2e ANNÉE. — N° 11. Samedi 15 Mars I913

LE NUMERO : 10 CENT.

Le plus grand Arts Journal d'Art Théâtres de Mondanités la Belgique Sports de LIEGE TRIBUNE D'ART, LIBRE ET INDÉPENDANTE

: an ON TRAITE A Belgique Un 5 francs. Directeur : Alfred LANCE. Tél. 3443 FORFAIT. ABONNEMENTS : ETRANGER : Un an 8 francs. ANNONCES : La ligne (en chronique, T et 3e pages), 50 centimes. En échos, 3 fr. La responsabilité des articles incombe à leurs auteurs. Rédacteur en Chef : Julien FLAMENT Les manuscrits non insérés ne Les articles anonymes ne sont pas insérés. sont pas rendus. Adresser tonte la correspondance aux Bureaux du Journal : RUE LULÂY, 2, Liège Défense de Il sera rendu, compte de tout ouvrage dont 2 exemplaires nous seront envoyés. reproduire les articles sans citer la source.

est Les perroquets aussi ne peuvent-ils être typique à cet égard. Il faut encore Les Commentaires ïsTOS ARTISTES WALLONS LA RACE songer à nos ingénieurs et même à nos néglliigés?? N'avons-nous pas assez de com¬ WALLONNE ouvriers. Dans aucune nation, on ne voit mères, de conseillers communaux et de dé¬ proportionnellement une plus grande ac¬ putés à la faconde aussi ampoulée que mal¬ tivité que chez nous. Notre peuple lui- Une guinguette fameuse dans tout le pays faisante?... Laissons donc tout cela de côté. La notion des Races humaines est même, par sa collaboration constante de de Liège et qui fut chantée pendant deux Un mien voisin, humoriste impénitent, me combattue par les savants. Ils ne l'ad¬ génération en génération, aux mêmes in¬ siècle par tous les bons chansonniers wal¬ souffle qu'on pourrait, à la place des ani¬ mettent que pour dustries tenant au une les grandes collections sol, montre per¬ lons : «Le Petit Bourgogne», disparaît. maux, élever dans les cages des sectaires de humaines : race blanche, race noire. Les sévérance admirable. Malgré toutes les Elle était située en vue die la Meuse, au toutes couleurs qui acquerraient là une inu¬ races française, allemande, wallonne, crises, l'émigration n'a jamais été en flanc du coteau de Sclessin, sur une col¬ sitée tolérance ; des gendarmes à qui la capti¬ etc., n'ont pas de réalité à leurs yeux. honneur dans aucune région de la Wal¬ line jadis couverte de vignes, où le poète vité ferait perdre le goût du sang qui s'em¬ Elles n'ont pas conservé la pureté que lonie. Albert Mockel raconte volontiers qu'il fit, pare d'eux dès qu'on les en l'on place armés face remarque dans les races animales Ce qui fait tort aux Wallons, c'est dans sa jeunesse la vendange. de leurs semblables; des capitalistes qu'on ou végétales. Celles-ci se maintiennent qu'on leur reproche de ne pas avoir les Elle avait été fondée au début du XVIIIe réduirait à la. portion congrue (café et tar¬ par une sélection systématique qui évite qualités des Flamands. Malgré tous les siècle et le retour depuis ce temps c'était le vide-bou¬ tines sans beurre), tout en les obligeant à tra¬ de l'un à l'autre des types défauts qu'on nous attribue, il faut créateurs. Le teilles préféré des Liégeois. vailler quatorze heures par jour; mais, j'ai métissage humain n'est pas croire que nous ne sommes pas si peu sé¬ Mais la banlieue industrielle a envahi les laissé mon voisin et sa plaisante imagina¬ soutenu, l'entrecroisement se complique rieux qu'on le dit, puisque ce sont les vignes de Sclessin., comme celles de Vive- tion. constamment. Les savants ne peuvent Wallons qui ont fait la Belgique. races gnis ; et du vignoble du Petit Bourgogne, Pour parler sérieusement, de nombreux donc confesser l'existence de deux Pendant trois quarts de siècle, les ef¬ en il ne reste plus <~'ie le nom de Côte d'O- forts pourraient être tentés, étaniti donné le Belgique, au sens absolu du mot. Wallons, négligeant ce qui pouvait orner Mais il donné à une rue ouvrière. On y buvait cn- voisinage du Palais des Beaux-Arts. y a moyen de s'entendre tout la vie de leur petite nation, se sont atta¬ de même. Le oore, cependant, dans ces derniers temps, Par ces temps d'eugénisme, d'hygiène et professeur E. Houzé, de chés à faire de la Belgique ce qu'elle l'Université de dans la Bruxelles, et le regretté est : ils ont créé son organisation politi¬ guinguette, du vin de Huy. de sport, le Jardin d'Acclimatation possède Julien Fraipont, de l'Université de Liè¬ que et administrative, économique et Maintenant, le Petit Bourgogne disparaît, des emplacements superbes et adaptables ge, ont reconnu l'existence et déterminé financière. Accomplissant leur devoir avec le vin de Liège et avec tous, les usages pour des terrains d'entraînements sur les¬ les caractères des de la vie types dominants en pour le bien commun, ils ont travaillé liégeoise d'autrefois. Dut moins, quels évolueraient nos. Clubs de «foot-ball,» Wallonie et en Flandre, montré le main¬ sans souci de l'ingratitude possible, au¬ Le souvenir de cet aimable Jieu restera-t-il de «raci'ùg» ou de «tennis.» Pourquoi, à tien de ces types à travers le temps, leur jourd'hui évidente. Ils peuvent se res¬ dans le peuple conquis par » brasserie al¬ exemple de Londres et de Paris, n'amoncel¬ corrélation avec des types primitifs : le saisir : on ne saurait anéantir tout le lemande. lerait-on pas, d'endroit en endroit, des pis¬ Flamand avec le type dit germanique, bien qu'ils ont fait. Jadis, tous les endroits de plaisir chers tes de sable fin et propre, où se rouleraient le Wallon avec le type néolithique. aux Oscar COLSON. Liégeois portaient des noms de . les igamins et les fillettes ? Suivant ces savants, le type wallon C'étaient, avec le Petit Bourgogne, les guin¬ Ce serait faire œuvre d'excellente, puéri¬ est de taille inférieure à celle du Fla¬ guettes de Kin.kempois, La Folle Pensée, culture. Pourquoi encore ne créerait-on pas mand ; sa tête est ronde (brachycépha- Une conférence — fort applaudie — sur ce Ma Campagne, Le Champ des Oiseaux, Pe¬ un théâtre de verdure à la disposition de nos sujet, a été donnée par M. O. Colson, à le), à pommettes légèrement saillantes; tit Paradis '1U. P. des A. E. de l'Ecole moyenne. ; les théâtres créés en ce temps nombreux cercles dramatiques. ? Sans. comp¬ il a le nez court, la mâchoire inférieure s'appelaient Fontainebleau, Le Pavillon de ter qu'il y aurait pour notre ami Schroeder légèrement rentrée, les yeux foncés, les A/VVVV\/VVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVV\ Flore. La Comète un café encore en vogue un beau motif de donner de l'extension à cheveux châtains ou noirs. fut baptisé Petit Trianon. son Théâtre 'Wallon avec des représentations Les historiens suivent généralement Aujourd'hui, l'invasion allemande, qui ne les anthropologues dans leurs conclu¬ populaires où le travailleur rencontrerait l'a¬ se manifeste pas seulement dans l'industrie sions. Ils en sont à nier l'influence des grément d'une distraction bien régionale et et dans le commerce liégeois, mais aussi, l'inspiration d'un incomparable bol d'air, ce races sur les événements. Michelet déjà et sans discrétion, dans la rue, a étouffé la disait qu'il fallait se résoudre à en res¬ qui serait préférable aux spectacles clos qui plupart des vieilles habitudes locales, et les l'intoxiquent. treindre l'influence. Camille Jullian a lieux de M. Corneil DE THORAN, exprimé récemment la même opinion; spectacle s'appellent Wintergarten, Et pour les expositions florales, quels lo¬ Walhalla, Rég.ina, Kursaah caux Pirenne, en Belgique, la professe. Per¬ Rathskeller, Ba- n'offrirait-on pas aux horticulteurs ? Premier chef d'orchestre du Théâtre Royal de la Monnaie varia. sonne ne nie pourtant qu'il y ait des J'imagine aussi quelle grâce particulière Les Un notre Depuis le Wallons et des Flamands. Et l'histoire, Liégeois du bon vieux temps allaient un tel cadre prêterait à des conférences et Liégeois, élève de Conserva¬ départ du cappelmeister al¬ manger tarte «chez toire, où il eut pour maîtres MM. Fran¬ lemand, M. Corneil de Thoran assume malgré tout, apporte quelques précisions de la «dorée» Rentier», à des. concerts, sans cinéma..., mais dans des fraises «chez et de façon brillante les fonctions de dans notre ordre d'idées. Les magis¬ Chaumont», en buvant le la réconfortante clarté. çois Duyzings, Sylvain Dupuis Théo¬ pre¬ vin des dore Radoux. Il débuta dans la carrière mier chef en titre, et il vient d'être trales études de M. Godefroid Kurth ont Sur collines, puis ils allaient danser le Notez que la réalisation de ce projet néces¬ quelques gens et autres théâtrale comme Menuet au pjaniste-organiste au réengagé en cette qualité pour un nou¬ démontré définitivement que les Wallons Palais des Fleurs. site bien plus de goût et d'initiative des- or¬ andouilles.... Théâtre des Arts de Rouen. Il fut en¬ veau terme de trois ans. ne sont pas des Germains romanisés, Aujourd'hui on va boire l'Augustinerbrau, ganisateurs que d'ar°ent des contribuables!. suite second chef d'orchestre mais des dévorer de à l'Opéra Tout dernièrement encore, M. Corneil Celtes romanisés. Et la con¬ Ils sont grands, ils sont petits, ils sont petites saucisses, des «Restaura- En résumé : du sport, de l'hygiène, des de Nice et à Béziers, de Thoran a statation est très tion-Schmittchen», des «Sardellansschnitt puis premier chef présidé à la création de importante, puisqu'elle gras, maigres, chauves ou chevelus, ils jeux, de l'art, parmi la lumière, parmi la à ne chen» dans les brasseries Brest, Amiens, Tunis, Nîmes et Gand. Roma, la dernière œuvre du regretté permet plus de dire que la différence sont allemandes, en fraîcheur des gazons, la majesté des .arbres, des deux légion. Engagé au Capitole de Toulouse, il ré¬ Massenet, et aux reprises de La Flûte groupes ethniques belges pro¬ écoutant de grosses musiques, et en contem le charme des fleurs, la griserie des serres, On les rencontre silia pour entrer à la Monnaie, lors de Enchantée, d'Hànsel et de vient, en somme, d'une partout. En hiver, ils plant de gros luminaires colorés. Gretel, La- plus ou moins La bonne voilà, n'est-ce pas un joli cadeau à faire à la nomination de M. sont dans les Sylvain Dupuis Fiancée de la Mer et de Rhéna. grande quantité de sang germanique. cafés bien chauffés et ils marchande de «bouquettes est une ville laborieuse ?... liégeoises» comme directeur du Conservatoire de La découverte de Kurth M. Sylvain Dupuis, qui a laissé à la permet encore jacassent dans la fumée des alcools et des remplacée aux coins des rues par le mar¬ Et c'est à c.e Jardin d'acclimatation que de conclure Liège. Il avait trente ans à peine, mais Monnaie le souvenir d'un chef brillant que nos ancêtres ont assi¬ chand de choucroute chaude et par le mar¬ les pipes ; le printemps les ramène aux ter¬ Liégeois s'acclimateraient certes le son extrême ne milé leurs envahisseurs. On constate en¬ jeunesse nuit aucunement et ne chand d'anguilles fumées. mieux. Louis énergique, pouvait avoir de meil¬ rasses JIHEL. à son talent et il sut briller aux côtés core où le soleil arrondit leurfaconde. leur successeur à ce aujourd'hui que les métis flamands- Perdant .son pupitre envié, que vin, perdant l'une après l'au¬ de M. Otto ne ce Lhose, et ses créations de notre wallons reviennent au Personne sait VVWVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVWVVVVXW/VVVVVVVVVVVVWVVV jeune concitoyen, qui fut son type wallon rapi¬ qu'ils font, mais tre ses originalités, Liège perd les plus char Rhéna, d'Oudelette et de Thérèse lui élève et dement et régulièrement. si Ion semble avoir hérité de ses belles parle d'eux tout le monde est mantes qualités de son caractère. Moins valurent les Pour les ethnographes, la notion de éloges unanimes de la presse qualités. d'accord : « Ça c'est un excellent garçon.» française, elle ne peut être que moins wal¬ Druxelloise. « nation » se superpose à celle de race. Comme d'autres mendient de l'argent lonne. La nation est un groupe ( «CH- d'individus qui CESAR vivent dans le même milieu intellectuel ou du pain, ils ont soif d'amitié, ils ont la « Revue de Paris «, propose d'ajouter à Pour lui faire honneur, elle le mit, à table, à ces sources littéraires de forts emprunts à la sa droite et se prit à l'interroger sur la vie et moral, la même ont parlent langue, faim de poignées de main et le Carré 'VVVVVVVVVVVVVA/VWVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVV réalité. La comédie' de Musset .semble com¬ belge et les ressources de toute nature qui les mêmes coutumes, relèvent des mêmes posée, dit-il, de deux pièces rapportées: une abondent chez nous. Elle en vint à pour eux n'est qu'un long coup de chapeau parler de institutions ou du moins réagissent de l>artie lyrique et personnelle (c'est le ca¬ l'intense et remarquable mouvement litté¬ ractère dé Fantasio) sort évidemment du cœur raire dont notre la même façon devant le qui s'allonge et qui dure. pays est le théâtre depuis régime auquel A tous Crins du poète ; l'autre part, romanesque et fantai¬ une trentaine d'années. Le consul parut in¬ ils sont soumis. Ils connaissent les prénoms de tous ceux siste (c'est le mariage de la princesse Els¬ quiet, décontenancé, désemparé. Il finit par Si l'on part de cette notion, il est pos¬ qui passent et ils s'en servent pour étonner beth) a pu sembler imaginaire; M. Lanson. se avouer à son hôtesse qu'il ignorait tout de ce pourtant a mouvement. Il n'était d'ailleurs sible de se retourner persuade qu'elle aussi été vécue. pas mieux vers l'Histoire et A L'ACCLIMATATION Il les gens timides, les paysans de la ville y avait, en ce temps-là, une princesse, fille informé de notre mouvement.historique, ar¬ d'y trouver des indications. Chez les d'un roi bourgeois:, que la politique avait ma¬ tistique, pbilo'sophiqué, sociologique. qui ont des respects étranges et désuets. —î— riée Liégeois, par exemple, on remarque, au et dont le mariage avait coûté bien ^dtes vec eux pleurs à sa famille et à elle-même •: c'était Il II II cours des A la conversation s'êmaille d'épi- Le contrat âges, un persistant esprit dé¬ qui .cédait à une Société ano¬ la princesse Louise, fille de Louis-Philippe, mocratique, égalitaire, républicain, fé¬ thètes familières et « tape-sur-le-ventre. » nyme l'exploitation de notre Jardin d'Accli¬ qui avait éipousé le roi des Belges, Léo- déraliste. Ce pold 1er, en 1832, l'année même qui précéda Willette,la blaiguedu temps,féroce.où. il était ra.pin, avait qui se passe sous nos yeux Tout le Conseil matation est expiré. La Ville a main¬ communal, Collège en «Fantasio.» De même que le roi de Bavière Un soir, un en ou en dan,s cabaret de Montmartre) permet d'étendre tout partie tenant le souci et le devoir de faire quel¬ Notretral,rédac-chefle (grand poètea faitprovençal,parvenir,leàdernierMis¬ marie sa fille Elsbeth pour éviter une guerre deux femmes, buvaient des bocks avec une à d'autres Wallons ces tête, devient un calendrier sonore et qua¬ caractéristiques, livre du bon chansonnier et se trouble à l'idée que, peut-être, il con¬ rapidité que 'cihose de .ces terrains, bien, situas, au wallon, Louis La- _ incroyable." A peine servi, le bock qui n'ont celles des Flamands. lifié ; ils disent ce vieux Gustave, ce bon gauche; il en avait écrit la préface et il joi¬ trarie son cœur, de même Louis-Philippe, en était déjà bu. Comme l'une de ces femmes guère été bord d.e la Meuse .rafraîchissante, à la. fois Pour être gnit au volume un numéro du « Cri de mariant sa fille par raison politique, se re¬ était ma,igre, .décharnée et. d'une .pâleur à complet, il faut encore con¬ Louis, cet excellent Valère, et ils appellent assez près et assez loin du centre pour offrir Liège. » proche, dit un témoin, de la sacrifier. Elsbeth faire pitié, un peintre murmura : une sulter autre élite — que celle des sa¬ « L'illustre écrivain a bien, voulu a l'âme elle au bonheur diu Regardez donc ce l'artiste Maurice qui est aux Beaux- à notre population un fout dé saines prome¬ accepter noble, s'immole qu'elle boit, elle pa¬ vants raît anthropologues, historiens et eth¬ cet hommage en ces termes, trop flatteurs. : peuple; elle le doit, elle le veut, mais elle le .cependant prête à claquer.. • Arts. nades. e.t: de vivifiantes distractions. —• nographes. Il taut consulter des artistes. « Au bon poète Louis Lagauche, chanson¬ veut avec douleur. La princesse Louise ne Tu ne vois donc pas-,, lui répondit Wil¬ On a parlé déjà de peulcer une voie carros¬ nier populaire du pays de «Lîdje,» très vail¬ devient pas reine avec plus de joie. Madame lette, qu'elle s'habitue à la bière. Destrée dit : Le Flamand est en lent, opi¬ Digneffe et Jennisseikse transforment lant mainteneur de la sève wallonne et de Adélaïde et Mme' de Boigne l'attestent toutes sable, c'est fort bien, si l'on manoeuvre de niâtre, patient et discipliné; le Wallon Mimile; ils démocratisent Van son idiome, mes remerciements et compli¬ les deux. La veille même de la cérémonie, Il II II Hoegar- manière à éviter tout encombrement et tout est vif, inconstant et perpétuellement ments pour .son original .recueil: « Amon nos Cuvillier-Fleury note dans son journal «l'était den, tutoyent Greiner, écrasent de Autes !» » la 'princesse, ses et frondeur de l'autorité. l'épaule danger; mais cela ne suffit pas et les Lié¬ déplorable cle pleurs » Mes félicitations pour la préface d'« A- ceux du roi qui, au dernier .moment, se sent Les Unbienfaitscourtierde dela publicitépublicité. essayait, de¬ L'Ecole de la Xavier et s'ils parlaient à la Reine, ils la geois cotojptent bien, qu'on leur offrira un Wallonie, sous l'in¬ mon nos Autes », très intéressante, et mes encore prêt à rompre, tout comme le père puis une heure, de convaincre un commer¬ Jardin