Vendredi 14 janvier 1927. — No 5. TELEPHONE 52 67» année.

ORGANE DES LIBÉRAUX VALAISANS PARAISSANT A MARTIGNY LES LUNDI, MERCREDI ET VENDREDI

SUISSE : Un an fr. 9.— RÉDACTION et ADMINISTRATION à MARTIGNY CANTON 20 et. I ETRANGER Met. ÀTee Bulletin officiel » 13. KO ANNONCES SUISSE 25 > I RÉCLAMES .... M » Compta de Chiques postaux II o 58 (Corps 7) ABONNEMENTS ETRANGER : Un an fr. 18.— »* ( (la lif ne ou son espace) ATec Bulletin officiel » 22.— JOINDRE IO CENTIMES IN TIMBRES-POSTE A TOUTE DEMANDE S'adresser a PUBLICITA8, Société anonyme suisse de Publicité (Expédition un* fols par semaine ensemble) DE CHANGEMENT D'ADRESSE ou i l'ADMINISTRATIOH du ..COKSÉDÉgÉ;',; ,.

contre l'assistance qui humilie, qui avilit. L/assistance Les enfants seront l'objet de soins tout spé­ G» F* F« Nouvelles du ]oiu* ciaux. L'éducation et une bonne formation pro­ Vingt-cinq ans (1902-1927) chez nos Confédérés fessionnelle défendront l'adolescence contre les M. Maurice Sarraut n'a pas accepté de candi­ dangers de la dissipation et le paupérisme. dature à la présidence du Sénat français. La Valais et St-Gall Uû quart de siècle s'est écoulé depuis le jour Le priniepe de l'assistance par la commune gauche dé|anioeratique a désigné pouir son can­ où tput orné de fleurs et pavoisé aux couleurs didat M. Paul Dominer devant lequel s'effacent Le peuple valaisan devra être appelé, dans peu d'origine est maintenu à St-Gall, mais avec des fédérales le premier train des CFF fit le trajet tempéraments introduisant dans une certaine MM. A. Lebrun et H. Chéron, dont les nains de mois, à se prononcer sur un projet de loi d'Aarau à Berne. Dès ce matin du premier de avaient été prononcés. d'assistance dont nous avons entretenu maintes mesure l'assistance par la commune de domicile. l'an 1902, la jeune entreprise d'Etat n'a eu qu'un « ai « l'ois nos lecteurs et que le Grand Conseil a voté Jusqu'ici, il existait'entre eom.munes de criantes but, -, celui de servir le pays, d'être utile à toutes L'ambassadeur du Mexique à Washington fait définitivement en seconds débats dans sa session inégalités, les unes ployaient sous le poids des les Classes laborieuses de la population, de con­ charges d'assistance, tandis que d'autres ne con­ tribuer à la prospérité de notre économie publi­ des déclarations au sujet de la situation politi­ de novembre. que au Nicaragua. Le président Galles a reconnu naissaient pas même une imposition de cette na­ que, par une organisation toujours plus moderne Après l'échec, plutôt regrettable d'un premier, le chef des libéraux de ce pays M. Sacaza, cojm1- ture. Il y a des communes où habitent à peine des transports. Parfaitement conscients du rôle projet sur la matière en 1921, il est à souhaiter d'institution d'utilité publique qui leur incombe, ane président lëgiti|m«. que le canton soit une bonne fois doté d'une un quart de leurs bourgeois-. La loi nouvelle fait les CFF ont cherché, par tous les moyens à leur •'T%, « • « intervenir l'Etat et établit plus de solidarité en­ législation rationnelle sur l'assistance, législation portçe, à augmenter la production et à faciliter Le Dr Curtius poursuit ses déaniajrches et con­ dont la nécessité se fait sentir impérieusement tre les deux catégories de commune. les échanges. Les mesures destinées à encourager sultations en. vue de la constitution du minfsw depuis qu'un arrêt du Tribunal fédéral a inter­ A la commune d'origine incombera le soin d'en­ le commerce, l'industrie, le tourisme et l'agri­ tère du Reich. Bien que viveanent patronné par prété le Code civil de telle façon que la presque tretenir ses ressortissants pauvres qui habitent culture ont toujours trouvé un bienveillant ap­ le président Hindenbourg qui voudrait à tout pui ide la part de notre réseau et chaque fois totalité des parents sont exonérés des charges sur son territoire et ceux qui habitent hors du prix constituer un jmùnistère de droite — et qui qu'une contrée a eu besoin du dévoué concours d'assistance. Cette indésirable « succession » a canton. La commune du domicile devra entre­ envisagerait interne une dissolution du Reichstag des confédérés pour améliorer ses conditions pour y parvenir — M; Curtius a peu de chances été dévolue aux communes qui de ce fait sont de tenir les Saint-Gallois qui sont tombés dans l'in­ d'existence, les CFF ont dû, souvent au prix des digence après six mois de séjour dans le terri­ de réussir. Les pourparlers engagés avec le Cen­ plus en plus obérées. plus lourds sacrifices, prêter leur assistance. En, tre pour s'assurer sa collaboration n'ont pas Si désireux que l'on soit d'une réglementation toire de la dite commune s'ils n'ont encore ja­ outre, on s'est toujours efforcé de parachever abouti. Les socialistes sont ravis de cet échec qui rationnelle mettant fin à ce que l'on peut pres­ mais été à la charge de l'assistance publique. Elle le réseau de manière qu'il pût être cité en exem­ risque de faire rater toute la combinaison. que appeler l'anarchie actuelle dans le domaine devra également entretenir ceux qui y sont de­ ple et d'adapter l'exploitation à tous les pro­ « * • de l'assistance, le projet de loi sorti des derniè­ puis trois ans s'ils ont déjà, été assistés. Pour grès de la technique. C'est ainsi qu'on est par­ venu à faire des CFF une entreprise de trans­ L'anarchie paraît de plus en plus complète en res délibérations du Grand Conseil, que ses ins­ ceux qui sont incapables de gagner leur vie d'une manière durable, on exige un séjour de dix ans ports offrant les plus sérieuses garanties d'or­ Chine. On signale le pillage d'un imiagasin japo­ pirateurs appellent volontiers une loi de transi­ nais à Fou Tchéou, de mauvais traitements in­ dans la commune du domicile. L'Etat accordera dre, de sécurité, de fonctionnement irréprocha­ tion pour excuser sans doute le point faible de fligés au consul belge à Hankéou. Les étrangers , des subventions spéciales aux communes d'ori­ ble, entreprise qui occupe une place honorable ses assises, présente trop de défectuosités pour parmi les chemins de fer européens. En ce 25me fuient Kiu-Kiang occupés par les Cantonais. être voté avec beaucoup d'empressement. Faut-il gine dont les contribuables sont très chargés anniversaire, nous voulons nous rappeler ces faits Des désordres xénophobes ont éclaté dans d'au­ adopter cette loi de transition qui aura proba­ d'impôts des pauvres. avec satisfaction et reconnaître hautement que tres villes. blement la longue durée de tout ce qui est consi­ Un crédit de 350,000 fr. est prévu à cet effet. la réputation internationale dont jouissent nos déré comme provisoire, ou bien faut-il la con­ En outre, l'Etat subventionnera les établisse­ services est aussi basée sur les capacités profes­ i3£i damner pour hâter l'avènement nécessaire d'une ments et asiles d'indigents. sionnelles de nos cheminots. — Après avoir con­ LES' PRESIDENTS nu des années de prospérité qui faisaient bien législation plus logiquement conçue dans la­ • • m DE LA CHAMBRE pËs DEPUTES augurer de l'avenir, les CFF ont eu à supporter quelle l'Etat, mieux armé que les communes (au . Nous avons vu quelles sont les dispositions l'écrasant fardeau de la période de guerre et moyen d'asiles pour vieillards et buveurs, mai­ nouvelles et essentielles de la loi saint-galloise d'après-guerre. Ils n'en sont pas moins restés les Le 11 janvier "1927, la-Gnambre des députés a sons de correction, colonies pénitentiaires, etc.), élu pour la première fois.un président socialiste, sur l'assistance publique. On peut regretter que fidèles serviteurs de la collectivité quand il s'est prendrait une part plus importante à l'assistance M. —'"qu'il ne faut pas con­ telles d'entre elles