements ci-dessous où il sera Concours Detacner ^ ^ spécialement indiqués pour chacun d eux.

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< 9 Il me semble que c'est bien »«IIIIIIII1IIIIII1I1III1IIIIIII1I1IIIIIIII1III11IIII|I1|||IIIII1III1II1I1I1IIIIIII1II1IIJIII1IIIIIIII1I1IIIIJIII S ce que l'on peut appeler un spectacle de... famille !... 233 (jnémagazine

Les généraux fidèles à Théodora domi- rique. C'est un spectacle où rien ne figure nent la révolte, mais Andréas est blessé, on qui n'ait été minutieusement contrôlé. Théo- le transporte dans l'antre d'une magicienne dora y est rendue dans son étonnant relief. qui avait protégé l'enfance de Théodora et Ses contrastes de grandeur et de bassesse, lui avait prédit les étapes de ■■plendeur. d'intelligence et de débauche, d'amour et L'Impératrice, n'ayant pas oublié l'ensorce- de félonie passionneront le public qui trou- leuse de jadis, s'est rendue également chez vera aussi un vif intérêt à la lutte des deux elle pour obtenir un philtre qui lui permette factions de Byzance : les Bleus et les Verts, de reconquérir l'amour de Justinien. An- comme on les appelait en raison de la cou- dréas l'ayant aperçue, la maudit, Théodora leur de leurs casaques. subrepticement fait boire le philtre à l'amant Justinien, c'est le règne de la tyrannie toujours chéri ; mais il se trouve qu'il exercé par Théodora, mais c'est aussi les vic- contenait un subtil poison que la vieille times de Bélisaire sur les Goths d'Italie, les femme avait préparé pour tuer Justinien afin Vandales d'Afrique, et les Perses. de venger un de ses fils justicié par l'Em- L'épopée byzantine transposée à l'écran pereur. Andréas agonise dans d'atroces constitue un joyau de haut prix, et tout le souffrances, sans pardonner à celle qui monde voudra voir revivre cette époque causa son malheur et celui de ses amis. prodigieuse. Sur ces entrefaites, Justinien s'étant as- On conçoit ce qu'un tel drame peut ren- juré de la trahison de son épouso, donne dre au cinéma. C'est l'époque recons- l'ordre de la livrer au bourreau. Théodora tituée par un metteur en scène qui a en- offre à celui-ci son visage tout en pleurs, trepris l'une des tâches les plus lourdes et mais sans une défaillance de son corps ; au l'a menée à la réussite éblouissante. Théo- moment où la corde va l'étrangler, elle se dora obtiendra à l'écran le succès qu'elle penche et meurt sur le cadavre d'Andréas. obtint au théâtre sans parler des deux ou Les épisodes de ce grand film se dérou- trois romanciers de génie qui prestigieuse- lent conformément à la stricte vérité histo- ment traitèrent ce grand sujet. UNE GRANDIOSE PRODUCTION

THÉODORE

' HT HÉODORA : ces quatre syllabes sonores l'empereur de souiller la pourpre dont il évoquent l'amour et la beauté. Théo- l'a revêtue, apaise la colère de Justinien en dora, c'est l'ancienne courtisane parvenue au lui dévoilant le secret. Andréas réussit à faîte de la gloire. C'est l'épouse de l'Em- s'enfuir), grâce aux soins occultes de Théo- pereur Justinien, le juriste. Nous sommes dora ; mais l'un de ses amis, Marcel, est e au VI siècle. Byzance est partagée en deux arrêté et soumis à la torture. Il va proférer factions : les Bleus et les Verts. Justinien le nom de son complice, lorsque Théodora a pris parti pour les premiers. Théodora, si qui assistait au châtiment le tue endormi. elle porte le diadème impérial, n'a mis au- La haine populaire est portée à son paroxys- cun frein à ses débauches. Elle rencontre au me du fait de ce meurtre. Andréas ignore cours de ses rondes amoureuses, un jeune toujours que le sang impérial coule dans les Grec, Andréas, riche et d'une prestance su- veines de Myrta, mais il jure de venger la perbe. Elle ne tarde pas à s'en éprendre, et mort de son ami sur l'Empereur et son elle se fait passer à ses yeux pour la veuve épouse tyrannique et perverse. d'un fonctionnaire du palais sacré. Elle dit La sédition éclate dans l'hippodrome- s'appeler Myrta. Mais son amant n'était pas L'Empereur, sous l'hostilité du peuple, doit qu'un amateur de plaisirs. Il réunit quelques se réfugier dans son palais. Il songe à la uns de ses compagnons, dans sa villa des fuite ; Théodora, au contraire, lui con- Proponètides, et là se prépare un complot seille de résister. Déployant un courage égal contre Justinien, auquel on reproche d'être à sa luxure, elle apparaît dans l'hippodrome par trop asservi à sa femme. L'amour incli- où le peuple, en furie, s'est barricadé. An- nant aux confidences, Andréas révèle le com- dréas reconnaît maintenant la félonie de sa Clîïhés Giiutnont plot à l'Impéria. Théodora, accusée par maîtresse et sa véritable identité. jlidi où il doit faire son voyage de flottant,tel qu'a pu le concevoir Tristan Bernard. Disons, en passant, qu'Henri Debain, venu noces- , , . , „ Cela devient un cas de force majeure ! Un à l'écran en 1019 seulement, est né en 1886. ne peut pas se marier en peignoir de bain ! On désirait faire de lui un orfèvre, mais il Tel n'est pas cependant l'avis de la baronne Pépin, ni celui de Boucherot. Ils composeront à Triplepatte un accoutremei.t qui dans son genre aira tout de même un certain chic. Tri- plepatte a là un petit pyjama qui n'est pas mal du. tout... - Evidemment l'entrée à la mairie produit une certaine sensation. Le maire toise Triplepatte d'un regard plutôt sévère, et pose les ques- tions d'usage. Mais ces événements n'ont pas guéri Triplepatte ! Lorsqu'on lui demande s'i veut prendre pour épouse Yvonne Herbelier, il demande à réfléchir encore un petit peu.- Puis s'esquive prestement... Il a si p'-ur qu'on le rattrape qu'il s'enfuit jusque dans le Midi où il retrouvera ses bagages. Ah ! ce séjour dans le midi, quel enchante- ment ! La vie est belle... Elle va devenir plus belle encore, car le hasard fait bien les choses. La famille Herbelier elle aussi, suivie de la redoutable baronne, débarque dans cè coin paisible. Pour éviter des rencontres «nantis. Triplepatte est alors obligé de se livrer à un jeu Mé RAYMOND BERNARD. de cache-cache qui finira le mieux du monde. Il se trouvera un jour face à face avec une jeune fille qu'il n'avait encore jamais re- gardée, bien qu'il eût été fiancé {Films Tristan Bernard, avec elle. Yvonne et Triplepatte auront tôt fait de se connaître et 'EST un gros, un très gros succès que la de se plaire, personne n'étant Robert de Houdan, incapable de prendre C Société des Films Tristan Bernard enre- là pour les y forcer. Et tout naturellement lui-même une décision, a été, par ses amis, sur- gistre avec Triplepatte. ils s'apercevront que le meilleur moyen pour nommé « Triplepatte », du nom de son che- Brillamment mise en scène par Raymond val de course qui ne se résout jamais à sauter eux d'échapper aux suggestions de la baronne Bernard, (fils de l'auteur), interprétée de façon et de Boucherot, serait peut-être qu'ils se ma- les obstacles. La baronne Pépin s'est mise en impeccable, l'adaptation de la spirituelle co- tête de marier Triplepatte. Elle veut le présen- rient ensemble. médie enlèvera sans aucun doute le suffrage Cette solution leur semble une trouvaille ter à Yvonne Herbelier, riche héritière dont de tous les publics. les parents seraient ravis d'avoir, par cette merveilleuse, et c'est remplis de bonheur qu'ils Non seulement les amusantes scènes du union, accès dans le cercle si fermé de la haute l'annonceront, à la grande stupéfaction, mais Triplepatte (théâtre) ont gardé à l'écran toute société du faubourg Saint-Germain. Un allié à la joie de tous. leur saveur, mais l'adaptateur leur a ajouté inattendu s'offre à la baronne : l'usurier Bou- Triplepatte a sauté l'obstacle ! quantité de