LA FILLE DU TAMBOUR MAJOR Cl \\É I Wñr

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LA FILLE DU TAMBOUR MAJOR Cl \\É I Wñr LA FILLE DU TAMBOUR MAJOR cl \\É I Wñr , |âf ilfe PWF m ^Ipllliiflliiilli mi » i- ET DES PAYS DE VAUCLUSE Saison 2001/2002 LE FORUM Restaurant - Bar - Cocktails - Glacier • Salle pour banquets et séminaires, • Salle de conférences 100 places, • Location de salle, • Capacité d'accueil : 200 personnes • Terrasse ombragée, • Établissement climatisé . d . A . «v Au cœur d'Avignon, place de VHorloge face à VOpéra Vne coupe de Champagne et ouvert après le spectacle vous sera offerte sur présentation^.¿..«tation idu billet d'entree 20, place de l'Horloge - 84000 AVIGNON Tél. 04 90 82 43 17 - Fax 04 90 82 28 37 Samedi 9 mars - 20h30 Dimanche 10 mars - I4h30 LA FILLE DU TAMBOUR-MAJOR Opéra-bouffe en trois actes et quatre tableaux Livret de Henri Chivot e/Alfred Duru Musique de Jacques Offenbach (Editions musicales Choudens) EN CO-PRODUCTION AVEC ATINA-PRODUCTIONS ET L'OPÉRA DE NICE DISTRIBUTION Direction musicale Dominique TROTTEIN Direction des Chœurs Stefano VISCONTI Etudes musicales Kira PARFEEVETS iVlise-en-scène Nadine DUFFAUT Chorégraphie Eric BÉLAUD Décors Opéra-Théâtre dAvignon et des Pays de Vaucluse Adaptation scénogtaphique Emmanuelle FAVRE Costumes Opéra de Nice - Théâtre du Capitole de Toulouse - Maison Grout Eclairages Jacques CHÂTELET Stella Catherine DUNE Claudine Cécile de BOEVER Duchesse della Volta Florence RAYNAL La Prieure Monique BOST La poupée Nathalie BRUNO La soubrette Béatrice MEZRICH La harpiste Claudine MESNIER Monthabor Jean-Marie JOYE Robert Michel VAISSIERE Griolet Florian LACONI Duc della Volta Christian ASSE Bambini Jean-Philippe CORRE Clampas Olivier HEYTE Offenbach Pascal BILLON Gregorio Alain CHARLES Zerbinelli Arnaud LANEZ Del Ponto Laurent SÉROU Le Majordome Roland SALMON ORCHESTRE LYRIQUE DE REGION AVIGNON-PROVENCE Direction artistique: Prançois-Xavier BILGER CHŒUR DE L'OPÉRA-THÉÂTRE D'AVIGNON ET DES PAYS DEVAUCLUSE Direction: Stefano VISCONTI BALLET DE L'OPÉRA-THÉÂTRE D'AVIGNON ET DES PAYS DEVAUCLUSE Direction: Eric VU AN Direction de la scène et des services techniques Patrick RICHALET Directeur de production PhilIppeTURCHI Régisseur général Patrice BLANCKE Régisseur de scène Brigitte CLARET Coiffeuse-Perruquière Christiane BRUNO Maquilleuse Laurence LABROUSSE Avec la participation d£ l'Ecole des Arts de la Coiffure (Avignon) Les perruques sont fournies par la Maison Buteux (Rouen) Les chaussures sont fournies par la Maison Galvin (Paris) Avec la collaboration de l'Atelier de couture de l'Opéra-Théâtre d'Avignon et des Pays de Vaucluse (créations de Tony Arcas) et de Boris Daniloff (sculptures) JACQUES OFFENBACH (1819-1880) l est aussi difficile de ptovoquet le tire que les pleurs au théâtre. Un compositeur de musique légère y est pourtant parvenu : IJacques Offenbach. Fils d'un obscur chanteur de synagogue, il naquit à Cologne en 1819. Peut-on penser que son nom, Jacob Eberscht, ne lui convenait pas? sans doute, car il le changea rapidement pour celui d'Offenbach, nom d'une ville située sur le Main, oil était né son père. Dès l'enfance, il étudie le violon avec lui, et, à l'âge de quatorze ans, on le retrouve au Conservatoire de Paris oii il suit les cours de violoncelle du professeur Vaslin. Devenu violoncelliste à l'Opéra-Comique, il ne rêve qu'à la scène à laquelle il tourne le dos tous les soirs ! En 1855, Offenbach prend la direction des Bouffes-Parisiens, théâtre pour lequel il écrira nombre d'opérettes qui lui vaudront une grande renommée. Orphée aux enfers est donnée en 1858. Le compositeur rénove le spectacle musical léger, et crée ainsi une nouvelle mode. Son opérette pétille de fantaisie, d'esprit, et il s'y ajoute, plus souvent qu'on ne le croit, un sens profond que voilent la parodie et la bouffonnerie. Désormais, Offenbach se consacre à la composition : La Belle W/eAK (1864), La Vie Parisienne (1866) et La Grande Duchesse de Gerolstein (1867) sont parmi ses œuvres les plus connues. Vers la hn de sa vie, Offenbach se prend à rêver d'un opéra fantastique oîi la passion s'exprimerait tout entière. Son modèle sera le poète allemand Hoffmann, l'un de ces hommes qui créent un monde imaginaire impossible à atteindre, sinon par une certaine tentation de l'esprit, un monde déchirant de cauchemar et d'angoisse. Les Contes d'Hoffmann commencent d'exister. C'est là le testament d'un musicien qui a voué sa vie à chanter l'amour dans sa légèreté. Le compositeur ne put assister à la création de son œuvre qui fut jouée en 1881, un an après sa mort, et devint l'une des plus célèbres du répertoire. La Fille du Tambour-Major, écrite en 1879, est l'une des dernières œuvres du compositeur. ^ÔTA Hôtel particulier cie la fin du XVlle siècle, entièrement rénové, situé au cœur de la cité, proche du Palais des