d'Acclimatation où l'on acclimatera d'Elsbeth. fluence de M. Albert Mockel, bientôt traiteraien t d'Elisabeth. salutations e.t sympathies au « Cri de Liège." L'.analo|gie cesse quand on com¬ çant des beautés et des avantages de la ré¬ suivi enfin quelque dhose. pare Léopold et le prince de Mantoue. Le clame. ■ • par M. Wilmotte et d'autres, affir¬ Mais s'ils « causent » de F; MISTRAL.» leur, femme, premier était homme de mérite; Musset a Le commerçant ne voulait rien entendre. me Mais quoi ? dira-t'-on. que le Wallon est individualiste, fait du .second un sot; mais la délicatesse la se les yeux blancs, ils prononcent : «Ma Désespéré, le icourtifer allait rqtirer, ! nous Il II II sentimental et enthousiaste. On s'est Bah n'avons .que l'embarras du choix. plus élémentaire lui commandait d'éviter la lorsque, se frappant le front, il dit : ressemblance. dame et ma demoiselle. » Il n'en est pas moins vrai que —.' N'avez-vous jamais vu une cane au complu à Cependant, il s'agit de faire preuve de quel¬ ajouter que nous sommes des le mariage d'une très |jeune princesse avec moment où elle vient ont de pondre son. œuf ? Ils le travail intense des » — rêveurs et des emballés, que nous man¬ oisifs et que logique. Acclimatons des animaux ! dic¬ Le vientprix littéraired'être décernéd'«Exicelsiorà M. Marcel(6,000Roland,f.r.), un veuf âgé, n'était pas populaire en. France ??'? pour son roman : « La Coniquéte d'Anthar. » et — quons de persévérance, d'esprit de conti¬ leur teront d'aucuns. Je veux bien, mais lesquels? que le public devait prendre plaisir à ri¬ Quand elle a pondu, elle le laisse là et journée se passe à tendre line main M. 'Marcel Roland a 3H ans. Il a écrit, outre diculiser le prince de Cobourg. 11 suffit de s'en va silencieusement,... Et une nuité. Cette théorie a fait de détestables Et poule, avez- dans puis, un Jardin d'aldclimatation n'est pas des vers, des chroniques, des feuilleter «La Caricature» laquelle il y a toujours un placet. contes, deux pour voir s'opé¬ vous jamais vu une poule quand elle a pon¬ ravages. On n'a pas uniquement romans : « Le Prèsqu'homme») et «Le; Déluge rer la transfiguration grotesque du fiancé. du ? manqué d'ajouter Le zoologique. Quelque envie qu'on matin, ils cour et, cerveaux futur.)) Tous trois ce — font leur appartiennent à genre ???..'' '. . ' que nous sommes légers, inconstants, ait de se rapprocher des ancêtres en éle¬ mi-scientifique, mi-fantaisiste .que Jules —- Elle etc. Et il ne vides, ils s'ébroue, va, vient ,tourne et pous¬ manque pas de gens bien s'emplissent, à l'apéritif, des vant en cages Verne et (Wells ont mis à la mode. des orangs et des chimpan¬ se de retentissants koot, kooit, kodet!... qui intentionnés pour idées de regretter que nous quelques politiciens qui aiment le zés, je ne vois pas, en dehors de cette ma¬ abassourdissent tout le monde... La poule Il II II Un ladeComédie-Françaisenos plus sympathiquesavait artistesété invité,de sait faire sa n'ayons pas les mêmes qualités que les Dubonnet. nifestation publicité... et .voyez le résultat : purement familiale, à quoi sert -se une Flamands. Il ne avant-hie-, à faire entendre dans les œufs de poule sont bien plus demandés manque même pas de cet élevage, puisque nous, nous croyons très grande soirée mondaine. que les. œufs de cane. Wallons L'après-midi, c'est le travail du Théâtre de notre 15 mars, une nouvelle œuvre pour dire, quand un des nôtres Le .samedi illustre compatriote, Maurice Soudain, dans un groupe qui pérorait du supérieurs aux primates, ce qui est discu¬ manifeste peu d'esprit de suite : C'est qui commence. Pour que la « dame » Maeterlinck, sera créée au. Casino die1 Nice. côté du petit salon, la conversation devint Il II II table, si j'en juge par certains de nos poli¬ C'est un drame en 3 en indécemment bien un Wallon! actes, prose, ((Marié- bruyante. L'artiste s'arrêta su¬ aux Madeleine.» puisse- aller bonnes places, ils télé¬ ticiens. bitement, .alla tout droit au groupe et, avec Il faut se demander si cette Mme concep¬ Georgette Leblanc Maeterlinck rem¬ la plus exquise politesse : La étaitsemaineinvitédernière,à une soirée.un chanteurs connu phonent à Olympe, Isi ou Nello ; ils vont Acclimater, comme on, le fait à Paris, des Pendant long¬ tion est plira le .rôle « Un de ces messieurs serait bien juste. Les artistes sont, ici, mau¬ principal. aima¬ temps, op. n'osa pas lui demander de «paver au Pavillon avec la carte de cerfs, des élans, des daims est superflu deux ble de se mettre au sa vais juges, involontairement Georges ou .piano pour que je parle de personne» : pourtant, vers minuit," la subjectifs. à mon tour fois. pendant .qu'il jouera.» maîtresse de maison prit son courage à deux Certains furent peu encouragés, mécon¬ un papier de Charles, ils entrent à la mains et le supplia de s'exécuter pour le Primo : parce que ces animaux vivent et nus, portés par réaction à se surpasser Renaissance au bras du bon Michel et dès Il II II plaisir de ses invités. s© reproduisent scus notre climat Nousméro,publierons,un importantdans notrearticleprochainde M. nu¬A. pour vaincre l'indifférence ou l'hostilité qui leur est L'artiste, qui n',a.ime guère cette sorte de qu'ils sont assis au Gymnase ils oublient Buisseret, avocat, vice-président de « La naturel; secundo : .parce qu'on les tue dès tapage, essaya d'esquiver la corvée. ambiante, conduits par là même à la Garde Wallonne,» sur le « Nosde.sconsuls, à l'étranjger, sont en général — vite les bilinguisme à l'ar¬ gens très .actifs, très dévoués et 11 est un peu tard pour faire de la mu¬ stérilité. politesses qu'il leur a fallu faire à qu'ils sont à point pour cela. mée et le recrutement D'autres se sont stérilisés à régional. qui rendent des services, éminents. Ils aident sique, observa-t-il, et les voisins... Monsieur Boon. Inutile — O'h! ne force de scrupules. Mais