a CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE JANVIER 1962 m

Ë23 UC I: Tarn ::: i CONGRES FEDERAL ! A l'unanimité, M. Domergue est bres. patlifque Marc Hcral, nouveau chef du l union ne cessa de régner tout le long COMPTE RENDU FINANCIER, ET FESTIVAL CONCOURS. élu Vice-Président d'Honncur. Adopté sans observations. La Sainte-Cécile dans le Tarn remise de décorafions A MM. Aibo Le Congrès Fédéral de 1902 aura Intervention de M. Henrion (Ero- l'Harmonie, un grand concert fui donné de cct: c belle soirée. Raynaud, qui comprirent plus de « Je profita de rette assemblée pour ALLOCUTION DE M. CALATAYUO. D'une manière générale, les manifes- sou» la halic, avec la participation de Ce lut une grande et magnifique ans de services, précéda les diverses Heu A VtlSefrnnche-sur-SaÔnc. le l*r me). M. Henrion demande qu 0 les Secrétaire en Chef représentant tâtions de nos Sociétéj, Sw,,^rTïlc.r le con-Pte «nûu Julllct. A rette occasion, se déroulera, Sociétés participant aux petits Festl- A l’occasion la Batterie dirigée par M. Rouyrc. journéemee pour «llloion .Musicale », qui allocutions qui, toutes, exaltèrent l'ac­ d actlritd est Imposé par les service* T. M. le Sous-l^ ’refel empêché 4 de la fête de Sainte-Cécile, «ont revêtu Sous la présidence du Maître Joseph en relief sa vitalité remarquable ci tivité et le dévouement de cette Société rf ,la Préfecture, chaque société doit dans la cité ealadolse, un Festival et vais soient favorlsées dans la répar- il lait part du regret de m. le Sous-4 partout un édat particulier. un Concours Régional de musique. tltlon de la subventlon au même ti­ Aibus. !c banquet trad tionncl eut Hcr aussi b paifaite amitié qui règne entre A îa cause de !a musique populaire. il winlr‘ °r, »avc*-vous combien J‘en Frorct oe n avoir pu assister A nos 4 Nous donnons, cl-dessous. un bref dans les salons de l'Hôtel Bastide. où tous ses membres. ut reçu, aujourd hul 6 novembre ? Le Président Fédéral termine son tre que pour les Festivals plus Im­ travaux et so fait son Interprète pour» compte rendu de. ces festivités annucl- exposé : la loi qui récit l'enseigne- portants. Le Comité Directeur a déjà CAGNAC-LES-M1NES. - L'Harmonie ■■ Exactement d'eux. L’on vient de raVn e.rprimer A l Assemblée l'expression; les. qui procurent l'occasion de se des Mineurs, de. Cagnac, a Télé Sainte. remettre trois. Total : ctaq? C’est ment musical A l'école, dit-11, n'est cnvtsag de Je faire. de son amicale sympathie. Personnel-? réun'r et de mieux se connaître entre pas appliquée d'une façon régulière D'au» re part, 11 demande que soit jernent, M. le Secrétaire en Chef fé-î musiciens. Barbe, sa patronne, le samedi 2 dé­ £eu poïr cinquante sociétés. Je en raison du petit nombre d'institu­ supprimée une fols pour toutes cette cembre, en donnant un grand concert m'^^.e.T,Qndc Jde no P,ua tarder A licite l Assemblée Pour le climnt d’u- SAINT-SULPICE. — Devançant la il? gala, h 21 heure», dans la salle des teurs musiciens. Il serait nécessaire habitude dans les festivals do dési­ nlon kquel les débats ont été date traditionnelle. « l’Avenir Salnt- ® c« document. Par ailleurs. d’adjoindre A ces derniers des profes- gner les petites sociétés pour exécu­ menés. date traditionnelle, fêtes des Mines. iîir^JÎ ce compte rendu d’actl- seurs et moniteurs si l’on veut arriver ter, devant des cafés. 1e programme Sulpidcn » a fêté dignement Sainte- assistait et Il est 12 h. 15. Cécile, le dimanche 29 octobre 1961. Une foule nombreuse y prr«»«iertT^*ussl 4 établir celui de A un résultat. En attendant. Il faut Imposé, ce qui est décourageant pour Domergue déclare la séance le- fut très satisfaite de îa va: eur et de la au moment quo nos so clétés fassent des élèves les exécutants. Cette question figure- Un bri!riîlant concert fut doné A U h. bonne cxécunon donnée par l’HamKv demande de subvention. 30, sousJS la direction de M. L. Vidal, i -a direction M. Bllhot (Harmonie Municipale de sinon c’est leur disparition ; de IA ra A l’ordro du Jour de. la prochaine Un vin d’ho nncur offert par la Mu- et fut très appréciérpréclé par un public norn- rdc, qui était placée sous Valence) cartifiocormio nueque les co la nécessité de désigner des candidats réunion du Comité Directeur, nlcipaiité de Nyons fut ensuite servi cle M. Bouvialr. - inptes pré- aux stages. Par ailleurs, une liaison Désignation de la Ville où se dérou- au « Café de Fra breux qui étari venu témoigner(émoi sa sym- «entéa «ont ceux desi livreslivres" w itnce » et un repas en pathie nux tnusic'cnsic'cns locaux. A11 COUiX U Maison des Jeune* donna, en de l’Union avec les Conservatoires et Ecoles de 1er», en 19G2, l’Assemblée générale. commun retint > Départementale. M. ScrpoUet de Ro- Congressistes et Dirl- du banquet, le PnîsidPrésident Cartou et le deuxième partie, un projp anime foi- rr.an*, également Commissaire Musique Municipales est A réaliser. L'accord est vite fait et c'est Tain géants. Directeur Vidal stimulèrent les jeunes fc.’ofîquc et chorégraphique très rcusu. Choisissez, dlt-11, des dirigeants ITlcnnftage qui accueillera nos délé- Ptes, avait ajouté su siirr.ni COMPOSITION DU NOUVFAU musiciens et les encouragèrent a pér­ îaeuiffaue succès de cette .soiséj.- ayant la fol et donnant l'exemple gâtions de Sociétés l’an prochain, . COMITE DIRECTEUR " sévérer et A assurer, A 'chaque occa­ l-e m fraternel. Souvenez-vous de la parole Désignation de la Ville où sera or- il chaque occa- désr.on îrâ la vitalité de cette Société, L’exposé- des CJî. moral et d’actl- Apres réunion et vote de celui-ci sion, le succès de la batterie-fanfare. emps qu'elle consacra la va- vite ainsi que imamfin de Lamartine : « I.c musicien n’est ganlsé, en 19S2. 1© festival départe­ Comité d’Honncur. - PréÆit en mf1me ! clor étant tcnni- nt A gauche, ni A droite, ni au cen- mental. L’nn dernier, M. Bernard, de M. Benjamin Malossane. ’ BRÏATEXTE. - . L'Avenir de Bri.i- leur du chaf ci des ur ,c pluJJ qutt}UJévotre Organisme pour Ja d Toute* le* société* : harmoni; des Soclé- Ce fut avec brio que l’Harmonie, pas le premier, terc* et chorales nviüisÿrcnt « 1 SURVFNTinv Postal 1268 43, Fédération ceux dc l’Union Chorale ce qui fut de musique. Les diplômes des cours un bel exemple de continuité. Z mais .tjs>» le n'.us universel de» art* f ____a , , Musicales du Sud Ouest, 105. nie un véritnble régal artistique. Slgnn- de solfège l.-ur furent remis au des- composée de 45 exécutants, mit en re­ Après lui. M. Blanchard, Président et furent chaleureusement »PÇ tarant «.?«!• Æ”04 ,a paroIe cons- Mondennrd, Bordeaux, qui transm Ct­ Ions les soli de M. Chesnais, ténor. sert* lief les motifs exposés dans le Cho­ du Groupement du Llbourntils. dit sa i Souhaitons que. ("Ace aux effort* de Après te coacert. eut heu le dé SB? >•»? ,appo!?c'e Pftr le ‘ta d'urgence. D'avance, rl ous vous et M. Jean Lalanne, baryton. De même quatre vétérans reçurent ral N°. 5 de Bach, ar. Barnier, joie dc se trouver dans cette Cité, 4 scs dirigeants, !‘Orphéon de O-i’hic sociétés oui étaient convies, pi de. ?. ptôme uux Sa exprimons nos remerciements les plus Au cours du banquet qui suivit, A des récompenses bien méritées. MM. Le Largo, esquisse symphonique de diplômée du Prestige de la France. 4 et avec oii toute* les sœtélés cnora.es mintstratlon Municipale, » t clétés Musicales n’atteint pas celles reconnaissants, l’heure des discours, prirent ln parole Bordelais, Seguin, Manslncal et La- M. Achlllo, ex-chef de Musique de Après avoir exprimé sa gratitude J voisines et amies, retrouvent ur»c pîus d'honucur. Dans la cotjr de t ri des départements voisins. Il engage Le Président Fédéral : le Président. M. Henri Lnrrieu ; M. fitte. l’Armée, puis comme sortie, l’œuvre aux organisateurs dc cette journée, 11J large faveur auprès des jeunes. N est- Vii-’c, la musique militaire ta toutefois l'U.D. de la Drôme a for- Maurice MESNARD. Auzaneau. délégué du Mérite Civique Bravo. du regretté M. Razlgadc, Evohé. . Le Pont de la rvlère Kwal * rauler une demande dc subvention A rendlt hommage A M. Bousquet. Se-2 ce pas IA un beau souhait d«. Rte . deux harmonies jouèrent ens ' qui épingla cette décoration sur la Ajoutons qu'une surprise nous fut crétntre de la Fédération du S.O. et le Direction de la Jeunesse et des SAINTE-HELENE poitrine du chef de l’Union Chorale, La Chorale S.N.C.F. et ses Jou- donnée hors programme par le Jeune _____ Président, grâce Ai MAZ-UfET. — L’Harmonie de .Ma/a- J - Marseillaise ». Modetto, qui vient de réussir son A M. Mesnard P°^' de Sainte-Cécile à « U Lyre » M. Lnssagnc dont 11 retraça la carriè­ gadous. qui plusieurs. musiciens dc l’Harmonie znc: a lelèU paironoc des juu’.ulcnj, Assistaient à -ccttc. re toute entière consacrée A ln musi­ -Sy.mcn d'entrée ou Conservatoire de •lent leurs mérites ré- samedi 2 et U’manehc 3 décembre. Coude: t. W ' lc Pr.6' Dimanche 3 décembre, cette Société Paris : le Concerto en fa mineur de Stc-Céclle, vo tneru que, M. Lassagne avec émotion nfflr- compensés c» ainsi Sjînt. Simone Cas­ présttlent dTiontti A^ra If' hono,rlflqucs, aux aveo un programme qui sous la dlrec. la Fédération dos Sociétés Musicales nAvei2îdro do sa fondation le dlman- gue par Mme Cnssou, fut très appré- mivereer *»“ organisée dans la salle du gymnase du Tarn: Ço"Vi. r"w« « ra\?nn M^SnetT,non plus l'Edu> ‘Ion de M. André Gendreu. profes- du Sud-Ouest représentait le Président che 26 novembre dernier. ciô et montra les progrès faits par ce sou, ainsi qu'A monie dc* Enfants Castrat.* , «T P 1m p«NB.Üm a! sans d,re que scur au Conservatoire de Bordeaux fut M. Maurice Mesnard. M. Lacoste. un programme de musique religleu- jeune musicien que nous avions dé j A André Fillon sldents et -îc* merobre» de# »ocw • vT£,fraV' distribuées nu rompie- remorquable. MUo Paule Lavllle. du ?. éttS. donné dans l’église Ste-Ge- applaudi l’nn dernier, Conseiller Général du 2* canton de la Fédération et le Dlplômc de cette 'rotjri.rent c;lchanfés. Le concert must- musicales et chomlca. v o . demande dhiniél.orntlon Grand ThéAtre do Bordeaux, la Cho- Bordeaux déclara l’appui qu’il était nevlève do Bordeaux. Dépôt dc gerbe au Monument aux sT Afrafr..c°rNli. '6c,,Par ,a 9'AI'F* raie Paroissiale et M. Gendreu dans H comprenait : même Fédération A Mhf- André Gou cal eut )icu Jtî dimnri'-hc A 17 h. tbns Les président# Barthès disposé A donner A la Fédération des ’orts des 2 Guerres et minute de re­ dichenu et Jacques Gouûineau . Ja o/anan1( avCc un programme ndressèrenl desretperdement» ,raULl« rî? eS ont,clm(:t‘ un lns- un solo de violon accompagné A l'or- Sociétés Musicales ' subventionnées « Kyrio » de C. Franck A 3 voix cueillement firent suite A l’office re­ pecteur de se documenter sur les be- pue par M Carpentier, ex-chef des mixtes, « Popule Meus u A 4 voix ligieux. M. Janalllac. Maire, termina la sê- d(. cho^. ta santé de M. A-’bcrt Slgulcr. Maire et è !a Mun'dpallté et de# » soins divers des sociétés. chœurs de ‘ l'Opéra de Paris, ajoutô- par le Département, et enfin M. Fau- mixtes de Vlttoria. « Ave Verum » de rie des discours en adressant ses xo- d reetcur de ta Société, ne lui avant citations A Ja musique «nlhUlre W lnt. Maire de Cnudéran se félicita C’est dans le cadreare antiquennttqu du Lo- son précieux concours. M. vouoi SüR LE PLAN* FEDERAL. 11 fait rcnt leur brillante participation A d’étre parmi les musiciens des Socié­ Mozart, « O Salutaris » de Guessler. gls dc la Cadène qu’avait Heu le re­ licitations aux Jeunes de 1 Ecole mu- pas pcrn,js nialhcurcuscmcnt dc faire savoir que la Fédération va tenir A ccttc messo des plus réussie. Après par M. Enjalbal, a Sanctn Maria s do pas amical groupant les musiciens et nlclpale de Musique qui, grAce aux trav.iUler scs musiciens ces dernier*, maire, constata que la SclaM*» tés Muslcnk-s de Caudéran et de l'U­ connaissances- qu'ils y auront acqul- mojs# cc f,,t k nouveau et jeune sous- avait provoqué un vin d Honneur îa disposition des sociétés qui en fe- messe, un concert avait Heu dans I nion Chorale. J. Faure, par Lise Daily et le Chœur leurs amis. final a Gloire de Dieu » de Beetho- o d’honneur, entourant ’e ses. pourront bientôt assurer la relève rhcf M Maurice Taiîhadcs. qui pr*t batta-t tous les records P*rJe "J ront la demande, dos disques enre- I» magnifique nouvelle salle des fêtes M. Ciran remit la Médaille d’Hon­ A la tabl des anciens auxquels il exprime ses cn niajns avcc courage celte lourde bre des invités, cl l çistrés A leur Intention et qui com- d® Sainte Hélène qui est sans autre neur dc la Confédération Musicale A ven. A In direction des chœurs: MM. Président M. Jean Capdemourlln, A. David et L. Lalanne.Loin organiste qui remarqué M. Janalllac, compliments, car sans musique dlt-u. Chargc. Lc concert fut impeccable et portent entre autres les œuvres 1m- exemple dans la région. M. Gendreu M. Meynel et la Médaille de la Fédé- nous avons festivités locales seraient mor- )iraVos nourris qui suivirent, mon­ lcment posées cette année dans les concours! Ht exécuter entre autres morceaux Sud-Oucst A M. Plétréra. tenait le clavier d’accompagnement. Maire et Mme, MM. les Abbés Dlet 'X nos c,“s cvïsÆsrs-.îTs?j ration du Le banquet traditionnel qui suivit. nés. trèrent A nos musiciens !a sympathe taire qui s’est intégrée maintenant d ainsi que des Conducteurs d’Œuvres «ne fantaisie sur les airs des Compa- PlUot, M. Blanchard, nouveau Présl- '..» vie dc la dté. cholsics et mises A la disposition des «înons de la Chanson, ce qui eut un M. Ameller, Président de la Fé­ »VVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVV*^VVVV*r*-'*-V\^V*^-V' générale des auditeurs. sociétés par la CJJ.F. , incontestable succès. Au banquet qui Lc banquet fut servi dan* un s-'lon Un banquet, présidé par M. Tliefoit c-r.r-pq fut en tous points imo perfection, lc dération des Sociétés Musi- de l’Hôtel du Grand Balcon, où étaient prvmcr adjoint au malre.fut «nT ) M “pnitnH/. ____ sympathique président qu'est M. Sc- eales de la Bourgogne. présents MM. Caravo! et Raynaud, ad­ l'Hôtel SaH-an. A ses ÿlési, *tLto î !!rS!rôL in DS°m d f PJin qui est A la fois un nnlmatcur joints au maire de Ma/amct; ,M. BaUct valent lc colonel Batiude: M.. stages, n regrette (iuc la Drôme ne nmir tous un ami remercia tous M. Ameller venu A Bordeaux pour aûioint au maire d’AussUlon: M. Carrit. président de l'Harmonie de* Enfant» dlrieer un crand concert au Grand vice-président fédéral et président de do^r de* Cheî^lt Là ccux qu! aldent la Ijyre de SaSlJtc Théâtre, a été salué A son nrrivée A engage Yo's'dlri^ànts SSité Sure gffiïïf lis MU' l’Harmonie dc* Enfants Castrais: M. n»u- la gare Saint-Jean A Bordeaux par M. Editions Robert MARTIN Daîila, chef dc la fanfare du 2• RA. èlJnSZiTLZUL^ÜOn ÛU preml0r S^Ljouif" flSTe'chef dé- Maurice Mesnard. Président Fédéral M.A., et M. Bascotil. scrétaire fédéral. plan dc leurs soucia. V0U(S ct inc0mparable qu'est M. Gon- des Sociétés Musicales du Sud-Ouest 9, rue Boccard, MACON (Saône-et-Loire) - Téléphone : 11-58 MUSIQUES MILITAIRES. dreu. M. Labat fit lc procès, avec nul était accompagné de M. Ciran. Le Président dc l’Harmon c. M. René Les jeunes musiciens des contln- chaleur et exactitude, de certaines Vice-Président de la Fédération et de Bonnet, grippé depuis plusieurs Jours, M.A. \»t dessert, des allooitions fojent- gents doivent demander leur affecta- sortes de musiques, plus sauvages que M. Trémlnes. Conseiller Tochni s'était fait excuser. Une joyeuse ani­ prononcées, nfn de rendre • tlon dans une unité possédant une civilisées, qui fort heureusement n’ont la Confédération Musicale "ï Éditions Robert MARTIN et BILLAUD0T réunies mation régna au cours dc cc repas ami­ !... dévouement et au ménte des tnust- musique ; Ils doivent auparavant, six pas cours dans nos paisibles Landes France. , , cal et démontra, une fols de plus, que déns dvits et militaires. Ce jut unc mois avant leur Incorporai Ion, passer ) girondlues. Cos dérèglements venus L’horaire très limité de M. André le* traditions dc camaraderie dans ta belle Journée pour la musique popu- l’examen musical, en principe A Sa- ) de rives bien lointaines ne feront que Ame lier n'a pas permis A la Fédéra- Musique étaient toujours vivantes. Unene ’ Inlte. thonuy. Les dates de ces examens 4 rerserrer les liens qui unissent ceux tlon du Sud-Ouest de lui réserver une seront communiquées A l'Union Dé-» qui veulent servir la musique vérita- j plus ample nVeptlnn qu’elle aurait été Vient de paraître I heureuse d’offrir A ce grand musicien. partemcntole qui les diffusera par / blc, celle dc notre race, celle q»' 1 , _ ■ ’ vola dc Presse. ’ fuit communier dans l'amour du beau directeur du Conservât r» dp Dilon pour Harmonie ou Fanfare nul est un igrand ami des Société* Vaucluse ~ Confédération en n fait le morceau actuellement classé premier de la Bourse de la Chanson V-| Musical-». La un de scs Conseillers les plus distin­ ccttc époque où cette jeuness sc a plu» y 'y des instruments gués. PERTUIS que jamais besoin de ecrmait'e le gottt M. Gervaîs Pin, directeur de du beau, du pur et d'avoir» Je le '"i LACANAU pète, un idéal...... ^ français LA MARCHE DES ANGES l'Harmonie Durance-Luberon, — « Tour notre région du Sud-Lubé- Sainte-Cécile de la Lyre de La- le formidable succès d’AZNAVOUR et des COMPAGNONS DE LA CHANSON ron, et particulièrement Perluts. le» de classe canau. détiare : « La musique est extraord nalres efforts qui ont été dé­ * Transcription hautbois des Sociétés Musicales du Sud-O’-est De* théAt:ras subventionnés par l’Etat essais qui ont été lentés cette année inntrumeius A pcreuy.ion excusa lc Président M. Maurice Mes- boîtage métal sur les deux corps, clés de la et la b montées sur 4 pivots, tni non, maûntîcnnenl au milieu de dlf- A l’occasion des (êtes de prmlçmp* en» nard retenu au Poree pour la Sainte bagues aux tenons du corps du haut évitant le contact de la salive direc­ ücultés de tous ordres, la flamme été concluants. « Envol » et i « J?a^ cymbale» Cécile et évoqua le. récent Conerè* de tement avec le bois. Celte clarinette est livrce avec 2 barils de longueur dj l’art ÎSTlque. tnonc - ont « travaillé » ensemnr. instrumenrs à corde» la Confédération Musicale de France \ De» sociétés privées d ftusent la mu- Le résultat a été satisfaisant, mai» guitares classiques «’t de jan différente afin de faciliter l'accord et étui Luxe spécial, boite à anches. A Paris. MM. Gendreu et Lnbat tin­ . 519,75 4 slaue de chambre. Des rérit aïs ont t>er- cmttc . année nous préparerons encore inutrunioni-i do fanlaro. rent aussi la parole, et anrès le ban­ boîte à graisse et tournevis ...... jïiil-! ..u .-.i à des virtuoses de classe. nilrux, avec M. Zaccagna et se* rho- batterie, sonnerie quet, la fête sc poursuivit dans une 610 4 de porter haut îa littérature des Ins­ restes... •. grande gnleté nar des chants notam­ Saxophone alto STANDARD...... 740 crits solistes : I ment aven Mlle Paule Lavllle. du Saxophone alto CONSTELLATION "’Sns nue refonte des divers cnrei- Grand ThéAtre de Bordeaux, oui io 810 gnemenls- de ).» musique, dans une Îi-V- Saxophone alto SUPF.R CONSTELLATION .. 760 malin A la messe avait su faire np- Saxophone ténor STANDARD ...... :•>:< pus droite, entre l'^tcrprétalioi» Ant. M. VAN LEEST urécler sa lolie voix dans « LAenux Saxophone ténor CONSTELLATION ••• ••• 880 >t .'.mJiU'ur. dans une dUfu'-ioo plu* Del b de Georges Bizet, et a Notre . 980 ft.vidc île noîif ait dans tous les »ni- Père, n d’Henri Busser. Aloutons que Saxophone ténor SUPER CONSTELLATION üciix, lu’ tralt-on voir te? premi­ EINDHOVEN (Pays-Bas) furent remis aux nombreux élève.* .v? d'une ère1 nouve'lr où Usa le:, l'Ecole, de Muslouo les récompense* A IVxccntion des saxonhoncs SUPER CONSTELLATION, tous ces saxophones doués d’une sensibilité et aettls. Membre du Jury : {OUESNON s'onteiicî^t0 ai pontés* • Teur i^ssdutre va du si b grave au fa aigu. Les modèles SU­ êtres obtenues aux examens fédéraux de ..■niiiusuir:aient dan» V mime idéal, 106, nu U/»rwit« P»n* X* Tnüe*u«* X<0 1961. PER CONSTELLATION montent au fa 5 aigu, ils ont le coips verni dore pemigold, ’oiii des problèmes qui îe* dlv »ent. loin i des théories qui les opposent. Le Gérant : A. EHRMANN ^ 1 i ^ 1 ; " Damanilct noi larda « déni**»»* clés et garnitures chromées. CVst donc .i vous, pareil!?, de com- lunsl qu* tout ren^.-i£»>«'n»«nu ANDERNOS ni mu 6ch-xns« *lAnd«rd ETUIS TOUS MODELES 4 prendre: nécessité pour la (cu-.ie?-.e la Sainte-CÆcHo il'au'OU'd hul et ce!îc île demain, dc Ateliers dlmpression de l'Ojstt* i , La Société Musicale donnait le 3 dé- lui dontiei une nouniture de l'esprit cn 73. rue Ste-Anne, Paris CTi « • , _ ’ cenibre, A l’occasion de la fête de lo i Lu U OOUESWON «ml

\ ■ > : Reconnu) d'UlilItâ Publique par Oôcret du 1 janvier 195/ V Agraj* .»*' l« Ministère des Affaires Culturelle* journal delà • t la Hwl'CMimi»Mrl»t da la Jeunesse et de* Sport* Affilia* à la Confedéi ation Internationale de* Ssdété* Populaire* de Musique Meov’>:e du Comité National de la Musique > t .vi l)îréel eur-(icranl : M. .1. K/IRMAXX Confédération FRANCE un on -l F Ah~~ néftutni (10 n>') ' ETRANGER . un on 5.50 F ; l'r. oct. mi CO sept. • LE NUMERO : 0,5 F

: Compte Chique Postal 4638-65 PARIS CONFEDERATION ‘.MUSICALE DE FRANCE 121. rue La Fayette. PARIS-IO* usicale de Tél : TRUdaino 39.42 M

DIX NUMEROS PAR AN: Octobre Novembre Di-"/ ive - • janvier Février — Mars Avril Ml: Juin - Juillet Août • Septembre. :• %

France A'. N° 160 ORGANE MENSUEL DES 44 FEDERATIONS, DES 6 000 SOCIETES, ECOLES ET DES 600 000 MUSICIENS FEDERES FEVRIER 1963

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Ministère des Affaires LE FESTIVAL Pour le local de la C.M.F. . »r ' Culturelles (suite) 'r : ■ ' • Institution d’une Commission MONTANT DES SOMMES DEJA PARUES nie des Mineurs d'Abscon (Nord) : - 4 chargée d’étudier 20.623,30 Frs 10 Frs ; Harmonie des Mineurs de (a HENRI TOMASI les problèmes de la Musique Ricamarie (Loire): 20 Frs; Harmonfo Harmonie des Mineurs, de St-Eloy-les- -1 Indépendante, du Chanibon-Feugerolles Mines ( Puy-de-Dôme ) : 20 Frs ; Fan­ •- 1 f-: (J.O. du 29 décembre 1962» (Loire) : 10 Frs ; Harmonie des Mineurs, . *• • fare du Commerce, de Bruay-en-Artois . •’ -T A LA SALLE DU CONSERVATOIRE do Roche-la-Molière ( Loire ) : 20 Frs ; Article l,,r. — Il est institué une (Pas-de-Calais): 10 Frs; Musique Mu­ Association Symphonique de Paris-Mon* commission chargée d’étudier les nicipale de Bayeux (Calvados) : 5 Frs; problèmes de la musique en France rouge ( Seine ) : 40 Frs ; M Charles ry Musique Municipale d'Hetlemmes-LHIe ^ ' A PAR ANDRÉ PETIOT et d'élaborer dans ce d< naine un Hugot, à Persan (S.-et-O.): 10 Frs; pian d’action conforme ~ la mis­ ( Nord ) : 20 Frs ; Société Philarmonique La première partie du festival était sion générale du ministère d’Etat de Steevoorde ( Nord ) : 20 Frs ; Harmo- A CE JOUR : 20.808,30 Frs f . consacrée à l'exécution de dix-huit chants chargé des Affaires culturelles. ♦ populaires corses que Tomasi a harmo­ Article 2. — Cette commission est nisés, avec le grand talent qu'on lui constituée de : MM. Gaétan Picon. connait, à l'intention dé la Maîtrise de directeur général des Arts et Lettres, SAVEZ-VOUS QUE... jeunes filles. L'accompagnement de ces président ; E.-J. Biasini, directeur chants si caractéristiques avait été confié PA,HinéâtnnU,n.pllÏ Lt* musiciens t* disposant jllS- nèbre » de Chopin se retrouve dans à un ensemble instrumental d'une cou­ Ca IVïf?6, qu à Présent Que de sept notes, on l’andante du « Premier Concerto , rniMUenY asslste Parfois à de curieuses «in- de piano» de Beethoven : c’esft 5 leur toute particulière et très originale René Dumesnil, Hem i Dutilleux. tcrfércnces » entre les idées des puisqu'il comprenait trois hautbois, un ainsi que ce dernier «emprunte» m Raymond Gallois-Montbrun. Roland ^mnocitpurs à une œuvre religieuse de Mozart cor anglais, quatre guitares, deux har­ Manuel. Claude Rostand, Robert comP°slteuls- le thème célèbre de son hymne à pes et diverses percussions. Siohan. On ne peut parler de plagiat, ni la joie, thème probablement anté­ AvtiHf» r __ A,f Rnhert fiiohnn ■ même d'imitations et cependant rieur même à Mozart. A notre épo­ Ainsi que l'écrit France-Yvonne ,Bril * j,-Lsnecteur * général de l’enseigne- ! certains morceaux affichent entre que on connaît encore la chanson J dans l'extrait de R T.F. Concerts, cahiers ment musicol assume les fonctions • eux de curieuses similitudes. Il «Les petits chaussons»., mais se 0: musicaux de la R.T.F., numéro 8, 4' an- ! rapporteur général de la com- ‘ s’agit souvent de réminiscences is- doute-t-on qu’elle se trouve presque . née, «un premier groupe de chants rap- J mission. M. Yves de la Casinière. sues de l’œuvre d'un auteur préféré note à note dans le « Concerto » de pcile la plus ancienne époque de la \ inspecteur principal de l'enseigne- Pj\t.son émule.^ C'est ainsi que la Tchaïkowskv. sans parler d’«Une Corse, l'époque grecque où la pureté, la ! ment musical en assume le secré- | célébré phrase de la « Marche Fu- demoiselle sur une balançoire » v ; ;- nudité des lignes mélodiques ont un ca- < tariat. . dont le début figure dans les « Qua- ractère franchement attique ( n'oublions j Article 4. — La commission natio- \ ; tre saisons » de Vivaldi ? pas que l'influence grecque fut très sen- ! nale pour 1 étude des problèmes de I. ; Mais il y a plus étrange. C'est • A-';';.- y sible sur la Corse, et que Ajaccio vient ; I» musique entendra toutes les per- ; H1NDEM1TH i le cas de Ravel qui, dans sa parti- * d. Ml*x). A cette période «hm r,nechc, f«nnai.cee dont 11 lui paraîtra ne ; l ticm du «Tombeau de Goup.erin » *4 1 t fi ré-écrit de façon presque inté- particulièrement les yocero (chants ac ; ayLs Eîle remettra SOIT rapport final ET DEBUSSY j grale une « Sicilienne » de Scar - f compagnant les funérailles de défunts au mlnistre d’Etat avant le 1<«- sep- j Pci.' fé:er le soixantième anniversaire (La Maison Schqtt ayant autorisé j! latti. auteur du dix-huitième siècle. ayant subi une mort violente), j tembre 1963. 1 Or. il est prouvé que Ravel ne pou­ r du cc "Tositeur Henri Tomasi, la Radio- M. Pierre Auclert à traduire cet les lamento (chants des pleureuses dé- , vait connaître cette œuvre an> TéJév’r'cn Française a donné le 14 dé- plorant les morts naturelles, ou les morts : 27 décembre 1962 écrit de Hindcmith, nous sommes j clcnne. ressuscitée de la poussière . cemfcEs- dernier un très beau festival de heureux de le mettre sous les d'enfants) ; et les berceuses. Lo second ; Par arrêté du 27 décembre. M. I des bibliothèques bien plus tard ses récentes œuvres avec le concours de groupe de chansons, plus extérieures, a . Robert_ Siohan est nommé inspec - j yeux de nos lecteurs). seulement. Coïncidence étrange que ■. çes cfeux incomparables chorales que sont une origine plus récente, celle de l'épo- j Jeur 'g&ërjELl- Tenseigtiemcait^mu- j « Lors de la première guerre mondiale, la rencontre des génies à travers la Ma'trise d'enfants et la Maîtrise de que génoise. Ce sont généralement des j 1962 ^ 1 ^ i î'étaîs en tan* soldat, membre d'un le temps. jeunes filles, accompagnées par un en­ chansons de genre satirique ou des pe- ; g0Us raut0rité du directeur gé- ! à cordes. Ce quatuor aidait no- j semble instrumental particulier et l'or­ tites comédies de mœurs. Le maire de néral des Arts et Lettres, il suit j tre colonel à oublier l'exécrable « ser- j chestre de chambre de la R.T.F. La di­ chaque petite ville ou village est plus i. l’ensemble des problèmes relatifs ! vice de campagne ». Notre chef était Savez-vous que la « Symphonie rection des chœurs et des instrumen - particulièrement visé dans ces textes ; à la musique. Il établira en parti- j d'ailleurs un connaisseur et un admira- Inachevée», la plus célèbre des tistes fut supérieurement assurée par les œuvres de Schubert, ne fut jamais très vifs ». : culier le rapport général de la com- teur passionné de la culture française. deux chefs habituels des deux maîtri­ entendue par son auteur ? mission chargée d’étudier les pro- j Sur sa demande, nous étudiâmes le qua­ r; ses : Jacques Besson et Jacques Jouincau. (Voir suite page ’Z) I blêmes de la musique en France. La première audition eut lieu tuor de Debussy, et le jouâmes, avec trente-sept ans après la mort du l'émotion que l'on devine, au cours d'un grand niusic:2n. concert privé, en présence de notre — Savez-vous que pour la pre­ ; colonel. mière représentation de T«Orphée» Comme nous venions de terminer le de Glück, il y eut tant de places | |e i LE CHANT CHORAL les voix angéliques (chœur féminin à d'Honegger) ; « L amoureux de Thq- , apporter les nouvelles. La radio venait j ^ilion générale ?