traits comiques et de trouvailles cherot qui a prêté 600.000 francs à Robert de inattendues d'une drôlerie inouïe. Nous con- L'interprétation, je l'ai dit plus haut, est Houdan. En cette importante circonstance, naissions de longtemps le talent de Raymond parfaite en tous points. Une délicieuse ingénue. Triplepatte comme d'habitude, n'a pu se ré- Bernard, metteur en scène ; comme humo- Edith Jehanne, tient le rôle d'Yvonne avec fi- soudre à prendre une décision. Les gens qui riste, nous savons maintenant qu'il continue di- nesse et fraîcheur ; Jeanne Loury, l'entourent ont donc agi pour lui. Mais, une gnement son père, car il sait, comme lui, ex- avec un entrain inlassable, campe <7'n heure avant la cérémonie du mariage, Triple- t- vue/mi térioriser son esprit. une baronne Pépin d'une cocasse- patte est chez lui, plus irrésolu que jamais. rie extravagante ; Mme Ahmar, Pour ceux qui n'ont pu voir la pièce, je ré- Cependant, harcelé par Boucherot, Triple- sumerai brièvement le scénario. est une nouvelle riche empa- patte se décide à sortir de son lit. Il arrivera nachée, pleine de drôlerie et d'à-propos. Parmi sut marquer sa volonté en imposant ses goûts M. de Houdan et M. de Crèvecceur qui un peu en retard sans doute, mais enfin... il les hommes, Palau — artiste que l'on regrette à sa famille qui le laissa se tourner vers les s'étaient jadis mariés le même jour, avaient arrivera. fort de ne pas voir plus souvent à l'écran — arts. Après avoir fait du dessin de style, du des- pris un engagement solennel : le premier fils Mais, Mme de Crèvecceur fait irruption de l'un devrait épouser la première fille de est un Boucherot inénarrable ; Numès tient le sin ornemental, avoir exposé plusieurs années chez Triplepatte avec sa fille Irène et le somme l'autre. rôle du père avec la simplicité et le talent durant au Salon des humoristes, et s'y être fait d'exécuter les serments ancestraux. Pour être Trente-cinq ans plus tard : le premier fils Qu'on lui connaît. Enfin, il y a Debain, qui est remarqué par des caricatures typiques, il fut, certaine que Triplepatte n'ira pas à la mairie, bien l'artiste le plus « public » que nous possé- comme tant d'autres, attiré par le cinéma. de Houdan, le vicomte Robert, trente-quatre elle pousse la précaution jusqu'à emporter ses ans, la première fille de Crèvecceur, Irène, six dons, et qui a réussi à composer un Robert Sans y être autrement préparé, il accepta vêtements de cérémonie, les seuls qui lui res- ans ! ue Houdan, viveur au caractère indécis èt la proposition que lui fit Raymond Bernard et tent, car il a expédié tous les autres dans le Qnémaaazine

tint, dans Le Petit Café, le rôle du plongeur. petites comédies et se révéla bientôt avec le ■ Résurrection Ces débuts modestes décidèrent de son sort. Il Petit Café. Puis il filma Le Secret de Rosette Ce nouveau film de Marcel L'Herbier, sera, incarna son personnage avec tant de verve co- Lambert et, affirmant chaque jour sa maîtrise, tourné à Paris et en Pologne. Parmi les per- mique, que le jeune metteur en scène décida sonnalités qui ont déjà accepté un rôle dans il nous donna l'année dernière La maison vide. cette œuvre, nous pouvons citer : S. A. Im- de garder pour lui seul ce remarquable artiste. Aujourd'hui, enfin, c'est Triplepatte, bande qui périale, la Princesse Ouroussof et le prince Ni- Après Le Petit Café, il lui fit tenir le rôle de est certainement un des meilleurs échantillons Kita Troubotskoï. Un prince roumain paraîtrait aussi à leurs côtés. En acceptant de « toqrner x Janvier dans Le Secret de Rosette Lambert ; de l'esprit français mis au service de l'écran. celui de Lebéchut dans La Maison vide. Puis, ces personnalités répètent le geste d'une grande Je terminerai en disant que Raymond Ber- Diane Anglaise, Lady Diana Manners, vedette on filma Triplepatte qui précède Le Costaud de la «. Glorieuse Aventure », le geste aussi des Epinettes. nard a déjà tourné pour la Société des Films du Duc de Sutherland, signant un contrat Tristan Bernard, deux films d'une série dont LIBRES-PROPOS Né en octobre 1801, Raymond Bernard est avec un metteur en scène britannique. le principal interprète est l'inoubliable Plan- l'un de nos plus jeunes réalisateurs. Ayant le chet des Trois Mousquetaires, et qu'il achève Partant pour... l'Amérique don du théâtre et de la mise en scène, il fut de actuellement la mise au point du Costaud des l veux bien que l'on me fasse pleurer. Le transatlantique La France vient d'empor- très bonne heure séduit, attiré par le cinéma ter vers l'Amérique Charles de Rochefort en- Epinettes, qu'il ne tardera pas à nous montrer Même, si la simplicité magnifique d'une et il résolut de s'y consacrer uniquement. Il gagé pour tourner les « jeunes premiers la- scène m'a remué profondément, j'en rends tins » devant l'objectif américain. Une récep- entra chez Gaumont pour tourner une série de A. de B. grâce à l'auteur responsable, au poète de tion cinégraphique lui est préparée en Améri- l'écran qui, avec des paysages, des sentiments, que où déjà des éditions spéciales annoncent ses titres de noblesse, ses goûts gastronomi- ies hommes et des bêtes, a pu atteindre le tré- ques, le nombre de ses cravates. Pour être LA PREMIÈRE DE une bonne oeuvre, puisque cette solennité fonds de mon être. Et je suis ému aussi au vraiment prothète, il faut sortir quelquefois de spectacle de drames vrais, dont le pathétique son pays. s'est donnée au bénéfice des Aveugles de la n'a pas été combiné, par exemple, à celui des Guerre. Une bonne nouvelle " VINGT ANS APRÈS " Esquimaux s'abritant avec peine, tandis que, La Société des Etablissements Gaumont vient Le public innombrable qui se passionna faute de place, leurs chiens subissent la tour- d'acquérir pour la France et ses Colonies, Bel- gique et ses Colonies, et la Suisse, ies droits 'EST dans le cadre somptueux du Théâ- pour Les Trois Mousquetaires, retrouvera, mente meurtrière. Et la joie noblement expri- mée peut aussi me toucher de même que la exclusifs d'exj)loitation du quatrième film exé- C tre des Champs Elysées, qu.- l'on a dans Vingt Ans Après, avec un intérêt en- cuté par Jackie Coogan. core accru par une technique plus souple et tendresse, à condition que je puisse croire à leur Ce film, qui obtient déjà à New-York un présenté devant le Tout-Paris, les cinq pre- succès triomphal et qui est édité en Amérique plus savante, ses héros favoris, avec la plu- sincérité. Mais, si l'on m'exhibe à plaisir des miers chapitres de Vingt Ans Après. malheurs accumulés, et que je sente une vo- sous le nom de « Trouble », connaîtra cer- tainement le même succès que ses ainés. Disons tout de suite que cette magnifique part des interprètes du premier film. Quel- lonté de m'attendrir par des procédés, si l'on représentation fut un véritable triomphe pour ques nouveaux venus ont apporté à Dia- veut me prendre en traître, spéculer sur la Enquête Henri Diamant-Berger, pour ses interprètes mant-Berger la contribution d'un talent qui corde sensible, décrire complaisamment et mé- M. René Jeanne, organise dans Le Petit Jour- caniquement des infortunes morales et physi- nal une enquête sur la Censure. Voici les ques- et pour Pathé Consortium. Ce fut encore s'affirme avec une maîtrise telle qu'elle fait tions qu'il a soumises à différentes personna- honneur à la clairvoyance de l'heureux met- ques, alors je me révolte, j'éprouve l'impres- lités cinégraphiques : teur en scène : Yonnel, à qui revenait la sion qu'on veut me voler des larmes. C'est un 1° Le cinéma doit-il être soumis à une cen- méfait, je ne marche pas. sure dont sont dispensées les œuvres litté- périlleuse tâche de succéder à Aimé