ils ne sont pas encouraigement à cette férocité hu¬ beaucoup à la pénétration, des capitaux bel¬ vous gênez pas pour eux, s'é¬ ges dans tous les pays du monde. cria l'hôte, ils ont les seuls à citer. On oublie Et c'est ainsi maine, dont nous, n'avons que trop de peine empoisonné notre petit l'exemple qu'ils vivent, gagnant de Evidemment, on ne peut exiger d'eux, donlt chien. contraire des Maréchal et à nous débarrasser. des Donnay, la mission est surtout économique, qu'ils Flatté d'être choisi comme instrument de l'argent, n'en dépensant pas, ayant des MementoAu « des Expositions Journal de Liège » : le peintre Jean soient tous des Pic de la Mira.ndole et que vengeance, pour ne citer que ces deux Liégeois. Il y . Quant aux lions, tigres, panthères et au¬ le chanteur s'inclina. Les voisins amis qu'ils caressent, fournisseurs dont Gouveloos ; au Cercle des Beaux-Arttis, Mlle leur érudition littéraire et! scientifique n'ont pas" fait connaître leur opinion. en a d'autres, nombreux. Il ne tres carnassiers, tout nobles .qu'ils soient, manque Drumaux et M. O. Duchâteau. éblouisse les populations. Cependant, peut- ils prennent les idées et les cartes. avec pas non plus de savants et d'érudits qui leur morgue féline, intéressent-ils tant être conviendrait-il qu'ils fussent au courant, Il II II tout au moins dans ses manifestèrent une grande persévérance. Ils sont cent, ils sont mille, courts ou que çà d'autres ige.ns que les marchands de grandes lignes, du mouvement intellectuel de la patrie belge. L'exemple d'un Victor Chauvin travail¬ descentes de lit?... Les boas et les crocodi¬ longs, minces ou larges. Ce n'est point le cas de certains d'entre Petitde incidentlia dernièrecurieuxaffairependantflamandelesquidébatsvient lant trente ans dans le silence et l'isole¬ MariageM. Jeandie Giraudprincesse.avait cru démontrer Ce sont d'excellents les méritent-ils d'être acclimatés pour qu'on que eux, et non des moindres. Tout récemment, d'être soumise au ijury du Brabant : ment à une œuvre garçons, mais ils le « Fanitasio, » de en dans une très On avait étrange et magistrale les lâche ensuite dans les futaies de Kin- Musset, venait droite grande ville d'Europe, une demandé aux jurés s'ils possé¬ collent. Teddy. ligne de Shakespeare, de Jean,-P,aul et sur¬ dame qui s'intéresse à la Belgique et qui re¬ daient la langue flamande ; tons avaient ré¬ qu'il réalise aujourd'hui glorieusement, où les flots de l'Ourthe. tout tempois, d'Hoffmann. M. Gustave Lanson., dans çoit beaucoup, invita à dîner nôtre consul. pondu affirmativement. On commença doue £ lIv z li 1

LE CRI DE LIEGE

l'instruction de l'affaire : M. Je président l'homme d'affaires y peuvent exercer leurs l'.atavisme les ingénieurs-chimistes, pousse¬ Voyez le contraste entre notre grosse quante ans : nos «Dames aux Camélias» ac¬ parla un néerlandais très pur et très litté¬ talents en paix. Les MlleMariages.Marie du Giastain, la jeune et ra toujours vers les bêtes qu'ils soignent et tuelles ont des préoccupations raire; le ministère public s'exprima en an- Une cuisine exquise, des vins fins, des célèbre violoniste, dont la famille compte gaieté et le fond de mélancolie qui som¬ plus utili¬ les vins taires ! ! ! versois; avocats se servit de la lan¬ boissons est programme tant de qu'ils analysent, bornant là toute meille en nos ce l'un des choisies, tel le du sympathies dans le monde de Bru¬ âmes. En petit homme Succès éclatant. gue brabançonne et le juge d'instruction, fit « Vénitien », auquel le sympathique M. Merc- aspiration et tout sentiment. xelles, vient d'épouser M. Lycurgue Laghos, flegmatique et froid, qui soupçonnerait sa déposition en un suave patois gantois. ken a toujours été fidèle. fils d'un grand industriel de Constantinople. Il suffirait, pour démontrer la stupidité l'auteur de tant d'énormités A ce moment, un des jurés qui, depuis d'une telle joyeuses ? théorie, de citer combien de gé¬ Et la quelque temps, manifestait des signes d'in- 14 U U 8 8 8 Oui verrait un voici encore, ,1a charmante triom¬ nies et artistes de tous genres eurent comme poète ? quiétude, demanda à dire quelques mot® "t phatrice, mercredi, dans «Madame Butter¬ ascendants des travailleurs Car Duysenx a écrit des fit cette déclaration : modestes, voire poésies où fly ; pour le bénéfice des choristes. La salle, même son talent se sous un « — Monsieur die président, je croyais con¬ Théâtre«Les pourTisserands»,sourdsunuets.de Gerhardit Haupt- Souffrez.vousGRAINE, deNÉVRALGIES,MAUX DE TÊTE,ne prenezMI¬ ignorants. révèle aspect char¬ comble, était superbe d'élégance ; ce public naître le flamand; mais je dois avouer que je mann, ont été récemment représentés à New- que les cachets de MITINE, remède souve-1 Mais, tout cela ne serait que très banal mant autant ultra-élégant a fêté dignement sa cantatrice qu'inattendu. préférée. ne comprends pas bien le flamand! qui ee York, adaptés en langage de sourdsjnuets, rain (10 ans de succès). Fr. 1.50 l'étui tou-' au fond si vous n'aviez la prétention dei dé¬ En tant que musicien, il échappe à Mnie parle ici.» pour un auditoire composé exclusivement de tes pharmacies. Edith de Lys, qui est mince, petite, peindre par là le caractère liégeois et ma Stupéfaction et embarras spectateurs compétence. Tout au plus reconnaî- et réalise la plastique d'un exquis visible de la atteints de surdi-mutité. « l'âme Tanagra, belge ». est, il va de Cour; finalement, Je président répond : « Je 8 8 8 trai-je à sa musique les qualités de ver¬ soi, charmante, dams les mines, Or, en ce faisant, vous les coquetteries de ne puis plus, vouis faire remplacer; mais s'il & U U dépassez les bor¬ ve et la petite Japonaise. Mais de cocasserie qui caractérisent ses voici y a quelque chose que voue ne comprenez nes, vous oubliez que vous êtes notre hôte le drame : c'est la vie, la souffrance, chansons. la