-i- SCHUBERT 3 voix) contrastent avec les basses gra­ mine r. amusant fabliau et a La fille en- ! d'annoncer la mort de Debussy. Nous ne , Ce fut sans doute Ulî spectacle î T-Vf ' Lcr crjvres chorales forment la partie ves du piano d'accompagnement. tétée » , viilanelle (deux habiles réali- pûmes terminer le quatuor : le ressort i assez curieux que le chevalier •f •• le iror.s connue (à ton, ce disque en Programme clos avec une version très salions de Langiais) ; « O Matteu, di de notre exécution s'était brisé en quel- j Gltick. sans perruque, dirigeant apporte la preuve) de la production sensible de Ewige lieb (op. 64 n° 2) lo surella a, vocero d'une sobre puis- que sorte. Mais nous sentîmes, bien, ! 1 orchestre, mais coiffé d lin bonnet s; -i scbuben'-énne. chœur d'hommes à A voix a cappella : sance (avec piano). pour la première fois, que la musique i c^e ? , ... Stsnc/then (D ’35) est- une sénérade intériorité de pensée malgré la tournure Espagne - . Ay, linda amiga », vil- n'était pas seul.tmnt style, technique, | y.' • yéîêbre' pour soprano so-o, chœur fé- populaire, pureté, beauté des modula­ lancico. Portugal : « Os olhos de Ma- expression de sentiments personnels... ; de (jou-/e à quatre-vingt-six ans... ‘J ;• jmînin et piano ; ce ravissant et juvé­ tions. rianita », romance d'une délicate .émo* mais qu'elle se situait au-dessus des ! p^ês de Six mille œuvres ? Il ne nile babiiîege est ici interprète avec une L'ensemble vocal et instrumental de tion. Italie : « Contenti n'andremo », j frontières, des haines nationalistes et j pouvait lui-même dénombrer sa • délicate- allégresse. Stuttgart a donc réalisé là, sous la lauda du XIII' s'., ; des horreurs de la guerre. j musique: 300 sonates. 600 ouver- Gesong des Geister über den Wassern direction du Français Couraud, un disque Belgique — « La vache égarée », ravis- , ! De ma vie je ne saisis aussi claire- tures. 44 passions, 40 opéras, (D 167 ) pour chœur d'hommes (4 ténors, . choral admirable. Très bon enregistre- santé . Angleterre : « Cc petit i ment la mission essentielle de notre D. PAQUETTE 4 bàssii) et ensemble à cordes (2 alti, ment, bien que l'équilibre voix-instru­ bébé » (avec harpe), gai carol. art. » 2 celi*. une- contrebasse) est un pro- ments soit légèrement rompu, parfois, Allemagne « Iri stiller nacht », • < • fond chef-d'œuvre, mystérieux, grave et en faveur de ces derniers. ( 1 ) poétique volkslied. Autriche : « La séré­ puissant ; ie texte de Goethe- est fidc- nade interrompue », spirituelle pièce de ' d- CHANSONS DU MONDE . lement épousé par la musique. Exécu- Mozart. Tchécoslovaquie : « La jeune tien techniquement soignée, vibrante, La chorale mixte « Contrepoint », fille partit », chanson de maumariage T : •! Sî8ï captivante. fondée en 1955 au Lycée Janson de et « Les fifres résonnèrent », danse ani­ Gott in der Natur (D 133) brillant Sailly par J.-G. Gaussens — qui en de- mée (Bartok). PAR GEORGES AUBANEL : ;-3 chceuc féminin à quatre voix avec piano, meure . le fervent animateur — groupe U.R.S.S. — « Ecoutez bonnes gens » adopte un ion solennel, pouvant paraître 30 élèves des classes préparatoires aux agréable ronde ( Rimsky - Korsakov ). conventionnel. Il est chanté avec beau- grandes Ecoles. Elle n'a, depuis, cessé de U.S.A. : «r Deep River », célèbre négro On ne peut que se réjouir des des métiers de la musique) l'or­ coup de relief. A l'opposé, Trinklied progresser, et nous présente aujourd'hui spiritual. manijestations artistiques qui ont chestre de l’Education Nationale,, dirigé par André Delsarte et Mi­ (D 155) amusante chanson à boire sous l'étiquette « Chansons du monde » La sonorité d'ensemble de « Contre- eu lieu pour le centenaire de la ; naissance de Debussy. Ce tendre chel Fleurant, tous deux profes­ pour choeur masculin à quatre voix, se un programme copieux et varié : 20 point » est sympathique : fraîcheur des génie, lyrique et expressif n’a pas seurs d'Education Musicale, et mes­ . voit traduit avec humour. chansons folkloriques de divers pays, vo‘x féminines, assises des voix mascu- craint d'écrire pour un grand nom­ dames Christiane Eda-Pierre, so­ Suit une interprétation enveloppante intéressantes et souvent inédites au dis- fines. La diction est très soignée (qua- bre de personnes en composant des prano de l'Opéra et Jeannine Col­ du Nahtgesang im Walde (D 139) pour que. En voici le détail : Ihé méritoire, trop rare dans une cho- œuvres d'une difficulté abordable lard, mezzo de l'Opéra, seuls élé­ chœur d'hommes è quatre voix et cors ; France — « R éveillez-vous, Picards et raie). D'oppor tures nuances de détail par des musiciens amateurs. Après ments professionnels, nous ont fait U ce nocturne sylvestre baigne dans une Bourguignons » marche, « Gentils galants n'entravent cependant pas l'intelligence la manifestation orchestrale du passer une soirée très agréable, poésie lunaire. de France » chant de guerre ; « Or vous générale du texte. Palais de Chaillot, un peu trop li­ dont voici le programme si intel­ ligemment. varié: « Fêtes » /Noctur­ Après Das grosse Halleluya, hymne trémoussez, pasteurs de Judée», Noël Les meilleures réussites se situent dans mitée à la mtisiquc instrumentale, nes) par l'orchestre, « Noël des en­ pour chœur féminin et piano, voici Geist - (harmonisation M.-CI, Alain) «Gentil deuxième face. La chorale chante j'ai assisté à un autre hommage mr- à Claude Debussy dans la salle des fants qui n'ont plus de maisons» der liebe (2 ténors et 2 basses, piano) . coquelicot » vaudeville (d'Indy) ; « Jé- toujours, bien entendu, , dans la langue (orchestration de D. E. IngheU dont on admire la souplesse mélodique sus-Christ s'habille en pauvre », com* originale. Elle présente è l'occasion de Fêtes de la Mairie du 5' Arrt. Sous la présidence de Madame. brecht) plus émouvant encore d’ê­ et la tournure populaire. Quelle pléni- plainte ; « Vive Henri IV » chanson poli- bons solistes : le soprano Cl. Gatiniol, le Jlatinguais, inspectrice générale et tre chante par des enfants. est extrait de quête ( remarquable, cetté harmpi.ii- tique dans Mozart. d’Etudes Pédagogiques de Sèvres, Damoiselle élue ». qui est aussi plus Corenach (op. 52 nc 4 ) chant ; funèbre où • "sation est .tirée de la' Jeanne!'d'Arc (Voir suite, eu page 3) la chorale dé Sèvres (techniciens (Voir suite page 2)

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. (à 2 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE FEVRIER 1963

: pour instruire les autres : iite. i Après avoir fait une car, • ■ : , sur la guitare, illustrée par .sydition ümMBi s du guitariste Lucien- Gi hint, je suis resté à celle de A/:'-:Brl- : A LA SALLE DU CONSERVATOIRE (Suite de la page 11 mnsique légère, peut-être incompa- ouet. l’auteur de « Paire de le Mu- Uble avec M musique, sérieuse. Quel W]'c » les œeienrs de '^mouvante d’clre chantée pur des entrait clé le style d'André Messci- «« connaissent, j a, trouve tu: pa$- (Suite de la page 1) l'encnger mais le captif ne chante plus /*» saurait trop louer la fraîcheur, l'expres­ l« botes sylvestres viennent le harceler, ;;ftr Lauth. «Les trois Chan- Mimp/jOHW pour cordes d un COU- Tf ““ chC* *Ot d~r}' •- sion et la justesse de toutes ces voix il entend des hululements, des gémis- Jiüm de Charles d'Orléans » pour 4 eeno ? Nous ne sommes pas prêts Mnnnhrraer'une Période ' o?aJp‘ 1 juvéniles, le souci des nuances et do semants affreux, dos plaintes qui le gla- voix mixtes t Anciens Elèves de la fc nous passer des anciens et, Si . essais ( ■ < Utic—'toits l'intelligence des textes. Tout cela était cent d’effroi 3t, tout n coup, il >e réveille chorale de serres et chorale nias- la para se de Kodaly, de Chostako- Valent enregistrés dit-il : 'rav- rendu à la perfection sous la direction « son rêve , 0,0 pour ,ui „„ cliva d. lycée Lakanal; pro/cs- •** ^mu^ue ^jopjMre ci‘Z- éclairée de Jacques Besson. De chaleu­ trait de lumière qui inspire sa généro- v^> 892. .dans Ven- Vous vous imaginez $o..> doute ► ■ V comme les barcarolles et les chansons poésie et de nature. i d. amateurs, aussi bien rcconfor- (]uêtc sur « Y a-t-il une. crise de. que la sourdine a été invc îce pour de pêcheurs, pittoresques comme les >■ Le Colibri emprunte la voix d'une très tante, a ete le concert de. Sainte- y intelligence ? n «La dialectique, créer de nouvelles sonorités dans lazzi et ies boniments des marchands jeune cancatrice, Christiane. .. Chateau,4 qui. dcCécile parlSi de dansVorchestre la saUc d ’accordéonsde>. Fêtes CXUClcepr»rMri aà tala poriCe^Oenortée de IOUItout le la musique symphonique moderne., ‘ forains, ou humoristiques comme les le jazz ? Détrompez-vous. Prenons vocalise à merveille. Quant au rôle de > de la Mairie, du 4- arrondissement. %^Silel%ctwSs^Jm^Jdlrl chansons politiques. On voit que ces le Traité des Instrument: de Musi­ h. 18 chants offraient un beau choix de l'Enfant. !! est tenu par la charmante présenté par Pierre-Marcel O.ndher, de jouer de tout--et de croire dinsi que de Pierre T r i c h e t (1840) sentiments et de caractères divers dont Jacqueline Maréchal, aussi bonne chan- dirige par Elimine Dorin directeur tout comprendre sans avoir l'expé- au chapitre sur les trompettes. j tcuse qu'expressive comédienne. Ces deux ac LbCOie ac Musique Paul Beus- rlence personnelle de rien — Pierre D'abord «Les muses ont t " horreur > (a succession avait été très judicieuse­ artistes sont toutes deux élèves de la SvflAjJi mnage i enthousiasme Emmanuel)). « Jamais temps fut les tambours et trompettes» après ment ordonnée. Un chant lent ou tragique r classe de technique vocale d'Eisa. Ruhl- 1 j All PlHs conformiste que le nôtre tout avoir parlé du médecin Adépiade trouvait un heureux contraste dans une mann et elles font grand honneur à leur : , nrnrlnvrennrtld'P en 5t’ CVOÿftnt révolutionnaire. qui se servait dé ta trompette mélodie alerte ou tendre qui le. précé­ professeur. Elles ont remporté un succès j uenneLorin °aid hatisscntlcnf- Chapelain Midi, ». « Du roman- «pour faire, revenir le iers de dait ou le suivait, de sorte qu'il n'y avait Lsi magnifique que m/rité. La double | peû ST Vat!^ Wl nulle .monotonie dans l'audition de ces chœur de jeunes filles et d'enfants s'est . cordéon Prggrumvie. composé * ^ dét(lchd de réalité pour s'en servait comme d:- " tuyau. •• 18 pièces. Et les effets d'orchestration ' > de l'ensemble instrumental tenaient montre en tous points remarquable et ; dœuircs françaises . œiivrts a E- aboutir à cette négation de l'image acoustique pour ceux qui sont un l'Orchestre de chambre de la R.T.F. a i tienne Lorin ac LOUIS (jaune (/ui csj ^ peinture abstraite. Et peu sourds, il écrit: <•: O’f.r qui constamment l'attention des auditeurs donné le relief voulu aux trouvailles du j 1 hommage a L occasion au cente- yen diraj d(, mème de la musique, suivent le parti des musc auront ' en éveil. Que de jolies surprises — et compositeur. Henri Tomasi a conçu des ! J? coupant toute allégeance t pour la point aussi à contre cœur d'ouïr combien délicates nous o ménagé effets d'orchestration et dos harmonies Z œZjrtaire Les' ne Première fois dans son Histoire, en les trompettes aux occé.sûris de l'art de Tomasi. J'ai été notamment d'une rare subtilité, parant d'une exquise fieiiuîsenl ms aussi tudforniémcht 0ccidenL du. aveÇ &. Z?'-S réjouissance et des soleu.-iies Pîf. frappé par le subtil accompagnement __ . , , r^ . viciuissciu pas aussi unijmmcmcrii- l'harmonie. Désincarné, désinte- bltques. aux carrousels, eux jeux du Lamento sur la mort d'un curé. Les poesie musicale le texte si pur de , que les hommes, le privilège de la g par se Qlors dans l’êsoté- tragiques et comiques, aux noces effets de cloches pleurant doucement Francs D.delot. Il faut entendre les sono- ; musique populaire celle qiii ne suit ri^lR lec plus étroit, il devient un et aux festins))... Je passe et - < ' thousiasme du public, je crois pouvoir l'accordéon et la musique et cela porter dire que si les conducteurs f/2cozTraae de wze siîürr ^ scm'Lte) cieuse : Le Colibri, conte musical sur .. T. ' J ’ .7 créa une immense joie Les œuvres des autos de course se tuent plus courage ac me suivre jusqu ici. un poème de Francis Didelot, pour voix 7<'■ ;" dire que nous étions fous enchantés. ^anserferrierdenf rien àTeurs qu'autre fois c’est parce qu’ils ne Cette retraite sur la trompette N d'enfants (solistes, double chœur) et rajouterai que Jacquet Jouioeau, qui ^tamorpuôseÂlcomine Vont mM font plu, mécaniciens; ce gui était le ™*>~<** orchestre de chambre. Je n'exagère nul­ dirigeait cette merveilleuse execution, ! vé ies applaudissements très en- le processus normal. On peut peu- ‘■cure coaa a cei aruue. i lement eh disant que cette œuvre a été Sb-Ouen. Janvier 1963. s'est montré une fois de plus un chef ; thoùsiastcs. J'allais oublier une so- ser qu’il y a des inconvénients, - I- un véritable enchantement pour tous ceux de très grande classe. Et je me per- i liste de 15 ans. Josette Gavignet, moins graves bien sûr, pour un Georges AUBANEL. •\ ■ qui ont eu la joie de l'entendre, tant pour mettrai de dire qu'il ne suffit pas de ! qui collectionne les récompenses ; compositeur de passer sa vie à sa L le scénario :un enfant pénètre dans une radiodiffuser Le Colibri de Tomasi. Voilà j elle a été aussi agréable à regarder tubie à composer sans quune pra- - le poème que pour la musique. En voici une œuvre ququ'il rauifaut auss»aussi graver oansdans ji CQUcertQu'à entendre, ^ E dansPozzo uunet son valse visage de luosetique nede lechef maintienne d orchestre, en contactde vir- -V mystérieuse forêt à la poursuite d'un la vinylite. Elle en est plus que digne, reflétant les sentiments exprimés dvec le public, avec les interprètes. LE TROISIÈME merveilleux colibri qu'il désire capturer Tomasi a marqué ses soixante ans J par la musique. Je sais qu’Etienne Gabriel Pierné trouvait dans le pour le mettre en une cage dorée et L- d'une magnifique pierre blanche. Nous j Lorin a Vinlention de jouer des dynamisme de Vorchestre qufil con- u\ ■ avoir ainsi pour lui seul le privilège avons fêté son anniversaire mais on auteurs vivants, ainsi tombe la duisait un enrichissement. On peut d'ouïr son l'ondocieux a avons£ .,fetes, , uîson , anniversairenous , offcrt mais, le ,onus j remarQue 'que fanais /aire... Penser que les critiques musicaux FESTIVAL compté sans I hostilité des botes de la charma„, =ac!eau. Nous remercions ; Ces deux boites manifestations Si forêt qui se liguent contre lui pour dé-. j d’amateurs, devant un public nom- 'JSffi nhSUrrl de tout cœur. fendre l'oiseau pourchassé. Il réussit àreux, celui qui fait les succès, une ?œ/üfe GEORGES ENESCO cependant à s'emparer du colibri et à André PETIOT : m’avaient mis dans de bonnes dis- SîflPfS «Jt ; ■ fflceTffiéKK Ÿarsqu on a soi-même pratiqué et I Le concours et le festival inter-

! dl CfamMusique léq&TFrançaise constante avec les difficultés de j aura lieu pour la troisième fois du ae ui Musique legerc Française , . incline très naturellement 5 au 20 septembre 19b4. Vie"moins vers indulgence. J’ajouterai enfin j ..Le Comité d’organisation du troi- nombreux à cause de /a uroæS l'exercice de la critique oblige fW concours et festival mterna- nomoreux a cause, ae ta proximité f. regarder au-delà de sa propre < tional Georges Enesco est présidé, -j ■ V mW ambiance mo°m iavofMl^mais boie, et qu’ainsi elle élargit consi- ' comme par ailleurs aux deux festi- amoiance moins jai.oiaoie, mais dérdblement le manière de voir ■■ vais anterieurs, par Ion Pas. pre- ^SdantZmusique de'neul'com rÈ’fri de la musique, Guy Bernard j sWent du Comité de la Radio-Télé- eniciiaani ia musique ae neuf com- ,;d£ seahers) «De ce aue les Fé- vision; comme vice-presidenrs ont VrXCUtrop 9céreaLYe troflavZe «*- les Bazin et teurjContinuateurs ! été élus le chefs d'orchestre George tron sérire II nb a rien à diïe sur n'ont *ensé ni écrit comme Bach> I George?f°* artiste du peuple, et le la ^echniaue es sonorités les or il ne s‘ensuU vas - L'éducation musicale teurs chefs d orchestre, proiesseurs sur lc miblic J'ai trouvé la arande *™™it pas besoin d'être revisée , de 1 enseignement musical supé- maiorité de'ces musiauJ uas ^s si Ies auteur^ des solfèges avaient rieur. ! «oublie)) li a fallu attendre le èié des compositeurs. Il n’y a pas On a approuve le règlement dor- tnurdP r h n ni JïvMnihéAnort si longtemps que des éducateurs gamsation du prochain concours et voür întendre Le muMue aaréa comme Carl Or//, Edgar Williams, festival international qui compren- hfe snuriantf - Il nS rf. S f°nt commencer l'étude de la mu- dra trois sections : violon, piano bte souriante la Danza. de Ros- ~tone .nar re rythme • pourtant et chant. De meme qu aux concours fraichcia^nda renforcé^ densité Berlioz^'avait prévu dansées soi- antérieurs, à la troisième édition I fraîcheur qui a renforceja densité . - l'Orchestre du concours Georges Enesco, sont feVWSZ Le 24 mars aura lieu le con^rt de cet auditeur disant, à Venir' de la société de Musique d’autre- rnanifestations fS® acte, qu'il regrettait de ne pas fois a l'Ecole ^nnalede Mwiique val qui /e dérouiei.a du P* au 20 avoir connu le programme avant, de Paris. Un programme d oeuvres seotemhre 1964 nrêterant leur mais que ça ne valait pas le ticket très variées d'auteurs français, ita- concours des lntêrorètes et des for de métro. C’était un homme encore liens, plus ou moins connus, mais JgJgJJ* artisUques de valeur dé jeune qui a exprimé ainsi bruta- toutes inspirées par les poésies de Roumanie et de l’étranger lement sa déception ; il est resté Pétrarque, dans des formations di- " jusqu’à la fin, non sans toutefois verses. Certaines ont été recher- avoir fait, quelques mots croisés chées et retrouvées pour la circons- pendant la seconde partie. A la fin tance ; cc sera une révélation. Un de cette partie, Mathé Altery a concert qui a pour titre «Pétrar- Avis de Concours chanté des succès viennois qui sont due et les Musiciens » ne peut être Le directeur du Conservatoire de toujours agréables à entendre. Je qu'intéressant., Marseille sera rerruté par concours pense que l’Ouverture dlsabelle et pendant les vacances de Noël au début du mois de mars Pantalon, de Roland Manuel, la un week-end musical des Ecoles Un eoucourjs sur titres pour lu recrute­ ment du directeur de l'Ecole de musique Pièce concertante, de Paul Bon- Normales de Caen, Le Mans, Alen- 'Conservatoirej aura Heu en. l'Hâtel de neau et les deux premiers numéros çon, Chàlons, Paris et quelques Ville, au début du mois dé mars 1963. MANUFACTURE D'INSTRUMENT! DE MUSIQUB des Impressions Foraines (pas le étrangers, organisé par Jean Henry Les candidatures devront- être adres­ 4, place Charlcs-Dullin, PARIS IIP) dernier qui se perd dans d’inutiles rUFOLBA de la Seine) avait réu- sées ù M. le maire (première division per­ Tél r OR N. *7,4* ei 27.41 complications), de p.N. Dubois, ni à l’Ecole Normale du Bourget, sonnel). a vaut le 23 février 1963. l AMXTlS OUiQj ti fAMIS.-U rm M/’ü*4 Pour tous renseignements, s'adresser ou étaient les œuvres les plus «pu- ISO garçons et filles jouant de la 'écrire-: ù la mairie (examens et con­ blid) de ce concert. C’est sans flûte à bec. Il est beau de voir une cours», ou uu -Conservatoire. 1. rue de !a doute une spécialité d’écrire de la jeunesse qui cherche à s'instruire Bibliothèque.

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W- -i FEVRIER 1963 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE •!:S 3Î

1) une brochure dans laquelle, après L'ORCHESTRE SYMPHONIQUE une introduction donnant des conseils toute agréable. A la tête de l'Orchcstro d ordre général (tenue et jeu des deux T TCHAIKOVSKY : llv SYMPHONIE philharmonique de Hambourg, la direc­ mains) chacune dos dix leçons est expli­ De Tchaïkovsky, connaît-on d'autres tion de Jurgen Walther ne manque pas -•/ (ï>tnle do la page 1) symphonies que celles qui composent la . En. .bref, un récital remarquable : si quée soigneusement. Les cinq exercices ds fermeté ; mais de netteté peut-être. , En J-G- Gaussens, le directeur se ? cl]0ix cst P^fois discutable, Icxécu- (en moyenne) qui composent chaque rameuse trilogie du Destin (rr; 4, 5 et De caractère peu saillant, la version qu'il oouplc à l'occasion d'un adaptateur t.on laisse pantois ; et quel régal de sub- leçon îont l'objet d'un commentaire sé­ 6) ? On accueillera donc avec intérêt donne n'est pas dénüée de mérites au (voir par exemple la belle transcription cette Symphonie n° 1, op. 13 : « L'hi- 2 tues sonorités. La réalisation technique pare, détaillé, clair et précis. demeurant. Une bonne exécution « do­ - ! chorale du Thiriet) se triple meme vor », jamais jouée en France. minicale ». satisfait, mais il n'aurait pas été mau­ 2) Une brochure qui reproduiti la d'un présentateur. Il a en effet signé la vais de renforcer Cette œuvre de jeunesse le mériterait On trouvera * un peu les basses. (4) musique de tous les exercices et études au verso Lo carnaval des, nonce, une notice synthétique clans la­ pourtant. C'est animaux. Nous .proposés, . en 9ros caractères très lisi­ une symphonie à pro­ nous refusons bien on- - quelle la sensibilité du musicien le dis­ gramme, mais celui-ci n'est pas assez tendu b + SCHUBERT : bles, avec toutes indications concernant commenter cette célèbre « fan­ pute à la rigueur de l'historien. étroit pour gêner le musicien, guinder PIECES POUR PIANO le doigté pour chaque main taisie zoologique », maintes et maintes Quant à l’enregistrement, en général son inspiration et asservir son écriture. fois enregistrée. affec- assez limpide, il aurait peut-être pu Nous avons dc-io a„olys* ,0 Sens* ZZZZs Et sa beauté intrinsèque s'admet sans mon- L'interprétation en est honnête égale­ « harmoniser » plus heureusement l'en­ l'argument et se suffit. Elle est éminem­ ment. Elle permet toutefois de consta­ «U (D-840 >iorsque — t™*zssous,es tous semble car l'équilibre se trouve parfois présentâmes I enregistrement intégral des .ses aspects et dans tous le- ca* ment lyrique : pas un passage qui no ter avec plus d'évidence la qualité rela­ chante. rompu en faveur des registres extrêmes sonates pour piano de Schubert. Il nous don dis mains, etc ) (P°5" tivement moyenne de certains solistes (les alti s'effacent devant les soprani, les suffira donc de rappeler que malgré sa 4) Cinq disques (45/171 n S'y reflète naturellement l'amour de de l'orchestre (nous pensons à « Efé- '■ dénomination . Reliquie . «II. n'as, pas tondra intégraient^Tes ' 0"‘ la nature, celui du sol national en par­ ténors s’estompent devant les basses). textes musicaux phanis » et à « Volière » notamment). A noter enfin, pour être complet, la jolie et mf9,S !a„qUinzlème seulement' Proposés (une leçon par face) ticulier. Mais si le sujet est russe, le Pas de doute, c'est pour sa première présentation ce la pochette. (2) et ci autre part qu elle demLure inachevée. Ne voilà-t-il pas une méthode développement est allemand. Elle a qua- face un inédit — qu'il faut acheter * Nous préférons insister sur la nouvelle plète dans lahuelle i>zu thode rès Sérieuse réalisation qui re'. contemplation inspire à l'auteur divers solument silencieuse. Pas de La Cantate « Ach notice, sentiments ; ici les bois gazouillent, là mais magnifique illustration de la po- (BWV 26) .Ah ! combien vaine et fu- " confère au premier mouvement rttattaf les cordes s'enfièvrent, plus loin les cors chette. (10) gitive est la vie humaine» est une belle <™derato) puissance et léger mystère en matière didactique est bipn «V 7 lancent un nostalgique appel, ailleurs méduat.on, dépourvue de tristesse. Le à ,a fo'f; «ans négliger l'habituelle dou- réservée à l'enseignement de la ^ I orchestre assagi tisse un voile bru­ guitare symbolisme cher à Bach y trouve place ^eur mélancolique. Il donne au second classique. meux... L'adagio cantabile ma non tanto MUSIQUE ETHNIQUE (les muages, le torrent, etc.) (Andante) un charmant tour de naïveté Quelques reproches d'ordre rapporterait les impressions d'une c pro­ -F MUSIQUE DE THAÏLANDE CChœur encadre de tutti orchestraux quasi populaire, tout en assumant la claire ne parviendron D» 1J menade en traîneau sur un lac gelé » ; est ;în'r°r ÔVeC ri0,0n et flÛte : ,a Vie Er "*#***• .» accorde de sensiblement notre satisfaction Le Zo rien d'imitatif, une touchante musique C est vraisemblablement le premier exemple qu'on en peut entendre au dis­ est Tap.de comme le torrent. Récit d'alto 1'mP0rtance au suivant (menuet) et le Session est assurément assez ranL ^ suggère la rêverie au fil de la randon­ que. née, rêverie douce, triste comme soleil dérat'ôndebaT^eCu3 haUtb0iS: C°nSi‘ drame ° îfï ^ rensemb,e 'ai-' «•"« nette l'infLnce f“n‘. net révélait déjà l'esprit rigoureux du P.S. — Le 5" Festival international MUSIQUE INSTRUMENTALE de schubert °n sait que ce hed exhale çaise (dans le style général, la coupe C°7ZrrhUfr\ . . du Son «Haute Fidélité-Stéréophonie » -F LA HARPE une pénétrante poésie. de l'ouverture, etc.) (L architecture-est classique, dans le aura lieu à Paris.au Palais d'Orsay du premier mouvement notamment, où l'd- 7 au 12 mars. Outre l'exposition du ma- Ce. récitai donné par Jelinek, qui est Enfin la « Sonate » de Galbés (titre à « La vengeance du More » est un bel !ir.,r:drYU --enS C,assique) en exemPle de musique dite de cour (L'ou- enture .est souvent fuguee ; celui-ci térîel seront organisées, pour le public so'iste de la Philharmonie viennoise, révé­ a.sse I impression générale d'un « diver- des démonstrations et manifestations ment . «lit t ! P‘6Ce U° mouve‘ verture ~ ,ent- vif — plonge immédia- lera à l'auditeur éberlué sa prodigieuse tissement sérieux ». Andante sur thème diverses (Concerts RTF, projections pro- technique. En voici la composition: ment ,^elle est charmante et mousseuse. tement dans une atmosphère de gran- Un doit louer dans le duo Pomponio- deur. robuste simp e, hache, deyeloppe de façon brève rlamation des .Grands Prix du disque ) « Fantaisie en do mineur » (op. 35) Air gracieux. Zarate la perfection rare de l'entente et et élémentaire. Dans le scherzo se lit’ . de Spohr (œuvre originale) : Air et menuet. Air. Gigue, vif « horn- cette page de l'équilibre. En outre l'intelligence et l'influencé beethovérilenrie : style volort- U Dîsccphlles français, DF 730 058 (33/30) gracieuse, sans thèmes bien marquants, pipe » et « air » avec échos constituent .aire, rythmes en notes répétles, effets §j KÏT'lSeI S la sensibilité musicales sont des plus le finale). est parsemée de passages cadentiels vives ; avec ces artistes, brio et raffi­ contrastants ; le trio est plus pastoral. Amadéo. AVRS 6 23Ô (33/30) « La belle Marie », par son caractère, d'exécution difficile ; la traduction en nement vont de pair. Le finale d'une élégante et volubile fj Chant monde, LDX-S, 8 29S (33/30) se rapprocherait davantage de l'esprit est claire, élégante, brillante. « Aria » gaîté, évoque assez Mendc-lssohn, sur- 7) Critère, C.R.D.^l^à5 ^ éls/v) : ■! Deuxième disque. — Celui-ci présente ■ populaire (Ouverture. Hornpipe rustî- aimable ^transcription d'un anonyme du uniquement des transcriptions (le ré­ tout celui de la Symphonie Italienne). 8> Amadéo, AVRS 6 226 ( 33/30) . .• XVUi6 s*). « La source» (op. 23) de que. «Slow air» dont l'allure mélan­ Il est intéressant d'entendre cette ?T •Supraphon ^UA 10^406 (33/30) pertoire des duos de guitares, est par­ Zabel (œuvra originale) : cette très colique contraste avec le dynamisme de muvre oubliée, dont l'audition est sZZ !?j IT.* ticulièrement pauvre) dont les co-au- s*. ! agréable, pièce, de genre est bien faite « Trumpet air » en fanfares bien enten­ teurs ne sont outres .que nos interprètes. du. Gigue ternaire. Hornpipe. Marche : pour mettre en relief (es possibilités par­ La « Pavane » op. 55, de Fauré, no­ ticulières de le harpe ; exécution d'une solennelle. Enfin « Hornpipe on a ’-.-j ble et un peu triste, semble se faire Ground » plein de santé). virtuosité 'éblouissante et charmeuse. I éeno de la mélancolie d'un temps ré­ : « Schubert - fantaisie » « Lo nœud gordien dénoué » est une ... (©P- 7) de volu. le:, outre la parfaite exécution suite imposante et par moment pathé­ ■ Trnecek (œuvre originale) : cet hom­ d une trille difficile, on remarquera le mage construit sur des thèmes schu- tique (Ouverture tout à fait lulliste, en soin avec lequel qpèrent Pomponio et 3 mouvements contrastants. Air triste bertier-s (lïeder notamment) •est astu- DOLKJiT Zarate : le moindre motif d'accompa­ cievsoment bâti, et les et fier. Menuet. Air dansant. Gigue. LA.tCR.'ÂNDE marque française : variations gnement revêt son sens exact, prend créent de ravissantes scintillations sono­ Chaconne altière. Air dansant. Menuet toute sa signification, grâce à une sono- frais et élégant). res ; interprétation étincelante et déli­ rite spéciale et des nuances appropriées. cate. « La vertueuse femme » offre encore Du même compositeur, la « Romance «La Moldau » (op. 43) de Smctana : les mêmes caractéristiques : dignité, vi­ sans parole », op. 17 n° 3 est une œu- talité, tragique. (Ouverture bipartite. ■F Ses derniers % dans cette pièce populaire conçue pour vre de charme où passe l'ombre de Mas- l'orchestre, on peut juger de l'habileté « Slow air ». Hornpipe. Gaillarde. Me­ F 'ttoodèies da 1 > sonet. Nos artistes lui accordent d'heu­ nuets, avec l'alternance qui deviendra de la transcription due à Trnecek ; Il reuses recherches de a registration ». classique: 1) mineur; 2) majeur — n'empêche qu'on suit.parfois difficilement Quant au « Petit nègre » de Debussy, très court — ; 3 ) retour du menuet SAXOPHONES1 Ni les Différents épisodes du poème sympho­ c'est une pièce célèbre, de caractère mineur. Allegro d'un pétillant entrain). niques, et qu'on a peine è discerner l'es­ TROMPETTES i rythmique, tirée du ballet « La boîte à A l'audition qu'en donne l'Orchestre sentiel du secondaire. « Arabesque n° 1 » ' joujoux ». Son exécution permettra à de chambre de la Hartford Symphony de Debussy : par contre la transcrip­ . CLARINETTES j l'auditeur d'avoir un bel échantillon de conduit par Mahler, on note les quali­ tion de cette page convient tout-à fait au L MATERIEL DE j leur, virtuosité. tés suivantes : sérieux, noblesse,, car­ |eu harpé. « Solfaggietto.» de K-P-E- Les deux réalisations techniques sont, rure ; justesse des intentions ; homo­ BACH : arrangement d'une pièce brève ■L JAZZ ®îe... JM sinon exceptionnelles, intimes et délïca- généité dans le phrasé comme dans l'é­ très connue pour piano. Enfin, la tes. (6) quilibre sonore. Une version très « an- « Fantaisie » (op. 95) de St-Saëns, 7 J glaise »... bien qu'elle ait été réalisée à œuvre originale, conserve pourtant une -}- DIX LEÇONS DE GUITARE Vienne ! Catalogue franco sur demande 'Si écriture assez pianlstique. ;Les thèmes Les 10 leçons do guitare de Manuel La réalisation apporte une acoustique en font mélodiquement très caractérisés ) Carrion, un de nos excellents guitaristes vaste et profonde. ( Quelques petits dé­ Etablissements DOLNET nôtre interprète s y livre à des recher- classiques, sc présentent ainsi : vous fauts de pressage peuvent n'affecter que 31. Rue de Rome - PARIS 8e - (Usines à Mantes II ches de registration délicieuses. retirez d'un élégant coffret : notre exemplaire). (8) 'tr- "■m i FEVRIER 1963 I 4 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE

