RAPPORT SYNTHÉTIQUE D’ENQUÊTE :

« L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français »

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QUELQUES PRÉCISIONS PRÉALABLES

Le sondage « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » a l’intention de fournir des renseignements détaillés sur un sujet jamais traité auparavant. L’objectif premier consiste à explorer la situation concernant l’utilisation que les ingénieurs Français font de la langue espagnole dans l’exercice de leur profession afin de faire le point sur les usages réels de cet instrument linguistique. Il faut savoir que, si l’anglais est devenue une langue incontournable dans le domaine de l’ingénierie, d’autres langues, notamment celles qui bénéficient du statut de langues franches (et c’est le cas pour l’espagnol), coexistent dans l’activité professionnelle du collectif analysé dans cette étude.

Les résultats présentés dans ce rapport son inédits. À notre connaissance, jamais avant une enquête destinée aux ingénieurs Français n’avait couvert une telle palette de données concernant la langue espagnole. Le lecteur de ce document sera rassuré au moment de constater les atouts linguistiques des ingénieurs Français. Il sera éventuellement surpris d’observer les faiblesses qui peuvent leur être attribuées. Dans les deux cas, le lecteur sera informé du profil d’ingénieur qui peut être dessiné à partir des données recueillies. À la fin de ce rapport, nous proposons un portrait-robot de l’ingénieur Français qui retrace ses compétences (ou son manque de compétences) concernant un ensemble de paramètres analysés depuis la perspective de l’ouverture que procure la langue espagnole dans ce métier.

Ces informations représentent une mine de renseignements qui confirment nos intuitions et nos observations de terrain en même temps qu’ils dévoilent certaines réalités insoupçonnées. Les résultats de cette enquête permettent ainsi de dresser une sorte d’état des lieux de la situation linguistique des ingénieurs en poste. Une analyse qualitative approfondie de ces résultats sera ultérieurement réalisée dans une contribution scientifique où des remédiations seront proposées pour faire face à certains déficits linguistiques observés dans le présent sondage.

Nous nous limitons dans ce rapport à présenter les résultats bruts d’un point de vue quantitatif et à titre d’observations générales qui se dégagent de l’ensemble des données. Nous ne présentons pas de façon systématique tous les pourcentages mais seulement ceux qui deviennent les plus représentatifs dans le cadre de ce travail. Dans le cas de réponses multiples, nous avons tenu compte du premier choix fait par chaque participant pour faciliter l’exploitation statistique des renseignements obtenus. Les pourcentages exploités sont arrondis à la moyenne supérieure ou inférieure.

Nous sommes conscients que le niveau de représentation des chiffres est restreint en raison du caractère réduit de l’échantillon de l’enquête. Toutefois, nos connaissances de terrain nous permettent de considérer ces résultats non pas comme prétendument généralisables (la grande diversité de situations propres au métier d’ingénieur ne le permettrait pas !) mais plutôt comme des tendances vérifiables qui peuvent se confirmer selon les cas et qu’il convient de connaître pour que chacun (administrateurs, enseignants, étudiants et, bien sûr, ingénieurs) prenne des décisions justifiées ainsi que les mesures qui s’imposent pour faire évoluer positivement la situation présente.

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DESCRIPTION DE L’OPÉRATION

Conception, réalisation et analyses : Marcelo TANO PRCE d’Espagnol à l’École Nationale d’Ingénieurs de Metz (L-INP/UNIVERSITÉ DE LORRAINE) Membre du groupe "Langues" de la commission "Formation" de la Conférence des Grandes Écoles (CGE) Président du Groupe d’Étude et de Recherche en Espagnol de Spécialité (GERES) Doctorant à l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense (UPOND)

Validation méthodologique : Mercè PUJOL BERCHÉ PU à l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense (ED138 EA369 CRIIA REDESC)

Type de sondage : enquête de portée nationale, anonyme et semi-dirigée (avec possibilité de réponses individualisées).

Total de questions : 100 questions distribuées en 5 parties.

Support : questionnaire en ligne, sur site dédié, avec recueil automatisé des données.

Période : du 7 septembre 2015 au 30 avril 2016.

Destinataires : ingénieurs Français en poste (en ou à l’étranger) dont l’espagnol est une langue étrangère utilisée dans leur entreprise.

Nombre des participants : 79

Diffusion du questionnaire : le questionnaire a été transmis dans des listes de diffusion appartenant à de nombreux réseaux qui ont pu initialement être associés à la transmission de ce sondage (voir liste détaillée à la fin de ce rapport) : - 123 associations des anciens élèves des différentes écoles d’ingénieurs françaises. - 25 associations régionales Ingénieurs et Scientifiques de France. - 50 associations, fédérations et groupements d’entreprises. - 25 associations de cadres. - 27 chambres de commerce et d’industrie régionales. - 127 chambres de commerce et d’industrie départementales et métropolitaines. - 23 organisations syndicales incluant des ingénieurs. - 23 associations scientifiques.

Indicateurs : les pourcentages exploités sont arrondis à la moyenne supérieure ou inférieure. De façon générale, nous ne tenons compte dans ce rapport que des données les plus représentatives.

Remerciements : l’auteur remercie sincèrement tous les ingénieurs Français qui ont bien voulu participer à cette enquête. Le temps qu’ils y ont consacré prouve que le sujet de l’utilisation de la langue espagnole en milieu professionnel ne leur est pas indifférent. Bien au contraire, ils ont formulé, par leur participation active, des avis circonstanciés qui permettront à une communauté élargie de se faire une image plus rigoureuse des compétences linguistiques qui leur sont dévolues.

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LA SYNTHÈSE DES RÉSULTATS OBTENUS

Partie I : LE PROFIL PROFESSIONNEL DES INGÉNIEURS (22 questions)

1. Le sexe :

La grande majorité des ingénieurs répondant à cette enquête (83 %) sont des hommes.

2. L’âge :

Si toutes les tranches d’âge sont représentées parmi les répondants, une concentration de réponses est observée parmi les ingénieurs les plus jeunes car les âges les plus représentatifs vont de 25 à 29 ans (15 %), 30 à 34 ans (17 %) et 35 à 39 ans (22 %).

3. La discipline de formation dominante :

Les ingénieurs utilisant l’espagnol dans leur travail ont des domaines de spécialisation très diversifiés. Si beaucoup d’entre eux déclarent être des spécialistes en mécanique/production/productique (11 %) ainsi qu’en informatique/télécommunications/multimédia (11 %), une majorité d’ingénieurs sans spécialité dominante (37 %) se dégage de cette enquête.

4. Le lieu de travail :

Presque la moitié des enquêtés (48 %) travaillent en province et quasiment un tiers (28 %) déclarent travailler en Île-de-France. Cependant, presque un quart des participants (24 %) travaillent en dehors de la France, soit en Europe, soit dans d’autres pays étrangers.

5. La taille de l’entreprise :

Les ingénieurs Français utilisant l’espagnol exercent leur métier plutôt dans des grandes organisations puisque la moitié parmi eux (49 %) déclarent travailler dans une entreprise de 1000 salariés et plus.

6. La nature juridique de l’entreprise :

L’immense majorité des ingénieurs participant à cette enquête (92 %) travaillent dans une entreprise du secteur privé.

7. Le grand secteur d’activité de l’entreprise :

La majorité des enquêtés (72 %) évoluent dans le secteur secondaire (industrie et construction). Il est à remarquer aussi que, presqu’un tiers des répondants (28 %) font partie du secteur tertiaire (commerce et services).

