Frédéric GLANZ

L'ASS DEPUIS 1890

En guise de préface

Ce livre qui retrace l'histoire de l'A. S. , n'est pas un récit d'aventures ni même un livre d'histoires, encore qu'il pourrait se lire comme un roman de cape et d'épée. Il n'a d'autre but que de familiariser le profane avec la grande famille de l'A.S.S. et de fournir, si possible, un complément d'informations au lecteur averti, membre ou sympathisant de ce «doyen» des clubs omnisports d' qui fête aujourd'hui son 90me anniversaire, puisque créé en 1890. Quatre vingt dix printemps - et non étés ou automnes - pour ce vénérable nonagénaire, car la vie d'un club qui fait corps avec sa cité, est une éternelle renaissance. L'A.S. Strasbourg, tout au long de ces 90 années, a connu des heures de gloires et des journées sombres. Contrairement à l'individu qui a la faculté et l'immense avantage de pouvoir oublier les mauvais moments pour n'en retenir que les plus agréables, la société, elle, a le devoir de se souvenir de son passé dans son entité et de le léguer à la postérité. Il nous a semblé que dans l'année de son 90me anniversaire, le mo- ment était venu de rassembler en un volume tout ce qui a pu être sauvé pendant cette longue période du patrimoine d'un pionnier du sport alsacien. Encore fallait-il vouloir le faire et trouver le chantre capable de le faire. Car ce n'est pas un mince travail que de rechercher puis de rendre compte de près d'un siècle d'évènements sportifs qui se sont déroulés sous la bannière bleue, puis blanche et rouge de cette société qui s'appela tout d'abord « Strassburger Fussball-Club », puis « Strassburger Fussball Verein » et « Sport-Verein Strassburg », enfin « Association Sportive de Strasbourg », l'A.S.S., un sigle que l'on espère définitif après une courte période, encore une fois, entre 1940 et 1945, de « Sport Verein Strasbourg » (S.V.S.). Assessiste convaincu, capable de restituer l'âme de l'A.S.S. et néan- moins étranger à tout chauvinisme, permettant de respecter sinon la plus parfaite objectivité, dont personne ne peut se prévaloir, du moins d'éviter la «déformation de l'information », il devait appartenir à Monsieur Frédéric GLANZ de tenir cette gageure et, j'en suis persuadé, de mener son travail à bonne fin. Membre de tout temps de notre association, aujourd'hui lui-même un des «doyens» de cette A.S.S. qui lui tient tellement à cœur - comme à tant d'autres ! - athlète de valeur puis dirigeant émérite et de grand mérite, il a su refléter dans cet ouvrage la vie de plusieurs générations de sportifs qui ont porté haut le flambeau de l'A.S.S. sur et autour des terrains, des pistes et des piscines. Je rends ici même hommage à son travail de recherche et de synthèse qui a permis la réalisation de ces souvenirs, tout comme je remercie très sincèrement tous ceux, qui, par leur générosité, en ont permis la publi- cation. Strasbourg, octobre 1980 J. SIMON Président Général de l'A.S.S.

