Roch-Olivier Maistre, Président du Conseil d’administration Laurent Bayle, Directeur général

Dimanche 18 janvier Claude Debussy | Olivier Messiaen

Dans le cadre du cycle La in du temps Du mardi 13 au mardi 20 janvier 2009 | Dimanche janvier 18

Vous avez la possibilité de consulter les notes de programme en ligne, 2 jours avant chaque concert, à l’adresse suivante : www.citedelamusique.fr Claude Debussy | Olivier MessiaenClaude Cycle La in du temps

« Quand ils sentent approcher l’heure de leur mort, les cygnes chantent ce jour-là plus souvent et plus mélodieusement qu’ils ne l’ont jamais fait, parce qu’ils sont joyeux de s’en aller chez le dieu dont ils sont les serviteurs » : la légende, contée ici par Socrate dans le Phédon de Platon, a traversé les siècles et les frontières, de l’Antiquité d’Homère, Ésope ou Ovide à l’Angleterre de Shakespeare et Tennyson, l’Allemagne de Bürger et Brentano ou la Russie de Tchekhov.

Cette prescience de la mort portée par l’espoir de la transiguration, Schubert l’a évoquée au début des années 1820 avec un poème de son ami Johann Chrisostomus Senn (Die Schwanengesang D 744) ; mais le « chant du cygne » que retiendra la postérité, c’est celui des lieder composés durant les derniers mois, d’août à octobre 1828, organisés en recueil après la mort du compositeur par l’éditeur Tobias Haslinger, qui leur donna le titre sous lequel ils sont connus.

Schwanengesang, interprété le mardi 13 janvier par Nathalie Stutzmann et Inger Södergren, est un album composite, pour la simple raison que Schubert ne l’avait pas pensé comme un ensemble mais prévoyait deux publications diférentes, l’une pour les lieder d’après Rellstab, l’autre pour les Heine-Lieder (à ces deux cahiers, Haslinger ajouta le léger Die Taubenpost, sur un poème de Seidl). Les premiers sont caractérisés par leur élan musical, dû en grande partie à un piano très présent, d’une grande richesse ; si les thèmes restent proches des préoccupations schubertiennes (chants d’amour pour la bien-aimée, adresses à la nature, douleurs de la séparation…), tout pathos en est absent. Les lieder d’après Heine paraissent, eux, bien plus testamentaires : tendus, au-delà du lyrisme, lirtant parfois avec le presque rien, jusqu’aux mirages de Die Stadt ou du Doppelgänger, ce double halluciné.

La mort, qui « voue l’homme et tout ce qu’il entreprend à l’incomplétude » (Christian Godin), vint bien souvent mettre le point inal à une œuvre ; rares furent les artistes, tel Rimbaud, qui choisirent délibérément la voie du silence et que la Faucheuse trouva sans projets ni brouillons. Pour un Rossini (et encore !) ou un Sibelius, combien de Mozart (Requiem), de Puccini (Turandot) et de Berg (Lulu, dont le compositeur, face à l’impossibilité d’achever, tira une suite l’année même de sa mort) – ou, du côté littéraire, de Novalis, de Stendhal et de Musil ! Ainsi de Debussy, qui ne réussit à arracher aux « usines du Néant » (selon son expression) que trois des « six sonates pour divers instruments composées par Claude Debussy, musicien français » prévues à l’été 1915. Ainsi de Purcell pour le semi-opéra de Thomas Durfey d’après Don Quichotte ; si les rushes du Don Quichotte d’Orson Welles ont attendu trente-cinq ans pour être inalement montés en 1994, presque dix ans après la mort du cinéaste, celui de Purcell, Eccles et Durfey se voit reconstitué par Philip Pickett et Peter Holman quelque trois cents ans après sa création.

