DELEMONT ET SA COURONNE PROJET DE FUSION DE COMMUNES

RAPPORT DE SYNTHESE DU GROUPE DE TRAVAIL 02 « Travaux publics, aménagement et transports publics »

MAI 2015

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Introduction Dans le cadre des travaux liés au projet de fusion, chaque groupe de travail examine les différentes thématiques pour lesquelles il a été mandaté. Les propositions du Groupe de travail 02 font l’objet du présent rapport. Ce dernier sera soumis à l’approbation du comité de pilotage puis à celle du comité de fusion.

Rappel : composition du Groupe de travail

Président : Gérald Marchand, Maire de Châtillon

Secrétaire : Norbert Chappatte

Membres : André Girodat (), Gérard Métille (), Joël Burkhalter (Courrendlin), Hubert Jaquier (Delémont).

Mandataire externe : Marie Vuillaume (Fiduciaire Juravenir SA)

Thématiques traitées

I. Routes et bâtiments A. Etat du réseau routier  Etat actuel  Travaux prévus dans les 5 ans  Politique d’entretien courant des routes et des chemins communaux (y.c. déneigement) B. Bâtiments 1. Situation actuelle Le Groupe de travail a consulté toutes les communes afin de connaître l’état actuel de leurs bâtiments. L’ensemble des données recensé est compilé dans l’annexe « Bâtiment » joint au présent rapport.

L’état général des bâtiments communaux est jugé moyen à bon par les communes. Seuls seize bâtiments sont jugés en mauvais état. Pour ceux-ci, deux cas sont en général envisagés : soit la rénovation, soit la démolition (ou la vente) du bien concerné.

Plusieurs communes ont prévu des investissements dans leurs bâtiments dans les cinq prochaines années. Les montants varient fortement. Ils visent le maintien des bâtiments. L’ensemble des investissements sont répertoriés dans l’annexe « Bâtiments » du présent rapport.

A titre de gros investissements, on relève que :

 Châtillon prévoit la rénovation de son école (CHF 1 à 2 mio) ;  Courtételle vise le doublement de sa halle de gymnastique et l’aménagement de locaux et de classes scolaires (6 à 8 mio) ainsi que le redimensionnement du Centre sportif (nouvelle salle culturelle, agrandissement des vestiaires, aménagement d'une place de pétanque) + porte d'entrée du village, accès Centre sportif - route Châtillon (Projet global de CHF 1.5 mio) ;

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 Delémont va procéder à la rénovation de l’école du Gros-Seuc à hauteur de CHF 3 mio ;  Delémont prévoit la création d’un nouveau site de crèches et d’écoles en lien avec le nouveau bâtiment scolaire aux Arquebusiers (CHF 12 mio). 2. Impact de la fusion Les bâtiments communaux seront repris par la nouvelle commune. En adéquation avec la proposition du Groupe de travail 01, l’administration générale de la commune fusionnée se situera à Delémont. En ce qui concerne les bureaux communaux des autres communes, ils pourront accueillir des bureaux décentralisés tel que proposé par le GT01 et certains services de l’administration dans les grandes communes.

Les bâtiments communaux qui deviendraient libres en raison de la centralisation d’une prestation, en particulier les bâtiments administratifs des communes qui n’auraient pas de siège ou d’antenne administrative, seraient libérés et affectés à d’autres tâches, selon les décisions des nouvelles autorités.

La reconduction des contrats de bail auxquels une localité est partie avant la fusion, sera examinée au cas par cas.

Enfin, le Groupe de travail (en adéquation avec le Groupe de travail 03) propose d'inscrire une clause dans la convention de fusion, de manière à garder dans chaque commune les lieux publics qui permettent de maintenir la vie communautaire et sociale (réunion de sociétés). La durée de cette clause serait limitée, pour éviter de faire courir une contrainte trop lourde aux nouvelles autorités.

II. Voirie A. Equipements Le Groupe de travail s’est également renseigné quant aux équipements dont disposent les communes. L’ensemble de ces données est répertorié dans l’annexe « Véhicules ».

