Maladie Du Huanglongbing Analyse Du Risque Phytosanitaire Pour L’Union Européenne

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Maladie Du Huanglongbing Analyse Du Risque Phytosanitaire Pour L’Union Européenne Maladie du huanglongbing Analyse du risque phytosanitaire pour l’Union européenne Avis de l’Anses Rapport d’expertise collective Annexes et rapport annexe Avril 2019 - Édition scientifique Maladie du huanglongbing - Analyse du risque phytosanitaire pour l’Union européenne Maladie du huanglongbing Analyse du risque phytosanitaire pour l’Union européenne Avis de l’Anses Rapport d’expertise collective Annexes et rapport annexe Avril 2019 - Édition scientifique Avis de l’Anses Saisine n° « 2016-SA-0235 » Le directeur général Maisons-Alfort, le 25 avril 2019 AVIS de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail relatif à « une analyse de risque phytosanitaire pour la maladie du huanglongbing pour l’Union européenne » L’Anses met en œuvre une expertise scientifique indépendante et pluraliste. L’Anses contribue principalement à assurer la sécurité sanitaire dans les domaines de l’environnement, du travail et de l’alimentation et à évaluer les risques sanitaires qu’ils peuvent comporter. Elle contribue également à assurer d’une part la protection de la santé et du bien-être des animaux et de la santé des végétaux et d’autre part à l’évaluation des propriétés nutritionnelles des aliments. Elle fournit aux autorités compétentes toutes les informations sur ces risques ainsi que l’expertise et l’appui scientifique technique nécessaires à l’élaboration des dispositions législatives et réglementaires et à la mise en œuvre des mesures de gestion du risque (article L.1313-1 du code de la santé publique). Ses avis sont publiés sur son site internet. L’Anses a été saisie le 31 octobre 2016 par la DGAl pour la réalisation de l’expertise suivante : Saisine relative à une analyse de risque phytosanitaire pour la maladie du huanglongbing pour l’Union européenne. 1. CONTEXTE ET OBJET DE LA SAISINE 1.1. Contexte La maladie du huanglongbing (HLB) (ou citrus greening ou « maladie du dragon jaune ») constitue aujourd'hui l'un des dangers phytosanitaires les plus importants pour les cultures d'agrumes. L'introduction et la dissémination des différentes espèces de Candidatus Liberibacter spp. (CL), dont les trois espèces africanus, americanus, et asiaticus sont les agents causaux de cette maladie, sont de ce fait interdites par la réglementation phytosanitaire de l'Union européenne (Annexe I, Partie A, Chapitre 1 de la Directive 2000/29/CE, version Juin 2014). Cette maladie est présente dans une grande partie de l'Asie du Sud-Est, sur les continents américain et africain et absente de l’Europe. Pour ce qui de l’Outre-mer français, elle est notamment présente dans les Antilles et sur l’Île de la Réunion. Durant l’été 2015, la présence de la maladie fut suspectée dans un verger d’agrumes au Portugal dans la région d’Algarve. Néanmoins, suite à des tests supplémentaires de détection de cette bactérie couplés à un suivi et un programme d’échantillonnage intensifs, la région a été déclarée indemne de ‘Candidatus Liberibacter asiaticus’ par l’organisation nationale de la protection des végétaux (ONPV) du Portugal (EPPO, Rsf-1602). Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, 14 rue Pierre et Marie Curie, 94701 Maisons-Alfort Cedex Téléphone : + 33 (0)1 49 77 13 50 - Télécopie : + 33 (0)1 49 77 26 26 - www.anses.fr ANSES/PR1/9/01-06 [version e] code Ennov : ANSES/FGE/0037 Avis de l’Anses Saisine n° « 2016-SA-0235 » Par ailleurs, la maladie a été signalée la même année pour la première fois au nord de l’Afrique et plus particulièrement en Égypte, pays exportateur de fruits d’agrumes vers le territoire européen (Tolba et Soliman, 2015)1. 1.2. Objet de la saisine Afin de protéger les pays européens méditerranéens producteurs d’agrumes de possibles impacts économiques dus à cette bactérie, il est demandé de procéder à une évaluation du risque pour l’ensemble de l’Union européenne, visant à prévenir l’introduction de cet organisme sur le territoire européen et empêcher sa dissémination s’il est introduit car un de ces vecteurs, Trioza erytreae, est présent au Portugal et en Espagne. Il est donc demandé de réaliser une analyse de risque phytosanitaire pour Candidatus Liberibacter spp. pour l’ensemble de l’Union européenne. 