Angèle Leroy DU MARDI 13 AU MARDI 20 JANVIER

MARDI 13 JANVIER – 20H SAMEDI 17 JANVIER – 20H MARDI 20 JANVIER – 20H

Franz Schubert Don Quixote – Version de concert Veli-Matti Puumala Drei Klavierstücke D 946 Seeds of Time, concerto pour piano et Schwanengesang D 957 Semi-opéra de Henry Purcell et John orchestre Eccles Alban Berg Nathalie Stutzmann, contralto Livret de Thomas Durfey d’après Cervantès Lulu Suite Inger Södergren, piano Reconstitution réalisée par Philip Pickett et Peter Holman Ensemble intercontemporain Orchestre du MERCREDI 14 JANVIER – 15H New London Consort Susanna Mälkki, direction JEUDI 15 JANVIER – 10H ET 14H30 Philip Pickett, direction Hendrickje van Kerckhove, soprano SPECTACLE JEUNE PUBLIC Joanne Lunn, Une Bergère, Mellissa, Hidéki Nagano, piano Altisidora Carton Park Julia Gooding, Urganda, Marcella, Celida Concert électro-vidéo Dana Marbach, Une Bergère, La Dame, MERCREDI 21 JANVIER – 15H La Joie JEUDI 22 JANVIER – 10H ET 14H30 Juicy Panic / Gangpol und Mit Andrew King, Un Chevalier, SPECTACLE JEUNE PUBLIC Mami Chan, claviers, voix L’Amoureux, Hymen Norman Bambi, laptop, guitares Joseph Cornwell, Sancho, Saint-George La Boîte à joujoux Gangpol, laptop, ukulélé Michael George, Un Berger, Cardenio, Fantaisie lumineuse Guillaumit, graphisme, vidéo La Discorde Simon Grant, Montesmo, Jacques Musique de Claude Debussy Mark Rowlinson, Prologue, Texte d’André Hellé un Chevalier, un Galérien, Lissis Le Piano Ambulant François Salès, manipulations, caméra DIMANCHE 18 JANVIER – 16H30 et boniments Christine Comtet, lûte, orgue indien, Claude Debussy papier de verre Sonate pour violon et piano Antoinette Lecampion, violon, alto, Sonate pour violoncelle et piano crécelle, mélodica Sonate pour lûte, alto et harpe Joël Schatzman, violoncelle, cymbale Olivier Messiaen indienne Quatuor pour la in du Temps Sylvie Dauter, piano, carillon, kazoo

Olivier Charlier, violon Bénédicte Ober et André Fornier, , alto mise en scène Anne Gastinel, violoncelle Pierre-Yves Boutrand, lumière et Juliette Hurel, lûte scénographie Florent Héau, clarinette Michel Bérof, piano Christine Icart, harpe

DIMANCHE 18 JANVIER – 16H30 Salle des concerts

Claude Debussy Sonate pour violon et piano Sonate pour violoncelle et piano Sonate pour lûte, alto et harpe entracte

Olivier Messiaen Quatuor pour la in du Temps

Olivier Charlier, violon Sabine Toutain, alto Anne Gastinel, violoncelle Juliette Hurel, lûte Florent Héau, clarinette Michel Bérof, piano Christine Icart, harpe

Fin du concert vers 18h30.

5 Claude Debussy (1862-1918) Sonate n° 3 pour violon et piano en sol mineur

Allegro vivo Intermède. Fantasque et léger Finale. Très animé

Composition : février-mars 1917, à Arcachon. Création : le 5 mai 1917 à Paris, , par Gaston Poulet (violon) et Claude Debussy (piano). Éditeur : Durand. Durée : environ 14 minutes.

La musique de Debussy presque toute entière s’exprime sur le ton interrogatif. Ce questionnement, il est rare qu’il échappe à l’urgence, pour ne point dire à l’angoisse. Déjà, comparer à Massenet les élégantes pièces du début relevait de la plus opaque surdité : que dire, aujourd’hui, de la légèreté avec laquelle on a évoqué l’efarement des œuvres ultimes ? Et qui donc dénonçait, dans les trois sonates, des renoncements néo-classiques ? En fait, les prémisses étaient pire encore : « Trente millions de Boches ne peuvent pas détruire la pensée française » airmait celui qui signait « musicien français ». Dans ces années, Debussy n’est certes pas la seule victime de cette ièvre nationaliste ; une chance paradoxale veut qu’heureusement, il en soit la plus grande. Dès lors, une intention minable – proscrire la « forme-sonate » parce que d’inspiration germanique – débouche sur des promesses immenses : dénouer le mélodisme tonal – c’était dans l’air à Vienne aussi ! – en l’abandonnant aux friches de l’esthétique baroque. Pris comme exemple, François Couperin allait sans doute à l’opposé – trouver de grandes formes – mais qu’importe : l’atomisation thématique, le mouvement brownien de plus en plus intempérant qui, chez Debussy, menaçait la « clarté française » (d’où l’insuccès de Jeux en 1913), trouve là une légitimité. Et le musicien s’élance, plus fantasque que jamais, débridant une imagination telle que l’angoisse y suscite une vitalité désespérée, relayée par l’invention instrumentale. Néo-classicisme ? Mais non : Debussy plus extrémiste que jamais !

La Sonate pour violon et piano est écrite alors que la Première Guerre mondiale s’éternise (février-mars 1917). Dieu merci, le sentiment nationaliste qui la motive n’afecte en rien la splendeur de la musique, l’absolue liberté du trait, l’étrangeté souvent angoissante de la moindre inlexion. L’œuvre se déploie d’abord en un long thème éperdu qui, par ses luidités mêmes, va engendrer diverses « improvisations ». Le second mouvement est simplement désigné comme Intermède et précisé comme « fantasque et léger » (autre déinition de la « pensée française » selon Debussy). Tout en cabrioles, en ostinati hésitants, en accelerandi zigzagants, il crée plus de malaise que de bonheur tandis que le inale, « très animé », s’évade bientôt vers une manière de mouvement perpétuel. Un épisode d’une langueur sans doute parodique mènera le discours vers une péroraison résolue. Certes, Debussy n’eut pas été lui-même contraint à la « forme sonate ».