8. Le grand secteur d’emploi :

Les ingénieurs qui utilisent la langue espagnole dans leur profession appartiennent aux principaux secteur d’emploi : banque/assurance, commerce/grande distribution, construction/génie civil/bâtiment/travaux publics, eau/gestion des déchets, édition/imprimerie/reproduction, éducation/enseignement/recherche, extraction/énergie, fabrication d'équipements mécaniques, industries agro-alimentaires, industries chimiques/pharmaceutiques/para chimiques, industries de la métallurgie, matériels informatiques et électroniques, santé/biomédical, services d’ingénierie et d’études techniques, services informatiques/éditeurs de

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 4 logiciels, télécommunications et transports. S’il est impossible de dégager une tendance majoritaire, force est de constater que le secteur construction automobile/aéronautique/matériel de transport est le plus représenté (22 %).

9. Le statut par rapport au type de contrat de travail :

Plus des trois quarts des enquêtés (78 %) sont des salariés ayant un contrat à durée indéterminée.

10. Le domaine général d’intervention :

Les ingénieurs qui utilisent la langue espagnole dans l’exercice de leur métier interviennent dans des domaines très divers, notamment en production industrielle/exploitation (18 %), études/recherche/développement (18 %), commerce/marketing/relations clients (14 %) sans oublier la direction d’entreprise (14 %).

11. Le type de responsabilité :

Presque la moitié des sondés déclarent avoir une responsabilité hiérarchique continue (48 %).

12. Le critère qui a eu le plus de poids dans le recrutement :

Au moment du recrutement, la capacité à travailler avec des collègues/clients d’autres pays (49 %) a été un critère déterminant pour l’obtention du poste.

13. La possibilité d’exercer le métier en utilisant seulement la langue française :

Pour une majorité écrasante d’ingénieurs (91 %), il n’est plus possible d’exercer ce métier en utilisant seulement le français.

14. La possibilité, au sein de l’entreprise, de travailler à l’international depuis la France :

La majorité des déclarants (69 %) confirment qu’il possible, dans leur entreprise, de travailler à l’international tout en restant sur un poste en France.

15. Les principales motivations pour une installation à l’étranger :

Plusieurs raisons sont évoquées pour expliquer les motivations des ingénieurs Français pour s’installer à l’étranger. Mais il y en a deux qui reviennent le plus souvent : d’abord l’enrichissement culturel (54 %) et, ensuite, l’opportunité d’évolution de carrière (19 %).

16. La zone géographique de mobilité à l’étranger au cours des dix dernières années :

Beaucoup d’ingénieurs ayant participé à cette enquête (62 %) ont travaillé à l’étranger au cours des dix dernières années mais seulement un petit nombre (11 %) l’a fait dans des pays hispanophones.

17. Le type de pays souhaité pour une mobilité à l’étranger au cours des dix prochaines années :

Beaucoup d’ingénieurs (62 %) souhaitent travailler à l’étranger au cours des dix prochaines années mais seulement un petit nombre (12 %) a l’intention de le faire dans des pays hispanophones.

18. La zone géographique souhaitée en cas de possibilité d’expatriation :

Si l’Amérique du sud, l’Amérique centrale et les Caraïbes sont nommés par les enquêtés comme zones géographiques souhaitées pour une éventuelle expatriation, ils semblent préférer l’Amérique du nord (38 %) qui est aussi une zone hispanophone. Parallèlement, un bon tiers des ingénieurs (32 %) préfèrerait s’expatrier en Europe occidentale.

19. Les zones géographiques qui offrent le plus de perspectives d’expatriation dans l’entreprise :

Si nous concentrons l’analyse sur les zones géographiques qui, au sein de l’entreprise, offrent le plus de perspectives d’expatriation, nous observons que l’Europe Occidentale est mentionnée en premier lieu (47 %), l’Amérique du nord ensuite (23 %) et, loin après, l’Amérique du Sud (6 %).

20. Le niveau de satisfaction du poste en cas de travail à l’international :

Lorsque le poste implique un travail à l’international, les ingénieurs en sont très satisfaits (47 %), voire satisfaits (30 %).

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 5 21. La capacité à s’insérer dans une vie professionnelle marquée par l’internationalisation des échanges :

Au regard de leur expérience d’ingénieur, les enquêtés considèrent que leur aptitude à s’insérer dans une vie professionnelle marquée par l’internationalisation des échanges est développée (48 %), voire très développée (43 %).

22. La capacité d’adaptation culturelle en contexte international :

Par rapport à leurs facultés d’adaptation culturelle en contexte international, la majorité des ingénieurs (62 %) estiment qu’ils sont capables de communiquer efficacement. Certains confirment avoir des compétences pour déployer leurs qualités d’adaptation à des environnements changeants (23 %).

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Partie II : LA FORMATION INITIALE DES INGÉNIEURS EN ESPAGNOL LANGUE ÉTRANGÈRE (13 questions)

23. La prise en compte du niveau en espagnol dans la sélection des candidats afin d’intégrer la formation initiale d’ingénieur :

Plus de la moitié des professionnels enquêtés (56 %) indiquent que leur niveau en espagnol n’a pas été pris en compte dans la sélection des candidats afin d’intégrer la formation initiale d’ingénieur.

24. Les raisons qui justifient l’étude de l’espagnol pendant la formation initiale :

Plusieurs raisons ont été évoquées pour justifier le choix de l’espagnol dans la formation initiale d’ingénieur. Certains pensent que l’ingénieur unilingue n’a plus sa place dans le contexte actuel du métier ; d’autres considèrent que l’ingénieur bilingue s’en sort mieux dans l’exercice de sa profession ; finalement, certains affirment que l’ingénieur trilingue voit ses chances d’insertion professionnelle augmentées. Mais les principales raisons alléguées sont le fait que l’espagnol est important pour le CV (41 %) et que c’est une matière obligatoire dans le cursus pour obtenir le titre d’ingénieur (22 %).

25. La pédagogie pour l’apprentissage de l’espagnol dans l’établissement de formation initiale :

Bien que la pédagogie de l’établissement de formation initiale des enquêtés comportait des stages en entreprise, des semestres académiques ou des formations longues bi-diplômantes dans un pays hispanophone, la plupart des réponses (60 %) précisent que l’espagnol a été appris plutôt dans des cours présentiels.

26. L’évaluation des acquis en espagnol pendant la formation initiale :

Plus d’un tiers des enquêtés (37 %) ont révélé que, pendant leur formation initiale d’ingénieur, les acquis en espagnol ont été plutôt mesurés par des exercices de grammaire tandis qu’un quart des participants (26 %) ont mentionné les débats.

27. La sensibilisation, pendant la formation initiale, aux valeurs d’insertion professionnelle, d’employabilité et de mobilité attribuées à la langue espagnole :

Dans la population enquêtée, nous trouvons deux types d’ingénieurs : ceux qui, dans leur établissement de formation initiale, ont été assez sensibilisés aux valeurs d’insertion professionnelle qu’on peut attribuer à la langue espagnole (41 %) et ceux qui ont été peu informés (33 %) sur les possibilités d’employabilité et de mobilité offertes par cette langue.

