Vincent Corpet Deus Sive Natura sur une invitation de Bertrand Grimont et Gwenaël Billaud 9 septembre - 28 octobre 2017 vernissage le samedi 9 septembre de 18h à 21h 42 - 44 rue de Montmorency - 75003 Paris www.bertrandgrimont.com +33 (0)1 42 78 46 51 ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h
[email protected] +33 (0)6 85 45 01 30 Rencontres Presse Jeudi 7 septembre à 17h Vernissage Samedi 9 septembre de 18h à 21h « Il n’y a dans l’âme aucune volonté absolue ou libre ; mais l’âme est déterminée à vouloir ceci ou cela par une cause qui est aussi déterminée par une autre, et cette autre l’est à son tour par une autre, et ainsi à l’infini. » Ethique, Spinoza, De la nature et de l’origine de l’âme La grande thèse théorique de Spinoza est qu’il n’y a qu’une seule substance, infinie et unique, Dieu, qui se confond donc avec le monde, l’univers lui-même. (Dieu, c’est-à-dire la Nature). Procédant par analogies, Vincent Corpet crée de grandes fresques mythologiques invitant à poser un regard neuf sur l’image peinte, un regard n’impliquant pas un sens de lecture préétabli. La pein- ture de Vincent Corpet fait référence par son procédé analogique à ce qui constitue un artiste et rend possible l’infini. L’artiste demeure immuable dans l’éternité. Dans les Fuck Maîtres , Corpet convoque les maîtres de l’art, ancien ou contemporain et en- tretient le rapport physique avec le geste du passé, le transforme, l’efface.