6 Mais ni Haydn ni même la guerre n’entrent ici en ligne de compte ! Seulement les émois les plus subtils, traduits selon des lignes si rares, si imprévues que seules des formules très littéraires ont pu en suggérer le sens. L’œuvre fut créée sans retard (5 mai 1917). Ce fut la dernière apparition publique de Debussy.

Marcel Marnat

Sonate n° 1 pour violoncelle et piano en ré mineur

Prologue Sérénade Finale

Composition : juillet-août 1915 à Pourville. Création : le 4 mars 1916, Aeolian Hall de Londres, par Charles Warwick Evans (violoncelle) et Ethel Hobday (piano) ; création parisienne le 24 mars 1916, par Joseph Salmon (violoncelle) et Claude Debussy (piano). Éditeur : Durand. Durée : environ 12 minutes.

L’œuvre fait la part belle au violoncelle et utilise toutes ses ressources expressives et timbriques. Debussy a d’ailleurs estimé nécessaire de préciser : « Que le pianiste n’oublie jamais qu’il ne faut pas lutter contre le violoncelle, mais l’accompagner ». Un début déclamatoire, aux allures d’ouverture à la française, mène bientôt à un thème plus lyrique de violoncelle dolce sostenuto, caractérisé par sa courbe descendante. Après un passage central plus agité, les deux thèmes reviennent et le mouvement s’achève sur des souvenirs du triolet initial. Le second mouvement, caractéristique de la modernité du dernier Debussy, joue des pizzicati aux allures de guitare, convoque quelques rythmes de habanera et déroule son discours de façon fantasque, dans la plus grande liberté, avant de mener attacca au inale qui semble hésiter entre Espagne et France. Après une très courte cadence de violoncelle, l’œuvre s’achève brusquement sur des accords fortissimo, très secs. Si Pierrot il y a (Debussy avait songé à intituler l’œuvre Pierrot fâché avec la lune), c’est, bien plus qu’un clown triste, un Pierrot extravagant et versatile, un cousin du General Lavine, de Puck ou du chanteur de La Sérénade interrompue (Préludes pour piano).

Angèle Leroy

7 Sonate n° 2 pour lûte, alto et harpe en fa majeur

Pastorale Interlude. Tempo di minuetto Finale

Composition : in septembre-début octobre 1915. Création : le 10 décembre 1916 à Paris, Éditions Durand, par Albert Manouvrier (lûte), Darius Milhaud (alto) et Jeanne Dalliès (harpe chromatique). Éditeur : Durand. Durée : environ 17 minutes.

Debussy en fut-il conscient ? L’efectif de la Sonate pour lûte, alto et harpe n’est autre que le trio germanique travesti : la lûte remplace (comme souvent du temps de Couperin) la partie de violon ; l’alto n’est là que pour ofrir un son plus étrange que le violoncelle ; quant à la harpe, ce n’est qu’un équivalent romantico-symboliste du clavier traditionnel, devenu trop pesant face à ses partenaires (le clavecin n’était pas encore à la mode). L’important est que l’interrogation debussyste nous terrasse dès les premières mesures : harpe apeurée supplantée par une lûte indécise, relayée très vite – en un mixage phénoménal ! – par un alto d’un esseulement pathétique… Le caractère presque mourant d’un tel début est tellement intoxicant que le musicien a spontanément recours au fameux « second thème » de la « sonate » (en principe honnie), second thème qui, pour ne pas être identiié comme tel, fait mine de prolonger – avec une désinvolture soudain aérienne – ce qui vient d’être avoué… Tout le « mouvement » (donné comme Pastorale) s’improvise dès lors entre ces deux extrêmes, avec quelques épisodes plus âpres ou plus soucieux, s’acheminant chaque fois vers des gambades et du cache-cache : Watteau, Verlaine… L’Interlude qui suit se veut Menuet, mais l’interrogation des « circonstances de la vie » n’y est pas moins planante, prégnante, poignante, hors de toute continuité banale (avec notamment l’élan de deux improvisations enthousiastes, vite gangrenée par le thème initial). La in sera totalement hagarde, sur une étrange note tenue, au grave de l’alto. Seulement dans le inale (risoluto), Debussy afectera une certaine énergie – fusée ralentie petit à petit et relancée sans cesse, tant bien que mal –, ses éléments dynamiques se trouvant inexorablement dispersés (comme dans la in d’Iberia) et n’étant plus assemblés que par une couleur générale de plus en plus plombée. La pirouette inale n’abusera personne.

M. M.

8 Olivier Messiaen (1908-1992) Quatuor pour la in du Temps

Liturgie de cristal Vocalise, pour l’Ange qui annonce la in du Temps Abîme des oiseaux Intermède Louange à l’Éternité de Jésus Danse de la fureur, pour les sept trompettes Fouillis d’arcs-en-ciel, pour l’Ange qui annonce la in du Temps Louange à l’immortalité de Jésus

Composition : 1940. Création : le 15 janvier 1941 à Görlitz (Silésie), Stalag VIII A, par Jean Le Boulaire (violon), Henri Akoka (clarinette), Étienne Pasquier (violoncelle), Olivier Messiaen (piano). Efectif : violon, clarinette, violoncelle, piano. Éditeur : Durand. Durée : environ 49 minutes.