Avant-propos

Dans l'introduction de ce livre nous disons que l'historique du club est pratiquement complet. Il n'en reste pas moins qu'il était infiniment difficile de relater toutes les péripéties d'une société telle que la nôtre pour une période aussi longue, entrecoupée de deux guerres mondiales. Les différents rapports n'ont donc pas l'ambition d'être intégralement aboutissants, bien qu'ils comportent tout ce qui a pu être rassemblé après de nombreuses et laborieuses recherches. Tout apport nouveau, rectificatif ou complémentaire sera donc le bienvenu. Je profite de l'occasion qui m'est donnée de remercier ceux qui m'ont apporté leur contribution. Je cite en premier, à tout seigneur tout honneur, notre Nestor Alfred Rudy, membre d'une fidélité exemplaire depuis 1906 qui a permis, grâce à son excellente mémoire, de compléter les données que feu Charles Schitz nous a laissées dans un premier exposé. Nos amis de Bâle et de Karlsruhe nous ont complaisamment renseignés sur nos débuts. Ma gratitude va surtout au Dr Jules Düblin du F.C. Basel et à Josef Frey du Karlsruher F.V. Albert Brun, notre ancien athlète et ex-champion du saut en hauteur, a mis spontanément à ma disposition sa documentation personnelle, étonnante de précision. M. J.P. Schuller, fils de notre gardien de but des années 20, m'a ouvert sa riche documentation sur les grandes équipes de la LAFA. Marcel Kautzmann m'a passé ses deux éditions personnelles du « Sport Alsacien » de 1926 et de 1927. René Martz, disparu en juillet 1980, Jules Gatter, Ernest Dolch, Justin Simon, Auguste Mengus, Paul Hurst, Willy Drischel, Roger Fougeron, le Dr Paul André, ainsi que les présidents de section sans exception ont répondu avec empressement à mes sollicitations. Grâce à eux, j'ai pu mener à bonne fin l'œuvre que le Club vous présente. F. G.

Sommaire

Introduction 11 Football et Athlétisme de la création à 1918 13 Le Comité de Direction 29 Football Séniors 52 Juniors . ■ 75 Vétérans 85 Athlétisme 91 Basket Masculin 115 Féminin 123 Handball 127 Natation 131 Tennis 135 Hockey 143 Les Internationaux de l'ASS 147 Conclusions ...... 151 Le Comité de Direction de l'A.S.S. en 1980

Debout: J. Chevallier (Administrateur), J.-C. Koezlé (Hockey), A. Metzinger (Trés. Adj.), R. Speich, A. Roegel, (Matériel), Mme Renée Jost (Athlétisme), P. Roth (Basket), E. Kammerer (Natation), R. Girbig (Football), R. Lorentz (Handball), Dr P. André. Assis: A. Dagon (Trés. Adj.), R. Pfaff (Secr. Gai), MI P. Nietsch (Vice-Prés. et Tennis), A. Morel (Prés. Dél.), J. Simon (Prés. Général), R. Lussigny (Trés. Gai), F. Glanz (Vice-Prés.), M. Kautzmann (Vice-Prés.), F. Diederichs (Vice Prés.). Au mur les photos de G. Singer, A. Neff, L. Frick, Me C. Jehl, anciens présidents généraux. Introduction

Le président général vient de dire dans sa préface que l'année 1980 se présente pour l'A.S.S. sous des auspices toutes particulières. Ce jubilé de ses 90 ans d'existence méritant d'être célébré de manière solennelle, le Comité de Direction en place a estimé qu'il importerait de présenter à nos membres et amis un ouvrage spécial sur la carrière de notre club. Il est vrai que précédemment des essais condensés sur notre passé ont été publiés, pour le 40e anniversaire en 1930, le 60e en 1950 et le 75e en 1965. La pla- quette-programme pour le gala de 1965, dont Gilbert Bécaud a été, nota bene, la vedette, sortait déjà du commun, mais elle n'était forcément pas complète. Le présent livre essaie d'être plus exhaustif, de toute façon tel que l'historique du club soit pratiquement complet. La disparition d'un nombre appréciable de nos archives n'a pas tou- jours permis de fixer avec la précision voulue un évènement déterminé. En contre-partie, la mémoire toujours vive de nos sénateurs et vétérans consent heureusement à relever par-ci, par-là, un cas oublié, digne d'intérêt, ou d'expliquer ou de rectifier une situation particulière. Nous croyons utile, dans ce contexte, de citer autant que possible les noms de ceux qui ont fait l'A.S.S.. Cela nous paraît d'autant plus indiqué que nos pupilles, minimes, cadets et juniors d'aujourd'hui ont bien le droit, eux aussi, de faire plus ample connaissance du passé de leur club, dont ils défendent avec application le renom acquis par leurs ancêtres.