Simon- raires, théâtrales ou plastiques ? Girard dans le rôle de d'Artagnan, Mar- LUCIEN WAHL. 2» Si oui, pour quelles raisons ? ;ΰ Quels moyens préconisez-vous .pour obte- guerite Moreno qui incarne supérieurement nir, si vous la jugez souhaitable, la suppres- Anne d'Autriche, Jean Périer transfuge de notre Concours de Jeunes Premiers sion de la censure '? Le jury achève le dépouillement des bulle- 4° Si vous jugez que la censure ne doive ou l'Opéra-Comique, qui s'est mué en un très tins, qui nous sont parvenus. Plus de 20.000 ne puisse pas être supprimée, ne pensez-vous véridique Mazarin, Jean Daragon (de Beau- lecteurs ont pris part à notre concours, et, pas que le fonctionnement en pourrait être sans qu'aucun résultat définitif puisse être pu- meilleur (par exemple en la confiant davantage fort) , Janvier (Condé), Charlier (Brous- blié, nous pouvons déjà donner le nom des à des artistes et moins à des fonctionnaires) sel) , Mmes Jane Pierly (Henriette de grands favoris, qui, pour le moment arrivent et en ce cas quelles modifications souhaiteriez- en tête de liste : vous voir apporter au statut qui régit les rap- France), Simone Vaudry, si touchante en Georges Youcca Fernand Fontannes ports cinématographistes avec la Commission Henriette d'Angleterre, Denise Legeay, si Haphuël Liévin René Junod d'examen des lilms ? 1 André France Carlo Mathioli Faire parvenir les réponses à M. René-Jeanne, gracieuse en Duchesse de Long eville, gen- Serge Mischkind- Thony Bel chef de la rubrique cinématographique du tille Sorelle, Bretty, Marthe Vinot, Chris- Ralph Royce Petit Journal, Cl, rue Lafayette, à Paris. tiane Favier, tous et toutes ont participe Nous prions ces concurrents de vouloir bien nous faire savoir, si, le cas échéant, il leur On tourne... on va tourner avec tout leur talent à la réussite de cette sera possible d'être à Paris dans quelques — Le film que Louis Nalpas a tiré de Vi- belle œuvre que, pour notre part, nous con- jours afin de prendre part à l'épreuve déflni- docq a changé de titre. Définitivement il s'in- t've devant le Jury réuni au studio Film d'Art. titulera Manon-la-Blonde, dont le personnage sidérons comme très supérieure aux Trois principal sera interprété j)ar Elmire Vautier. A l'Épreuve du Feu côté d'elle les rôles importants ont été dis- Mousquetaires. tribués à Rachel Devirys et André Navarre. Pierre de Guingand, Henri Rollan et Le 1" décembre sortira le film tant admiré, La mise en scène sera faite par Jean Kemm as- lors de sa présentation : « L'Epreuve du Feu ». sisté de Duverger et Guichard opérateurs. Martinelli, à qui les années n'ont pas pesé Un ni m de Victor Sjostrom, le maître sué- — M. Mosjoukine tourne, au studio de Mon- trop lourdement, nous parurent également dois, est toujours attendu avec curiosité, et sa treuil, /.e Brasier ardent, film dont il est à la dernière production, interprétée par Ivan fois l'auteur, le metteur en scène et le princi- mieux encore dans la peau de leurs person- tledquïst, est réellement remarquable. Mis en pal interprète. Mme Lissenko en est la vedette scène avec une réelle maîtrise, L'Epreuve du nages si sympathiques. 11 féminine. y' ' tire d'un scénario spécialement écrit par — On vient d'adajjter à l'écran l'œuvre fa- La semaine prochaine Lucien Doublon; 1 Hjalinar Bergman, nous transporte dans le meuse de Fenimore Cooper : Le dernier des vous dira plus longuement tout le bien qu il milieu de la bourgeoisie de la Renaissance. Les Mohicans. intérieurs, costumes, maison et jardins sont — Mlle Marthe Lenclud interprétera le rôle convient de oenser de ce grand film qui vient 1 une vérité saisissante et se distinguent par de Marguerite de Bourgogne dans La Tour de d'enrichir l'écran français d'une production "ne photographie impeccable. C'est, en résumé, Nesle, que l'on tourne en ce moment à "n spectacle grandiose, d'une puissante émo- Vienne. inoubliable. u°n, auquel nous convieront bientôt les Eta- LYNX. M. HENRI DIAMANT-BERGER. JEAN PASCAL. blissements Gaumont. (incmagazine — —— -(jnemagazine LES FILMS DE LA SEMAINE habitués, suivent ce film avec intérêt. ski. Nous montons jusqu'aux plus hauts som- H y a ici quelque chose de nouveau ou mets hivernaux des Alpes, dans cet empire lutôt un essai. Peut-être un sommet pas de beautés inconnues, pour vous montrer des été faite, quelque chose de nouveau que ucore vu et une atmosphère, un air de mon- hommes qui savent dominer ces hauteurs al- GAUMONT j l'on confonde encore avec le vieux, parce que ce n'est pas encore connu. Mais comment peut-il y avoir encore du A L'ASSAUT DES ALPES AVEC LE SK! neuf dans la branche du Cinéma ? Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Dans "C* N raison de l'importance exceptionnelle une ville de Rhénanie le public s'arrête de ce magnifique documentaire, il tous les soirs devant un oinéma. nous faut revenir sur ce film de la Nature Dans ce cinéma on a osé timidement qui doit passer pendant plus d'une heure louer « un film de la natur- » qui tourne sur l'écran. pendant une heure et quait ; voici une af- Les interprètes ne sont pas des artistes, fiche : La Merveille du Ski, et des images; mais des sportsmen... des sportsmen renom- personne n'a été assassiné et aucune femme més, mais rien que des sportsmen ? n'a été séduite. Cela c'est douteux ! doit se dire chaque Il aurait dû être projeté une fois par soi- directeur de Cinéma. Il sait bien que son rée et voici qu'il roule quatre fois et six fois public veut de la distraction, de la sensa- en matinée et soirée. Et la salle est bondée. tion, du dramatique, etc.. De tous les environs, de toute la contrée Le public se laissera-t-il ennuyer avec des on se déplace pour venir voir ce film de images de la nature et des leçons de sports i> la nature. Et le directeur du cinéma a raison, parce Parmi les habitués on remarque beaucoup qu'il parle par expérience), et l'expérience de figures étrangères. Avez-vous une idée du ne se contredit pas. nombre des clients qui sont fatigués de voir Il faudrait qu'il arrivât quelque chose de Le Colen ou Madame Dubarry. nouveau avec lequel aucune expérience n'a Et ils sont venus tous, ceux qui, avec

agnes que vous n avez pas encore respire, pines glaciales. Nous avons passé des mois iu cinéma, et que peu d'entre vous connais- dans des chaumières glacées afin de pou- sent. Et ceux qui les connaissent ne les ou- voir épier les beautés secrètes de ces hautes blieront pas. montagnes. C'est dans la tempête et le froid, Pas de sensations fortes, pas d'autos sur- au milieu de dangers indescriptibles, que ce volant des précipice., ni de trains de che- film est né. Grelottant et claquant des min de fer sur des ponts qui sautent, et qui dents devant l'appareil, mais avec la téna- vous font vous demander comment ce truc a cité de tous les coopérateurs, car la dernière bien pu se faire et combien a pu coûter phase du film demandait un effort extrême, cette prise de vue. nous avons réussi à accomplir une œuvre Nous vous apportons quelque chose de extraordinaire. nouveau dans la sensation ; nouveau parce Par un petit aperçu, il vous sera démon- que c'est vrai. tré ce qu'on peut faire avec ces longues C'est un miracle que nous vous faisons planches. Cette explication est utile afin de vpir des hautes altitudes, d'un empire qui pouvoir comprendre ce qui va venir. 