ORCHESTRE SYMPHONIQUE L'ETUDE MUSICALE > par H. RAWSON DE LA R. A. T. P. que l'on appelle de •< l'oreille », ou peut lien à Cannes : Cerutti et ensuite Mme George.» Fossier et son remarquable or­ lîomc Jacques Castérèdc qui écrivit les Un vaste problème qui part du créateur cadences, de cc concerto. Leur interpréta­ à l'exécutant. l’acquérir assez rapidement. Mante. chestre svmphoùique de la R.A.T.P. ont La plupart du temps, un compositeur S'il est doué, il possédera cette qualité Albert Roussel étudie avec Stoltz, pro­ inauguré la saison 1362-1963 en nous of­ tion fut éblouissante et tous deux asso­ fesseur de piano de son ccîieKe. et ce frant un magnifique concert à la Salle cièrent n leur triomphal succès le valeu­ qu’il est possible de qualifier de «pro­ d'instinct ou bien elle sc développera très fessionnel •> est a la fois ce créateur, vite. n’est «u'à 24 ans, qu’il poursuivra ses G.veau, le îâ décembre dernier. reux chef et son orchestre- qui les avaient études avec Gigout déjà cité, lequel ou­ s*, bien accompagnés. cct exécutant, et commence par étudier Ce n’est pas toutefois un indico déter­ Le programme débutait par le « 1er Con­ un instrument de musique. minant, car cct instinct se remarque chez blié de nos jours, fut 60 ans <1844*1923) certo Brandébouvgeols », de Bach et. dans En seconde partie du programme, Geor­ Les jeunes enfants ne peuvent savoir presque tous les individus. On peut très organiste à Saint-Augustin et professeur •cette exécution, deux solistes do l'orches­ ges Fossier avait eu l'heureuse Idée d’ins­ si la carrière qu'on leur destine répond bien chanter faux ou à peu près juste d'orgue au Conservatoire. tre >e ont particulièrement distingués : crire le beau poème symphonique « Lé- avec exactitude à celle qu’ils auraient (ceci provenant de l'organe vocal) mais Les premiers maîtres de Rfvel, furent je violoniste Jean colombani et le haui- hore ». de Duparc. Voiîâ encore une œu­ souhaitée. Cette idée de la carrière les penser juste, entendre juste, est à priori Henry Ghys. ensuite Charles René, avant tKïsto Jacques Rognle. On ne saurait vre de très haute valeur que nos grands tourmente au cours de leur adolescence :c qui importe. qu'il soit admis au Conservatoire de Pa­ mieux ouvrir un concert qu’en évoquant concerts- dominicaux négligent un peu et prend forme, dans la plupart des cas. Ne dit-on pas d'excellents compositeurs ris. Ce n’est qu’en 1897 (c'est-à-dire quinze IVtprii même- de la musique, celui de trop. Henri Duparc. ce fervent disciple lorsqu'ils atteignent l’ûgc adulte. ou musiciens qu'ils chantent faux ? D’au­ années après le début de ses études) qu’il l'i.umov.cl Jean-Sébastien. Et parmi les de- Franck, est surtout connu par ses tres par contre, ont la chance de posséder devint l’élève, pour la composition de « Mélodies » qui comptent parmi les plus L’enfant possède l’esprit d’imitation — ali merveilleux Concertl Brandcbourgcois ce qui n’indique pas une aptitude parti­ une qualité vocale dont ils peuvent se Gabriel Faure. qui furent écrits à Coctlicn. on est bien belles qui aient Jamais été écrites. Il a servir, ce oui n’est pas toujours un cri- Bref, le monde effacé des professeurs embarrassé pour faire un choix tant ils peu composé 'pour l'orchestre mais ce culière. Il tapotera sur un piano parce de musique demeure vaste et digne de qu’lî nous a laissé est pourtant d'une qu’il en fait jaillir des sons : il s’intéres­ tère. contiennent chacun de pure musique. sera bien souvent au petit camarade do La voix n’est pas la preuve de la qua­ quelques pensees reconnaissantes. L'orchestre s>st montré tout à lait à la parfaite beauté. Cette « Lénorc ». cette lité d'un musicien la seule preuve ré­ L'élève doué pourra, par fa suite, par­ tragique chevauchée composée sur la cé­ son âge qui sait déjà exécuter une oeuvre faire son instruction musicale tn étudiant hauteur de sa lâche difficile sous la re­ facile sur un instrument, et voudra faire side dans la dictée des sons, des que l’é- marquable direction rie son animateur. lèbre de Burgcr, est d'un roman­ lève connaît les notes correspondantes, «•harmonie et devenir compositeur. tisme impressionnant et l'orchestre fa de même. Mais ne nous leurrons pas, la carrière Du grand Canlor nous avons été con­ interprétée de façon remarquable. Il est Si l’étude, toujours ardue, de la théorie, et qu'il peut les déceler sans commettre duits directement a notre prestigieux du solfège, et de l'instrument choisi, l'en­ d'erreur. Il n'est pas obligé de chanter, d’un compositeur est extrêmement diffi­ Maurice Ravel, ce qui représente un Joli aussi une autre œuvre symphonique de il doit même de préférence, transcrire cile. J’ai connu un Prix o* Rome qui. V Duparc que l’on ne donne plus Jamais, nuie ou le déconcerte, le profosseur sera î saut dans l'histoire de la musique, mais amené à lui apprendre rapidement à les sons rapidement, et à leur hauteur pour vivre, fut contraint de jouer de la bien à tort, c'est « Aux étoiles ». l'une des batterie dans un music-hall parisien. Pour il y .1 tant de vraie musique dans les plus belles pages de musique contempla­ louer quelques oeuvres fâches »)ui flatte sur l’échelle muiseatc, tels qu’ils ont été partitions de l'auteur de Daphnis et ro„nt sont amour propre et, disons-le... produits par un instrument ou une voix. subvenir aux frais de son ménage. Ber­ tive que je connaisse. Je suis bien sûr lioz écrivait régulièrement dans les Jour- Chloé » que- l'on passe ainsi .sans aucun que Georges Fossier nous la donnera quel­ celui dos parents et amÏ9... Ces petits L’étude de a théorie complétera celle heurt du classique au moderne. Cc qui succès personnels l’encourageront. du solfège, les mesures détermineront les ncaux. il devint par la suite un excellent bien que l'authentique musique, que jour car 11 a particulièrement à critique musical, et s’il eut des succès ouve cœur de révéler aux auditeurs bien des L’observation permet de distinguer qua­ mouvements et les rythmes, l'étude instru­ moderne qu’elle puisse être, nous mentale se fera en même temps, afin que retentissants, il n’évita par un bon nom­ S oeuvres de pure musique Injustement dé­ tre catégories parmi les jeunes élèves : bre d'cchecs et déceptions, tant tn France offre toujours de beaux fruits qui ne laissées. 1) Ceux qui possèdent la vocation mu­ ce tout apporte à l'élève, quelque soit sont malgré tout que les produits évo­ son âge, la satisfaction de l'exécution qu’à l’étranger. lues d'un meme arbre traditionnel. Il Et pour finir, nous eûmes une très fine sicale, sont doués ; En 1846, il loue la salle de l’Opéra- execution de la «8" Symphonie», en fa 2) Ceux qui aiment la musique par musicale. est impossible à un artiste de renier tous goût, mais dont la vooation n'est pas Tâcho ingrate pour le professeur que Comique, et fait exécuter a tee frai» sa les grands maîtres qui l’ont précédé. Ra­ majeur, de Beethoven, qui n’est certaine­ ;< Damnation de Faust ». Ctttt entreprise ment pas celle que l’on joue le plus sou­ certaine ; celle de renseignement : Pourtant il est vel et Debussy, par exemple, le savaient 3) Ceux qu'on oblige à apprendre la un dévoué serviteur de la musique, la le ruine et le couvre de dettes. Sa vie bien et s'ils ont été tous deux de mer­ vent. Ce n’est évidemment pas le cheval ne fut que souffrances et il ne connut de bataille de nos grands chefs mais elle musique, bien que cette dernière ne les plupart du temps ignoré, demeurant dans veilleux pionniers de l'art musical c'est intéresse pas particulièrement ; t’ombre en formant, modelant des élèves, la gloire qu'après sa mort. p:,rce qu'ils ont su aller plus loin que n’en, est pas moins charmante. Elle mar­ Conclusion : Pour entrer dans la car­ que une époque heureuse dans la vie 4) Un nombre fort heureusement, peu dont il tire, à défaut de grands profits leurs aînés dans leurs recherches harmo­ élevé, d’enfants pour lesquels l’étude de matériels — une très largo satisfaction rière, le chemin à parcourir est souvent niques par une- logique évolution et non tourmentée du Maître de Bonn et nous pénible, long et ingrat, qu’il s’agisse de y l’écoutons toujours avec un délicat plai­ la musique est un travail pénible voir morale, lorsque ces derniers deviennent en faisant acte de révolutionnaires, en des virtuoses ou des grands compositeurs. musique symphonique ou de fout autre xcni&nt systématiquement tout ce qui sir. En exécutant cette symphonie, l’or­ odieux ; genre. Rares, très rares sont ceux qui chestre de la R.A.T.P. a terminé son con­ Ce fait est d'ailleurs assez rare, car Connait-on, même chez les musiciens, avait été fait de beau avant eux et en quel était le professeur de Messager 7 s’enrichissent en grattant sur une gui­ abolissant des lois dictées par la nature. cert en beauté, ce qui lui ’ valut, ainsi, il suffit souvent do savoir amener ces tare, là n’est pas la profession, puisqu’il qu'à son chef si sympathique, de longues enfants progressivement et intelligem­ C’était Gigout. D'Edouard Lato ? Ban- 31s en ont découvert de nouvelles, tout ment à l'étude musicale pour leur en mann. s’agit, en général d'une fixation attrac­ aussi naturelles, ils ont assoupli des rè­ ovations d’un public enchanté de cette tive ot éphémère, selon la mode du mo­ soirée. A noter particulièrement le déli­ développer le goût. Debussy avant d'entrer au Conserva­ > gles parfois trop draconiennes. Ils ont L’élève ou le futur élève peut avoir ce toire eut comme professeurs, un vieil ita- ment. -élargi l’horizon dans le domaine de la cieux second mouvement dont la délica­ musique, mais sans Jamais en sortir. tesse d’écriture a été mise remarquable­ CTest la suite symphonique ravcliennc ment en valeur. « Ma Mère l'Oye » qui figurait ce soir-la Comme d’habitude, tous les œuvres du >' au programme, Georges Fossier nous en programme ont été présentées au public a donné une très délicate interprétation par M. Alexandre Rey qui a lu avec une ■et •'fut pour ses exécutants et pour claire diction, les intéressantes notices NOTRE CARNET Jui-mtme l'occasion d’un très beau succès. rédigées par Georges Fossier lui-même. Nous attendons maintenant avec con­ La première partie du concert se ter- fiance; le prochain concert de la saison. LES ÉDITIONS ET INSTRUMENTS ; .. minait par une remarquable exécution du » ; •*.5i « Concerto pour deux pianos », de Mozart. Ce bel orchestre et son chef, si parfaite­ MOIS ment musicien, ne nous déçoivent Ja­ Les deux claviers concertants étaient confiés à des protagonistes de choix : mais. DISTINCTIONS } André PETIOT. Christiane Augustin et le Grand Prix de Nous apprenons avec plaisir la » ?.r * nomination au grade de Chevalier * de la Légion d’Honneur de M. -I Paui BEUSCHER > . > Blachet, Professeur au Conserva­ toire de Caen, sous-directeur de 25-27, boulevard Beaumarchais, PARIS (Bastille) i. > TOULOUSE PYRÉNÉES (318 m.) l’Harmonie «La Fraternelle», de ARC. 51.28 Tous les mardis Caen et de M. Charles Leray, vice- ARC. 41.03 SANS SUCCURSALE président de la Fédération de y - U-r Trimestre 1963, mois de Février * l’Ouest. * > «BAL CHAMPETRE DE JEAN BENTABERRY, de 19 h. 20 à 19 h. 45» Nous leur adressons nos plus Tous les instruments 1 vives félicitations. ' 5 Février 1963 : Tous les accessoires tr- Gronde Fantaisie, polka pour 2 clarinettes (E.Menai) ; Chjc-au.Ré, NECROLOGIE : S-hot tisch (F. Romain); Au Cap Roux, Mazurka (F.-P. Loup) ; Sabre et Lance, fantaisie valse pr 2 cornets (F. Andrieu) ; Les Lanciers, quadrille Nous avons appris avec peine le Toutes les réparations ■ ■> anglais (O. Métra). décès de M. Pierre Berlioz, ancien directeur de l’Ecole de Musique et ATELIER SPECIAL POUR REMISE A NEUF î • 12 Février 1963 : Radio-Polka, pour 2 clarinettes (F.-P. Loup) ; Linette, Schottlsch (H. Para­ du Théâtre Municipal d’Evreux dis) ; Lilas Blanc) Mazurka (H. Paradis) ; Douce gaiete, Valse pour cornet (Eure). Tous modèles d’accordéons (F. Minet) ; Vive la joie, quadrille (L. Bajus). Nous adressons à Mme Berlioz et à sa famille nos plus vives condo­ , 19 Février 1963 : léances. La fête du baptême, polka ; Grazlella, Schottisçh ; L’élégante, Mazurka IMMÉDIATEMENT DISPONIBLES I pr clarinette (Deudier) ; Aldah, valse ; La vie parisienne, quadrille ». (Offenbach). Importateur des instruments américains

'■> 26 Février 1963 : . G I B S O N » Polka des yeux bleus, polka pour 2 cornets (G. Daynes) ; Al ber ti ne, MOTS CROISES schottisch; A la Hongroise, mazurka (G. Goubller) ; Cannes la jolie, DEVIS SUR DEMANDE k. valse (Gouyrand) ; Les Misérables, quadrille. 123456789 10 \ *. DISQUES - \l ADI O - TELEVISION 3 I VIENT DE PARAITRE H CATALOGUES GRATUITS -. SUR DEMANDE Un ouvrage unique par sa documentation III ♦ •Ofr ► IV T" .«*- • Y Il MANUEL DU TAMBOUR-MAJOR par Robert GOÛTE, tambour-major de la Musique de l'Air YI ASSOCIATION SYMPHONIQUE DE PARIS vii s jongleries de baguettes dans les batteries de Orchestre du Conservatoire des. Gôbêljns . La première partie, est .consacrée à l'étude VIII la Garde impériale. k!es batteries et sonneries réglementaires. IX C'est le 26 janvier .que • l'Association Sym­ président de la Confédération Musicale de Chacune d'entre elles est profondément ana- La troisième partie traite du maniement de phonique de Paris (orchestre du Conserva­ France, M. Albert Ehrmann, ainsi que les lysée. Faisant suite à la partie histor.que, un la canne : les attitudes du tambour-major, les X toire des Gobelins) a donné un premier membres du Comité d'honneur de l'associa­ définit l'emploi et les modalités d'exécu­ concert dans la salle des fêtes de la mairie tion et les représentants de la municipalité. texte commandements, les signaux* ainsi que les HORIZONTALES. —- I. Sorte de contre­ tion et donne aussi de judicieuses remorques du 13» arrondissement, au profit des œuvres En confirmation du rang attribué tant à jongleries et les multiples mouvement» tou­ basses à trois cordes. — II. Note ; L’au­ du Comité des Fêtes et du Conservatoire. l'association qu'au Conservatoire, il est bon et conseils d'interprétation. A noter que cette teur de « Plaisir d’amour ». — III. Signe jours attendus et appréciés do public font de rappeler qu'au concert de décembre. 1961, première partie élimine tout litige. Entre musical : NI dièzes. ni bcmoLs à la clef. Continuant en cela l’œuvre qui est son ’• l'objet de cinquante croquis variés accompa­ — IV. Groupes homogènes de six cordes but, l'association donne, régulièrement, depuis on a pu noter la présence, en plus des per­ Z autre» choses, on y trouvera la seule manière, sonnalités déjà nommées, de M. de la Casl- gnés de textes explicites. consécutives. — V. Un peu d’« cstudlan- 1950, dos concerts d'initiation musicale dans plausible et définitive, d'exécuter la batterie- tinn » : Initiales de l’inventeur de toute la mairie de cet arrondissement, et les ré­ nière, inspecteur aux Affaires culturelles. une famille de cuivres ; Prénom d'une ainsi que des présidents de diverse) confé­ sonnerie «Aux Morts», conformément aux sultats obtenus sont des plus encourageants. dérations musicales d'Europe (Belgique, t célèbre danseuse russe. —VI. Encore un Intentions de son auteur. C'EST LE PREMIER MANUEL DE CE GENRE peu du 5/1 ; Finales (embrouillées) de C'est, en effet, en 1953, que le maire-ad­ Luxembourg, Hollande, Suisse, etc,, etc.) joint, M. Emile Gourdin, dont le dévouement qu'à l'occasion d'un congrès à Paris, M. Al­ PUBLIE EN FRANCE. beaucoup de sonates. — VII. Dans « duct- à la cause de l'art populaire, est un exemple les renseignements utiles concernant to » ; Dans le nom des Egedachcr célè­ bert Ehrmann avait tenu à faire ijyn des Outre permanent, demandait aux dirigeants de qualités musicales de l'association. les attributions du tambour- bres facteurs d'orgues- bavarois. — VIII. les fonctions et Nom amputé de l'auteur, du «Juif polo­ * l'association de lui apporter leur concours V major, le but des répétitions et le rôle du nais » ; Indivntion musicale en abrégé. pour l'établissement d'un projet qu'il mûris­ t sait depuis un certain temps, c'est-à-dire la chef, le manuel contient également de pré­ — IX. Lu sœur de Véronique, dans Mes­ K création d'un Conservatoire de Musique dans cieux conseils sur lo manière d’assurer l’école COMMUNIQUÉ sager ; Initiales d'un musicologue belge «: feonnu pour avoir inventé les claviers l'arrondissement. Bien entendu, ce concours du clairon et celle du tambour. trnnsposlteurs. — X. Note ; Commence demandé n'a pas été marchandé e» le Conser­ Un concours de soliste sera organisé les toutes les mélodies. vatoire voyait rapidement le jour. Depuis 1954 Lisez attentivement . l'Association Symphonique de Paris, en plus 27 et 28 avril 1963 par la ville de Colmar. La seconde partie ne comporte pas moins de ses activités habituelles, est devenue l'or­ i de 62 dessins démontrant d’une façon claire Ce concours est ouvert à tous les musi­ VERTICALES. — l. Chacun Jouant pour chestre du Conservatoire des Gobelins. Elle L l’annonce précise les différentes positions et atti­ ciens des départements du Haut-Rhin, du Bas- soi. mais la même, musique pour tous. — a donné de nombreux concerts pour répandre - et 2. Une voix de l'harmonium ; Note. — dans la population de l'arrondissement et tudes des instrumentistes ainsi que les divers Rhin, de la Moselle, de la Meurthe-et-Mo- î: 3. Vieil auteur d'un menuet encore cé­ particulièrement parmi les nombreux élèves du mouvements des moulinets. De nombreuses selle, des Vosges et du Territoire de Belfort, lèbre. — 4. Initiales d’un célèbre compo­ du Conservatoire et leurs familles, le goût planches sont entièrement consacrées aux jouant d’un instrument représenté eu sein siteur et organiste moderne ; S'abrège de la musique. Il faut signaler qu'un certain t même avec deux lettres seulement comme nombre de ses membres sont professeurs dispositifs à adopter en ordre de marche et d’un orchestre symphonique’ ou d’harmonie. ts indication musicale, 5. Musique : squa­ - dans différentes classes et que son directeur, Deux divisions sont prévues, dont la première f en formation de concert. Plusieurs évolutions tique. — 6.. Celui du; «Roi de Lahore » Maurice Guyennot, est vice - président du GUIDE f sont détaillées avec soin pour permettre aux est du niveau des classes supérieures des est très connu; Début' d’une’ danse d’on- .Conservatoire. i gjne allemande. — 7. 'Avec' « phonie ». (Page 13) • société* de se présenter en publie avec le Conservatoire» et écoles de musique natio­ procédé de miisiquc enregistrée ; Dans *di- Un public de plus en plus nombreux. sem­ ble devoir confirmer la réussite de cette ten­ maximum de succès. Deux pages do texte et naux. minuendo». — 8. CompoSHcür, norvé­ * gien. . — 9. Début de « l’Enlèvement au tative,-et bientôt la salle des fêtes deviendra de dessins expliquent le rôle Important de , Sérail ; Prénom ,(anagr.) de l’auteur ' trop petite. Tou» renseignements complémentaires con­ la grosse ceisse et • celui de» cymbales dons dJHéUogabale, ‘opéra. —■. 10,.,-Le nom en II.” est bon d'ajouter, que les plus éminentes Il y va de votre intérêt les formations de marche. Enfin, toute une cernant l’inscription et. les programmes de­ anagramme d’qn célèbre pianiste ej. com­ personnalités viennent régulièrement encoura- positeur français. ger ces efforts ; on peut voir à ces soîférs le série de gravures illustre l«s spectaculaires vront être demondés à Je mairie de Colmar.

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• 4. a FEVRIER 1963 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE

d’approcher la vérité dans les or- pettf dres où balbutient leurs sympathi- est aisee. elle englobe toutes les ques bonnes volontés, et où s’expri- métropoles r^°naffsA®.r«îySSrS" ( MINISTÈRE D’ÉTAT CHARGÉ DES AFFAIRES CULTURELLES ment de façon émouvante leurs be- ment économique ou culturel. Nord, soins et parfois leurs ambitions, Normandie, Bretagne, Pays de la une certitude pour chacun de se Loire, Bordeaux, Pays Basque, Tou- Direction du Théâtre, de la Musique et de l'Action Culturelle clivertir, de s’enrichir, d'embellir le louse, Languedoc, région de Mar- sens de ses gestes d’imitation. seiile, Grenoble, Lyon. Centre C’est pour cela que le Ministère rame, etc. chacune de ces région» d’Etat a choisi de conduire empiri- étant d’ailleurs A® quement son action en implantant cevoir plusieurs établissement» en L'ACTIOjN CULTURELLE les premières maisons de la culture fonction de son inertance abso­ ut où une situation culturelle pro- lue. et de ses réalité localcs. Ce^ fondément préparée en assure le la grille de 1 opportunité îegionale. plein emploi immédiat, là surtout La deuxième carte — celle ds PRINCIPES - RÉALISATIONS - PROJETS (1932) où le public est entraîné par une l’animation culturelle existante action ancienne à entrer dans le comprend les lieux ou une activité jeu. Et c’est incontestablement là ancienne appelle les moyens a uni Dans l’exposé qu’il fit. le 6 mars H ne peut, dès lors, exister qu'un 1961, devant la Commission spé­ seul type de maison de la culture, où les centres dramatiques ont at- développement et en garantit la PAR E.-J. BIASINI les différences entre chacune d’elles teint à leur plénitude que ces con- succès. Elle est moins fournie et? cialisée du 4* Plan, présidée par se réduisant aux variations d'im ditions sont présentement les mieux comprend pour le moment avec cer- M. Hoppenot-, Pierre Moinot- Directeur du Théâtre, portance des divers éléments de remplies. titude : Le Havre, Saint-Etienne; présentant la politique d’action Ainsi se trouve relayé dans une Villeurbanne, Bourges. Caen, Tou- culturelle du Ministère d’Etat leur polyvalence. < * de la Musique La Maison de la Culune doit of­ action plus large l’effort de décen- louse. Rennes, Marseille et proba- J chargé des Affaires Culturelles, frir les moyens d'une expression tralisation entrepris avec succès de- blement Strasbourg, la région du ïa définit .comme s’adressant et de l'Action Culturelle parfaite dans le domaine du théâ- puis quinze ans par l’Education Na- Nord, la Bourgogne, les Pays de la « à choque homme et chaque , „ tre, de la musique, du cinéma, des tionale, la promotion en maison de Loire, Amiens, Thonon. Nantes, femme de notre pays, qui en éprou­ son de la culture demeurait en ef- arts plastiques, de la connaissance la culture apparaissant comme la Dans cette liste — non exhaustive verait le désir, quelle que soit sa fet bien confuse encore dans sa littéraire, scientifique ou humaine, consécration d’une incontestable — le nom des régions est substitue condition», et impliquant «une gé­ forme, dans la mesure surtout où posséder les instruments d’une ré­ réussite de la politique inlassable- à celui des villes là où une acti- néralisation de la culture, une dé­ son visage pouvait prêter à des res- manence permanente d -s actions ment et obstinément poursuivie au vite culturelle incontestable est) mocratisation de la culture ». Celle- semblances avec celui des Maisons entreprises dans les divers ordres, prix d’admirables efforts indivi- contrariée par des rivalités locales ci «est le bien de.tous comme la des Jeunes et de la Culture, dont exciter la promotion culturelle lo- duels. Grâce à elle, les premiers présentement insurmontables, la- <•; liberté et comme la justice, et le le Haut-Commissariat à la Jeunesse caie, susciter 3a vie de club et les haut lieux de l’action culturelle se aussi où des signes multiples et m- temps doit- être désormais révolu et aux Sports a prévu l’édification échanges Seule peut varier de sont spontanément désignés. teressants d’activités dispersées de- où un garçon pauvre ne pouvait sur la base d’un établissement pour i'Une & Vautre, suivant les dominan- 'inlniîitGurs vont niûin- vront être r&ssGniblés et localisés’ rencontrer La musique, la peinture 10 000 habitants. tes de l’apport local, l'importance tenant se îéïêler ™ûa- Pour servir d’assise à une maison * * ou le théâtre que s'il avait la Aussi était-il nécessaire de carac- de ces divers cléments, et naturel- chance d'avoir une bourse à l'Uni­ tériser ce moyen nouveau d’action lement celle du bâtiment lui-même, ne’^agitOTcunement'd? limiter1 les cÜtTïShftontaHon des deux versité. Ces rencontres sont main­ culturelle par rapport aux actions Le programme établi à l’échelle musons 5e ïa ciiltarc aux seules grilles qui permet d'orienter les de- tenant le droit de chaque citoyen, Conduites par de Haut-Comm:ssa- de chaque collectivité concernée . dra-mandes ou les aspirations locales riat, sous peine de n’innover que vise ainsi à recréer chacun de ces *ég ?ns °u la déccnti alisation ma ' -i et c’est le devoir de l’Etat d’en en fonction d’une organisation mé­ * -1 organiser les moyens». dans les étiquettes, donc de renon- éléments constitutifs suivant les actuellement autourdes thodique de la décentralisation : • C’est la mission fondamentale du cer pratiquement a la mission si meilleures caractéristiques techni- «nimntïuÏÏ de théâtre les villes choisies devant figurer Ministère d’Etat d'assumer ce de­ noblement definie, non qu fi fut ques, et à les adapter au contexte JJ®**nrnvince sur les deux grilles, la politique voir, tel que l’a défini André Mal­ question de la situer sur le plan socia] dans lequel la maison de la ?ue d'implantation s’en trouve doffice raux dans le décret constitutif, qui d'une recherche gratuite d ongina- culture doit s’insérer avec harrno- les. situations ^ltmellœ lfô mieux déterminée. A telle demande pré­ 4 lité. mais bien de repondre par elle nie jusqu’à devenir l’élément ma- préparées a ““ ”3“ ■ < lui assigne : « de rendre accessi­ à un besoin évident que le succès jeur du paysage nouveau dont elle pfiquant 1 élargissement de la cel- cise répond le conseil de mettre en bles les œuvres capitales de l'huma­ et le développement des maisons de assure l'intense irrigation cultu- lui© d’animation autour du meneur train les activités préfiguratives de nité, et d’abord de la France, au jeunes laissaient subsister, et qui ap- relie. A la fois pvramide et pépl- de jeu qui détient mieux que p©i.- la Maison de la Culture, l'observa­ plus grand nombre possible de pelle une démarche complémen- nière, elle portera le témoignage sonne la clef sans laquelle la Mal­ tion des résultats acquis devant dé­ Français, assurer la plus vaste au­ t-aire. Celles-ci veulent être fin pour Vavenir de ce que notre pays son de la Culture demeurerait le cider de la réalisation du projet. dience au patrimoine culturel, et moyen de familiarisation, et sou- apra été le premier à tenter, une domaine d’un petit nombre dim- Et dans les régions actuellement! favoriser la création des œuvres verit de familiarisation manuelle, promotion culturelle collective fon- tiés. dénuées d'activité et ignorantes de 1 de l'art et de l’esprit qui l'enri­ avec les moyens d’expression d’une ^ée sur le respect des individus, et Les premières maisons de la cul- leur rôle éventuel, le Ministère chissent ». culture. La Maison de la Culture, de l'immense résonance qui a ac- ture serQnt donc réalisées la ou se d’Etat se préoccupe de préparer la La mfcîe en œuvre de cette poli­ terrain afin de combler ce qui de­ doit, elle, organiser la rencontre de cueilli cet acte de foi dans le mes- trouvent remplies les conditions meure un vide. Agir de façon con­ «- tique devait aboutir à la création toux ceux qui aspirent à cette cul- sage culturel. d animation et de climat, lès mu- ' P d’un type d’établissement nouveau ture avec ses formes les plus par- m nicipalités ainsi concernées étant traire serait défier le bon sens, et dans notre pays : la Maison de la faites. Elle trouvera donc sa carac- ** elles-mêmes tout naturellement risquer- une, construction. ésotérique Culture, dont la Commission cultu­ relle du 4* Plan a consacré la -fr. • conception, en la caractérisant âfïÆgt SemplairesVur «. Là où ces c^ditio^préalobte chant g certcs ûéubéré_ comme lé lieu de rencontre et de confrontation par excellence, entre autant que e patemalSmf surer la couverture de l’ensemble ne sont pas remphes encore, ma^ renoncé aux lancements ra- la culture et ceux qui veulent y ac­ A cette notion de haut nlveau. la ^^hle ll assoriat SS cSlturel- pides et spectaculaires, mais une céder. entre ceux qui délivrent le Maison de la Culture doit ajouter rel4,ntit if villes Smfeôfenfonctionnement politique aussi neuve et aussi tourne message et ceux qui le reçoivent, celle de polyvalence, son rôle étant réeions écS ?5rl leurs preuves avant de conséquences pour l’avenir de 4; entre les artistes et leur public, et de multiplier les apports et les S^i^l '^È^ dâfnivfrsité — !?,f iIT nîoieL^DUlssent prendre l’action culturelle dans notre pay3 tout simplement entre les hommes points de nie afin d’offrir l’image ^JrS22? do la que ”2?trÏÏXes auadrien- devait -se refuser aux faciles coups 3 entre eux. même de notre temps dans tous les J*®,d°JgLt?®h** ra?g *55? JSSi iue la%rStruction de trompettes annonciateurs de Dans c:-t esprit, le 4* Plan a re- domaines de l'esprit, et de présen- ,jCfClr.«u?oqSrpréder la réali- succès sans lendemain. H fallait ici •tenu la construction ce 20 maisons ter les éléments constitutifs de son l^tectaodratte humatoe puisse précéder a «w se ^ter lentement, de la culture, réoanies en 3 tyoes devenir culturel. Elle répond ainsi à hi- sat*10n r^mnli^ent nas D'ailleurs, le retard qui en est différents : 4 dites importantes, un souci de finalité, en organisant favoïaSS^e résulté daii le lancement effectif ■t. c’est-à-dire pourvues de 2 salles de la rencontre des œuvres de Tespnt un tvpe nou- L“ÆK d'un anhnateur so- des opérations, pour en être le fruit spectacle et de réunions. 8 dotées avec ceux à qui elles sont destinées, nd^tabui^m?nt publi? pour $*23?ihiolanté o^t été ainsi l’était aussi des réalités : la cons- de salles polyvalentes, et 3 dépour­ cozÆait^enf^elle' il Ma “on une11 Æ“andeexigence SUfià épreuve leur titutiondesorganeslocaux char- vues de salle de spectacle, pour un financement total quadriennal de de^jSS^ n’SSlle n^au coS - intellectuelle et sociale, dans un or- aSyStème d’animation avec gés de la mise en œuvre des pro- 57,6 millions de NF (6.2 en 1962. trairedéténmnéeDar ?eb«£inün- dre à la fois trop souvent ignore ou technique et financière du jets, la mise en conformité deceux- '■ ri 12,4 en 1963. 15,6 en 1964. et 23.4 SéSIt mîf^fu£eP!L iei^es méconnu, cm rempli de confusion, et ^^tèLre d.Etat. Mais il est fonda- ci avec les praçammes, les étapes en 1965). ESSE cSfuléS^t for- dans lequel le rôle de l’Etat est, na- ÎSal de bien préciser que la re- successives, des études architectura- La réàltté budgétaire de la mSlé?s ^lnl fe ^“’autre à ^l'état dfiit Snnaissance de l’existence de ces ta. d^ 1« année- d’exécution du plan s’est chose» — besoin auquel elle ap- synonyme d ennui a «1 état dm conditions préalables favorables ne ^2'eux^iSfô^ contre tenue loin de ces prévisions, puisque porte la réponse familière d’un pre- ^ fSîîîSItions et des éoui- peut, ne saurait etre le fait de la paientveit.^.!^c la ligne « Maison de la Culture » n’a mier contact ? Maisons de Jeunes SSnS^t^SflSfe^oui menace dans seule collectivité ■ concernée. La tout excès de vit«^. été dotée que de 1.85 millions de NF et Maisons de la Culture sont dans OTftoutetentatived'action dans constante et parfois cruelle exprès- En fait. rlennsLéUliincéen 1961. pour 1962. soit env diminution de cet ordre complementaires: celles- 1 œuf toute tentative Si0n des besoins. 1 ambition et lmi- junee ueconception. _et le., pro- . 4,35 millions de NF. pour les prévi- là suscitant les vocations qui con- de la mu- patience de ceux qui souhaitent les mieres operations de 1962 ue le se- sions. Mais, même aussi, réduite, duisent vers celles-ci. lesquelles menaces^nést pas^cale satisfaire, la réalité aussi de cer- ront due dans .©a tout dernier^, cette inscription n’en est pas moins rayonnent vers le plus grand nom- ^rîpalité qui s obnubile «ir q taines tentat^yes et même de cer- mois ^ lannée. i^s, à partir de Sourde de-symboles et de consé- bre. dans le tropisme d'une culture ÆïrPtiPnt.1 au tour d’elle taines réussites locales dans divers S* quences. car elle matérialise une po- rivante et vécue. turelle qui sipU ordres, ajoutées au dynamisme et Jiplieront jusqu a réalisation in- litique définie pour la première fois Les Maisons de la Culture accor- et entend seiile maat^sse rfois à i'0rgueil municipal créent tegale du Plan- • dans le domaine culturel, l’amorce dent ainsi leur \1sage à leur esprit, chez eUe* fréquemment des situations ou l’exi- Chacune d éliés alors recevra la d’une grande a\*enture oui devrait dans la forme d'établissements su- au rang de bailleui de fonds ^silen- e^ce cesse d'ètre rationnelle pour publicité suffisante pour quelapo- aboutir à modifier profondément et périeurs d’une action culturelle deux. Or la Maison de la Culture Drenrfre l'allure d’une compétition, htique d action culturelle du Minis- de façon irréversible le rythme de dont les maisons de jeunes assu- . postule le dialogue, entre 1 Etat tu- D.aucun poussent même dans leur tère d Etat devienne une évidence la vie culturelle de notre pays. ment la part primaire et secondaire, teur et la collectivite bénéficiaire, revendication l'honneur du pavil- connue de tous. Cette publicité g&- El!e maroufle premier pas. fon- Et elles ne deviennent du coup entre l’artiste et son public, entre . i.excès Pour ceux-là, l’arbre rantira elle-même les chances do damental. sur une voie neuve: la concevables qu’en petit nombre, au les divers modes d expression cul- ahé j forêt: or c’est de la réalisation de la suite du pro- reconnaissur.ee par ‘l'Etat d'une plus large rayonnement possible: turelle. entre 1 individu et le lorêt ou’il s’agit. gramme, et des plans futurs, car -. ..L obligation transcendant celle qu’il le Pian a décidé que ce nombre se- groupe Elle a besoin pour remplir Une double carte d'implantation elle universifiera la connaissance assume detyi-s longtemps déjà dans rail d? vingt, dans son premier pro- SOn rôle, d’autant de diversité que donc été drSsée • celle de l’im- du mouvement qui en est encore le domaini de l'enseignement ; son gramme. ^ d'indépendance, d autant d exigence a donc ete qr&see aujourd’hui a sa phase prépara- '• M- engagement de fournir aux fran- Mais en les classant théorique- que de hberte. Comme un bel ar- Plantation tneonq e q toire çais. à tous les français, les moyens ment en 3 categories, la Corning bre. sa vigueur, l’abondance de ses compte üe m m^ établissements Symbolique de cet empirisme, la d’accéder au monde vivant de leur sion du 4- Plan n’avait-elle pas crée f^its sont lies au terrain, au cli- graphique iae|ie aes ^ première des maisons de la cul- époque. c-îlui d'une culture vécue, entre, elles des divergences qui se mat. de decentiaiisation ^ ti- turc à inaugurer ne doit rien an Transformer en un bien commun traduiraient par une réduction de Elle est enfin si nouvelle dans sa Qaetetra5uLant l rencontre «où l'image rences entre efi^napouvant resul- d'0pp0^unité : la fonction depuis sure que ou se deve ^ signé par la municipalité pour en. inachevée de la-culture vivante sera ter tandis que les pre- Le rapprochement des deux car- chitccture vers une passibillté d’uti- d’eile sans toujours ie savoir par .JL.®sPfî;?"Sert diL Sfiture^du m- mières maisons de la culture doi- tes commande le Jisation polyvalente qui prouve sa ceux-là memes qui ia iaçon- de >a Maison d^ .a Culture au xia Vent illustrer leur mission en la tâtions définitives . il tend d auieuis vocation véritable d’animateur d’ao jient» (! >. source de tentation cul- vre. qui n'est encore que Mu-see. rtécoulrlm et s'imnoser aux yeux évidente l’opportunité de combler tion cultureUe En ™ 1963. turelle. instrument d'epanouisse - Club, lieu de conférences et de n- tous" dès leur première réalité, les rides d’animation plutôt que de Caeu disposera ainsi de la pn>

ment social et- de décentralisation contres musicales—si elle est déjà dissiner toute éauivoque sur déplacer certaines réalités. Les :-re ma;Sûn de culture inté- ■:> territonale, téfie apparaît la mai- tout cela de la façon la plus satis- J>our dissipa touté équivoque sur y têtus en effet, et il ne Le Havre n’étant jasq^S son de la culture, dans une Vision faisante ~ apporte la Preuve que JwiWe. Lne maison üe^i cuirare à rien de vouloir à tout EViS tout à comoB théorique qu’il était nécessaire d’ac- pour atteindre à son véritable g^est pas la salle des tetes, le cen Ce qui se passe a ?iUfnp*£îe^ainlfnrafiQuement à Fir- tualiser pour concrétiser la polit:- rayonnement et à sa valeur sociale ï^oriatioms ou le foyer tant at Bourges doit aller à Poitiers, et ce aPbw tfune mateSa que dont elle doit être le support, et pour Jouer son rôle vivant, une /^sociations. ou le foyer qui est à Villeurbanne se déplacer g£n£ouc IaP^a à uneTérita^ Ss^dÜS1 “u Cîi lapoh-l“ren5 UttSiiff ouï.U de l'endroit à; ^ Cç Rui cowmmnde au gfe^S>n de S culture r4Sbéè pL^a^driennm. ?^tocombait lefmotivkttSS^dh^tà ou Incons- - elle n'est pas le local rêvé par ^ comme VlUeur- aussi « hors-piogramme » à 'a nouvelle dbxctior de l'Action c:entes vers les tentations culturel- lés comédiens amateurs, les profes- J? ..eS; bien c’est là comme celle de Thonon (théâtre culturelïeV chargée dei'applîcat’on les et les rélévations fondamentales, seur« de cours du soir, les peintres jaj”® mSSÎSnmïtcst 1bien lancé municipal), comme toutes celles qui ï ce wS de prS fes et poiir crfauSliüèr les grands du dimanche ou les sociétés folklo- QJie le ^>mement est bien lancé dispositions archi- contours de -cet instrument teurs du théâtre ét du cinéma. Elle rlques, ni le conservatoire dont-on- etTquu, . ,;e: tecturales et leur esprit aux nor- ■ fondamenSTd'A éSocier Vimplan- doit contenir le plus grand nombre a-cruellement-besoin, ni même l’es- b implantation mes de l’action culturelle. Au préiv lancer les de thèmes attractifs et. par leur paeê culturel jumeau de l'espace culture est donc suboidoimee. une iable.îa première-pierre, de la mai- • jiiuSïïS» « leur interpénétra, vert sans lesquels les plans ddrba- [ois falW ta ^partition jéosraphi- son dc saint-Etienne, dont les do- ‘ a,,cc< m c^iidflnfp'mîe tion appeler à la découverte d'une niâmes ne seraient pas tout à fait que idéale des ~0 êtablmc^ients vls c»t ies plans ont été approu- ÀU£$i• fiéwUlSftMftv Que AitHKeûtinn miî ivuir lit cù ou’ils sont prevus pur • le plîin QUcidrionnûi. ki '\pn Dosée Celle d*'\nucns pouvait en «tire la définition, la mat- XÆlmiie Ue tout cela, et fa réalitl des. situations tacate pro- ves' aura' ^ C e!le AœMn8 (Voir suite* page. 0)