Papes, des halles, des zones piétonnes, du Palais des Congrès et à proximité de trois parkings. Dans une rue pittoresque et calme du vieil Avignon, vous propose dans un cadre de caractère: patio fleuri, son accueil personnalisé, le tout à un excellent rapport qualité prix. TOUT CONFORT - PARKING A PROXIMITE - CENTRE VILLE 15, rue Petite Saunerie - 84000 AVIGNON - Tél. 04 90 86 11 06 - Fax: 04 90 82 08 64 e-mail : [email protected] ANALYSE n l'an de grâce 1800, les troupes du Premier Consul (Bonaparte) envahissent l'Italie du Nord, placée sous le joug autrichien, Een franchissant le Saint-Bernard. Stella, fdle du Duc délia 'Voira, est la pensionnaire la plus dissipée et la plus jolie du couvent de Biella, à quelques lieues de Novare. Surprise par la Supérieure, alors qu'elle chante une chanson séditieuse, elle est enfermée dans la lingerie du couvent. Mais voici que le tambour résonne dans le lointain... ce sont les Français! Affolées, les religieuses et les pensionnaires s'enfuient... oubliant la pauvre Stella toujours enfermée dans sa lingerie! Le petit détachement français -une simple avant-garde, conduite par le lieutenant Robert, escorté du Tambour-Major Monthabor, du Tambour Griolet et de Claudine, la "Vivandière, prend possession des lieux. On ne tarde pas à découvrit Stella et une subite sympathie pousse l'un vers l'autre la jeune fille et le lieutenant. Cette idylle naissante est interrompue par le Duc, qui vient chercher sa fille pout la marier au ridicule marquis Bambini ! A l'acte suivant, dans une salle du château du Duc, à Novare, Stella refuse avec vigueur l'époux choisi par ses parents. Mais voici Robert, Monthabor, Griolet, Claudine, venus loger au château avec un billet de logement en bonne et due forme. Très mal reçu par Délia 'Voira, mal logé, Monthabor va exprimer avec vigueur son mécontentement auprès de la Duchesse en qui il reconnaît -l'opérette a de ces miracles ! - sa propre femme qui l'a quitté il y a dix-huit ans, en emmenant leur fille (ce qui est très vilain!...). Bien sijt, nous l'avons deviné, cette fille, c'est Stella, qui, découvrant son vrai père, Monthabor, endosse un costume de cantinière et s'enfuit avec les Français ! Les fugitifs, poursuivis sur la route de Milan, se réfugient dans une auberge tenue par Clampas, oncle de Claudine. Mais les sbires du Duc délia "Voira découvrent Robert et Claudine qu'ils prennent pour Stella. La petite cantinière se laisse arrêter et, jouant toujours le rôle de la fille adoptive du Duc, fait libérer Robert et laisse organiser les noces avec Bambini. Celles-ci sont interrompues par Robert qui ne peut supporter de voir celle qu'il croit être Stella dans les bras d'un autre. Le pot aux roses est découvert. Délia "Volta fait arrêter Claudine et Robert qui vont être traités comme des espions... et puis soudain le chant du départ éclate... les Français victorieux font leur entrée dans Milan avec, à leur tête, Monthabor, Griolet et Stella. Ils sont accueillis par les Italiens comme des libérateurs et désormais, plus rien ne séparera Robert et Stella, Claudine et Griolet et Monthabor de sa femme, repentie. Jacques Offenbach. LES R É A L S A T E U R S Dominique TROTTEIN Direction musicale 'é à Lille en 1965, Dominique Trottein effectue ses études au ouvrage il a assuré l'adaptation musicale pout petite formation). N Conservatoire National de Musique de Région. A vingt ans, il Pour L Auberge du Cheval Blanc à Mogador en 1999, il assure est chef de chant du Chœur de l'Armée également une adaptation musicale plus Française et devient chef d'orchestre assistant de moderne. En 1999, il a dirigé Des Souris et des Marc Soustrot à l'Opéra de Nantes. Hommes de Catlyle Floyd à l'Opéra de Nantes Il travaille conjointement la direction avec autant de succès que Le Voyage dans ta Lune d'orchestre avec Pierre Dervaux. Après l'avoir d'Offenbach à l'Opéra-Théâtre de Metz dans engagé comme chef de chœur à l'Opéta de une mise en scène de Daniele Ory. Nancy, dont il est le directeur, Antoine En 2000/2001, il a poursuivi un parcours Bourseiller lui confie sa première direction éclectique qui le conduira de La Mascotte à musicale en 1992, avec Irina la Douce. Saint-Etienne à La Dame de Pique à Nantes, en Depuis lors, sa carrière se poursuit avec succès, passant pat Metz pout Barbe-Blene d'Offenbach tant dans le répertoire de l'opéra que dans celui et Die Entfiihrung aus dem Serait de Mozart à des opérettes classiques et des comédies Rennes. " w musicales: ainsi, dirige t-il notamment La En juillet 2001, dans le cadre du Festival « Les Périchole au Théâtre Impérial de Compiègne en 1995, Die Zauberflote Tombées de la Nuit » à Rennes, Dominique Trottein a dirigé la en 1996 à Saint-Etienne, Candide dt Bernstein à Nancy et à Tours en création de l'opéra de Houdy, Anne de Bretagne.
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