28. L’appréciation sur la préparation, en formation initiale, pour travailler en contexte international hispanophone :

Les ingénieurs enquêtés considèrent soit qu’ils ont été bien formés pour travailler en contexte international hispanophone (43 %) soit qu’ils y ont été mal préparés (34 %).

29. Le niveau minimum à atteindre en espagnol afin d’obtenir le titre d’ingénieur :

Pour une très grande majorité des sondés (81 %), aucun niveau minimum ne devait être atteint pour l’obtention du diplôme. Lorsqu’il y avait une exigence de niveau, seulement un petit nombre (12 %) indique le niveau B1 du CECRL (utilisateur indépendant intermédiaire).

30. Le nombre d’années d’étude de l’espagnol dans la période de formation initiale :

Dans leur période de formation initiale, pratiquement un tiers des ingénieurs enquêtés (32 %) ont étudié l’espagnol pendant 5 ans tandis qu’un autre tiers (32 %) l’a fait pendant 3 ans.

31. L’obtention d’une certification officielle de niveau en espagnol délivrée par un organisme agréé :

L’immense majorité des enquêtés (94 %) n’ont pas obtenu de certification de niveau en espagnol externe à l’établissement de formation initiale.

32. La participation dans un programme d’échange, pendant la formation initiale, visant des pays hispanophones :

Pour la plupart (89 %), les sondés n’ont pas participé, pendant leur formation initiale, dans un programme d’échange visant des pays hispanophones.

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 7 33. La stratégie de l’établissement de formation initiale pour l’apprentissage de l’espagnol basé sur les compétences attendues des futurs cadres :

Plus de la moitié des participants à cette enquête (53 %) déclarent que leur établissement de formation initiale n’était pas doté d’une véritable stratégie pour l’apprentissage de l’espagnol basé sur les compétences attendues des futurs ingénieurs. Mais ils sont quand même un tiers (28 %) à déclarer qu’une telle stratégie existait.

34. La formation initiale aux compétences en langue et culture hispaniques utiles pour l’insertion professionnelle :

Une grande partie des déclarants (67 %) affirment que, pendant leur formation initiale d’ingénieur, ils ont été peu formés aux compétences en langue et culture hispaniques utiles pour l’insertion professionnelle.

35. La légitimité sur laquelle se base la formation initiale des ingénieurs à et par l’international :

Pour plus de la moitié des enquêtés (52 %), la légitimité sur laquelle se base la formation initiale des ingénieurs à et par l’international s’appuie sur la nécessité de préparer ces futurs cadres à accroître les niveaux de capacité à penser dans des référentiels culturels différents.

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Partie III : LA FORMATION CONTINUE DES INGÉNIEURS EN ESPAGNOL LANGUE ÉTRANGÈRE (20 questions)

36. Les raisons qui encouragent aujourd’hui les ingénieurs à apprendre et/ou perfectionner l’espagnol :

Un certain nombre d’ingénieurs (39 %) seraient aujourd’hui tentés d’apprendre ou de perfectionner l’espagnol s’ils avaient des occasions de voyager dans un pays hispanophone par la suite. Presqu’un tiers des déclarants (28 %) le feraient s’ils avaient la possibilité de travailler dans un pays hispanophone après avoir réalisé un tel effort.

37. Les moyens préférés pour apprendre et/ou perfectionner l’espagnol :

S’ils acceptent de travailler de façon autonome, une bonne partie des ingénieurs participant à cette enquête préfèrent être aidés par un professeur au moment d’apprendre l’espagnol, soit dans un cours particulier (41 %), soit dans un cours de langue en groupe (34 %).

38. Les moyens déjà utilisés pour apprendre et/ou perfectionner l’espagnol en totale autonomie :

Si les moyens mentionnés pour apprendre et/ou perfectionner l’espagnol en totale autonomie sont très divers, les ingénieurs consultés déclarent l’avoir déjà fait en écoutant la radio (41 %) et en effectuant des séjours professionnels prolongés dans un pays où cette langue est parlée (23 %).

39. Le niveau actuel en espagnol :

La majorité des sondés (69 %) déclarent ne pas connaître exactement leur niveau actuel en espagnol. Parmi ceux qui peuvent identifier un niveau, certains (16 %) disent avoir un niveau initial (A1-A2) de type « usager élémentaire », d’autres (11 %) déclarent un niveau intermédiaire (B1-B2) de type « usager indépendant » et très peu de déclarants (4 %) peuvent se vanter d’un niveau confirmé (C1-C2) de type « usager expérimenté ».

40. Les formations complémentaires pour entretenir le niveau en espagnol :

L’immense majorité des ingénieurs sondés (91 %) ne suivent actuellement aucune formation complémentaire pour entretenir le niveau en espagnol.

41. La mise en place d’une formation en espagnol au sein de l’entreprise :

Plus de la moitié des enquêtés (61 %) ne sont pas concernés par la mise en place d’une formation en espagnol au sein même de leur entreprise. Lorsque ce dispositif existe, un petit nombre (10 %) déclare que leur entreprise a prévu d’établir un diagnostic en amont ainsi que d’évaluer le niveau atteint à la fin de la formation.

42. L’adaptation de l’offre de formation continue en espagnol proposée par l’entreprise :

Un certain nombre d’ingénieurs (44 %) déclarent que leur entreprise adapte l’offre de formation continue en espagnol pour satisfaire les besoins concrets des salariés.

43. La fréquence des formations linguistiques et/ou culturelles en espagnol, organisées par l’entreprise, à l’intention du personnel :

Un certain nombre d’ingénieurs consultés (46 %) déclarent que leur entreprise organise des formations linguistiques et/ou culturelles en espagnol lorsque quelqu’un le demande spécifiquement.

44. Les propositions par l’entreprise de formations intensives, destinées aux futurs expatriés, pour l’acquisition et/ou le perfectionnement de la langue et de la culture du pays d’accueil :

Plus d’un tiers des répondants (37 %) confirment que, en cas d’expatriation, leur entreprise propose des formations intensives pour l’acquisition et/ou le perfectionnement de la langue et de la culture du pays d’accueil.

45. Le type de formation continue en espagnol proposé par l’entreprise :

Ceux qui étaient concernés par la question ont répondu que plusieurs dispositifs coexistent dans l’entreprise en ce qui concerne les plans de formation continue en espagnol. Mais, globalement, la priorité est donnée à l’autoformation sur une plateforme en ligne (24 %) et aux cours en présentiel (13 %).

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 9 46. Les types de compétences visées pour l’apprentissage de l’espagnol en formation continue :

Pour la plupart des ingénieurs en poste (65 %), l’apprentissage en espagnol en formation continue devrait viser plutôt le développement des compétences linguistiques et culturelles, c’est-à-dire, des savoirs pratiques et opérationnels.

47. Les objectifs d’apprentissage en espagnol en formation continue :

Pour pouvoir communiquer avec aisance, beaucoup d’ingénieurs (47 %) considèrent que les objectifs d’apprentissage en espagnol en formation continue devraient mettre l’accent sur l’acquisition de la composante pragmatique de la langue, c’est-à-dire, la connaissance des ressources utiles pour son utilisation.

48. L’approche méthodologique qui convient le mieux pour une séance de formation continue en espagnol :

Plus de la moitié des ingénieurs consultés (52 %) ont répondu que, dans une séance de formation continue en espagnol, la méthodologie qui leur convient le mieux est l’approche actionnelle basée sur la réalisation d’actions concrètes d’utilisation de la langue.

