PRÉSENTENT Dans le cadre de la semaine Africaine organisée à l’UNESCO Exposition Itinérante Internationale de dessins d’enfants et de jeunes de plusieurs pays, de 2014 /2015/2016 INVIATION UNESCO 26 MAI_Mise en page 1 24/05/2016 11:00 Page4

Dans le cadre de la semaine Africaine organisée à l’UNESCO EXPOSITION INTERNATIONALE ITINERANTE

ENSEMBLE POUR L’ART, ENSEMBLE POUR LA PAIX, LES ENFANTS S’ENGAGENT...

Fatema BINET-OUAKKA, Conseil National Français des Arts Plastiques de l’AIAP

Avec le soutien de Son Excellence Madame Zohour ALAOUI, Ambassadeur Déléguée Permanente du Royaume du Maroc auprès de l'UNESCO

Avec la participation et le soutien de jardin des petits et Club des enfants de l’UNESCO

Ont le plaisir de vous convier au vernissage, de l’exposition, accompagnée de chants et de danse

Mercredi 25 Mai 2016 à 14h00 UNESCO Salle des Délégués

1, Rue Miollis , 75015

2222 [email protected] INVIATION UNESCO 26 MAI_Mise en page 1 24/05/2016 11:00 Page3

PARTICIPENT A L'EXPOSITION INTERNATIONALE ITINERANTE

JARDIN DES PETITS ET CLUB DES ENFANTS DE L’UNESCO, FRANCE

CONSULAT DU MAROC, PARIS

FRANCE ENFANTS D’ÎLE DE FRANCE ORIGINAIRES DE H OUARA  (OULED-TEÏMA, RÉGION SOUSS-MASSA-DRAA, MAROC) PARRAINÉS PAR LE PROFESSEUR ABDELLATIF CHAMSDINE     ECOLE SAINTE THÉRÈSE, EPINAY SUR SEINE, FRANCE RACHIDA RHARBI PRESIDENTE APEL ET CHRISTELLE DUDILLIEU ENSEIGNANTE

ARTAC MEXICAN ASSOCIATION, MEXIQUE, MARGARITA CHACON BACHE      LES ENFANT S DE STRA SBOURG (FRANCE) ET BUENOS AIRES (A RGEN TINE), D ELPH IN E CO URTAY ET GA BRIE L A FIGUEROA

COLLÈGE HÉLÈ NE BOUC HER VOISIN S LE BRETON NEU X (YVE LINES, FRANCE) PROVISEUR PHILIPPE LUMAT    ECOLE DE AIT AMMOUYES, AIT SADDEN (RÉG ION DE FES) MAROC (MOYEN ATLAS) LAHCEN KAM AL ET SMAHAN E ALAOU I

COLLÈGE PAUL VERLAINE, LES MUREAUX, YVELINES, (FRANCE) KATIA PONSIN  

LES ENFANTS D E SID I KHIAR (KAN DER) RÉGION D E FE S (MA ROC, MOYE N ATLAS) AGENCE BUILD CONSULTING MEHDI TAZI

SERVICE JEUNESSE DE VOISINS LE BRETONNEUX YVELINES, (FRANCE) YOLETTE YALA DIRECTRICE DU SERVICE JEUNESSE ET PRÉVENTION  ECOLE DE RAS TEBOUDA AIT SADDEN, RÉGION DE FÈS, (MAROC, MOYEN ATLAS) OMAR EL OUID ADI, PRÉS IDE NT A SS OCIATI ON DES AIT SADDEN POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA CULTURE. 

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Pour rentrer à l’UNESCO veuillez vous enregistrer par mail  fatemab inet@gma il.com    3

4 Le mot de Son Excellence El Ouafi BOUKILI MAKHOUKHI CONSUL GENERAL DU ROYAUME DU MAROC A PARIS

ans le cadre de la célébration des États Africain du Royaume du Maroc Dauprès de l’UNESCO et en partenariat avec l’artiste plasticienne Fatema Binet Ouakka, Chargée des expositions de la Journée Mondiale de L’Art au Maroc, du Conseil National Français des Arts Plastiques-AIAP, est honoré d’apporter sa contribution aux festivités organisées au siège de l’Unesco, dédiées à la promotion de l’échange intellectuel et de la diversité du patrimoine culturel et artistique de l’Afrique.

La participation du Consulat à cet événement est matérialisée à travers des dessins réalisés par des enfants marocains âgés de 7 à 13 ans lors d’un workshop tenu au siège du Consulat le mois dernier. Lors de cette rencontre d’expression artistique une vingtaine d’enfants de la diaspora marocaine ont eu l’occasion d’exprimer leur imagination artistique par le dessin et la peinture.

Cette initiative qui met en exergue le talent de jeunes nationaux, fait partie d’une série d’ateliers pour enfants marocains de divers horizons, de Pontoise, Strasbourg et d’Ait Sadden, Sidi Khiar, au Moyen Atlas au Maroc qui, sous l’encadrement de l’artiste Fatema BINET-Ouakka et à chaque escale, ont donné libre cours à leurs fibres expressives plastiques.

Leurs dessins traduisent la volonté de ces enfants marocains d’honorer leur continent à travers l’art. Ils expriment également les valeurs si chères à l’Afrique de tolérance, du vivre ensemble et de générosité. 5 Le CNFAP

I - Le CNFAP, ses origines, ses liens : III - Le CNFAP aujourd’hui :

Le CNFAP, (Conseil National Français des Le CNFAP regroupe aujourd’hui un très grand Arts Plastiques) intègre dans son organisation nombre d’artistes des arts visuels, ainsi que générale, le Comité National Français des Arts différentes organisations, institutions, associations Plastiques ; celui-ci est le représentant officiel et galeries liées à l’art. de la France au sein de l’AIAP* (Association Internationale des Arts Plastiques). Au travers de son programme « DIALOGUES », L’AIAP créée en 1954 en étroite collaboration il contribue, avec efficacité et détermination, avec l’UNESCO, possède le statut d’ONG - aux projets d’échanges avec des organisations partenaire de l’Organisation des Nations Unies**; artistiques diverses dont les 80 Comités nationaux Le CNFAP est naturellement appelé depuis 60 de l’AIAP, répartis dans le monde. Chaque années à le représenter activement au sein de sa exposition organisée dans ce cadre, est Conférence Générale. l’occasion de rencontres et de colloques, sources d’échanges constructifs sur l’Art et la condition II - Le CNFAP d’hier, un peu d’histoire... des artistes des différents pays concernés.

Sous l’impulsion de la Direction Générale des IV - Le CNFAP, sa vocation et ses objectifs : Arts et des Lettres du Ministère de l’Éducation Nationale le CNFAP est créé en 1956 ; il • Promouvoir la coopération internationale comprend, parmi ses membres-fondateurs, 20 dans le domaine culturel, sans aucun parti pris artistes éminents, dont : esthétique, politique ou autre, entre les artistes Georges BRAQUE, Roger CHAPELAIN-MIDY, André de tous les pays. DUNOYER de SEGONZAC, Marcel GROMAIRE, • Améliorer le statut économique et social des Marie LAURENCIN, André LHOTE... artistes tant au niveau national qu’à l’échelle internationale et défendre leurs droits matériels et moraux. • Favoriser les expériences artistiques et la réflexion sur les différentes expressions de l’art contemporain et ses origines dans les cultures locales.

