Johann Sebastian Bach 1 Johann Sebastian Bach

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Johann Sebastian Bach 1 Johann Sebastian Bach Johann Sebastian Bach 1 Johann Sebastian Bach Johann Sebastian Bach Jean-Sébastien Bach J.S. Bach en 1748 Portrait par Elias Gottlob Haussmann (1702-1766) Altes Rathaus à Leipzig Surnom 'Le Cantor de Leipzig' Naissance 21 mars 1685 Eisenach, Duché de Saxe-Eisenach, Saint-Empire Décès 28 juillet 1750 (à 65 ans) Leipzig, Duché de Saxe, Saint-Empire Activité principale Compositeur Style musique baroque Activités annexes cantor, organiste Ascendants Johann Ambrosius Bach Descendants Wilhelm Friedemann Bach, Carl Philipp Emanuel Bach, Johann Christian Bach Œuvres principales • Toccata et Fugue en ré mineur (entre 1703 et 1707) • Concertos brandebourgeois (1721) • Le Clavier bien tempéré (1722 et 1744) • Passion selon saint Jean (1723) • Passion selon saint Matthieu (1729) • Messe en si mineur (1733 à 1749) • Variations Goldberg (1742) • L'Art de la fugue (1745) • L'Offrande musicale (1747) Johann Sebastian Bach (31 mars[1] 1685 - 28 juillet 1750), en français Jean-Sébastien Bach, est un musicien et compositeur allemand. Johann Sebastian Bach 2 Membre le plus éminent de la plus prolifique famille de musiciens de l'histoire, sa carrière s'est entièrement déroulée en Allemagne centrale, dans le cadre de sa région natale, au service de petites municipalités, de cours princières sans importance politique, puis du conseil municipal de Leipzig qui lui manifestait peu de considération : il n'a ainsi jamais pu obtenir un poste à la mesure de son génie et de son importance dans l'histoire de la musique occidentale, malgré la considération de certains souverains allemands (tel Frédéric le Grand) pour le « Cantor de Leipzig ». Orphelin de bonne heure, sa première formation a été assurée par son père, puis par son frère aîné, mais il a aussi été un autodidacte[2] passionné de son art, copiant et étudiant sans relâche les œuvres de ses prédécesseurs et de ses contemporains, développant sa science de la composition et particulièrement du contrepoint jusqu'à un niveau inconnu avant lui et, depuis lors, jamais surpassée[3] . Johann Sebastian Bach a été un virtuose de plusieurs instruments, le violon et l'alto, mais surtout le clavecin et l'orgue. Sur ces deux derniers instruments, ses dons exceptionnels faisaient l'admiration et l'étonnement de tous ses auditeurs ; il prétendait jouer tout à première vue, et pouvait improviser sur le champ une fugue à trois voix. Il avait aussi une compétence reconnue et très sollicitée en expertise de facture instrumentale. A la croisée des principales traditions musicales européennes (pays germaniques, France et Italie), il en a opéré une synthèse très novatrice pour son temps. Bien qu'il n’ait pas créé de formes musicales nouvelles, il pratiqua tous les genres existant à son époque à l’exception de l’opéra : dans tous ces domaines, ses compositions, dont seules quelques-unes ont été imprimées de son vivant, montrent une qualité exceptionnelle en invention mélodique, en développement contrapuntique, en science harmonique, en lyrisme inspiré d’une profonde foi luthérienne. La musique de J.S. Bach réalise l'équilibre parfait entre le contrepoint et l'harmonie avant que cette dernière prenne le pas à partir du milieu du XVIIIe siècle. Il est en particulier le grand maître de la fugue, du prélude de choral, de la cantate religieuse et de la suite qu’il a portés au plus haut degré d’achèvement. La principale destination de ses œuvres a beaucoup dépendu des fonctions exercées : pièces pour orgue à Mülhausen ou Weimar, instrumentales et orchestrales à Cöthen, religieuses à Leipzig notamment. Ses contemporains l’ont souvent considéré comme un musicien austère, trop savant et moins tourné vers l’avenir que certains de ses collègues. Il a formé de nombreux élèves et transmis son savoir à plusieurs fils