Football et Athlétisme de la création à 1918

C'est en 1890 que quelques lycéens et étudiants strasbourgeois fondèrent un cercle qui, en sortant résolument des sentiers battus, se destinait à promouvoir l'éducation physique autre- ment que par la gymnastique, bien en place depuis fort longtemps, ou par le cyclisme, auquel accourut le bon public (on ne parlait pas encore des mass média). Les adhérents de ce cercle comptèrent pratiquer la course à pied et jouer au football. Le goût ou plutôt la passion pour ce nouveau jeu leur venait de leurs semblables qui, revenant d'Angleterre, leurs études faites, l'y avaient pratiqué ou bien des Anglais, étudiants sur place. L'influence des Anglais était donc indéniable. L'ouvrage «Football-Association», publié en 1921 par les deux pionniers N.C. Tunmer (R.C. ) et E. Fraysse (Club Français), le relève, constatant que les «Anglais importent avec eux, partout où ils se fixent, leurs us et coutumes ». C'était le cas à Montreux (1887), à Paris (Paris--Club/1887), Standart Athletic Club, White

Le S.F.V. en 1897. Rovers/1891), au Hâvre (Hâvre Athletic-Club/1894), à Bordeaux (Stade Bordelais/1895), à Bruxelles (Racing), Anvers (Antwerp Football-Club) et Bruges (Football-Club Brugeois/1895), en Allemagne. Les premiers clubs français sont le Club Français (1892), le Cercle Athlétique de Neuilly et le Cercle Pédestre d'Asnières (1893). En Alsace, l'A.S.S. et le F.C.M. peuvent donc se prévaloir à juste titre de l'appartenance au groupe créateur continental. Les auteurs de l'ou- vrage, par ailleurs, se réfèrent, en guise d'introduction, au mot de Jules Simon, philosophe spi- ritualiste et Ministre de l'Instruction Publique dans le Gouvernement de Défense Nationale : «l'Art de vivre, c'est l'art de jouer pour se fortifier et de se fortifier pour bien travailler». Le Cercle prit le nom de S.F.C. (Strassburger Fussball-Club). C'est surtout sous l'impulsion de Walther Bensemann, dont il faudra reparler, que le S.F.C. prit son essor. Bensemann était secondé par les frères Yvo et Wini Schricker, Scherwitz, Klapperbein, Huber, Kohts, Jeffke, qui lâcha le vélo pour venir au football. Auguste Neff, de retour à Strasbourg après ses études, se joignit aussitôt à ses camarades et acolytes, pour y jouer un rôle prépondérant pendant plusieurs générations. Le terrain de jeu se trouva au Wacken, juste vis-à-vis du Stade Tivoli actuel, à l'emplacement du parking et du Hall du Lawn. Les champs et les jardins avec quelques vieilles fermes derrière le Parc du Tivoli étaient un havre de paix. En 1904, un ami de la nature - écologiste avant terme -venta le charme de l'Allée des soupirs avec «... ses châtaigniers et ses pins élancés, sa tranquillité bienfaisante loin des agitations de la ville, bercée par le gazouillis des merles et des rossignols.» Les grands matchs se firent plus tard sur la place Lenôtre (terrain de 60 x 100) en face de l'Orangerie, là où se trouve aujourd'hui le Palais du Conseil de l'Europe. Mais le premier terrain au Wacken de l'ASC (Akademischer Sport-Club) resta à la disposition de l'ASS jusqu'en 1924, date de sa disparition, due à la création de la Foire-Exposition. En 1912, le Club s'installa au Vélodrome nouvellement construit. Celui-ci, le 2e à Strasbourg - le premier était situé devant la Porte de Pierre - comporta une piste en bois de 400 m avec des virages relevés