1 est accessible qu'à un nombre très restreint. L'apprenti commence avec ces gestes co- C est l'hiver que nous voulons vous mon- miques et inimitables. Alors vous observerez te, ainsi que sa domination par l'homme, comment on marche dans la plaine et com- ruisque l'homme a réussi à vaincre l'hiver ment on pratique la montée, la descente en Sjace à une invention géniale : une paire de ligne droite et par course ainsi que par bonds. planches, dont les bouts sont recourbés : le On construit la butte pour les sauts, qui Qnemagazine ~~~~~~~ (Tnémagazine , j mari et décide de s'en rendre ma' dirais presque de raison qui termine la plu- commencent par être de 1 0 à 15 mitres pour éyentré quelques coffres-forts, Tcd, ayant rc ce son ^'c Pourfour y arriver,arrivai, eueelle tentenmv uv.de verserV^.JV un part des films. montrer finalement, par des bonds d'une la lettre d'un notaire de Dodson-City, en Ka (S U cotique dans le verre de Barston. Ce der- Dans Le Lac d'Argent, la charmante Mo- sas, qui l'avisait de l'héritage d'un oncle, pa quarantaine de mètres, ce que peut produire la surprend. En voulant s'échapper, elle nique — 1' « enfant du Lac » ainsi qu'on l'a pour ce pays où il hérite d'un journal.' d'i r la force et la témérité humaine. te par une fenêtre, igno- terrain et de 87 dollars 7 5 cents ! ]_,' « Hebdi Nous avons maintenant une idée de ce I qu'au-dessous se trouve Gazette » de Dodson, dont Tcd est deven que l'on peut faire avec ces longues rivière... Barston vole directeur-propriétaire, avait pour secrétaire 1 t ion secours. Tandis qu'il planches. la rédaction la charmante Miss Alice Wai nsporte la jeune femme Après cette introduction nous commen- qui devient vite la meilleure amie du journ; Manoir, son portefeuille cerons par un tour de ski de la vallée aux liste. Mais, le premier article de cclui-i sommets alpins immenses. assassine la' Gazette dès son essor : trop [rai ssc de sa poche. Hclen trouve le lendemain ma- Connaissez-vous les secrets de cette forêt che politique ! Et pourtant, Tcd avait bk enterrée sous la neige ? l'intention de vivre honnêtement, régénéré ni l'Amour... « cage » du cœur ! Tant pis ! Ét, au moment où James rs'ton se déclare décidé Nous quittons les derniers sapins pour va falloir recourir encore à des expédients ! reprendre son papier, grimper à travers des vallées rocheuses et Alors, Ted et Tom, son ancien ami de nr tien le fait appeler et lui désertes. Altitude : 3.000 mètres ! son, avec la complicité momentanée du canli nonce qu'étant mainte- Tout commence à briller autour de nous rade Bob, vont feindre le lancement d'un ut convaincue qu'il est le grosse entreprise pétrolifère sur le terrai et nous apercevons les régions des hautes ul héritier de Gérald légué par l'oncle Jeff !... Tout est mervcil montagnes, les glaces éternelles. rston, elle va quitter leusement combiné : les Actionnaires aboiL Entourée de glaciers, bâtie fièrement sur ngleterre pour retourner dent... il ne manque que le pétrole ! Au mtj un rocher, se trouve la petite hutte du Club. nient où nos aventuriers sont sur le point d Australie. Après son départ. Bars- La vie est dure là-haut en hiver. fuir avec leur butin, l'image de la douce Mic II éprouve une grande Mais celui qui n'a eu le plaisir d'admi- attendrit le cœur de Ted. Hélas ! il n'y a plu élancolic: le Manoir n'est rer une fois un coucher de soleil au-dessus de temps à perdre, il faut filer quand mêmet vite.. autrement ils seront remis « c n pour lui, sans la pré- de la mer, des nuages et qui a passé uns ce d'Helen. Il la rejoint cage » ! Pendant que les deux lascar nuit dans ces hauteurs où les masses de nua- bord du bateau et la sup- se sauvent à travers champ pour gagner 1 Une scène de « Possession » ges surgissent par dessus les ro'clixs, ne peut gare voisine, après maints coups de sonde imi 1 de revenir au Manoir, plus quitter ces endroits. tiles le pétrole jaillit à flots sur le terrain i Ile fois comme si femme. Et j'ai envié le sort de James, puisque le surnommée — sur le point de s'unir à celui Le matin rayonne de nouveau en pleine l'oncle ! Les plus attrapés sont donc les attra le d'Helen est tenu par la charmante Ethel qu'elle aime, apprend que son amour est fatal. clarté. La petite équipe courageuse s'avance peurs qui, se croyant poursuivis, se voient ov; Elle s'enfuit, est rejointe par son fiancé, et donnés ! ayton. ver? le royaume des glaciers. Les immenses celui-ci veut la ramener vers la ville. Mais le crevasses insondables et les grands précipi- Devenus les « huiles » du pays, leur vieil) lac attire Monique : elle s'y précipite, entrai- ces qui entravent leur avance sont détournés fond d'honnêteté reprend le dessus : ils se ma Etablissements Weill j nant dans sa chute le jeune homme. Et les rient tous deux, Tom épousant la tant eaux se referment sur eux... et des ponts de neige sont traversés pru- d'Alica Ted, sous un délicat-prétexte d'hon L'HABITUÉ DU VENDREDI. demment. neùr, tient absolument à partir pour six mois,, LEUR DE GIVRE. — Excellente et peu Un vent glacial souffle dans ces hauteurs finir son « temps ». Mais il n'aspire qu'à soi banale, cette comédie sort de l'ordinaire s scènes sont bien disposées, l'intrigue bien et la descente se pratique à travers un chaos heureux retour dans sa nouvelle « cage t LES CONFÉRENCES DES " AMIS DU CINÉMA " de blocs de glace et de neige à une vitesse neuve et dorée ! w et l'interprétation parfaite. Vivant au Canada, Frank Armour, déçu r A prochaine conférence de l'Associa- vertigineuse. Là où la descente paraît dan- apprendre- que sa fiancée convole avec un POSSESSION. — Ici, nous assistons à la tion des Amis du Cinéma sera don- gereuse, l'allure est ralentie subitement, une Ire, et persuadé que ce revirement est dû * lutte faite autour d'un héritage et poui née dans la grande salle des Fêtes de la auto culbuterait au premier essai. Et la des- ses parents, imagine une vengeance à sa entrer en sa possession, La donnée du film es mairie du IX0 arrondissement, rue Drouot, ton. Il épouse une jeune Indienne, Nyla, dite cente continue à la vitesse d'un rapide, vers spirituelle et l'intrigue bien menée. r Heur-de-('livre » qu'il expédie à sa famille. (l° étage) le samedi 25 novembre à les régions plus douces et les maisons habi- Helcn Barston veuve de James Barston, cou Mais, Fleur-de-Givrc, très intelligente, s'est 20 h. 45, par M. COLLETTE, Membre de tées, par des courbes élégantes, contournant reur d'aventures, lit dans les journaux une an île adaptée aux mœurs européennes et aux la Commission exlra-parlemeniaire du Ci- les arbres, dans une belle soirée d'hiver... nonce demandant des renseignements sur » «■ses du monde, voire du meilleur monde, nommé James Barston, seul héritier de Gerak néma, sur LE CINÉMA DOCUMENTAIRE. Voici la merveille du Ski ! I. quand Frank, quelques années plus tard,, Mortimcr Barston, possédant d'immenses pro Des projections du plus haut intérêt accom- Ce film est un essai, il se pose devant vous décide à venir voir sa femme, il n'a plus priétés à Silvergate, dans le Comté de Sur pagneront la conférence. comme une question. «un désir : rester près d'elle. C'est ce qu'il rey, en Angleterre. Venue en Angleterre, cil Le samedi 1 6 décembre, à l'amphithéâ- !|l pour notre grande satisfaction. est mise en possession du Manoir et de^ se tre Richelieu de la Sorbonne, M. Diamant- dépendances bien qu'elle n'ait pu produire 1 acti Berger parlera du film historique, et indi- de naissance de son défunt mari. Les homme! Grandes Productions Cinématographiques, quera de quelle manière il mit en scène Les de loi ont cependant réservé les droits du autre héritier éventuel. Trois Mousquetaires et Vingt Ans Après. Un jour, un cousin de son mari, James Bars- E LAC D'ARGENT. — Voici un drame La plupart des artistes ayant tourné ces TED EN CAGE ! — Je me suis beaucoup ton, vient lui déclarer qu'il est le seul héritier : intéressant. Peut-être que la fin brutale bandes, assisteront à la conférence qui pro- ~ amusé pendant la projection de ce film. Suera les amateurs d'histoires classiques : ses papiers lui ont été volés autrefois Lactc met d'être des plus curieuses. C'est une histoire de brigands peut-être, mais de naissance qu'il montre, ébranle la conviction K héros n'atteignant point le bonheur auquel de brigands sympathiques. ls Nous engageons très vivement nos Abon- d'Helen, pourtant, persuadée que le droit est aspiraient. Pour moi, cette fin, malgré ce Après s'être évadé de la prison où il devait "elle a de décevant, m'a ravi. Cela nous nés, les Amis du Cinéma, et leurs famil- de son côté — possession vaut titre — elle ac- rester en « cage », six mois encore pour avoir les, à assister à ces réunions. cuse Barston d'avoir dérobé cet acte de nais- «ige un peu du mariage obligatoire ■— je (jnemagazine-