Le parc de véhicules actuel est repris par la nouvelle entité. Certains véhicules arrivent à « bout de souffle ». Avant de procéder à leur remplacement, il s’agira pour les nouvelles autorités de réfléchir aux synergies qui peuvent être mises en place en fonction des autres véhicules à disposition.

Le recours aux privés avec leur propre véhicule pourrait perdurer. B. Organisation et Personnel Le projet de fusion comprend treize communes et par conséquent un vaste territoire. Il est capital en terme d’efficacité et de cohérence de maintenir des délégués pour chaque localité, restant atteignables en permanence. Un service central devra tout de même être mis en place dans une grande commune afin de coordonner le tout.

Le Groupe de travail est également d’avis que les prestations exécutées actuellement dans les localités par des privés devront être maintenues (par exemple, le déneigement réalisé par des agriculteurs).

Une réflexion devra être opérée au cours de la première législature concernant certains services assumés par la nouvelle entité afin de déterminer la pertinence de leur réalisation par la commune. En effet, Delémont mène une étude afin de définir si, en terme de coût et de performance, la gestion des déchets doit toujours être assurée par les employés communaux. Une externalisation de cette

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prestation pourrait le cas échéant permettre d’occuper le personnel communal à d’autres tâches, telles que par exemple l’entretien des terrains de sport dans toutes les localités de la nouvelle entité. C. Centre d’entretien : locaux existants et besoins futurs Plusieurs communes (notamment Delémont, , ) disposent de locaux abritant leurs propres véhicules communaux. L’occupation est maximale d’autant plus que certains locaux abritent également les véhicules du service du feu.

Le centre d’entretien de Delémont doit être renouvelé. Une réflexion devra être menée par les nouvelles autorités afin de créer un nouveau centre d’entretien. Ce dernier pourra être situé dans une autre localité que Delémont, soit à Courrendlin, Develier ou Courtételle.

III. Aménagement du territoire A. Situation actuelle Actuellement, chaque commune possède de jure et de facto sa législation et son plan d’aménagement local (PAL), avec leurs caractéristiques propres respectant le cadre légal et les planifications fédérales, cantonales et régionales.

Les PAL de la majorité des communes sont actuellement en révision compte tenu de la nouvelle législation. Les stades de révision sont différents.

Commune PAL Révision Etat 1992 En cours Examen préalable Châtillon 2000 En cours Examen préalable Courrendlin 2013  Courtételle 2001 En cours Adoption Delémont 1998 En cours Conception directrice adoptée Develier 1992 En cours Dépôt public Ederswiler 1986 1998 1994 2009  Rebeuvelier 1999 En cours Dépôt public 2003 Vellerat 1989 En cours Rapport d’opportunité

Comme le montre le tableau ci-dessus, seules quelques communes n’ont pas encore commencé la révision de leur PAL. Il leur est conseillé d’attendre la fusion afin que cette révision soit directement réalisée en conformité avec les lignes directrices de la nouvelle entité.

Sur le territoire de projet de fusion est actif un Syndicat d'agglomération (ci-après : l’Agglo). Ce dernier fonctionne comme une collectivité publique et assume donc des tâches qui lui sont déléguées par les communes membres. Des communes parties au projet de fusion, Châtillon, Courrendlin, Courtételle, Delémont, Develier, Rebeuvelier, Rossemaison et Vellerat sont membres de l’Agglo. En y adhérant, les communes se sont engagées à entre autres réaliser un plan directeur régional d'aménagement du territoire et à collaborer dans d’autres domaines.

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Avec la fusion, l’Agglo pourra subsister. Toutefois, il devra s’adapter. En effet, les communes du Haut- Plateau ne font actuellement pas partie du Syndicat, ce qui implique l’adaptation du périmètre de l’Agglo. En outre, le poids des communes en son sein ne sera évidemment plus le même puisque l’Agglo ne comptera plus que 4 (éventuellement 2) communes, Delémont, Courroux, Soyhières, et Val-Terbi.

B. Impact de la fusion Le plan directeur communal fixe dans les grandes lignes les objectifs à atteindre quant à l’organisation du territoire, compte tenu du développement souhaité et de l’évolution des besoins. Il détermine l’utilisation future du territoire communal, notamment la conception générale du développement de l’urbanisation et des autres domaines qui concernent l’utilisation du sol et les concepts sectoriels tels que l’équipement, les installations de communication, les espaces publics, les plantations et autres éléments structurants.