49. Le type de situations de communication les plus adaptées pour acquérir des compétences en espagnol dans le cadre de la formation continue :

Dans le cadre de la formation continue et en ce qui concerne les situations de communication les plus adaptées pour acquérir des compétences en espagnol, la grande majorité des ingénieurs (70 %) pensent que la pratique communicative (à l’oral et à l’écrit) devrait se faire à partir de situations de la vie quotidienne et de la vie professionnelle, visant ainsi aussi bien la langue générale que la langue de spécialité de l’ingénieur.

50. Les aspects de la langue sur lesquels doivent porter les efforts afin de consolider les acquis en espagnol :

Les ingénieurs Français ont vraisemblablement besoin de travailler plutôt la communication orale en espagnol (60 %) puisqu’ils sont nombreux à avouer que, pour consolider leurs acquis, ils ont besoin d’améliorer en même temps leur compréhension orale (42 %) et leur expression orale (18 %).

51. Les activités les mieux adaptées pour une séance d’espagnol :

La grande majorité des participants à cette enquête (82 %) affirment que l’entraînement à la conversation constitue l’activité la mieux adaptée pour une séance d’espagnol destinée à des ingénieurs en exercice. En lien avec ce choix d’activité orale, un petit nombre d’enquêtés (6 %) mentionnent aussi les jeux de rôles et les simulations.

52. Les ressources dont l’exploitation intéresse le plus pendant une séance de formation continue en espagnol :

Un certain nombre de ressources pour apprendre l’espagnol intéressent les ingénieurs : les enregistrements sonores, les films, les documentaires. Mais, presque la moitié d’entre eux (49 %) considèrent que, pendant une séance de formation continue en espagnol, les articles de presse sur l’actualité sont la ressource la plus adaptée. Presque un tiers des répondants (27 %) mentionnent aussi les documents authentiques en lien avec le métier d’ingénieur.

53. Les thèmes qui devraient faire partie d’un programme de formation continue en espagnol :

Parmi les thèmes qui devraient faire partie d’un programme de formation continue en espagnol à destination des ingénieurs en activité, un tiers des répondants (33 %) proposent le sujet de l’achat-vente (les commandes, les livraisons, la promotion commerciale). Viennent ensuite (15 %) les thèmes en lien avec l’industrie (l’industrialisation, l’actualité et la prospective des industries, les produits et services industriels), l’économie (15 %) et l’expatriation (12 %).

54. Les facteurs personnels qui ont le plus de poids dans l’apprentissage de l’espagnol :

Les répondants à cette enquête ont mentionné beaucoup de facteurs personnels qui exercent leur influence au moment d’apprendre l’espagnol. Presqu’un tiers des ingénieurs (32 %) considèrent leur capacité de transfert du français vers l’espagnol (et vice versa) comme le facteur le plus important. Ils mentionnent aussi leur motivation pour l’apprentissage de l’espagnol et des cultures qui leur sont associées (22 %) ainsi que la confiance en soi pour l’apprentissage de cette langue (21 %).

55. Les objectifs personnels pour l’apprentissage et/ou le perfectionnement de l’espagnol en tant que langue de travail :

Questionnés sur leurs propres objectifs pour l’apprentissage et le perfectionnement de l’espagnol en vue de l’utiliser dans leur travail, plus de la moitié des répondants (57 %) les ont qualifiés de « réalistes » et un bon tiers (34 %) déclarent aussi que leurs objectifs sont « modestes ».

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Partie IV : LES PRATIQUES LINGUISTIQUES DES INGÉNIEURS EN LIEN AVEC L’ESPAGNOL AU SEIN DE L’ENTREPRISE (16 questions)

56. La valeur attribuée à l’utilisation de l’espagnol dans l’entreprise :

Pour presque la moitié des enquêtés (47 %), l’utilisation de l’espagnol devient un enjeu vital pour leur entreprise. Ils sont nombreux aussi (43 %) à affirmer qu’il s’agit d’un enjeu important.

57. La prise en considération par l’entreprise des compétences en espagnol :

La majorité des ingénieurs (67 %) déclarent que leur entreprise considère les compétences en espagnol au même titre que les autres compétences indispensables à la réalisation des tâches professionnelles.

58. Les attentes de l’entreprise en termes de compétences espérées concernant l’usage de l’espagnol :

La majorité des ingénieurs (62 %) déclarent que leur entreprise attend d’eux une maîtrise partielle de l’espagnol (permettant une lecture des documents, des interventions diverses dans des discussions ou des conversations téléphoniques). Mais ils sont aussi presqu’un tiers (32 %) à déclarer que leur entreprise espère qu’ils aient une maîtrise totale de l’espagnol (assortie d'une expérience de l’intérieur des cultures hispaniques facilitant la négociation).

59. La position de l’entreprise par rapport au développement des compétences en espagnol des salariés :

Plus de la moitié des ingénieurs (55 %) affirment que leur entreprise encourage le développement des compétences en espagnol des salariés.

60. La mise en place par l’entreprise d’une instance de gestion des questions linguistiques :

La plupart des enquêtés (60 %) déclarent que leur entreprise n’a pas encore mis en place une instance de gestion des questions linguistiques liées à l’usage de la langue espagnole parmi les salariés.

61. Les mesures que devrait prendre l’entreprise pour améliorer sa gestion linguistique en ce qui concerne l’espagnol :

Nombreuses sont les propositions mentionnées par les ingénieurs afin que leur entreprise améliore sa gestion linguistique en ce qui concerne la langue espagnole. Mais il y a particulièrement trois mesures qui reviennent le plus souvent : organiser des formations en espagnol sur le lieu de l’entreprise (15 %), offrir des cours d’espagnol en ligne (12 %) et proposer des séances d’information sur les particularités interculturelles dans la gestion des projets (12 %).

62. Le choix de l’espagnol comme langue requise par l’entreprise au moment de l’embauche :

La plupart des ingénieurs (61 %) précisent qu’au moment de leur embauche leur entreprise avait défini l’espagnol comme langue exigée ; elle avait déterminé en même temps le niveau requis dans cette langue en fonction des besoins du poste.

63. Les principaux modes de recrutement utilisés par l’entreprise pour évaluer les compétences en espagnol au moment de l’embauche :

Les ingénieurs concernés par cette question ont signalé essentiellement deux modes de recrutement utilisés par leur entreprise pour évaluer leurs compétences en espagnol : l’envoi d’un CV en espagnol (27 %) et la mise à l'essai en utilisant la langue espagnole (24 %).

64. Les critères de sélection qui ont pesé le plus pour l’obtention du poste lors du recrutement :

Pour l’obtention du poste actuellement occupé, plusieurs critères de sélection ont été mentionnés par les ingénieurs, entre autres, les compétences communicatives acquises en espagnol lors du stage effectué dans une entreprise hispanique ou la formation double- diplômante suivie dans un pays hispanophone. Mais plus d’un tiers des enquêtes (35 %) ont fait allusion à l’expérience personnelle de contact avec d’autres cultures comme étant le critère de sélection le plus important.

65. La valorisation de la capacité à communiquer dans un contexte culturel hispanique :

Sans conteste et au regard de leur expérience professionnelle, pour la grande majorité des ingénieurs (85 %), la capacité à communiquer dans un contexte culturel hispanique (permettant l’exercice du métier et de la relation sociale), constitue une compétence essentielle.