soient ignorées dans la loi agi de procurer leur pain quotidien aux phalan­ et à la mise en œuvre des moyens préventifs con­ fondre avec le vénérable publiciste Ferdinand valaisanne. Cette organisation d'entr'aide des ges d'ouvriers appartenant aux industries et aux tre le paupérisme ? métiers atteints par la crise ou de se porter Buisson, à cause de la similitude des noms. comimunes pour la fourniture réciproque des éta­ au secours du commerce menacé dans son exis­ C'est un industriel algérien. Il est né à Cons- Avant de prendre position, nous aurons à exa­ blissements d'assistance est fort intéressante. tence et auquel il fallait fournir la possibilité tantine en 1874. Elu pour là première fois député miner la question de plus près encore. Aujour­ Pourrait-elle se réaliser en Valais ? Là-bas dans de lutter contre la concurrence étrangère. Ils des Bouches-du-Rhône en 1909, il siégea depuis d'hui, nous avons l'intention du signaler ce qui le Rheinthal ou le Toggenbourg on se plaint l'ont fait dans la certitude que les bases de sans interruption à la Chambre des députés. vient d'être fait dans le m âme domaine par un aussi de la dureté des temps. Il est probable ce­ l'entreprise étaient solides, dans le ferme espoir Vice-président après les élections de 1924, il se distingua avantageusement en dirigeant avec canton confédéré de la Suisse orientale. pendant que les ressources communales y sont que l'horizon économique finirait par s'éclaircir impartialité et sang-froid les débats du Palais moins limitées que dans les vallées du Valais. et, surtout, dans la confiance absolue que le bon esprit animant le personnel permettrait de Bourbon, plusieurs •fois en l'absence du président. Ce qui nous a surtout frappé dans la loi saint- Le Grand Conseil de St-Gall a voté l'an passé surmonter les difficultés de l'heure. Nous devons L'élection de M. Bouisson paraît être avant tout une nouvelle loi sur l'assistance qui est entrée galloise, c'est l'énergique offensive prévue contre nous appliquer à devenir maîtres de la situa­ un succès personnel. en vigueur le 1er octobre 1926, sans que l'on ait les causes permanentes de paupérisme, par la tion créée par les bouleversements intervenus La Chambre des députés de la Illme Républi­ demandé le référendum. (Ce canton, contraire­ surveillance serrée clés dilapideurs et clos amo­ dans les transports, afin d'être au plus tôt à la que remonte à la Constitution de 1875 et a suc­ cédé, conjointement avec le Sénat, à l'Assemblée ment au nôtre, est pourvu du référendum, facul­ raux candidats à l'assistance. Nous n'avons pas hauteur des circonstances. Plus que jamais, il est nationale. Elle a eu pour présidents successifs tatif) . la loi valaisanne sous les yeux en ce moment, absolument indispensable d'observer une stricte mais nous savons bien que la lutte préventive économie en toutes choses, de simplifier la mar­ pendant son demi-siècle d'existence : Cette législation nouvelle abroge une loi vé­ Jules Grévy, 8 mars 1876 - janvier 1879. contre l'assistance, l'essentiel selon nous, n'y oc­ che des affaires et l'exploitation, de rompre tusté datant de 1835. Bien qu'elle parut avancée avec de vieux errements qui sont en contradic­ (devenu président de la République). cupe qu'une place trop restreinte. Quelques se­ pour l'époque, elle ne cadrait plus avec les be­ tion avec les principes d'une gestion moderne, Léon Gambetta, janvier 1879 - novembre 1881. maines avant les seconds débats, nous avions soins et les circonstances actuelles. Dame, un de rechercher t avec soin toutes les sources de re­ , novembre 1881 - avril 1885. siècle presque use autre chose que de fragiles dénoncé de graves lacunes et les habitudes rou­ cettes. Si les cheminots, sans exception, font , avril 1885 - décembre 1888. lois cantonales ! tinières et empiriques de certaines autorités preuve "d'une bonne volonté que rien n'arrête, Jules Méline, janvieiy-: octobre 1889. Charles Floquet, novemb. 1889 - décembre 1892. La loi saint-galloise de 1835 ne faisait pas de communales presque aussi imprévoyantes que les si chacun, dans sa sphère, s'évertue à sauvegar­ der les intérêts de l'entreprise par un travail Casimir Périer, janvier - novembre 1893. distinction entre les imalheureux tombés dans assistés. Et nous avons eu l'impression parfois, acharné, si l'ensemble du personnel considère , novembre 1893 - mai 1894. la misère sans qu'il y eut de leur faute et indi­ en assistant aux derniers débats du Grand Con­ seil, que l'on s'attardait énormément sur des comme un devoir engageant l'honneur profes­ Casimir Périer, juin 1894, gents coupables. Elle ne prévoyait pas des mesu­ sionnel de contribuer à l'assainissement de nos (élu Président de la République). vétilles et que l'on' a par contre négligé des côtés res préventives contre l'appauvrissement complet finances, nous pouvons, en cet anniversaire, re­ Burdeau, juillet' - décembre, 1894. > et elle se basait uniquement sur le principe de importants de l'œuvre en chantier. C'est à la garder sans appréhension l'avenir. Les CFF con­ Henri Brisson, décembre 1894 - juin 1898. la commune d'origine pour la répartition des racine qu'il faut combattre le mal. tinueront à remplir dignement leur mission au , juin 1898 - juin 1902. charges d'assistance. Nos futurs établissements d'assistance sein de la vie nationale au grand avantage du Léon Bourgeois, juin 1902 - décembre 1903. La loi nouvelle fait une nette distinction en­ — s'ils ne se font pas trop attendre — auront à peuple suisse et pour le bien de la Patrie. Henri Brisson, 1904 combler les lacunes de notre législation sociale. , janvier 1905 - juin 1906. tre indigents coupables et les assistés qui sont Le Président de la Direction générale: G. Henri Brisson, juin 1906 - mai 1912. des victimes innocentes de la mauvaise fortune. SCHRAFL. Paul Deschanel, mai 1912 - février 1920. Ces dernières seules sont assistées. Les débau­ (Bulletin des CFF). (élu Président de la République). chés, les prodigues, les paresseux, oublieux des Techniciens suisses en Turquie Raoul Péret, février 1920 v-. juin 1924. devoirs envers leurs proches et envers eux- Une personnalité turque, appartenant au mi­ Paul Painlevé, juin 1924 - avril 1925. imêmes seront l'objet de mesures de police et se­ nistère des chemins de fer, de passage à Berne, Une auto-toute à travers la Suisse Edouard Herriot, avril 1925 - juillet 1926. ront cas échéant internés dans des maisons ad a déclaré que la Turquie va construire plusieurs La société « Hafraba », à Francfort, a pris l'ini­ Raoul Péret, juillet 1926 - janvier 1927. hoc. La promiscuité démoralisante entre enfants lignes de chemins de fer et de routes et que tiative de tracer et de construire l'auto-route Fernand Bouisson, janvier 1927. et adultes n'est pas admise-dans les maisons d'in­ pour ces travaux, des ingénieurs et techniciens Hambourg-Bâle-Milan-Gênes, reliant la imer du Mercredi, ont été nommés vice-présidents de ternement. suisses seraient volontiers engagés. Nord à la Méditerranée ; cette entreprise ne pré­ la Chambre : MM. Bouilioux-Laf ont et Léo Bouys- sente pas de sérieuses difficultés techniques. sou au premier tour, et MM. Frédéric Brunet Pour arriver à une application rapide des dis­ Les vieillards s'en vont La route aura environ 830 kilomètres de lon­ et Henry Pâté au deuxième tour. positions nouvelles de la loi et pour qu'il n'en Mme J. Menoud-Musy, épouse de M. Jean-Jo­ gueur ; le 42 "%, soit 350 >km., se déroulera dans Ils appartiennent tous les quatre aux groupes résulte pas une trop forte aggravation des char­ seph Menoud, notaire à Bulle, qui le 28 novembre la vallée du Rhin et le 33%, soit 275 km., dans de gauche. ges' d'assistance