« Je vis un ange plein de force, descendant du ciel, revêtu d’une nuée, ayant un arc-en-ciel sur la tête. Son visage était comme le soleil, ses pieds comme des colonnes de feu. Il posa son pied droit sur la mer, son pied gauche sur la terre, et, se tenant debout sur la mer et sur la terre, il leva la main vers le Ciel et jura par Celui qui vit dans les siècles des siècles, disant : Il n’y aura plus de Temps ; mais au jour de la trompette du septième ange, le mystère de Dieu se consommera. » (Apocalypse de Saint Jean, Chapitre X)

Conçu et écrit pendant ma captivité, le Quatuor pour la in du Temps fut donné en première audition au Stalag VIII A le 15 janvier 1941, par Jean Le Boulaire (violoniste), Henri Akoka (clarinettiste), Étienne Pasquier (violoncelliste) et moi-même au piano. Il a été directement inspiré par cette citation de l’Apocalypse. Son langage musical est essentiellement immatériel, spirituel, catholique. Des modes, réalisant mélodiquement et harmoniquement une sorte d’ubiquité tonale, y rapprochent l’auditeur de l’éternité dans l’espace ou inini. Des rythmes spéciaux, hors de toute mesure, y contribuent puissamment à éloigner le temporel. (Tout ceci restant essai et balbutiement, si l’on songe à la grandeur écrasante du sujet !)

Ce Quatuor comporte huit mouvements. Pourquoi ? Sept est le nombre parfait, la création de six jours sanctiiée par le sabbat divin ; le sept de ce repos se prolonge dans l’éternité et devient le huit de la lumière indéfectible, de l’inaltérable paix.

Olivier Messiaen (Préface de la partition)

9 Olivier Charlier Orchestre de Chambre Conservatoire de Paris (CNSMDP) Olivier Charlier s’est imposé comme du Württemberg, Orchestre de en 1982 puis obtient les premiers prix un des principaux violonistes de la Tonhalle de Zurich, Nederlands d’alto dans la classe de sa génération. Il poursuit en fait un Philharmonisch, Orchestre de la et de musique de chambre dans celle parcours exemplaire : premier prix du Résidence de la Haye, orchestres de Bruno Pasquier. Elle poursuit Conservatoire de Paris (CNSMDP) de Monte-Carlo, Prague, Zagreb, sa formation avec une année à 14 ans, lauréat de nombreux New York, Montréal, Québec, Mexico, de perfectionnement de quatuor concours internationaux (Munich, Tokyo, Sydney... Olivier Charlier à cordes, dans la classe de Jean Montréal, Sibelius, Jacques Thibaud, poursuit avec discernement une Moullière, et d’alto, ain de Indianapolis, Young Concert Artists carrière discographique, relet de se présenter aux concours New York…), pris sous l’aile de son éclectisme, comprenant entre internationaux. Sabine Toutain personnalités come , autres (chez Chandos) les concertos est d’abord inaliste du Concours et , de Dutilleux (L’Arbre des songes), Eurovision des jeunes musiciens ce virtuose a connu un succès Lalo (Concerto Russe et Concerto en puis lauréate du Concours Maurice- précoce. Olivier Charlier peut fa), Edward Gregson, Gerard Vieux. Enin, elle obtient le deuxième revendiquer son appartenance Schurmann (tous avec le BBC prix et le prix de la Suisse au Concours à l’école française de violon – celle Philharmonic Orchestra), celui de International de Genève. Les grandes de Jacques Thibaud, Ginette Neveu, Roberto Gerhard (BBC Symphony), salles parisiennes l’invitent : Christian Ferras… – et se vanter de les deux Mendelssohn avec Auditorium du Louvre, Salle Gaveau, la faire briller sur les scènes du monde l’Orchestre Philharmonique de Radio France… Elle s’y produit tant entier. Il a joué avec plus d’une Monte-Carlo et en soliste qu’en musique de chambre. cinquantaine d’orchestres français, (Erato), Saint-Saëns avec l’Ensemble Elle est également invitée à Prague, aux premiers rangs desquels on Orchestral de Paris et Jean-Jacques en Italie, en Espagne, en Suisse et trouve les orchestres parisiens Kantorow (EMI France). En sonate, au Vietnam. Sollicitée par de (Orchestre National de France, il a enregistré de nombreuses œuvres nombreux compositeurs, elle crée , Orchestre françaises avec : Franck, notamment Épisode sixième de Betsy Philharmonique de Radio France, Debussy, Saint-Saëns, Pierné, Vierne Jolas. Depuis 1990, Sabine Toutain Orchestre de l’Opéra de Paris, (Erato), et avec le duo qu’il forme avec est alto solo de l’Orchestre National Ensemble Orchestral de Paris…), : Schumann, Grieg et de France, avec lequel elle a joué ainsi que les orchestres de régions Beethoven (Harmonia Mundi). Olivier les concertos de Béla Bartók et (orchestres nationaux d’Île-de-France, Charlier enseigne au CNSMDP, William Walton. Passionnée par de Lyon, de Bordeaux, de Toulouse, où il a succédé à son professeur l’enseignement, elle est, depuis 2000, de Lille, des Pays de la Loire, de Pierre Doukan en 1992. Il est professeur d’alto au Conservatoire Strasbourg, de Montpellier, de régulièrement invité aux jurys des de Paris. Elle participe à de Cannes, de Nice…). Il est également concours internationaux : Munich, nombreuses académies d’été et l’invité régulier des grandes Hanovre, Indianapolis, Jacques est invitée pour des master-classes formations internationales : London Thibaud, Sibelius… en France et à l’étranger. Philharmonic, BBC Philharmonic, Hallé Orchestra, Orchestre Sabine Toutain Anne Gastinel Symphonique de la Ville de Les premières années d’études Anne Gastinel débute le violoncelle Birmingham, Orchestre Symphonique musicales de Sabine Toutain à l’âge de 4 ans, poursuit de Berlin, orchestres des radios de se déroulent au Mans, ville où elle parallèlement des études de piano Hambourg, de Sarrebruck, de Bavière, est née en 1966. Elle entre au et de hautbois, et, à 10 ans, donne