* L’AIAP et l’UNESCO : Il faut remonter à la 3e Conférence En 1954 lors de l’Assemblée Générale plénière de Générale de l’UNESCO, en 1948, organisée à Beyrouth, pour l’Association nouvellement constituée, furent annoncés comprendre les origines de l’AIAP. C’est à cette occasion les grands buts de l’AIAP; 18 pays étaient présents lors de que le Directeur Général fut chargé de mener une enquête cette Première Assemblée (avec des Comités Nationaux afin de définir la façon dont les artistes pouvaient servir les déjà constitués) qui prirent part à ces travaux, ainsi que des buts de l’UNESCO, enquête apte à mette également en observateurs de 22 autres pays. Des artistes tels que Miro, relief les obstacles, qu’ils soient d’ordre social, économique, Delaunay, Matta, Calder, Pasmore, Soto, Braque, Hartung, et politique qui entravaient le chemin des artistes dans Laurencin, Vasarely, Moore, Lurçat, Masson, et bien d’autres, l’exercice de leur art. ont participé à ces travaux et laissé leur empreinte. En conséquence, en 1952, lors d’une conférence d’artistes tenue à Venise, 21 gouvernements et 48 associations ** En 2012, le Bureau Exécutif de l’UNESCO a reconnu d’artistes représentant 19 pays, se déclarèrent en faveur officiellement l’AIAP comme « ONG partenaire officiel de de la création d’une association internationale de peintres, l’UNESCO » avec statut de consultation. sculpteurs et graveurs. Un conseil fut constitué, présidé par Gino Severini (Italie), et un secrétariat ouvert à la Maison de l’UNESCO. 6 Le mot de Fatema BINET OUAKKA

RESPONSABLE DE L’EXPOSITION MEMBRE DU CA, CNFAP, AIAP*

ourquoi cette exposition itinérante en 2016, partie des Yvelynes avec une escale à l’UnescoP pendant la semaine Africaine, célébrée tous les ans. Cette Semaine dédiée à la réflexion, à l’échange intellectuel, met aussi à l’honneur la diversité du patrimoine culturel et artistique de l’Afrique. Ce rendez-vous annuel confirme également l’engagement de l’UNESCO en faveur du renforcement de sa coopération avec l’Afrique, priorité globale de l’Organisation réunissant les enfants de plusieurs écoles ? Elle résulte de mon engagement en tant qu’artiste plasticienne.

J’ai été soutenue, dans cette initiative par le CNFAP-AIAP, une association organisant la célébration de la Journée Mondiale de l’Art (WAD)*.

S’y ajoute une envie de donner et de partager, comme dans mon enfance où j’ai rencontré des personnes exceptionnelles qui m’ont permis d’entrer dans un monde que je ne connaissais pas.

À mon tour, je me suis lancée dans une action qui implique d’animer et de coordonner des réseaux de création, de production et de diffusion. C’est ainsi qu’on peut encourager, avec le soutien d’associations fortement engagées dans l’art pluriel, l’organisation de manifestations nationales dédiées à la création contemporaine ou traditionnelle, qu’elles soient nationales et internationales.

Cette aide peut garantir la conservation et la valorisation des œuvres. Elle assure également l’établissement d’un dialogue permanent entre les artistes et les enfants des écoles dont certaines n’ont pas les mêmes facilités matérielles que les autres.

Elle propose, à ce titre, aux enfants de s’exprimer autour de questions diverses. Elle encourage la mise en réseau des jeunes en vue d’un travail sur des thèmes proches. Elle développe leur éducation artistique et culturelle, permet aussi l’élargissement des publics quels qu’ils soient, avec l’ensemble des disciplines artistiques.

Ceci permet aux enfants d’acquérir la liberté de s’exprimer par d’autres moyens que la parole ou l’écriture. Les enfants reçoivent ainsi une nourriture artistique en traitant des thèmes choisis par l’UNESCO.

Mais les enfants apprennent aussi le respect puisque chacun s’enrichit de l’autre en trouvant ses propres limites. Il apprend également à percevoir sa culture et la culture des autres. Il découvre alors la richesse liée au fait de vivre ensemble. 7 JARDIN DES PETITS ET CLUB DES ENFANTS DE L’UNESCO

8 Le mot de Najet NATHÉ-BOUDJEMAI

DIRECTRICE DU JARDIN DES PETITS ET DU CLUB DES ENFANTS DE L’UNESCO

avec Randy Guillemard (éducatrice)

e Jardin des petits et le club des enfants de l’UNESCO souhaitent ouvrir aux enfants unL regard sur l’art dès leur plus jeune âge. Cette découverte est accompagnée par la présence de différents artistes lors d’ateliers mais aussi d’ateliers animés par une des éducatrices de formation infographiste.

Le challenge est multiple pour nous : éveiller chez l’enfant le goût de la culture artistique, de la création artistique, de l’acceptation des différences, de l’acceptation de l’autre, de l’envie de créer seul et ensemble, de la sérénité devant le nouveau.

Ces découvertes sont aussi un levier pour aborder la question des apprentissages : le développement de la motricité fine, la possibilité de dessiner des courbes, des lignes, des angles ouvrent pour le champ de l’écriture une exposition qui doit permettre à l’enfant d’aborder les apprentissages sans appréhension de la nouveauté, sans la peur de l’échec. La découverte culturelle associe ici les différents sens, les matières sont manipulées, déchirées avant d’être collées, le regard s’exerce sur les couleurs et les choix d’un artiste, la rétine imprime. Le travail de création de l’œuvre de l’enfant est alors effectué. La présentation des artistes, des modèles se fait à posteriori pour ouvrir et sensibiliser l’enfant à une culture artistique.

L’enfant tel l’artisan a façonné sa page.

La reconnaissance de cet art comme art moyen tel que le décrit le critique d’art Jean- François Clément est tout à fait dans la volonté du projet développé au sein de la structure. Les enfants au JCU sont des apprentis, des apprentis de l’art, des apprentis de la création artistique, des artisans du projet de porter l’art comme support d’une expression, des artisans qui travaillent à rendre l’art accessible et au plaisir de goûter, de s’essayer et de tester leur imaginaire.

La relation que l’enfant développe auprès de nous, auprès des siens, dans le monde au sein duquel il va s’inscrire doit lui permettre d’exprimer ses sentiments et ce qu’il est avec des moyens que parfois les mots ne peuvent faire. L’art est alors à son service. 9 montage cercle photo_Mise en page 1 09/12/2015 11:37 Page1

VILLE DE VOISINS LE BRETONNEUX

10 Le mot de Madame Alexandra ROSETTI

MAIRE DE VOISINS LE BRETONNEUX CONSEILLÈRE DÉPARTEMENTALE VICE-PRÉSIDENTE DE LA COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION DE SAINT-QUENTIN-EN-YVELINES - FRANCE

ournée Mondiale de l’Art et de la Paix en 2015 ! organisée par le JCNFAP-AIAP.

Un immense merci à Fatema d’avoir pensé aux jeunes de Voisins le Bretonneux d’exprimer leur talent et leur créativité sur ce thème que nous chérissons tous !

Ces échanges entre pays promettent un beau voyage aux participants !