pour les communes, il est loisi­ dernier, avait célébré ses noces de diamant, a les plaines de l'Allemagne du Nord. Passant par ble d'appliquer la loi en commun : l'une d'elles succombé dans sa 89me année. Elle avait con­ Bâle, la route continuera sur le Gothard en tou­ ouvrira un établissement destiné à abriter les in­ tracté la grippe. chant Zurich. Au cas où le Gothard serait fermé L'antifascisime en Suisse digents non coupables ; une autre aménagera un Fille de Pierre Musy, grand-père du conseiller à la circulation, les automobiles seraient char­ Dimanche a siégé, à la Maison du Peuple à fédéral Musy, elle était par conséquent la tante institut pour les débauchés et les incurables gées sur vagons à Gœschenen ou à Airolo. Zurich, la première conférence suisse pour la de ce dernier. moralement ; une troisième établira une maison La largeur de l'artère sera de huit à neuf lutte contre les tendances fascistes. pour enfants, etc. Un asile cantonal pour indi­ Au Grand Conseil genevois mètres ; le fond de la chaussée sera en asphalte Ont participé à la conférence, les comités anti­ Le Grand Conseil genevois a réélu président gents existe déjà à Wyl. ou en ciment. Le coût de la construction dépas­ fascistes de Zurich, Genève, du Tessin, de Bâle, M. Paul Lachenal, radical, par 58 voix. Les so­ sera la somme de 120 millions de marks, soit Berne, Lucerne, Soleure, Lausanne, Winterthour Comme de juste, les (mesures préventives ont cialistes qui avaient présenté un candidat à la près de 150 millions de francs suisses. . et Schaf f house. Etaient en outre représentés : le été l'objet de toute la sollicitude des législateurs présidence ont alors déclaré qu'ils refusaient comité de la Fédération suisse des travailleurs saint-gallois. Les autorités ont l'obligation for­ toute participation au bureau. sur bois et du bâtiment, la centrale du parti melle d'intervenir avant l'appauvrissement total Le premier vice-président élu est M. Lacroix Tous les abonnés du « Confédéré » ont reçu un communiste, le comité central de l'Aide rouge des intéressés, fatalement précipités clans le udéiste par 48 voix ; le second, M. Fré­ bulletin de versement pour le paiement de l'a­ et le groupe communiste au Conseil national. gouffre de l'assistance. déric Martin (démocrate) par 53 voix. bonnement sur le compte de chèques postaux Les lignes directrices de la lutte contre les M. Nicole interpelle le Conseil d'Etat sur l'af­ II c 58. L'autorité tutélaire ne devra pas perdre de tendances fascistes hont été adoptées et un co­ faire de la prison de Saint-Antoine et les mal­ En payant ainsi, on ne reçoit pas de rembour­ mité antifasciste a été élu. Il a été chargé d'en­ vue les nécessiteux de sa circonscription. L'exten­ versations commises par le directeur de cet éta­ sement et on simplifie le travail de l'adminis­ trer en relations a^ec les comités de l'étranger sion des assurances sociales est une sauvegarde blissement. tration du journal. ayant les imêmes brçts. •M •Mil MM* mm LE CONFÉDÉRÉ • — • - -•

L'auditeur, major BetitmeftSét; ' a prononcé' uÈf oyg-Ùéssdes l'assemblée cantonale du parti ; qu'il a correspondance du train venant de Lausanne. On :-J.TI très intéressant. B&CWïfeiOaiïà. ©fa S^ttligrêi.'com^l accepté«ettecbasnjdidature dans des circonstances peut être. certain que si le. dépôt :des -machines ment il est: plus diffwik od^jtaSmlfeni'tr>#Ke dië-"fi^a*ticuHèféaîe»t; difficiles, faisant preuve d'un b (était à Martigny au lieu.-;d'Orsières; Ce train-ne 1 ! J 9a T eipline'- -i*î'.>" Tribun^ mSitaire à la sortiè't'tfes cours militaires. C'est le point gré. D'ailleurs, le simple.ifait que l'aboutissement La Cie prétend indispensable le Ilmê-train des­ névralgique, le moment critique entre •'• tous. de la candidature Lorétan eût privé le clan con­ cendant à 7 h. et estime qu'il ne peut êtgre re­ L'éveil de susceptibilités entre Vaud et Valais servateur sédunois, dont M. A. F. est le plat valet, Le Inbunal nu^taira dejJftlre0diyision a siège tardé ; qui nous expliquera dès lors la raison pour jeudi 13 janvier, '^^Çôîèï'qs VÀI)^ de St-Maurice, pourrait donner satisfaction aux sentiments fé- de toute représentation au Gonsteil d'Etat, suffit laquelle on le supprime durant les trois mois dftimlùrtes s'ils se manifestaient autrement qu'en pour juger g^âi^rj^ijt^r,esI'd&i|^^^gion,; doffl? amplement à expliquer ranimcteittt'dies^attaques d'été ? Un autre grand désavantage du futur ho­ cas d'ivresse, dit-il spirituellement. Il examine trois,. sous-bg&^s '^çMp)âble s d,e,;ÇQr.t- aVusii de butées du «Valais» contre^MiIIEar'éta».iï»:';< raire sur l!actuel,j«'estj qu'il n'y a plus de train r J n 1 aussi le problème délicat du choix des bons sous- l^uniforme mil^gri|^d^ivres*se;rj^ul^i6 à la po­ Quant à la présence de MJiLorétan-à l'Etat, le matin de .7 h.:25..ù 11 h. 45, alors qu'en ce mo­ officiers. Les meilleurs ne sont pas toujours ceux avant les élections de mars 1925, elle s'explique ment il y en a un très fréquenté à 9 h. 55. licé et de tapage^^eturnë; là yeîlle de l'ouver­ qu'on croit au premier, abord. ture du cours de^rjeBè^ition .militaire. par la collaboration de la minorité libérale- La Cie s'est bien gardé de nous dire pourquoi M. Petitmermét ne viïW'pas priver les inculpés radicale au gouvernement, collaboration qui rend elle ne-fait plus circuler de train l'après-midi (ni La séance était présidée par le lieut-col. Capt, 3 de gôlifoà qu'ils itfont pas respectés un jour d'ou- tout naturels des échanges de vue entre la ma­ montant de 12 h. 40 à 17 h. 15, ni descendant de grand-juge de la;'jr,e, dfvisiçm, à Lausanne, ass'isté des juges: LtpCfll .BolesJ^ à^ Genève, major bli.'lb'seï'contente de réclamer pour le sergent jorité gouvernementale et le candidat officiel du 11 h. 30 à 16 h. 12). Il y en a un à l'horaire l'été, R. —aïlme de cette histoire, —-:50 jours d'em­ d'Etat-major Mjarcrll^y^rïd, à„$iartigny ; capir parti iminoritaire. A ce propos, M. A. F. aurait-il pourquoi ne pas le maintenir l'hiver également V prisonnement, sous déduction de 11 jours de pré­ taine Turin, à^la} "jflHirgde-Peilz. ; 'fourrier Félix l'outrecuidance de prétendre que.M. Lorétan eût ce qui ferait tomber bien des critiques et permet­ ventive ; pour l'aîné des B. 30 jours et le renvoi dû réaliser cette prise de contact par l'entremise trait tout au moins à nos populations éloignées Bonvin, à Sion^^gj-j^gjt ^Rossier, à Lausanne, et du plus jeune des caporaux et du fusilier à leurs appointé Trot^e^^ G^nJwe. ~_ de M. Kuntschen, lequel, comme chacun le sait, des gares de rentrer chez elles de jour. 0 :l chefs militaires pbUr être punis disciplinaire- ne représente qu'une infime minorité au sein du Le capitainç BJ^Yr^a^Lausanne, fonctionnait'," Nous sommes l'interprète des populations de la ? ment. •''••'•• ••-•'. ::••: ••:•• ••; • 't. c; Conseil d'Etat ? C'eût été vraiment le comble comme greffier." Le ma'jôr Petitmermét,, au civil montagne en demandant instamment à nos auto­ du ridicule que d'agir dé la sorte!! Peut-être président du Tribunal des districts de Vev'ey et. Là séance ëàt suspendue a 13 h. 30. Elle est re­ rités communales et de district d'obtenir une M. A. F. le pense-t-il kii-même, bien qu'il soit de Lavaux, remplissait les fonctions d'auditeur prise à 15 h. MM. les-avocats Favre et de Cour­ amélioration de l'horaire d'hiver, ce qui est pos­ , « obligé » de publier le contraire ! auxquelles iljvieat djêfcre appelé. ten ont défendu leurs clféh%¥ 'Èyec éloquence, et sible, si la Cie y met de la bonne volonté. X. Les inculpés gt^nk le sergent R. de St-Mau? ont imploré là clém.ence^d^ÎTVflknal qui s'est En ce qui concerne enfin le prétendu anti­ rendu à leurs