2. ORGANISATION DE L’EXPERTISE 2.1. Modalités de traitement : moyens mis en œuvre et organisation L’Anses a confié au groupe de travail « HLB », rattaché au comité d’experts spécialisé (CES) « Risques biologiques pour la santé des végétaux » l’instruction de cette saisine. Les travaux d’expertise du groupe de travail ont été soumis régulièrement au CES « Risques biologiques pour la santé des végétaux » (tant sur les aspects méthodologiques que scientifiques). Les travaux ont été présentés au CES pour discussion, tant sur les aspects méthodologiques que scientifiques, le 08/11/2016, le 17/01/2017, le 14/03/2017, le 08/06/2017, le 12/09/2017, le 07/11/2017, le 23/01/2018, le 20/03/2018, le 15/05/2018, le 04/07/2017, le 18/09/2018, le 13/11/2018 et le 22/01/2019. Un rapport intermédiaire sur cette saisine a été émis par l’Agence le 23 octobre 2018. Le rapport produit par le groupe de travail tient compte des observations et éléments complémentaires formulés par les membres du CES et les conclusions du rapport ont été adoptées à l’unanimité du CES. Ces travaux sont ainsi issus d’un collectif d’experts aux compétences complémentaires. L’expertise a été réalisée dans le respect de la norme NF X 50-110 « Qualité en expertise – prescriptions générales de compétence pour une expertise (mai 2003) ». 2.2. Prévention des risques de conflits d’intérêts. L’Anses analyse les liens d’intérêts déclarés par les experts avant leur nomination et tout au long des travaux, afin d’éviter les risques de conflits d’intérêts au regard des points traités dans le cadre de l’expertise. Les déclarations d’intérêts des experts sont publiées sur le site internet de l’agence (www.anses.fr). 1 Il convient de préciser qu’entre le moment où la saisine a été adressée à l’Anses et le moment où l’ARP a été instruite, l’Egypte a été considérée exempte du HLB par l’ONPV. Page 2 / 10 Avis de l’Anses Saisine n° « 2016-SA-0235 » 3. ANALYSE ET CONCLUSIONS DU CES ET DU GT 3.1. Catégorisation Les bactéries ‘Candidatus Liberibacter asiaticus’ (CLas), ‘Candidatus Liberibacter africanus’ (CLaf), ‘Candidatus Liberibacter americanus’ (CLam), responsables de la maladie du HLB, sont des organismes réglementés (Annexe I, Partie A, Chapitre 1 de la Directive 2000/29/CE). Elles sont véhiculées et transmises aux agrumes cultivés par deux insectes vecteurs, des psylles des espèces Diaphorina citri et Trioza erytreae, qui sont également des organismes réglementés (Annexe I Partie A de la Directive n°2000/29/CE). La zone d’analyse de risque phytosanitaire (ARP) est l’Union européenne (UE). Elle comprend les Açores et Madère mais les Iles Canaries en sont exclues. Aucune des trois bactéries n’est présente dans l’UE. Il en est de même pour Diaphorina citri. En revanche, Trioza erytreae est présent en Espagne et au Portugal, y compris à Madère. La transmission de la maladie peut également se faire par greffage de greffons infectés ou à partir de porte-greffes infectés. Par ailleurs, les bactéries Candidatus Liberibacter spp. (CL spp.) sont transmises par plusieurs espèces de plantes parasites du genre Cuscuta en conditions expérimentales. Les plantes hôtes des bactéries CL spp. appartiennent, pour l’essentiel, à la famille des Rutacées parmi laquelle se trouve le genre Citrus dont les espèces et hybrides sont intensivement cultivées dans les pays du sud de l’UE. Dans leur zone de répartition actuelle, les trois espèces bactériennes ont un impact négatif sur le rendement (chute précoce des fruits), sur la qualité de la récolte (dégradation de la qualité des jus de fruits) et sur les arbres (physiologie dégradée, mort prématurée). Les symptômes de chlorose induits par les CL spp. sur citrus peuvent prêter à confusion et s’apparenter à un stress abiotique de type carence nutritive. Les parties de la zone ARP les plus menacées couvrent toutes les régions productrices d’agrumes (sud du Portugal, sud et est de l’Espagne, Corse, sud de l’Italie, Sicile, Grèce, Croatie, Chypre, Malte). 3.2. Conclusion de l'évaluation du risque phytosanitaire Entrée Les 8 filières jugées pertinentes ont pris en compte l’entrée du HLB à partir de l’importation de matériel végétal infecté ou via des insectes vecteurs. Les 4 filières d’entrée du HLB via des végétaux destinés à la plantation (plants, greffons, semences) ou parties de végétaux destinés à la consommation (feuillages et fruits) infectés sont : Plants et greffons (ou baguettes) de Citrus spp. et plants de Murraya paniculata (filière 1 : « F1 ») ; Semences de Citrus spp. et de Murraya spp. (filière 2 : « F2 ») ; Les fleurs coupées/branchages coupés/feuillages de M. paniculata et de Citrus hystrix (filière 3 : « F3 ») ; Les fruits de Citrus spp. (filière 4 : « F4 »). Page 3 / 10 Avis de l’Anses Saisine n° « 2016-SA-0235 » Les 4 filières d’entrée via des insectes vecteurs, contaminés ou non, sont : Plants de Citrus spp. (filière 5 : « F5 ») ; Plants de M. paniculata (filière 6 : « F6 ») ; Les feuilles fraîches destinées à la consommation de Murraya koenigii et de Citrus hystrix (filière 7 : « F7 ») ; Les fruits de Citrus spp. (comportement autostoppeur) (filière 8 : « F8 »). La filière plants et semences de Cuscuta spp. (plante parasite obligatoire) a été écartée pour plusieurs raisons, notamment car aucune importation intentionnelle de plants et de semences n’est envisageable. En revanche, l’entrée de cette espèce pourrait se faire par contamination d’autres semences importées.
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