10 son premier concert télévisé avec Anne Gastinel reçoit la Victoire de Wanderer… Elle donne régulièrement orchestre. Entrée au Conservatoire la Musique dans la catégorie « soliste des concerts avec l’Orchestre National Supérieur de Musique de de l’année ». Dans l’histoire des d’Auvergne, l’Orchestre de Chambre Lyon à seulement 11 ans, elle y Victoires de la Musique, elle est de Toulouse, l’Orchestre de Bretagne, remporte un premier prix en 1986 la seule artiste ayant obtenu un l’Orchestre Symphonique et est admise la même année en trophée dans chacune des catégories Métropolitain de Tokyo et participe troisième cycle au Conservatoire (« jeune talent », « meilleur à divers festivals tels que La Roque- de Paris (CNSMDP). Yo-Yo Ma, János enregistrement » et « soliste de d’Anthéron, les Folles Journées de Starker et , auprès l’année »). Fidèlement soutenue par Nantes, Colmar, Auvers-sur-Oise, les desquels elle se perfectionne et le F.I.F. et unanimement reconnue Flâneries Musicales de Reims… qui marqueront profondément son comme l’ambassadrice française du Depuis 1998, Juliette Hurel occupe évolution personnelle et musicale, violoncelle, elle a été choisie pour le poste de lûte solo de l’Orchestre reconnaissent déjà en elle la maturité jouer pendant un an le mythique Philharmonique de Rotterdam, dirigé d’une artiste à part. Après avoir Matteo Gofriller de Pablo Casals et par Valery Gergiev. Ayant à cœur remporté de nombreux prix dans partage désormais avec un Testore d’interpréter la musique les grands concours internationaux de 1690 autant de créations d’aujourd’hui, elle a eu l’occasion (Scheveningen, Prague, contemporaines que de programmes de travailler avec des compositeurs Rostropovitch), elle commence du grand répertoire. Professeur au tels que Pierre Boulez, Pascal Dusapin, à se produire dans toute l’Europe, Conservatoire National Supérieur Philippe Hersant, Éric Tanguy… révélée au grand public lors du de Musique de Lyon, marraine du Elle a réalisé plusieurs Concours Eurovision 1989, retransmis festival des Rencontres de Musique enregistrements en compagnie depuis Vienne par toutes les de Chambre de Lyon, elle continue de la pianiste Hélène Couvert, télévisions européennes. Applaudie parallèlement de séduire toutes les enregistrements qui ont été sur les plus grandes scènes (Salle scènes du monde, privilégiant chaleureusement accueillis par la Pleyel, Théâtre des Champs-Élysées, toujours le plaisir de l’échange, critique (Martinu/Prokoiev, chez Musikverein, Santori Hall, Théâtre essence même de la musique Lyrinx ; Musique française pour lûte du Châtelet, Victoria Hall…), elle à ses yeux. du XXe siècle, chez Naïve/Valois ; poursuit aujourd’hui carrière à travers sonates de Haydn, chez Zig-Zag le monde, de l’Amérique à l’Asie, de Juliette Hurel Territoires). Son dernier disque des l’Afrique à l’Europe, invitée par les Après avoir remporté un premier prix concertos pour lûte et orchestre de orchestres les plus renommés sous de lûte et un premier prix de Carl Philipp Emanuel Bach, en la baguette de chefs comme Kurt musique de chambre à l’unanimité compagnie de l’Orchestre d’Auvergne Sanderling, Emmanuel Krivine, au Conservatoire de Paris (CNSMDP), sous la direction d’Arie Van Beek, Vladimir Spivakov, Michel Plasson, Juliette Hurel est lauréate de est paru chez Zig-Zag Territoires. Semyon Bychkov, Pinchas Steinberg, nombreux concours internationaux Juliette Hurel a été nommée Youri Bashmet, Max Rabinovitsj, tels que ceux de Darmstadt, Kobé, « révélation de l’année » aux Victoires Yehudi Menuhin, Louis Langrée, Bucarest ou le concours Jean-Pierre de la Musique classique en 2004. Michaël Schönwandt… Rampal… Soliste et chambriste Depuis 2006, elle est professeur Depuis près de 15 ans, reconnue, jouant en Europe et de lûte au Conservatoire Royal ses productions discographiques au Japon, elle se produit aux côtés de La Haye. sont saluées par les médias de Gary Hofman, Youri Bashmet, internationaux et couronnée des Schlomo Mintz, Marielle Nordmann, plus hautes distinctions. En 2006, Stephen Kovacevich ou encore le Trio

