Theologia Semper Iuvenescit" Quisinsky, Michael; Amherdt, François-Xavier; Schelkens, K

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Theologia Semper Iuvenescit Tilburg University "Theologia semper iuvenescit" Quisinsky, Michael; Amherdt, François-Xavier; Schelkens, K. Publication date: 2014 Document Version Version created as part of publication process; publisher's layout; not normally made publicly available Link to publication in Tilburg University Research Portal Citation for published version (APA): Quisinsky, M., Amherdt, F-X., & Schelkens, K. (2014). "Theologia semper iuvenescit": études sur la réception de Vatican II offertes à Gilles Routhier. (Théologie pratique en dialogue; Vol. 39). Academic Press Fribourg. General rights Copyright and moral rights for the publications made accessible in the public portal are retained by the authors and/or other copyright owners and it is a condition of accessing publications that users recognise and abide by the legal requirements associated with these rights. • Users may download and print one copy of any publication from the public portal for the purpose of private study or research. • You may not further distribute the material or use it for any profit-making activity or commercial gain • You may freely distribute the URL identifying the publication in the public portal Take down policy If you believe that this document breaches copyright please contact us providing details, and we will remove access to the work immediately and investigate your claim. Download date: 29. sep. 2021 Théologie pratique en dialogue n. 39 Dirigée par François-Xavier Amherdt et Salvatore Loiero MICHAEL QUISINSKY / KARIM SCHELKENS / FRANÇOIS-XAVIER AMHERDT (DIR.) « Theologia semper iuvenescit » Études sur la réception de Vatican II offertes à Gilles Routhier 6 Préface PRÉFACE Par Christoph Theobald Il est, en amitié, de très agréables devoirs ! Comme celui de soutenir les jeunes auteurs de cet ouvrage, désirant marquer leur reconnaissance à leur maître, le Professeur Gilles Routhier, pour tout ce qu’il a déjà accompli dans sa mission de théologien et de pasteur, et pour ce qu’il est au milieu de nous, au moment où nous fêtons son soixantième anniversaire. Un tel jour marque, en effet, une étape de maturité qui invite tout naturellement à se réjouir ensemble du long chemin parcouru par le jubilaire. Heureusement, un tel bilan ne peut qu’être provisoire ; car si Gilles Routhier est effectivement l’auteur d’une œuvre importante, faite d'un ensemble impressionnant d’études, décisives et reconnues comme telles, sur le concile Vatican II, en ecclésiologie fondamentale et en théologie pratique, sa créativité, portée par une longue expérience ecclésiale et universitaire, reste une promesse de fécondité à venir. Nous admirons tous sa mobilité, non seulement dans l’espace – ce qui, tout compte fait, va de soi pour le Québécois qu’il est – mais aussi au plan intellectuel. Elle lui donne cette grande sensibilité aux fractures et mutations qui se produisent sous nos yeux, une sensibilité capable de discernement au carrefour des métiers d’historien, d’ecclésiologue et de consultant averti et apprécié, intervenant très régulièrement sur le terrain des Eglises locales, au Canada comme ailleurs. Sans doute, les futurs chercheurs qu’il a attirés et formés, ou retrouvés comme collaborateurs, ont-ils repéré ce charisme bien spécifique de leur maître ; ils en ont bénéficié, 7 Préface comme lui-même a su apprendre de ses élèves ou plus jeunes collègues. Le titre de ce volume de mélanges, Theologia semper iuvenescit, suggère à merveille ce type d’échange : en faisant référence à un passage de la constitution Dei verbum (N° 24) du concile Vatican II, il applique à Gilles Routhier ce que ce document considère comme condition principale d’un « rajeunissement permanent de la théologie », à savoir la capacité à « scruter la vérité cachée dans le mystère du Christ » en s’appuyant sur ce que l’histoire nous offre, à savoir la lettre des Ecritures, inséparable de la Paradosis qui s’exprime dans un éventail précis de pratiques ecclésiales avec leurs variations, selon la diversité des temps et des lieux. Or, le passage d’une génération à une autre participe de ce possible rajeunissement, car, en introduisant d’autres intérêts, sensibilités et perspectives, il « éprouve », au sens le plus fort du terme, les précompréhensions et préjugés des plus anciens et relance, parfois contre vents et marées, une recherche commune. Des prises de pouvoir d’une génération sur ce qui est « communément » reçu ou doit l’être ne sont en effet pas rares. Gilles Routhier est, lui, particulièrement sensible à la fécondité des « passages générationnels », dans sa perception de la réception de Vatican II et, en conséquence, dans sa manière de laisser la place à de plus jeunes chercheurs. Y a-t-il plus grande joie pour un enseignant que de faire l’expérience de ce type de fécondité, en concordance et en contemporanéité avec le mystère même du Christ ? Le rajeunissement du cœur et de l’intelligence de la foi y passe certes par des épreuves, mais ce n’est plus alors une question d’âge. Mais justement, quelles sont les insistances particulières de la « jeune génération » de chercheurs