pas, je ferai venir l'interprète. » Seulement, Ce lesamedi,mariagea étéde célébré,Mlle LilyenLegros,notre ville,avec et, que si votre talent trouve parfois des ad¬ Compositeur applaudi, chef tragédie de l'abandon lâche de la créa¬ il • M. d'orchestre adoré ture désigne l'interprète par ce terme très cor¬ M Arsènexelles, Heuzeaux Samedisdonne celittérairessamedi, àdieBru-la Georges Brouhon, lieutenant de génie. ces admirateurs, de ses musiciens, naïve,t trompée par un simulacre. Il n'y mirateurs, soint, je pense, Duy¬ a « Les témoins plusi de latitudes il rect, mais peu connu: «Taalman.» Revue d'art Le Thvrse », une conférence étaient pour la mariée : M. senx a ce — n'y a plus de Japon : des Liégeois. mérite trop rare — d'écrire, il Lorsque le pauvre juré entend ce mot, il sur Georges Duhamel", dont le Théâtre des Victor Uyttebroek, avocat, conseiller provin¬ y a de la^ beauté de tous les temp., par La simple sinon la reconnais¬ pour ses est médusé; on voit que le malheureux va Arts de Paris vient de donner la. première re¬ cial, son oncle. Pour le marié : M. Paul Brou¬ politesse, chansons wallonnes, des musi¬ l'extraordinaire traduction de la doulfeur mo¬ rale. Pas un demander ce que c'est que ce « taalnaan. » présentation de «Le Combat», pièce en cinq hon, sous-lieutenant d'artillerie à l'école d'ap¬ sance, aurait dû vous le rappeler. ques wallonnes; elles sont donc double¬ geste vain ; pas une exagéra¬ dont on le tion ; Mme de son menace; et, dès lors, il né souffle actes, en vers libres. plication de Bruxelles, son frère. Permettez-moi d'ajouter encore que, ment de chez nous. Lys vit rôle avec un ins¬ si, tinct .plus mot. infaillible du recul son Après la conférence de M. Arsène Heuze, comme vous le croyez, M. Picard a dû dé¬ scénique. Et chant puissant, délicat, D'ailleurs, dans cette affaire les lecteurs du «Thyrse» dialogueront «Dans 8 8 8 « poignant, paraphra¬ flamande,_ on couvrir l'âme belge » derrière un comp¬ se sert couramment du français:; c'est ainsi l'ombre des Statues», du même auteur, pièce Julien FLAMENT. se, accompagne son émouvante mimique. toir, j'ai vainement cherché « l'âme M. Massart et que le président ayant réclamé^ à dieux repri¬ qui fut représentée pour la première fois au C 0 M PAC NIE DU CHEMIN DE FER pari¬ M. Bruis, iar les science sienne » au fond de votre d'attitudes et ses, en flamand, des pièces que l'on avait Théâtre National de l'Odéon, le 26 octobre article. d'intonations ont admirable¬ DU NORD communiquées au jury, s'adressa finalement 1M2. ment fait valoir leur éclatante partenaire ; Mme à « Radino a été une l'huissier, en français: «Rapportez-les moi, Cette séance aura probablement lieu à Liè¬ La Wallonnu Hospitalière ». intelligente suivante, A l'occasion des fêtes de Pâquss, il sera MADI et Mlle Droste a bien s. v. p.», et les pièces revinrent aussitôt. ge en avril prochain, à l'Œuvre des Artistes, PÈQUET ! silhouetté la fugace organisé, au départ de De même, comme le ministère public lisait lors de l'exposition de l'excellent sculpteur 8ruxelles, Gand, An¬ figure de l'épouse légitime. N'oublions pas vers, Verviers, Herbesthal et Liège, des Pour copie conforme : le délicieux ©» flamand un article du Code, un des jurés Adeliu Salle et du peintre Mas son, bébé, que les applaudissements trains de plaisir à prix réduits pour Paris. ont bien demanda la traduction française ! E. DUCHATEAU récompensé de son obéissante jo¬ Le départ aura lieu le samedi 22 mars. Le liesse. u (Déclaimâtion) é u retour s'effectuera les Les U U & 23, 24, 25, 26 ou 27 chœurs étaient préoccupés, sans, dou¬ P. —■ mars, au choix des excursionnistes, par les S. Je voudrais vous dire deux mots te, de leurs intérêts Vola co n'deûre samainne so flotte!... personnels : ils en ont trains indiqués aux affiches. de Salis (le tenancier du Chat Noir), dont oublié de chanter juste. Conférencesgiéôis.. de l'Institut Archéologique lié- Li il fotche fôrnèye, li coûr contint, Entre ce L'identitétée jusqu'icidu maîtreun mystère.de FlémalleAprèsétaittantres¬de Mercredi est aussi question dans votre article. spectacle très moderne et le 3e 19, Salle Académique de l'Uni¬ acte wvvvvwvvvvvvvvvvvvvvvvwvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv Les ovris n' n'èrvont... beûre li de «l'Africaine», il y a clé trois recherches, cette personnalité artistique si Salis est mort riche et de com¬ gotte l'abîme versité, à 6 l/2i heures précises, conférence gastralgie quarts curieuse va-t-eille nous être révélée? M. Louis E de siècle; or, un spectacle .coupé ne par Mlle Marguerite Devigne, docteur ès pliquée encore, ce qui aggrave son cas. câbaret dès gros Martin!... Maeterlinck, le conservateur diui Musée de peut artistiquement s'entendre qu'avec une art et archéologie. C'est entendu. vient die Bâtisse lu, ni tûze wére Qu'à rvèye sélection savamment graduée. Après lés in¬ Gand, publier, dans la «Flandre li¬ Sujet : Un des igirands maîtres du XVe siè¬ un Mais, sans nous attarder trop sur l'exhu¬ A tervalles modem-style de Puccinii, bérale,» article dans lequel il soulève un « pu vite si feume et l's'èfants, Meyer- cle, Roger de la Pasture », dit Roger van beer a coin du voile. D'après ce critique d'art, le der mation qu'en a. faite votre ami paru trop plat; et le livret de «l'Afri¬ 'Weyden. Willette, et Min, qwand c'est qu'i