11 Florent Héau fondateurs de la compagnie de le concerto et la musique de chambre Florent Héau étudie la clarinette au théâtre musical Les Bons Becs, de Nicolas Bacri chez Zig-Zag Conservatoire de Paris (CNSMDP). au sein de laquelle on peut apprécier Territoires. Pour le label Saphir, Il obtient un premier prix avant de ses talents de musicien, à la clarinette des œuvres de Ravel avec Marielle poursuivre sa formation en cycle comme à la lame sonore, et le Nordmann, Patrick Gallois et de perfectionnement. En 1991, découvrir danseur de claquettes ! le Quatuor Parisi. En 2005, son il remporte le Premier Grand Prix Depuis 1996, le spectacle Tempête enregistrement des trios de du Concours International de sur les anches, une plaisanterie Beethoven avec Jérôme Ducros Musique de Toulon. Le duo clarinette musicale et poétique pour clarinettes et a été salué et piano Héau-Zygmanowski obtient et percussions, a été joué en France par la critique. En 2008 est paru chez les premiers prix du Concours et dans de nombreux pays : Espagne, Zig-Zag Territoires, très favorablement International de Musique de chambre Suède, Italie, Danemark, Portugal, accueilli par la critique, un disque de Paris en 1994 et du concours Allemagne, Belgique, Nouvelle- consacré au quintette et aux sonates « Musique d’ensemble » de la Calédonie… Héritier de la grande K. 378 et K. 380 pour violon et clavier Fédération nationale des associations tradition de l’école française de (arrangements pour quatuor avec de parents d’élèves des clarinette, Florent Héau a été clarinette, violon, alto et violoncelle) conservatoires et écoles de musique, professeur-assistant de Michel de Mozart, avec le Quatuor Manfred. de danse et d’art dramatique en 1995. Arrignon au Conservatoire de Paris À paraître prochainement chez Dès lors, Florent Héau débute son de 1999 à 2003. Il est actuellement Transart, l’enregistrement live du activité de concertiste aux côtés de professeur de clarinette au Concerto pour clarinette de Mozart chambristes tels que Marielle Conservatoire National de Région avec l’Orchestre de Chambre Nordmann, Gérard Caussé, Roland de Rueil-Malmaison. Pédagogue de Prague. Pidoux, Régis Pasquier, Patrice apprécié, Florent Héau est Fontanarosa, ou de quatuors à cordes régulièrement invité en Europe et Michel Bérof – Prazák, Manfred, Parisi, Ysaÿe… en Asie à donner des master-classes. Michel Bérof est né à Épinal en 1950. Il joue en soliste, notamment avec Il a enregistré, avec Patrick Après des études au Conservatoire de l’European Camerata, l’Orchestre de Zygmanowski, de la musique Nancy, il obtient en 1966 un premier Picardie, l’Orchestre Symphonique française pour clarinette et piano prix de piano au Conservatoire Français, l’Orchestre de Cannes-PACA, chez Lyrinx en 1995 ainsi que des de Paris (CNSMDP) dans la classe l’Ensemble Orchestral de Paris ou sonates de Brahms et Reger chez de Pierre Sancan. L’année suivante, l’Orchestre de Chambre de Prague. Zig-Zag Territoires. Pour ce label, il se voit décerner le premier prix Florent Héau est l’invité de nombreux il a également gravé des œuvres de du premier Concours International festivals français, comme ceux de Schumann avec Vinciane Béranger à Olivier-Messiaen. Il est depuis Prades, Deauville, les Folles Journées l’alto et Anne-Lise Gastaldi au piano, considéré comme l’un des plus de Nantes… et se produit dans de Stravinski avec David Lefèvre au importants interprètes de ce diférents pays – Belgique, Chine, violon et de nouveau Anne-Lise compositeur. La carrière de Michel Japon, Lettonie, Pologne, Espagne, Gastaldi. Pour le label Transart Live, Bérof l’a mené dans le monde entier, Kosovo, Hong-Kong, Corée du sud… il a enregistré Le Pâtre sur le rocher de jouant avec les orchestres les plus En 1997, Thierry Escaich lui conie Schubert avec Katarina Jovanovic prestigieux, sous la direction de chefs la création du Chant des ténèbres, et Bruno Fontaine. Chez Accord, tels que Claudio Abbado, Daniel concerto pour clarinette et orchestre, il a gravé Chorus de Thierry Escaich. Barenboïm, Leonard Bernstein, Pierre au Festival d’Auvers-sur-Oise. Florent Avec le Sextuor de Monaco et Boulez, Christoph von Dohnányi, Héau est par ailleurs un des membres l’European Camerata, il a enregistré Antal Dorati, Charles Dutoit, Christoph