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6 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE FEVRIER 1963

^ ,:rj p ri r faire dont la responsabilité leur est éléments d’une critique valable, et Tous les mystères de la gestation confiée*, le cahier des chinées ii- j u s t il o t les éventuels aménage- sont offusqués par le premier cri • V-.. * . L L 8 :;a'ni expressément les conditions mon s, E ; st'j-t-il une autre, honnê­ dü nouveau né. qui seul compte dès V d'exercice de. céUe-H. teté que a-liê de sc ..‘décider à l’a­ son premier geste. Le conseil ‘(^Administration vance a»':; corrections- qui s'avére­ Lieu de rencontre, de confronta­ PRINCIPES - RÉALISATIONS - PROJETS (1962) exerce naturellement toutes les raient alors nécessaires ? tion, d’apports multiples, la maison prérogatives ordinaires, administre, Et maintenant, enfin, il s'agit de de la culture doit recueillir tous les (Suite de la page 5) Il apparaît en premier que, gère, arrête les programmes, et dé­ fonctionner. Car tout ce temps, ces avis du dehors et rassembler tous suivra immédiatement, puis, dans menus dans les villes les mieux pré­ signe !c directeur avec l’approba­ discours. c.cs exégèses doctrinales les élans du dedans. 3'année IDoT celles de Villeurbanne, parées, les principes moteurs doi­ tion de l’Etat et de la municipalité, ou juridiques, ces contacts inlassa­ Le responsable on fera le bilan, Vs de Marseille et de Rennes’, cepen­ vent être très soigneusement expli­ qui subventionnent à parité les blement répétés — la Direction de rassemblera les animateurs spé­ dant que Bourges, dont les travaux cités et acceptés par tous avant le déficits de gestion. l’Action Culturelle s’est multipliée cialisés : théâtre, musique, cinéma, viennent de commencer sera ache­ lancement de' 3'affaire. Combien L’Etat peut an surplus fournir aux quatre coins de France, accu­ arts plastiques, connaissance scien­ vée à la rentrée 63. sont coriaces en effet les équivo­ une certaine quantité de matériel mulant un nombre Insolite de mis­ tifique, littérature, etc., etc... et Nous serons dés lors dans un ca­ ques dans ce domaine, chacun ne technique (appareils audio-visuels sions — ces travaux d’architecte, fera belle la part des spécialités lendrier continu do démarrages de voyant facilement midi qu'à sa notamment — fonds de discothè­ ces commissions, ces débats finan­ locales, des domaines dans lesquels •- chantiers et d'inaugurations d’êta- porte, et l’arrière pensée demeu­ que ou de bibliothèque —) qui de­ ciers, eu mouvement, ce grand cou­ le centre ou la région peut s’en­ ’ Glissements, la Direction de l’Ac­ rant vivace qui se pourrait traduire meurent sa propriété, et dont il rant dessiné, cet espoir, oui cet orgueillir des meilleures possibilités tion culturelle, veillant au plein em­ par : « Faisons toujours — on contrôle l’utillsafcion espoir levé sinon partout encore, de production. 11 programmera ces V. ploi des crédits qui lui sont con­ verra ». Tel est le système arrêté, et son du moins tenace déjà dans les apports locaux, organisera.son pu­ sentis et se tenant prête à lancer, Car avec l’achèvement dc l’im- seul champ d'expérience actuel, Le futurs haut-lieux de l’action cultu­ blic, nouera les liens extérieurs in­ «en cas de défaillance des grands meuble, tout ne fera que commcn- Havre, autorise à avoir sur lui une relle, tout cet élan d’une politique dispensables aux échanges, sc mul­ ■V-.' projetx fondamentaux, les opéra- cer* opinion favorable. Il a reçu l'adhé­ neuve, tout cela n’a pas sa fin dans tipliera inlassablement pour assu­ lions secondaires prêtes au relai et C’est pourquoi il est apparu né- sion de tous les responsables muni­ un immeuble, une association, un rer le plein emploi du magnifique ; entretenues comme telles. cessa ire de situer l’affaire sur un cipaux pressentis, des animateurs cahier des charges, des statuts ou instrument dont il aura !a charge. Car, cependant que sont patiem- plan de coopération dans lequel l’E- désignés ou en puissance. L’expé­ des élections de notables, tout cela Tnent recherchés les lieux de meil- tat et la collectivité locale équli- rience seule pourra lui apporter les ne trouve de sens que dans la vie. (A suivre) r îetire implantation en fonction des brent mutuellement leurs apports • nécessités géographiques et des op- et leurs exigences. Une entreprise

■>< pbrtunités locales, le mouvement se qui ne procéderait que de l’Etat — développe en profondeur, et les can- comme un lycée ou une université ' «Matures se. multiplient, de façon’ -- n’aurait pas de sens en effet: aussi sympathique que désordon- c*le aurait une allure dg charte oc- anôe oncÿiie T. : ' née. au gré des intentions locales, troyée qui justifierait toute impu- a 3M * "üne liste de 33 villes d’importance tation de dirigisme trop facilement £ ‘ Jrës diverse : s’est ainsi établie, où formulée dans ce domaine. Inverse- sources sc confondent et s'intégrent t’hh trouve Angers. Chambéry, Va- ment, une entreprise qui-ne serait. dans les nouvelles cialises oui nais- • lenciennes, Nîmes, Longwy, aussi We mxrtciwlcHevm mal défendue S& îJien que Le Chambon-Feugerolles, contre les facilites d une utilisation_j\ vau ct du iabeiir, la. dévotion et la . Givry-en-Vexin. Meudon et Quincv- aberrante : Te bal du samedi soir s /oie enthousiaste dans lacomtruc- • sous-Senart. Ajaccio. Cayenne ou ■ .{f-le banquet, corporatif offrant J lion d'une vieille mois nouvelle Fort-de-France, Jeur perpétuelle sollicitation, pense- | patrie. Le rythme de1 cette cons- D ; Aucun de ces projets ne répond- Jfon 1 aisonnabiement que de nom- j truction est tellement impétueux i. actuellement à la constitution des breux conseils municipaux y pour- j qu’il accélère et concentre en quel- deux grillés établies — celle de l’im- raient résister . En outrant les.}. ques années ce qui d’ordinaire de- portance régionale et celle de la ™ots* disons qu’il faut neutraliser j mande des siècles: le développe- . réalité locale — ils sont d’intérêt 1 un PSf 1 autre les deux dangers . ment de l'agriculture, d'un non- inégal, mats ils sont suivis de près a.impérialisme et de démagogie. ! veau t,/pe de société basé sur la I et deviéndront réalisables sitôt' Aussi bien 1 engagement dune opé-î co-opération collective et une cul- qu’ils rempliront les conditions fon-' ration, maison de la culture se pré- } ture folklorique indigène. deuxLSSés tcs nouvelles danses sont plus ..-..«r tout cas limportançe de la re- l!'SU1: particulièrement le résultat des ■ vendication culturelle du pays, ce ~ 50es ü:ivest ss<îments et 50 -A: ^ é reçues depuis l'indépen- ;; - ■ i qui conduit a définir les perspecti- ««r «n ciSSat c&mÏÏi 1 dane« dc VËtal- 11 * m toutefois yes futures de la politique quelle coi d sur un contiat liés claiiement ' beaucoup de danses pittoresques f-V implique pour l’avenir. aeoawu. l’nYrlnép dp <; tout nremirrs H ne semble pas que le chiffre v A Ia JPîfni5lpi*lité pionniers en Palestine (avant et de vingt maisons de la culture de 50/* ’> plan ne pourra pas ne traiter que tonte, de leur effort, de leur con-. des danses triomphales accompa- mentionner toiit spécialement la Ihtre VOrient et VOcddcnt est en de.s situations les plus importantes, naissance du fonctionnement de la gnées de cymbales et de'tambours; secte dej Hassidim qui se répandit CQurs de développement dans le ïï. nflrfàiré en vint/fc maisons la maison. Ceux aussi qui represen-- après le passage de la Mer Rouge, parmi les Juifs d Europe Orientale domaine artistiaue carte de la décentralisation cultu- teat telle-oji telle catégo:rl£S5S“ La füle du juge Jephté dansant en \ Le même développement sc re- mmia fiers, ou tel coui&nt de 1 opinion, IhOTiiicuT de la victoivc de S07i. adoration fervente et extasiée par tmiive d/ïn^ in muyioup oui ciccom- <*■> Tp nrorhain aura donc à narache- ou telle tendance de l’esprit : une père — dansant vers son destin des chants et des danses joyeuses. n , danses Pu ce aui con- veT n^rM?ruSure réalfeée au ‘ assemblée de notables à préoccu- tragique. Le Roi David dansant de- et colorées. La plupart de leurs leme lâ instrument Israël en-est SursI ?dé^Tactuer Proirairime en pation culturelle. L’expérience mon- vant l'Arche de VAlliance, lors- danses ont un caractère d'extase L stade de Tevtériiîienta- k. Sïmnlltant l’imiîStSSS de tre que ce rassemblement est aisé qu'elle fut transportée de S hüo à religieux; Le « Sher » est une danse fon Sachant guele‘ *> ïnzn éiabliisememrdaiis îes ré- au titre de certaines évidences qui Jérusalem. nuptiale, connue des danseurs folk- "trop ^ >r.. où Na lîemtore tranche aura s’imposent dans ce domaine sans on a retrouvé dans la Bible et loriques. européens et américains. piexes Tels que piano accordéon :v Ité emolovée rdes onémfcions de aucune contestation, et aussi que le Talmud plus de 30 mots difjé- Les Juifs du Yçmen sont un au- l’aSipienf pas aS *™r>e!?p™wfe a aCS °pe at le terrain culturel est celui de lu- rents pour décrire des mouvements tre groupe particulièrement ama- méi0dies orientales Pon recherche de svstématiaue le nanimité la plus facile, où se cher- de danse bien qu'on ne soit pas leur de danses ; ayant vécu plu- ^autres moyens d'àr-compaoncr les 1* client parfois les dédouanements encore arrivé à déterminer leur sieurs siècles dans le royaume pn- 3aS ÆleT^0elawS k*P>V ^ Æ dP ^4Si^Mon «u les compromis. Que ceci ne se?is précis, n n'est pas possible de mitif arabe du Ycmcn, ils ont tous TYa f e et des Vïinïu eu s à î wiflf soit pas dénué d’arrière-pensée, reconstituer exactement les danses été ramenés en Israël, et sont pro- f et dcs ' a tlîm11ldv-nnortuni‘êsC e^de^réililAs qu’importe ? Nul n’a à sonder les Bibliques — comme on le peut pour bablement le groupe ethnique le P Recherches également dans 'es ■ ÏP- de la meif- iyeins et les CŒura* P°mVu ^ue les danses égyptiennes et grecques plus talentueux d'Israël, en ce qui ^s portent >.. %fS\e dS iSvStS l’acte d’engagement soit respecté. _ en raison du fait qu'il n’existe concerne le chant la danse, lart ^ des investis ir faut transcender les méfiances aucune peinture; gravure ou sculp- dramatique et l artisanat — orgen- * ^emente Réalises. f dans le mouvement, et précisément turc représentant des hommes ou terte, broderie, vannerie — dans un Cnmnrenne le' tendances %'ïbliQites balayer.les airière-pensées par l’ac- des femmes des temps Bibliques, style qui leur est propre et qui est modernes ° et oui s'adapte * au mentale Liyoi apte, il s agit fait tion. Les usagers de la maison de L'explication de celte lacune se naturellement 1res oriental. nmrnnp n’ois q v>-Vv- n* û* ditV- de cMstalbsev f“v la culture peuvent à tout moment trouve dans le Troisième Commun- Ce sont là les principales sources îiv co*tvmr iolk- eu a mesuie c.e leiu îealis.ttion ou ovni,, accès â l’association de ges- dément * «Tu ne te feras point de la renaissance, des danses folk- cite de «citer» r. fois. de tour évidence en tion à condition d’en justifier ia d'image'taillée ni aucune représen- loriques Juives en Israël, et il est ^cdal % les i-iw demande par l’intérêt de leur ap- tation...». La reconstitution des évident que ce nés t pas beaucoup. cd«;Ll • aux vito compilées moyens d,y trouver deux parrains, danses Bibliques est donc purement Les. danses Hassidiques qui exigent douee. es danse, j ■ • ^qi..s. correspondant- 1 importance de pj. d’étre acceptés par le Conseil une question d’imagination ne pou- de leurs exécutants une forme de Ce procréé de cieer e. ce u.pan- X ieui’ rayonnement possible. Cest d’Administration : ils y sont alors vaut nullement prétendre à l’au- transes, ne peuvent être utilisées dre de nouvelles afo.'.-•<•> ;o.;uori~ ainsi que devrait se modeler har- pommés pour 5 ans. la cessation theniicUé. • couramment, les danses Yéménites ques dans un orc; dcau yor.rratt momcusemeîiC et tic façm» réaliste de ieUr activité justificative entrai- Qu'advint-il des danses folklori- sont trop orientales pour le grand sembler peu. naturel, /pa cynrain- le visage culturel de la France de nant le non. renouvellement de leur ques après la perle de l’état et de public. Par conséquent., le ont a quant, meme deirsni ne < •••■. '/eux ■V a An 2.000. baii la patrie il v a 2000 ans? Disper- atteindre en matière ae avises, d autres nations qiy. p'v.s tvnineos Etat et municipalité sont natu­ Sés sur toute la terre pendant. 2 000 folkloriques en Israël, ne pouvait qu'lsrael. prëserci.'\n . leur midi- rellement membres de droit du ans les Juifs conserveront néan- être, comme pour les autres peu- tion folklorique imjaerromipKe au r t conseil d’Administratlon, mais le moins l'héritage spirituel, mais les pies, un simple renouveau des an- cours c.ps siècles. Mais israel net Comment, dès lors, à partir du traditions folkloriques qui ne peu* ciem motifs folkloriques, mais la pas le choix. L ne pi ■ ! c.(tendre choix d’une ville réunissant les con­ total de leurs sièges n’y a pas ma­ vent être séparées de la Terre ou création de nouveaux théines. Cette des centaines a années le >ent' dé- dition? favorables; so réalise maté­ jorité. Ainsi les individus qui com­ posent le conseil peuvent-ils se sen­ dit Peuple furent perdues. Sous Vin* création est en plein essor. Des élé- veïoppetnçnt des arts job:toriques, r riellement l’opération Maison de la fluence des nations qui avaient ac- ments provenant de toutes ces il en a dès a présent besoin. v Culture ? tir plus libres, plus maîtres de l’af- > !

FEVRIER 1963 CONFEDERATION AAUSICALE DE FRANCE

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i M an i f e §tati on s p robab les i ■ i 1 DATES LOCALITES ET DEPARTEMENTS G EN R E S'ADRESSER

21 avril 1JWS I Lyon -i Rhône i Festival de Musique- à l’occasion du 25- Anniversaire de l’Union Chorale et M. Veltard, président. 53. boulevard des Etats-Unis. Artistîque des Etats-Unis 18- arr.». Lyon-VIII . 4, 5 mai 1363 McVlebach (Moselle) Concours International d’Aecordéons pour sociétés, duos, trios, quanett et M. Albert Reppert, 43. rue des Frères. Merlebach individuel. (Moselle). 0 mai 19: Pi ch éy-Mé rl en ac (Gironde) Festival de batteries et batteries-fanfares organisé par la Batterie-Fanfare << Quand- même ». ■ :< M. Guy Mathieu, à Pichly-Mdrignac (Gironde). Beguey-Cadillac Gironde) Un concours national ouvert aux batteries et batteries-fanfares aura lieu en 1963. à Béguey-Cadillac. Tous renseignements concernant cette manifestation seront donnés ultérieurement. mal 1963 Colmar (Haut-Rliln) Concours International, Sociétés Chorales. M. Pflimlin. l. rue Col du Linge. Mulhouse 'Hi.-R.). ' 5 mai 19(53 Meslay-du-Maine (Mayenne) Concours International de Musique. Toutes Sociétés Fédérées. S'adresser au Comité des Fêtes de Meslay-du-Maine. ô mal Nontron -Dordogne» Festival Régional organisé par l’Harmonie de Nontron. M. Duquesne, maire de Nontron (Dordogne). 9- mai 1363 Mulhouse (Haut-Rhin) 15-“ Concours scolaire du Haut-Rhin. M. R. Pflimlln, 1-, rue Col du Litigp, Mulhouse. 9 moi 1563 Strasbourg (Bas-Rhin) 16" Concours scolaire du Bas-Rhin. ■ ■•( 1 ■ M. Nussbaum. 5. rue Julien-César. Strasbourg. . 12 mai 1963 Tassln-la-Demi-Lune (Rhône» Festival départemental, du Rhône. M. Bernard. 3. av. Général-Leclerc, Tassin-la-Deml- ■ 12 mai 1563 Clief-Boutonne (Deux-Sèvres) Festival. Lune. •i M. Gontier. président de l'Union Philharmonique. Chef-Boutonne. ;; i 19 mal 1SS3 i Confia ns-J a ray (Meurthe-et-Moselle) Concours de Musique Fédéral. •M. P. Farcy, 25, rue Ch.-Gounod. Jarny ( M.-et-M.). 19 n»ai 1553 | Elbeuf (Seine-Marittmc) Fête commémorant le Centenaire de la Société Chorale Mixte. M. Pierre Deliens. president de la chorale mixte d'Elbcuf (S.-M.). 19 mai 1963 ! Saverne (Bas-Rhin) Concours international de chant. M. Georges Adam", 63. rue de Monswillcr. Sa verne. 23- mal .(Ascension » j Bourgoin (Isère) Festival Juniors de l’Isère. f 25 mai 1963 I Lyon i Rhône) Examens de division supérieure de . solfège et d'instruments de la Fédération du M. Robert. 3. rue de l'Angile. Conservatoire de Sud-Est. Lyon (Rhône). 22 et 26 mai 1963 Luxembourg (Grand-Duchc) Concours International de chant et de musique. M, Schœntgen, 46. avenue Pasteur. Luxembourg 26 mal 1963 Collonges (Rhône) Festival des cantons de Limoncst et de Neuvllle-sur-Saône. Centenaire de la (Grand-Duchc). Fanfare de Collonges. 2È mal 1953 Jujurleux (Ain) Fostival de la Fédération des bords de l'Ain. M. Mallet, president. 133, rue Vauban à Lyon-vi--. 36 mai I9CC Livarot (Calvadosl Concours International. Toutes Sociétés fédérées. Mairie de Livarot (Calvados). Service Concours. 26 mai 1563 St-Maixent-rEcole 'Deux-Sèvres) Festiva-l régional, congrès fédéral. M. Guérin Marcel, 25, rue Vauclair, St-Maixcnt- l’Ecole. SI mai. 1933 Sa in t-Maixeu t-lTEcoIe (Deux-Sèvres) Festival et congrès de la Fédération de l'Ouest. M. Grouanne. rue de la Poste. Parthenay (Deux - Sèvres). | 26 niai 1963 St-Rambert-sur-Loire (Loire) Festival de musique. Congres de la Fédération Musicale Loire et Haute-Loire. M. André Chanut. 4. place de- la Republique. St- Rambert-sur-Eoire (Loire). ' le* et 2 Juin 1963 ' Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) Concours International de musique. Congrès de la F.M.B.A. Mairie de.Saint-Nazaire (Lolre-Atlantlque). Ut et 2 .Juin 1.933 Montpellier (Hérault) Concours de marches et festival de musique. M. J. Barascud, vite St-Roch-Bloc. 7, chemin des y 7 Camps, Montpellier. Ht. 2 et 3 juin 1363 Aix-les-Bains (Savoie) Concours International de musique. Assemblée- générale et Festival des Sociétés Ecrire à ■ M. le direoteur de l'Ecole de musique, à Musicales, de Savoie. AixMes-Balns (S.avoie). | 2 juin Salnt-Dié i Vosges)' Cinquantenaire de l'Harmonie municipale - Festival. M-Albert Vogt, chef; rue du Kesnberg. X 3 Juin. 195.; Corny-sur-Moselle (Moselle) Festival de musique: M. Goret, maire de Corny-sur-Mosclle. 1 J 8*9 juin I9S3 Haubourdin (Nord) 50" Congrès et fête fédérale. » juin 1353 Confolens (Charente) Concoure national. M. Laplagne. président, a Confolens. ■ >■ 9 juin 1953 Chaponost (Rhône) Festival' du canton- de Salnt-Genis-Laval. MT Abraham, à Saint-Gcnis-Lavnl. ; 9 juin. 1363 Bourg-de-Thizy (Rhône) . i Festival du groupement Rhino et Trambouze. . i ’ ^ Juin 1953 Evian -Haute-Savoie) Festival des musiques du Chablais pour le 25c anniversaire do la Fédération. M. Passaquin, chemin du Salèvc. Tlionon-les-Balns 'Haute-Savoie). » f —Souîi2 (Haut-Rhin) 100" Anniversaire Chorale Harmonie et Assemblée générale de l’Association. M. le président de la Chorale Harmonie de Soultz. - ( 1 ! s in? «Annecy (Haute-Savoie) . 125" anniversaire de l’Harmonie Municipale. 8 juin 1SS3 S Vlerzon (Chôteau de la Loire) Concours international. M. L. Avon. 6, 8. 10. rue du Ch&teau. Vierzon. 9 juin 1953 ■ Vitteaux (Côte-d’Or) Fête fédérale. M: le maire de Vitteaux (Côte-d'Or). > ft juin 1563 Vallières-les-Metz (Moselle) ' Festival de musique. M. Plcsvaux. président.. • 9 juin 1953 Guenange (Moselle) Festival de musique. M. Prevctr, E.C.F.P., à Guenangc. > 16 juin 1963 Montluel' (Ain) Centenaire de l'Harmonie de Montluel et festival des cantons deiMontluel-Mexlmleux. M. Pellat. président, à Montluel (Ain). » 16 juin 1953 Dieppe (.Seine-Maritime) Concours de musique. Toutes sociétés fédérées. M. Delahaye. 23. rue Lombarderic, Dieppe. . 16 juin 1963 Ohauffailîes (Saônc-et-LOire) Concours national des sociétés fédérées. M. Marchand, secrétaire du concours. Tél. : 55. i Chaulïnllles. » 1£ juin 1953 La PacaudJère (Loire) Festival Fédération du Roannais. M. le président de la Société musicale de La Pacau . dière ‘(Loire). 16 Juin 1963 Baint-Jean-d’Angely (Charente4Marit.) Festival pour toutes sociétés, harmonies, fanfares/ chorales, accordéons, batteries. M. René Guerinet. 3. place du Marché, à St-Jean- ' d'Angely. 23 juin 1963 C-hàtenu-la-VaUtère (Indre-et-Loire)- ■ Festival départemental: M. Si Dorlzon, 4. rue Grécourt. Tours. » 23 juin 1963 Cliarbonnières-les-Bains (Rhône) Festival de musique avec épreuves de classement. M. Reino Bruni, au Casino de Charbon nié res-les- , \ Bains (Rhône). > 23 juin. 1963 Anzin 'Nord) Carnaval. M. Ollivaux. secrétaire général, mairie d’Anzin (Nord). 29 et 30 juin 1963 A11 e va rd-les-*Ba i n s (Isère) Congrès fédéral du Sud-Est et festival des sociétés musicales de l’Isère et du Sud-Est. M. Nogl Revol. président A Allevard (Isère). 30 juin 1553 Valenciennes (Nord) Concours international- de musique. Mairie de Valenciennes (Nord). 30 juin 1963 Creutzwald 'Moselle) Festival de musique. M. Paul Bailly, 49. rue de la Houve, Creutzwald. 30 Juin 1953 Stlrlng-Wendci (Moselle) Festival de chant. M. Morelln, 122. Puits Ste-Sléphanic, Schceneck , Moselle). 30 juin 1953____ Moulins (Allier) Festival de musique à i’occaslon du Centenaire de '.'Harmonie municipale a La Lyre Secrétariat administratif de la «Lyre Moulluoise a. . f Moulinoise ». -Fêté fédérale de la Fédération. mairie de Moulins. 30 Juin 1963 Woippy (Moselle) Festival de musique. Fête des fraises. M. René Thiriet. 8. rue du Général-Glbon. Woippv. 30 Juin 1963 St-Juîien-Molln-Molette 'Loire) Festival de musique. M. Boblchon. St-Julicn-Mohu-Molette (Loire). î 1C.-G2 St-Aylayc-sur-Dronne (Dordogne) Festival de musique. M. le maire (mairie) de Salni-Aulaye-sur-Dronne i i Dordogne). n fii 7 ju.ï9G3 Neufchûteau (Vosges) Cinquantième anniversaire de l’Harmonie Municipale. M. Henri Flamerion. président de l'Haimonte Muni­ ( cipale de Neufchôteau. , 6 et 7 jîivilet Neufchàtcau (Vosges) Festival Fédéral de la F.M.V. et au pays de Jcanne-d’Arc - Rassemblement Artis­ M. Henri Flamerion, maire-adjoint - Mairie. tique de l’Est. l . -7 juillet 1953. Stenay (Meuse) Festival international de musique. M. Henri Braconnier, secrétaire-trésorier de la Lyre, 3. rue Maginot, à Stenay. ,7 juillet 1053 Fieu r y-le.vA u bra ! s (Loiret) Festival. M. Pagcgie. 260, rue des Mur lins, Orléans. 7 juillet 1553 La Rochc-sur-Foron (Huutc-Savoie) Fesuval des musiques du Fuuoigny. M. Mannecy. président à Bonneville (Hte-Savoic). *' juillet 1953 Bellcgardc. (AJn ) Assemblée générale et festival des musiques de l'Ain. 14 juillet 1553 Sa rreineming 'Moselle) Festival 4e «haut. M. Paul Lovang, rue de la Gare. 2» juillet 13-Î3 Villie-Morgon (Rhône) Festival des trois cantons : Bellevillo, Beaujcu. Montsols. > •î août 1563 Greutzwaid (Moselle-) Festival de chaut. M. P. Daniel, 14, rue c'e Wissçmbôurg. Crouuwjüû. •1 août i.563 Theizé (Rhône) Festival du groupement musical de l’AzoriîUcs et Assemblée générale. ■ i.803 Gi'Oiisbliederstrofï (Moiclle) Concours do chant fédéral. M. Jean Lehncrt. cité Aless. à CL'ossbLeôsu'Off. 3904 Dijon (Côte-d’Or) Concours et congrus d'été de la Ç.M.'P. M. Hans NageU*. Dr StreUergiisse 10 B à Bo.-Mtio Il et 12 sr.a. 1563 Mèrau (Sud-Tyrol) Corfcours International. (Sud-Tyrol). i- «r i

s CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE FEVRIER 1963

Dans nos Fédérations Régionales AISNE BOUCHES-DU-RHONE HSRSON Mais revenons à l'audition que nous Harmonie municipale. — Les musiciens no pouvons commenter on détail, ôtant xTHirson. et leur chef. M. E. LcsJcur. donné la longueur du programme. MARSEILLE présentant M. Blanc, président de la Harmonie des P.T.T. — Une fort sym­ ce semblent pas s’endormir sur leurs lau- Nous dlrpns simplement que les Jeunes Fédération des Bouchos-du-Rhônc ; M. pathique manifestation «"tait organisée eu jriers !... En effet, au cours d'un très bon ont déjà le souci de la perfection que A la salle Mazenod Gulmurd. secrétaire général du Comité centre : « Loisirs et Culture a des P.T.T.* Concert donne le 20 mai 1962. ils étaient montrent leurs aînés. Pourrait-il en être d’entreprise, ainsi que MM. Mossan, Ga- en l'honneur des Jeunes lauréats de* Juges »ii;rnes d’être classés en division autrement étant donné les professeurs Orchestre symphonique S.N.C.F. merre. Pignol, Galtler, Borclly, adminis­ concours de solfège et de musique de la. cupéneuro. par un Jury composé de per­ compétents et exigeant:: qui leur prodi­ trateurs et représentants des divers syn­ Fédération des sociétés musicales de* sonnalités compétentes de la musique. guent conseils et encouragements. Que ce de Marseille dicats. Mit. Verdonl, Pison, Pauleau. Bouches-du-Rhône. C'est ainsi qu'étaient soit dans les exécutions individuelles où chefs de service : M. Palermo. président récompensés de leur assiduité et de leur MM.- Armand!o, directeur honoraire du 1er concert de la saison 1962-1963 Conservatoire de Saint-Quentin : Cauvin. dans la remarquable formation de clari­ du Cercle et les représentants de diverses talent : Martine Chalençon (1er prix da tictuel directeur de ce. même conscrva- nettes présentée par M. Baiilct, où dans Sous la direction de son nouveau chef sociétés musicales. solfège cours supérieur et .2* prix de foire: Romby, directeur de l’Harmonie et ie petit orchestre de 17 jeunes élèves. Achille Santi, premier grand prix de vir­ Au cours de cette manifestation. M. Gi­ piano) ; Martine Cerf. Monique Dalduccl, I«!c l'Ecole de Musique du Nouvion. an violonistes. haubois. clarinettes. saxo. tuosité (piano) de la ville de Marseille, raud, reçut la médaille de 20 ans d’acti­ Christiane Deaachl, Elia Blacbier et Mar­ «len musicien à la O.irde Républicaine. trompettes.* flûte, piano, sans oublier les l’orchestre a donné son premier concert vité musicale et un objet-souvenir fut tine Sylvestre. et présidé par M. Alliot. président de la castagnettes et le tambour de basque qui de la saison. offert à M. Touache, chef de l’Harmonie Cette cérémonie était présidée pat fédération musicale de l’Aisne; accompagna avec quelle Justesse et quelle Ce concert réunissait des noms célè­ des Tramways. M. Chirossei, directeur des P.T.T., repré­ précision rythmique cette « Fête anda- bre- la Mimique française : Gounod. sentant M. Magniac, directeur régional, Puis au cours de la saison, liv? musi- tousc ». de a. Fapin, chantée à 2 voix cicns d’Hirson donnèrent plusieurs con­ Bruneau, Charpentier et aaonci-Muric -, Murmonie des Cheminots. — Comme président général du CX.C. et de l’A.s-. par tous les élèves de l’Ecole de musique. Weber et Boccherini complétaient heu­ chaque annee. l'Harmonie ses f*tt.. «m'entouraient to Longueville, certs trè- appréciés : après les vacances Ce morceau déehaina l’entousiasme du a célébré la fête de la Sainte-Cécile Je MM. Sauge, p.-c-Mcc,,-. i- e. v.-e. •. Dalicl. 4*m nouvel élan fût pris. reusement ce programme qui a été très oi la Fête de publie, qui réclama un bis, accordé avec apprécié du public qui n’a pas ménagé 25 novembre, à 10 h., dans la salle du directeur-adjoint; Corte et Dnrnauû, Baintc-Cccile vient d’être célébrée avec entrain et joie- par tous ccs artistes en Cercle dos Cheminots ; cette société musi­ ^lun éclat tout particulier. ses encouragements. herbe. Au pupitre. Achille Santi a dirigé avec cale offrit un apéritif-concert à tous les Association Musicale de Saint-Henri. En effet, le 2 décembre 3962. en l’E- Les parents qui s’étalent imposés le autorité, de façon trè*s vivante, donnant membres honoraires et amis de l’Harmo­ Cette société* a fêté son 120' p.cntversaire. (Elise Notre-Dame-de-Lourdes. les musi- sacrlflcc d’une sortie ou d’une réunion à chaque œuvre son juste style. nie. Dimanche matin, l'Harmonie, placée «ou» «lens donnèrent un premier concert qui familiale, trouvèrent, là. sans nul doute. Les commentaires étaient assurés, Après la remise des prix et récompenses lu baguette du chef Henri Maurel, s'est ■montra aux fidèles, que la valeur déjà leur plus belle récompense. comme d’usage, par Mlle El. Roubaud. aux élèves et aux musiciens, l’Harmonie produite dans un concert musical do fcien établie de celte société avait, encore Comme nous l'avons dit plus haut. Le programme comprenait, en première exécuta le programme suivant sous la haute tenue. A l'issue de cette manifesta­ progressé. l'Harmonie municipale se faisait enten- partie : l’Ouverture de « Mireille ». jouée, direction de M. Marcel Lobre : tion artistique, un apéritif d'honneur a. Oa fut dès l'exécution de la «Marche dre en deuxième partie. de façon vivante et bien nuancée : le 1) «Marche du sacre» 'le prophète), été offert aux invités et à leurs familles triomphale de Sigurd Jorsolfar». de Auparavant M. Dusol. président de la beau prélude de « l’Enfant-Roi », de Bru- de Meyerbccr ; 2) « Le domino noir » ainsi qu'aux personnalités de ce quar­ Ctricg, persuadés que nos musiciens et leur société, remit les récompenses décernées □eau, dont le thème large et chantant (ouverture). d'Auber; 3) «La fille de tier. chef avaient avec leur conscience habi- â MM. Troyaux, Dc.sson C.. Garnier G.. évoque les horizons flamboyants do Madame Angot » (fantaisie), de Lecoq- Au cours du banquet qui a suivi et au­ Uaeliê prépare soigneusement leur pro- Pomart, Bailly. Jouglet. Legrand, Boulan­ « Messidor », la «Suite Gaie », de Gabriel- Cornet (M. Courlial ; Bugle ; Chauvet) ; quel participaient de nombreux convives, £ran?me. ger G.. Dutnange, Médaille de bronze : Marie. 4» « Lcgende de Ja forêt viennoise» l'actif président Raymond Rosso a sou­ Cette marche fut triomphale a souhait, Mercier. Tarlet, Boulanger P., Desson A., A ce propos. M. Jean Gabriel-Ma rie, fils (valsé), de J. Strauss. ligné son plaisir de constater que la les timbres étaient Justes, la sonorité MédnUïe d’argent : Boulanger Paulus. Pil- du compositeur, a remercie l’O.S.M. et musique est toujours vivante dans cettd tèl-e. chaque musicien s’intégrant dans loy E.. Lagneau. Lacaille, Dcmilcamp, son chef d’avoir inscrit au programme La Musique Nationale tfes Douanes. — banlieue où s'est implanté© ia Société un ensemble parfaitement homogène. Poulain. Médaille d'or. une des meilleures pages de son père et La Musique Nationale des Douanes a fêté musicale de Sainte Cécile qui. sous l’im­ «■La Méditation », de .-Lucien Niverd. Lcs œuvres exécutées furent la suite d’avoir apporté tous leurs soins à sou avec un ôuccès éclatant la Sainte Cécile pulsion de ses membres, se confirme ainsi que «l'Adagio de la Sonate Pathé­ de « Sigurd Jorsllfar », de E. Grleg. L'as­ exécution qui fut très applaudie. Les so­ et le 20" anniversaire de sa reconstitu­ comme l'ambassadrice de l’art culturel. tique:'. de Beethoven./morceaux inter­ sistance put apprécier toute la délicatesse listes en étaient M. Poucel. hautbois : tion. La fête, placée sous la présidence Parmi les personnalités il convenait de prétés de façon particulièrement émou­ des nuances, et les timbres des petits bois M. Franco, clarinette ; M. Antsoff, violon- d’honneur du directeur général des citer : MM. Louis Ariotti, président d’hon­ vante- avec des nuances extrêmement sen- dans le prélude, tandis qu’elle- admirait solo. Douanes, débuta par une messe solennelle neur : Michel Richard, Maurice Saurcl, eibies. des pianissimo parfaits, furent les pianissimo des basses et contrebasses ; En deuxième partie, après la roman­ dite en l’église de Saint-Martin, rue Mi­ •Raymond Adaînt, anciens présidents ; Si­ «îcoutés par les fidèles dans un grand la richesse d’expression de* tout l’ensem­ tique ouverture « d’Euryanthc », de We­ rés. On y notait la présenoc de : Mme mon. représentant M. Blanc, président a-écueillemcnt : les chorales Cccîlla et Thc- ble dans la « Rêverie », de Borghcld. ber, on entendit Max Dchan. violoncel­ et M. Chapelet, directeur régional des de la Fédération musicale des Bouches- fffsia s’unirent à l orchcstre pour inter- Les autres pièces furent données avec liste. dans le « Concerto ». de Boccherini. Douanes ; Mme et M. Costesêque. direc­ du-Rhône. malade ; Henri Maurel, che-t jpicter. «La Marche Fédérale», de la F.S. le même éclat, et la même finesse, que il y fit preuve d’une belle sonorité et teur régional a Marseille-port ; Mme et de musique ; Michel Carvin, sous-chef de C.M.. écrite par M Lesieur du temps où lors de la messe de Saintc-Cécilet et nous d'une technique se Jouant des difficultés. M. Docq. receveur principal régional ; musique ; Amédée Sampère. .s te ré taire gé­ 41 était chef de musique militaire à Stras- ne reviendrons pas sur la qualité du tra­ Louons aussi son phrasé expressif et MM .Joui, directeur-adjoint : Brunet, ins­ néral et les représentants des société* terarg. pour les Sociétés Chorales d’Al­ vail accompli ; mais nas musiciens ont chantant dans le « Chaiit des Oiseaux ». pecteur principal divisionnaire : Bagutti, amies. sace. et qui fut primée dans un concours. fait leur, la devise de- leur chef « S’éle­ charmante pièce du compositeur catalan inspecteur principal, etc. M. Rosso souhaite la bienvenue à tous Cet œuvre pour chœurs et orchestre ver toujours ». et loin de penser qu’ils Joachim Nin. transcrite par Pablo Casais, Parmi les autres personnalités, on re­ les sociétaires et à leurs familles et les canne remarquablement, et la foule, à ont bien le droit de respirer un peu, ils qu'il Joua en bis. « Napoli » (des « Impres­ marquait : MM. Marchand, délégué dé­ remercie d’être présents en aussi grand ia sortie ne cacha pas son enthousiasme puisent dans leurs succès la volonté de sions d'Italie»), de G. Charpentier, ter­ partemental des Services sociaux du mi­ nombre. Il décore un certain nombre do tant pour l’œuvro que pour l’exécution •continuer et de faire mieux, toujours minait le concert de façon colorée. Max nistère des finances ; G. Rambert, direc­ musiciens fidèles de la distinction honori­ tjut en fut donnée. mieux. Bravo à cette très belle société, et Dehan en était le soliste : il eut un vif teur de l’école de commerce ; M* Cassan. fique* qu’ils ont largement méritée. Enfin, en sortie de messe. l’Harmonie merci pour les heures magnifiques qu’elle succès aux côtés d’Achille Santi, anima­ représentant M. Blanc, président de la Ainsi, sous les applaudissements conti­ interpréta' « Evohé ! Cortège antique », de nous offre. teur de cette brillante manifestation toute Fédération des sociétés musicales des nus, la médaille des musiciens a été dé­ G. Razigade. qui termina triomphalement à l’honneur de l'orchestre symphonique Bouchcs-du-Rhônc. cernée à : MM. Rillero. Eugène Prix, Gas­ cette manifestation religieuse e: musicale S.N.C.F. de Marseille. Pendant la messe, sous la direction de ton Saccomao. Raymond Adatnt. «■e Sainte-Cécile. On notait parmi l’auditoire, la présence son chef M. F. Martin, inspecteur central. La soirée s’est terminée dans une at­ sou-' passerons sous silence les agapes des personnalités de la S. N. C. F. : l’Harmonie exécuta un programme de mosphère des plus sympathique. 4-raditionnelles qui réunirent les musiciens M. Steln. directeur de la région Méditer­ choix. La musique regagna en défilant la «près qu’une délégation se soit rendue ranée ; M. Guln, ingénieur en chef ; caserne de Strasbourg, où un apéritif- Lyre Mutualiste do Bcnneveine. -— xiu cimetière pour déposer une gerbe de M. Bcurdcley, Ingénieur, chef du Service concert fut offert aux personnalités. Dans une ambiance très amicale et cha- Heurs sur la tombe du regretté A. Ber- S.A.R.L. GERMAIN social ; ATM. Vidal et Dhrlng. ingénieurs M. Dubuisson, président de la Commis- leureuse, cette société fort ancienne a (grand, disparu au cours de l’aDnée. honoraires ; M. Jaunav, inspecteur prin­ sion administrative, adressa ses remer- célébré sa fête de Sainte-Cécile avec la Apres le repos, les membres de l'har­ cipal, chef de la gare de Marseille Saint- ciements aux personnes présentes avant programme suivant : monie concrétisèrent les liens qui les unls- 156, rue du Faubourg St-Martin Charles. ainsi que divers fonctionnaires de retracer la reconstitution de la musi- Messe en musique, des œuvres ont été c-jxrt à leur chef, en lui offrant un su- PARIS-10* Téléph. Nord 20.29 supérieurs ; Mlle Colle. Mme Giraud- que et rappeler que la première sortie écoutées, entre autre- une prière de M. H. . perbe, radeau, que ce’ui-ci accepta avec 8antl, professeurs de piano. M* Cassan. officielle était due à M. Gaston Rambert. Blanc. . i: «ne rive émotion et dont U remercia à avocat, représentait M. Blanc, président M. Chapelet procéda ensuite à la remise a 11 h., au siège, eut lieu un apéritif- •• l’issuo de la répétition suivante, dans Spécialités de CHEMISES de la Fédération des Sociétés musicales de la médaille d’honneur des sociétés concert sous la direction de H. Blanc Aine petite réunion familiale. ' des Bouches-du-Rhône. musicales à MM. Augé, C. Qucsse et J. et A. Baromei, dont le programme était 9 Puis ce fut le 16 décembre, l’audition Legail.. « Chlquita », marche - espagnole de Aa- Casson décora de la dricu : o Poète et -paysan ». ouverture de •d'un • concert de l’Harmonie .municipale. société a fêté Sainte Cécile avec un pro­ médaille confédérale : MM. F. Martin, Suppé (soliste Coulomb) ; - • Pierre et Dès 15 heures, la foule remplissait la gramme de haute valeur. G. Vagnol, J. Fcrro, A. Théveneau. J. Ma- Pierrette ». polka pour 2 trompettes, de (Salle - de l’Eden. où beaucoup de personnes NYLON - POPELINE M. Musso, président, membre du C.A. Joriel, P. Maunier et A. Dubuisson, avant A.-S. Petit (solistes O. Chamoux et J. Gl- ce trouvèrent plus de places assises. de la Fédération, se dévoue toujours pour d’épingler l’agrafe argentée à: MM. P. raud) ; « Valse-de-l’empereur », valse de maintenir le niveau des musiciens. Quant 31 est vrai qu’une centaine de places ET Stnapl, M. Vanchot, E. Allier, O. Vemet J. Strauss : «Pas -de quatre»,’ danse do •friaient déjà occupées par le petit monde à. François Estellon, inutile de rappeler et E. Dumont. Luz Meyer. tUs l'Ecole de musique,'qui regardais avec ses compétences de direction. M. Chapelet adressa ensuite ses félici- Un-banquet a clôturé- cette Journée & «:rrie 1rs plus grands se préparant à en- de PANTALONS de TOILE Une' mention - toute particulière à talions aux décorés et engloba dans son l’issue de laquelle -le président H. Blanc, on. .repré­ sions préparatoires (3*), élémentaire 'Û-) — A l’élévation : soanork . a Aux champs » sentant M. Lauga. directeur général- de et moyen (le*), auront lieu à l'échelon exécutée par la-battent: mjidcipale (di­ ia R.A.T.V.M., excusé ; M,,.BhimeJle. ïo- départemental. rection : R.' Laisandre). . I

FEVRIER Î963 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE

SAINT-MENOUX applaudissement nourris et prolonges, sut * montrer sa satisfaction très vive et unit Le £» décembre, la société musicale dans sos ovations la grande pianiste Gi- «l'Avenir», a fêté dignement Sainte Cé­ sole Kuhn, le maître Renie Alix, l’orches­ cile sa patronne. A cette occasion, elle tre de la 'Société des concerts nlvernais FRANCHE-COMTE El BELFORT donnait une audition à la grnnd*mèsae de et son chef, brillant et toujours trop 10 îi., sous la direction de M. Louis Bou- modeste. Georges Bardln. 11 serait anor­ Rcunion L . Jlèrément nombreux la grande et merveil­ un éclat particulier du fait que ‘cinq mu­ leuse pianiste française Gisèle Kuhn. siciens devaient recevoir la -médaille Egalement au programme figurait une AMBERT' d’honneur de 'a Confédération 'musicale surprise. En effet, la brillante artiste Dimanche 30 décembre,!. L,re U*r* *>.£“««.' AsBaad Tourne,, lactaire avait tenu â interpréter.une œuvre dont TROMPETTES V doue a fêté Sainte Cécile départemental pour le Fuy-derDôme, de elle est la dédicataire : le: concerto pour K piano et orchestre de René Alix. Fin mai; la Lyre Livradoise célébrait la Fédération Musicale du Centre,'quln- TROMBONES - Qui. ne connaît , le maître René AUIx, it- centenaire de sa fondation par un eombaft l’agréable mission d epingler sur SAXOPHONES compositeur et chef d’orchestre français, festival groupant à Ambêrt; 1 160 musï- la poitrine des récipiendaires l’insigne de directeur des chœurs de la R.T.F. Mal­ siens. Fin. décembre et pour clôre cette e-fs distinctions, qui viennent 'légitime- CORNETS gré ses absorbants travaux, le maître année mémorable, l’harmonie municipale mont récompenser de longues'années de avait tenu à venir lui-même diriger son a" fêté Sainte Cécile par une audition de fidélité et de dévouement, CORNETS-TROMPEmS • oeuvre el en faire ainsi la surprise au haute tenue en l’églisé Saint-Jean, au MM. Julien. Boutin, directeur do I har- BUGLES •• public. coure de la messe de 1D h, 30, suivant monie (50 ans d'activité ou de services . Mais, afin de ne rien oublier de cette une tradition d’un siècle. û la société; CORS D'HARMONIE soirée exceptionnelle, il convient de re­ La Lvre Livradoise Interpréta sous la Paul Charmaison (47 ans d activité) ; prendre l’ordre du programme. En pré- direction d’Albert Belin: «Prélude en Antoine Corse (41 ans d’activité); BASSES . face- au récita! que donnait Gisèle Kuhn, ut-dièse mineur» de S. Rachmanlnoff ; Antoine Morlet (42 ans d’activité); l’orchestre, place sou* la direction de «Messidor», entr’acte symphonique de Emile Chalus (38 ans d'activité). ALTOS sou chef estimé Georges Bardln. exécuta Bruneau ; « Sigurd Jorsaîfar ». de E. Au cours du service religieux célébré CORS ALTOS de façon magistrale la brillante mais dé­ Qrt0g, par M. l'abbé Poissonnier, curé de Dallet, licate et- difficile ouverture (le Rosslnl. a) Prélude ; la société musicale, sous La direction de « Guillaume Tell ». ainsi que l’admirable b» Marche Solennelle. M. J. Boutin, sous-chef. Interprétait brll- « Première symphonie ». de Beethoven, Au premier rang de la foule des fi- laminent dans la vieille nef romane «Le Travail précis, souplesse d’interprétation, dèles et amis de la Lyre, on notait la Défilé de l’école des Mousses». d’Armand b-'"' sonorités agréables font de cette forma­ présence de M. Robert LacroLx. maire, et Tournel. « une fantaisie sur le Tannhau- tion un orchestre de tout premier ordre. conseilier général d'Arnbert, de M. Wegl. *t-r ». de Richard Wagner. «L'intermezzo Tels furent d’ailleurs les avis du maître secrétaire-général adjoint de la Fédéra- de l’Arlésienne», de Bizet, «La Marche René Alix, après le concert, ainsi que Lion musicale du Centre. Lorraine», de Louis Ganne. I ceux d( M. Ch. Brown, directeur du Après cette audition, les musiciens et Après le défilé dans les rues étroites Conservatoire national de Bourges, pré­ la Jeune batterie des Pupilles tics Sapeurs- de Dallet. un banquet réunissait au siège sent dans la salie. Pompiers d'Arnbert défilèrent pour se de la société les musiciens, les dirigeants Après un court enlr'acte destiné i rendre au cimetière sur les tombes de3 et les nouveaux décorés, f « changer » le3 décors, Gisèle Kuhn s'ins­ anciens musiciens, puis à travers la ville ; Comme il est d’usage, au dessert, M. talla devant le. clavier. «La troisième •■'arrêtant pour une devant Mme Chevanet, président do la société, prit la ballade » et la célèbre * Polonaise en mi- Bonnet, présidente de la Lyre, entrée parole, se félicita des progrès de la so- misrss bémol ù composaient une sorte de canti­ dc-pu’.s peu dans sa quatre-vingt dix-neu- eiété et adressa ses félicitations à M. Ju- que â Chopin dans lequel l’adorable inter­ viéme année üên Boutin, directeur de la société, aux ONT DONNÉ LEUR PRÉFÉRENCE prète communia avec amour, tour «i. tour A h h. dans les salons de l'hôtel de la nouveaux décorés, ainsi qu’à tous les mu- caressante, puis exigeante pour attein­ Dore, la Lyre Livradoise recevait ses in- siciens et animateurs de la société, * dre- une- extraordinaire plénitude dans les vités au banquet traditionnel. Autour de La parole fut ensuite donnée à M. Ar­ sentiments (G. Fonlupt, du Journal du ia table d’honneur, présidée par M. La- mand Tournel. qui. dans une courte allo- Centre/. Mais ce récital changeait brus­ rrolx, ni a ire d’Ambert. on remarquait ; cution, dira qu’il est venu apporter Tami- quement d'aspect avec deux pièces de M. Wcgl. secrétaire général-adjoint de la tié, la sympathie et le salut de la Fédéra- CI. Debussy «Reflets dans l’eau» et Pédération musclalc du Centre ; M. le tien musicale du Centre. Il adressa ses « Feux d'artifice b et dans l’une comme lieutenant G:ron. commandant la gen- îéücitations aux nouveaux décorés et lour dans l’autre. Gisèle Kuhn en restitua darmerie ; M. Paul Troubat, directeur du souhaita de porter- encore longtemps le toutes le* subtilités tout en profitant de Conservatoire et de l'Harmonie de. Mont- ruban à leur boutonnière. Il adressa éga- l’occasion pour faire admirer. remar­ luçon : M. Albert Belin. directeur de la lemcat ses compliments aux musiciens et quables qualités de précision et Je musi­ Lyre Livradoise ; M. Marcel Charlotte. k leur chef, M. J. Boutin, pour avoir calité pleine de «on charme et de son sous-chef: M. Pierre Celeyron, président en si peu de-temps reconstitue la société i Immense délicatesse. du Conseil, des directeurs de la Cuisse muslcalt*. $, RUE DE MAHCY, PARIS 10’ - TEL.: NORD 77-85 Le programme r.e terminait donc sur le d’Epargne d’Ambert ; Mme et M. Louis Et pour clôre cette sympathique mani­ «concerto* pour piano et orchestre de ée Vlllard ; M. Chabridou, directeur-de festaüon un toast fut porté à la santé ! René-Alix, œuvre dans laquelle tous les l’harmonie d’Huriel ; MM. Pireyre. Oran- de tou.; les musiciens, do • leur famille DEPUIS 1803 exécutants, même le* plus obscurs ont un gier. Bazeîle, M. 1s capitaine Monnet, des et à la prospérité de la, musique de Dal- *t6îe important et une partition très in­ papeurs-pompiers ; MM. Chouvirt, Sau- ÎCt. La fête se prolongea'fort tardivement I_.Spécialiste des Instruments de cuivre* : grate: Devant l'interprétation, splendide vade, "Mathion. Viaîarü conseillers muni- et Joyeusement par un bal donné à la qui en fut donnée. J’aesiAtaoce, par ses cipaux ; M. Chénier, M. Miolaae; prett-' salle des fétos.

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10 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE FEVRIER 1963

£ .** SAINT-ETIENNE. L’Harmonie P.L.M. et de Sa-int-Eiienne et la Chorale les Amis Réunis ont digne­ LOIRE ET HAUTE-LOIREHAUTES-PYRENEES ment célébré de concert leur patronne. Une foule nombreuse assistait le- 9 dé­ cembre 1962 il 15 h. 30. en l’église Saint- Les belles sociétés tnrbaises vedettes de l'avani-guerrc, les opéras pré­ ROCHE-LA-MOLIERE le dimanche IG décembre, à l’hôtel de sentés. les opérettes, les soirées de music- France. Des allocutions furent pronon­ Louis. au récital de Sainte Cécile que « L'Éolienne » hall. la Coupe Pyrénéenne des Variétés. Comité régional de Musique de Firminy cées par MM. Terli, président de l'Harmo­ donnaient l’Harmonie P.L.M. et de Saint- nie : Faura. maire; Saby, président du Etienne (directeur M. J. Barrelon) et la 1! y avait foule ù la cathédrale de cette période faste où il fallait refuser Sous les auspices de la Fédération Mu- du monde, après avoir entassé, empilé sicale de la Loire et de la Haute-Loire, Comité régional, et M. Barrelon, direc­ Chorule les Amis Réunis (directeur M. C. Tarbes pour assister au magnifique con- teur do l’Harmonie. Touche). Plus de 100 exécutants, le Cevi. spirituel donné à l’occasion de la presque les spectateurs, obligés fort sou- le comité régional de Firmlnv a tenu vent pour satisfaire- le public d'organiser son assemblée générale annuelle à Ro- concours du ténor Pierre Touche, lauréat Sai:uo-Cé:-.ile. par la société û. plectre* une deuxième représentation qui se dé- che-la-Moiière. SAINT-GENEST-LERPT. des voix d’or 1962 ; aux orgues. Claude 4’EoIicnne. renforcée par 1rs talentueux Rabeyrin. complétaient coite excellente roulait dans les mêmes conditions d’en- cette assemblée annuelle, s’est derou- L'Union Musicale de Saint-Gcucst-Lcrpt violoncellistes M. B un eu et Mlle Abadie, distribution. avec la participation de leurs réputés thousiasme. lée à Roche - la - Molière, le 4 novembre a célébré la Sainte-Cécile le 25 novembre, Chanteurs. José Gavmcndiu. René Dancla Puis il parla de la période cruciale, de 1962, en présence de près do 60 délégués en il’égjlse de S.iint-Generi-Lorpi. Sous Successivement on entendit ; « Finlan- et Colette Clolue. la délicieuse soprano. la période creuse, celle des vaches mai- représentant les 25 sociétés musicales du la direction de son chef, M. Claude Tou­ dia », poème symphonique de J. Sibélius, V-» C fut un concert d’une perfection ra­ grès, celle qui la société et toutes les comité. che, elle interpréta « Evohé » de Rtizlgadc, par l’Harmonie ; « Prière du Rutli u, de rement atteinte et U* maître-Elle- Fado- sociétés d’ailleurs traversent actuelle- Au bureau, on notait la présence de puis la «Voix des Cloches», de Luiglni. Doret. par la Chorale; «Ave Maria», de vani. directeur de ï’Eolionno. peut être ment où. sans moyens financiers, sans m. Saby. président du comité ; M. Jean clarinettr.-solo M. j. Berger: l’« Ave Ma­ Claude. Touche, par la Chorale: «Noire fier d’avoir obtenu un tel résultat de membres honoraires. 11 faut faire lace. RulUèns, maire de Roche-ln-Mollèrc ; M. ria », de Claude Touche, saxo-alto solo. père» .de Claude Rabeyrin. par M. P. ■ ?o:i orchestre qui tout au long du pro­ l. montra la justesse des propos de l'ami Bregère, adjoint ; MM. Chaume rat, Corniî- M. Antoine Décos ; « Panls Angéltcus », Touche. : « La procession », de César gramme- détailla et interpréta avec une Saturnln qui dans un récent article con- -Ion. vice-présidents du comité : M C de C. Franck, trombone-solo. Al. Marcel Franck: «Sérénade», de A.-E. Tilt, pour mai 1 rire remarquable la pensée des sacré aux sociétés musicales, fait la dé- Tards*, secrétaire : M; Faure, trésorier ■ Dussauze et enfin la «Marche de l’Ex­ flûte et cor. solistes flûte M. Delbarre ; * èrands triai très qui les avait inspirés. monstration que ces dernières étaient te- M. Faure Antoine, président o’c la com­ position ». de Rassigade. cor M. Durand, par l'Harmonie; «Panis . Que ce soit dans la partie de chaut ou ités par quelques très vieux piliers dont mission artistique ; MM Rnpntel présl- A la .'•ortie de la messe, après un court Angelicus ». de C. Franck, par Aï. Chap- dan.; l'accompagnement, toujours dilli- la disparition provoquerait l’effondre- dent de l’Avenir de Firmlnv ; m' Walc- défilé, le-i musiciens et leurs invités so pard : « Symphonie* nn 2», premier mou­ î ôile, îc.s exécutants atteignirent lu per- ment et la disparition d’un édifice cons- let. président de in Chorale mixte de rendirent ù lu salle des répétitions où vement. de Borodine, par l'Harmonie ; feeiion tr- méritèrent largement les témoi­ truit par des dizaines, parfois des cen- TOndaine. fut servi un vin d’honneur. Autour du « O Salutaris». de Lefc'ourc-Weiy. par gnages de saîisîactlon qui leur furent t.iîiies d’années de peine et de travail. Depuis 1949. année du congrès national président Jean Chappa. on notait la pré­ AI. Viol : « Hymne â la nuit ». de Rameau, pro'-.gu^i à i;i sortie. mais dont Pâme avait disparu. ! de la C..M.F. et du con g ré-s de H F ML sence de M. Thoumêux, maire : Al. le par la Chorale : a Hymne ù l'art», de Dar»t> î’« Aridahtf a de. Mozart. l’Ef**- Lt c’est là qu’il fit ressortir le rôle j H.L. Roehe-la-Molièrc. n’avait n«« en curé Uûblne: ; AI. Danger, président î 10— Wagner, par la chorale: c.A'J Eegui-. — S. îienhe fît Ja deiaonsiri-.tion ae cette hav- do l’amitié qui dnn/i une aocietc uius'.cam ; l’honneur et le plaisir ], cor.cerf, qui fait honneur à tous ceux Beethoven, fondante de la .symphonie qui en furent les artisans et prendra- comme Elle Padovani, revivre plus gran- demande d'observer une* minute de si- dement que Jamais et retrouver sa vitalité lence en leur mémoire, FIRMINY. « La surprise >■ de Haydn, apporta une dat- à la cathédrale parmi les plus bril­ et sa splendeur passées. M; C. Tardy, secrétaire*, donne lecture note de recueillement. Puis la pièce en las:-. qui furent donnés dans cet édifice L’Hannonio et lia Cliorale Mixte de trio pour trombones de « Gossec ». permit rei.ifritux. M. Padovani lui .succéda et tin; à sou- du P. V. do la dernière assemblée q»it est l’Ondaine ont fêté avec éclat Sainto-Cé- ligner le plaisir extrême oue le concert approuvé à l’unanimité, de mettre en valeur les ressources de cet Ceuç première partie du programme clle. • instrument, dont les solistes MM. Cornet. terminée dans une euphorie générale, il du matin lui avait procuré. M. M. Fauve donne lecture du bilan Les deux sociétés sœurs so sont réunies <: J’ai eu aujourd’hui une des plus pures financier qui est également approuve à Ferrières et Vinntc en donnèrent une belle à’er fallait pas davantage pour permet­ le 2 décembre, en l'église d? Saiut-Firniin. interprétation. Egalement bonne exécu­ tre i l’animateur, de la société. Pierre joies que la carrière de musicien m’ait l’unanimité ; des félicitations sont adres- ù Firminy, pour assurer la partie musi­ % données et Je vous en remercie. Vous êtes sét-s au trésorier. tion de « La pavane », de Fauré. Lacoste, de s'extérioriser, ce qu’il fit en cale de la messe. Un accompagnement discret met. en brossaùi une rétrospective- saisissante de pour moi des amis dévoués, des amis C’est ensuite le rapport moral qui fait sur qui je sais pouvoir compter et si ressortir l’activité dû* comité pour l’hn- Sous la baguette de leur chef, M. Claude valeur le soliste M. Dumontez. La « Mar­ ■la -ie de la société au cours des trente Touche, musiciens et choristes interpré­ che du Tannhauscr ». de Wagner, donna èsncècs. passées. depuis sept ans Je suis resté parmi vous, née 1962. Sept sociétés ont participé à c’est tout d’abord pour cela, mais aussi un concours de musique, tèrent avec brio le programme suivant : enfin un éclat particulier à la sortie de ïj remercia tout d’abord le président l’oiïice au cours duquel M. le cuvé tint ;;S: d’henneur. Al. lt docteur Christian Nae- parce que vous êtes d’excellents musl- La parole est donnée ù M. Antoine Entrée harmonie « Evohé » cortège an­ oiens. Faure, president de la Commission nrtis- tique. de Razigade ; « Chorale ». « Kyrie ». û exprimer ses remerciements à l’Harmo­ geif.-î. de l’amabilité qu’il avait eue de nie de Roanne. • répondra si gentiment à son invitation « Soyez ..ssurés que je serai toujours tique, qai donne* des renseignements sur « Sanctua », Bonedictus », Agnus Del », de et excusa Je président Henri Andreu. que avec vous ôt qU'ensemble nous ferons de les examens fédéraux, qui se sont dérou- Claude Touche : Harmonie «La Colombe», Avant cette audition les musiciens l‘ ’ ■ K or. état de santé avait empêché de se grandes choses, ayant l’intention de mon- lés, cette année; à Firminy, il regrette de Gounod ; « Marche Pontificale ». de avaieut déposé une gerbe de fleurs au Joindre â se.-;, camarades, de même que ter avec votre* concours un très grand que toutes les sociétés ne présentent pas Gounod, et dont le summum fut la re­ pied du monument aux morts de la le vice-président Pierre Rouzil, obligé . orchestre symphonique dont vous serez d’élèves et souhaite que 'pour l'an pro- marquable interprétation de l’« Ave Ma­ commune de Riorges où avait Heu la d'être absent de Tarbes pour répondre l’âme et auquel Je convie également tous chaih le nombre des élèves soit plus nom- ria » de Claude Touche, par l’Harmonie cérémonie. A l'issue de cette dernière. ~ï . S. obligations professionnelles. les mandoMnlstes épris de belle musique breux. Les examens cours élémentaires et la Chorale, sous- la baguette de l’au­ MM. Franck et Reboul, adjoints au maire • 21 excusa également, tout en regrettant et de franohe camaraderie. auront lieu dans la deuxième quinzaine teur ; trompette-solo. M. C. Fournier. de Riorges ; Chanard. adjoint au maire particulièrement son absence, M. Duber- «j’espère qu’ensemble nous permet- de mal 1963. M. Faure procède ensuite Dans l’assistance, on relevait la pré­ de Roanne : Colombat, conseiller muni­ net. président de la Alandolinatn, qu’un trons à- la ville de Tarbes de rester un des à la remise des diplômes aux lauréats de sence' de MM. Claudius Petit, maire : cipal ; Labouret. président du Groupe­ déplacement Imprévisible avait mis dans grands fiefs de la musique dans la ré- ces examens. M. Saby souhaiterait que Achard. Colombet, adjoints : Bergeron et ment Roannais : Marius Dumas, vice-pré­ l’Ire possibilité de répondre à l'invitation gion du Sud-Ouest. » l’on présente des élèves pour les cours Digonnet. adjoints au maire de Fraises : sident. trésorier de la Fédération de3 que l’Ebiienne lui avait adressée. Le docteur Nacgclcn. président d’hon- moyens et supérieurs et signale que qua- Saby. président du comité régional : Ohar- sociétés musicales de la Loire et Haute- ’ ÏJ remercia ii< nouveau tous ceux qui. neur do rFollenne, prit le* dernier la pa- tre candidats de la Fédération se sont reyras et Watelct, présidents des deux Loire : Mulot, directeur de la Fanfare de à des titres divers, font la renommée de rôle et dans une allocution d?une haute présentés au concours d’excellonco le mois sociétés. Saint-Andrc-d’Apchon : Ronzler, président valeur littéraire se déclara tout d’abord dernier à Paris. Le président donne un de l’harmonie : Bouttet et Lavoiset, vice- l'EoJiennr. à Dancla. à Colette Clolue, à Après la cérémonie religieuse. les mu­ Garmendlu. nouveau venu dans ce oylo enchanté d'avoir été convié a ce rendez- compte rendu du. congrès de Paris» il in- présidents ; les musiciens et leurs diri­ vous do l’amitié. slste pour que* les sociétés envoient des siciens se retrouvèrent à leur local pour geants se rendi:*ent à l’hôtel de l’Ancre. d’amis, à- Mme Guïnle, à Aime Coatalcm. tenir une assemblée générale. A 12 h., renouvelant au docteur Naegelen l’ami­ « J'aime les gens simples et depuis que candidats aux stages nationaux de per- A la table, d’honneur avait pris place |Je vous connais* J’ai apprécié grande- fectlonnement et demandé que chaque musiciens et choristes se retrouvèrent au autour utt président Ronzier. M. Rtckard. cale déférence de tous les membres de Pertuiset pour le banquet traditionnel. l’Eoiicnne. ment cetic qualité, ce qui in'a fait vous société du comité fasse un geste pour le sous-préfet, et les personnalités -citées plus • Il donna également lecLure d'une lettre donner toute ma sympathie. Pour moi. local do la Confédération Musicale. Les M. W-atelet, en compagnie des vice-pré­ haut. adressée par le "président de la Confédé­ gnrs de l’Est de naissance et de cœur, dons seront centralisés par le comité. Le sidents. Aille Zaug et M. Frachon, presi- Le président Ronzier remercia les porson- ration Nationale des Sociétés Musicales, cette fête de votre patronne que nous président Invite également les sociétés à dent le-banquet de la chorale; Dans Ja nalltés présentes et eut une pensée pour auprès duquel M. Guilhahnenc, président honorons aujourd’hui me rappelle de glo* souscrire pour le Guide-Annuaire de la sal e voisine avaient pris place les mu- s0Ciétaircs ou leurs parents décédés au départemental., était intervenu afin de rieux souvenirs et un double anniversaire, CAEF. qui va être édité, siciens et leurs iivvntcs. Aux côtés de MM. ^ours de raimée. il excuse M* Dubreuil. -.-'P faire une démarche pour obtenir la sor­ car c’est en effet le 22 novembre 1918 La prochaine assemblée aura lieu â Charreyras. président de_ 1 Harmonie, se président d’honneur, retenu par la mala- tie des disques à la gloire de l'Eolienne. qu’une première fois les Allemands fu- Sainte-Sigolène (Haute-Loire), trouvaient les lnvl.es : AfM. Rouchon, vl- j.c pnîs il donna lecture d’une lettre du enregistrés par la firme Piithé-Marconi rent chassés de Strasbourg, comme c’est Elections statutaii'es du comité : Fu­ ce-président de la Fédération Musicale : commandant Laty. ancien directeur de la ét dans laquelle M. Ehrmann l’assurait ie 22 novembre 1944 que l’armée de Lattre rent* élus à l’unanimité: président: M. Mercier, ex-president de 1 Harmonie ; société qui, dans le style poétique et dé- de tout l appui qu'en cette circonstance de Tasslgny devait les en- déloger une e. Saby : vice-présidents, MM. Cornillori Touche. directeur ; Chapelon. vice-prési- licat aUY est ic sicn, se réjouit du choix il donnait â cette société, en .accord, avec deuxième fois. et Chaumarat; secrétaire, M. Tardy, ad- dent de l’Avenir Musical ; Bergeron. ad- de Mq A^ré Dechelette à la direction - 211. Mrnl'îhetti, directeur de l’orchestre « C’est pourquoi votre fête m’est dbu- joint. M. Moutard : trésorier. M. M. Joint au maire de Fraisses ; Bonnand, d ‘ soCiété et demande aux musiciens S plectre de la Radiodiffusion française bleraent chère* et si de 1940 à 1944 J’ai Faure ; adjoint. M. C. Preynat. vice-président ; Beyret. Consa tant Guil- ™ le sec0nder dans sa tâche, et compositeur de talent. pu apprécier la. valeur vocale et Instru- Président do la Commission artistique : laumond, de la direction de l’Ecole » J Lt" puis ce fut Thistorique de la st>- mentale de nos envahisseurs, sans pour \r. Antoine Faure : délégués à la Fédéra- de Alusique de l’Harmonie. Au cours de A leur tour prennent la parole^ ie vice- cieté; qui va compter trente années d’exis- cela jamais la savourer, je souhaite au- tion: MM. Rapatel. Chapelon, Watclet. l’après-mldl, MM. Claudius Petit, maire président Lavoisev. qui souhgne lc. re- tec:e, et cela afin de montrer aux Jeunes jourd’hui que sous lo signe de la musique Fournevron et Bathle. de Firnriny et Saby, vinrent se Joindre nouveau de l harmonie. MAL aouuew de îâ « nouvelle vague ». qui sont l'es- et de sa sainte patronne, une paix et Après avoir mis au point différentes aux invités. Des allocutions furent pro- Chanard et Rickard, présentèrent leurs noncées par MM. Charreyras, Claudius compliments aux musiciens et aux m ; • po;r de l’Eolienne, ce que peut l’amitié une réconciliation universelles permettent questions la séance est levée à 11- h. 45. mise au service de la musique. H fit dès à tous, les peuples de connaître enfin le Précédés de l’Harmonie des Mineurs, Petit, Rouchon, qui remit la médaille bres du bureau. Le mot de la ün fut au l'abord un pressant appel à. tous les man- bonheur, de-l’amitié, bonheur que me pro- les délégués se rendirent au monument d’honneur, des Sociétés Musicales et Cho- nouveau directeur qui do’inlstes qui seraient désireux de venir- cure aujourd’hui l’Eolienne. aux. morts où fut déposée une gerbe de raies à M. Mercier, ex-président de l’Har- volonté et i amitié^ sauront^^donner une éïorsir le.» rangs d’une, société au passé Pour terminer une si belle journée, il fleurs. nionie. Puis la. parole fut laissée aux Impulsion nouvelle et faire de 1 a glorieux et à qui l’avenir réserve de belles ne pouvait ne pas y avoir de chants et puis à la salle de l’Harmonie, la muni- chanteurs et chanteuses. de Roanne une grande et. belle soc promesses. de la musique et c’est pourquoi, Oarmen- clpallté offrait un vin d'honneur aux dé­ • ûi souligna les diificultés du. début où dia. René Dancla et Colette Clolue chan- légués et aux musiciens. Au cours de cette l'Eolienne. partie de rien, arriva i\ force tètent, tour à tour les plus beaux mor- réception, M. Saby tint à remercier Al. de ténacité à vivre d’abord, i s'imposer ceaux. de leur répertoire, tandis que Con- ie maire, M. Bregère. adjoint et M; J; ensuite. Il parla de sa période de gloire, rad Garcia et sa fille Bilan©, en solo Faure, secrétaire général de mairie,- d’a- dé ses premiers concours, des ses trans­ et en duo, donnèrent une démonstration voir bien- voulu honorer de* leur présence cendants succès, fit revivre l’époque des éclat-ante de* leur technique et de leur les travaux de cette réunion. Il tint à rem- premiers concerts avec les plus grandes valeur d'instrumentistes. dre un vibrant hommage à AT. le maire et à son- conseil municipal et les citer en exemple pour les efforts magnifiques , ■ " qu’ils font en faveur de- la musique popu­ « m*■ laire. «1 b i AT. le maire, dans une allocution pleine V. de bons sens, après avoir remercié les dirigeants de leur aimable invitation, INDRE-ET-LOIRE tint â assurer, ceux-ci de la sollicitude permanente- du conseil municipal a l’é­ TOURS suite distribuées et la soirée se termina gard de la musique populaire et leva son ' : dans l’ambiance de franche camaraderie verre à la prospérité de la musique-, â La Musique municipale de Tours qui ne cessa de régner au sein de la ses dirigeants et à ses membres. société. PARIS La musique municipale de Tours fê­ Par voitures particulières, les délégués tait. Je 25 décembre, dans les salons de Récompenses. Examens fédéraux : se rendirent au village de- Bécizlcux où ?- ! l’aérogare civile de l’ours, la tradition­ cours supérieur : 1er prix," médaille d’or un excellent repas fut servi aux 38 dé­ y . nelle fête de Sainte-Cécile. Plus de 150 G.M.. 4 Pottler Jean-Hugues ; 2. prix, mé­ légués présents. Vers 18 h. 30. les musi­ La seule Marque française ayant obtenu V convives accueillirent de nombreuses per­ daillé d’or P.M., Plchaureau Jacky. — ciens se séparèrent heureux d’avoir passé sonnalités parmi lesquelles MM. Jean Cours moyen : lro mention, Baztle Claude, une agréable Journée. les deux Premiers Prix pour Saxophones Alto et Ténor, < | Boyer, député-maire de Tours, président : Picbaureau Jacky, Butin Jean - Jacques, La Sainte-Cécile dans nos sociétés lors du dernier Concours International de LA HAYE (Hol- < V ' Berthault, conseiller municipal : M° Al- Fraichou Jacques ; Z'M mention. Blandin Y brespic. directeur du Conservatoire et Claude. LE CHAMBON.FEUGEROLLES. lande), et sept Hautes Récompenses pour : Mme : Ouchet, président de la Fédéra- Diplôme et médaille d’honneur des So­ *[r ition des Sociétés musicales d'Indre-et- ciétés Musicales et Chorales : M. Prloux Le 9 décembre. l’Harmonie Indépen­ CLARINETTES, FLUTES, PICCOLOS, HAUTBOIS. V. ' Loire ; le Capitaine Dairon. chef de la Paul. dante du Chambon-Fcugerollcs célébrait musique militaire de la KF région et- Mme. Diplôme et médaille d’honneur do la Sainte-Cécile on participant à l’office re­ Anches SCIENTIFIC * - K A l'issue du banquet,, les orateurs se Confédération Musicale de France (30 ans ligieux, en l’église Suint-Clément. Sous les meilleures, les plus durables plurent à reconnaître le travail fourni ü? service) : MM. Maurice Gautier et la direction de M. J. Barrelon, l’harmo­ pendant l’année écoulée, lequel fut ré­ Renc Legulllon. nie exécutait lè programme* musical sui­ ; r compensé au concours de Besancon : la Agrafe argentée de la Confédération vant : « Polonaise n" 4 ». de F. Chopin : r- société fut ‘ classée en excellence A. Ce Alusicale de France (40 ans de service) : « Impressions d’Italie », de G. Charpen­ v prix ascendant eut le résultat dr.i ef- AfM. Henri Depeau et Henri Lcguillon. tier ; «A la Fontaine», de Mozart: Ets S. M. L STRASSER-MARIGAUX ’r forf.s suivis des musiciens dirigés brillam­ Agrafe dorée de la Confédération Mu­ « Marche militaire », de F. Schubert. Le 144-146, boulevard de la Villette - PARIS-19* > , ment par leur chef Jean-Jacques Lesleur. sicale- de France i50 ans de service) : M. banquet traditionnel, présidé par M. Pé- De nombreuses récompenses. furent. en- Marcel Auguste. trus Faure, maire du Chambon, eut Heu