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 11 66. La valorisation de la capacité à comprendre les enjeux interculturels dans la gestion des projets internationaux en milieu hispanique :

Au regard de leur expérience du métier d’ingénieur, plus de la moitié des enquêtés (57 %) qualifient leur capacité à comprendre les enjeux interculturels dans la gestion des projets internationaux en milieu hispanique comme étant « développée ». Un bon tiers des participants (34 %) disent que cette compétence est même « très développée ».

67. La formation des équipes de management de projet aux usages et coutumes du pays du client :

En ce qui concerne la formation de l’entreprise aux usages et coutumes du pays du client (afin de s’assurer d’une bonne communication interculturelle de ses équipes de management de projet), les réponses des ingénieurs sont mitigées. Une partie des répondants concernés (41 %) font savoir que leur entreprise ne les forme jamais dans ces aspects-là ; l’autre partie (38 %) affirme qu’elle le fait à chaque fois.

68. La place accordée par l’entreprise à la langue du pays dans les implantations hors de France :

Plus de la moitié des ingénieurs (54 %) déclarent que leur entreprise privilégie la langue du pays dans les implantations hors de France afin de gagner en efficacité.

69. L’incitation de l’entreprise à utiliser l’espagnol, en tant que langue des clients et des partenaires :

Une bonne partie des enquêtés (62 %) affirment que leur entreprise incite à utiliser l’espagnol, en tant que langue des clients et des partenaires, afin d’augmenter le niveau de pénétration des marchés et de négociation internationale.

70. Les avantages de l’utilisation de l’espagnol en tant que langue du client :

Pour plus de la moitié des ingénieurs (54 %), l’utilisation de l’espagnol en tant que langue du client peut s’avérer utile pour augmenter le flux de renseignements commerciaux et techniques à destination des acheteurs. Certains disent (19 %) que cela permet aussi d’accroître les retours d’information des clients et de pouvoir comprendre leur véritable signification. D’autres (19 %) témoignent que, dans ce cas, l’espagnol sert à créer une relation positive et un climat de confiance avec les clients importants.

71. Le recours à la traduction pour faire des gains de productivité dans l’entreprise :

Pour une majorité relative d’avis recueillis (61 %), l’entreprise ne s’appuie pas sur la traduction (espagnol/français) pour faire des gains de productivité.

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Partie V : L’USAGE EFFECTIF DE L’ESPAGNOL DANS L’EXERCICE DU MÉTIER D’INGÉNIEUR (29 questions)

72. Les estimations concernant l’usage de l’espagnol dans le travail de l’ingénieur :

La majorité des ingénieurs participant à cette enquête (68 %) ont déclaré qu’ils utilisent tout le temps l’espagnol dans leur travail. Presqu’un tiers des déclarants (32 %) utilisent cette langue de temps en temps.

73. Les raisons d’un échec de communication dans l’exercice du métier à cause d’un manque de compétences en espagnol :

Les ingénieurs concernés par cette question ont déclaré que les raisons qui peuvent expliquer un échec de la communication dans l’exercice du métier doivent être cherchées dans le manque de confiance dans ses compétences linguistiques ainsi que dans le manque d’affinités culturelles avec les interlocuteurs étrangers. Un certain nombre (18 %) attribuent ce revers à des erreurs de traduction/interprétation.

74. Les compétences en espagnol pour gravir les échelons :

Pour la majorité des ingénieurs (68 %), leurs compétences en espagnol leur ont permis de gravir les échelons dans leur carrière et leur ont aussi permis d’effectuer un travail plus enrichissant.

75. Les compétences en espagnol à l’origine d’une augmentation de la rémunération :

Un quart des ingénieurs (24 %) ont déclaré que leurs compétences en espagnol avaient une incidence sur la hausse de leur salaire.

76. Le pourcentage du salaire correspondant aux capacités à gérer des projets en espagnol :

Presqu’un tiers des déclarants (31 %) estiment que leurs capacités à gérer des projets en espagnol représentent moins de 5 % du salaire. Pour un certain nombre (23 %), elles représentent entre 5 % et 10 % de leur paye tandis qu’un chiffre similaire d’enquêtés (23 %) évaluent ces compétences à plus de 20 % de la rémunération.

77. L’espagnol en tant que langue occupant la première position dans le travail :

Parmi les participants à ce sondage, l’espagnol n’est jamais la première langue étrangère utilisée dans le travail.

78. L’espagnol en tant que langue occupant la deuxième position dans le travail :

Pour plus de la moitié des ingénieurs (52 %), l’espagnol occupe la deuxième position dans leur travail et termes d’utilisation.

79. L’espagnol en tant que langue occupant la troisième position dans le travail :

Presque la moitié des enquêtés (48 %) déclarent que l’espagnol occupe la troisième position en tant que langue de travail.

80. Le manque de compétences en espagnol comme facteur de stress au travail :

Pour presque la moitié des répondants (48 %), le manque de compétences en espagnol est un facteur de stress lié au risque d’erreurs.

81. Le public avec lequel les ingénieurs sont amenés à utiliser l’espagnol :

Dans l’exercice de leur profession, les ingénieurs Français sont amenés à utiliser l’espagnol avec un public très vaste, notamment : des collaborateurs des filiales à l’étranger, des collègues de la propre entreprise en France, des clients, des associés, des consultants divers. Cependant, la plupart des réponses indiquent qu’ils utilisent surtout l’espagnol avec des acheteurs (42 %) et des chefs de projet (23 %).

82. Les besoins en général d’utilisation de l’espagnol dans le travail :

En règle générale, une nette majorité des ingénieurs (81 %) a besoin de comprendre l’espagnol oral dans le travail.

83. Les aptitudes générales, liées à la communication en espagnol, nécessaires pour exercer le métier :

Les ingénieurs sont majoritaires (83 %) à dire que communiquer à l’écrit en espagnol (comptes rendus, synthèses, lettres, courriels) avec des partenaires étrangers constitue une aptitude générale nécessaire pour exercer le métier.

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 13 84. Les tâches quotidiennes les plus récurrentes exigeant l’utilisation de l’espagnol :

Si les tâches de compréhension réalisées au quotidien (écoute, lecture) exigent l’utilisation de l’espagnol pour presqu’un tiers des ingénieurs (29 %), la majorité d’entre eux (70 %) placent les tâches d’expression et d’interaction (conversations, exposés, rédactions) parmi les plus récurrentes.

85. Les besoins concrets pour utiliser l’espagnol dans le travail :

Concrètement, dans leur travail d’ingénieur, les enquêtés ont besoin de l’espagnol pour assurer une conversation téléphonique (62 %) et, éventuellement, pour assister à des stages de formation (20 %).

86. Le besoin de développer des compétences en espagnol pour mieux exercer une fonction :

Pour mieux exercer leur fonction, un bon nombre d’ingénieurs (44 %) déclarent avoir besoin de développer la compétence « écouter » (compréhension orale). Presqu’un tiers des répondants (32 %) indiquent aussi avoir besoin de travailler la compétence « converser » (interaction orale).

87. Les situations dans lesquelles l’ingénieur a besoin d’être performant en compréhension orale en espagnol :

Dans leur travail, les ingénieurs participants à cette enquête ont besoin d’utiliser l’espagnol pour comprendre à l’oral des énoncés émis dans des conférences, des congrès, des séminaires, des présentations diverses, des réunions de coordination, des dialogues informels entre collègues. Mais ils ont surtout besoin de comprendre ce qui est dit dans des assemblées formelles (39 %) et dans des conversations téléphoniques ou des visioconférences (24 %).