« — A vosse santé !... ■— «Hein, quèlle bonne Molière au.un café-concert. Dams café-concert parisien, on vient tgotte?... AU GYMNASE de représenter le « Malade imaginaire1,» de A Monsieur le Rédacteur en chef a Molière ! Et l'œuvre obtint un grandi succès. Des Vers Çoulà freût raviqiner les nvwèrts !!... Des gens, des tas deigens, ont fait la moue !.. du « CRI a Et dire qu'à jou d'oûïe on radotte DE LIÈGE » Pour faire concurrence aux patronages Et les discussions ont été bon train. Et « Qui l'pèket fait sovint dè twêr //...» la Tournée Baret nous est arrivée cette se¬ d'autres personnes, ne sachant quelle attitude Monsieur, maine avec La Fille de Roland, la pièce cé¬ prendre, que dire devant cette profanation, lèbre d'Heniri — de Bornier de l'Académie ont consulté des écrivains. M. Emile SI... ? Martin, nos beûrans co bin n'haute /)> Faiguet, Française. Dans cette œuvre, que tout lie entre autres, leur a répondu ces choses Votre estimable Cichal on verre;... ossu;... judi¬ journal se disant une tri¬ paie l'aute monde connaît, M. Albert Lambert a pu don¬ cieuses et fines : Si je n'ai pas connu l'envie, bune libre, je crois inutile d'user d'un droit Bâtisse ni pout fer mon qui Vsautes : ner libre cours à son lyrisme verbal. Il eut « Il y a pour le café-concert un touitl re¬ C'est que tu fus sur mon chemin; ^nrvcrvy "w— de beaux accents de douleur et dles cris de « — Ine nouveau moralisateur dans la voie qu'il a que me confère la loi, pour vous prier d'in¬ towrnêye/» (on n'est nin là-d'su!) détresse très violents. Dès lors, du jour au lendemain, ouverte. « Le Malade » a sérer la lettre I kmince à g-avu l'tiesse imaginaire plu à que vous trouverez annexée pèzante, ■ Si M. Albert Lambert tombe trop souvent so;n puiblic : « Le Tu vins remplir toute ma vie. Bourgeois Gentilhomme », à la Chronique des Lettres wallotines Et s'voreût-i bin n'n'èraler^... dans l'exagération on 11e peut lui nier une ou « Le Médecin présente. malgré lui » •— pour ne pas plastique véritablement remarquable. C'est une Min li parler de « Monsieur de Pourceaugnac » — Cette lettre est réponse à certaines hpagnèye est-amûsante, Si je n'ai -pas connu la haine une pour un acteur l'eussent enchanté de même. 'Ils l'enthousias¬ déjà grande qualité qui Ce phrases, parues dans votre dernier numéro, Et v'ià qu'on rataque à holer : doit interpréter des rôles de héros. meront demain., car, le suiocès1 étant la grande dégoût me fut épargné sous le titre « A tous crins » et — « Ti fouine ni sèrè nin contaînne? ! J'avais beaucoup admiré, il y a quelques loi théâtrale, ce directeur ne -peut manquer Par ton amour, tout imprégné signées Vous sonnez; la années, M. Albert Lambert dans Polifhémie de les monter la saison à Louis que porte s'ouvre. Comme a N'esse nin twè qu'es maisse? Ni l'pu fwér? prochaine, moins De ta bonté calme et sereine. Jihel, phrases je juge plus que d'Albert Saimain. Cette œuvre, en ce em.ps là, que ce ne soit un de ses concurrents. On si vous déclanchiez le mouvement d'une désobligeantes à mon égard1. «Haie!... Eco- n'gotte... divan l'dièrainne ! ! me plaisait délicieusement mais aujourd'hui, pourra ensuite jouer « La partie de clh/asse boîte Si à musique, toute la maison frémit que mon admiration est un peu de Henri IV j'ignore les jours moroses, Veuillez croire, Monsieur le Rédacteur en « Li pèket n'a: maie fait dès twèr !... diminuée, », de Collet, ou «Juge et partie», je ne m'empêcher de d'ondes sonores. Au salon, deux violons puis également d'y voir M. Monttfleury, donit le «qu'importe !» vaut C'est que j'ai four ciel radieux, chef, aux sentiments les meilleurs de celle Albert Lambert les s'accordent... criant, soufflant, gesticu¬ meilleures ripostes moliéresques. Labi¬ fraternellement; dans la Is buvet!... Por sels, c'est ine fiesse!... lant L'éclat limpide de tes yeux qui a la prétention d'être, avec violence. che lui-même, soyez-en. sûr, amuserait, au¬ salle d'études, une pianiste infatigable Et leûs pauvés Au demeurant cette soirée fut plus litté¬ jourd'hui, les habitués du caf' conc'.» Et le fruit de tes lèvres roses. cervais s'estchâfet !... raire que bien d'autres et si elle ne répon¬ Et puis, a dit encore ce bon M. « La Wallonnu enseigne les éléments de la musique ou Asteûre, is ont l'air à l'pït biesse : Faguet, Hospitalière. » dait, pas tout à fait à mon goût « fait artistique, ce^ directeur de café^co.ncert renoue la vraie Charles GOTHIER. répéter des chansons wallonnes, Is n'savet pu nouk çou qu'is fet ! dk moins eut-elle tradition de pour mtoi, cette valeur Molière. Il y avait à la fois, .dans i * vieilles ou neuves. Votre serviteur con¬ inestimable d'être * * Tôt d'on cô, volà qu'on s'apogne, dédaignée du public et Poquelin. le psychologue génial, qui a écrit le WVVVVWVVWVVWVVVVtyVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVV\ naît cette ce d'être écoutée devant une dlemi salle, alors « Misanthrope », et un directeur de théâtre obligeance et désintéresse¬ (On n'sâreut câzi dire pokwè,) q.ue les music-halls font florès. qui avait besoin .de faire jouer des farces A Monsieur ment. Louis Jihel, Et Bâtisse atrarpé on cô d'pogne A cause du religieux respect pour le génie pour faire recette. Seulement, ses farces A l'étage, Mmo Duysenx égrène aussi de Beethoven je ne vous parlerai pas de la étaient encore des chefs-d'œuvre.») homme de Qui rivnévê à Pierre... ou Françwè !... lettre et d'esprit. des leçons de piano. De son harmo¬ pièce de M. René Fauclhois. Cet ancien ac¬ Et puis, pourquoi ne pas Treus dints lî_ toumet foû dè l'boke, s'efforcer de faire teur s'amiuse', à Paris, à démolir des génies comprendre peu à peu au gros nium, li p'tit Duysenx fait jaillir des public qu'il Sin qu'coula r'mette li bon acwér!... comme Racine, je nie puis le suivre dams est préférable d'applaudir aux beautés Monsieur, refrains de qu'aux chansons, des flon-flons cette voie, en rendiant compte d'e son. Beetho¬ inepties. (Bin sûr, on n'creûrè pu, d'vant ii'tchoke, d'opérette. ven. L'an dernier j'ai entendu la Messe en r'e Dans votre dernier article, vtous sévissez Doué d'une Qui l'pèket n'a maie fait dè twêr ? !! !) d'e l'auteur des neuf symphonies, et bien que — fécondité, d'une origina¬ 9 U & avec une devant moi se trouvait un artiste rigueur que j'approuve dans lité sculpteur une qui déconcertent, Jos. Duysenx a certaine mesure — contre les spectacles Comme U bataie assètche