y E NOËL DU PERE LATHUILE. - , des orphelins. Il s'en évade, pour être, Les Films que Ton verra prochainemeJ L ,ôt repris.- Adopté enfin par un plom- Une bonne production que bien des écrans f„m a le tort .de trop aimer la dive bou- se disputeront à la fin de l'année. C'est l'his- q Danny sera plombier, et quel plom- toire d'un pauvre homme qui, pour avoir « chi- Agence Générale Cinématographique t I PHOCBA 'ENIGMATIQUE GENTLEMAN. _ — f A PISTE DE L'EPERVIER. - Un L Comédie mystérieuse bâtie sur un scéna- *-* man-cinéma en i2 épisodes, dont le prii rio plein d'imprévu. pal interprète est un inconnu pour noi 1 Gladys mal mariée, gémit sur son sort, en King Baggott. Remercions la Phocéa de n compagnie de celui qu'elle préfère, Georges le présenter puisqu'il est excellent. Stanton. Pendant cette idylle un vol est com- Quant au scénario, c'est celui des cil mis au préjudice du mari de Gladys, et, natu- romans, avec ses aventures, ses détectives, I rellement, on accuse Stanton. criminels, ses coups de revolver, etc. . m L'auteur du vol n'est pas Stanton, évidem- Il y a cependant un moyen d'émotion neu| ment, mais bien un personnage d'allures bi- la suggestion hypnotique, qui permet des eff| saisissants. zarres et qui fait tout ce qu'il faut pour ache- ver de compromettre celui qui est soupçonné. 1 Pourtant ce gentleman mystérieux paraît "PÏTHÉ-CO N so R viïïjvT s'intéresser beaucoup au flirt de Gladys et de Stanton, et même le protéger... alors ? IEAN D'AGREVE. — Tout le monde I Je ne vous révélerai pas quel est l'énigma- J pas lu le fort beau roman de Melchiorl tique gentleman afin de vous laisser ie plaisir Woguë, dont M. Claude Balyne a tiré un < de suivre anxieusement cette histoire parfaite collent scénario pour l'écran. Et c'est meut construite, et jamais ennuyeuse. mieux, puisque voici une véritable prime| On ne peut réunir plus d'ingéniosité et d'at- signée du nom d'un metteur en scène qui a ( trait dans un film à extériorité dramatique. ses preuves : René Leprince. L'action se passe dans l'île de Port-CrosJ E RACHAT. — Drame, mélodrame ou tra- Méditerranée. Un officier de marine, Jel L gédie ? En tous cas, succession de scènes d'Agrève, très amoureux de la mer, se j tragiques : auto lancée à toute vitesse, sans avec une princesse russe. L'idylle prête à ( direction ; un homme devient fou ; revolvers ; scènes charmantes, entre autres celle de I rencontre sur le vaisseau-amiral. Puis c'est! séjour commun dans Port-Cros, le règne dj Une scène du « Noël du Père Lathuile jeune homme et d'une jeune femme dans ( sites adorables et pleins de mélancolie. 'er ! Mais je vous laisse la joie, mêlée d'émo- pé » un jouet à un arbre de Noël, est pris Cependant les événements amènent une sépj on, d'assister aux péripéties mouvementées de par l'enfant de la maison pour le Père Noël ration. La Princesse doit aller en Russie ( enfance du pauvre petit. Du moins le verrez- lui-même. son mari se prétend très malade, mais en ré oirs heureux, aux dernières images, et Danny Or, le vieux n'avait tenté de voler que lité ce n'est qu'une ruse pour lui extorquer 'aura pas volé son bonheur. pour pouvoir apporter un cheval de bois à son signature et ses biens. Et voici les steppes rt Je sais bien que tout cela procède visible- gosse, à lui ; et riches et pauvres communieront ses couverts de neige en contraste avec les pal ent du Kid, mais c'est attendrissant à sou- dans la même joie, ce soir de Noël-là 1 sages de la Méditerranée. Alors c'est le sacf ». Et puis, il y a un chien !... Touchant ! fice de la jeune femme mourant en soignai Vous irez voir tous cet excellent film. LUCIEN DOUBLON. des contagieux, et le sacrifice de Jean qui meu| flllllllllll iiillllIllIlHIIIIIIIIIllMllllllllllllllIllIIIIIIIIlllllllllllllllllillllllllMllllllMimUjIII tué par des pirates chinois. — La Zodiac Film tournera quelques comé- C'est là un fort beau film, qui charmera p| dies dans son studio de Kingsbury. Elles se- sa mélancolie et sa tendresse. Qmémagazine à pendres ront éditées sous le nom de « Walter Forde Personne, mieux que la belle Mme Koval Comedy ». ko ne pouvait incarner la princesse russe. El — La Granger-Binger, dont les studios sont j- A la British Super Films, Fred Paul, qui silués à Haarlem, Hollande, a terminé « The donne, d'instinct, à son personnage un relie! lent de terminer « The right to slrike », com- Lion's Mouse », sous la direction de Oscar intense. A ses côtés, Mathot est un excelle| jenecra bientôt un nouveau film : « The Hôtel Aiit'el et se prépare à tourner « The Hypo- Jean d'Agrève. '»« » (Souris d'Hôtel), dont il sera à la crites », dont la mise en scène a été confiée ™ le metteur en scène et le protagoniste. à Wyndham Standing. — L'Idéal Film vient d'inscrire sur la liste — La Albert Philipps Film Productions pré- «prochains films à tourner : « Out to Win » pare : Fatty's Overlime (qui n'a rien de com- Mme POLA NEGRI dans « Le Rachat ». GAUMONT ne dirigera Denison Clift. mun avec Fatty Arbuckle). Les auteurs du scé- tn autre film sera tourné, pour la même nario sont nos confrères Muriel Alleyne et f^HAGRIN DE GOSSE — Lamodeestau •nipagnie, par Frank Cane, metteur en scène Christabel Lowndes-Yates. Ce film sera inter- bal masqué, rapt de femme, strangulation, etc., ^ enfants. Après le succès de Jackie dai Wricain, mais le titre n'est pas encore fixé. prété par Fatty Philipps et Athalie Davis. etc. Toutes scènes sensationnelles qui retien- rA la Stoll, George Ridgwell mettra en Edward D. Roberts en dirigera l'exécution. The Kid, après celui tout récent du petit Ni — L'Atlas Biocraft, compagnie qui vient à dront l'attention du public et le captiveront. rae un nouvel épisode des aventures de Sher- nouk — oh ! celui-ci n'est pas un acteur - « Holmes. C'est toujours Eille Norwood, qui peine de se former, fera ses débuts avec « The Tout gravite d'ailleurs autour d'une femme, la revoici un succès, sinon un triomphe, poi "'a le fameux détective. Mon Without Désire » que Frank Fowell a écrit spécialement pour l'écran. femme fatale chère à la foule"... et aux Italiens. Jackie Coogan, dont l'image est restée dan « Maurice Elvey est entrain de découper "scénario de « The Sign of Four ». Le protagoniste sera Ivor Novello et le met- Mme Pola Négri, que nous reverrons dans tous les yeux. teur en scène, Adrian Brunei. -Donald Crisp tournera pour le compte d'autres films, est une actrice de race. Vous désirez le thème : Danny est à lno: Maurice ROSETT. * International Artists, « God's Prodigal -J. Contrariée. — Quand vous avez « beaucoup Ualognini. — 1° La lecture des 27 numé- de chagrin », pensez que d'autres sont en- de Çinèmagazine a dû, j'en suis certain, core plus malheureux que vous. Et votre peine LE COURRIER DES "AMIS" Iriliuer à activer votre convalescence. Vous vous semblera plus légère. 