arguments. cléricalisme, sempiternellement reproché à M. LE CHOIX D'UNE PROFESSION pour les jeu­ rice, néVen 1898KiesiI5ieux frères Ernest et Henri B., d'origine va^d^e," nés en 1902 et 1903, et le Le sergent R. a été condamné à 21 jours d'em­ Lorètan — bien à tort, à la vérité, puisque celui- nes gens qui vont quitter l'école au printemps fusilier M., or^gy^ire de Troisf^çr^ts, né en prisonnement sous déduction de 11 jours de pré­ ci n'est nullement opposé aux idées religieuses, cause bien des soucis à nombre de pères de fa­ 1904. ventive. Le caporal B. est condamné à 10 jours — il fr'est pas un citoyen de bonne foi qui ne mille. A notre époque surtout, où la vie est de­ le préfère au supercléricalisme économique de la venue si difficile, cette question revêt une im­ Les frères B. avaient pour défë'flSSuT" d'office, d'emprisonnement sous déduction de 3 jours de «famille» de M. A. F. portance toute particulière et mérite qu'on lui le 1er lieutenant Antoine Favre^Ji Sion, et les préventive. Et, conformérnSft6°âu ^teu de l'audi­ voue une sérieuse attention ; aussi l'Union suisse deux autres inculpés étaient assistés d'office éga­ teur, le caporal Henri B. et îe^soldarM. sont ren­ LejGotnité du Parti libéral-démocratique voyés à leurs chefs pour être punis disciplinai- des Arts et Métiers s'en est-elle fortement pré­ lement par le lieutenant Paul de Courten, de '' '; ' de la ville de Sion. rement R. payera trois huitièmes des frais, occupée. La Commission centrale des apprentis­ Monthey. ,„. ,. , ,«830' . • ', -M. I! j: Ernest B. deux huitièmes, et la Confédération le sages de cette Union a publié (chez Bùchler et L'interrogatoire, le « çHJsiç^ge » -des prévenus reste. ENTREMONT. — Prochain horaire du Marti- Cie, à Berne), la cinquième édition d'un opuscule et l'audition des témoinsna ptfs quelques bonnes gny-Q^^lges. — On nous écrit : intitulé : « Le choix d'une profession », qui est heures de la matinée., iEiBs délinquants ont été Nojus;, [avons dit dans notre première corres­ destiné à donner aux parents, aux éducateurs et les héros dans ce fameux dimanche du 15 août, pondance que peu de projets d'horaire soumis aux autorités tutélaires des règles simples, cour­ la veille de la mobilisation 'derjleurs unités, d'une Au.jédacteur du „Valais" ;i actuellement à l'enquête soulèvent .autant de tes, basées sur une longue expérience et sur une folle équipée de jeunes^ens eft gôguette. Ils se Sion, le 13 janvier 1927. . critiques que celui du Martigny-Orsières. connaissance approfondie de la grave question sont promenés, trois d«£ufslflfe «natin — le qua­ Lettre ouverte à Monsieur Antoine Favre, qui préoccupe tous les amis de la jeunesse. Cette trième se joignit à •eux^dBns'' l'après-midi — de La direction de ce, chemin de fer a répondu en r v ! i rédacteur du journal «Le Valais», • polémisant tout d'abord puis termine en disant Brochure tient particulièrement compte de ce St-Maurice, à Bexr à Lavey '>e lf au Bois Noir. Ils Sion. qu'elle a essayé de concilier les intérêts des di­ qu'il nous faut en Suisse ; elle a été élaborée et ont rendu visite à'Uriëf'boftAe rjartie des cafés de ; ; Monsieur, verses catégories de personnes utilisant sa ligne revue par des hommes compétents et pratiques. St-Maurice et des»e^v4¥8HH, «9«ent' bu une quW On y a joint un tableau des principaux métiers, tité indéterminable dé^çtopeâ'iët^de demis, dansé, Que vous vous plaisiez à relater pour la ving­ mais qu'avec cinq trains en hiver elle ne peut y tième fois l'échec de la. candidature officielle parvenir. avec indication du temps nécessaire à un bon ap­ chahuté, lutine les gbmmiliêrês, «imurié les re­ prentissage, ainsi qu'une traduction des conseils présentants de la pôMfce1 locale1 «é^î^Btt^à'eux, avec radicale aux dernières élections du Conseil d'Etat, ,. Il n'a jamais été dans notre intention de polê- c'est dans l'ordre. miser à ce sujet, car si tel était le cas, nous en de Jacques Bonhomme sur le choix d'un patron l'approbation dé^oîfc meiëfàSë^'W^èù^ prétexte d'apprentissage. de défendre rhô'toéuï-"f'aê^'iV'.âud,éïfeïbàifoué par Que vous taisiez toujours à dessein l'échec re­ aurions, long à dire sur la mentalité de certains un Valaisan, est M«eirvèWu';,âvëê-'dfes arguments tentissant de vos deux candidats favoris, MM. chefs d'exploitation de nos chemins de fer de Cet opuscule ne coûtant que 30 cent, et à par­ frappants, et sa&g^y mw-apqklëj dans une dis­ les conseillers.d'Etat Burgenèr et de'..Chast.onay, montagne, ne frayant que peu ou pas avec nos tir de 10 exemplaires 15 cent, pièce, nous espé­ cussion de civils é.mêchésffôn pàîsiblé: Vaudois et. c'est égalçiment dkiis l'ordre. autorités, n'ayant pas l'oreille de nos .popula­ rons que les autorités tutélaires et scolaires l'a­ un Valaisan qui» eherghtrieirl•un-petr bruyamiment : Que vous ayez la mauvaise foi de revenir sur tions paysannes et ne prenant aucune part à nos chèteront en grand nombre pour pouvoir en dis­ à se convaincre- muluellenrent ~de*s~dî'ôits respec­ iin incident de la dernière campagne électorale manifestations publiques. Nous ne disons donc tribuer un exemplaire à chaque garçon quittant tifs de leurs cantons à tirer vanitê';è(ui de .sqn, comimunale (copiste) après là loyale retractation rien de plus pour cette fois et revenons à nos l'école au printemps. Rh'ôhe màjeslxf^^y^ («^"Vf t>l|u Léman, ou 'devo'tre'côrrespondant, M. P. de Rivaz, c'est en­ moutons. (Réd. : Il est bien entendu que la; ré-, "TÎENOUVÈKLEMENT DES PATENTES POUR occupés à d^Ifl-eWWes d'i|r§B«fll.|f . ; core dans l'ardre. daction laisse ,au correspondant la responsabilité de ses appréciations). LE COMMERCE DE BETAIL EN 1927. — Non seulement àes -quatre ^militaires assis au ' Que vous ayez la lâche prudence de nie pas .La^Compagnie donne peut-être satisfaction (Comm.).— Les (marchands de bétail qui exer­ banc des accuség,"i,n^fe6'iau3tëf>ltëés'::" civils devaient répondre à l'esprit et au fond' de l'article du> aux voyageurs du dehors avec son futur horaire, cent leur comm.erce en Valais ont l'obligation être assez gais.je_s^r.J^j£rnânjRhe 15 août dans. « Confédéré » du 7 janvier intitulé « le Testa­ mais nous maintenons qu'elle ne satisfait pas d'adresser, jusqu'au 31 janvier et, sous peine Kun ou l'autre café de St-Maurice. La réponse ment dû « Valais », c'est toujours dans l'ardre. du tout les intérêts des gens de la vallée en gé­ d'une amende de 20 fr., à l'Office vétérinaire faite naïvernfttjj, oe©p»1taui^5(3«aoî par. l'un des Mais que vous vous abaissiez à relater iîè vils néral. Nous avons déjà dit les gros inconvénients cantonal, à Sion, leur patente de l'année 1926. témoins à la question du^ran^-juge « Dans propos de concierge, ceci est, de la gaminerje qui' : qui résultaient pour les gens des vallées de Ba­ Le marchand qui veut obtenir, pour la pre­ quel état vo^^rouvîè'^y.pûl. auj^ment de l'al­ vous déshonore, Monsieur Favre, car vous savez" : ; gnes, Ferret, Çhampex, St-Bernard : (7P.0p..'.habi­ mière fois, la patente pour exercer le commerce tercation? —/C'était un dimanche! ^ est d'une, parfaitement que'îès sdi-disànt assiduités et dé-' ; tants, sur les iO.ÔObb que dessert ce chemin de de-bestiaux dans" le canton 'doit s'adresser à éloquence imprévue tfui a provoque^ l'hilarité de! marchés àupfès dé M. le conseiller d'Etat'TFoillet fer) qui devront circuler à pied de nuit, le ma­ l'Office précité qui lui remettra un formulaire l'assistance. Dame, il.lvà de !soin«qiie l'on pmisse' dont vous parlez dans vos'articles du'28 décem­ tin pour arriver en gare ou le soir pour ren­ spécial sur lequel il indiquera l'étendue de son être un peu" gai et un peu-gris*•lev'dimanche soir, bre et 11 janvier sont des allégations menson­ trer chez eux. Nous voudrions bien voir M. le Di­ commerce et les espèces animales qui en feront si l'on s'est Tîîî5e"îê"'rjlc"'ïourTâprès-midi dans gères. •-' •' - .