qui s’expriment 8 Préface dans ce volume ? Il serait bien aventureux, à partir de ces sept contributions ici rassemblées, de conclure à une sensibilité caractéristique de toute une génération (même si certains se réclament volontiers d’une telle sensibilité commune). Peut-être quelques accents spécifiques se laissent-ils quand même distinguer. Il est d’abord particulièrement significatif que les auteurs prennent globalement leurs distances par rapport aux grands types d’interprétations conciliaires, pratiquées depuis les années soixante-dix du dernier siècle. Ils les jugent redevables de schèmes bipolaires et de jeux d’opposition ; que celles-ci soient maintenues ou dissoutes dans une synthèse supérieure ne change rien à leur parti pris polémique. Ne vaudrait-il pas mieux laisser subsister ces positions dans leurs diversités ? Elles existaient déjà avant le Concile (malgré l’omniprésence d’une néoscolastique officielle) et ont été reçues par lui, le plus souvent dans des textes de compromis et, pour certains, sous forme composite. Cette pluralité ne serait-elle pas un aspect typique du catholicisme qui n’obéit jamais à une logique alternative, mais plutôt à une tendance intégrative, capable de maintenir les contraires comme tels ? On pourrait identifier, dans ce type d’approche, non seulement une sensibilité historienne, à juste titre défiante par rapport à des synthèses théologiques pouvant rapidement devenir idéologiques, mais encore une certaine ecclésiologie catholique paisiblement supposée ou affirmée, sans que l’aspect inévitablement conflictuel de la recherche de la vérité ne semble figurer parmi les intérêts premiers de nos auteurs. De ce point de vue, il n’est pas surprenant que les voix alternatives de la scène conciliaire soient davantage 9 Préface entendues, en particulier l’opposition interne au Concile, émanant du Coetus internationalis patrum, et la première réception de Vatican II par les catholiques traditionalistes. Le projecteur ne s’oriente pas uniquement sur le fait que la Fraternité Saint Pie X s’érige en juge de ce qui est « en- dehors » de la tradition et de ce qui ne l’est pas; il pointe surtout ce que cette Fraternité représente ou ce que représentaient ses devanciers comme « élément » parmi d’autres dans une histoire sociale et culturelle du catholicisme, beaucoup plus large que la plupart des discours théologiques ne le laissent entendre. Il est donc normal que les études ne portent pas seulement sur la période préconciliaire dans son étendue et sa diversité, mais aussi sur les différentes étapes de réception conciliaire, en particulier sur celle qui a vu paraître au grand jour les clivages qui n’avaient pas disparu pendant le Concile et qui se multiplient désormais selon des paramètres nationaux et culturels, selon des interactions et des jeux d’influence de plus en plus complexes. Gilles Routhier a fréquemment rappelé le risque qui consiste à trop simplifier le concept de « réception conciliaire », et à ne pas tenir assez compte des évolutions bien spécifiques que le Concile a déclenchées dans les diverses Eglises locales. Cette inscription de l’événement et du corpus conciliaire dans une histoire où les points de vue se multiplient quasi indéfiniment, tout en restant englobés dans la « note » de catholicité, rend-elle pour autant impossible un discours théologique sur le concile et dans ses traces, discours qui obéirait à une autre « formalité » que celle dont l’historien est porteur et garant ? Le volume que nous tenons entre les mains manifeste à l’évidence que ce n’est nullement le cas. Instruit par les travaux des historiens, l’ecclésiologue par 10 Préface exemple trouve dans une lecture transversale et prospective de l’œuvre conciliaire des moyens puissants, non seulement pour corriger des confusions existantes (celle par exemple qui consiste à vouloir résoudre les problèmes que pose aujourd’hui le ministère presbytéral par la promotion du diaconat ou des ministères laïcs), mais aussi pour introduire dans la question de la pluri-ministérialité de l’Eglise des critères de cohérence évangélique et éthique. Des remarques analogues peuvent être faites à propos de la question fondamentale de la vision du monde du Concile, question qui porte essentiellement sur la relation entre histoire humaine et histoire du salut, et qui est, aujourd’hui encore, travaillée de l’intérieur par la pluralité des approches conciliaires et post-conciliaires. Tout compte fait, on peut donc se demander si la véritable mutation des points de vue, mutation qui commence à s’imposer parmi les chercheurs, historiens et théologiens, ne consiste pas à honorer jusqu’au bout l’« ouverture » de l’événement et du corpus conciliaire : à savoir le fait que l’événement et le corpus émergent d’une histoire préconciliaire déjà plurielle – catholique ? – qui « se concentre » en quelque sorte en un moment conciliaire, en recevant une certaine visibilité et une lisibilité normative, avant que ces « fixations » nouvelles ne s’introduisent comme « référent » différencié dans le laboratoire de l’histoire post-conciliaire où celles-ci restent livrées à notre responsabilité créatrice de récepteurs et d’interprètes.
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