88. Les situations dans lesquelles l’ingénieur a besoin d’être performant en expression orale en espagnol :

Dans leur travail, les ingénieurs participants à cette enquête ont besoin d’utiliser l’espagnol pour s’exprimer oralement dans des présentations diverses, des réunions de coordination, des revues de projet, des foires et salons. Cependant, ils déclarent surtout avoir besoin de prendre la parole dans des assemblées formelles (39 %) et dans des conférences, des congrès ou des séminaires (22 %).

89. Les situations dans lesquelles l’ingénieur a besoin d’être performant en compréhension écrite en espagnol :

Dans leur travail, les ingénieurs participants à cette enquête ont besoin d’utiliser l’espagnol pour comprendre à l’écrit des cahiers de charge, des avant-projets, des compte rendus de réunions, des documents techniques et commerciaux, des messages électroniques, des courriers officiels ainsi que des lettres de mission. Néanmoins, ils ont surtout besoin de pouvoir lire aisément des annonces de poste (24 %), des appels d’offre (15 %) et, dans une moindre mesure, des articles de presse générale (13 %) et des articles spécialisés (13 %).

90. Les situations dans lesquelles l’ingénieur a besoin d’être performant en expression écrite en espagnol :

Dans leur travail, les ingénieurs participants à cette enquête ont besoin d’utiliser l’espagnol pour s’exprimer par écrit en rédigeant des appels d’offre, des articles spécialisés, des messages électroniques, des documents techniques, des études (de marché, de faisabilité technico-économique ou de rentabilité). Mais ils ont surtout besoin de pouvoir rédiger des annonces de poste (17 %), des compte rendus de réunions (15 %) et, dans une moindre mesure, des avant-projets (12 %) et des cahiers de charge (12 %).

91. Les besoins d’emploi de la langue espagnole dans l’environnement de travail :

Dans leur environnement de travail, les ingénieurs déclarent avoir besoin d’employer l’espagnol pour présenter des produits et des services, faire référence à des machines, à des outils ou à des fournitures de bureau, parler des situations de travail de tous les jours, s’intégrer dans un groupe de travail, parler de leurs fonctions, leurs responsabilités, leur place dans l’entreprise. Mais, globalement, ils ont besoin d’utiliser la langue espagnole pour évoquer des missions (29 %) et décrire une journée type (17 %).

92. Le besoin de manipuler l’espagnol pendant les déplacements professionnels :

En ce qui concerne les déplacements professionnels des ingénieurs, les contributeurs de cette enquête expriment avoir besoin de manipuler l’espagnol pour faire la réservation d’un vol, s’informer sur un lieu en dehors de l’entreprise, réserver une table, demander un menu et passer commande dans un restaurant. Mais plus de la moitié (51 %) des enquêtés déclarent surtout en avoir besoin pour comprendre un itinéraire et un certain nombre parmi eux (21 %) pour organiser une réunion de travail.

93. Le besoin de faire usage de l’espagnol dans les activités liées à la gestion de projets :

Dans les activités liées à la gestion de projets, les ingénieurs déclarent avoir besoin de faire usage de l’espagnol essentiellement pour analyser un résultat (54 %) et pour commenter une situation passée (19 %). Ils ajoutent aussi en avoir besoin, mais dans une moindre mesure, pour évoquer des délais, comparer des évolutions, prendre et donner la parole, expliciter les conséquences d’une décision et faire le bilan de la situation.

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 14 94. Le besoin d’avoir recours à l’espagnol dans l’organisation du travail :

Plus de la moitié des ingénieurs enquêtés (58 %) informent qu’ils ont besoin d’avoir recours à l’espagnol pour comprendre le déroulement d’un plan d’actions. Un certain nombre (13 %) indique en avoir besoin pour effectuer un suivi. Dans une moindre mesure, d’autres disent utiliser la langue espagnole pour organiser des réunions, gérer l’avancement des tâches et résoudre des problèmes.

95. Le besoin d’utiliser l’espagnol dans les activités de recrutement :

Si la majorité des ingénieurs enquêtés ne sont pas concernés par la question (58 %), un quart parmi eux (25 %) déclarent avoir besoin de l’espagnol dans leurs activités de recrutement essentiellement pour demander des renseignements concernant des responsabilités passées. Dans une moindre mesure, ils disent en avoir besoin non seulement pour interpréter un CV et lire une lettre de motivation mais aussi pour participer dans un entretien d’embauche en sollicitant des précisions sur le projet professionnel d’un candidat.

96. Le besoin d’utiliser l’espagnol dans les activités de gestion des équipes :

Dans leurs activités de gestion des équipes, les ingénieurs concernés déclarent avoir besoin d’utiliser l’espagnol pour affecter des projets à des personnes (28 %) et pour animer une réunion (24 %). Un nombre très réduit des participants ont indiqué qu’ils en ont aussi besoin pour gérer des éventuels conflits, pour décloisonner les relations entre collaborateurs, pour déléguer des responsabilités, pour négocier la mission et les objectifs de chacun et pour assurer les activités de l’après-réunion.

97. Le besoin d’utiliser l’espagnol dans les activités liées au recadrement et à l’évaluation des équipes :

Lorsqu’ils sont concernés par les activités liées au recadrement et à l’évaluation des équipes, les ingénieurs participant à ce sondage déclarent avoir besoin d’utiliser l’espagnol, notamment pour approuver un travail (31 %) et donner des explications (10 %). Un nombre restreint des sondés disent en avoir aussi besoin pour éventuellement dire son mécontentement, féliciter et récompenser, formuler un doute ou une crainte et, globalement, pour informer et se tenir informé.

98. L’utilité de l’espagnol dans le cycle de management d’un projet :

Par rapport au cycle de management d’un projet, les ingénieurs qui se sont exprimés dans cette enquête affirment, au vu de leur expérience, que l’espagnol intervient plutôt pendant l’étape concernant l’établissement des objectifs et les orientations politiques (41 %) et dans l’élaboration de la stratégie et de la planification (10 %). Un petit nombre parmi eux utilisent aussi cette langue dans l’étape de gestion et de coordination des équipes.

99. L’utilité de l’espagnol selon les projets d’ingénierie :

En fonction du produit d’un projet d’ingénierie, l’expérience des ingénieurs enquêtés leur permet d’affirmer que l’espagnol intervient plutôt dans des projets d’organisation d’événements (28 %), dans des projets de développement d’un nouveau produit (19 %) ainsi que dans des projets industriels ou d’ouvrages (16 %).

100. L’estimation du niveau d’utilisation de l’espagnol dans l’activité managériale, scientifique et technique :

Dans l’exercice de leur profession, plus d’un quart des enquêtés (27 %) estiment que leur activité managériale, scientifique et technique faite en utilisant l’espagnol peut atteindre jusqu’à 20 % de l’activité globale tandis qu’un autre quart (25 %) jaugent cette activité à 100 % de l’activité globale. Ils sont aussi presqu’un quart (23 %) à considérer que l’espagnol y intervient pour 40 % de l’activité globale.