musiciens pour lesquels il a composé de nombreuses pièces à vocation didactique, ne laissant cependant aucun écrit ou traité. Mais la fin de sa vie a été consacrée à la composition, au rassemblement et à la mise au propre d’œuvres magistrales ou de cycles synthétisant et concrétisant son apport théorique, constituant une sorte de « testament musical ». Peu connue de son vivant au dehors de l'Allemagne, passée de mode et plus ou moins oubliée après sa disparition, son œuvre, comprenant plus de mille compositions, est généralement considérée comme l'aboutissement et le couronnement de la tradition musicale du baroque : elle a fait l’admiration des plus grands musiciens, conscients de son extraordinaire valeur artistique. De nos jours, Johann Sebastian Bach est souvent considéré comme un des plus grands compositeurs de tous les temps. Biographie Les origines Comme nombre de musiciens des XVIIe et XVIIIe siècles siècles, Johann Sebastian Bach est issu d'une famille de musiciens : mais la famille Bach, peut-être venue de Hongrie au XVIe siècle et implantée en Thuringe pour pouvoir y pratiquer librement sa confession luthérienne, est la plus nombreuse de toutes[4] . Un document probablement établi par Johann Sebastian lui-même donne des informations sur la généalogie et la biographie de cinquante-trois musiciens membres de cette famille ; il est intitulé Ursprung der musicalisch-Bachschen Familie (Origine de la famille des Bach musiciens) et trois copies existent, à défaut du manuscrit autographe[5] . De fait, cette famille exerçait une sorte de monopole sur toute la musique pratiquée dans la région : ses membres étaient musiciens de ville, de cour, d'église, cantors, facteurs d'instruments, dominant la vie musicale de toutes les Johann Sebastian Bach 3 villes de la région, notamment Erfurt, Arnstadt etc. Chaque enfant avait donc son destin déterminé : il suivrait l'enseignement de son père, de ses oncles ou d'un frère aîné, puis suivrait leur trace, celle de ses ancêtres et de ses nombreux cousins. L'ancêtre Veit Bach, que quatre générations séparent de Johann Sebastian, aurait été meunier, boulanger et joueur de cithare. Son fils Hans Bach avait été le premier musicien professionnel de la famille, et avait eu trois fils également musiciens : Johann (1604-1673), Christoph (1613-1661) et Heinrich (1615-1692) ; parmi les enfants de Christoph, on trouve deux frères jumeaux : Johann Christoph (1645-1693) et Johann Ambrosius (1645-1695), le père de Johann Sebastian, nés à Erfurt qui était un des fiefs de la famille. Eisenach Johann Sebastian Bach naît à Eisenach le 21 mars 1685, selon le calendrier julien alors en usage à Eisenach[6] . La famille Bach est réputée pour ses musiciens, car les Bach qui pratiquent cette profession à l'époque sont déjà au nombre de plusieurs dizaines, exerçant comme musiciens de cour, de ville ou d'église dans la région de Thuringe. Johann Sebastian Bach se situe à la cinquième génération de cette famille depuis le premier ancêtre connu, Veit Bach, meunier et musicien amateur, qui serait venu de Hongrie ou de Slovaquie au XVIe siècle pour fuir des persécutions religieuses, car il était protestant, et se serait installé dans la région à Wechmar. Johann Sebastian Bach est le dernier des huit enfants de Johann Ambrosius Bach (1645-1695), musicien de ville et trompettiste de cour, et de son épouse Elisabeth, née Lämmerhirt. Il est baptisé dans la confession luthérienne dès le 23 mars à l'église Saint-Georges (Georgenkirche). Son enfance se passe à Eisenach, et il reçoit sa première éducation Johann Ambrosius Bach, le père de J.S. Bach. musicale de son père, violoniste de talent. Il est aussi initié à la musique religieuse et à l'orgue par un cousin de son père, Johann Christoph Bach qui est l'organiste de l'église Saint-Georges. Il fréquente, à partir de ses huit ans, l'école de latin des dominicains d'Eisenach. Ohrdruf Sa mère meurt le 