• l'objet. Ce formulaire, dûment rempli, devra être Veuiller agréer, etc. - recteur partir à 5 h. le matin en hiver de cer­ les cafés. ^mmmmmiammfi:r: • • tains de nos hameaux et descendre nos sentiers accompagné d'un exemplaire (non collé sur car­ Dr G. LORETAN, député. , Le délit n'^A^l^âfcM Pas très grave: rapides et recouverts de verglas, c'est autre chose ton) de la photographie du requérant. un peu de sa^^e^sé-au, détr^içen*;^,champion qùë d'aller en tram de la Ville au Bourg ! Toute demande de patente doit être apostillée du Rhône, de vilains prgp,?iSfjii^;.4«ss.în»nières de MISE AU POINT. — Le Comité du Parti libé­ par l'Administration communale de domicile du singes pour , f m^soj^^ ^aj^a^^ais le cas est ral-démocratique de.la ville de Sion tient à dé­ Puis on n'a pas l'air de se soucief deSvlioraires,; reecuértat. postaux qui seront défectueux au possible pour- aggravé Par^e»o^_ ^M|j£tf|]ans motifs' de" clarée ce qiii suit,"en'présence.des grossière» atta-' Le Dpt de l'Intérieur prononce sur la demande amener ou prendre les courriers du matin et du l'uniforme militaire' en dgior&Tfu service $t par­ ques personnelles de M. A.. F.', rédacteur du! «Va­ après avoir reçu les préavis nécessaires. le fait que trois(Plgfeffis^sorif' des soute-offi­ lais », a l'endroit de M. le Dr G^ Lorètan : '. : soir. .. 1 , Nos, hôteliers avaient avec l'horaire actuel des La patente ne peut être délivrée que pour l'an­ ciers. Leurs agïss^ni^ts (jfijt, scandalisé la pdpu-: . Le Comité prénommé constate' tout d'abord que née civile. Elle sera remise à l'intéressé par l'en­ lation étonnée ^[flôjn^g^tapageùb.de tradition i M. À. F., au lieu de répondre a l'article paru, dans voyageurs pour le repas de midi ; on s'est em­ pressé de les leur enlever en supprimant la cor­ tremise de la Caisse d'Etat dès que toutes les for­ avoir été jugés dignesndeoporiôir des galons. En le «Confédéré» sous lé. titre : «Le testament malités auront été remplies. outre, le c&dëtWimSÊms^S^^^m^à'arrxvex du « Valais », détourne la question, et se saisit respondance actuelle avec le train direct de Lau­ d'un sanatorium-m-ilitawe—au—Tess-in- -a; par ses de cette occasion pour s'en prendre à M. Lorétan,? sanne arrivant à Martigny à 11 h. 28, c'est-à-dire LA PATRffi SUISSE. — Le premier numéro de écarts de conduite^c$r|pron»s ïWftf»n£é précaire. au sujet de ses candidatures au Conseil d'Etat en la retardant jusqu'à l'arrivée de l'omnibus de 1927 de « La Patrie suisse » — qui ouvre une pour' le rétablissémemt^de||a™|lffé''fe,s deniers et àù Grand Conseil: 12 h. 33. nouvelle phase de notre illustré national — vient de la Confédération''llont mis a forte contribu-' En ce qui concerne la candidature de M. Lorè­ La Cie dit bien qu'il y a cinq courses Orsières- de nous parvenir, avec un titre nouveau, un for­ tion. Et le lenderriHïtt'MWgfiiS3taporal en traite­ tan au Conseil d'Etat, spécîàleiment, le Comité Jlartigny, mais en réalité la Ire course à 6 h. mat agrandi et un total de 74 magnifiques gra­ ment ne s'est pas,>$8gBïç jà 'Sion, au rassem­ prénommé tient à rappeler que M. Lorétan à été du matin n'est rien d'autre qu'une conduite de vures. Il est d'une extraordinaire richesse et très blement pour le c^s,s(|en]çeçetition; alors qu'il désigné comme candidat officiel du parti libéral- la machine du dépôt au chantier qui est la gare varié ; on y trouve, comme le veut la tradition y était astreint. .„.,j 31jâ ï

H5ÎWHIE v.a 129 FrailktM ém <0Mf«44ré> rien _àbrj«eridre. aperçus diplomatiques de la plus haute sphère. Il en sède, et souffre pendant tout le temps de l'absence, il!-' — Monseigneur, dit Coconnas, du moment où Votre résulta,gue Marguerite vit clairement que le duc La' Mole, ardent de revoir Marguerite, s'occupa d'or­ Altesse me ' recommande'le secret sur ce point, je d'Alehçab était de moitié dans le désir qu'avait son ganiser au plus vite l'événement qui devait la lui serai muet comme une tanche ou comme la reine gentilhomme de connaître se qu'était devenu La rendre, c'est-à-dir.e la fuite du roi de Navarre. mère. . , Mole. . Siïtlr- Quant à Marguerite, elle se laissait, de son côté, La Reine Margot «Bon prince, excellent prince, prince magnani-' — Eh bieny-'dit la reine, si vous voulez absolument aller au bonheur d'être aimée avec un dévouement mej>, murmura Coconnas en se rendant chez tareine savoir qu'elqfte' chose de positif sur le compte de si pur. Souvent elle s'en voulait de ce qu'elle regar­ de Navarre. Ms>"ui sJu votre ami, demandez au roi Henri de Navarre, c'est dait comme une faiblesse ; elle, Cet esprit viril, mé­ ALEXANDRE DUMAS . Marguerite'attendait Cocoffi?ilv Jar le bruit de son le seul qui ait le droit de parler ; quant à moi, tout prisant les pauvretés de l'amour vulgaire, insensible désespoir était arrivé jusqu'à elle, et en apprenant ce que je puis vous dire, c'est que celui que vous aux minuties qui en font pour les âmes tendres le D'Alençon hocha^a tête. WKT- par quels exploits ce désespoir s'était signalé, elle cherchez est vivant : croyez-en ma parole. plus doux, le plus délicat, le plus désirable de tous

— Le pis de J^ji^" j^te7 mon brave Coconnas, c'est avait presque pardonné à Coconnas la façon qilelque ^— J'en crois une chose plus certaine encore, ma­ les bonheurs, elle trouvait sa journée sinon heureu­ que depuis cett«^ Hijlfore, ton ami a disparu, sans' que peu brutale dont il traitait son amie madame dame, répondit Coconnas, ce sont vos beaux yeux sement remplie, du moins heureusement terminée, qu'on sache où\ il^st-Pjaspé. •• „.'/-'. la duchesse, de Nevers, à :laqû§M&'ife Piémontais ne qui n'ont point pleuré. quand vers neuf heures, paraissant à son balcon vêtue — Mordi ! s'éçrfo le:» Piémontaïs en pâlissant de s'était point adressé â •cau'se' iPunë- grosse brouille- Puis, croyant qu 'il n'y avait rien à ajouter à une d'un peignoir blanc, elle apercevait-sur le quai, dans nouveau, fût-ilîpass&en enfer, je saurai où il est. existant déjà depuis deux bu trois jours entrée eux. phrase qui avait le double avantage de rendre sa l'ombre, un cavalier dant la main se posait sur ses — Ecoute, dit d'Alençon qui avait, mais'parades Il fut donc introduit chez la reine aussitôt qu'an­ pensée et d'exprimer la haute opinion qu'il avait lèvres, sur son cœur ; c'était alors une toux signifi­ ! noncé. cative, qui rendait à l'amant le souvenir de la voix motifs bien difîèÇftftSp aâssi bonne envié que Co:, du mérite de La Mole, Coconnas se retira en rumi­ connas de savotr?