11 12 Le mot d’Abdellatif CHAMSDINE

PROFESSEUR DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, AUTEUR (HOUARA MON AMOUR, PARU EN 2014), CHRONIQUEUR (NOMBREUX ARTICLES SUR L’ACTUALITÉ ET L’IMMIGRATION) PRÉSIDENT FONDATEUR DE L’ASSOCIATION FRANCO-MAROCAINE DES 2 RIVES (AFM2R)

’AFM2R est née en mars 2014 à la suite du constat d’un déficit, celui d’une réflexion dépolitisée, auL sens étroit du terme, et à distance du dogme religieux. A partir d’actions artistiques, culturelles et éducatives, l’AFM2R se fixe comme objectif global de rentabiliser la réflexion issue de ces événements et la formaliser afin d’en tirer des conclusions indépendantes et utiles pour la prise de conscience et de décision, en faveur des peuples français et marocain, notamment la Diaspora marocaine, et plus largement contribuer à l’apaisement, la tolérance et la paix pour notre espèce humaine sur notre Terre nourricière. Notre association inaugure un Cycle culturel qui comporte 5 Editions. La première a été tenue samedi 6 juin 2015 à Gonesse (95). La 2e prévue en novembre 2015, a été reportée en raison du contexte inapproprié. Ancien professeur à ASSAS-SORBONNE, ancien professeur-référent ESSEC, je continue d’exercer mon métier d’enseignant auprès de jeunes français d’Ile-de-France dans un établissement scolaire de la Région parisienne. J’ai rencontré Fatéma BINET OUAKKA à l’Assemblée nationale à l’occasion de la commémoration du souvenir des anciens combattants, dont mon grand-père, Bouchaib BELKORCHI, ancien officier de Sa Majesté Mohammed V, qui a combattu aux côtés de ses frères d’armes français dans les deux grandes guerres. Il a été blessé et décoré plusieurs fois pour son engagement et sa bravoure à lutter contre le nazisme et pour la liberté des peuples. Tel petit-fils, tel grand-père : je poursuis donc son engagement sur le plan culturel. Avec Fatéma BINET OUAKKA c’est la partie artistique qui vient compléter mon engagement. L’Art, la Culture, la Réflexion sont aujourd’hui plus que jamais nécessaires pour ne pas sombrer dans l’abîme dans lequel notre famille humaine est entraînée par des forces obscures. Depuis notre rencontre à l’Assemblée nationale, nous n’avons pas cessé, Fatéma BINET OUAKKA et moi-même, de travailler main dans la main. Notre combat intellectuel pour le vivre ensemble et la Paix s’est manifesté à plusieurs reprises depuis notre rencontre, notamment au vernissage de l’exposition itinérante à Voisins-le-Bretonneux (78) et plus récemment dans les locaux de la radio LFM95.5FM à Mantes-la-Jolie (78). Ces expériences du bénévolat et du sacrifice en faveur de la Paix entre les peuples de notre Terre, nous encouragent à poursuivre notre engagement artistique et culturel, aux côtés d’autres personnes et institutions qui partagent avec nous les mêmes valeurs et convictions : Solidarité, Liberté, Paix. 13 14 Le mot de Rachida RHARBI

PRÉSIDENTE APEL, ECOLE SAINTE THERESE EPINAY SUR SEINE

’APEL ou association des parents d’élèves de l’Ecole Ste Thérèse, dont je suis la présidente organiseL chaque année avec l’équipe pédagogique différents évènements. Cette année le choix s’est porté sur une pièce de théâtre « Folle Nuit au Louvre » revisitée par les élèves de la classe de CM2 et mise en scène le 9 Avril 2016 par Mme Jego, pilier des spectacles traditionnels de l’école.

Tous les élèves de l’établissement ont participé à ce spectacle magique et mémorable pour nos enfants.

Comment ne pas s’inscrire dans la Journée Mondiale de l’Art et de la Danse ?

Présenter notre projet devait s’inscrire dans cette Journée !

Grâce à ma rencontre avec Fatéma Binet Ouakka, membre du CA du CNFAP AIAP et responsable de cet évènement au Maroc, notre établissement a accueilli cette initiative dans un partenariat du 5 avril 2016 au 9 avril 2016.

Cette manifestation a été l’aboutissement créatif de toute une école et de tous les parents d’élèves conscients de la portée de cet évènement mondial.

Les échanges et les liens résultants sont incontestablement le fruit du vivre ensemble. L’expérience artistique vécue par nos chérubins démontre qu’il n’y a pas de barrières ethniques, sociales ou religieuses.

Les ateliers artistiques du week-end ont créé une dynamique entre parents et enfants qui ont œuvré pour réaliser tous les costumes et les accessoires.

Cette « folle nuit au Louvre » a fait danser tous les élèves de toutes les classes !

De nombreuses Joconde et travaux artistiques ont été revisité par nos classes de CE2 et CM2 !

Quelle imagination et quel talent !

Le défi relevé par ce travail collectif entre enseignants, parents et élèves, nous conduit le 25 Mai 2016 à l’UNESCO pour une exposition marquée par la présence de tous.

Je remercie Fatéma Binet Ouakka, membre du CA du CNFAP AIAP et ses membres pour cette manifestation. 15 16 Le mot de Chrystelle DUDILLIEU

ENSEIGNANTE DE LA CLASSE DE CM2, ECOLE SAINTE THERESE EPINAY SUR SEINE

Les créations de la classe des Cm2 de l’école Ste Thérèse d’Epinay sur Seine

ans le cadre de la pièce de théâtre «folle nuit au Louvre», notre classe a étudié les œuvres de DLéonard de VINCI et ont réalisé deux types de productions « arts plastiques ».

L’une est l’aboutissement de l’étude des engrenages avec laquelle nous avons croisé les études de Léonard de Vinci sur ce thème et d’artistes plus contemporains tels que Alta. L’autre réalisation a été menée par la venue en classe de Mme Fatema Binet Ouakka sur le thème imaginaire :

« Que ferait Léonard de Vinci s’il venait en 2016 à l’école Sainte Thérèse ?»

Durant toute une après midi , les élèves ont cherché, inventé et créé des machines, des inventions à la manière de L. de Vinci en étant conscient des problèmes environnementaux actuels : pollution, couche d’ozone etc…

Le résultat fut étonnant d’ingéniosité ! Non seulement les élèves étaient très créatifs mais aussi ils montraient un vif intérêt à ce travail. Ils utilisaient les matériaux laissés à leur guise à bon escient (feuilles de couleur, gouaches, crayon gras, etc...) et n’hésitaient pas à solliciter notre aide.

Voici quelques impressions retenues par les élèves :

- « j’avais l’impression d’être Léonard de Vinci »

- « ’ai adoré «jouer à l’artiste» et crée, cela m’a beaucoup plu. »

- « Cela m’a plu de réfléchir à une création puis de la construire en volume.»

Une fois la séance terminée, nous avons fait quelques photos et les élèves sont repartis avec un diplôme et le cœur plein de joie !

17 18 Le mot de Margarita CHACON BACHE

ARTIST, ACTIVE MEMBER AND INTERNATIONAL REPRESENTANT OF ARTAC, MEXICAN ASSOCIATION OF PLASTIC ARTISTS.

Children for Peace Children, ages 2 to 12, were asked to express their opinion about peace. The Canswers were beautiful and espontaneous.

They talked about love, friendship, family, respect, tolerance, sharing, understanding, and helping each other. These topics were reflected in their works. I mentioned their works will be exhibited in France and Morrocco. They were very excited and wanted to know about their language, food, flags etc. We looked at the globe and realized we are far away but their works will be together with those of children from these countries which will make us close. They had a great time creating their travelling art for peace, as one of them called it. As for me it was a very rewarding experience.