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Sfî-, y . r :Ü-i i FEVRIER 1963 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE 11

ivunion intime. KI. Le Prince rappela priées plus une marche avec l'Avaht- \ quelle fut l'action prof omit-; multiple, du losophle-letlres, c-L signalions que son fils Garde Batlerle-Fanfare sous la direction Paul, .surveillant général au Lycée P.-Cor- j regretté président André Angerard. do «on chef, 3\L Hervé. • Dans le;î « souvenirs de. Jeunesse d'une nel'.îe de Rouen, tenait la partie de trom- MOSELLE ET A T Issue du traditionnel banquet réu­ pfitcsolo à l’harmonie de. Rouen. a Tel ■ centenaire ». M. Villion lit revivre les nissant ht Musique municipale et TOr- î’-'r»\ tri fil.? ». Bel exemple en vérllc d’or- i débuts de la société, au temps où s’éclai- cheslrt- symphonique souv la présidence plieoul.stea fl:.%î-i:iguêK. rt fervents. : ram. ix la chandelle et aux quinquets i> de M. le docteur Blsson. député-maire * | huile dans une salle d'emprunt; elle a;u- de Lisieux. Honoraient de leur présence YVETOT ; vràit sou" la direction de son fondateur M. Anne, président de la Fédération ; ; le «père Réquier », qui lui sacrifia et • o:i MEURTHE-ET-MOSELLE le docteur Devaux, président de l'orches­ Sous la direction dc M. Boita ni, vice- avenir cl sa santé. C'est mourant qu'il tre et M. Thomas, president à l'harmonie : président fédéral pour la Seine-Maritime, ! revint, apres un trentième triomphe du ht Musique municipale feu division supé­ L Harmonie c?e Lorraine-Escaut Sainte-Cécile : j concours d'Islgny, le 21 août 1894 M. Muckensturm, directeur de l’Ecole de Musique ci de l'orclicstre ; M. Petit, di- rieure r .Vcat fait entendre en l'église au Crand-Duchn cfo Luxembourg. rvetcar de l’harmonie. Echange de congra­ « circulaire » dans un programme de , ,aM Uli. | cSn'ss/ss:: s tulations avec point final par M. le dé­ choix. « Le- Prélude du déluge \ : I. ' Ceiiuration du Sainte Cécile ben4ei5i‘rèdoo«rbî‘i,Ufi.d'*lJîî eu /ut iA i Jiornlo dÿommrs UCtGV, du chœur de puté-maire qui s'engagea â revoir à nou­ Largo an Quintette ». üt> Mozart : « Le Invitée eu qualité de musique d’honneur des - li**hi*-entS a , i’-t s ;;rand bonheur dames (18i2i des séances musicales mus- veau M. Malraux, en compagnie de M. Prélude de Lohcngin et la c Marche du pour i.-. seconde fois cette année. Du de- court le aoVii hi?iwct,oa l':: Ooural«- V£Y „hc . Ci •ux* Verdier. Vincent Elirmann et do M. Anne pour luire abou­ Ta nnha user ». Linge accueille * harmonie de Lorraine- 23 novembre , 0•neige le üln(l-\. fn/r-anel, Melohissédee, etc. ; créa- tir nos rcvMidicaUons. Uemisc. de décora­ La .sochité inaugurait son bel uniforme ïiSCaut pour ie concert de clôturant «elle de Vie de la m05,sc fl0Îen* |îon tR‘ *•' Morale mixte ( 1931», M. Vil- tions fédérales et confédérales et de diplô­ Comme il pleuvait il a été copieusement ninst la semaine commerciale française Au cou^‘de ... hon rot!C‘;''u hommage i* ses prcdéces* me.- aux jeunes de l’Ecole dc musique arrosé !... scion une tradition, Sapeurs- au• Lunernbourc.. * Uirrainoî^cSvr n, ^î,^Tr;‘ de *f?w. oçmia L- bilan de no années de ayant subi avec succès les épreuves pour Pompiers et musiciens célébrem ' imulta- Au cours de cette semaine d'amitiés célébraient b'‘,t -l!,v c‘loralc paroissiale vi* orphéomque : participation à 50 obtention du Prix Marcel Petit : espoirs néaient leurs patronnes respect!Ys-b et sa­ franco - luxembourgeois:*, placée sous le anifique uro,*r PiUr01in°' Un ina' i conc.our‘s 220 concerts. 135 auditions de pour l'an prochain pour, quelques uns vers vourent en commun le banque- offert par patronage de i'umbas.-ade de Fiance, plu- les diff'euU.'*,i*U ï? exécuté malgré musique religieuse, sommes considérables la division d'excellence... la municipalité. Au dessert. M-. Boitard Sieurs .sociétés y parue rôrcn: rn appor- « Prélude'* L Üf« J,,°r tuUî: ‘«terprétés : versees aux œuvres charitables. remercia M. le Maire et ie» édiles locaux en Mme Jacques Orifrav, le » > qui ont doté la musique d'une colle va­ directeur de l’Orphéon de Pour no pas- être un reste-, û son tour, reuse à lyre d’or et. d'un pantalon à 'pr=n~;r£« ssT quelques Jours plus tard, l’Orchestre Sym­ passepoil jaune,., et se félicita', au nom de phonique. sous la fine baguette dc M. tous, de la présence de M. Anne, l'inlassa­ par Mucken.snirm. attira au théâtre la foulé ble président. Ce dernier remercia des grand.! Jours. Comme d'usage-, présen­ «omp.itS£r««H?sHoirs, habillée en Alsacienne, rc- 'phomqUe rons rie notre fédération. Après les vifs applaudissements du pu- dustriels U subsistait dans les deux usines °«ob« un auditoire de cent siaste- a chaleureusement ovationnés../ Et le docteur Bobée. conseiller général, bi:c soulevés par l'exccrtioa de cette de îEst dcux S0clt'tés de musique. Le dé- 5inc,u'‘,!Ufi personnes est venu apporter ROUEN maire, de-conclure en assurant sapeurs- dernière « Ouverture ». ie député-maire do P»r* regretté de M.; Vallu.. directeur/dé encouragements â notre- Une messe, un banquet, des allocutions pompiers et musiciens’de. lu. soiKcil--.de de Dudelange. vint. félicJter îc chef de mu- i *JfJ°C;nV°n , muslC:,k' dp Heracrange. | à- 1 occaÿon du P^c* oui célébré comme il convenait Sainte la municipalité. sique et les. musiciens de la parfaite exé- baissant la place vacante do chef de mu- 1 ^c, •s,ll30a' Lc Loct. Cécile. Sous la’ direction de M. André ORNE cution du eonerri.. Que fallait-il ajouter ^iquî' M* Dauptaln- directeur de l'usine | ,î3fr radnlcipal« présidant lu nmni- Hatay. les musiciens ont interprété suc­ pour combler nos amis luxemboureçois o L?n8'Wy. présente aux musiciens de ; wSf' T majrf*. r(’inercla cessivement pendant l’office et avec brio Dans l’Orne, c'est M. Angot. vice-prési­ Une vibrante. «Marche Lorraine »'suivie Lor^ime-Escaut leur nouveau président. eux pies. uts. les musicirns gran­ « Marche Pontificale ». do Oounod ; « Lar­ dent général, qui est allé porter la banne des hymnes nationaux luxembourgeois et M". Cotbus- president de rAïsoleaiion musi- Ji ™',v ?U0S am,s des envlron-' parole aux-sociétés de son. secteur. En francs:.-.. caîc dc Herserange, réunissant ainsi les fA CCU!w H<-* Chunourg. ei plus particu- go d’Haendel ; «Mors et Vit»», extrait de « Judex ». et la e Marche de Gain félicitant chefs et musiciens, il incita les Nos musiciens sont conviés, il la récep- ,dcux sœQrs en une même pha- JSLSKî1" MarllnP Cacns. *«We d’Allier. Au déjeuner qui fut servi ulté,î­V «ns et les autres à ne pas rester insen­ tion dans les grands salons de l'hôtel dl Inngc-, 1 harmonie de Lorraine-Escaut, pia- ?Tlf*b° ( ù arcomPa8natrfcf rieurement. do nombreuses personnalités sibles aux appels répétés de notre prési­ ville. La foule se disperse la circulation cée sous lu direction do son éminent chef. ••Boachaïd-Abbadie. professeur ft entouraient le docteur Rambert, adjoint dent Anne en faveur des épreuves fédé­ Interdite pendant le concert retrouve ses Jr' Henr? Nennig. L'effectif se trouve JJ*0!® ? ei le Final du «-7« le. doyen de la formation : M. Hervleu, tandis que M. Potier- avec l'harmonie » leur laslmmeut au vestiaire, nos musi­ Déjà les dirigeants de cette société pré- Concerto », d-:- Rcde. elle détailla les deux- 93 ans. assurant toujours correctement donné «L'hyntnio à lu nuit-»; -c Paris- ciens regagnèrent Mont-Saint-Martln. ter- parent les sorties de l'an prochain pour ouvres qui lu. ont valu sa récente admis- sa partie de basse. Prirent successive­ Belfort ». nnnont ainsi une des dernières m ment la parole, le- président Lemercieri RANDONNAI. — Sous la direction du i anifes- lesquellcn l’harmonie de Lorraine-Escaut Fl0n îi1 foncoup d’entreo au Conserva- M. Villetto, le groupement s’est fLl- en­ tâtions extérieures de l’année. ' ne faillira point û sa réputation t05rf' Natloaal do Pari». « Avioso et Alle­ qui rendit hommage au «chef» A. Ha-‘ gro de concert a, de Stari Golestan, et :ay, à ses musiciens, au Conseil d”ad- tendre-à la .messe dans « Ave-Vetum >T de « ConccrstUck ». do Georges En esc o. ac- ministralion : il remercia la Municipalité Mozart : « Hymme â. la nuit » de Ranicau .. conipagnée au piano par-Mme Bouchard- et salua invités ci femmes de musicien». et « Chant des Vierges ». • _ ' Abbadic. Un tonnerre d’applaudissements M. Anne qui sut toucher la cordc sensi­ SEES. — M. Anfray a donné en ht ca­ m n salué comme il convenait ces brillantes ble. des musiciens en évoquant, leurs pro­ thédrale la « Messe, solennelle », de Nel- NORMANDIE et difficiles exécutions. Martine Caens blèmes, en leur souhaitant la plus méritée Iiam et- au concert n Les gars thr la Cô- La Fédération à nouveau endeuilléo (18 ans) est une excellente musicienne. des prospérités et en cxhaltunt l’enthou­ rière». «La légende du moulin ». «Mar- M- Avec la Musique municipale Elle a commencé ses études à l’Ecole de siasme ries jeunes. Il remercia M. Beau- iha ». « Tlbldabo ». «Valses 1900-j et Son vice-président. P. Berlioz. d’Evreux, Sous la clircctlon de M.” Baudot. pro­ Musique dc Cherbourg (flûte et violon- cAmP de TMde apportée par le Conser- v Roncevnux ». est déiédé. L’époque de Noël est. vraiment gramme ecîsrVique et copieux. Auditoire altoi. Elle s'est perfectionnée au-Conscr- vatoire dans le- perfectionnement des jeu- TOUROUVRE. — M. Thibault *■ pré­ fatale ,à la Fédération l’an dE-rnier, le sélect avec les personnalités dc la ville. vatoire dc Caen. Elle a brillé dans tous ncs grossir les rangs de la société: senté « Fêtes des Anges ». « Chant de 24. décembre, c'est notre doyen, vice-pré­ « Ouverture du Barbier de Séville », « Pré­ les examens fédéraux : 1er prix de sol- ’ roucnnaisci Bien entendu l& petit couplet, Y... cloches ». « Hymme ô la nuit » et « Chant sident pour l’Eure-et-Loir, KL Beruinère. lude du déluge ». Les 4 mouvements- des fèlge, 1er prix de flûte, remportant il y d'usage relatif a l'insuffisance notoire de des Vierges ». qui disparaissait brusquement : celte' an­ «Scènes bohémiennes ». dc Bizet; «Bal­ a deux ans le prix Marcel Petit L’an- l'enseignement musical, tout au moins dès née. le-23 décembre, c'est notre ami Ber­ let dc CoppeUa » ; « Le vol du bourdon », née suivante (1961) elle a remporté le ÎE Prem,er cyclc- et la Pl«* grande atten- GLO S-LA-FER Ri ERE. — Là. lu toute S. lioz, vice-président pour l’Eure, qui suc- de Ri:nsk''-Korsakow : «Fantaisie polo­ Challcnge Emile Clérisse (1er prix de Sol- tion. des pouvoirs publics à l'égard des jeune fanfare avait invite le « gr: ml pa­ combaii à la suite d'une maladie- inexo­ naise n- 2 ». de Vilîerinin. fège 19/20. 1er prix d'instrument (violon- sociétés-populaires de musique: ne fut pas tron» de la Fédération et son ulter- ego. - rable. le privant de tome activité depuis Le samedi soir 15 décembre un dîner alto) 19/20 et. la même année, un l«r prix oub.lé... Kl. Angot. Fondée de toutes pièces depuis deux ans. amical réunissait les membres des deux d'alto aux épreuves de la division d’ex- Suivit in remise des récompenses fedé- deux ans. cette batterie-fanfare possède Dans un précédent numéro, nous avions sociétés-sœurs et leurs familles, sous la cellence, à Paris... Un bel avenir s'ouvre ral<*s e* confédérales à 28 musiciens dont tout ce qu’il faut pour bien faire fu com­ annonce sa démission de directeur du double présidence de M. le- Sous-Prcfel et à elle-! Bravo en nirturpant H ini» p( .3 vétérans. Son dernier mot fut pour sa­ mencer par son. dynamique et convaincu ; théâtre d'Evreux. rie l'Ecole de musique qc M. Anne. Au dessert. M. Roudll. pré­ li légitime- Ferlé dé‘scs nirenfs ^ luer M. Hcrvicu. vraisemblablement le chef: KL Richard.. Nous n'avons pas étcr E. Clérisse et de l'harmonie municipale : sident des deux groupements, remercia Pour sa priro pn^ le Soupe Si-m. «Vf» de tou., 1„ musiciens de France surpris des résultats obtenus depuis ce décision commandée par son état dc santé les personnalités présentes, les musiciens, phonique interpréta- l’ouverture « d'Iphi- toujours exécutants. coure laps de temps, quand nous avons précaire.ù la suite d'une délicate inter­ leur dévoué chef et en un style élevé, fil génie en Aulide ». de Gluck et la char- Cette remise, achevée, lé docteur Rani­ appris les origines musicales de M. Ri­ vention chirurgicale. Dans le même ar­ J’apologic de la musique. Kl. Anne s’en mante suite d'orchcslre « Agnès dame ga- be-rt s'adressait aux personnalités et aux chard : cx-clarinette de lu belle musi­ ticle» nous saluions la nomlnnllou de> son tint à complimenter M. Baudot, les pro- lante », de H. Février. musiciens : il? le faisait- avec un esprit que du 5- R.f. qu’à portée aux. plus hauts : nuoccExeur aux portes musicale# : M. fesseurs de l’école de musique, les musi- Puis sous la direction de M. Caen*. d'à-propos. une verve, une bonne humeur .sommets -artistiques’ son émmincnfc.ïçfcef Liocq, du.Neubourg: ce dernier tacite­ ciens et la municipalité qui c finance l’orchestre accompagna--remarquablement qui furent très appréciés. d’alors : M. Biirat. Ceux qui ont connu ce ment désigné par M. Berlioz qui. se rélait mais est largement payée de retour par «l’altiste» dans les <: Chants-russes-», de - M. Pierre Paaii, secrétaire général de remarquable musicien seront-ils heuscüx ataché depuis quelque temps, comme pro- les résultats musicaux obtenus à Bayeux ». Lalo. Et le concert se . termina: avec la-/, la- musique, lui*'succédait : l'acrbâtlchê- de de le savoir toujours existant ? Il a/80 fesseur de solfège. II,(lit sa -joie de voir, tous les ans. le « Sérénade en sol ». de Mozart. circonstance, attendu comme une lnébran- ans. Des malheurs successifs l'ont acca­ Né-à- Pa-riS; ..le défunt était un vieux nombre d’élèves sans cesse accru aux exa­ Belle réunion préludant à des lende- labié tmdition,- connut son traditionnel • blé : santé ébranlée, perte, récente de stin normand d'adoption, lnsmime-ntlste. com­ mens fédéraux en; soulignant ceux qui mains aussi. brillants. , succès. IL était consacré aii. président Fer? épouse, énucléation d'un œil... C’est avec positeur fet chef d’orchestre, il avait une ont surprise- agréable que- nous l’avons,-« re­ pu affronter les épreuves des prix .« hayp nu pjiitc nand' Anne. Invité d'honneur. trouvé-» comme spectateur auditeur^ aux connaissance approfondie du répertoire Petit, Emile Cfiérilfe,-à Lisieux, et. celles M nATt uu PU,TS Av bénéfice de l'âge, enfin,' le dernier parce qu'il avait'abordé tons les genres dernières épreuves de la. division d^éx- : de la division d’excellence à Paris. H- Le 25 novembre, la Fanfare municipale orateur devait être M. Hervieul Cô fut ccllcqcc, à Pari:.. Si sa condition physi­ et- pouvait- aussi -bien .conduire au concert n'oublia, pas de citer en exemple le jeune a fêlé Sâinte-Ccciîe. pour le doyen nonagénaire, l’occasion • dé­ . Pasdcloupqu’ftu - théâtre. Il ava,: alors Alain, Baudot en rappelant ses- .succès A la grand'mcs3e. elle fit entendre plu-.- que est quelque peu atténuée, il à: .con­ montrer que l'On peut friser lo siècle-et servé sa vivacité d'esprit et sa voix’,est partage sa vie entre Paris et Le Havre . musicaux-et scolaires et y associa le Jeune sieurs morceaux de choix: garder la plus grande Jeunesse d'esprit. toujours la même: .sonore, énerg quo-.et avec Uuermèdes saisonniers dans les vil- Salliot, poursuivant des études .sérieuses «Choral en forme de fugue», dé Gïe* . Ce-qui lui valut les derniers applaudisse­ les d’enux. C'est au casino de Val-les- à lu Faculté à Caen et toujours fidèle * volontaire, quand on évoque, avec. îul.Xes try, « Intermezzo de l'Arlésienne », « An- ments dc la journée. souvenirs Inoubliables de- son ensemble Bains- qu'il fit la connaissance dc R. aux services de lu société. Il profita de dantc Cantablle », de Mozart, et à la sor­ Celle-ci n’était pas terminée d’ailleurs : d'artistes.v. et de son cours de ôoùs- Clérisse, ex-chef de la Musique de l'Air la présence de M. le Sous-Préfet pour re- tie de la messe une « Marche solennelle ». elle- se~prolongea un moment encore-dans 'c.hefs !.,.). Revenons à Glos-la-FctTière. et qu’il fui amené à remplacer, peu après, tracer ie rôle de la Confédération et les de HaèndeL...... L’ambiance amicale et sympathique-, ca­ à Evreux, M. Emile Clérisse. Il dirigea efforts accomplis par ses dirigeants près Après quelques morceaux exécutés?: pen­ A 17 h. 30, fut exécuté, sous la direc­ ractéristique de la Sainle-Cccile. dant la messe, c'est le défile « en ville » pour la première fois la Mus-.que d’Evreux (lu «haut lieu» afin d’obtenir pour nos tion de KL Marcscq, un concert très ap-- avec salut au monument aux morts et lo le. 1 î novembre 1936 et depuis lors s'im- sociétés populaires ce dont elles ont bo précié et applaudi dont voici le pro­ Nos Vétérans qui dit mieux ? posa a la Fédération par ses connais- soin et qu'elles méritent bien... déjeuner amical en présence de Kl. le con­ gramme : KI. Louis Hervicu. 93 ans. tenant actuel­ seiller général du canton et M. le maire. sauces et son humoristique amabilité, II m. de la Cotardière, niaixe-adjoim. as- » ; « Messidor » lement la partie de basse à la Musique- Au dr-sserl-, l'un et l’autre s’accordent s’occupa, jusqu’à ces dernières années des «ira- les deux sociétés qui répondent iou- (ouverture), de Andrieu : «Soirée d'Au.- municipale dc Rouen, avec 81 années de pour féliciter les héros du Jour et remer­ éprr-uvea fédérales pour lesquelles il écri- jours «présent» aux appels de la muni- tomne aux Ardennes» (fantaisie), de Go-* présence dans nos sociétés est-il le- doyen cier MM. Anne et Angot de leur pré­ vult les « lectures à vue ». Dans nos réu- clpalité • dc toute la sollicitude de cette vaert ; « En avant les Cadets ». de Tour- des exécutants de France ? sence. La réponse de Monsieur Anne fut mous, congrès, concours, examens. Ber- dernière. nel ; « Le pré aux clercs ». de Hévold : •plutôt une conférence instructive- ?ous lio/. était l’homme des airs et apprécia- m. Il* Sous-Préfet dit son attachement «Légende dauphinoise», (fantaisie), de tous rapports. Il affirma qn’avcc trions judicieuses, encadrés d’hLstoires et à ja musique que ses fonctions actuelles Sali ; « Marche des Musiques Françaises », bn:v esprit de travail, les progrès cio- bons mots... privent du plaisir d'étre exécutant. Il dc Carie. seraient grandissants et plus rapides, si Son inhumation a eu lieu le 26 décetn- complimenta aimablement 1rs deux cn- Le soir, traditionnel banquet. .Remer­ les exécutants (presque tous Jeunes/ vou­ br« et selon scs dernières volontés, dans semblés, les personnalités et notamment ciements' élogieux du président Le’ Colêy laient bien faire un peu de solfège adapte 111*0 atmosphère d'extrême simplicité. Au ki. Aime duquel «il a appris bon nombre à l’adresse du maire et des personnali­ à leurs instruments. 11 Insista sur l’obli­ cun. discours n'a été prononcé. Eloigné de de choses touchant la musique popu­ tés ayant honoré les manifestations de gation de. trouver un- professeur de tam­ Lisieux, il ne nous a pas été possible de laire... » la journée. Recommandations du chef bour qualifié pour l’étude dc ce difficile l'accompugner au seuil de sa tombe. Au La Sainte Cécile à l'Orphéon Marescq à l’adresse des musiciens pour instrument, quoi qu’on en dise. Des mé- nom de la Fédération, une gerbe a été l'assiduité aux répétitions. Enfin. M. le thori.é,» pratiques ont été indiquées. Et déposée sur son cercueil cl MKI. Angot. Les « Orphéoniste a » l'ont célébrée sous maire Folliot rili toute, la sollicitude cje pour donner - émulation à ce noyau dé vice-président général et Lion, son succes­ les directions alternées dc Mme Jacques la municipalité pour 3a fanfare dont il bonnes volontés, il a conseillé de parûr seur. membre du bureau, oui pu se Join­ Onfray (née • Kcimchieter Chantal), et complimenta chef et exécutants en leur ciper à un prochain concours celui dé dre aux personnalités d'Evreux venus lui K‘>. Villion. M, Maurice Lcvillain. orgu- promenant pour 19G3. une salle de répé­ Livarot par exemple. rendre un dernier hommage ci présenter msie ce chœur de. î.i -cathédrale et mem­ titions bien organ;>éc. Le champagne of­ leurs condoléances âMme Berloiz et ,sa bre d'honneur dé ïn .netu}Lé. était l'accom­ fert par. Ja municipalité. clôtura comme A des questions posées. M. Aime a lumillc douloureusement éprouvées. pagnateur. bien l’on pense cette Joyeuse Journée. . traité la question dés droits d'aute-afs et « Kfes.-.e dans le ton dè Ré majeur», à fait connaître les dispositions d'imo BAYEUX i Pierre Villion op. 2'.', dédiée à la mé­ LISIEUX loi récente appliquant le régime dé Se­ moire de Paul Dan ici. ténor solo des Or- Avec la Musique Municipale un très. curité sociale aux artistes et musfcietis A l'Union symphonique phéoiiistfM de- Bayeux < 1872-1943) ; « O beau programme a été exécuté sous- hr. i professionnels ou non). Aux termes d» So:i3 la direction de M. Baudot, tis’-vs Snlutaris 'Pierre V.Uicn op. 27), pour direction d’André Petit. En toute- deriiïére' cette loi, c'est l'organisateur d.1* evota­ beau < irscett de vont un. public nombreux 5 voix mixtes et orgues : . Tantum ergo» heure, c'est M. Arme qui a présenté les rie ou de bal qui est responsable ch» ver- et enthousiaste. Programme Varié : « Pc- (E. Bclliurd 1863-1947). danô le ton ck ,Mi- œuvreç dfiertes : u L’Enjvvement au Se­ sein ont des cotisations exigibles. ’Ceüo lit* ;.yUé », de SchubéiT (marche mil!- bémol majeur : Choral « Que ta grâce, eh ra il ». de Mozart : la première suite d'or- causerie a viveniisht intéresse 1; u.TUoire taire, xaterrnède. Le Portrait, La truite) : mot demeure» (J.-S. Bach). chcstre de .- Pcer Gyn’t » }' EntV'acte ri- attentif, lieurçux aussi de connaîtro. ceux « Cv.ru::r. prélude, Ai agonnisè. Inicr- On notait' nqLammcuv in jurésesici 1; uc airs de ballet du « Cid » : une grande qui ;défendent avec, ténacité. Lea ap- xrit/'Au. 'Les dragôna d'Alcaia. Chant des M. Le Prince, tecrétairo général, de la fantaisie ;ur « T.v.mhnuser » : «L'En- plaïuü.^ement.i furent .compléta a pros que . toréadors) ; « Preato de- la « Riipsbdib mairie, yicn-prévident dos Orphéonistes. ciiantt-Tunt du Vendredi Saint», extrait M. Anne remit à Kl. goreaii « vieux musi­ norvégienne », dc Lalo.: a Au pays mysti­ et de MM. Roudll, président, et Baudot, de Par»:fal, deux préludés et marche do cien de régiment ». la médnUle de :.i Con- que- d'Egypte», dé- Ketelbêy ; «Mosaïque dire.cte.ur de la indiqué et. de l'Urtiow cortège-. de « Déjà n Ire». Dana notre journal dc niai I960, nous iédéraliiin pour -il année:» au rcr-TCf- dos aur les valses célèbres «fâna le monde ». symphonique municipales. Le (iimiinche suivant, en la cathédrale relations, en détail, lés états de .service sociétés musical CS. Et :.j jnitrnér- :&■ ter­ «Tour de France m chansons ». Eu fin d’après-midi, au cours d’une Saint-Pierre, audition d’œuvrea appro- dc KI. Horvicu, ancien professeur do phi- mina par des chansons.. CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE FEVRIER 1963