S.F.V. - Liège, Place Lenôtre, le 7.4.1899 (2-4). Steffens II, Schricker I, Huber II, Klapperbein, Lucke, Schindler Jeffke, Scherwitz, Steffens I, Kohts (cap.), Schricker II. (A droite, l'équipe de Liège). à 60%, ce qui permettait des vitesses jusqu'à 85 km à l'heure. Il pouvait contenir 6000 per- sonnes, avec des tribunes couvertes pour 2300 places. L'inauguration eut lieu à Paques 1912. Démoli après la guerre de 1914-1918, l'ASS resta sur son terrain ainsi dégagé. Elle y est encore aujourd'hui. Après des rencontres locales dans un anonymat bien compréhensible, la première rencontre, qui mérite d'être signalée, eut lieu en octobre 1892 contre le Karlsruher F.V., match qui se termina par un résultat nul: 1-1. Une sortie à l'extérieur à noter est le match contre le FCM en juillet 1893 également sur un résultat nul (2:2). Les relations internationales débutèrent en 1894 avec le FC Basel. Le premier match se joua le 18 juin à Strasbourg. Le SFC gagna par «8 goals contre 0». Il est vrai que les Bâlois ne jouèrent qu'à 10. Leur séjour leur a plu quand même. Le procès-verbal de leur Comité relata en effet que le repas, servi au Restaurant Kempf, rue du Jeu des Enfants, sous la houlette du complaisant Walther Bensemann, fut excellent. Les relations amicales se maintinrent. Dès le 30 novembre 1895 les Strasbourgeois S.A. de Clerk, W. Huber, H. Kohts et Y. Schricker devinrent aussi membres du Club de Bâle. Le deuxième match contre le FCB, dû à l'initiative d'Yvo Schricker, se joua le 15 novembre 1896 à Mulhouse et fut gagné par 4-3. Dans l'équipe du SFC figurèrent les étudiants anglais Moorman et Hall ainsi que le Sud-Africain Clarc. Un match de plus, parmi d'autres, eut lieu le 10 mai 1903 à Bâle. Le FCB le gagna par 3-2. Il est amusant de le mentionner en ce sens que notre SFC insista sur sa mise sur pied à titre de match de retour en vue de la récupération d'un déficit de 81,70 M. du match aller. En 1898, le SFC s'associa avec le Club du Contades, le S.C. Céléritas, pour constituer le SFV (Strassburger Fussball-Verein). A partir de là, le football strasbourgeois ne cessa de se perfec-

S.V.F. II contre Oberrealschule bei St-Johann (Lycée Kléber) le 2.5.1899, Place Lenôtre. Steffens I, D. Manning (cap.), Scholz, Maifeld, Gebhard, Kohts II, Paulsen, Neff I, Eussler Assis: Dubois II, Neff II. (A droite, l'équipe du Lycée). tionner. Il emmena le SFV à l'élite du football de l'Allemagne du Sud. Il remporta le Cham- pionnat 1898/99, battant le KFV en finale par 4-3 avec l'équipe Tosetti, Kohts, W. Schricker, Y. Schricker, Jeffke, Krause, Steffens II, Moorman, Hall, Huber II, Scherwitz. Le F.C. Freiburg, battant le KFV par 2-0 sur la place Lenôtre, fut le Champion de 1897/98. Le SFV renouvela son exploit en 1899/1900, ayant pu disposer en plus de Klapperbein, le costaud de l'équipe, Buck, Fittig, Neff, Locke, Manier, Lees et Clarc, l'Africain du Sud déjà cité. La rencontre SFV-KFV au cours de ce Championnat sur la place Lenôtre eut lieu le 18 février 1900 avec le score de 2-2. A ce sujet il convient de mentionner que le KFV était l'adversaire le plus régulier des Stras- bourgeois, puisque les deux clubs se rencontrèrent 30 fois jusqu'en 1914. Notre palmarès ne compte que 5 victoires et 5 matchs nuls. Le «reste» alla au KFV. Constatons-le avec résignation. Il est vrai que le KFV était champion d'Allemagne en 1911. Au fil des ans, se distinguèrent en outre les Mandel (but), Gossling, Dienst, les frères Voigt, R. Rinckenberger, plus tard au FC Bischwiller, Schneider, Petri, A. Roth, Wachter, Graeff, Froitzheim, Bongard, Simon, Lorenz. Krause (but), Steffens (arrière), Jeffke (demi-centre), Huber (avant), furent les premiers sélec- tionnés et jouèrent avec l'équipe de l'Allemagne du Sud contre la Suisse le 8 avril 1900 à Stras- bourg (2-0). Le match se déroula sur la place Lenôtre, la réception des hôtes suisses, présidée par Auguste Neff, à l'Hôtel du Rhin. Un match Neuchâtel - Équipe mixte FC Freiburg/SFV (4-1) eut lieu à Bâle le 24 février 1901 avec 6 strasbourgeois, à savoir Helmbold, Scherwitz, Looke, Jeffke, Steffens et Krause. Le premier contact avec Paris se fit en 1904 contre le Club Français, suivi de déplacements à Winterthur, St Gallen, Lunéville, le SUL de Nancy. On joua encore à Paris contre le Racing-Club de France, (où Alfred Roth a joué pendant son séjour parisien en 1911), et contre une sélection nommée «Tout Paris» à Clichy-Levallois, de même contre une sélection de Liège sur le terrain Lenôtre (4-3).