The institutions:

Casa Hogar María de Jésus Romero Rodriguez. It is an institution that gives home, and education to girls who lived in extreme poverty or who had suffered violence. Works 1-9

Centro Libanes It is a sports, cultural and social club. Parents bring their children here after school to practice sports or to take part in the cultural activities that the institution offers Works 10-26

The children were asked to express their opinion about PEACE. The answers were beautiful and espontaneous. They talked about love, friendship, respect, family, understanding, sharing, and helpping each other. We looked at the globe and showed the countries were their works will be exhibited.They showed interest in France and Morrocco. Wanted to know about their flags, language, food,etc. One of the girls mentioned that their works will be travelling art for peace. They were very involved with their work and excited to know that people from other countries will see them. We all had a great experience.

19 20 Le mot de Delphine COURTAY

AGENT ARTISTIQUE DES ARTISTES...

xerçant au titre d’agent artistique, j’ai eu l’honneur d’être contactée par Mme Fatema Binet EOuakka, responsable de l’exposition de la Journée Internationale de Art CNFAP membre du CA, chargée des expositions pour la JMA3 Le cnfap est membre de AIAP est une ONG partenaire Officielle de UNESCO. En effet mon agence prépare depuis quelques temps une exposition des peintures de Kiddy Citny, artiste emblématique du Mur de Berlin à Buenos Aires, sur la thématique de la Paix ; et je souhaite vivement l’aboutissement de ce projet d’exposition aux messages positifs et universels d’Amour, d’Union entre les peuples, de Paix, de Responsabilité, de Liberté. Nos échanges avec Madame Binet Ouakka ont été riches en émotion et en accord, nous avons souhaité approcher ensemble la thématique de la Paix pour Tous et du Vivre Ensemble pour ce projet d’exposition à Buenos Aires, ainsi que pour de futurs projets d’expositions dans d’autres villes du Monde. Comme le cite souvent l’artiste Kiddy Citny, « l’art étant la plus haute forme de communication », je suis ravie de démarrer notre collaboration à travers l’exposition de dessins d’enfants de mon réseau d’amies alsacien ainsi que des enfants argentins de l’entourage de Gabriela Figueroa, porteuse de mon projet en Argentine. Je suis très sensible aux valeurs universelles de l’UNESCO et également engagée dans la cause caritative d’enfants défavorisés d’Alsace en tant que membre de l’Association « La Main du Cœur ». J’ai donc souhaité rassembler un maximum de dessins de ces jeunes artistes en herbe, âgés de 7 a 27 ans qui, par leur expression et ressenti, ont rendu spontanément un très bel hommage à Léonard de Vinci : - Adèle, 13 ans, fille d’une de mes complices de la Faculté d’Ethnologie de Strasbourg, - Nico, 27 ans, jeune ami à déficience mentale, fils de la plus fidèle assistante de mon agence, - Lisa, 11 ans, fille de la Directrice du Pôle Culturel de Drusenheim, partenaire de mon agence, - 17 dessins d’enfants de 7 à 10 ans, du cours d’art plastique du 11 mai 2016 du Pôle Culturel de Drusenheim, dont les prénoms figurent au dos des dessins, - et 5 dessins provenant de la famille de Gabriela Figueroa, ma partenaire d’exposition à Buenos Aires. La plume de Jean-Francois Clément vous retransmet la richesse créative de cette production unique. Je tiens vivement à remercier Mme Binet Ouakka et Mr Clément d’avoir su créer avec eux ce lien important. 21 22 Le mot de Jean-François CLÉMENT

CRITIQUE D’ART, HISTORIEN ANTHROPOLOGUE

Analyse des travaux élèves de l’UNESCO

fin de célébrer la Journée de l’art au siège de l’Unesco à Paris, Fatema Binet Ouakka Aa mobilisé, avec la complicité de Delphine Courtay, de nombreux enfants d’origines différentes puisque venus d’Argentine, d’Allemagne, de France et du Maroc.

Tous ont eu à prendre appui sur la figure tutélaire de Léonard de Vinci, à la fois peintre utilisant une technique radicalement nouvelle de superposition de couches de peinture d’une extrême finesse, ce qui permet de rendre la lumière, inventeur également de la technique du sfumato qui permet de donner, d’une autre manière que par les lois de la perspective, l’illusion de la profondeur. Il est aussi créateur de machines potentiellement utilisables dont la finalité n’est toutefois que de montrer la richesse créative d’un esprit humain.

Deux thèmes furent donc choisis, celui, tout d’abord, de la libre conception d’outils permettant d’identifier, dans l’imaginaire, le pouvoir de création humain sans flatter pour autant la volonté de puissance, ce qui est à la fois un plaisir et un sacrifice librement consenti. Il y eut ensuite la proposition de mettre à distance l’espace représenté en utilisant la technique mise en œuvre dans ses propres tableaux par Léonard de Vinci.

Inspiré par ce qui leur avait été montré, les enfants se mirent immédiatement au travail. Et ce qui apparaît alors, ce sont leurs désirs puisqu’ils pouvaient concevoir des machines dans les domaines les plus divers, exprimer leurs centres d’intérêt, voire leurs passions, de manière très libre, parfois s’emparer d’autres thèmes présents chez Léonard de Vinci.

Selon les âges et les évolutions propres à chacun, on obtient des résultats très différents, du bonhomme fil de fer au rébus qui exprime un visage par combinaison de symboles. On observe que la production de machines imaginaires, parce qu’elle produit du plaisir, est mieux maîtrisée que l’exercice de distanciation fondée sur un dégradé de couleurs, comme s’il y avait des réticences à éloigner le monde de soi. Aussi le sfumato n’apparaît que comme un simple procédé lui-même distancié des objets qu’il pourrait mettre à distance.

Est-ce parce que l’éloignement pourrait engendrer chez certains une insécurité analogue à celle du regard de la Joconde, au moins pour certains qui pensent que ce regard semble suivre le spectateur dans ses mouvements ?

D’autres construisent un triangle et se placent entre le personnage paternel de Léonard et celui de la Joconde. Le thème de la métamorphose avec des fleurs dans tous leurs états apparaît également. À chacun donc ses finalités.

Il y a peut-être autant de sens que de spectateurs, mais il y a aussi autant de peintres que de compréhension du sens de la proposition de peindre.

23 24 Le mot de Kamal LAHCEN

AT AMMOUYESS

’éducation est au cœur de nos priorités, nous les Amazighs du moyen atlas ; nous les montagnard,L nous respectons la nature, et nos enfants sont éduqués à vivre en harmonie avec elle, apprennent les bases de la vie en société, que ce soit de façon ludique ou plus réglementée. Elle est le pilier du développement, du vivre ensemble entre chaque tribu, et sa participation au sein du groupe. Chacune de ces rencontres est une épreuve dynamisant, entraînant une véritable avalanche d’idées nouvelles pour participer à des échanges au travers de leur langage, et leur émotion incite leur imaginaire à créer sans peur.

Ce qui, pour moi, porteur d’une incroyable vie intérieure, de voir ces enfants coucher sur leur terre à sentir l’odeur du bétail, à dessiner avec leur grand mère et grand père, c’est une première, est aussi une joie profonde qui nous font découvrir.