Au vu de ses buts, le plan directeur devra être établi en priorité. La plupart des communes concernées par le projet de fusion sont parties à l’Agglo. Dès lors, le Groupe de Travail propose de reprendre la stratégie de l’Agglo et de l’adapter au périmètre de la fusion. Il s’agira par celui-ci d’identifier les secteurs stratégiques de la commune. Le Groupe de travail préconise également de mettre en place par le biais du plan directeur une politique de réhabilitation des bâtiments. Celle-ci est un enjeu majeur de l’aménagement du territoire en considération du patrimoine rural important de la future entité.

Dans le cadre de l’Agglo, il s’agira également de se prévaloir auprès de la Confédération de la clause d’exception permettant d’étendre le périmètre de l’Agglo de manière à ce qu’il englobe celui de la nouvelle entité. L’adaptation du taux de subventionnement de la Confédération devra également être requise. Elle n’est toutefois pas garantie car le périmètre statistique tel que défini par la Confédération et donnant droit aux subventions ne correspond pas forcément au périmètre de l’Agglo.

Durant la première législature, les règlements communaux et les PAL des treize communes cohabiteront. Il s’agira d’une période de transition. Les autorités de la nouvelle entité auront pour mission d’uniformiser les règlements communaux et d’adapter les treize PAL afin de n’en former qu’un seul couvrant le périmètre de la nouvelle entité. Comme expliqué ci-dessus, la révision des PAL des communes parties au projet a été opérée ou est en voie de l’être. L’uniformisation se traduira donc par la coordination des « jointures ». Pour les PAL nécessitant une révision, celle-ci sera opérée en conformité avec les lignes directrices adoptées par les nouvelles autorités.

L’uniformisation des plans d’aménagement locaux et l’adaptation du plan directeur régional par rapport à l’Agglomération sont estimées à CHF 250'000.-. Cette charge est à ventiler sur plusieurs exercices au cours de la première législature.

C. Police des constructions et politique future Dans les communes comptant plus de 5'000 habitants, la compétence d’octroyer des permis de construire revient à l’autorité communale. Cette compétence doit rester de son ressort. En effet, elle garantit une procédure plus rapide aux requérants et permet également à la commune de traiter les dossiers selon sa propre appréciation.

La ville de Delémont dispose de cette compétence et bénéficie déjà d’une organisation bien rodée.

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Actuellement, Delémont délivre plus de la moitié des permis de construire délivrés par l’ensemble des communes du projet de fusion. Cette affirmation se confirme également en tenant compte d’une moyenne sur dix quand bien même l’écart est moindre.

Le Groupe de travail propose donc de reprendre l’organisation mise en place à Delémont pour la gestion des permis de construire. Le nombre de permis de construire à traiter par les employés de la commune de Delémont risque de doubler. Il s’agira d’organiser ce service en conséquence.

La gestion informatisée des permis de construire permettrait de décharger quelque peu le personnel en charge de ce service. Pour ce faire, le Groupe de travail recommande aux nouvelles autorités d’adhérer au projet Jurac, auquel Delémont est associé. En outre, certains contrôles, notamment ceux nécessitant des connaissances techniques, pourront également être délégués à des mandataires externes. Les frais supplémentaires engendrés par ces contrôles nécessiteront une adaptation des émoluments afin de tendre à un autofinancement de la procédure.

D. Recommandation supplémentaire Dans un souci d’efficience, le Groupe de Travail recommande la mise en place rapide d’un règlement d’organisation fixant les compétences du Conseil général en matière d’aménagement du territoire. Il est primordial d’accorder un nombre accru de compétence à cette autorité, au risque de recourir régulièrement aux urnes pour statuer dans un dossier.

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IV. Transports publics A. Situation actuelle Actuellement, toutes les communes du projet de fusion sont desservies par les transports publics à l’exception de la commune de Vellerat.

Le périmètre du projet de fusion comprend plusieurs types de lignes de transports publics :

- les lignes de trafic régional, desservant les localités comptant au moins 100 habitants. Ces lignes sont pour l’essentiel financées par la Confédération (taux de subventionnement 73%). Le surplus est financé par le canton avec une participation des communes.

