Le Monde De La Distribution 1995

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Le Monde De La Distribution 1995 LE MONDE DE LA DISTRIBUTION LPM LES PRESSES DU MANAGEMENT 103, boulevard Murat 75016 PARIS Jean-Claude FAUVEAU LE MONDE DE LA DISTRIBUTION LE COMMERCE FRANÇAIS LES FICHES DES SOCIÉTÉS DE DISTRIBUTION LES SOCIÉTÉS DE DISTRIBUTION ET LEURS COORDONNÉES L'ANNUAIRE DES SOCIÉTÉS DE DISTRIBUTION LE HIT-PARADE DES DISTRIBUTEURS BIBLIOGRAPHIE LES ABRÉVIATIONS DU MÊME AUTEUR Le chef de rayon dans le nouveau commerce. Collection Distribution Vente. Chotard et Associés 1984. Les grands magasins. Etude 1985. Le financement de votre magasin. Collection Distribution Vente. Chotard et Associés 1987. Le Monde de la Distribution. Les Presses du Management 1991. Le Monde de la Distribution. Les Presses du Management 1993. Le Monde de la Distribution. Edition 1995. « Un homme intelligent peut souhaiter ne rien vouloir faire, il ne peut pas souhaiter ne pas savoir. » Bernardo TRUJILLO © LES PRESSES DU MANAGEMENT, 1995 Tous droits de traduction, de reproduction et d'adaptation réservés pour tous les pays. IMPRIMÉ EN FRANCE PRÉFACE Vers une mondialisation L'édition 1995 du monde de la Distribution apporte une vision complète du commerce moderne français. Elle aura été considérablement enrichie par rapport aux précé- dentes. Et cela, dans un monde qui bouge en permanence. Une nécessité pour les sociétés de distribution pour s'adap- ter et progresser. L'année 1995 sera vraisemblablement marquée par trois phénomènes distincts : D'abord une accélération de la mondialisation des princi- pales sociétés de distribution ; Ensuite le développement de la concentration européenne par le rachat d'entreprises françaises ou étrangères ; Enfin la poursuite de la conquête du territoire national par les hard-discounters. La mondialisation est en marche. Et l'exemple de Carrefour en est l'illustration parfaite. Le leader de la distribution française ne compte plus sur la France pour assurer son expansion. Le secteur Europe reste porteur, le groupe s'ins- tallant même en Turquie. L'Asie est désormais son terrain de chasse favori : après Taïwan, la Malaisie et la Thaïlande le groupe investit la Chine. Mais, si Carrefour a abandonné les USA, d'autres pays sont aussi en ligne de mire comme le Mexique, etc. Promodès suit un peu la même démarche, tout comme Le Printemps dans le secteur des grands magasins ou la vente par correspondance. La concentration des entreprises de distribution va se poursuivre. Après Tesco qui a repris les Etablissements Catteau, Cora qui a pris pied chez Louis Delhaize en Belgi- que ou Delhaize Le Lion qui a racheté les Supermarchés PG, les anglais débarquent en France par le biais d'Euro- tunnel : Tesco et Sainsbury ouvrent leurs premiers maga- sins à Calais. Mais déjà on peut prévoir qu'en 1995 un certain nombre de regroupements auront lieu. Touchant des petites mais aussi de grandes entreprises qui ne peuvent rester seules. Les distributeurs anglais auraient ainsi plu- sieurs français en ligne de mire. Et non des moindres, les hard-discounters prolifèrent autour des entrepôts régio- naux qu'ils montent un peu partout. Début 1995 il devrait y avoir environ 1 400 magasins de ce type. Et on prétend que l'année prochaine il s'ouvrira un nouveau point de vente tous les jours. Lidl est le plus dynamique, mais CDM (Inter- marché) le talonne. Là aussi une concentration pourrait s'opérer entre certains opérateurs français. Mais la grande affaire dans Le Monde de la Distribution française en 1995, sera liée aux élections. Une question hante tous les esprits : y aura-t-il, après cette échéance, une reprise des autorisations de création ? La réponse à cette question conditionnera l'évolution de ce secteur jusqu'en l'an 2000. Jean-Claude FAUVEAU LE COMMERCE FRANÇAIS LE COMMERCE FRANÇAIS Ce secteur d'activités regroupe en 1995 environ 500 000 entreprises, employant 2,7 millions de personnes (soit 12,2 % de la population active), se décomposant ainsi : — 420 000 commerces de détail réalisent un chiffre d'af- faires de 2 137 milliards de francs (753 milliards de francs en alimentaire et 1 385 millilards de francs en non-alimentaire) et employant 1,7 million de personnes (en progression chaque année). — 80 000 commerces de gros générant un chiffre d'affaires de 2 200 milliards de francs avec près de 1 million d'em- ployés (en diminution). Le commerce investit chaque année 70 milliards de francs. Le commerce français est un secteur économique extrê- mement complexe utilisant différents circuits de distribu- tion ou des organismes spécifiques tels que les centrales d'achat. Quatre grands secteurs constituent le commerce français : — Le commerce de gros. — Le commerce de détail. — Le commerce associé. — Le commerce indépendant. LES CIRCUITS DE DISTRIBUTION (ou canaux de distribution) Tous les produits ou les services les utilisent pour arriver jusqu'au consommateur. Du lieu de production jusqu'à celui de la consommation ils peuvent être différents selon la nature des produits. Différents agents économiques peuvent intervenir dans le circuit : — Le producteur, — Le grossiste, — Des intermédiaires spécialisés, comme