J’ai beaucoup de plaisir à voir leur yeux pétillants de vie. Les discussions toutes dans notre langue amazigh, ils dessinent pour un Monsieur mort qui s’appelle « LEONADO » c’est étonnant, je remarque cette fierté de nos enfants. Cette rencontre de partage, une est clé en vue de leur Autonomie et curiosité, afin qu’ils puissent se projeter dans un avenir qui leur est à construire. Et j’espère qu’ils reviendront un jour sans oublier leurs racines et leur terre qui les a nourris pendant des siècles.

25 Analyse des travaux élèves par Jean-François Clément 1-10-18-29 Avril 2015

Voisins le Bretonneux (Yvelines, France) La journée eut lieu le mercredi 1er avril avec les élèves de la classe de 4e 2. Le thème était « se donner des ailes » comme l’avait fait l’aviatrice qui a donné son nom à l’établissement. Les élèves furent incités à faire des recherches préalables sur cette femme et à visiter l’exposition qui lui était consacrée. Puis les élèves ont été répartis en petits groupes afin de réaliser un travail, au choix, sur le rêve de voler, l’aile, l’élytre, la machine volante, ou la conquête effective des airs. En utilisant la documentation disponible préparée par le professeur d’arts plastiques, Madame Magali Meyer, chacun se mit au travail. Les collégiens français eurent à la fois des modèles et du matériel. Leur liberté fut ainsi très large et il est utile de voir ce qu’ils en ont fait. La plupart firent de petites installations, souvent avec des ballons, ceux-ci symbolisant, indépendamment du gaz qu’ils contiennent, l’idée d’élévation. Une partie utilisa le dessin. L’imaginaire l’emporte alors, les enfants n’envisageant pas naturellement la mise au point de procédés efficaces. Leur cadre de pensée est plus magique que technique. Il y a des différences notables entre les réalisations des filles et celles des garçons, d’abord dans la taille des œuvres produites, ensuite dans la distance par rapport aux œuvres de Léonard qui avaient servi de propositions.

26 Le mot de Philippe LUMAT

PRINCIPAL DU COLLÈGE HÉLÈNE BOUCHER DE VOISINS LE BRETONNEUX

haque 21 septembre, c’est la Journée Internationale de la Paix, cette journée est ainsi consacrée Caux idéaux de paix, au sein des différentes nations, des différents peuples et dans leurs relations. Ainsi le collège Hélène Boucher de Voisins Le Bretonneux que je représente est heureux de s’associer à cet événement.

Cette action pour la paix fait suite au projet, mise en place par le professeur d’Arts Plastiques de notre établissement, Mme Meyer, qui pérennise ainsi le projet, fait l’année dernière, avec une classe de 4e avec un artiste Mme Fatema Binet-Ouakka qui pour fêter “La journée mondiale de l’art” a proposé à nos élèves pendant 3 heures d’animer un atelier ayant pour thème “se donner des ailes...” de Léonard de Vinci à Hélène Boucher.

Cela a amené tous les élèves du collège à travailler sur le thème de “la paix” et de proposer des créations.

Notre collège s’implique toujours avec dynamisme, réfléchit à ce projet culturel. Il permet aussi le travail en équipe et donne une vision différente à nos collégiens, leurs volontés étant d’abord un thème sans jugement, avec réalisme et aussi de réaliser différentes productions, fruit de leurs imaginations.

Ceci, permet de faire évoluer les élèves, de les faire travailler d’une autre façon afin de les faire réfléchir et évoluer. Cette participation leur apporte une nouvelle ouverture d’esprit, pour leur permettre de réussir dans d’autres domaines d’activités. C’est notre vision de l’élève avec un niveau de compétence accru, vers aussi les valeurs républicaines qui permet d’aider à faire réussir le projet individuel éducatif de chaque élève. C’est notre mission, ce projet y contribue, le collège Hélène Boucher est fier de ses élèves et honoré de présenter ses réalisations.

27 28 Le mot de Magali MEYER

PROFESSEUR AU COLLÈGE HÉLÈNE BOUCHER DE VOISINS LE BRETONNEUX

ous les élèves du Collège Hélène Boucher de Voisins le Bretonneux ont réalisé unT travail artistique pour célébrer la PAIX, en prenant appui sur la Journée internationale de la Paix du 21 septembre 2015, proposée par UNESCO et le WAD JMA CNFAP en avril dernier à travers sa représentante : Mme Fatema Binet Ouakka. « Membre du Conseil d’Administration du Conseil National Français des Arts Plastiques (CNFAP)Le CNFAP est membre de l’Association Internationale des Arts Plastiques (AIAP), partenaire officielle de l’UNESCO ».

Les élèves de 11 à 16 ans ont réfléchi à la nécessité de faire évoluer le monde en lui offrant plus de solidarité, de fraternité, de justice, de dignité, moins de violence. Les enfants ont réalisé en cours d’arts plastiques avec leur professeur Mme Magali Meyer, un dessin, une peinture, un collage, une sculpture, un travail numérique qui a été affiché dans le collège et visible par tous.

L’art n’a pas de frontière, il alerte, rend sensible et conscient, serait-il en mesure de changer le monde ...?

29 COLLÈGE PAUL VERLAINE DES MUREAUX Dans ce cadre, en France, des élèves de 6e à la 4e du collège Paul Verlaine des Mureaux, ont réalisé des produc- tions sur le thème : voir l’approche de Clément Masdongar chanteur-musicien-plasticien associant les sons et restituant le mouvement des notes à travers leurs ressenti, nourri leur imaginations pour restituer soit sur le tableau et sur le support papier avec du fusain « LEONARD DE VINCI EN MOUVEMENT »

(par Jean-François Clément)

30 Le mot de Katia PONSIN ADJOINTE DU PROVISEUR DU COLLÈGE PAUL VERLAINE AUX MUREAUX

e vendredi 10 avril 2015, le collège Paul Verlaine des Mureaux a participé Lactivement et artistiquement à la journée mondiale de l’Art et de la danse célébrée ce mercredi 15 avril 2015.

Un atelier artistique co-animé par M. Clément MASDONGAR, musicien et danseur par Mme Fatema Binet Ouakka « Membre du Conseil d’Administration du Conseil National Français des Arts Plastiques (CNFAP). Ce conseil est également membre de l’Association Internationale des Arts Plastiques (AIAP) partenaire Officielle de l’UNESCO ».

Un groupe de 18 élèves de la 6e à la 4e ont réalisé une production très personnelle sur la thématique « LEONARD DE VINCI EN MOUVEMENT AU COLLEGE PAUL VERLAINE ».

Léonard de Vinci, peintre et inventeur de génie, né le 15 avril 1452, a inspiré ces jeunes élèves dynamiques qui, de par leur imagination, du fusain et de l’encre de Chine, ont réinventé le mouvement et l’architecture. Ce moment fut magique, et ponctué de notes de musique, et par des mouvements corporels mettant la Joconde à l’honneur.

Les élèves dynamiques et chaleureux, curieux, ont apprécié cet atelier qui leur a permis de rencontrer deux artistes de talent, et de se lancer ainsi dans la création, source de persévérance.