ri est agréable de noter l'ampleur que NEUVY-SUR-BARANGEON parênte ù la musique Italienne des an­ donne à cette œuvre la transposition or- nées 1820. Le troisième morceau était uns chestralc. La richesse des timbres, la co- La Lyre honore Sainte Cécile suite d'orchestre «Sigur Jorsalfar», tout loratlon Instrumentale servent nu mieux l'ensemble exécuté avec maîtrise. Le pu­ ORLÉANAIS-BERRY l’exubérance savamment contenue de cette M Julien Veron, adjoint au maire de blic fit ensuite une belle ovation à la muslque. Neuvy tient à ce que les traditions soient délicieuse fantaisie « Hans le Joueur do VIERZON respectées. C’est pourquoi, tous les musi- BOURGES De ce seuil, le3 voix fraîches des mai- ciens s’étaient donnés rendez-vous à la flûte», de L. Oannes. Enfin l'immortelle trlscs, nou» sont alors parvenues aous valse Faust permit aux pupitres de so La Fanfare Vierzonnaise à l'honneur salle dos répétitions pour se rendre en­ distinguer. la direction de M. l’abbé Longeron con- suite en défilé. travers la petite cité Grandiose Sainte Cécile à la cathédrale duisant le Sanctus de la messe modale Excellent concert qui confirme la ré­ 11 est bien rare que notre Berry et solognote, vers l’église de Pehu. Puis M. Guillcmain chef de la « La Lyre du Barangcon», bien putation de l'Union musicale S;-Aman- ÎViorzon en particulier ne soient à l’hcn- Il y a bien des années que la Ste-Cii- batterie a dirigé la traditionnelle son- dolse que dirige avec brio et compétence caeur & l’écran de la .Télévision française. conduite par son directeur, M. Serge Be- cile n'avait été célébrée à la Cathédrale nerle, «vaut de rendre la parole aux du interpréta au cours de l’office plu­ son chef M. Legeay. Pourtant, dans l’émission de Marianne avec un tel éclat. Répondant à un désir choeurs do la Maîtrise interprétant avec Oswald et Rémo Forlamy « Musiciens du sieurs morceaux dont: «Sainte Cécile», piofond de S.E. le Cardinal, la Musique brio un extrait du grave Actus Traglcus « Paix Céleste » « Spcarmlnt » et la « Mar­ L'Union musicale fête la Sainte Cécile Dimanche », les -Berrichons ont pu aper­ municipale de Bourges dimanche 2 décem­ de J.-S. Bach. cevoir une photo de la Fanfare vierzon- bre a éveillé .sous les voûtes et dans lc3 che des sportifs français ». Le 25 novembre les musiciens et leur Eaise et entendu la société chère à M. cœurs, des échos rares et précieux. Elle M. Guilloux au petit orgue Joua avec Deux concerts sur les deux places de chef M. Legeay étaient A l’église parois­ «Lucien Avon. Tout le monde en fut con­ s’était Jointe fi la Maîtrise et au maître sensibilité un prélude de César Franck : la ville furent offerts aux Neuvycéens et siale pour fêter Stc-Cécilc. fiant. Il est vrai que la fanfare vierzon- Paul Guilloux. A Capella. Et cette messo splendide s’a­ tous se retrouvèrent pour le repas ami­ Le programme musical fut de haute æalse mérito bien cct honneur puisqu'elle chève sur le Prélude en sol mineur de cal qui sanctionne comme de coutume, classe. On entendit d’abord le « Psaume fcst championne de France dans sa catë- Aux grandes orgues, le maître Paul Gabriel Plerné. cette fête de Sainte-Cécile. patriotique » (Grleg) par M, Chapelon, or­ Sorie. Gulloux préluda par une fantaisie de A l'issue de la cérémonie sur le parvis ganiste de talent. Elle a fêté la Sainte-Cécile avec brio Mozart. Il resta sans cesse nu service de la Cathédrale, la Musique municipal© LERE L’Union musicale exécuta « Deux pré­ 25 novembre en Interprétant dans sa d’une musique qualifiée de divine, à cause interprète la Marche Impériale au mi- La fête de Sainte-Cécile a connu son ludes ». de Bach et a Chœur » de Mozart, parfaite formation, quelques airs du vaste du cheminement intérieur qui se cache lieu des Berruyers ravis. puis « Le Rhin », marche solennelle, ma­ ampleur habituelle répertoire qu’elle possède. sous la grûce mozartienne. Puis ce fut le banquet traditionnel, jestueuse qui. dans le temple, prend, tout© Groupés autour du chef dévoué et com- sa valeur. La messe commença aux accents gran­ présldé par M. Bolsdé. député-maire au­ quel assistait Mgr Girard. pètent qui les dirige, nous avons nominc L’après-midi, un concert A la salle des A l'Harmonie des Forges dioses du Concerto pour deux trompettes M. Henri Baudet, les membres de la a Ly­ fêtes avec le concours de M. Paul Trou- L'Harmonie de Vlerzon-Forges que di­ de Vivaldi, MM, Alain Grimom et André Au dessert, on passa à la remise des re Léréenne» débutèrent la Journée du bat, directeur du Conservatoire de Mont- rige M. Veron, et en compagnie de M. Sonnet concertaient avec AL Guilloux. récompenses offertes par la Confédéra* dimanche 18 novembre par la tradltlon- luçon. premier prix de hautbois du Con­ îLcredde, son président, s’est rendu pour Qucîle aisance c-t quelle souplesse dans lion musicale de France. nclie messe solennelle en musique que servatoire de Paris, Mme Forichon, pia­ 7 fêter Sainte Cécile. A Massay, qu’elle une œuvre aussi difficile. L’artloulatîon célébra le curé-doyen do Léré, M. I’abbé niste, et M. Schmitt, flûtiste, tous deux parcourut eh musique, puis un excellent précise des trompettes, leur sonorité à la Pannetier. professeurs au Conservatoire de Montlu- concert avant le repas traditionnel. fois ferme et veloûtée, mêlaient au cha­ On entendit l’excellente violoniste lo çon. toiement des vitraux ensoleillés l’éclat CHATEAUMEILLANT cale M. Belleville. accompagnée par Le programme se déroula avec : « L© et la douceur du métal poli. La Joie re­ Mme de Billy avec sa maîtrise habituelle. Rhin ». de Schumann, « La princesse A la Lyre municipale de Vierzon ligieuse que Vivaldi n mise dans cette La Sainte Cécile La Lyre exécuta avec brio, le «Tantum Jaune», de St-Saëns « Concert ino pour Les amateurs do théâtre, si nombreux œuvre, chantait vraiment dans î’ndmira- d'Amiens », de H. Habourdin, « Choral et clarinettes » de Weber, une pièce do Y-a ns noire cité attendent chaque année le b’.e architecture. Arioao », d’Hector Popc-lard et « Toujours olnsse avec « Fantaisie concertante de r^01f novembre avec impatience. Pour- A l’homélie. Mgr Girard, en amateur Le rassemblement a eu lieu ce diman­ en pointe ». do G. Pihet. Enfin, l’un des Clmarosa » pour flûte, hautbois et piano, 7 Tout simplement parce que les nr- averti, sut dire aux musiciens la recoa- che 18 novembre en l’Eglise de Châtoau- meilleurs éléments de la société. M. Bou- avec les montluçonnais plus haut nommés. jnstes amateure de la Lyre et Chorale naissance des assistants: la musique ex- mcillant. Au cours de la cérémonie, l'U­ dln exécuta avec un sens musical averti Musique ailée qui prend tout sou relief juumcipues présentent le fruit de leur prime l’harmonie des âmes et des cœurs : nion musicale de Cliâtcaumelllant ren- ’ le célèbrc-ff Largo de Hacndcl ». avec de tels grands artistes. Ensuite « Les travail, cette année, MAL Balichon. di- *:es accents épanouissent, stimulent et forcée de quelques éléments de La ChAtre Après cette impossante cérémonie re­ Erinnycs ». de Massenet (solistes MM. recteur de la Lyre et de la Chorale, et consolent ; elle exhale la meilleure partie exécuta sous la direction de son chef M. ligiou.se h laquelle assistait M. Raymond Troubat, Chevreux, Ménard) et le con­ vcandrot, animateur du Groupe tou ris tl- de. nous-mêmes : elle- est un dos langages Gaston Limousin : Alceste, marche reli­ Thénier, maire, les musiciens par un dé­ cert se termina par la valse de « Faust », que. ont effectué le choix du chef-d’œu- les plus délicats de notre Ame: elle fait gieuse de Glück, « La Cathédrale » on- filé on ville se rendirent au café-rcstau- de Oounod. xrc d Edmond Audran «La Mascotte ». régner la fraternité, l’estime mutuelle: dantc religieuse de Gadenne, « Recueille- rant Vaîan pour voir sc dérouler le ban- ment», andnnte do Furgiot. Ce choix_ a a pas manqué de recueillir langue universelle, elle est un principe quet traditionnel de Sainte-Cécile. L'indépendante de Saint-Amand fête la on^,ide }onf ceux quI forment de paix qui ne connaît pas de frontières, Après la traditionnelle photo, nos mu- ae fidole public de la Lyre Municipale. slclens se rendirent chez Jean Beaumont CHARENTON-SUR-CHER Sainte Cécile Les spectateurs ont manifesté leur La Musique municipale sous la direc- pour un programme gastronomique non Notre très active fanfare a fêté Ste- pleine satisfaction d’un spectacle qui pa* Mon de M. J.-B. Bouziat allait illustrer moins apprécié que celui musical. L’am- Le Réveil a fêté Sainte Cécile Cécile en débutant par un concert donné fia qualité du sujet et la perfection de pleinement cette allocution nveo l’exécu- biance fut excellente se termina fort En pleine essor, le « Réveil Charenton- au cours de l’office en l’église paroissiale ii’exéculion, se situe dans la classe excep- t5on de 3a Toccat3 et Fugue en ré ml- tard. nais » a honoré le 25 novembre la Sainte- au cours duquel on entendit « Aux fiionnelle. Lorsque le rideau s'est abaissé ncur de J‘'s> Bach, C. V. Patronne des musiciens. Champs » « Idylle sartlioisc » pour trom­ strr. le dernier tableau de cette gracieuse A 10 h. messe, par le doyen Brossard pes et basses et « Garigliano ». Après la opérette, des sonneries de bravos sont avec une belle partie musicale sous la messe, l’indépendante exécuta sur la. partis de lJ’assistance enthousiasmés par direction du Jeune et dynamique chef M. place de l’église plusieurs morceaux do »la qualité du spectacle. Cinq représenta­ Nlcaud. son répertoire avant de ae rendre au re­ tions eurent lieu et toutes rencontrèrent . ► TOUT CE QUI CONCERNE Le Réveil a exécuté «Retour de Chas- pas traditionnel. M. Delage, président, fé­ ie même succès. se ». « Retour au bercail » (arrangement licita au dessert le chef et les exécutants Pour se reposer des fatigues qu'ils ont , * de M. Nlcaud), « Le défilé set « Le témé­ de leurs efforts. « Je suis heureux, dit-il eues A surmonter, les musiciens de la raire », Les voûtes de la vieille église ont de voir votre fanfare c-n pleine ascen­ suyre vierzonnaise ont fêté la Sainte-Cé­ tremblé. sion et c'est avec Joie que J'y vois do cile. Au début du banquet, M. Mérigot, Après l’office, défilé en ville, en musique. très Jeunes ». maire do Vierzon, souligna la valeur de L’HABILLEMENT Il y avait tous les actifs dirigeants, le Ha vocation purement artistique de la Lyre , Maire, M. Leblanc en tête et tous se di- Tierzonnalse. Adressez-vous à un SPÉCIALISTE rigèrent vers le repas tradtionnel. Il s'adressa pour terminer aux anciens musiciens et leur remit, en compagnie de 4 JOUET-SUR-L'AUBOIS M MaTce], président, des diplômes et des UNIFORMES REGNARD médailles au titre de leur service de lon­ La Fanfare a fêté Sainte Cécile gues années au sein de la société de La fanfare au grand complet s’était musique. Un© haut© distinction devait donné rendez-vous le dimanche 18 novem- O U ESI 28, rue de la Chapelle - PARIS-184 ^Ctf’ Au8ustc BaUchon et Ets. PIQUET : bre A 10 h. en l’Eglise de Joint pour ho- CantiHe Billaud, auxquels le ministère aorer Sainte-Cécile. SAINT-JEAN-D'ANGELY i Etat (Arts et Lettres) décernait la mé­ Au cours de la cérémonie religieuse, LA TENUE DE DRAP A PARTIR DE 160 F daille 'd’honneur' des sociétés musicales notre musique Joua les morceaux appro- Messe en musique et concert en l'hon­ et chorales. » ^ ^ ^ ^ _ priés A l’Offertoire «Les rameaux d’or» neur de Sainte Cécile à l’Elévation le «Sanctae Cecilia ». & la Communion « Le Printemps » et enfin à la sortie «Les Chevaliers du Travail». Comme chaque année les deux sociétés Le cortège se forma ensuite pour se le « Cercle philarmonique » et «Le Ré­ rendre au cimetière où, après -un arrêt veil angerien » ont unis leur efforts pour devant le domicile de M. Ernest Grand- fêter la Ste-Cécile. Jean, leur président d'honneur et bien­ Le 9 décembre, une messe en musiquo faiteur de la société, ils disposèrent une a été célébrée & 10 h. 30 en l'église pa­ HENRI TOMASI gerbe sur la tombe de M. Tourrier. fon­ roissiale. Les morceaux suivants y furent dateur en 1886 de la Fanfare et ensul.e exécutés : deux chants religieux de Mo­ sur la tombe de M. Sec. ancien chef de zart, « Marche pontificale », de Oounod, musique, prédécesseur du chef actuel, M. « Panis angellcus », de C. Franck, et Quelques œuvres René Bardln. « Cavallerla rustlcana » de Mascagni. Après cetet pieuse cérémonie du souve- Le concert donné à la salle municipale Flûte Saxophone nlr. notre Musique reprenait sa forma­ fut honoré de la présence de M. Ouesdon Concerto en rai majeur ; 15,40 tion et après un défilé en ville, tous fê­ président du Cercle philarmonique et Concerto en fa ...... Ballade 20,80 taient cette Ste-Cécile par un repas tra­ Mme : M. Bonnin, vice-président de là Fé­ 22,70 Chant corse ___ _ ditionnel. dération des sociétés musicales de l'Ouest, Le petit chevrier corse ..... 5,05 5.05 A. J.-J. M. Pllsson, premier adjoint, remplaçant Sonatine pour flûte seule . Concerto . .. 18,50 M. Colas, maire, absent et M. Mathon, 7,30 Introduction et danse DUN-SUR-AURON Hautbois 7,30 adjoint. Sucessivement les deux eodétés /• Des musiciens à l'honneur à l'occasion Interprétèrent les morceaux du program­ Cor me «L’Isard», de Veisseron. «Sans Chant corse 5,05 de la Sainte-Cécile Danse agreste __ Chant corse 5,05 peur » de Watelle « Marche du Tanhau- •****••* 6,40 Concerto Après quelques années de sommeil par ser ». de Wagner, « l'Arl&ienne » de Bi­ Concerto * • * ...... 18,50 18,50 manque d’effectifs. l’Union Musicale Du- zet, « Rose-Marie ». de Friml, « Salut Introduction et danse 6,40 noise fêtait A nouveau Stc-Cé.clle le 18 au président ». de Champel et « Premiers Clarinette novembre. lauriers » de Walter. Trompette A l’aübe, les musiciens se sont rendus L© public ne ménagea pas ses appau- Chant corse ...... 5,05 devant le domicile du Président M.. Bizet dlssements aux exécutants. et A leurs di­ Complainte du jeune indien 7,30 Six études pour trompette seule 8,40 et du chef M. Antoine pour y sonner un recteurs MM. Antoine Guérin et Camille Concerto ...... 20,80 Concerto ...... 18,50 réveil en fanfare. Après le dépôt d’une Tarif pour la parfaite exécution de c© Danse nuptiale ...... 6,40 Triptyque 7.30 gerbe nu monument aux morts et au cl- concert. Introduction et danse metière, ils sc rendirent A la messe en A l’entracte M. Gucsdon assisté de MM. 7,30 Tuba l'église en l’honneur de Ste-Cécile. Ils Bonnin et Guérin ont procédé à la remise Basson interprétèrent « Aux champs », « Fête des des diplômes aux élèves ayant-suivi les Danse sacrée 6.40 Ange3 » « Sainte Cécile » et « Simple et cours de solfège et d'instruments et sa­ Fier ». Chant corse 5,05 tisfait aux examens organisés par la Après un défilé en ville, MM. Millet et Concerto . 22,70 Trombone F.S.M.O. sous la présidence de M. Bon- Danse guerrière Pochnrd, vice-président et secrétaire de ntn. vice-président. 7,30 Concerto 15,40 la Fédération musicale orléanais-Berry. Furent ainsi A l’honneur : Claude Le- remettaient, les médailles aux anciens mu- not, Jean Lamirault, Claude Aran. An­ Toutes ces œuvres, sauf indication contraire, ne siclens, M. Henri Antoine, chef de musi­ nick Berthelot, Noëlle Dufour, Jean-Ma­ sont vendues qu'avec accompagnement de piano. que reçoit l’agrafe dorée pour 60 années rie Dufour. Françoise Dufour, Annie JHH- de service ainsi que M. Bergeron, M. Meu­ dreau. Roland Baudouin, Jacky Papillaud, nier. l'agrafe argentée pour 4-5 années. De Michel Berthelot, YYes Labrousse. Ber­ nombreuses autres médailles pour 33 et nard Aran. Jacques Garrire, Bernard Musique d'ensemble 26 années récompenseront 10 autres mu­ Grousset. Jean-Pierre Ôoulard. Yves siciens pour leur dévouement au service Gu ion. Charles Berthoneau. DIVERTIMENTO CORSICA, hautbois, clarinette FANFARES LITURGIQUES, 3 trompettes (ut), de la musique. Puis l’orchestre Jazz prit possession do et basson -. 13,20 4 cors (fa), 4 trombones (dont 1 basse ad lib.), Un banquet, auquel participaient les la tribune et interpréta des slows et des Accompagnement d'orchestre à cordes avec tuba, 4 timbales, batterie personnalités de la ville termina dans fox. harpe ou piano, chaque partie 4,00 une bonne ambiance cett© fèt© do Ste- Au vin d’honneur, M. Ouesdon rappela La partition ...... Partition 18,50 Parties 22,20 Cécile. les événements qui ont accablé le cercle 13,20 et complimenta le nouveau trésorier, il i PASTORALE INCA, flûte et 2 violons SAINT-AMAND-MONTROND espère que 1963 sera plus favorable et CONCERT ASIATIQUE, instmment à percussion Partition _____ 6,40 Parties 7,30 Brillant concert de l'Union musicale que le Festival de 1963 aura tout le succès VARIATIONS SUR UN THEME CORSE, flûte, et orchestre 22,20 désiré. M. Legeay avait prévu un Judicieux pro- Le Président salue la présence de MM, hautbois, clarinette, cor et basson Parties d’instruments à percussion .. 7,30 gramme musical le 18 octobre. Concert Pllsson remplaçant le maire, de M. Ma­ Partition 7,30 Parties 11,80 Le final seul 10,40 donné à la salle des fêtes de l’Hôtel de thon. adjoint au maire et de M. Doignou. ville. président du Comité des fêtes, il adres30 On entendit tout d’abord une marche ses félicitations au directeur M. Guérin Harmonie - Fanfare militaire suivie de l’ouverture de Peter et aux jeunes, qui donnent un nouvel SchmoH, de C.M. Weber œuvre qui s’ap- ewsor à la société. FANFARE A VILLEFRANCHE, pas redoublé avec LES GARS DE LA PROVENCE, pas redou­ trompes, tambours et clairons : blé avec trompes, tambours et clairons : Harmonie : 8,30 - Fanfare : 6,80 Dou- Harmonie : 8,30 - Fanfare : &80 Dou- blures ; 0.35. blures : 0,35. LES FOLIES MAZARGUAISES, suite provençale gaie. SEINE-ET-MARNE Harmonie : 44,80 - Fanfare ; 10,95 - Doublures : 1,60. > • MONTEREAU roux). « Tarass^Bulba s. (A. Georges) c’est dire la qualité du programme: fai­ L'Harmonie municipale a donné 1© 6 sant honneur au directeur et à ses mu­ Janvier une audition d© choix ù la pa­ siciens f roisse de la ville sous la direction d'un Un banquet il l'hôtel du Grand Monan- ohof de valeur: M. Duvul. que était présidé par 1© député-maire, en­ Éditions Musicales ALPHONSE LEDUC 175, Rue Saint-Honoré- PARIS Un commentaire éclairé permettait d© touré de M. P. Tiexet, du pcvSiMen* d© suivre un programme sélectionné : « l'At­ l'Harmonie, de M. et Mme Duval ainsi taque du moulin» (A. Bruneau),.« Plain­ qu'un sympathique repréüesvtant- de Ez te du clocher o (Balay), «Voix dîu cio- Fédération *1© Normandie-, M. Bel lis, direc­ ohes * '

Four bénéficier SEINE ET SEiNE-ET-OISE de la première édition ARGENTEUIl Dans l’océan do la musique, « La Bou- J'espère-donc que vous fierez satisfaits lonnuise » vogue actuellement sans périls, de là .soirée que vous offrent Icn Semaines L'Estudiantina guidée par la bonne étoile vers le port Musicales. de la beauté musicale et artistique. » Déjà, en 1961. les concerts des 2 et du GUIDE ANNUAIRE Le il novembre 1962. j’Esutdiantina Le rapport moral est vivement applaudi 9 mal ont été très appréciés. Puissent, ü’Argentcuil a donne son concert en et adopté à l’unanimité. celui do ce soir, et ceux qui suivront, ob­ l’honneur de scs membres honoraires. M. Le Duc. en tant que trésorier géné­ tenir le mémo sucrés, L’orchestre, comprenant 34 musiciens, ral. prend alors la parole pour le compte Par ces manifestations, nous entendons sons la direction de M. Mario Montl, a rendu financier de l'exercice <31-62, arrêté aussi montrer qu'elles sont utiles au déve­ interprété les œuvres suivantes : au 7 juillet 1962. Les conclusions présen­ loppement de l'art culturel et musical et « Ouverture ». de BiieiU : « Conccnino tées sont les suivantes : que, de ce fait, elles doivent attirer vers en La», pour guitare et orchestre à plec­ la musique une jeunesse qui souvent dans tre, de Carulli. par Bernard Temps : Recettes 20 049 31 F notre région ne trouve pas les saines dis­ «Concerto», en sol majeur pour 2 man­ Dépenses 16 338,09 F tractions qu’elle recherche. dolines et orchestre à plectre, par Chris­ Cependant à Gagny, le théâtre. la cho­ tian et Eric Beaudettc. ftgés de 13 et 14 Solde créditeur ; 3 711.22 F rale. l’école de musique et l’harmonie ans, « Prélude et Romance à l'Etoile de sont là pour les accueillir dans les diver­ Wagner», (transcription R. Marteau), M. G. Le Duc analyse «*t commente les tissements honnêtes et attrayants. chanté par Jacfcy Vivant, «Le Festin des différents postes du budget avec une ob­ Je ne saurais trop remercier les anima­ Dieux ». ouverture de Mario Maciocchl ; jectivité qui lui fait honneur. teurs de ces sociétés. «Miléna», czardas de Mario Maciocchl : Très applaudi, le rapport financier est Merci aux musiciens qui nous cons.i- «Le Callfo de Bagdad», ouverture de adopté à l'unanimité. crent ce soir un peu de leur temps. Boïeîdiou. transcr. M. Maciocchl ; xEg- L'assemblée procède- alors au renouvel­ Merci à M. Daquin, le grand anima­ K- mont », «Ouverture de Beethoven», trans­ lement du mandat des six administra­ teur- des Semaines Musicales. cription François Menlchetti. • teurs sortants. Merci à la Municipalité et à M. Vale- ;; Le^ guitaristes-concertistes Bernard Toutefois, avant que celte formalité se net. député maire de notre ville, pour Temps, Jean-Pierre Dubert. Claude Boni trouve accomplie. M. Lc Duc demande la leur sollicitude envers les société.* locales. •lntreprctèrent des œuvres de F. Sor et parole pour que soit modifié l'article 8 Merci à la R.T.F. qui nous accorde son renvoyez R. Worschech. des statuts afin de porter le nombre des patronage. Très belle réunion musicale devant une membres élus de 15 à 21. Cette nouvellt- Merci à M. Rouvet du Ministère des sans tarder salle comble qui a applaudi ininterrompu disposition est ratifiée à Vunanimité. Afiaires culturelles qui. par sa présence, un programme de 2 heures, donné par un Sont élus à l’unanimité: MM. Carrat. nous assure tout son appui. votre bon de orchestre où la Jeunesse des musiciens Gauche, Leenders. Minbourg, Poirier, Ro­ Par ma voix, nous lui en témoignons fait promettre un bel avenir pour l'Estu- bert. Villiers. notre reconnaissance. diantina • d’Argenteuil. M. Perrin est désigné vice-président de souscription « La Boulonnaise » et M. Robert, sous- NANTERRE chef. BEIONS M. PeiTin remercie alors les musiciens Ecole Municipale de Musique de Nanterre de la confiance qu’ils veulent bien lui . Le 2 eut lieu la distribution solennelle Le Cercle Symphonique de Bezons ayant témoigner. ucs prix aux élèves des cours oost-sco- sollicité lu venue de la Commission de M. Villiers demande la parole. 11 ex­ . irw d’adultes et de l’Ecole Municipale classement, celle-ci composée de MM. de Musique, sous la présidence officielle Boyer, ancien chef de la musique du 46« prime les inquiétudes qu’il éprouve con­ cernant l’avenir' de la Symphonie, le re­ de m. Raymond Barbet, député-maire de Régiment d’infanterie ; Dautrlcourt, l’ac­ crutement de musiciens pour cette for­ Nanterre et vice-président du Conseil gé­ tuel chef de la Musique des Transitas­ mation devenant de plus en plus diffi­ néral de la Seine, assisté de MM. Pineau, sions. et Maurice Brun, président de la cile. maire - adjoint ; Schoumnker, GaUlnrt, Commission technique de la Fédération, M. Dayries attire aussi l’attention sur conseillers municipaux, ainsi que M. Geor- se rendit îe vendredi 14 décembre, dans J;avenir de la Batterie. Il pense que la ges Gemel, compositeur. Devant une salle : la salle de répétition de la société. Après seule solution valable, pour obtenir des comble, nous avons apprécié un pro­ avoir entendu « La Marche hongroise de tambours et clairons, est de recruter gramme musical de premier choix par la Damnation de Faust ». de Berlioz ; parmi les élèves des écoles. 1 Harmonie Municipale, sous la direction « l’ouverture de Mireille ». de Gounoü et M. Souriau prie alors M. Le Gallo, de son c£.ef M. Roger Hubert, compost- celle de la « Princesse Jaune », de Saint- maire de Boulogne-Billancourt, de vouloir i Uî! et, directeur de l’Ecole Municipale Saèns, le jury fit distribuer le morceau de bien dire quelques mots aux musiciens. de Musique. La qualité de cet ensemble lecture à vue : « », « Rose de M. Le Gallo exprime le plaisir qu'il » eîk‘cePrionnelle • après « La Marseil- Landry». Ces divers morceaux furent éprouve à assister, toutes les fols que (îaise » ;« Entre-Amis ». marche de con- bien exécutés avec de bonnes sonorités possibilité lui en est donnée, à nos ma- cert, oeuvre de bon goût du directeur Ro- par les divers instruments. nifestations artistiques, soulignant l'in- KCr Hubert, ; « Les noces de Figaro ». OU- Le capitaine Boyer annonça le classe­ térèt qu’il porte, avec M. Lucas, aux ac- verture de Mo2art dont le mouvement ment do cet excellent orchestre en pre- - tivités deaLa Boulonnaise». et lL‘s traits ont été très bien respectés ■raière division, première section. Parmi U constate avec satisfaction que la e7 exécutés : La «Danse Persane», les personnalités présentes signalons le trésorerie de la société est très bien gerce a{r dc ballct de p- Guiraud, fut un vrai maire et les conseillers municipaux de la et que son état financier est sain. regai artistique. C’est dans «Rythme pa- ville, ce qui prouve l’intérêt certain que M. Le Gallo déclare que «La Boulon- rade» (fantaisie jazz), écriture moderne la Municipalité porte à cette intéres­ naise » est en droit d’attendre beaucoup dc Jolln Darling, que l’ingéniosité et la sante formation. Le vice-président de la du Conservatoire Municipal de Musique personnalité du chef R. Hubert, la per- Fédération a profité de l'occasion pour lequel doit constituer la « pépinière » de faction remarquable de l'ensemble, ont pu s’entretenir avec ces édiles e; en souhai­ musiciens aptes à apporter leur concours donner tout le maximum à cette œuvre tant une augmentation de la subvention aux formations de « La Boulonnaise ». daas dcs rythmes les plus divers (slow. municipale ainsi qu’une participation pro­ 11 convient, ajoute-t-il, de ne pas mani- rnambo, boogie, etc.) Le solo de trompette chaine du Cercle Symphonique au con­ fester d'impatience car. sous ce rapport. F exécute par M. Robert Lagues a cours itinérant (Fondation du président l'espoir de recrutement est sérieux. D’ail- ialt r?fs.ortlr les qualités de cet artiste, Hugonnet). leurs, il veillera personnellement a ce que L,cs ^"cts de ce genre musical ont été Il reste que ce. groupement musical de ce but soit atteint. sensationnel et un tonnerre d’applaudis- 40 exécutants, dirigé par M. Pontet et Le maire tient à rappeler combien dans scinents a obligé chef et musiciens à sa­ animé par M. Hitler est d'une certaine le domaine artistique et culture-l les cf- 1 auditoire. - - qualité qür.mt aux exécutions, et ceci est forts financiers de la Ville sont impor- une allocution de M. Raymond Barbet, dû en grande partie- h la présence d'an­ tants pour favoriser à la fois la Musique «éputé-maire de Nanterre (d'abord en ciens professionnels maintenant en re­ et les Beaux-Arts. excusant et en regrettant l’absence in- traite qu: désirent continuer à faire de II remercie tous ceux qui apportent au volontaire de M. Hugonet. président de la bonne musique. fonctionnement de « La Boulonnaise » une » te de ration Musicale de Seine et Seine- précieuse collaboration et déclare qu’en èt-oise, retenu par des obligations ma- définitive les musiciens sont seuls respon- -uTcsi‘, donna à. cette manifestation son BOULOGNE-SUR-SEINE sables de l’avenir de leur société. véritable sens en élevant la pensée de L’assemblée générale annuelle de la so- àn jour ttant la séance ciété municipale de musique « La Bou- ^ee a 11 h. 30. ?eur Smps^meffir?6dÆémis ei lonnaise» s e3t tenue dimanche 30 sep- mondant nirn tAnnit . î?6Mo-Peum/ r'p8titl0DS- GAGNY *■ «ulenir l-onsciBnement musicàt • Souriau Æ ,a «hn.ee ouverte à 9™d conter, publie Uo AU bureau, .vont présent» : M. A. Le ’ Dons cadre des semaine» musicale» lefpÆeu^"TïoSî que mu- Gallo, maire, conseiller général; M. A. concert Public du siciens do l’agréable concert ou'lls"S Lucas, maire-adjoint; M. P.A. Souriau. merci edi 19 décembre, organisé par MM. avaint donné l’occasion nous président ; M. G. Le Duc. présldent-ad- PadU maire-adjoint. Caimel et Mérlot. Al’entriacte ïntin Aonnï^nnif joint ; M. G. de Vassal, secrétaire. faus le Patronage de la R.T.F.. a obtenu dans une sait; voisine ni Lecture est donnée des excusés. J® sVc?ès. dont on Pavait douter en - Municipalité iSs artistes de lWmï M. Souriau remercie les musicens pré- pÇJté leur concourt “ tM qul 0,,t nie et tous ceux qui avaient apporté r-ent et donne lecture de son allocution. pr^lf *®ur concours. . coriCoulv; à u réussite de reit* vieil» 11 indique que l’année musicale écou- ^“anti au programme, très varié, il a nlfestation musicale M R r-ihÜ? ....ma* tée a été satisfaisante, les .différentes for- au* auditeurs une vue d'ensemble. l’honneur de remettre ie dinlàme6** °Io mations de «La Boulonnaise» ayant eu JJ Se iwqS ° 1 dU fo,klore médaille d'honneur de la cSnfédératioS souvent l’occasion de se produire, en par- *‘u_ nS«ue classique. Musicale de Pranee \ \r\r ni*»* ticulier à Boulogne-Billancourt. Les mélomanes ont regrettéqu'une-pari "■membre et Andre‘ irse réjouit de la fusion de l’Harmo- tic. du Public- insuffisamment averti, sé • .40 ans de harmomc mi de SîdSÆ* usines Re- “U™,™l ^ns /obllgetion d'applaudir en- : & %£%*£'àD1?jK Rd°.etf- l nauit avec « la Boulonnaise » et .remercie tlîm les différents mouvements d'une (41 ans de service) - Canu Lnniv- a ceite occasion les. musiciens de l’Har- «J»®;«jwfc par exemple lé « Divertis, : g* cT profeieur à' l^cole de inS . mpnie Renault d'avoir bien, voulu s’-lnté- * de » masnifiquement in- ans de service) Nos féUrit'iiionc . grer .dans le?, rangs de «la Boulonnaise» BTCC' Ma^lï’ ,Por' c« infatigabîS pionn^S de î’m musi- •;: «t^U?^8fr0Üt d0réna^-ïes rnte. Seuc. bass^UKr)îoïlSi « ^our récompense^ bien' M. Souriau présente ses remerciements lor.slde morale. Xi- qUl viciît d enchanter son audi- de oencert. nous enteSdimw « l’Agadio » ., nancicre et materielle quelle accorde à !rJut ceci ps • .- d'Albinoni. par Martin Rublon. 1er viœ ‘ lVexprtiné ensuite sa gratitude à M. Jj»1 compte c’est qne Je public gabinien iupérîeuïfV^liulke^mpîtrt 2?°"™ ' G. Le Duc qui assume conjointement les a‘limed La' ÜÏa“ce ld'rnlfndr‘-* un pro- ■ l0p T-Paul De^on ^olon?^^^^^^ fonctions dé président-adjoint et de tréso- gramme excellent, des artistes de talent iggj piIjs (( l6 tnmbouiin » de t ph rier-général et assure de sa reconnais- qui , nTrln,c cette, soirée et. comme meau uio pour ^autbo^ nar j sance notre directeur. G. Dayrifis. qui ‘eJou1l|il>t^r- lc coonel Charollais dans Dochèz. 4°annél Marcsîhmit dirige avec une compétence éprouvée les quf. la JcunÇ-sse soit mise Yves L’Haridon ’3-' «unée Ces trois élè’ troLs formations de «la Boulonnaise». dn° 1 ?rt mVsical danV su ves ont drot à nos féHcitâtions nour lînr A zenvoyet d urgence L'allocution du président Souriau re- plus exquise et la plus vraie. bonne tenue et 2 soin ou«i£ SïïirÎ2Ï cueille les applaudissements de l’assis- «nts în*1 ïenShan^ à leurs éludes musicales ' P BULLETIN DE SOUSCRIPTION A la première édition du GUIDE PRATIQUE et ANNUAIRE des Sociétés Musicales de FRANCE et des

Mconnaissance du rapport moral. SSlilHiivfCLcna!Popuiarrc2» ÊMBcelui-ci de donnerIsil le meilleur de lui- pays de langue française appartenant à la C.I.S.P.M. Edité sous le patronage de la C. M. F. ; partlctpb ^'a B°ul

L A v v .j. « i-'i.üi'i;

CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE FEVRIER 1963 c? a Bourgoin i Fes- rier. Ce fut un réel succès pour notre îüis!donoS r de • groupements musicaux jamibes. Particulièrement affectée cette ainsi que représentants m. Je présidont euhe n?;V'l,nn(?rla! Juniors» dans lo année par le décès de M. Menneglier. prestidigitateur et pour tous. Et volet que ni? ?.,den ït*tCs1 du centenaire de l'Harino- d o^bcslrc de l’Harmonie S.NC.F. PIERREF1TE cïSîvCaralj °Aet riMd importantes00"86!1 sftlùrM délégations ' notre doyendont -ne de Jüourgoin-Jallleu : le l Ouest, elle s est fait un devoir de lui 2S»WSn«!,a“1"*1' ^ ,0"'- rt- la présence a, largement contribué au Malf- a Lyon : Examen fédéral de aedser cette messe du 2 décembre 19152 A Une surprise-party fort réussie de la Mais il faut une fin. il se fait tard. succès de notre assemblée. cours supérieur : at-Gcrmain l’Auxcrrois en mémoire des 1e «,ar v ent n0Us prendre pour le retour Société Musicale de Pierrefitte A Pierrefitte. JmÎÏ'aÎ Confiancc a la P^Part de nos .ct 30 Juin a Allevard-lcs-Bains : ■'C-iatîons non seulement, musicales, mais sociétés découragées et en péril par Ia Congres annuel de la Fédération du Sud- amicales entretenues avec lui. De plus, en Chacun, enchanté de cotte belle jour­ carence du recrutement au cours des an­ Est et Festival de commémoration du Le 2 décembre, les musiciens de la So­ née passée en famille, l’on se quitte en anniversaire de notre U.D. • unissant à l'Amicale « As de Trèfle » 31* se disant : nées qui ont suivies les hostilités de 1939- ciété Musicale de Pierrefitte se firent « A l'année prochaine ! »... 1°,-vin d'honneur offert par la “I R-I* fêtant ses héros morts pour tivec une nouvelle surprlse-party. î?,:,^f,K.°nsCii1.lor sur lcs moyens les plus m Patrie, cette solennité du souvenir est entendre, sous la direction de leur chef susceptibles d assurer la formation des municipalité de Mcyzieu. un repas ami- encore rendue plus émouvante avec les M. Perrier et furent applaudis. C’était la Musiciens, venc-z vous faire inscrire à Jeunes adeptes dans les meilleures condi- Sî H?hî2,ement servi par « l'Hoitellerio . sonneries de trompettes et les roulements Sainte-Cccile-, fête des musiciens. la Société Musicale. Vous serez les bien­ St-Hubert » se termina par un très large, de tambours. Cette année, le Comité avait décidé de venus. îioîT lilirc en sorte que nos associa­ échangés de vues que résume magnifi­ tions trouvent auprès des pouvoirs pu- Pour rehausser l'éclat de cette messe donner une ambiance toute particulière F. COUSIN. ~iics- J» sollicitude méritée par leurs ef- quement cette admirable pensée de l'aca- Je Stc-Cécilc, l’Harmonie des Chemins de u cette fête en organisant une « surprise- foits teiles furent les directives qui ser- domiclcn Georges Duhamel : fer de l’Ouest (dont l’éloge n’est plus à party ». «Quand Je songe au bienfait de la ’ ü d'1 pf^ifarfC “ la crélllion 0e notre :.atre. sous la direction de M. Marollenu. Oràce à la municipalité, qui à mis un 1 U.D. et qui demeurent les objectifs à musique, à la richesse qu’elle ;appon-c, & en 1 absence de M. Hubert, directeur, ma­ car à notre disposition, nous nous som­ REPARATIONS poursuivre sans défaillance si nous vou- o..*AMrW1^fS*C quel,e confère, à l'accent mes retrouvés au Relais de la Vallée, à lade 1 s’est jointe à nous, comme de cou­ InLÎÜ'T maintienne le rythme de notre 2ÎLe*LC ïïet sur loulcs «os pensées, sur tume pour établir le programme ci-dcs- Eaubonnc, où une grande réception nous REMISE A NEUF aettvite et de notre progression. m°utn,?!!« mcnls ot sur nos Cfuotions, je attendait. Nous m étonné que son enseignement ne soit dous : remercions la municipa- DE TOUS INSTRUMENTS Ainsi que nous l'avons relaté dans un 1) «Harmonie»: Nocturne, de Victor Htc de'Pierrefitte. précèdent compte rendu inséré par le pas absolument obligatoire et poussé fort Gallois ; «Chorale» : kyrie de la messe Les 70 personnes invitées prennent CUIVRE BOIS loin, partout et sans défaillance». Comment ne souscririons-nous pas co Laudate Domium de Cœlis, de Roland place devant les tables bien dressées. A NiçlûUge Argenture Vernis . Œintuï.' Ci'-Fdont- l’un oxclusivc- la table d’honneur, nous avons le plaisir ment «Juniors» vœu qui sera aussi notre conclusion. de Lassus : 3) « Harmonie » : extrait de FABRICATION — OCCASIONS •*a. 2-> symphonie inachevée, de Schubert. d’avoir, comme tous les ans, M. Roger sccteurs partciulièrement réussis? ont^ma- N. Revol, président de l’ü.D. Isère. 4) « Chorale » ta capella) : Sanctus et Préville, maire de Pierrefitte. et M. Henri ARTISAN SPÉCIALISÉ ct?V^VCmenb con^r,né le renouveau mu- Benedictus de la messe, de Roland de Castella, maire adjoint : MM. les presi­ Lassus ; 5) « Harmonie » : Extrait d’un dents et directeurs des sociétés musicales R. MAZEREAU HnÆ?PartCmfnt- Nous ne nou* VALENCE tableau (final), de Moussorsky ; G) « Cho- un grand nombre de dames et demoiselles SrÆr.pdou°?C obs e r ver'3 a tt'en 11 vemen t xale » : Agnus de la la messe de Roland rehaussant l’éclat de notre petite fête de 19, rue N.-D_.de.Lor«tte, Paris-9!‘ comme il sc doit celui qui concerne ÏÏ’S- S°us la direction de M. Kurl Speidel, famille. de Lassus ; 7.1 « Harmonie et chorale » : seignement. musical et la formation des I Harmonie municipale de Valence a Libéra, de Chérlon : 8) «Harmonie et Notre président. M. Méro, prend la pa­ Fournisseur jeunes ». •Chorale » : Fugue Rendons grftce û Dieu, role et souhaite la bienvenue à toute l’as­ _ de la Garde Républicaine donne un concert d'une belle tenue do J.-8. iBach. sistance. «y • • _ «-r 'M/-' 4, ». • • - '”5v Nombre de candidats musicale Oe-.pi^jgranime. particulièrement sélec­ Au : dessert, comme à l’habitude. M. Années ■ Solfège - .Instrument 1955 Total tionné :cette anné.e, a revêtu presque un Cousin, le secrétaire en fonction depuis .292 292 caractère de concert spirituel, du fait, 4« ans. donne le compte rendu de la 1956 402 altalllê de la société pendant l’année V1LLABE 1957 482 non seulement de la présence d’un or­ 482 î!!!... lmcnt ,au 29 novembre. li a été re- chestre mats aussi, du fait de la bonne 19G2. Au nom du comité, il adresse tous 1958 681 223 904 pousse .ail 12 décembre pour oette seule les remerciements à notre municipalité , Au cours d’un concert donné le .samedi 1959 811 exécution des chanteurs de la «.Cœcl- 394 1185 offrhDdi?Ur- Speidel ne voulait pas ■ jüa». Cotte dernière, débutant en 1948, en qui y contribue pour une bonne part, 8 décembre, dans la salle des fêtes de la 1960 844 440 commune. l’Amicale de -Vlllabé. batterie- 1961 l284 nois d° la‘peu Pres r‘u public valenti- «. Don 2 Son est acuellement en supé­ ainsi qu’à MM. Scrrières et Marchai pour 926 464 1390 les services rendus à la société. Notre fanfare, participait au concours itiné­ 1962 1141 rieure A, frappant ainsi à la porte de la rant. 494 1635 0011(1 seul(1 décision classe un chef : .no Division d’Excellence, grâce a des réels directeur. Perrier. prend ensuite la pa­ progrès dus ù son compétent et dévoué rôle et s’adresse particulièrement à ses MM. Hugonnet et Maurice Brun, .prési­ directeur, M. Bousquet, véritable artiste, musiciens en les remerciant de leur assi­ dent et vica-.présidont de la Fédération, ÆS'IS1-slsnlflCMI[ «* ^sysKï.. ■ duité. Puis ce fut le tour de M. Scrrières. accompagnaient le- jury composé du ca­ qui arrive, avec beaucoup de patience et pitaine Boyer, .ancien .chef .de la Musi­ CUH -wÆWfcSuÆSïït » srpat,flni nobIe3 de pédagogie, à inculquer l’amour de la directeur de l’harmonie de Stains et de dont Si^n ?n ,n°-S dcvoué^ Professeurs lnLcMp.li1?lc L’a ^'cn senti qui remplissait . musique à de simples amateurs, leur per­ M. Eoullanger. directeur de l’Union Musi­ que du -16-: R.I.. du capitaine .Monniùge, OBaJcncnt matérialisée l® tü^tre mercredi soir d'une :foule cale de Saint-Denis. Enfin, M. Roger Fré­ cher de la Musique- de la eOndarmerie. mettant ainsi d’aborder des morceaux- veau dïs /amiM^abi0T 61évation rtu «J- S’6, ^Uts Wen ^Btcmps on n’on ■d'un niveau plus élevé et rendre- les ré­ ville. maire, dans une allocution impro­ let de 1 adjudant-chef .Bonnard, ancien 0{lnd;dats qui. ont permis à no- avait vu a ces concerts. pétitions beaucoup plus intéressantes. visée. parla de l’art musical et du soutien tambour-major de la Musique de l’Air. üi îlnscr‘rc pour un peu plus Indépendamment de l'Intérêt de curia- .. «aussi, peut-il être assuré de toute leur des municipalités aux musiques populai- A l’arrivée ,de M. Gabriel, sous-pr.éfet SSrîp «ÏA i’rfes efffctlfs qui ont valu à *lte suscité dans le public par tout nou^ . reconnaissance. . üù Corbeil-Essonnes, les musiciens exécu­ teront « La : Marseillaise ». puis M Du- Sîî- inf S xrl4?n rcSionale d’être félicitée veau voau- lc Passé, de M. Speidel est bien Après. la messe, c’est le rendez-vous tra- - c cst la distribution des récompen- boz, secrétaire de l’amicale, fit un exposé ou’eiiï p0UV la Prenilère place pr®pr® à attirer une si vaste audience. . dltiona-ol pour le banquet et là, c’èst la ses’ donb volcI le Palmarès : des activités de la société au cours de i U non -^ulcment quand au ^ Ap.rt‘s avoir dirigé la Philharmonie de . grande détente. ! M. Charles, le sympa- ' Guette André, 20 ans de services, l’année 1962, et le- concours commença. S la moyennc Uvs notes et des «aislnichf et J’orchestre symphonique.de thlquc trésorier et ami .de- tous, nous diplômo et médaille de la Fédération de mentions. Baden-Baden, M. Speidel. fuyant l’Alle- Le morceau.imposé «Bon pied, bou œil», st de nos examens 1962 dé- nrngne na2ie ct naturalisé Français, compose un menu toujours très alléchant. Seine et Seine-et-Oise : de H. Gadenne, obtint 27.80 et le mor­ re- r du nmnHrar C^fet’ une nctte amélioration J°int c.u A^:ric l’orchestre de la Légion ceau au choix «Si vous vouliez», de G.. du nombre de mentions obtenues (976 Etrangère comme harpiste. Buffart, 28,20,. co qui fit une moyenne ^iCrL^;I04LConlrc 105 sans mention en ..-JJ « ,do,uc c°nnu M. Marcellin quand U 3 pjafâfea IteSS&fAaa» de 28 points sur 30. Cette formation qui £!*,ï xü?l°n dps Sociétés.musicales de Mme Legrand André’ 36 était classée en troisième division, pre­ et elle cont™, :25 en Instrument) SfÆÎL rausi(Jue de la Légion. Et cette.. . Paris devaient être représentées par leur „ 36 ans de servi- mIÎ ülustre parfaitement de surcroît amitié n est certainement pas étrangère ù, Président, M. Hugonnet et ,M. .Brun qui. dipl°me, médallle d'argent de la Con- mière section obtint donc un 1er .prix « 5ncouraseo-nte progression de nos la,ven«c de ?T- Speidel à la tète de ascendant et se trouve, placée- mainte­ «Juniors» qui. sont passés: notre Harmonie après que M. Wolny excuses, se sont fait remplacer par 2 Fédération Musicale de France ; ______nant en deuxième.division, deuxième sec­ membres de leur bureau respectif. M. Mero André, 45 ans de services ;_MI tion. Le chef ..Allard, qui a la charge ô Vi *n^T.*,l°nsJ5tH3®0 éléments .en I960 . qu‘{ta^ Valence, eut déposé la baguette! Puissent toutes Jes sociétés vivre dans Bizet Raymond. 48 ans ; M. Perrier’ Ar- o* 1Î ,^mîat,ona. etJ50° é,én,en<3. en 1961, T1'lbaut* Présentateur habituel do. une harmonie aussi complète et aussi sin- mand, 48 ans : de 1 enseignement des Instruments à ri«êiîmL7»*î0rma^8 ct près d’un millier précisa Ouo l’Harmonie vent, en .mémo temps que des tambours, d clémente en 1962. s était enrichie avec M. Spcldol de cinas reçoit une mention spéciale. ...,^OUra2e5n,ts et réjouissants, ces ré- ®ulr®R musiciens rapatriés d’Afrique du Le capitaine Boyer ayant annoncé ces sultats ne doivent néanmoins pas nous No,'d et de grand talent, bons résultats, lo .président de la Fédéra­ griser car certaines de nos sociétés en- tion prit la parole pour remex-cler les core en proie au , découragement demeu­ personnalités présentes d’avoir bien voulu rent en .péril. O’est à elles partlculièrc- MUSIQUE CLASSIQUE AVANT TOUT assister à ce concours, et pour féliciter ment que sont dédiées ces statistiques Le programme, agréablement composé, chef et musiciens d’être en progrès cons­ dans le but de leur démontrer qu’il n’y ne comprenait, que des œuvres de .poids. tants. envisageant une participation a pas de raison pour que la réussite des Un chef d!origine allemande ne. pouvait . éventuelle de la société à la fête de la uns ne soit pas à l'avenir celle des au­ mœux inaugurer son premier concert que • des instruments Sorbonne, qui doit clôturer le dimanche tres. Sans nous lasser, nous leur redl- par un hommage à Beethoven et. oc fut 24 mars 1963, le Concours itinérant 1961- ?onc ?prôs Roland<>' Robert et Mouis l’ouverture d’ «Egmont» pour laquelle français 1962. «V1 Jpur faut s’efforcer d’y croire et de 1 orchestre s’est surpassé. Après un .discours du Sous-Préfet qui créer l’indispensable organisme que cons­ Il a rendu dans sa majesté le souffle souligna la Jeunesse et le dvnamisme de titue pour nos sociétés « L’Ecole de Mu- puissant qui inspira Beethoven à travers de classe cette fanfare, une remise de diplômes et sique », et, sans craindre de nous répé­ Goethe, celui de la liberté chère à de médailles eut lieu en faveur des mu­ ter, nous leur rappelerons ù. nouveau que 1 homme profondément patriote dont le siciens comptant un certain nombre d’an­ i«,,™ta?eS “ s?nt à leur disposition pour pays connaissait l'occupation étrangère. nées de présence dans nos sociétés popu­ assurer le perfectionnement puis la for­ •M. Speidel conduit ses 60 exécutants laires. Les personnalités présentes parmi mation de leurs lauréats susceptibles de d une baguette sûre-, tout en gardant la lesqueHes, tes maires de Villabé. Menncoy. devenir les éducateurs dont toutes nos plus grande sobriété. Seule- sa main gau­ a Ormoy et les conseiters municipaux fu­ associations ont besoin. che traduit tantôt l’envol, tantôt la rete­ rent invités à un vin d’honneur qui fut Très brièvement nous allons mainte­ nue des sentiments et des passions. servi dans une salle de- la mairie. nant rappeler les principales questions Les morceaux enchaînés qui suivirent: Le Conseil d’administration de la Fédé­ évoquées et les décisions-prises par cette 1 intermezzo de «Cavalleria Rusticana» ration est heureux de féliciter cette Jeune Importante . assemblée : et 1 émouvant .menuet de « l’Artéslennc a ct dynamique phalange qui anime la ré­ Congrès technique fédéral. — Chacun turent interprétés avec la légèreté dési­ gion de Corbeil. de nos groupements a été Invité à délé­ rable, ce qui n’est pas un mince compli­ guer un représentant à ce congrès et 'as­ ment. r semblée a émis le vœu qu’il en soit de Le pur solo de flûte de M. J. J. Garnilr même à l'avenir. avec 1 accompagnement véritablement aé* ^^di,‘fi?.tioîîs Statutaires. — Le siège r1.?? de M- Odermat-h fut un moment pri­ finir»/ ora?lffré à lu sï.Ue de répe- vilégie auquel le .tutti de l’orchestre ap­ titJons des Sociétés Grenobloises située porta une vibrante conclusion. « Terrasse du Jardin de Ville de Greno- XL Thibaut, commentateur érudit et ble ». sensible, précisa pour l’auditoire que co SUD-EST rt<»üunjîi?^îî;;tlzîdant 11 l'assouplissement menuet était, issu de «La Jolie'Fille de d .»iai,,minlstrati0îl do avec un co­ Perth » de Bizet également. mité élargi et .un bureau restreint a été Il xllt aussi l’effort énorme accompli MEYZIEU envisage et mis à l'élude. par 1 orchestre pour mettre à son pro- Indemnités aux groupements. — Quel­ gramme .la « Symphonie Inachevée » do Schubert. L'assemblée générale annuelle-du 4 -octo­ ques rajustements concernant l'indemni­ sation des sociétés ayant participé aux Il semble cependant qu’il .y ait encore bre 1962 a fait le point examens de cours moyen (départemental) a travailler certaines attaques dans lo premier mouvement notamment où quel­ Assister à un congrès dos Sociétés po­ et superleur (fédéral) ont été décidés ainsi qu un relèvement de l’indemnité ac- que flottement se fit sentir après les me­ pulaires de l’Isère est indispensable à sures initiales si tragiques, si funèbres. qui veut s’efforcer de comprendre le dé­ cordée aux formations «Juniors», avant cors d’hannonio participé au Festival départemental. Par contre, dans «l’andante con motto». saxhorns sintéressement et la foi qui animent dans toute- 1 atmosphère mystique et commo tubas un même élan d’amitié aussi bien le pay­ rl,,X yœ“ ü té*é lormulé pour solliciter séraphique fut parfaitement rendue et le san ;que l’industriel et l'ouvrier que l'in­ du Conseil general de l’Isère un relève­ dûtes ment de la subvention qui nous est an- hautbois de M. Chauvet détacha plusieurs tellectuel qui sacrifient une grande par­ lois la belle- phrase implorante autour de hautbois tie de leurs -loisirs pour que se perpétue mieHement accordée par cet organisme. instruments à percussion en progressant l’activité de nos associa­ Cotisations. —• La cotisation départe­ posé C t0Ut CC mouvement h été coni- cymbales tions. Ainsi s’exprimait— ù l’Issue de no­ mentale demeurera inchangée. Par con- tre, la cotisiition fédérale passera de 18 Bravo encore pour la Marche nuptiale instruments & cordes tre dernière assemblée —, lo reporter d’un d 21 F en 1963 et sera à do « Lohengrin » où les cuivres tantôt as- guitares classiques et de j*ss . grand quotidien régional auquel je m’as­ nouveau revue sourdis. tantôt triomphants, firent mer­ instruments de fanfare. socie pour dédier sa conclusion à tous veille et pour la grande « Valse de l’Em­ nos dévoués animateurs cm général et plus - 'i il» HALO jj. battorio. sonnerie pereur » de Johann Strauss dout l’ouver­ particulièrement : ture solennelle évoque les fastes de la — à. la mémoire du regretté Reboul. CHEFS DE MUSIQUE cour viennoise. Penfant de Moyzleu, qul-so dépensa sans Après la belle exposition du motif prin­ pour vos FANIONS g compter pour sa société locale ainsi qu’à cipal par les trombones, la valse se dé­ là Fédération régionale dont il fut long­ ECUSSONS - BRASSARDS roula légère et vraiment dansante à tous temps le trésorier puis -le vlco-président BRASSARDS 1rs pupitres et notamment celui des cla­ honoraire,.aux. conseils pertinents et l'un rinettes soulevant les applaudissements en des -précurseurs de la décentralisation Attributs brodés mains rafales. fédérale puisqu’il nous légua l’exemple métier suisse Merci ù M. Kurt Speidel pour ce nou- I 10Û. ru* L*it.y*na Paru X‘ • TRUcUla* 3080 de sa ohèro Union intcrcantonale de Cre- veau départ do l’Hannonlc municipalo ’y (QUESNON mieu Moyzlc-u ; particulièrement prometteur sous cetiij — au président fédéral Rolando, que direction avisée. DamuulM aoa tarif* «t diplUAi* tous ses nombreux amis de l'Isère sc ré­ LES BRODEURS IMS Dans on *ixul qu* tou* 1----- lgnrr-i**i« jouissent d’avoir retrouvé à l’occasion de MMOMAL 8M 4cbu4«iL*t*ad*nj cette assemblée qui coïncidait aveo sa re­ E4, rue des Archives, PARIS-3’ prise de contacts avec nos associations C:C.P. 76132 - Tel. ARC. 62.50 .• pïisllISËIê après Ja douloureuse indLiposltlon qui lo -ence .et M. Viazac, conseiller municipal, >■: se recommander du journal lm iHtniWBU COUXSNON It CS it« d*a* tMMtU boaa«* mittr**i retint près de six mois en clinique et en apportaient a l’Harmo.-ie le soutien de >: convalescence. leur présence. I. Liénard. lé

•i y FEVRIER 1963 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE 15 ’ 5 j ■ î i-'rjlin. muKjqtu de !;i RA., ^ou.s la OLORON-SAINTE-MARIE diiiviion de l'adjudant-chef Duquesne et d-tille de. la Confédération des sociétés do l'adiudani Trémine. fit entendre quel- musicales de France «plus de cinquante morceaux dr son répertoire. novam- Là célébration de la Sainte Cécile a ans rlc musique». 1 SUD-OUEST nient m Morelie t)r la 2 D.B. >. la cornai:;icé par une messe, a li li.. en la M. Davier, au nom rlc- lu Fédération dos •• Match:- consulaire à Marcngo » et le •".uaedrale Sainte-Marie. sociétés musicales du Sud-Ouest. dé - AA'BAR ES 'près les ci.'-cours, cr :m ;•/ r: mi c « Flambavi ». I.'Ha.-.n jn.e exécuta 1 « Marche d’Al- core MM. Pierre Arquey. Heurt Bats. An­ àVX .C; aux cc.-ie ù. de Gluck : 2 ■ Prélcde de Lohen- dré Bouçy.et André Divan. fès e h. 30. tous iv.v. musiciens parti- examens fédéraux de mal dernier dont i;rm d R. Wagner ; 3» « Final du 1er Pjl-C, la plaquette. de la yillc a eié ac­ cïjrviicnt au psüi déjeuner offert par k 2 cia. .ni s l-r prix. L'Harmonie de La Bastide a fêté la acte», de Lhorgrln, de Wagner crochée A la bannière rie la .société. pré-vecat... te l’U.M . m. Pierre Barre, A noter un.- ieuMc.elcv» V- 10 ans. Da- Sainte-Cécile Audition très Intéressa me. sous la cli- Au cours des allocutions qui ont précédé v/ïa ;■<• Ambarês. Ensuite, on se rendit nielle Tessier, 1121e du sympathique secré­ -i la tradition. l'Harmonie de La rcctlon avisée de M. R. Lariou.sse. le vin d'honneur. M. Gaillard, président en Saint-Pif m* ou l’on eut la va- taire gênerai de la ir.air.c. qui a obtenu Bfls.it’i' i fête sa patronne, et. e.n meme Les trois schoùir réunies chantèrent : ce la Société musicale, a remercié la mu­ lisitution fi'enteadre, fions la baguette «ni en cii» Kccn supérieure. un pr'ailer prix temps, -.on ikv anniversaire. 1) «Peuple de l'univers », tic Hat miel : nicipalité des o/Tons qu’elle a accomplis c.hoj. L. Rispal. un p; aa: amnie musical de ce .’olfèsre e: un 2 prix do piano. La jour m.-?. pincée .-ou s la prélc'çnce 2» < Ave Vcrum 9. de Mozart : :-i Psau­ en faveur de la société. : choix, dont voie» l'o: dre d'exécution Cette éh ee e;. cttivéf an Conservatoire Je V George? Carrère, directeur du Con- me 150.9. île César Franck . iliard, presiden et Dissan, chef de Un vin d'honneur réunissait ensuite Achats Schubert, et «In Marche romaine », de sident F.S.M.S.O.. plus une délégation c:-,- uiasiqu" tous h’s sociétaires et ô 13 h., le lia u*ur Echanros - Occasions Cléria.se. p a gnôle conduite par M. le chanoine Az- M le docteur J.-C. Dalhos a clôturé les Bouche, à la Grarcs-d'Arnbarès. accucil- La. chorale, sous la direction de narc/. organiste de Ja eathèdrale de Jne.-t. aUocuU-diki en, adressant tous se.n compli­ lait. no musiciens, leurs familles- < t leurs M. R. F rugi on. sc faisait entendre excel- accompagné de MM. les directeurs de ment» h une société qui met en pratique ami-. A la table d'honneur, autour du uré- lcm.ucnt, dans la «Prière matinale», de l'Orphéon, de « l’Agrupacion-coral Santa r.v:age a Aide-toi. le ciel, t'aider.» ». ■t Siidont. on remarquait M. Vignou-Angiàde. H. Colas. Ar<>:•..i » et du « Plrlnéo Aragonés ». président des Société» musicale du canton RSMOÜX A î’issuo de lu cérémonie, personnalités, A i vin d’honneur. M. Laffarguc. sou- de Ca*. bon-BIftne der ret.i réunion ; puis il compllm: n;a maître Jean Del homme, elle exécuta avec médaille de bronze de la ville à Mme Che­ L'Harmonie Municipale Puloise inter-, les musiciens et salua en particulier les beaucoup de goût, plusieurs-morceaux du valier. Mme Daldet. M. Delpech. M. Pom- prêta, à l'occasion de la Sainte-Cécile, en plre. M. Lagard et M. Crézen. vétér.ana Daguet. Andreaud et Cazcaux. répertoire religieux. « cglise Saint-Joseph: li «Le prélude en •< J U sV.drr.-sse ensuite aux jeunes qui sont Un déjeuner amical réunissait ensuite ml mineur ». de J.-S. Bach, que l'on en­ O et doivent rester l'espoir de la société, tous les musiciens, dirigeants et amis de la CAUDERAN tend rarement par une harmonie f 21 .Le -nu chef Lucien Rispal. qu'il félicite/ en musique. Aux côtés de M. Jean - Pierre Sainte Cécile do la Société Symphonique « largo » de la « Symphonie du nouveau louant son dévouement, ainsi qu'aux -Meynicu. président, on notait à la table En l’église Saint-Amand. le 25 novem- monde », de Dvorak, transcription do P. membres du bureau. Puis, faisant' alïu- officielle : M. Jean Goulée. représentant bre, a eu lieu la messe- annuelle, et. sous Pardoèl iM. Pels-Lahon, cor anglais solo, i»?ï£îS *don à son récent voyage aux U S.A., il M, Henri Ciran. président de la Fédéra­ la conduite, de M. André Gondreu. profes­ est a féliciter pour sa belle sonorité et 1 termine en souhaitant que chacun garde □ tion des Sociétés musicales du Sud-Ouest; seur au Conservatoire, l'orchestre < une. son style) ; i); « Le matin ». de « Peer - l'amour de notre France et dé .son clo­ M. Lucas, maire de Bégadan : M. Mossion, cinquantaine d'exccutonts). a Interprété ; Gyut » de Grlcg : 4» «La marche des cher,. à l'abri duquel dwT joies comme adjoint ; les conseillers municipaux ; M. fiançailles de JLohcngrin m, jouée avec i* :« l'Aria de la suite en Ré ». de J.-S. Bach; celle de ce Jour demeurent inestimables. Juillac. maire de Valeyrac ; M. le curé « Concerto en Ré ». pour flûte- et orches­ puissance et énergie par les trombone» M. Giraud prend ensuite la parole, sou­ de la paroisse ; la reine de Bégadan et tre. de «Mozart, dont M. Marcel Pou - rt les cors. lignant le rôle actif de M. le maire, et le ses demoiselles d'honneur ; M. René Mev- meyre. 1er prix du Conservatoire, fit chan­ Ce programme fut exécuté— avec Jus - qualifiant d'âme de la société. nieu. président de la fanfare de Saint- ter avec une sonorité bien expressive la «esse et inumcalUé, sous la direction de Le chef Lucien Rtxpal. tient ensuite à Germain-d'Estouil ; M. Lambert. M. «Mas­ douce mélodie : « Prélude du déluge », de M. P. Pardocl. directeur de l'Ecole «Natio­ f dire aux épouses des musiciens, sa rccon- son ; M. Jean Delhomme. directeur, etc. nale de Musique. Srdnt-Saëns. dont Mme Yvette Guibczt. < naissance pour l'aide qu'elles lui appor­ Au dessert, plusieurs allocutions furent prix d'excellence de violon du Conserva­ Au banquet, à l'heure dis discours. M. FIBROCIMENT* POI3SY tent en encourageant leurs maris pour prononcées par MM. Jean Goulée. au nom toire. exprima la phrase si célèbre et fit le docteur Slminn. président de l'harmo­ leur présence aux répétitions. I! demande de la Fédération des Sociétés musicales valoir les magnifiques ressources de son nie ; M. Fragonard, représentant M. le PARIS ; 17, rue D^uncu, 2* • Télc: 4. ensuite aux parents de donner le goût difficultés propres â la musique mil i la ire. qui doit chercher un difficile équilibre entre les exigences de musique de l’art et celles de Ja discipline. * <1 Dans sa spirituelle réponse, le général i manifesta tout l'Intérêt qu'il porte â la § musique en général et à la musique mili­ taire en particulier, dont il connaît fort % bien et de longue date, les problèmes. Et. >3 56, rue Lepic, PARI S-18° fort applaudi, il invita l'assemblée à por­ ter un toast â Sainte Cécile et à la mu­ Tel. : MONTmartre 39.87 sique militaire. M. Ciran apporta le salut de la Fédération et avec humour, évoqua les souvenirs de la 20- année passée- â la musique militaire ou se forge pour toute une vie Ja fidélité aux sociétés musicales. Un rtpas amical devait, ù l'issue de ce w* Anches et becs pour artistes vin d'honneur, réunir au mess les cadres - ». . de. la musique de lu 3n R.A. -et ceux de la musique tie la TV- R.M.

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16 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE FEVRIER 1963 .1

M. R. Lemoyne félicita chaudement tous de la Fédération à MM. Jacques Saigne c. Viva Espana marche espagnole dt* Les membres ce La Lyre et leurs in­ SUD-OUEST les musiciens rie l'O.S.T. pour la qualité et Maurice Crespo. et le- diplôme de Me- Ftomsbcrg ; :< SI j'étais roi o ( ouverture ■ vités se rassemblaient ensuite au Petit- k de l'audition donnée à t'çglise Sainte-Ge­ rite â M. Paga. ci'Adam : « L-es .Mousquetaires au cou - Louvre où un repas amical leur tut servi. (Suite de la page 15) neviève. Enfin. M. Dubois procéda à la remise vent» de L. Varney .(solistes : MM. CI-«- Autour d<* M. Oranger, conseiller muni­ i de la plaquette et du diplôme de la jeu­ ver if. Saigne. Baumei. Oonthle et Gouil- cipal délégué, qui présidait, se trouvaient légué : M. Jonqua, president-fondateur de 3t. Dubois excusa M. le docteur Win- laudl. les personnalités ci-après : nàert et fit part de la Joie qu'il éprou nesse et des sports (ministère de l'cducu- l'O.S.T. ; M. Saint-Blancard, vice-pvési- Le R.P. Chouveion. curé de'Talence. ac­ M. Marchand, président et chef de ta tlont de la Fédération de- Sociétés musi­ valt d« se retrouver au milieu des musi­ tlbu nationale» au plus Jeune musicien de Lyre Talençaise : M. Capdeville, prési - ciens de l'O.S.T. l'O.S.T.. M. Jean-Claude Fruissc. cueillait ensuite les musiciens à l'église cales du Sud-Ouest ; M. Mora, chef de la Notre-Dame où. au cours de la messe de drnt de l'Harmonie Sainte-Cécile de Vilîe- Musique municipale de Bordeaux ; M. M. Saint-Blancard excusa M. le prési­ navo-d'Ornon. représentant M. Ciran. pré­ - La Lyre talençaise a célébré Sainte Cécile 11 h. 43. la Lyre donna une magnifique Marchand, chef d'orchestre, et MM. Rl­ dent fédéral, M. Ciran. et après avoir re­ audition. sident de la Fédération des sociétés mu­ $: coux et Ooulllaud. représentant la Lyre mercie les dirigeants de l'O.S.T. pour leur La Sainte Cécile coïncidait avec le sicales du Sud-Ouest : M. Roubln. prési­ A l'orgue. M. Roger Lemoyne. chef de v • Talençaise : M. Coue.harrière, rcpvésen - aimable invitation, 11 les félicita chaude­ soixantième anniversaire de la Lyre et M. dent de l'O.S.T.: M. R. Lemoyne chef tant La Talençaise. etc. ment pour la qualité de Jour musique. Marchand, le distingué chef, avait pré­ l'Orchestre symphonique de- Talcnce. d'orchestre au Grand-Théâtre et diri-e- A l'issue du repas, le président Rotibin, Mme Isabelle Durou. présidente des paré un programme particulièrement L'assistance fut enthousiasmée par la teur rte l'O.S.T. : MM. Pébé. GouJllaud. manifesta tout d'abord g;» Joie de se re­ Amis des Arts et du Mérite national fran­ choisi pour les deux auditions qui allaient qualité de cette nuditlon et le R.P. Chou­ Ricoux, respectivement vice-président, s*- trouver dans cette amicale ambiance, au çais. procéda à la remise du diplôme et être données dans la matinée. veion adressa ses remerciements à M. crétaire et trésorier de la Lyre : M. Cio. milieu de tous scs camarades. de la médaille d'or du Mérite national Marchand et à tous les membres de l’or­ membre fondateur et doyen. Il adressa ensuite un hommage parti­ Nas musiciens se rassemblaient dans la chestre. français à MM. Reigt et Billot. salle du Conseil municipal à 10 h.. M. Marchand prit la parole pour re - culier. en son nom personnel et au nom La municipalité était représentée par mercier les personnalités présentes, féli­ de tous les membres de l'O.S.T.. à leur M. le vice-président dt* la Fédération La Lyre exécuta avec brio les morceaux suivants : MM. Granger et Sarraben. citer les musiciens des deux auditions do : valeureux chef. M. R. Lemoyne. remit, à son tour, le diplôme d'honncui la matinée- et dire sa satisfaction de voir V -, réunis à une même table le doyen M. Cio I cl les deux benjamins. MM. Marge et -V- j Martin. .* M. Capdeville excusa M. Ciran et dit . • j combien Tniencc pouvait s'enorgueillir do G posséder une société musicale capable do donner des auditions comme celles du ma­ :■ tin. ». M. Oranger excusa M. le docteur Wln- naert. maire de Talcnce. et exprima sa joie df* se retrouver en si aimable société. } Il assura la Lyre de tout l'Intérêt que lui porte le Conseil municipal. Editions Robert MARTIN La soirée se termina dans une excc-I - lento ambiance par des chants, des mo­ nologues et des jeux V 106, La Coupée - MACON (S.-et-L.) i* Y (ÉDITIONS Robert MARTIN, BILLAUDOT et ANDRIEU Frères RÉUNIES) YONNE -, SAINT-FLORENTIN ! Harmonie municipale, fête de la Saint* Nous vous présentons le conducteur du nouveau succès dont nous vous annoncions récemment la ' Cécile 1962 prochaine publication. Ce morceau vient de paraître. ; Grâce au dynamisme el à la cohipfé- i henslon de sa municipalité, notre cité tto- | rcnllnoise est flère de son Harmonie mu- ; 1 ; niclpale qui compte actuellement 42 s o- 2 CONDUCTEUR SlV | ciétaires. .7 3 Après la période dinicile qu elle a trn- Ah? si j’étais... pesté célibataire l versée hofre société a été reprise en • Marché pour Harmonie ou Fanfare avec clairons ad lihitiun mains-voici 18 mois par M. Agnès. -indi.;- v F= I cutablfi symphoniste. sur In célébré chanson m 8xryton* -Tri. Paroles de ?... ____ 3____ < Depuis, sous sa direction, notre harmq- Guy De PARIS Musique de T. LUXEMBOURG ; nie s'r-sl métaniorpho.'ép. notre chef re- "j I cherchant dans toute exécution -la-sono- et A. PLETINCKX ArrV «1« Laurent DEL8ECQ I rite, l'equilibre des timbres, la Justesse, CONDUCTEUR Slt x «li .Marché le style ainsi que îa précision dans les Bols Sî attaques et les nuancés. Il faut égule- r / ■ i ment souliguer que l'importance .de.-» résultats obtenus -est due- à l'esphi de i ram;»: ■ ,!crk* et d'équipe qui régne-parmi ! Tt' sociétaires, nos musiciens su i - ; vant régulicrcmlut les répétitions gené- lv . • tal-s ci 'Je détail. Di nencité 2 décembre nôtre • harmonie & : a célébré avec éclat la Sainte - Cécile, j Pendant la ccrémonil religieuse. eî>e s» exécuté un programme qui avait fait l'ob- i jet dp nombreuses répétitions e: qui com- ; portait: un extrait des «Miniature*», i de Jean Ftlîenl -.-m ne. .pièce «vmphôPiqW r- ; rit* 3Lire Delmas; i'entr'acte 'do « Mm«|. " 1 dor.ii. de Bruneau; ainsi que « La -Mar-' "Zi j ehe triomphale du Tannhauscr ». De plus, l'ensemble dis clarinettes et I des saxophones u donné un extrait d-* ln «-'Suite Française ». rie Jean Sébastien Bach. \ Cette audition particulièrement, appré­ ciée par de nombreux mélomanes nous a valu plusieurs lettres chaleureuses de félicitations. Il faut ajouter cependant que l'acous­ tique exceptionnelle de notre église pa­ roissiale a permis à notre chef de. rnusi- | que de mettre en valeur et en relief, le* *' sonorités veloutées des bois, l'éclat tem­ péré des cuivres, le respect de* tradi­ tions classiques quant â l'exécution. Grâce à l'initiative rie notre maire et malgré la rigueur de lu température- nos : musiciens confortablement installés dans un char, eurent fi cœur de donner une au­ ■ bade dans les différents secteurs de la ville, à tous leurs amis florenilnôts. Cette manifestation fut particulière-. ment appréciée. A 12 h. 45. la municipalité offrait à tous nos musiciens. Harmonie et Rocar- mance. ainsi qu’à nos camarades pom­ piers qui fêtaient la Sainte-Barbe, u:t apéritif d'honneur. f. • ■ Puis, a 13 h. 15. un banquet réunis­ S"'" sait dans les salons, de l'Hôtel de l’Est, 70 joyeux convives sous la présidence dé M. Berloi. On remarquait notamment la présence de plusieurs édiles florehtlnols ainsi que de M. Martin, directeur de la fanfare dé P.iti; .f.» l’«atcrli>(l«a 4.. BUlitat "PRESENCE’*, P.rl, - ; sauce et la gratitude nu’lls éprouvent j pour sa personne en raison de son dc- - ; vouement cl ri» sa générosité personnelle j envers notre société, •• LE JOUR LE PLUS LONG j Une magnifique baguette de direction t fut également remise à notre chef. - Marche de Paul ANKA - Arrangement pour Harmonie ou Fanfare, par Robert MARTIN. Il faut signaler aussi que. grâce au V dynamisme de notre municipalité, la ville d»! Saint-Florentin inaugurera, certaine­ 1,25 F - PARTIE SÉPARÉE : 0,40 F. ment l'année prochaine, un théâtre de HARMONIE : 10 F - FANFARE : 9 F - CONDUCTEUR ; verdure doté d'un podium, d'une fosse, d'orchestre ultra-moderne et comportant ■: . 1 50U places assises en amphithéâtre. La -, j municipalité va y organiser de nombreux iM Malgré la rigueur de l'hiver, vous allez bientôt penser à vos sorties. j spectacles artistiques des ballets, ainsi i que de nombreux concerts. Consultez nos catalogues 51 pour Harmonies-Fanfares et 51 bis spécial pour Batteries-Fanfares, vous y trou­ L'Harmonie municipale de Suint-Flo- ! rentin. la municipalité, seront toujours j prêtes à accueillir avec sympathie toutes verez, tout ce dont vous pouvez avoir besoin car nous sommes I les sociétés qui. de passage dans notre i région, voudraient donner une audition. M. D. -• La plus importante maison d'Europe spécialisée dans l'édition et les ' ‘ -• : Le Gérant : A. EHRMANN. : fournitures générales pour harmonies, fanfares et batteries-fanfares & . j Imprime rie de « La Vigie de Dieppe » i y 12. rue- Olaude-Oroulard

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