ïo% fe'àii La Mole, je te donnerai 'Cocûnrias entra, sans pouvoir surmonter ce certain nant un raccommodement avec madame de Nevers, aimée. C'était quelquefois aussi un billet vigoureu­ ., ,, !.aim9i siîS 2 un conseil d ami, embarras dont il avait parlé à d'Alençon qu'il ^prou-, non pas pour elle personnellement, mais pour savoir sement lancé par une petite main et qui enveloppait —Donnez. Monseigneur, dit Cp^ppâs, donnez. vait toujours en fac de la reine, et qui lui était; bien d'elle ce qu'il n'avait pu savoir de Marguerite. quelque bijou précieux, mais bien plusprécieux en­ — Va trouver^ja Jgjne^ Marguerite, elle doit savoir plus inisp.iré par la supériorité de l'esprit que par Les grandes douleurs sont des situations anormales core pour avoir appartenu à celle qui l'envoyait que ce qu'est devenaq i :eW|i iîguSÎf^ pleures. cellei:|lu)h-ang ; mais Marguerite l'accueillit avec un dont l'esprit secoue le joug aussi vite qu'il lui est pour la matière qui lui donnait sa valeur, et qui r, allait résonner sur le pavé à quelques pas du jeune — S'il faut quJ'JeT'âvoue à Votre Altesse, dit souritfe quiMe rassuïa tout d'abord. possible. L'idée de quitter Marguerite avait d'abord ! homme. Alors La Mole, pareil à un milan, fondait Coconnas, j'y avais} flèfji? pensé, mais je.n'ayais point -j- Eh !'madamëp dit-il;' i?'endez-moi mon aini, je brisé le cœu de La Mole ; et c'était bien plutôt pour sur cette proie, la serrait dans son sein, répondait osé ; car, outre o madame Marguerite m'impose vous en supplie, ou dites-moi tout au moins ce qu'il sauver la réputation de la reine que pour préserver par la même 'Voie,1 rétf:Marguerite ne quittait son piUs JHue.je ne sa ais diregj[^ï?i8ï¥eitf de la trou-' est devenu ; car sans lui je ne puis pas vivre.: Sup- '• sa propre vie qu'il avait consenti à fuir. balcon qu'après 'àvôiP^rftendu se perdre dans la "ver*aans les-'larmi Mais, puisque Votre Altfesse;l ^posezSfîuryale sans Nisus, Damon sans Pythias, ou j Aussi, dès le lendemaini au S^OIT,''étàitysôfr, et l revenu à 51 nuit les pas' du ch'evkT poussé à toute bride pour nt'assure que Lac •Orésïè sïhs Pylade, et ayez pitié de mon infortune \ pour revoir Margue Jo^lcbnnvi argue- rite $,0» ' venir, et qui, pour s'éloigner, semblait d'une matière ;is TWriëP'provision de en faveur d'un des héros que je viens de vous citer, , rite, de son côté, comme si une ,V;ofx secrète lui eût jesté; doit savoir o aussi inerte que le fameux colosse qui perdit Troie. courage et aller ;i ftBo\tv«i!il5Ss)'( iit JJCW t et dont le cœur, je vous le jure, ne l'emportait pas j appris le retour du jeune homme, avait passé toute Va, mon amrJ^dlt^l'^'M^ofs.'Et quan.d" en tendresse sur le mien. la soirée à sa fenêtre ; il en résulta que tous deux Marguerite sourit, et après avoir fait' promettre s'étaient revus avec ce bonheur indicible qui accom- tu auras des nouv«|les, donne^'en à moi^nême ; car •t^^^^S^T .vérité ^ussi £5fMi^^;9!$$eulement/i' lé sècrèt'TWconrias, èlle'%rflcWîTSïtâs,Tmii^^r laitl pagwe -lêsi,JŒUissahces défendues. Il y a même plus :f ; w-B &k3-ax}im&BB- ^d'une'ehi3ÎSe,!a)aoircfen*ne.» ,5!!> .• i fenêtre. Quant au IjgHffft sîi^^l^^WstaSW ^ûe9f"'Tesprif c mel'ànc6ttquë et romanesque de La Mole trou­ Laquelle ? fussent les prières ^WérftwWtSÊ.Vnfe^rdà li ' c^ vait W'feer'ta'in èlîàrme à ce contre-temps. Cependant, Rêve de comme l'amant véritablement épris n'est heureux .lailabnCSte car; eijS point le plus profond silence. Cela ne satl ™a sait (Rêve d'Amour) , qu'un moment, celui pendant lequel il voit ou pos- commettant cette' ^mpru^ene^*tJi-; 'Tib\i#?! (t'en nei qu'à demi Coconnas ; aussi se laissa-t-il aller à des 4. -1" I ' iJESSBSBmHi LE CONFÉDÉRÉ -jstwre-mw

veaux présidents des Chambres (MM. Paul Mail- me de Naples. Le, régiment suisse. qvCayait,;com­ 19; ne— Un RcqnfMita.„é.cjaté entre les directeurs de mon mar: remplacer par le petit lefer et Robert Schœpfer) et de la Confédération mandé le général von Wyjfcfcenbach -avait été levé o trois disparus, Albert Schrœder, Gustave Mas- qui la connaissaierit.'iéar elle représentait un der­ de l'« Impero », MM. Carli et Settimelli, ont pro­ ,%.ll^?,êO£ i®£3T.£Fk a préconisé l'em­ son, Eugène de Lavallaz, et ceux de 18 de nos nier vestige d'une époque déjà bien oubliée. voqué en duel M. Suckert. ploi du bambou pour la fabrication du papier. aviateurs. Le cortège des nouveaux députés fri- Les armes décideront lequel est le plus fasciste Le papier de bois commence à devenir rare, étant bourgeois du Grand Conseil, le nouveau et très Le^, obsèques de M. Python des trois! n naoq donnéJâ:coh'soiôim^tto'rl'^6rmidablé qui est faite, bel hôtel de ville de Bellinzone, la salle où la con­ Les obsèques de M. Georges Python ont eu lieu principalement pour'flèK Journaux ; eh Amérique, férence de Locarno tint 'ses séances et la plaque mereiredi'St.élhM ont été une grande manifestation par aé^]S%SSjmP^fBfiSSi forêts éfés^Mon ; ÏÏTT qui en perpétue la mémoire, y font part de l'ac­ du peuple fribïmrgeois. Le Conseil fédéral était tâgheà-RdcKëusës'^SëlrBi^^nVéPties efr papier. tualité. 'L'art, comme toujours, y a sa place, de représenté par MM. Schulthess et Chuard ; le EC3MOS Or, lêsnA%èr^ip7»B(^seaènt actuelféfn'éàt à même que les sports d'hiver. A côté du numéro Tribunal fédéral par les juges Oser, Couchepin Portb-Rico',èt,'tiahs ïa3S#ieade Panama d'immen­ proprement dit et pouvant en être détachée à et Piller ; le Conseil d'Etat valaisan par MM. L'orthographe anglaise.,; , ,,'.';.,., ses terrains qui pourrÙîé'nViêtre plantés de bam­ volonté, se trouvent des pages consacrées au cy­ Delacoste et Walpen. Plus de 5000 personnes ont Une «Société pour la simplification, de l'or­ : bous, ce bois foufnîs^arfP d^éxcelleht papier et clisme, à l'automobilisme, à la mode. La nouvelle défilé devant le catafalque. thographe» s'efforce en Angleterre .4'obtenir une poussant avec lin'^ï^^âutfè1 rapidité. Le papier série de « La Patrie suisse » ne pouvait mieux Au cours du repas officiel, des discours ont réforme qui, pensent ses protagonistes, ferait de bambou est b^éautfoUp •moins coûteux que le débuter. A. R. été prononcés par M. von der Weid, président bientôt de l'anglais la langue internationale puis­ papier acTOel1 De pfi^i^êstVur ainsi dire in­ du Conseil d'Etat de Fribourg, M. Moser (Berne), qu'elle est parlée déjà par 200 millions d'êtres déchirable. *La- poussera bambou est de 10 à 12 PAS DE GRIPPE DANS NOS STATIONS. — Dubuis (Vaud) et le R. P. Prùmmer, recteur de humains. Il est certain qu'il n'y a rien de plus mètres en trois amL^ïfâs dé.cet arbre contient D'une enquête qui vient d'être faite dans nos l'Université de Fribourg. absurde que l'orthographe anglaisé et ses rap­ plus de 50 J9 de f^e^ofidë^t souple et la pro­ différentes stations de sport d'hiver, il résulte ports avec la prononciation. ,,> i. ;, duction d'une tonne-'Mé'îffJre1 se récolte dans deux que la grippe y est absolument inconnue. L'air 1 1 Benjaimin Vallotton . «Enough» (assez) se prononce énof, • et ares de plantations.^™ ,.- r; pur de nos montagnes et la pratique des sports L'écrivain suisse Benjamin Vallotton, auquel la «bough» (rameau) se prononce baô, tandis que d'hiver démontrent, une fois de plus, leur_ ex­ doit une grande. reconnaissance, a été « though »^(qUipjiflue) se lit thô (th doux, à peu Il n'y a pas de sot mette» îqm cellente influence sur la santé de nos hôtes. honoré de Ja rosette de la Légion d'honneur. près zj). Maisriesfsociétaires anglais pour la sim­ Un journal de Londres, apprend que l'ex-schah Malgré la saison avancée, nos stations romandes plification de l'orthographe s'imaginent à tort de Perse, horriblement1 '§§&% depuis l'avènement enregistrent de nombreuses arrivées de familles LES ACCIDENTS l que c'est la graphie qui rebute l'étranger dési­ de Riza-Khan, son Këùféux'"remplaçant sur le pour des séjours prolongés. ) i — Au passage à niveau de Sully, entre les sta­ reux d'apprendre leur langue : la difficulté pres­ trône de Téhéran, à décfdw a*é gagner sa vie com­ que insurmontable réside dans la prononciation' ELECTRIFICATION SION-BRIGUE. — Deux tions de La Tour et de Burier, le train a écrasé, me dém'm'èrcant en... p'&fïUrifiï orientaux. des voyelles qui.spnt presque toutes des diphton- trains d'essai ont été mis en marche jeudi sur le dans la nuit de mercredi à jeudi, Gustave Mos- . gués : a se pgpnpnce tantôt a, tantôt é, tantôt aé ; tronçon Sion-Brigue pour vérifier la ligne à sier, 35 ans, de Châtel-St-Denis, marié, père d'une ( ea se prononcer tantôt i, tantôt e, tantôt o ; ose haute tension ainsi que les installations électri­ enfant de 10 ans, depuis 1921, Ouvrier aux usines prononce o et oô ; u désespère les plus attentifs. h ^It>li!Ogr&F>r»ie ques en général sur les voies et dans les gares. Nestlé, demeurant à Vevey. Le train lui a coupé Tant que la prononciation ne sera pas rigoureu-' O . oh i Après cela, on passera d'office à la traction' élec­ un bras et une jambe et fendu le crâne. sèment liée à la graphie, l'anglais exigera pour «SUCCES», la Revue tnensuelle d'Organisation trique pour certains trains. LES MOKTS être appris un effort disproportionné à son uti­ et?