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 15

LES RÉSEAUX CONTACTÉS POUR LA DIFFUSION DU QUESTIONNAIRE

Les associations des anciens élèves des différentes écoles d’ingénieurs françaises :

2AI ENSICAEN ALISE A2IN ALN7 A3IE ALUMNI ECE AA-ESIEE AMENGEES AAAE EMD AMICALE CHIMIE MULHOUSE AAE ENSCCF AMICALE ISAE-SUPAERO-ENSICA AAE ENSCL ANCIENS DE POLYTECH' NICE-SOPHIA AAE ENSCM ANCIENS DE SUPOPTIQUE AAE ENSCP ANCIENS EBI AAE ENSGTI ANCIENS ET INGENIEURS POLYTECH’TOURS AAE ENSI POITIERS ANIENIB AAE ESCOM ANIENIM AAE ESITE AMIFIB ANIENISE AAE ESSA ANIENIT AAE POLYTECH'PARIS-UPMC ARTS ET INDUSTRIES AAE TELECOM PHYSIQUE STRASBOURG ASANUTT AAE-ENSG ASSIDU-UTBM AAE-ESTACA ASSOCIATION DES ANCIENS ELEVES DE EPITA AAEA ENSMA ASSOCIATION DES CENTRALIENS AAEA ESIEA ASSOCIATION DES INGENIEURS CPE LYON-ESCI AAEE ENSIL ASSOCIATION DES INGENIEURS DE L'ENSIA 7 AAEE ENSSAT ASSOCIATION DES INGENIEURS ECAM AAEE ESIGETEL ASSOCIATION DES INGENIEURS ENSEM AAGSI ASSOCIATION DES INGENIEURS ESPCI AAIAE ENSG ASSOCIATION DES INGENIEURS POLYTECH’LILLE AAID-ENSPM ASSOCIATION LES SUPELEC ACL ASSOCIATION SUP'MECA ADA RISQUES AX ASSOCIATION POLYTECHNIQUE ADIPAC CENTRALE MARSEILLE ALUMNI AE-ITECH CESI ALUMNI AEA ENAC ALUMNI AEN ENSIC-ALUMNI AEPF ENSTA BRETAGNE ALUMNI AESEO ENSTA PARISTECH ALUMNI AFLZ ESIPE ALUMNI AGROUP DIJON ALUMNI GRENOBLE INP ALUMNI-AINPG AI CNAM-PST IPSA ALUMNI AI ENSCR ISEP ALUMNI AI ENSEA ISMIN ALUMNI AI ENSMM ISUPFERE AI ESSTIN LA CELLULOSE AI IFMA MINES DE SAINT-ETIENNE AI ISEN MINES NANCY ALUMNI AI MINES DE SAINT-ETIENNE MINES NANTES ALUMNI AI-EC NANTES MINES PARISTECH ALUMNI AI-EEMI-VIOLET-EIGSI POLYTECH CONNECT AI-EFREI POLYTECH PARIS-SUD ADIPS AI-ICAM PONTS ALLIANCE AICBP RESEAU HEI ALUMNI AICS RESOESITPA AIDEM RIDMAC AIDEMI SID-ETP AIDI SIDPE AIDIL SNIPF AIE SOCIETE DES INGENIEURS ARTS ET METIERS AIESB SYNOPSIS ENIVL ALUMNI AIESME TPA AIIR TREMPLIN UTC AITC DE METZ TSE ALUMNI AITPE UNAM AIVP UNICNAM Al ENSAIT VIA POLYTECH' ORLEANS

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 16 Les associations régionales Ingénieurs et Scientifiques de France :

Association Régionale IESF Alsace Association Régionale IESF Haute Normandie Association Régionale IESF Aquitaine Association Régionale IESF Ile de France Association Régionale IESF Auvergne Association Régionale IESF Languedoc-Roussillon Association Régionale IESF Basse Normandie Association Régionale IESF Limousin Association Régionale IESF Bassin de l'Adour Association Régionale IESF Lorraine Association Régionale IESF Bourgogne Association Régionale IESF Lyon Métropole, Rhône et Ain Association Régionale IESF Bretagne Association Régionale IESF Midi-Pyrénées Association Régionale IESF Centre Val de Loire Association Régionale IESF Nord-Pas-de-Calais Association Régionale IESF Champagne Ardennes Association Régionale IESF Pays de la Loire Association Régionale IESF Côte d'Azur Association Régionale IESF Picardie Association Régionale IESF Dauphiné-Savoie Association Régionale IESF Poitou Charentes Association Régionale IESF Forez-Velay Association Régionale IESF Provence Association Régionale IESF Franche-Comté

Les associations, fédérations et groupements d’entreprises :

Association Française du Gaz Fédération Française des Industries de Santé Association Française pour les Essais Non-Destructifs dans l'Industrie Fédération Française des Télécoms Aérospatiale Fédération Française des Tuiles et Briques Association Nationale des Industries Alimentaires Fédération Française du Bâtiment Bureau de Normalisation de l'Aéronautique et de L'Espace Fédération Nationale des Activités de la Dépollution et de l'Environnement Comité des Constructeurs Français d'Automobiles Fédération Nationale des Travaux Publics Comité Richelieu Fédération Nationale du Bois Confédération Française du Commerce de Gros et du Commerce Fédération Professionnelle des Entreprises de l'Eau International Groupement des Industries de Construction et Activités Navales Conseil National des Professions de l'Automobile Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales Fédération de l'Industrie du Béton Groupement des Industries Françaises de Défense et de Sécurité Terrestres et Fédération de la Plasturgie et des Composites Aéroterrestres Fédération des Chambres Syndicales de l'Industrie du Verre Groupement Interprofessionnel du Transport et de la Logistique Fédération des Entreprises de la Beauté Mouvement des entreprises de France Fédération des Entreprises de Propreté et Services Associés Union des Industries Chimiques Fédération des Entreprises Internationales de la Mécanique et de Union des Industries et Métiers de la Métallurgie l'Electronique Union des Industries Textiles Fédération des Industries des Équipements pour Véhicules Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie Fédération des Industries des Peintures Encres Couleurs Colles Adhésifs Union Française de l'Electricité Préservation du Bois Union Française des Industries de l'Habillement Fédération des Industries Électriques Électroniques et de Communication Union Française des Industries des Cartons, Papiers et Celluloses Fédération des Industries Mécaniques Union Française des Industries Pétrolières Fédération des Services Union Nationale des Industries Carrières et Matériaux de Construction Énergie Environnement Union Nationale des Industries de l'Impression et de la Communication Fédération du Commerce Agricole et Agroalimentaire Union Nationale des Industries Françaises de l'Ameublement Fédération du Commerce et de la Distribution Union Professionnelle des Industries Privées du Gaz Fédération Française de la Chaussure

Les associations de cadres :

Association Cadres et Emploi Cap Cadres Association des Cadres de l’Industrie pharmaceutique Club des cadres en recherche d'emploi Association Dynamique Cadres Club emploi Cadres Association Française des Ingénieurs et Cadres du Caoutchouc et des Compétences Cadres Polymères Échanges et Consultations Techniques Internationales Association Nationale de Seniors Bénévoles Fédération des Cadres Supérieurs et Dirigeants de l'Energie Association Nationale des DRH Fédération Femmes 3000 Association Nationale pour les Cadres en Recherche d’Emploi Fédération Nationale des Associations du Travail en Temps Partagé Association pour l'Emploi des Cadres, Ingénieurs et Techniciens de Force Cadre l'Agriculture et de l'Agroalimentaire Groupe Emploi Cadres Association pour l’emploi des Cadres Market Cadres Cadr'action Renfort Cadres Cadres Entraide Réseau Cadres Réseau Daubigny