12 Eschenbach, Michael Gielen, Eliahu les dernières saisons, Michel Bérof carrière est consacrée à la musique de Inbal, Eugen Jochum, Erich Leinsdorf, a joué avec le London Symphony chambre, qu’elle partage avec ses Kurt Masur, Seiji Ozawa, André Previn, Orchestra sous la direction de Pierre amis musiciens, notamment Philippe Mstislav Rostropovitch, Giuseppe Boulez, le New York Philharmonic Bernold, Emmanuelle Bertrand, Sinopoli, Georg Solti, Klaus Tennstedt, avec Kurt Masur, ainsi que le London Renaud Capuçon, le Quatuor Debussy, Michael Tilson-Thomas, David Philharmonic pour une importante le Quatuor Parisi, Patrice Fontanarosa, Zinman. Ses activités de chambriste tournée en Angleterre et en Espagne, Benoît Fromanger, Françoise Masset, l’ont amené à collaborer activement efectué trois tournées au Japon, Marielle Nordmann, Bruno Pasquier, avec Martha Argerich, Barbara dont une avec le Philharmonia Jean-Pierre Rampal… Elle s’est Hendricks, Jean-Philippe Collard, Lynn Orchestra sous la direction d’Esa- produite Salle Gaveau, Salle Pleyel, Harrell, Augustin Dumay, Pierre Pekka Salonen, donné en concert Salle Olivier Messiaen (Maison de la Amoyal. Malgré une activité intense à Paris l’intégrale de la musique pour Radio), au Théâtre des Champs- de soliste, Michel Bérof a commencé piano de Debussy et de Janácek, Élysées, ainsi que dans de nombreux une carrière de chef d’orchestre et ainsi que des concerts avec festivals comme les Chorégies enseigne au Conservatoire de Paris l’Orchestre de Paris dirigés par d’Orange, le Festival de Besançon, les depuis 1989. Pour Wiener Urtext, Christoph Eschenbach. Il a en outre Flâneries Musicales de Reims, Saoû il a participé a une nouvelle édition donné de très nombreux concerts en chante Mozart, le Festival Berlioz de des œuvres de Claude Debussy. Allemagne, Hollande, Suède, Finlande, La Côte-Saint-André, le Festival d’Île- La télévision japonaise NHK l’a Portugal, Grèce, Brésil, Corée et Chine. de-France, le Festival de l’Abbaye sollicité en 2006 pour une série de de l’Épau, le Festival de la Vézère, quinze master-classes autour de la Christine Icart le Festival International de Malte… musique française. Artiste exclusif EMI Premier Prix du Concours Ses concerts l’amènent également pendant plus de vingt ans, Michel International Lily-Laskine (unique à se produire à l’étranger : Bérof a réalisé plus de 50 lauréate française de ce concours en Allemagne, Espagne, Italie, enregistrements, parmi lesquels depuis sa création), Christine Icart Indonésie, Thaïlande, Nouvelle l’intégrale de l’œuvre pour piano appartient à l’école de harpe Calédonie, Russie… En tant que et orchestre de Liszt, Prokoiev et française. Après avoir débuté soliste, elle a été invitée par Stravinski sous la direction de Kurt la harpe à l’âge de 6 ans au l’Orchestre Pasdeloup, l’Orchestre Masur et Seiji Ozawa, ainsi que des Conservatoire de Nice, elle achève des Concerts Lamoureux, l’Orchestre œuvres de Bach, Brahms, Schumann, brillamment ses études avec un d’Avignon, l’Orchestre de Chambre Dvorák, Moussorgski, Saint-Saëns, premier prix de harpe du d’Auvergne, l’Orchestre de Cannes- Debussy, Ravel, Messiaen, Stravinski Conservatoire de Paris, et se PACA, l’Orchestre de l’Opéra de Nice, et Bartók. Pour Deutsche perfectionne auprès de Marielle la Capella Istropolitana, l’Orchestre Grammophon, Michel Bérof Nordmann. Christine Icart est lauréate de Chambre Mendelssohn… On peut a enregistré le Concerto pour la main de nombreux concours également l’entendre sur les ondes gauche de Ravel avec le London internationaux : premier prix de ou sur France 3, Symphony Orchestra sous la direction du Concours International Louise- dans l’émission d’Alain Duault de Claudio Abbado. Pour la irme Charpentier, Prix de la Fondation « Toute la musique qu’ils aiment », Denon, il vient de graver en cinq pour la Vocation Bleustein-Blanchet, où elle est invitée par Dee Dee disques l’intégrale de la musique pour lauréate de l’Action Musicale Philip Bridgewater. En 2006, elle est piano de Claude Debussy. Morris, Prix de la Spédidam, lauréate également à l’aiche du Théâtre Ses enregistrements ont reçu de la Fondation Natexis-Banque Montparnasse dans le spectacle 5 « Grand Prix du Disque ». Durant Populaire. Une grande partie de sa Ma vie avec Mozart d’Eric-Emmanuel