1° « Roxelane » : Exclus.vemem' réservi à nos abonnis et aux Membres de l'Association des « Amis du r- • maintenant complètement rétabli et vous Marion Davies (Roxelane Rarreti) ; Wyndham renez notre correspondance interrompue, Chaque correspondant ne peut poser plus de f questions par semaine "" Standing (duc F erg us Cassidy de Kenmare) ; t est pour le mieux, etc.. 2° J'ai l'ait recla- Cari ton Miller (llolmer O'Grady). De votre votre carte d'ami, vous devez l'avoir Pciùle A Ivarez, de Nice. — 1° Non. Ma thé avis, pour ce film ; pour Faust également ; ie ; II" Ne douiez pus surtout de mon pou- a abandonné momentanément l'écran ; 2° Je Bobby VEmdit. — Si vous vouiez ré 2» Il est certain que le procédé employé pour donnez nom et adresse. 1 r magnétique. J'ai dû, sans aucun doute, crois que la tournée Mathé-Jane Rollette con- le cinéma en relief sera perfectionné. Les pro- tinue ; A votre guise : avec timbre et sans Léon dit « Bob Mumeluck ». 10 p. s parler bonheur. grès depuis les premiers essais tentés sont déjà oiilie Fl. NejiçhûieL — Très bien ce nou- timbre. Heine Lumière, c'est Géo Dugast qui tient appréciables. Bon courage et meilleur souvenir. u papier à lettre ! 1" C'est exact Lydin Amoureuse d'Arthomis.'. — Avons bien reçu îvle de César ; 2" Pour parvenir a un rés Rannequin. — 1" Nous manquons de ranta est l'interprète principale d'L'/ie André les bulletins de concours et vous avions ajoutée tat appréciable au cinéma, il faut evidemnit documents pour publier une belle photo de jne pussn. Aucune ressemblance entre ce à la liste pour les visites aux studios. Espé- avoir le moyen d'attendre.' J'ai dit mille lu Séverin-Mars ; 2" Jean Toulout joue en ce mo- 1 et La Femme, de nulle pari, qui est in- rons que votre homonyme sera l'élu de ce tour- qu'avec quelques cachets de figuration, on ment au Théâtre de Paris. Yvette Aiidréyor noi. peut arriver à vivre. Qu'cntendrz-vous n rélé par l-'.ve Francis ; 2" Cette formule est plée depuis longtemps. Vous avez pu vous est à l'Odéon. Fèlix S., à Tunis. — 1 ° Le prix ordinaire rôles de distribution '.' Sans doute vouiez-vé. Pftlll Gillet. — Voire leître est tellement en- apercevoir; quelquefois, cependant, il m'est des emboîtages : II fr. âO chaque, port payé : 2" indiquer ainsi les principaux rôles d'un Ihi fantine que je ne puis y répondre; Faites-vous possible de faire connaître à tous quelles Vous pouvez nous commander en même temps ceux seuls qui sont indiqués sur le prognunu partie de l'associai ion '.' Ktes-vous abonné ? liions— indiscrètes ou trop simplettes — que les emboîtages PAlmanaeh du Ciném-i :!' Vous devez vous tromper de nom. S'agit Jacqueline Lïssenko. — Avez-vous vu Tem- sont parfois posées ; 3° Je doute fort que (.lï'22). Nous vous l'expédierons volontiers ; 'V bien de Miklred .lune ? Dans quel lllm io pêtes ? G'est un des meilleurs parmi les der- l'artiste qui vous intéresse? nine puisse convenir à tous les publics. « Le Cœur magnifique », composé et réalise, niers films tournés par Mme Lissenko ; 2" J'i- 011/ pour Mony. — Evidemment, pardi ! par Séveriu-Mars, pour les films Lcgrand est Mouette. — Avez dû recevoir emboîtage gnore ce que tourne actuellement Irène Wells ; rais compris depuis longtemps. 1° Nous édité par l'Agence Générale Cinématographi- table du deuxième trimestre de 1922, ainsi q ,>■' Non. Impossible : trop vieux, ce film. ns reçu voire feuille de concours. Pour les que. Distribution : Sévcrin-Mars {Marquis le numéro demandé ; 2° Je suis 1res hcurei Miss Double-mètre. — Avons bien reçu votre tes postales j'ai dit coupures belges ou tini- tloroga) ; Charles Granval (Camajd) ; France de pouvoir vous guider un peu dans vol bulletin de concours. Entendu pour le change- s français, car nous ne pouvons utiliser Dhélia (Isabelle) ; Tania Daleyme (Marie- choix de illms. 11 est évident que Lucien Dm timbres belges ; 2° Je ne puis encore ment d'adresse. Lcuise) ; Gandrcy (Bernard) ; Maxudian [Mar- bldn et l'Habitué du Vendredi parlent sarln A d mirai rive de \Y il liant Farnnm. 1 " Vous s dire quand vous verrez en Belgique Les — quis tlu Uall). dans leur rubrique, des principaux Illms, s' êtes inscrite à l'associa lion des « Amis du Ci- is Mousquetaires de Douglas Fairbanks ni La Joconâe. — 1° Non, Gardez votre carte ; non des meilleurs. Sans quoi le journal enlié néma et nous vous avons envoyé la photo ne suffirait pas. parodie qu'en lit Max Lillder. Pour Robin nous enverrons les timbres ; 2° J'ai donné de Jean Angelo ; 2" J'étais certain que L'At- Mois, même réponse. Bon souvenir à Mony. déjà mon opinion sur celte question. Miss Hérisson. — 1" Bien reçu vitre feuill lantide vous plairait ; 3? Patientez pour cette Uurqsette-Janine. — Oui, je pense que votre Senor Alvarez de Fez. — Merci, pour voire de concours et vous souhaite la réussite. MIT Ire arrivera malgré votre étourtierié ; 'i'1 biographie. Elle viendra en son temps. document sur Les Hommes Xouoeuu.v. Trop pi ur vos précieux renseignements ; mais je Sa Sainteté. — Très satisfait de savoir qu'on rivez à (iina Relly, ce sera mieux ; .'t" Je de parti-pris dans le compte rendu. Nous veux à aucun prix lie vos piquants ; '2" Vol ne manque pas de distractions à Coursan. Vo- s que ce concours offrira des difficultés ; avons donné dans la biographie de Donatien •.unie s'est trompée ; Le Slaitre île Fmijt tre ville parait même assez favorisée. 1" Dans is quoi, où serait le mérite sans cela ? tous les renseignements que vous souhaitiez. n'est interprété ni par Huguettc Dullos, ni pu fine — 1" Je ne puis rien vous dire « La Puissance tlu Hasard », le rôle d'Êlvira Claudine, — 1" Toute mon indulgence vous l'rancesca Bertini. Ce film a été deux fois rra esl tenu par Mlle Greyjane ; 2° J'ai donné tore au sujet de Gaspard de Uesse. Attendez, est acquise... d'autant plus que je vous lis sans Usé. Dans le premier c'était Jeanne Hadin maintes fois cette distribution. Mais, sa Saill- en ne prouve d'ailleurs, que le illm sera difficulté et que vous avez aimé Geneviève Fé- nul interprétait le rôle de Claire de Ueaulieu it té est si aimable ! ■ La Pochardc »: J. For- nié dans les sites décrits par Jean Ai- lix diins L'Absolution ; 2" Votre appréciation Uùns le deuxième, c'est P'inn Ménicliclli zane (Ch. Laniàrcliè) ; Princesse Kotchakdiz .'}" Trente-cinq ans environ, rii ; 2" Non : nous n'avons pas publié de sur ce film est juste, et je suis satisfait de (Clotilde du Thillag) ; Mlle Tainàr Oxynskn olos de Pina Menicholli. s.i voir que toutes nos lionnes productions de ' Farigonlelto. -— Voici que vous venez gros (Claire) ; Mlle Kaschouba (Louise); Mme Mau- I/o Damiris. — Il y a bien longtemps que cette saison passent sur les écrans de Bruxel- sir le nombre des admiratrices de Honuuli frôy, (Mme Marignan) ; O. Fdems (Mme GouU 1 Dame n'avait écrit ! 1° Vous avez tort les ; ;t" Je transmettrai vos compliments à Joubé. Tant mieux. Très sympathique cet ar croire que le départ de Ch. de Rochefort che) ; A. Vol ko IV (Hubert du Thiellaù) ; Gouget Pierre de Guîngand et je vous souhaite de gar- tiste dans Le Diamant noir. Très bien auss (Dr Marignan) ; F. Rïchaud i.l. Hethèlin) ; Bief- ur l'Amérique va nous empêcher de pu- der toujours la gailé qui présida à la rédac- Ginette Maddie. 