Les chambres de commerce et d’industrie régionales :

CCIR Alsace CCIR de l’Île de la Réunion CCIR de Pays-de-la-Loire CCIR d’Aquitaine CCIR de la Guyane CCIR de Picardie CCIR de Basse-Normandie CCIR de la Martinique CCIR de Provence-Alpes-Côte d'Azur CCIR de Bourgogne CCIR de Languedoc-Roussillon CCIR de Rhône-Alpes CCIR de Bretagne CCIR de Limousin CCIR des Îles de Guadeloupe CCIR de Champagne-Ardenne CCIR de Lorraine CCIR du Centre CCIR de Corse CCIR de Mayotte CCIR du Nord de France CCIR de Haute-Normandie CCIR de Midi-Pyrénées CCIR Franche-Comté CCIR de l’Auvergne CCIR de Paris Ile-de-France CCIR Poitou-Charentes

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 17 Les chambres de commerce et d’industrie départementales et métropolitaines :

CCI d'Ajaccio et de la Corse du Sud CCI de la Mayenne CCI de CCI d'Alençon CCI de la Meuse CCI de Touraine CCI d'Angoulême CCI de la Moselle CCI de Troyes et de l'Aube CCI d'Elbeuf CCI de la Nièvre CCI de Vaucluse CCI d'Eure-et-Loir CCI de la Rochelle CCI de Versailles-Yvelines CCI d’Alès Cévennes CCI de la Savoie CCI de Vienne CCI d’Amiens-Picardie CCI de la Vendée CCI de Wallis et Futuna CCI de Bastia et la Haute-Corse CCI de Libourne CCI des Alpes de Haute-Provence CCI de Bayonne Pays Basque CCI de Limoges et de la Haute-Vienne CCI des Ardennes CCI de Béziers-Saint-Pons CCI de Loir-et-Cher CCI des Côtes d'Armor CCI de Bordeaux CCI de Lyon CCI des Deux-Sèvres CCI de Brest CCI de Maine-et-Loire CCI des Hautes-Alpes CCI de Caen Normandie CCI de Meurthe-et-Moselle CCI des Hauts de Seine CCI de Carcassonne-Limoux-Castelnaudary CCI de Montauban et de Tarn-et-Garonne CCI des Landes CCI de Châlons-en-Champagne CCI de Montluçon-Gannat Portes d'Auvergne CCI des Vosges CCI de Cherbourg-Cotentin CCI de Montpellier CCI du Beaujolais CCI de Cognac CCI de Morlaix CCI du Cantal CCI de Colmar et du Centre-Alsace CCI de Moulins-Vichy CCI du Centre et Sud Manche CCI de Dieppe CCI de Nantes-Saint-Nazaire CCI du Cher CCI de Fécamp-Bolbec CCI de Narbonne CCI du Doubs CCI de Flers-Argentan CCI de Nice Côte d'Azur CCI du Gers CCI de Grenoble CCI de Nîmes CCI du Grand Hainaut CCI de Haute-Saône CCI de Nouvelle Calédonie CCI du Grand Lille CCI de l'Ain CCI de Paris CCI du Havre CCI de l'Aisne CCI de Pau Béarn CCI du Jura CCI de l'Ardèche CCI de Perpignan et des Pyrénées-Orientales CCI du Littoral Normand-Picard CCI de l'Ariège CCI de Polynésie Française CCI du Loiret CCI de l'Artois CCI de Quimper Cornouaille CCI du Lot CCI de l'Aveyron CCI de Reims et d'Épernay CCI du Lot-et-Garonne CCI de l'Essonne CCI de Rennes CCI du Mans et de la Sarthe CCI de l'Eure CCI de Roanne Loire Nord CCI du Morbihan CCI de l'Indre CCI de Rochefort-sur-Mer et de Saintonge CCI du Nord Isère CCI de l'Oise CCI de Rouen CCI du pays d'Arles CCI de l’Yonne CCI de Saint Martin CCI du Pays d'Auge CCI de la Corrèze CCI de Saint-Etienne Montbrison CCI du Puy-de Dôme CCI de la Côte d'Opale CCI de Saint-Malo-Fougères CCI du Tarn CCI de la Côte d'Or CCI de Saint-Pierre et Miquelon CCI du territoire de Belfort CCI de la Creuse CCI de Saône-et-Loire CCI du Val d'Oise CCI de la Dordogne CCI de Seine Saint-Denis CCI du Val-de-Marne CCI de la Drôme CCI de Seine-et-Marne CCI du Var CCI de la Haute-Loire CCI de Sète-Frontignan- Mèze CCI Métropolitaine Marseille Provence CCI de la Haute-Marne CCI de Strasbourg et du Bas-Rhin CCI Sud Alsace Mulhouse CCI de la Haute-Savoie CCI de Tarbes et des Hautes-Pyrénées CCI de la Lozère

Les organisations syndicales incluant des ingénieurs :

Confédération des travailleurs intellectuels Groupement syndical des cadres diplômés Confédération française de l'encadrement Syndicat commerce et services Confédération générale des cadres Syndicat national de la chaudronnerie et maintenance industrielle Confédération générale des petites et moyennes entreprises Union confédérale des cadres Conseil national du patronat français Union des cadres et ingénieurs Fédération de l’équipement et de l’environnement Union des industries et des métiers de la métallurgie Fédération des mines et de l'énergie Union fédérale des ingénieurs, cadres, techniciens et agents de maîtrise Fédération des travailleurs de la métallurgie Union générale des ingénieurs et cadres Fédération française des syndicats d'ingénieurs chrétiens Union générale des ingénieurs, cadres et assimilés Fédération nationale des salariés de la construction Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens Fédération nationale des syndicats d'ingénieurs Union nationale des cadres et maîtrise Groupement national des cadres

Les associations scientifiques :

Académie des Technologies Centre d'études sur les Formations et l'Emploi des Ingénieurs Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie Compagnie Nationale des Ingénieurs Diplômés Experts Agence Nationale de la Recherche Conseil National de l’Industrie Association des Ingénieurs et Cadres agréés par le Centre National de Ingénieurs Sans Frontières Prévention et de Protection Institut de l'Entreprise Association Française de Génie Civil Société Française d'Énergie Nucléaire Association Française des Femmes Ingénieurs Société Française de Génie des Procédés Association Nationale de la Recherche et de la Technologie Société Française de Physique Association pour la Promotion de la Micro-Informatique Société Française de Statistique Association pour la Promotion des Études de Géopolitique de l'Énergie et Société Française de Thermique des Matières Premières Société Informatique de France Association pour le Forum des Politiques Publiques d'Innovation Société Nationale des Ingénieurs Professionnels de France

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 18

POUR CITER CE RAPPORT :

TANO, Marcelo (2016). L’utilisation de la langue espagnole chez les ingénieurs Français [En ligne]. Metz/Paris : Université de Lorraine (ENIM, L-INP) / Université Paris Ouest Nanterre La Défense (ED 138 EA 369 CRIIA REDESC). (Rapport synthétique d’enquête). 19 p.

La reproduction des données de cette enquête est interdite sans l’autorisation de l’auteur.

Pour le téléchargement de ce rapport, veuillez demander le lien à l’auteur : [email protected]

© Marcelo TANO / Rapport synthétique d’enquête : « L’usage de la langue espagnole chez les ingénieurs Français » 19