13 Schmitt avec la mezzo-soprano Françoise Masset et l’acteur Didier Sandre. Elle a enregistré un disque lûte et harpe avec Philippe Bernold, des mélodies de avec Mireille Delunsch et un CD/DVD autour des mélodies de Joseph Kosma avec Françoise Masset (Zig-Zag Territoires). Christine Icart est directrice artistique du festival Les Rencontres Musicales (Savoie) et enseigne la harpe au Conservatoire National de Région de Rueil-Malmaison.

14 Et aussi…

> CONCERTS MERCREDI 25 FÉVRIER, 20H > MÉDIATHÈQUE

VENDREDI 6 FÉVRIER, 20H Alban Berg En écho à ce concert, nous vous Quatre Pièces op. 5, pour clarinette et proposons… Claude Debussy piano Danses, pour harpe et cordes Anton Webern … de consulter en ligne dans les Unsuk Chin Six Bagatelles op. 9, pour quatuor à « Dossiers pédagogiques » : Doppelkonzert, pour piano, percussion cordes Olivier Messiaen dans les « Repères et ensemble « Schmerz immer blick », op. posth., musicologiques » • Quatuor pour la in Arnulf Herrmann pour mezzo-soprano et quatuor à du Temps d’Olivier Messiaen par Pierre Fiktiv Tänze – 2e cahier (Commande de cordes Albert Castanet dans les « Guides l’Ensemble intercontemporain, Claude Debussy d’écoute » création) Syrinx, pour lûte Igor Stravinski Charles Ives … d’écouter : Ragtime, pour onze instruments Quatuor à cordes n° 2 – extrait Quatuor pour la in du Temps d’Olivier Renard, histoire burlesque chantée et jouée Messiaen par Luben Yordanof (violon), Trois Poèmes de Stéphane Mallarmé, Albert Tetard (violoncelle), Claude Ensemble intercontemporain pour mezzo-soprano et neuf Desurmont (clarinette) et Daniel Susanna Mälkki, direction musiciens Barenboïm (piano) Frédérique Cambreling, harpe Arnold Schönberg Dimitri Vassilakis, piano Pierrot lunaire, pour mezzo-soprano … de lire : Samuel Favre, percussion et cinq musiciens La Sonate pour lûte, alto et harpe ou Olivier Dumait, Dmitri Voropaev, l’appropriation d’un genre par Claude ténors Ensemble intercontemporain Debussy, musicien français de Ronan Nédélec, baryton François-Xavier Roth, direction Jean-Claire Vançon • Messiaen : Quatuor Rihards Macanovskis, basse Ute Döring, mezzo-soprano pour la in du Temps d’Anthony Pople

> DOMAINE PRIVÉ … d’écouter en suivant la partition : PASCAL DUSAPIN JEUDI 26 FÉVRIER, 20H Sonate pour violon et piano de Claude Debussy par Nemanja Radulovic DU VENDREDI 27 MARS Anton Webern (violon) et Dominique Plancade (piano) AU SAMEDI 11 AVRIL Cinq Pièces op. 10 • Sonate pour lûte, alto et harpe de Alban Berg Claude Debussy par Lucien Lavaillote Le Domaine privé Pascal Dusapin Altenberg Lieder (lûte), Pierre Laghuie (alto) et Bernard présente les œuvres du compositeur Claude Debussy Galais (harpe) 1014849, 1013248, 1013252 Jeux o

français le plus marquant de s n Igor Stravinski sa génération. > CONCERT ÉDUCATIF Le Sacre du printemps

SAMEDI 14 MARS, 11H Brussels Philharmonic > ZOOM SUR UNE ŒUVRE Autour de Dave Liebman Michel Tabachnik, direction Christiane Iven, soprano MARDI 24 MARS, 18H30 Ensemble intercontemporain Susanna Mälkki, direction Incises de Pierre Boulez Dave Liebman, saxophone

Pierre Albert Castanet, musicologue ImprimeurVINCENT | Imprimeur France Repro | Licence Pour les enfants à partir de 10 ans.

Éditeur : Hugues de Saint Simon | Rédacteur en chef : Pascal Huynh | Rédactrice : Gaëlle Plasseraud | Maquettiste : Ariane Fermont | Stagiaires : Marie Laviéville et Romain Pangaud