3 mai 1694, alors qu'il vient d'avoir 9 ans. Le 27 novembre suivant, son père se remarie avec une veuve, Barbara Margaretha Bartholomäi née Keul, mais il meurt quelques semaines plus tard, le 20 février 1695. Orphelin dès dix ans, il est recueilli par son frère aîné, Johann Christoph, âgé de vingt-quatre ans, organiste à Ohrdruf et élève de Johann Pachelbel. Dans cette ville, Johann Sebastian fréquente le lycée, acquérant une culture plus approfondie que ses aïeux. Il a pour camarades de classe l'un de ses cousins, Johann Ernst Bach et un ami fidèle, Georg Erdmann. Johann Christoph poursuit son éducation musicale et le forme aux instruments à clavier. Johann Sebastian se montre très doué pour la musique et participe aux revenus de la famille en tant que choriste. Il aime à recopier et étudier les œuvres des compositeurs auxquelles il peut accéder, parfois même contre la volonté de son aîné[7] . La passion d'apprendre restera un de ses traits de caractère et en fera un connaisseur érudit de toutes les cultures musicales européennes[réf. nécessaire]. Johann Sebastian Bach 4 Lunebourg Le 19 janvier 1700, Georg Erdmann quitte Ohrdruf pour Lunebourg. Dès le 15 mars suivant, Johann Sebastian Bach le rejoint, parcourant à pied une distance de plus de 300 km : le désir de retrouver son ami et d'alléger la charge de son entretien par l'aîné, qui est marié et père de famille, le décident probablement à ce changement décisif. Il est admis, avec son ami, dans la manécanterie de la Michaelisschule qui accueille les jeunes garçons pauvres ayant une belle voix. Outre la musique, il y apprend la rhétorique, le latin, le grec et le français. Il fait la connaissance de Georg Böhm, musicien de la Johanniskirche et élève du grand organiste de Hambourg Johann Adam Reinken ; Böhm l'initie au style musical de l'Allemagne du nord. Il côtoie aussi à Lunebourg ou à la cour ducale de Celle des musiciens français émigrés, notamment Thomas de La Selle, élève de Lully : c'est l'approche d'une autre tradition musicale ; il recopie intégralement l'œuvre d'orgue de Nicolas de Grigny, et entame peut-être une correspondance avec François Couperin[réf.
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    PREVIEW NOTES Pamela Frank, violin; Nobuko Imai, viola; Clemens Hagen, cello Tuesday, April 8 – 8:00 PM Perelman Theater, Kimmel Center Program Goldberg Variations, BWV 988 [Arr. Sitkovetsky] Johann Sebastian Bach Born: March 31, 1685 in Eisenach, Germany Died: July 28, 1750 in Leipzig, Germany Composed: 1741 Last PCMS performance: Mikhail Yanovitsky, 2001 Duration: 57 minutes The "Goldberg Variations” is the last of a series of keyboard music Bach published under the title of Clavierübung and is often regarded as the most serious and ambitious composition ever written for harpsichord. Based on a single ground bass theme, the variations display Bach's exceptional knowledge of musical styles and his virtuosic performing techniques. The work is often considered to sum up the entire history of Baroque variation, much like Beethoven’s Diabelli Variations of the Classical period. However, doomed perhaps by its requirements of virtuoso techniques from a performer, it was not as well known as the Well‐Tempered Clavier, which was not published during the composer's lifetime. Regardless, many have long regarded the work as the most important set of variations composed in the Baroque era. The origin of the variation’s name is still under debate. The popular title of “Goldberg” owes its existence to early Bach historian Johann Nikolaus Forkel. According to Forkel, Hermann Carl von Keyserlingk requested that Bach write a work for his house harpsichordist, Johann Gottlieb Goldberg. Keyselingk, who suffered from insomnia, wished that Bach’s composition would be light and lively in hopes that it would cheer him up during his sleepless nights.
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