31 32 Le mot d’Omar EL OUIDADI PRÉSIDENT DE L’ASSOCIATION DES AÏT SADDEN

’Association Aït Sadden pour le Développement Durable et Culturel a eu l’honneur d’accueillir àL l’école de RAS TABOUDA située dans la région de Fès-Boulmane, l’artiste plasticienne de renommée internationale Fatema Binet Ouakka, membre du Conseil d’Administration du Conseil National Français des Arts Plastiques (CNFAP). Le CNFAP est membre de l’Association Internationale des Arts Plastiques (AIAP), qui est partenaire officielle de l’UNESCO. Il s’agissait d’organiser, pour la première fois au Maroc, la Journée Mondiale de l’art et de la danse le 15 avril 2015, date coïncidant avec la naissance du grand artiste, Leonardo da VINCI. L’événement a donné aux enfants de l’école de la commune de RAS TABOUDA l’occasion d’exprimer, par diverses productions artistiques, leur potentiel créatif. Les écoliers, enthousiastes et heureux de l’organisation d’un événement de cette envergure chez eux, se sont montrés actifs et imaginatifs. Ce fut un moment inoubliable dont témoignèrent les larges sourires sur les visages de ces enfants habitant une zone rurale. Notre association exprime ses vifs remerciements aux enfants, à leurs instituteurs et au directeur de l’école. Toutes ces personnes nous ont accueilli avec enthousiasme et elles nous ont fait partager leurs qualités et leur valeur humaine. Nous tenons également à remercier nos partenaires Français et Marocains, particulièrement Monsieur le Wali de la région de FÈS BOULMANE, Mohamed DARDOURI, sans l’appui duquel l’événement n’aurait pas vu le jour et qui a veillé à ce que la célébration de cette journée, unique en son genre au Maroc, soit une réussite. Décembre 2015, les dessins de ces enfants ont été ex- posés dans la ville Française de Voisins-le-Bretonneux dans les Yvelines à l’occasion d’une exposition intitulée « Ensemble pour l’Art, Ensemble pour la Paix, les enfants s’engagent… » Cette exposition collective fait escale aujourd’hui au siège de l’UNESCO à Paris dans l’espace du Club des Enfants de UNESCO. Pour terminer, cette exposition itinérante reviendra au Maroc où elle sera montrée sur le territoire des Ait Sadden, pour aller ensuite au Mexique et en Argentine. Nous espérons vous retrouver tous en 2017 pour la phase finale de cet échange culturel avec l’espoir qu’il sensibilisera les enfants et les familles à la possibilité d’une ouverture vers d’autres cultures et donc d’un avenir meilleur, car l’art est universel.

33 ECOLE DE RAS TABOUDA (RÉGION DE FÈS-BOULEMANE, MAROC)

La journée se déroula le 18 avril 2015 avec l’aide de Monsieur Abdelkader Rmili, directeur de l’école. Les Autorités Marocaines de l’Éducation Nationale, Monsieur le Caïd, le Délégué du Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle de Sefrou et l’Association Ait Sadden pour le Développement Durable et la Culture présidée par Monsieur Omar Widadi secondé par Monsieur Lahcen Amameur, Le CNFAP, Conseil National Français des Arts Plastiques, son Président est Monsieur André Hervio, le Comité français de l’AIAP, Association Internationale des Arts Plastiques créée en 1954 en étroite collaboration avec l’UNESCO dont elle est la partenaire officielle, furent à l’origine de cette manifestation.

Fatéma Binet Ouakka a commencé à expliquer « Quand Léonard explique ses inventions aux enfants des Aït Sadden », ce qui les rapproche »le tissage, les chevaux, et la figure de la Joconde » de Léonard de Vinci aux enfants, en leur expliquant ce qu’était cette œuvre. Puis les élèves se sont mis au travail. (Les enfants venaient des classes primaires et du collège de Ras Tabouda, mais aussi de villages voisins. Il s’agissait de permettre à des élèves, dont certains étaient handicapés, de découvrir les richesses de leur patrimoine artistique. La journée s’est terminée par un défilé de costumes locaux sous le rythme musical accompagné d’une démonstration de danses locales (ahidus).

(par Jean-François Clément)

34 Le mot d’Abdelkader RMILI DIRECTEUR DE L’ÉCOLE DE RAS TABOUDA

’école de Ras Tabouda, qui se trouve dans la province de Sefrou, a organisé, à l’occasion deL la Journée Mondiale de l’Art, samedi 18 avril 2015, à partir de 9 heures des activités qui ont été proposées aux élèves de la 5e année et de la 6e année de l’enseignement primaire. Quelques élèves de l’école de Bir Tamtam furent également conviés à participer à l’événement organisé avec le concours de l’Association Aït Sadden pour le Développement Durable et Culturel. Celui-ci fut encadré par Fatema Binet Ouakka, membre du Conseil d’administration du CNFAP (Conseil national français des arts plastiques), membre de l’AIAP, Association Internationale des arts plastiques, partenaire officiel de l’UNESCO.

Fatema Binet Ouakka a formé tout d’abord les groupes et, après avoir distribué les outils de dessin aux enfants, leur a donné les consignes techniques nécessaires après leur avoir montré le tableau de La Joconde. Les élèves ont dessiné, avec le soutien de l’artiste qui les dirigeait tout en leur donnant des explications, à partir du thème : « Quand Léonard de Vinci explique ses inventions aux enfants des Aït Sadden ».

Il en résulta des tableaux de différentes tailles et couleurs qui montrent la richesse de la région des Aït Sadden connue, par ailleurs, pour ses tapis géométriques et multicolores produits par les femmes amazighes originaires de ce territoire. Il y eut ensuite un défilé auquel participèrent les enfants de l’école portant leurs habits ou robes traditionnels. Ils furent accompagnés par des rythmes de bendirs joués par trois garçons. Ce groupe des Aït Sadden maintient aussi ses traditions d’art équestre puisque, chaque année au mois d’août, les groupes venus des Aït Sadden et d’ailleurs organisent le Festival de la tbourida où l’on peut aussi voir des danses dites ahidous.

Cette journée a ensuite permis d’associer les parents des élèves ainsi que les membres de l’Association des Ait Sadden. Plusieurs officiels ont également fait le déplacement pour encourager les élèves, dont certains étaient handicapés. Ce fut l’occasion pour tous de prendre conscience à la fois de la personnalité exceptionnelle de Léonard de Vinci et des richesses du patrimoine local. Les enfants ont vécu avec bonheur cette journée exceptionnel comme plusieurs l’ont spontanément affirmé. 35 36 Ensemble pour l’Art Ensemble pour la Paix

37 38 Le mot de Yolette BOULLANGER DIRECTRICE DU SERVICE JEUNESSE ET PRÉVENTION VILLE DE VOISINS LE BRETONNEUX, YVELINES - FRANCE

ardi 15 avril, les jeunes du service Jeunesse et Prévention de la ville de VoisinsM le Bretonneux pour la première fois ont célébré à leur manière l’anniversaire de Léonard de Vinci qui aurait eu 562 ans en 2014.

La date de naissance de cette personnalité à la fois peintre, inventeur et philosophe a été choisie pour promouvoir l’art auprès des jeunes qui se sont exprimés en toute liberté.

L’épanouissement créatif doit occuper une place importante dans l’éducation des jeunes, il est un droit fondamental pour tout être humain. Dessiner, peindre sont des actes de liberté artistique. Nul ne doit perdre la vie ou être emprisonné pour cela.