1» Robert Florey sera bientê ier sa biographie. Vous en aurez la preuve fier (Matins) ; Mllo (Patairnel) ; Àvelot (Afit- tion de votre lettre d'aujourd'hui. à Paris, nous lui soumettrons celle qucsliii' us peu ; 2" Très gentil, Son Altesse ; Blan- serd) ; Tarride fills (Urbain du Ttiiellày) ; Mail- Myriam Ever. — 1° J'accepterai volontiers touchant William W. Hart ; 2" Le. lilin qu t Montel y est très bien ; 3° Mais oui, c'est lard (Dr. Renneville) ; Glénat (Goùiche) ; Tour- votre aimable invitation ; mais les vacances Mme de Mérode a l'ait interdire est iiitcrprétl neviève Félix, qui signe ses photos. Qui vou- jansky {Rarillier). sont loin et mon directeur ferait sûrement les par Mac Murray et non par Nazimova ; 5 î-vous que ce soit ? Lily Deslys était l'élue A. W. Le Caire. — Avons bien reçu votre gros yeux si je parlais de m'évader en ce mo- C'est bien une « Pierre Sarault » M IIP qu'i notre concours de photogénie et n'avait, bulletin de concours. ment ; 2" Je pense que vous aurez pu voir ces indiqué Robert Florey; Nous lui laissons lu La Terreur. — De qui, je vous prie 7 Trop notre connaissance, jamais tourné avant beaux programmes. « Maman » et « Les deux responsabilité de ce renseignement. aimable pour èîre la mienne. 1° Cette phrase Orphelines » sont des films qui ont dû vous Georges G., à Nice. — Nous transmettons concours. l'ne lectrice d'Alger. — 1° Ilazel Dawn est signifie : Sincèrement à vous ; 2° Tom Mix : plaire ; .'i" Pour les visites aux studios devez votre lettre à M. Paul Ivano, a Los Angeles éricaine ; 2° Il est évidemment plus fa- fnS41, Carlton Way, Hollywood ; ;t" Sommes sa- être renseignée. André Dureau. — Mais non, je n'ai pas -de le pour nous d'organiser ces réunions à Pa- tisfaits d'apprendre que, grâce au courrier, André Rolland. 1° Pour se maquiller il préférences, ou plutôt si, j'avoue avoir un fai- — s. Votre tour viendra ; 3° Je souhaite que vous avez obtenu satisfaction. est indispensable de s'appliquer d'abord sur ble pour ceux qui me posent des questions us puissiez voir bientôt L'Absolution et Jo- Admirateur de la France. — Vous avez par- Je visage un bon fond de teint ; il est des- intelligentes et sensées. 1° Je ne peux rien faitement raison d'employer cette formule ; lun, qui sont deux films remarquables. La tiné à cacher les imperfections de la peau l'aire d'autre que d'indiquer votre nom a la "me de Monsoreau, rien encore à vous dire. elle ne peut (pie m'ètre agréable. 1° Pour les et à fixer les fards. Nous avons déjà publié rubrique « Qui veut correspondre avec... ». « Mb Hunlley. — t° L'Ecole du Bonheur a visites aux studios, vous avez eu, sans doute. dans notre numéro 9 de 1921 un article sur m'est impossible d'insister à ce point, vous de- c tourné en 1918 ; 2° Je vous donnerai ce An début de réalisation le 11 novembre ; 2" ce sujet ; nous en publierons sans doute un vriez le comprendre ; 2° M. Dureau (pas vous!! J'ai parlé de Vingt Mille lieues sous les mers nscignement bientôt ; 3» Oui, 1912. autre. Bon succès. esr le directeur de Ciné-Journal ; 11° Je crois il v a environ un mois. Rien d'autre à vous qu'on ne se prive guère de puiser dans les apprendre que ce que j'ai dit déjà ; .'i" Max œuvres de nos littérateurs français pour fairt iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ■■■■■■■■■■■■ Linder ne tourne pas en ce moment et j'i- Illllilllllllllllllllllllllllllfllllllllllllllllllllllllll du film. Vous citerai-je Les Trois Mousque- gnore quand sa parodie des Trois Mousque- taires, Vingt ans après, Jocelgn, Les Hommts taires sera projetée en France. Son adresse : nouveaux et tant d'autres !... Il bis, avenue Emile-Deschancl. Robert Mathe. — Etiez inscrit. Avez-vous pu Géo d'Arcy. — Etiez inscrit pour les visites assister à la visite du 11 ? 1° Non, je ne suis Pour paraître prochainement aux studios. Tous les bons cinémas pas vieux, mais je n'ai pas le temps d aimer Pétale. — Je sais très bien que vous êles passent la danse ; 2" Si j'aime L'Atlantide '■' Vu peu. une grande enfant. Mais je suis très entêté. mon neveu ! (J'ai le droit de répondre ainsi, 1° Gardez votre carte ; nous vous enverrons puisque je suis votre « oncle ») Dites a yoiri FILMLAND les timbres. Cet emplacement est réservé pour ami, Jean Egoqui, qu'il s'abonne ou se lasse la photo, si vous désirez orner votre carte ; LES MYSTÈRES DE PARIS inscrire aux « Amis du Cinéma » ; » s" 1 2 Charles Lamy est le père de Maurice. mon ami et aura droit aux mêmes laveurs qi par Robert FLOREY d'Eugène SU E Paul Serge. — Très heureux de votre enga- vous. r gement. JÀ série des conférences n'est pas Grand Ciné-Roman en 12 Chapitres Harry-Covert. — 1° Très quelconque, le premier ouvrage publié sur la terminée ; peut-être aurez-vous la possibilité Adapté par M. Char/es BVRGVET film ; 2» Mon avis est que cette critique est capitale mondiale du Film grotesque de parti-pris. On n'est pas omh d'pssister aux autres. Dr. A. II. Reims. — Idée excellente. Votre d'aimer tous les films et l'on ne peut ou w CINÉMATOGRAPHES PHOCÉA CINÉMAGAZINE-ÉD1T1ÛN vœu sera exaucé en 192.1 et nous offrirons la. 8, rue de la Michodière, Paris certains cerveaux obtus de les compren ■ Mais écrire et publier de semblables inejiurc table des matières à nos abonnés. c'est aller un peu loin I (jnemagazine Qnemagazine El d'Artagnan de Espana. — 1° Yeux grls- bleu, cheveux châtain ; 2° Sandra Milowanolf : Mektoub. — Voici une victoire qui m» laine et Marion. — 1" Dans Le Tocsin, Marty Pierre, Bordeaux. — Hélas I si nom- stiidios Gaumont, 53, rue de la Villette. Bis- i cure une grande joie. Elle prouve aZ breux vous êtes dans te même cas, que nous cot : 3, villa Etex (Paris). Sympathie. , avez su piaider notre cause (pour cela i, « Max Claudet. Adressez vos lettre à la à, 8, rue de la Michodière ; 2° Pas d'au- avons essayé, avec notre concours de jeunes Chariot manqué. — Encore un nouveau cor- remercie) eue prouve aussi que votre mari tf teresse aux choses scientiuques. n „ photo de Suzanne Grandais que celle que premiers d'aider à la carrière de quelques respondant ! vu'il soit le bienvenu, puisqu'il an éius. En dehors de cela nous ne pouvons pas cours de la saison, l'occasion d'assister à (i s connaissez ; 3" John Burton le par.e- aime le cinéma et Cinémagazine. 1° Ces deux de gi and'chose. Trop de candidats et pas assez 1res conférences intéressantes. J'étais aux c Mabel Normand. Ecrivez First Na- films sont de ceux dont on ne dit rien. Pro- ml, Inc., U West 48th Street, New-York. d'emplois disponibles. ductions américaines, soigneusement interpré- et Métiers comme j'étais au studio du i Ariette B., à Lyon. — Regardez dans le Cour- d'Art. Ne dois-je pas être où sont imitatrice de Georges Lannes. — 1° Gris- tées et mises en scènes ; 2" Gabriel Signoret « amis a ? Bon souvenir. i ; 2" Georges Lannes et Huguette Dullos rier. Il nous est impossible de vous aider. a tourné dans Roger-la-Hontc. Il y a long- bien dans Les Mystères de Paris. Je l'ai Malgré notre grand désir d'être agréaile à temps que nous avons publié sa biographie Amie 1384, à Berne. — Trop ancien le nos lecteurs, nous ne pouvons leur faciliter mier. LEnfant du Cirque est interprété à dit I et dit tout le bien que nous pensons de son Fred Stone. r oliris. — 1° Vous êtes une amie dévouée et les débuis au cinéma ni même les encourager. talent, que voulez-vous de plus ? rc place parmi les nôtres à nos réunions H y a — corne je le dis plus haut — trop de Carmen. — Quelle singulière écriture vous Miss Spurklet. — Vous me surprenez h candidats ; bon nombre d'artistes connus, coup en m'apprenant la mort de cet ami assez indiquée ; 2° La place nous manque avez ! Vous trouverez tous ces renseignements ur donner le compte rendu de chaque épi- ayant un talent considérable, restent des mois dans la biographie de Georges Lannes publiée m'a écrit il y a une quinzaine. Je souh' sans engagement. Réfléchissez à cela. qi 'il y ait similitude de nom. Son Crime [, Mais nous avons consacré des pages en- dans Cinémagazine numéro 39 de 1922. >i res au Fils du Flibustier. Mon bon souve- I-ouis Comte. — 1" Les artistes que vous