Ôe • Publïéîtë:' — Lausanne, 3, rue des Ju­ Les deux trains d'essai ont circulé avec une Dans la nuit de mercredi, est dêQëSèà, Zurich, lité. melles. (Abonnement : fr. 16.— par an ; le charge approximative de 200 tonnes et à la vi­ à l'âge de 48 ans, le savant météorologue et géo­ numéro, fr. W§). •••<-• tesse de 90 km*. a l'heure. Un rejtnpde pour la surdité. .,«* »»/ graphe Alfred de Quervain, l'un de nos hommes Sommaire dv^p,^ (décembre 1926) : Dès le 14 janvier, la plupart des trains seront de science les plus éminents, professeur à l'Uni­ Un professeur de physique anglais croit avoir Entre nous -^nB%^ travail de bureau dans le remorqués à la traction électrique monophasée. trouvé un remède à la surdité/ Ce professeur, se 9 versité de Zurich, président de la Société suisse magasin de veptjîjjajèl détail. — Pour .développer. promenant récemment en automobile avec un de géophysique, de 'météorologie et d'astronomie, la-vente des a^tgBlejSxjsl'ilorlogerie. —* Hors des ST-MAURICE. — Echos de la soirée radicale. ami affligé d'une désolante surdité, s'aperçut : vice-président de la Commission des glaciers, formules usuej^e$vj jVôtre bureau eollabore-t-ii • — Une erreur s'est glissée dans le compte rendu que toutes les fois qu'il sonnait de la trompe,, TO de cette manifestation que nous avons publié chef de l'expédition suisse au Groenland, auteur avec Vous? -r^ ^L^ogogr^spondance commerciale de nombreux ouvrages scientifiques. son compagnon entendait mieux. Des essais ef­ dans le dernier No. C'est M. Hippolyte Pochon fectués dans son laboratoire confirmèrent cette • Csuite). •— lé'afsujjftjiiqen^ùi. service du commerce, — Auguste Hardegger, architecte, de St-Gall, (et non (Gay), citoyen bien connu, qui a pris observation. Le bruit avait pour effet d'augmen­ et de l'induslr^rr^n Ahbâtons rompus. — Arts est mort à l'âge de 69 ans. la parole à cette soirée au nom des vétérans ra­ ter la sensibilité de l'ouïe. graphiques ^MilJcilfcé* -^,,La publicité de Buick Le défunt avait construit près de 60 églises dicaux et des amis politiques de sa commune; On ne po uvait cependant songer à, mener une et d'^làs^/ôJM^TOi DSHXCÏ.stands originaux au en Suisse et rénové plusieurs-cloîtres et cha­ conversation avec accompagnement de klaxon;' Vnme!;ÇpmptQJr«8ujftsg) deoÎLausanne. —T Une cam- ST-MAURICE. — L'éternelle imprudence. — pelles. Il était également connu pour ses œuvres Le professeur > construisit un appareil producteur, pagnejppu^iJèrJlaijsemeMnd'iJtfïe marque. — L'en- Dimanche, le jeune M., négociant, croyant boire littéraires. Il avait fait partie du Conseil muni­ de vibrations d'une gravité extrême et qui vont' seigne, .premjè^e ;®u,bfe»fef t'du commerçant. — du vin rouge, avala une gorgée de nicotine. Souf­ cipal de St-Gall. Dans ces dernières années, il au delà de la' limité de perception de.l'oreille. Ces La publicité; lu-mineuse daftSBies. cinéma?. — Ren- frant atrocement, il se rendit à la pharmacie où s'était retiré à Disentis pour diriger les travaux vibrations n'en agissent pas moins sur le.tympan- .seignemenjf.dijîeirs.agxbîj.-rf.à eiiv on lui administra un vomitif. Son état jugé d'a­ ie : transformation du cloître et de l'église. A r 1 et sur les cellules nerveuses de l'ouïe. Elles pro-:' • ••' • .••• jJJI.I DU Jl.jijJll.J-J.lLi I..I i bord très grave, s'est .maintenant heureusement l'âge de 60 ans, Auguste Hardegger avait acquis duisirént l'effet attendu. 'ri M.:' ';-'Ij JilaUiyfIybJjJl.il amélioré. E. le titre de docteur, en philosophie de l'Université Buv.ez.un B KlIOjnfiD de Fribourg. Cette expérience à permis au professeur» de- conclure qu'un sourd qui ferait, avec l'appareil •=-J de son invention,, une séance d'une demi-heure COCKTAIL MARTIGNY tous les matins entendrait pendant toute une; s'HJîliiïflte aoeMenr aiffe stimulants Nouvelles de l'Etranger journée. • : -bOtePSflfrya&teSPilèàSr A), Sioa •rmrr'ih ,ih -rioa 9i Le dernier loto de la saison .,,"• L'appareil a été exposé au Collège impérial des .•3oitxifiM-i3 sb- àïfia si. ••' • • Nous rappelons que le F. C. Martigny tiendra Mort d'un grand ingénieur anglais sciences, à Londres. son loto annuel, le dernier de la saison, au café On annonce la mort, à Wimbledon, à l'âge de - CQUFSI desso «tsfrx&rigee 83 ans, de sir Francis Fox, un des plus grands Un'bel héritage, Commnnï^'éif^M^èlosuil*8^^ "(JOURS MOYENS Kluser, en Ville, les samedi 15 janvier, dès 20 h., U01 et dimanche 16 janvier, dès 14 h. Tous les amis ingénieurs qu'ait produits la Grande-Bretagne.. ,„ Depuis dé Jjoingues, années, et à plusieurs re-; & Cfe, BàHfte*ë «!W" .Wnï. 14 Jativ. de la jeunesse et du sport se feront un plaisir Le défunt avait fait partie du groupe des trois prises, le gouvernement américain fit savoir, pdf de participer à la réussite de cette manifesta­ experts internationaux qui furent désignés pour la voie de la presse, que la succession d'un Fran­ M^^K-^.--* ••--•38- tion. dessiner les plans du creusement du Simplon. çais, nommé Mallet, originaire de Châteauneuf"- Londîmoa. si? .çv-.ii p'^-z^y, 2517 sur-Charente, était ouverte. Les héritiers ne" . Théâtre de la Jeunesse libérale Plus tard, il se rendit célèbre en lançant un gi­ NçwTY-griE^-.ij9c; .-tij J9 1KJ&18 5.18 gantesque pont sur le Zambèze. manquèrent point; mais faute de pouvoir four­ '••WJ:. i JuoJ osa si iéltll Nous rappelons à nos lecteurs et à nos amis, nir de leur droit des preuves convaincantes, ils Entre 1905 et 1912, il réussit à sauver d'un ef­ et tout particulièrement à ceux qui n'ont pu attendent encore la liquidation. fondrement, que certains jugeaient inévitable, la MÉDICATION y assister samedi ou dimanche passé, la troisième Cette preuve, ils l'auraient aujourd'hui sous pféîrérë^9â1ès'''tÀè,déc1n§ -sWcfàlfetes pour les affec- cathédrale de Winchester. Au moyen d'une ma­ J , et dernière représentation de « Diplomatie », du lés espèces d'une lettre que le dit Mallet, sentant tlons' rèsptfafô}«â -'ii anTSIiv s ^ chine à air comprimé, il parvint à remplir de ci­ «Voleur malgré lui», etc. par les acteurs et ac­ venir' sa mort, écrivit,à sa sœur,, une demoiselle ment liquide toutes les crevasses et l'es inters­ trices de la Jeunesse libérale. Cette représenta­ Mallet, et à son oncle Morih, leur annonçant tices de l'édifice, dont la solidité fut ainsi réta­ tion aura lieu dimanche soir, 16 et, à 20 h. 30, à qu'il les constituait ses uniques.héritiers et les 1 blie. C'est enfin lui qui, en 1912, découvrit la l'Hôtel de Ville. Un bal animé par l'entraînante invitant à se rendre d'urgence auprès de lui. • RhufteMKi présence de sables mouvants à une profondeur musique de l'Original's jazz suivra la partie scé- ' Pour une cause qu'on ignore, les héritiers sus' de 12 à 15 mètres au-dessous de la cathédrale de , "Le'flacon^. «SK^SMcons fr. 20.- nique. Les amateurs des deux sexes sont très dits ne traversèrent pas l'Atlantique et ne revend LaDoratOlre^e ffij-flllIÏS^HiartahlnB (Pharmacie ln- cordialement invités à la danse. St-Paul. diquèrent pas l'héritage. temaunnalè}(Mfon*anB*.n'3ib r. » Çà et là . Un comité d'héritiers vient d'être constitué, Cinéma Royal — Le gouvernement italien vient de décider HJ: D'ùni'dïm r afin d'établir la généalogie de chacun d'eux et ...t. .u. la création d'un impôt sur les chèvres : ce der­ Cette semaine: Rêve de Valse. 