Sur une journée, à l’aide de pastel, fusain peinture et modelage, les artistes plasticiennes Fatema Binet Ouakka et Asilva ont fait passer les valeurs de tolérance, de fraternité entre les peuple et de liberté d’expression, aux jeunes artistes en herbe

39 LES ATELIERS EN PLEIN AIR DES ENFANTS DE SIDI KHIAR

40 Le mot de Medhi TAZI DIRECTEUR DE L’AGENCE BUILD CONSULTING SIDI KHIAR

e festival se situe dans le cadre d’une vision globale qui a pour objectif de promouvoir et de valoriser Cles arts des montagnes, pour en faire un levier de développement durable. L’ambition affichée est d’offrir une opportunité de rencontres et d’échanges artistiques, culturels et gastronomiques, et de permettre ainsi au public d’apprécier un aspect authentique de l’art populaire des montagnes marocaines, ainsi que celles d’autres régions du monde. L’agence BUILD CONSULTING croit en l’avenir de la montagne. Afin de faire connaitre ses potentialités culturelles, artistiques, et socio-économiques, elle a organisé la première édition du Festival International des Arts des Montagnes ‘MONTAGNE’ARTS’ : la galerie montagnarde, illustrée par plusieurs artistes peintres représentant les quatre chaines du Maroc, qui ont pu exprimer leur savoir-faire en exposant leurs toiles cinq jours durant. L’événement majeur de cette exposition est certainement la participation de l’artiste du Moyen Atlas FATEMA BINET OUAKKA, qui a bien voulu encadrer des ateliers pour enfants. Lors de ces ateliers, Fatema a su faire ressortir les réelles potentialités artistiques des jeunes qui ont participé à cette rencontre. Chaque participant a pu laisser libre cours à son imagination, sa créativité, sa confiance en soi et l’acceptation du regard de l’autre. Ce type d’action est, sans aucun doute, un levier puissant du développement de l’enfant. Au travers de cette rencontre, Fatema a su révéler des potentiels énormes. A l’issue de cet atelier, les enfants ont signé leurs «œuvres» et ont écrit leur nom sur les attestations de participation. A la fin de l’atelier, cet apprentissage de quelques jours leur a permis, lors du vernissage, de s’exprimer avec une très grande aisance, devant les caméras, avec les journalistes qui ont couvert l’événement ainsi qu’avec les officiels (Ministre, Wali de Fès, et Gouverneur de Sefrou, entre autres). « L’éducation est au cœur de nos priorités » a déclaré Fatema. « Je me suis engagée, de par mon statut d’ artiste et de femme, de mère et de marraine, à apporter un artefact à cette rencontre humaine. Sa lecture étant choisie d’instinct par les enfants, ce qui offre une grande liberté de choix. L’apprentissage apprend les bases de la vie en société, que ce soit de façon ludique ou plus réglementée. Il est le pilier du développement personnel des enfants, du ‘vivre ensemble’ entre chaque tribu, de sa participation au sein du groupe. Chacune de ces rencontres est une épreuve dynamisante, entrainant une véritable avalanche d’idées nouvelles pour participer à des échanges au travers de leur langage codé, et leur émotion débordante incite leur imaginaire à créer sans peur aucune de la feuille blanche. Ce qui, pour moi, fut aussi porteur d’une incroyable émotion : j’ai beaucoup appris à voir leur yeux pétillants de vie et débordants d’une envie jamais assouvie d’apprendre. Les discutions ont toutes eu lieu dans les langues ‘berbère amazigh’, que je comprenais sans difficulté, étant moi-même du la tribu voisine. » Cette manifestation riche en couleurs a fait la fierté des enfants, des parents, et des visiteurs de ce festival 2014. L’objectif de ces rencontres est de leur offrir une clé en vue du développement de leur Autonomie afin qu’ils puissent se projeter dans un avenir qui leur est à construire. Des panels de discutions ont porté sur grand nombre de questions : la société occidentale, la famille, la violence, l’éducation, la précarité, internet, la musique, etc. Tout ce questionnement a fusé pendant le temps de la création des enfants et des adultes, les incitant à libérer leur anxiété, et laissant place à l’expression entière de leur culture ancestrale dans un Maroc amazigh-arabo dans lequel cette diversité culturelle est reconnue par la Constitution.

Photos prises avec leur consentement.

41 Le mot de HATIM

CHANTEUR

’aime : la vie, les gens qui veulent me voir réussir, le raï, le Maroc «mon pays natal», ma familleJ ? J’aime pas : les jaloux, les gens qui parlent trop, les racistes ? Projet : devenir chanteur de raï et partager cette passion avec tout le monde, je me donnerai à fond pour réaliser ce rêve d’enfant. J’écris mes textes et compose, mais j’attend de faire la zik qui fera en sorte que je monte sur scène et prouver à tous les « beaux parleurs » de quoi je suis capable....même si je dois rien recevoir en retour !!! Les personnes que j?aime : *avant tout, MA MERE, pour tout ce qu’elle fait pour ses enfants, pas facile d’être la seule femme dans un foyer et je n?ai jamais manquer de rien avec elle, mes proches pourront en témoigner ? *CHEB , j’apprécie son parcours, il a beaucoup galéré pour devenir l’homme d’aujourd?hui «le roi du raï», chanter à ses cotés serait bien + qu’un rêve. * , bien sûr, quand une personne étrangère me pose la question « Qui a réussi dans ta cité ? - Pcq à mes yeux y?en a pas ! On entend que du mal d’où tu viens !!! « ba c’est simple, je lui répond : « tu te rappelles du clip dans lequel y avait un jeune maghrébin avec une chemise blanche qui courait après une fille... en disant «tellement je t’aime» ?? *, CHEB TARIK, AMINE, et plein d’autres encore ?

Chanter pour chanter, c’est bien Des autres, on peut s’en passer Mazel Rabi te ziane liyem Et si l’artiste œuvre d’une tout autre manière en se Et on pourra tous s’aimer concentrant davantage sur un titre engagé , une Mat fakarch liyem ou zméne responsabilité à partager avec ses auditeurs . Ça fait partie d’ton passer

«Sur le chemin de l’école» Refrain « « « « Sur chemin de l’école « « « «, J’entends ma voix raisonne « l’art au profit de la solidarité ». Tel est ma devise. « « « « J’attends que mon heure sonne Je pense particulièrement aux pays du Maghreb ou Un sourire, j’abandonne l’éducation relève du luxe. Tout ça, ça me désole

Parole Sur Le Chemin de l’école 2eme couplet Ma 3andih ou mane nechkih Intro La santé avant tout N’harbo el faqrr oul azma Ma had 7or fe hyati Be tabssima Jme sent mieux près de vous Ou morr deniya Fina y bi3, fina y chri Ou ma fi3a Le peuple est devenu fou Loukane righ Niya 3akda y semiw el fa3em Matssra el déniya 3akda Et moi je me situe où ? Matssra el déniya 3akda Pont : 1er couplet Wa3 ya liyem, la la la lalala sbarr ou mat chouf morak Douwazna ayem ou 3achena ayem Et tu pourras t’évader Wa3 ya douniya, la la la lalala Zid ou hane ala li brack Wa3 Dounia, tbassmi ou 3awdé léya 42 Le mot de Désirée THOMPSON

AGENT ARTISTIQUE DES ARTISTES...