ci- vous êtes un fidèle lecteur de notre revue, je interpiété par Jean Dax. tez sont russes ; 2° J'ai répondu plusieurs Jean Lerbet, ami 1121. — « En mission suis surpris d'avoir à vous donner ce rensei- 'ofeMe Vaulatem. — Thomas Meighan : Fa- fois déjà que Mme Huguette Dullos est la gnement. pays des fauves » : Ben Hagerty (Kob Bal femme du sociétaire de la Comédie-Française, uiuy) ; Wilbur Higby (Tom Cortland) ; Fréd us Players ou Studios Lasky, Hollywood. William V. — Mais oui, écrivez-moi. je Une petite amie anglaise. — 1° C'est Andrée M. Raphaël Duffos. serai ravi de vous répondre. Entendu pour l'cters (Zutu) ; John George (Ce/ni gui IRIS. tout) ; Al Ferguson (Krimer) ; Irène Wall onel et non Yonnel ; 2" On commencera très visites aux studios. ciiainemcnt à tourner La Closerie des Ge- René P. ami 1860. — Vous recevrez le jour- (Hélène Madson) ; Geneviève Berte (Marion SI son). ls. nal le jeudi en vous abonnant. Entendu pour [n admirateur de « Cinémagazine ». —• 1° visites. Delà Felkouskiano. — Nous avons publié ilraanach demandé vous a été expédié. Nous Qui veut corretpofldre avec... biographie de Napierkowska dans le num Dry, à Paris. — Comme abonnée vous pou- us réserverons un exemplaire de celui de viez assister à ces réunions. Mais puisque vous J9 de 1921. J'ai donné trop souvent ces tributions. Consultez le courrier. !3 ; 2° J'accuse ? C'est sans doute de Albert de Morestel, 59, h.oul. de la Gare. êtes aussi Amie la chose est pîus que certaine. Roue que vous avez voulu parler. La Roue Stamboul. — 1° Le nécessaire avait été Casablanca. Votre sœur sera la bienvenue. Je serai votre rlira en février ; 3° Je ne connais pas cette interprète auprès de Robert Florey. pour la visite au studio du Fini d'Art ; Jack Benabon peut écrire à Mlle Suzanne Le- îe. fèbre (Jacqueline Lissenko), 3, rue Saint-Ber- M. Seux. — Je ne trouve pas aux Mystères Le plus simple est de réclamer vos scénar Colette. — Je ne puis, sans y être autorisé, à la direction même. Cependant je dois r nard (Paris). de Paris les défauts que vous signalez. nner de tels renseignements sur les artistes, Mlle Jeannine Simon, route Nationale, Pont- Enigma. — 1° Le jury est au travail ac- prévenir qu'aucun manuscrit non inséré a' conservé dans une rédaction. s questions n'ont rien à voir avec le cinéma, Neuf, Escaillon (Toulon). tuellement ; 2° 1 fr. 50 à 2 francs le mètre casez-moi de ne pouvoir vous satisfaire. Cléo. — Très bonne, cette décision I Fal William Yitel, 21, rue Sauffrov (Paris 17'). environ ; 3" Pour vos emboîtages, le mystère Reed mon. — 1° Je ne demanderais pas Albert William, 8, rue El-Salïa, Le Caire. est éclairci. Vous demandez ceux des trois partie des « Amis du Cinéma » comme vo eus de vous faire ce plaisir, mais j'ai si en avez l'intention. Le seul moyen est d' Léon Fouslin, 3, rue Hassan-el-Akbar. Ab- trimestres de 1922 et le troisième nous manque. a de temps à moi ! Je pourrai sans doute dine Le Caire (Egypte) voudrait correspondre Il doit arriver incessamment et la commande voyer le montant de vos cotisations à Ciné e votre ouvrage, mais qaund ? 1° S'il n'y vous sera aussitôt expédiée. gazine en demandant votre inscription. Cl avec Heureuse Irisette, Filleule d'Iris, Princesse pas toujours des fauteuils dans nos salles du Bled. Lui écrire. es' très bien comme pseudonyme ; mais conférence, du moins y a-t-il des chaises craignez-vous pas que Mlle de Mérode se se Mme Joly, 17, rue Eugène-Suâ, Alfort (S/ , iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimmiiiiiiiiiimiiiiiimi dalise et vous lasse un procès ? vous pourrez vous asseoir. désire correspondre avec admirateurs de la Pas si heureuse qu'lrisetle. — Les artistes troupe Feuillade, Une artiste, rue du Helder. — Francesca B nt vous citez ies noms ne possèdent pas de fini : Villa Elena, Via A. Guattari (Rome). otographies d'eux en bas âge. C'est pourquoi IIIIIIIIIMIIIIIIIIIIIMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Carmen B. — 1° Oui, c'est Pierre Frochard! eus avons dû limiter notre concours à la Sheldon Lewis tient, dans « f.cs iltjslif ste publiée d'autre part. Abonnez-vous pour |>iniiiniiiiiii«iniiiiiiinniiiiiiiiiiiii!iiiiiiiiini«iiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiniiiiii ALMÂNACH di New-York » le rôle de Bennett. e permettre de correspondre avec vous plus Vita Nuova. — 1° Puisque vous habitez Lreinent ou inscrivez-vous aux «Amis » ou, | ECOLE PROFESSIONNELLE | Belgique pourquoi ne pas vous adresser a ueux encore, faites-les deux. DES firmes de ce pays. Il faut confier le double votre scénario, aussi complet que possible, I OPÉRATEURS GINÉMATOGRAPHISTES de FRANCE f un directeur de firme ou à un metteur iiiiiiiiimmiiimiiiiiiiiimmimiiiiiimiiiiiiii scène ; 2° Voyez à la « Belga-Film » i 3" Directeur : Pierre POSTOLLEC ■ vous faites partie d'une Société d'Auteurs, d COURS GRATUITS ROCHE O I %$ posez votre scénario avant de le soumettre >' aunés. Subvention min. Inst. Pub. Cinéma, 1 Cours de Projection cl Prise de Vues | quiconque. raidie, Comédie. Chant, 10. rue Jacquemont S de lo à 12 h. - de 14 à 17 h. - de 20 à 22 h. ■ Ami 1217, Saint-Etienne. — 1» Sûrement no Vll'i Noms de quelques élèves de M. Roche qui Les artistes n'aiment guère être photograplii ont arrivés au Théâtre ou au Cinéma : MM. Denis Vente, Achat de tout Matériel par des particuliers. Ils le sont assez souve 'lnès,Pierre!»laânier, Etiévant, Volnys, Ver- 66, Fue de Bondy Nord 67S2 ï par des professionnels ; 2° Je ne puis vo °val. de Gravone, Ralph. Royce, etc , etc. -* indiquer un autre nom que celui donne p Iles Mlstlnâuett, Geneviève Félix, Pierrette l'arliste elle-même ; 3° Si la chose était I add, Louise Dauville, Eveline danney, Pis- cile, il n'y aurait pas lieu d'en faire un co ■line, Germaine Rouer, etc . etc. Photos de Baigneuses cours. Vos talents de photographe sont rai HONORABLES Madame d'Artagnan. — 1° Mon avis est q 12 Riches et de tou- Mack Sennett Girls vous êtes difficile. C'est tout ; 2» C'est vol tes Conditions, fa- frère qui a raison. Ce portrait publie ûar ARIAGES cilités en France Prix franco : S francs le numéro 19 de 1922 est celui de Yonne i niiiiutiHiimiiiiiii sanB rétribution Non seulement vous êtes difficile, ma lilieui mais vous êtes aussi très exigeante. Nous n »r œuvre philanthropique avec discrétion et sé- irité. Ecrire RÉPERTOIRE PRIVÉ, 30, Aven. CINÉAUQAZINE, 3, rue Rossini — PARIS pouvons toujours nous intéresser aux même •I-Alt-, BOIS-COLOMBES (Selnei. artistes. , (Réponse sous Pli Fermé sans Signe Extérieur). Lié-Fonstin. — La consigne est sévère ; ce pli flftC d'occasion, usagés, bon état pour ama- tant mieux 1 II me serait, sans cela, imP0SSIV' I ' ^l'U teurs et professionnels dep. 0.10 le m. de travailler tranquille et que diraient ut Baudon St Lo,36, r. du Chateau-d Eau. A'orrf.39-41. « amis »? NOUVELLE Hmt DE THEBES Mario Caravadossi. — « Pauvre Cœur » lue devineresse, venant d'F.gypte, dont le interprété par Pauline Frédérick i i \' pouvoir dépasse toute imagination, v ent de se INSTITUT CINÉGRAPHIQUE Mme de la Croix qui interprète le rote de .«m révéler en la personne de 1*1"" Osma Bériour. Minet dans le « 15« Prélude de flwpin Consulte do dix heures à sept heures, 23. rue 18 et 20, Faub. du Temple. - Tél. : Roquette 85-65 u Pasquier. Paris Horoscope par correspon- 3' Ce n'est pas Fernand, le nom « P",l,- Cours et leçon» particulières par metteurs dance, francs. Envoyer date de naissance. nage du Comte de Monte-Cristo, c esl■ Aioc 10 en scène connus, - Prix modérés i Albert de Morcef) et ce rôle est tenu pai ques Robert. taprlniierie de Cinémagazine, 58, rue .T.-J.-Rousseau. Le Rédacteur en Chef-Gérant : Jean PASCAL