Match de Championnat le 19.11.1899, Place Lenôtre, S.F.V. - F.C. Freiburg (0-2). S.V.F.: F. Diener, Buck, Huber, Steffens II, Klapperbein, Jeffke Fittig, Neff II, Locke, D. Mannier, Scherwitz, Lees. (A droite, l'équipe de Freiburg). Alors que le SFV s'étoffa davantage avec une équipe de réserve et avec une troisième équipe, de même qu'avec une équipe de juniors, pour jouer son rôle prépondérant, le champ du football strasbourgeois pour sa part s'agrandit avec le FC Donar, sur lequel nous reviendrons nécessairement, en 1899, le FC Frankonia (Red-Star) en 1900, le SC Mars-Bischheim en 1905, le 1°FC Neudorf (Racing) et le FCS 06, comme de juste, en 1906, le FC Cronenbourg en 1908 et avec un certain nombre de clubs modestes et éphémères tels que le Phônix, le Kickers, le Ciisar, l'Alsatia, le Markommania. Dans le département se créèrent le FC Haguenau en 1900, le FC Saverne et le SC Sélestat en 1906, le FC Bischwiller en 1907. A retenir enfin la visite du Club Athlétique Boulonnais, 1er de la ligue de Paris, lors des fêtes de Nouvel An 1910 et du F.C.B., une fois de plus, 15 jours plus tard. A Pâques 1910, le Club se déplaça à Cologne, Duisbourg et Essen. Un évènement important se produisit en 1912. Le SFV fusionna avec le FC Donar et prit le nom de SVS (Sportverein Strassburg). Le FC Donar a été créé en 1899 par des amateurs pour la plupart de souche strasbourgeoise. Les membres fondateurs furent Haberstroh (Président), Berbaum (Secrétaire), Ch. Helms (trésorier). Y ont été membres Charles Frey, futur Maire de Strasbourg, (1935-1955), son frère Ernest, l'artiste-peintre Jacques Gachot, le Dr Alfred Schahl, Henri Barbenès, Toussaint, Eugène, Georges et Charles Frankhauser. ^ Cette fusion fut une bonne chose. Elle se réalisa du fait que le SFV piétina a la Liga (en 1911 p. ex. il fut précédé par le Karlsruher FV, le Phônix de Karlruhe, le Stuttgarter Kickers, le FC Pfortzheim et le FC Freiburg), alors que le FC Donar ne cessa de progresser dans sa «Bezirksliga» où ses partenaires en Alsace furent le FC Frankonia, le FC Haguenau, le SC

Le Bensemann-Team contre «Tout Paris» (2-1) à Clichy-Levallois le 12.12.1899. Édition: Association Sportive de Strasbourg 1890 Dépôt légal: 1/1981 Impré - Strasbourg

Photos: collections personnelles de membres, Europ-Flash.

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