étis’ Jazz à l’horizon par compagnie Franco-Brésilienne d’arts Express art MDirection artistique Désirée Thompson

Conception, Chorégraphie et danse : Musique en live et enregistrée Hommage à la chanteuse La Velle Synopsis « Métis’JAZZ à L’horizon », met en scène la rencontre des artistes d’univers très divers de danse, musique et peinture. Ce concert-exposition-dansé amène le public dans un voyage intense et sans frontière! La liberté s’entrelace à la sensibilité pure des artistes. En unisson la rencontre évoque le Le métissage culturel et artistique. Ce moment reflète la joie d’être ensemble avec toutes leurs différences.»

43 INVIATION UNESCO 26 MAI_Mise en page 1 24/05/2016 11:00 Page1

Nadia CHAABAOUI, chanteuse marocaine

Ha tim ESS AB AK, cha nteur franco -ma roc ain  Ramdane M ECHACHE , auteur, m usicien, c hanteur 

Désirée THOMPSON, Memb r e d u co nse il interna ti o na l d e la d an se à l'U NESCO Danseuse - Actrice - Chorégraphe - franco-brésilienne  

 AFM2 R (ASS OCIA TION FRAN CO-MAR OCAIN E D E UX RIVES ), P R A BDELLA T IF CHAMSDIN E,

LAHBIB E DDAOUIDI, LFM 95.5 R ADIO, DELP H INE C O URTAY AGENT D’ ARTIS T ES STR ASBOU R G AVEC GAB RIE LA FI GUER O A BUE NO S AIRES , CHRIST E L L E DUDI LLIE U, JEAN-F RANÇOIS CLÉME NT,  DR M AR TINE P ASQUE T AIAP, DR C O NSTANTIN KONTOGI ANNI S CID.

44 INVIATION UNESCO 26 MAI_Mise en page 1 24/05/2016 11:00 Page1

ALLOCUTION TRADUITE EN BERBERE

Nadia CHAABAOUI, chanteuse marocaine

Ha tim ESS AB AK, cha nteur franco -ma roc ain  Ramdane M ECHACHE , auteur, m usicien, c hanteur 

Désirée THOMPSON, Memb r e d u co nse il interna ti o na l d e la d an se à l'U NESCO Danseuse - Actrice - Chorégraphe - franco-brésilienne  

 AFM2 R (ASS OCIA TION FRAN CO-MAR OCAIN E D E UX RIVES ), P R A BDELLA T IF CHAMSDIN E,

LAHBIB E DDAOUIDI, LFM 95.5 R ADIO, DELP H INE C O URTAY AGENT D’ ARTIS T ES STR ASBOU R G AVEC GAB RIE LA FI GUER O A BUE NO S AIRES , CHRIST E L L E DUDI LLIE U, JEAN-F RANÇOIS CLÉME NT,  DR M AR TINE P ASQUE T AIAP, DR C O NSTANTIN KONTOGI ANNI S CID.

45 REMERCIEMENTS

« À l’occasion de la Journée de l’Afrique, célébrée tous les ans le 25 mai, le groupe des États membres africains auprès de l’UNESCO organise la Semaine africaine. Cette Semaine dédiée à la réflexion, à l’échange intellectuel, met aussi à l’honneur la diversité du patrimoine culturel et artistique de l’Afrique. Ce rendez-vous annuel confirme également l’engagement de l’UNESCO en faveur du renforcement de sa coopération avec l’Afrique, priorité globale de l’Organisation ».

SON EXCELLENCE MADAME ZOHOUR ALAOUI, AMBASSADEUR DÉLÉGUÉE PERMANENTE DU ROYAUME DU MAROC AUPRÈS DE L’UNESCO, NAJAT ATHE - DIRECTRICE DU JARDIN DES PETITES ET CLUB DES ENFANTS DE L’UNESCO, DR MARTINE PASQUET AIAP, DR CONSTANTIN KONTOGIANNIS CID, AFM2R (ASSOCIATION FRANCO-MAROCAINE DEUX RIVES), Pr ABDELLATIF CHAMSDINE, LAHBIB EDDAOUIDI - LFM 95.5 Radio JOURNALISTE, DELPHINE COURTAY - AGENT D’ARTISTES STRASBOURS AVEC GABRIELA FIGUEROA BUENOS AIRES, CHRISTELLE DUDILLIE - INSTITUTRICE, RACHIDA RHARBI - PRESIDENTE DES PARENTS D’ELEVES, JEAN-FRANÇOIS CLÉMENT - PHILOSOPHE ANTROPOLOGUE, DESIREE THOMPSON - MEMBRE DU CONSEIL INTERNATIONAL DE LA DANSE - ACTRICE-CHORÉGRAPHE FRANCO-BRESILIENNE, HATIM ESSBAK - CHANTEUR FRANCO-MAROCAIN, CNFAP, ANA SARTORI - PRESIDENTE.

« Le CNFAP fait partie de l’Association Internationale des Arts Plastiques (AIAP), dont la vocation est d’œuvrer dans les nombreux domaines, de portée nationale et internationale, ayant trait à, la liberté d’expression, la propriété artistique, la formation dispensée dans les écoles d’Art, la solidarité entre artistes ; l’AIAP agit en étroit partenariat Officiel avec l’UNESCO, dont elle est le relais dans ses état membres ».

À TOUS LES ENFANTS, À TOUS LES PARENTS, AUX ARTISTES, AUX PROFESSEURS,

AUX PROVISEURS ET DIRECTEURS, PHILIPPE LUMAT, RANDY GUILLEMARD, LAHCEN AMAMEUR,

LAHCEN KAMAL, RMILI ABDELKADER, ROSATI ALEXANDRA, MAIRE DE VOISINS LE BRETONNEUX,

YALA YOLETTE, NADIA OUAKKA, MONSIEUR LE WALI MOHAMED DARDOURI,

MONSIEUR LE GOUVERNEUR DE SEFROU ABDESLAM ZOUGAR, L’ORGANISATION CNFAP-AIAP-CID,

ANA SARTORI, ANDRE HERVIO, AU CONSUL GÉNÉRAL DU MAROC À PARIS,

MONSIEUR OUAFI EL BOUKILI CONSUL GENERAL DE PARIS,

MONISEUR LE CONSUL GENERAL DE PONTOISE ZOUBEIR FREJ, AUX MAIRES DES COMMUNES,

AU SERVICE DE LA CULTURE DE VOISINS LE BRETONNEUX, AU SERVICE DE JEUNESSE ET PRÉVENTION DE

VOISINS LE BRETONNEUX, AUX SERVICES CULTURELS, LA TRIBU DES AÏT SADDEN ET SES ENVIRONS,

AUX INTERPRÈTES ET MUSICIENS DANSEURS MAROCAINS, CLÉMENT MASDONGAR, ASILVA,

SMAHANE ALAOUI HADNI, LAHCEN HADNI, AUX PHOTOGRAPHES, PRESSE ET MÉDIAS,

L’ASSOCIATION “PEINTURES EN MOUVEMENT”, PHILIPPE DEVOS, L’ATELIER ALFORTVILLE,

HAJAR ALAMI, FRANÇOISE ET BERNARD LONGUEVILLE, MAGALIE MEYER, NACERA NASS,

FATEMA ALAOUI, LA BOUTIQUE SADDARI, ZOHRA OUAKKA ITOH,

À CEUX QUI M’ONT ENCOURAGÉE ET À TOUS CEUX QUE J’AI OUBLIÉS.

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