les agents commerciaux, les commissionnaires, les courtiers, — Le détaillant, avant de parvenir au consommateur. Des prescripteurs peuvent intervenir, pour influer sur un canal de distribution, sans pour autant interférer dans la transaction : médecins ou pharmaciens pour les médica- ments ou les produits para-pharmaceutiques, architectes pour le choix des matériaux, etc. Certains agents transfor- ment le produit en l'améliorant ou en le reconditionnant. Le choix d'un circuit de distribution ne peut se décider a priori, mais en fonction de la production d'un produit et de sa consommation. Les producteurs combinent souvent plusieurs circuits pour atteindre tous les types de maga- sins. De plus en plus des problèmes de stockage influent aussi dans le choix des canaux, la notion de coût logistique étant devenue un élément majeur du prix d'un produit. Les circuits de distribution réservés à une seule famille de produits s'appellent des filières. Il en existe pour la viande, la pêche, la farine, etc. Il existe trois types de circuits de distribution. L'ULTRA COURT Il s'agit des circuits qui permettent la vente directe d'un produit. Dans ce cas, le producteur joue aussi le rôle de grossiste et de détaillant. C'est le cas de la vente à la ferme, à l'usine, à domicile, par catalogue, par magasins intégrés (André), et aussi de pro- duits artisanaux (boulangers, tailleurs, etc.). Certains producteurs l'utilisent pour contrôler la distribu- tion de leurs produits : Tupperware, Avon, etc. LE COURT Il y a dans ce cas un intermédiaire et un seul : le détaillant. Ce type de circuit est utilisé pour la vente directe du produc- teur au consommateur par l'intermédiaire d'un VRP ou d'un concessionnaire (automobiles, électro-ménager...) ou par des magasins de détail associés par le biais de centrales d'achats qui ne jouent pas le rôle de grossiste. Dans ce cas le circuit est le suivant : Dans ce cas le producteur assure souvent une exclusivité territoriale sur un secteur déterminé. LE LONG Dans ce type de circuit plusieurs agents économiques peu- vent intervenir : grossistes, détaillants. On trouve deux types de circuits longs : — Le circuit long traditionnel qui comprend un grossiste souvent spécialisé dans un produit ou une branche spécifi- que (charcuterie, électricité...). — Le circuit long intégré qui comprend, entre le grossiste et le détaillant une centrale d'achats qui simplifie les pro- blèmes commerciaux au détriment de l'indépendance du fabricant (conditions d'achat, prix, qualité, quantités, délais de livraison et de facturation). Ces circuits sont essentiellement utilisés pour les produits de grande consommation (les PGC), alimentation, liquides, DPH, bricolage, textile ou certains produits d'importation. LE COMMERCE DE GROS (Wholesale trade) Ce secteur est composé d'entreprises dont la fonction est d'acheter, d'entreposer des marchandises en quantités importantes : trains, wagons, camions... puis de les céder en les fractionnant à des revendeurs, à des magasins ou à des collectivités. Il existe en France environ 80 000 entreprises de gros, réparties en : 33 000 alimentaires, 23 000 non-alimentaires et 29 000 inter-industrielles. Elles emploient 950 000 personnes et réalisent un chiffre d'affaires d'environ 2 200 milliards de francs. Le commerce de gros assure cinq fonctions principales : — La sélection d'assortiments complets. — L'achat, l'entreposage et le stockage. — Le conditionnement ou dégroupage (fractionnement). — Le transport. — L'import-export. Pour développer leurs activités certains grossistes impor- tants ont créé : — Des chaînes volontaires, regroupant des commerçants s'approvisionnant aux mêmes entrepôts (Disco, Catena...). — Des centrales d'achats ou de service. — Des formules de commercialisation nouvelles comme le rack-jobbing, qui consiste à livrer directement dans les magasins des collections complètes d'articles. Le repré- sentant du grossiste, dit rack-jobber, définit la com- mande sur place, la marque et la met en linéaire à partir des stocks contenus dans le camion. — Les cash and carry, grands entrepôts en libre-service où les commerçants et professionnels viennent s'appro- visionner en cartons complets. Ils fonctionnent égale- ment sur échantillons. L'exemple type est la chaîne européenne présente en France : Métro. Ces cashs sont de grande taille : entre 10 000 et 15 000 m Mais depuis deux ans ce groupe en crée de plus petits : entre 3 et 5 000 m Promodès en exploite 130, d'une surface plus petite, sous l'enseigne Promocash, et Intermarché une trentaine sous celle de Procomarché. On en compte 300 en 1995. LES CENTRALES D'ACHATS (Buying office) Il s'agit de bureau centralisant les achats pour un ensemble de magasins adhérents. Les opérations qui y sont menées comprennent : l'étude des produits ou des gammes, la recherche des fournisseurs, les négociations d'achat (conditions, ristournes, règlement...) et dans certains cas l'approvisionnement sur des entrepôts ou des plate-formes communs. Le fait d'appartenir à une centrale d'achats implique la signature d'un contrat engageant les parties prenantes sur une période déterminée.
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