- les lignes d’importance cantonale, qui ne sont pas reconnues par la Confédération mais qui le sont par le canton. Elles sont subventionnées par le canton avec répartition de la part non couverte entre les communes.

- les lignes d’importance locale qui sont commandées par les communes et sont à la charge de ces dernières.

- les lignes urbaines, qui font l’objet d’une concession d’exploitation accordée à la ville de Delémont. Elles sont à la charge de ladite commune.

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Concernant leur participation aux frais relatifs aux transports publics, les communes prennent en charge les coûts non couverts planifiés après déductions des contributions fédérales et cantonales. La répartition s’opère entre les communes notamment en fonction du nombre d’habitants et de la qualité de la desserte (participation au pot commun).

B. Impact de la fusion La fusion n’a pas d’influence sur le financement et la planification des lignes de trafic régional puisque ce sont les localités qui sont prises en compte.

Ce principe comporte toutefois une exception concernant la mise en place par la commune fusionnée des réseaux de transports publics locaux (réseau urbain).

Delémont bénéficie d’une concession de zone pour les transports urbains. Celle-ci arrivera à échéance dans quelques années. Se posera alors la question d’un éventuel renouvellement.

L’attribution de la concession au réseau local permet au concessionnaire de décider des prestations de transports. Il est tenu d’assurer l’offre décrite dans la concession. En outre, l’entreprise concessionnaire reste responsable envers la Confédération de l’exécution des obligations, notamment en matière de sécurité.

Une concession analogue à celle de Delémont ne sera pas admise pour l’entier de la commune fusionnée.

S’agissant de la participation aux coûts non couverts planifiés (pot commun), la fusion engendrera une augmentation de la part communale. En additionnant la participation de chacune des communes concernées par le projet en 2013, on obtient une participation totale de CHF 436'331.-. Or, le passage de treize à une commune influe sur la formule de calcul de la participation. Ainsi, la nouvelle entité devrait compter sur une majoration de sa participation de l’ordre de 15%, correspondant ainsi à une somme totale de CHF 499'000. Une négociation avec le canton devra être menée.

C. Propositions A court terme, aucune mesure d’optimisation n’est à prévoir. Par contre, le Groupe de travail est d’avis qu’une gestion globale doit être envisagée concernant l’installation et l’amélioration des arrêts de bus, de la signalétique et de l’entretien.

Le Groupe de Travail s’est également penché sur la problématique de la commune de Vellerat. Actuellement, cette commune n’est pas reliée au réseau des transports publics. Une ligne Vellerat- Courrendlin ne peut pas être qualifiée de régionale (moins de cent habitants à Vellerat) et ne bénéficierait donc pas du financement de la Confédération.

La seule solution est de créer une ligne d’importance locale. Actuellement cette ligne n’est pas mise en place car son financement revient à la charge des deux communes concernées et n’est pas supportable financièrement par celles-ci.

Avec la fusion, le principe de solidarité des communes devrait permettre d’envisager une desserte de la commune de Vellerat. La taille de la commune permettrait de diluer cette charge.

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V. Organigramme du service « Urbanisme, Environnement et Travaux publics »

A. Situation actuelle Delémont dispose d’une organisation administrative pour la réalisation des tâches liées à l’urbanisme, à l’environnement et aux travaux publics. A elle seule, elle compte 46.78 EPT.

Cette situation contraste fortement avec les petites communes. Ces dernières n’emploient que rarement du personnel pour l’exécution de leurs tâches. Pour la plupart, elles sont assumées par les conseillers communaux ou directement externalisées. B. Impact de la fusion L’organisation du département « Urbanisme, Environnement et Travaux publics mis en place à Delémont est le fruit d’une réflexion approfondie menée il y a quelques années. La volonté du Groupe de travail est de conserver cette organisation qui fonctionne, tout en absorbant les employés communaux des autres communes concernées par la fusion. L’organigramme ne peut pas être totalement modifié ou adapté avant la fusion. Certaines adaptations pourront ou devront être opérées en fonction des besoins au cours de la première législature.