'Voir aux an­ de poursuivre les démarches nécessaires au re­ nier a pour but de protéger le reboisement me­ nonces. couvrement de l'héritage, dont le montant serait nacé par la liberté absolue dont la gent caprine Al M, le bâtiment aujourd!hui de neuf imilliards de francs fran­ a joui jusqu'à maintenant. occupé actueljementjJMî l'j^rjpnrnerîe, la rédaction et l'ad­ çais. ministration du Xonfédë|Èr composé d'un grand rez-de- Après la péninsule balkanique, l'Italie est le chaussée pouvant sénpr pour n'Importe quel but commer­ En Suisse pays d'Europe qui possède le plus de chèvres ; on M)in|e Krassine et les Soviets. cial ou industrlè^0ûn9iWê1age de 2 petits appartements y enregistre 11 têtes par kilomètre carré, ce qui Après la mort de Krassine, dit le « Figaro », sa pouvant facilement être transformé en un seul grand, un Les danses et [mascarades au pays d'Uri est le double du chiffre relevé en Espagne, et le 2me étage a^e^^jctafflbjes et grands galetas que l'on veuve demanda une pension au gouvernement - Le gouvernement d'Uri vient de prendre diver­ quadruple de celui mentionné dans les statisti­ peut faire en appartement. Cet Immeuble sera disponible des Soviets. Celui-ci répondit que(Ja^fortune du au 31 décembrajfc jeettp année ou éventuellement avant. ses mesures concernant les danses, les mascarades ques françaises. Les trois quarts de ces animaux défunt était notoire. 75 millions, ae livres ster-. se trouvent dans les territoires du Midi où ils ra­ . grande facilité de payement. S'adresser au propriétaire et les divertissements publics qui auront lieu au ling placés à l'étranger semblent.Vn effet, cons-: rL Darbellay, ancien-imprimeur. cours de l'année en cours. Il a décidé que toute vagent le demi-million d'hectare* de'tf'ofêts des tituer un douaire suffisant. Et en même temps indécence, soit dans le costume ou dans la tenue, domaines communaux que l'Etat veut sauvegar­ que cette réponse on envoya à Mime Krassine ë| à l'occasion des mascarades, seront sévèrement der. Dorénavant, on ne permettra plus de laisser à sa fille l'ordre de rentrer en Russie. La veuve punies. Il est interdit à toute la gent écolière, aller les chèvres pâturer dans^.ces .domaines sans de l'ambassadeur rétorqua que le froid climat de fréquenter les établissements publics, même une autorisation spéciale de. l'autorité commu­ de son pays natal ne convenait pas à sa santé, et Hêve de Valse aux mascarades. De plus, il est interdit de danser nale et sans avoir payé le nouveau droit qui est elle ajouta qu'elle allait être réduite, pour vivre, le dimanche, les jours fériés et la veille pendant fixé à dix lires par tête jusqu'à trois, à quinze à publier les mémoires de son mari. (Rêve d'Amour) lires par tête jusqu'à dix et à vingt lires pour un les fêtes religieuses. Pour organiser un bal pu­ Aussitôt, Staline télégraphia que la pension nombre supérieur. Du produit de cet impôt, les blic, il est nécessaire d'obtenir non seulement était accordée. l'autorisation de l'Etat et de la commune, mais il trois-quarts iront à la caisse de l'Etat et le quart faut encore avoir une permission spéciale de la aux communes. Pour la première année, l'impôt Les problèmes difficiles. direction de police. est réduit de moitié. L'autre jour, le «naître d'école d'un petit vil­ Soumission — Une femmes, quatre enfants et une sixième lage aux ejnviîjQns,;de Stockholm constatait ou'un *M. Casimir Cotmfyf^àU de l'Harmonie à Les vieillards de Baden personne ont péri dans un violent incendie qui de ses élèv.es^n'étajt pas venu. Dans, l'aprea-midi, Martigny-Ville, rhetl en wuthission les travaux de Comime chaque année, la ville de Baden vient a détruit un grand immeuble, à Birmingham il reçut de la mère de l'enfant la lettre sui­ gypserie et ;peinture/ïrccaaeernant la réfection du de délivrer à Ceux de ses vieillards ayant dépassé (Angleterre), dans lequel habitaient de nombreu­ vante: ...... , . -, ; • _., café., ;.<..,; .oynsIA'b Ui- l'âge de 80 ans, un cadeau de nouvel an, com­ ses familles pauvres. Quatre enfants ont été « Monsieur le maître, On peut prendre» cpjQflaj«ance du détail des posé d'une lettre de félicitations et d'une pièce grièvement blessés. Il faut que vous excusiez Pierre de ne pas être d'or, plus quelques bouteilles de vin. Cette année, travaux chez M.j Gâ,ijç( ^rct^itecte et le» soumis­ — Une bande de voleurs se proposait de péné­ allé à l'école aujourd'hui. Il a été obligé de rem­ sions devront lui efre remises pour le 18 janvier. les bénéficiaires ont été au nombre de 42, soit trer dans l'église de San-Giacomo di Carignano, placer son père, qui .est portier à la fabrique, 30 femmes et 12 hommes. l'une, des plus belles de Gênes, en escaladant le parce que vous lui avez donné hier un devoir ON CHERCHE tM"1^1 La doyenne de la ville est âgée de 93 ans. Le clocher pour descendre ensuite à l'intérieur de trop difficile : « Combien faudra-t-il«de temps à J|ttreau .._...,.., TJlace personnel pour hôtels, doyen, lui, n'a que 89 ans, ce qui, en vérité, n'est l'église. L'un des individus, âgé de 19 ans,, qui un homime qui marche à la vitesse: de ï%: de mille pansions, magasins, bureaux et pas trop mal ! se trouvait à une hauteur de 25 mètres, pris à l'heure pour faire deux fois et demi le tour Jeune um . privés La doyenne de Berne soudain de vertige, tomba sur la chaussée, où il d'un champ qui ..mesure quatre milles carrés ? » de cuisine, forte et robuste. S6' se blessa grièvement. Il a succombé, quelques à l'Hôtel du^Nord^à Aigle.- j ' 'On demande une bonne A Berne^ vient de mourir, à l'âge de 99 ans, Pierre est trop petit pour le faire, alors son 1 u \i< r 1 n. rirri 0 Mme Amélie von Wyttenbach, née de Sturler, heures plus ,tard, à l'hôpital. Ses compagnons père y a été à sa place ce matin, mais il faut •,A->VBNfWttE9'>ift 3f*Tï*8 bien connue sous le!,nom...de ^JM^dajme la Géné­ ont pris la .fuite. marcher bien doucement et c'est long^J'esflèçe,. rale ». En effet, son mari, auquel elle a survécu ,— Qn.m£nde d'Oakland (Nouvelle-Zélande) : srn^m; i jàt>t& ..-8 MftFIIA E u qu'il pourra quand même rentrer ce, apjLr ,fttj V}f'/ 9 brte'et robuste, pour tout faire plus de 30 ans, était le dernier général suisse au 52 sacs de courrier ont été détruits au cours Pierre ira à l'école demain. . dans ménage soigné. service de Naples. Avec sa mort disparaît cer­ d'un incendié "qui a éclaté à bord du paquebot J ' S'adresser chez'M Henri "Mï»v " La prochaine fois, vous devriez donner un de­ prêtes au veau et fraîches.vêlées. tainement une des dernières pensionnées du gou­ néo-zélandais « Remnera ». Le reste du courrier voir où il faut calculer avec une femme, parce Itral, mécanicien* Martigny. *|\ vernement italien pour services rendus au royau- a été plus ou moins endommagé par les flammes que je pourrais y aller ; c'est trop gênant que etl'eau. ' ..JHOOD i^.n. /. nr'-utsr/flob .^iJ 9j?deraMdeà.achetei^rMartl- 3gny. une .-•; — 22 ouvriers'ont été blessés .à; la mine Bis­ ISIOII ImuA mark, dont sept grièvement,;. J.'un i d'eux ivient. r ; A vendre, fajttenriieroplol, >4e«x de Valse de succomber et deux autres. s^pt,,dans un état ^raliae écurie désespéré. de Valse (Rêve d'Amour) L'explosion est due à une inflammation de gaz (Rêve d'Amour) bicyclettes survenue dans les galeries du sous-sol. maison d'habitation I ou appartement. S'adresser au Confédéré. A vendre ou à louer Éf» •* dans importante localité • Les familles CORTHAY, MONTFORT et vaudoise, bâtiment avec pour L'ELEVABE * COLLOMBIN, très touchées des marques Viande L'EElBRAISSElYiEliTdu de sympathie qui leur ont été témoignées Bouilli fr. 1.40 par kg. MISE EN 6AMIE!!! 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