La nouvelle entité emploiera le personnel communal de toutes les localités concernées. Si le nombre de fonctionnaires reste identique, il faudra maintenir l’externalisation de certaines prestations à des privés, comme c’est le cas actuellement.

Dans tous les cas, il sera nécessaire de renforcer le service des permis de construire pour la gestion des permis puisque la nouvelle entité sera chargée de la gestion des permis de 12 communes supplémentaires.

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C. Proposition d’organigramme

D. Voirie Le projet de fusion compte 40 employés communaux pour la voirie communale, correspondant à 26,54 EPT, dévoués aux tâches liées aux travaux publics (sans l’ingénieur communal et les dessinateurs).

Deux tendances se dessinent au sein des treize communes. Les grandes communes, telles Courrendlin, Courtételle, Delémont et Develier, emploient la quasi-totalité des travailleurs communaux alors que les petites communes confient leurs tâches à des mandataires externes, rémunérés à la tâche.

Les principales tâches assumées par ces employés sont l’entretien des espaces verts, y compris les terrains de sport (7 EPT), le balayage des rues et des places (2.6 EPT) ainsi que le déneigement (1.5 EPT). Ce dernier poste correspond à 13% de la totalité des prestations externalisées.

Dans les domaines de la voirie, le Groupe de travail rappelle la polyvalence des employés communaux, déjà éprouvée par la commune de Delémont. Ainsi, par exemple, les employés occupés à des tâches extérieures pendant la période estivale, s’attellent à des travaux de réparation des véhicules, du mobilier, des bancs, dans les bâtiments communaux (peinture notamment) ou de déneigement durant l’hiver. Cette polyvalence est un atout qu’il s’agira de conserver.

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En outre, la mise en commun des ressources en personnel permettra à chaque localité de bénéficier des compétences de l’ensemble des employés de la future entité (ex : ingénieur, urbaniste, architecte, dessinateurs, constructeurs de route, maçons, jardiniers, mécaniciens, etc.). Ce partage pourra également être mis à profit quant aux machines et équipements des localités, qui peuvent être, à l’heure actuelle, sous-utilisés ou dont certaines communes ne disposent pas actuellement.

VI. Fusion : chances et risques Le passage de treize à une commune engendre un certain nombre de changements. Le Groupe de travail a relevé dans le tableau ci-dessous les principaux aspects positifs et négatifs que peuvent engendrer la fusion (liste non exhaustive).

Aspects positifs Aspects négatifs L’administration sera centralisée sur Centralisation Delémont. Horaires d’ouverture plus étendus qu’actuellement Les compétences de certains employés

Bâtiments pourront être mises à profit sur l’ensemble du territoire (ex : architecte, dessinateurs, etc.). Reprise d’une organisation déjà en place avec Gestion centrale des délégués dans les localités Pas d’augmentation de personnel – conservation de la sous-traitance aux privés

Synergie quant à l’utilisation des équipements

Voirie Les compétences de certains employés pourront être mises à profit sur l’ensemble du territoire (ex : ingénieur, dessinateurs, constructeurs de route, maçons, jardiniers, mécaniciens etc.). Période de transition pendant laquelle tous les règlements et les PAL cohabiteront. Frais relatifs à l’uniformisation des PAL révisés

Les compétences de certains employés pourront être mises à profit sur l’ensemble du territoire (ex : urbaniste, responsable des permis de construire et de la police des constructions, dessinateurs, etc.). Gestion communale des permis de construire : traitement des dossiers de manière professionnelle, avec une plus grande efficacité, selon l’appréciation communale. Procédure liée aux demandes de permis de Aménagement du territoire du Aménagement construire plus rapide Autofinancement de la procédure de permis de construire Certaines décisions relatives à l’aménagement du territoire prises par le Conseil général sous réserve

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du futur règlement d’organisation de la commune Plus grande importance et visibilité de la commune sur le plan cantonal et fédéral (intégration au réseau des villes suisses notamment) Majoration de 15% de la participation aux coûts non couverts planifiés (pot commun).

publics Réelle chance pour Vellerat d’obtenir une Transports Transports desserte de transports publics.

VII. Conclusion

Annexe I. Inventaire des bâtiments communaux Annexe II. Inventaire des équipements globaux

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