li flouhe, liégeois qui se permettait de faire des ré¬ malsains écrit 300 chansons —paroles et musique flexions stupides vis-à-vis d'un tel chef- HumourLa cigognealsacien.est, on le sait, l'oiseau na¬ auxquels nous convient des ren¬ Et qui ses cantes n'alouwet pu rin, contres d'œuvre, j'en ai goûté l'immense et divine tional alsacien. L'on se sert d'elle pour ex¬ comme celle de Klaus-Billy Papke, pour la plupart, — 12 pièces de thé⬠Li câbartî l'sè pite à l'ouhe, beauté avec une joie suprême. Fallait-il pliquer aux petits enfants comment ils vien¬ et des « bandits tragiques » avec leurs tre et deux — ju¬ .opérettes le triomphe du E l'sè traite d\(ârsou'ien et d'uvârins /'//» qu'un poète de trente sixième ordre, comme nent au monde. Mais voilà que l'aéroplane ges. Mârlî, complétant les victoires de Cusin René Fauchois, vienne ajouter va troubler cette 50 quelque cho¬ légende enfantine. Un avion Vous l'pavèye li scînne ridobelle, se à la vie et aux œuvres de déplorez ensuite le peu de place, que Bebert. Citerai-je : Li Ton, Tchanson cet immortel planait récemment sur un village, près de Min l'police qui passe justumint, génie ! Colmar. gardent les journaux, pour rapporter, après so les Tous les habitants suivaient du re¬ bïèsses, Li Vatche, Li Mâ d' Le Beethoven les faits cités Dâre â mitan dè l'ribambelle, de René Fanchois est un pur gard ses évolutions, quand., tout à coup, un Les LaCours.santé du Roi. — S. M. souffre de¬ plus haut, le récit autrement vinte ? Il faut l'avoir entepdu les chan¬ sacrilège. Que lesi dieux mie pardonnent petit garçon, possesseur de nombreux frères puis un certain temps d'une attaque dé scia- noble du martyre de la mission Scott ou Et s'ènnè rind maisse abèyemint... ter lui-même au piano pour en goûter d'accoler ces deux noms ! et sœurs, part en courant, entraînant sa mère tique. des infortunes d'un inventeur qui enrichit Bâtisse hwire à r'trover s'motionnet et criant : La Famille toute la saveur caricaturale. Royale n'ira pas à Ostende, la presque tout l'univers, à part lui. — Et Maman, .rentrons vite fermer les fenê¬ faculté ayant interdit au chef de l'Etat tout usigsaguèye» avâ l'trotwèr Hélas, Monsieur, pourquoi n'en être pas tres. Voilà la cigogne qui apporte encore un séjour au littoral. Toit s'dimandant « si c'est à V bonne resté à ces considérations ? enfant. Pourvu qu'elle n'entre pas chez Qui l'pèket n'a maie fait dè twêr? !» La représentation de ce dimanche, en ma¬ nous ! P & & Pourquoi, après d'aussi belles pensées, tinée, se donne au bénéfice de M. Sky. vous être attardé à dire du mal de toute Les habitués du Enfin !djan! vo l'richal è s'djise, Gymnase estiment M. U U & une catégorie d'individus qui, certes, ne Sky à sa : c'est un artiste ha¬ Le princeont quittéet laBruxellesprincessemercredi,Victor-Napoléonse ren¬ Divè les noie eûre â matin! juste_ valeur vous en veulent pas ; selon votre propre bile, consciencieux, au talent très person¬ dant en leur propriété aux environs d'A:- rectification 51 pauve nel. sesse. théorie, ne doivent-ils pas ignorer votre feume, qu'a passé n'iaide sîse, Dans la vie existence ! Et co n'pu laide mit, è l'ratind; privée, c'est un charmant gar¬ A la suite d'un écho paru dans un. numéro Si çon, aussi sommes-nous persuadés que ses précédent, nous avons && S je vous ai bien compris, seul, ie génie Voyant Battisse rivni reçu la lettre sui¬ mwért-îv'è, nombreux amis tiendront à lui témoigner vante ; .engendrera le génie et les âmes simples — Elle lî r'proehe dè rintrer si târd, leur sympathie. j'emploie ce dernier pour — qualificatif être La location De Paris.Le Min ci-clial inteûre coimn è superbe en est un sûr garant. « Monsieur le Directeur du Grand-Duc Paul de Russie, qui l'fîve, Journal moins... sévère que vous — les âmes sim¬ On interprétera s'était rendu ià Saint-Pétersbourg pour assis Et s'mette à «L'Espionne», de Victo¬ «Le Cri de spiyî tôt l'basâr !... rien Sardou. Liège1», E/V. ter aux fêtes données à l'occasion du tricen¬ ples, dis-je, auront beau chercher à s'élever Dans vers Si raflant qu'ses kpagnons d'ovrèdje le dernier numéro die votre journal, tenaire des Romanoff, est rentré à Paris. des sphères plus hautes que celles cm il est dit Ont dit qu'il est question de vendre le le'destin a voulu qu'elles se meuvent, rien !qu'l'ome deût wârder l'pouvwér» Phare, le Cihiarlemagne et le Grand & & 9 Hôtel, n'y fera et la pauvre humanité — voyant I brait minme, tôt minant d'I'arèdje : M. Mouru de pour v construire un grand magasin. La,cotte, directe™ du Thé⬠peu à peu les descendants de ceux qui fai¬ « Li pèket n'a maie fait dès twêr ! tre du Gymnase, a décidé à l'occasion de C'est tout simplement un canard., et je saient sa son départ dë" m'empresse de lui couper les ailles. L'amiralarrivé Princeà Paris,Louisvenantde deBattemberigLondres. est gloire, ne répondre qu'à demi aux Liège d'organiser la dernière L.e Phare représentation de la et le Ch.arlem.agne, dont espérances qu'on en attendait •— la pauvre saison, c'est à dire le je suis Leye, aprindant (jfi'l'a vûdi s'potche, 1er avril locataire encore prochain, au profit des œuvres lié¬ pour plus de quinze années, humanité retourne infailliblement au créti- Argouwèye pôr li mâhonteû... ne sont ni à céder ni à remettre. geoises suivantes : nisme. Enfants J'y suis., j'y reste ! Ci cô-chalj Bâtisse veut tôt rotche : martyrs ; Visite du dimanche ; CrétinTsme ! c'est ainsi, je pense que Pauvres — Honteux; Tuberculeux. Veuillez, je vous prie, insérer ma lettre Les Ambassades.Mme Dè sonk et cint blawèttes di feû! Papeians de Morchoven, fem¬ vous considérez l'état de toutes nos classes A cette occasion, la direction du votre prochain No et agréez, Monsieur me Gymnase dans_ du secrétaire de la légation, de Belgique I brohe so offre le Directeur, mes salutations laborieuses, mais non artistes. l'coûtai, là: so l'tâve, gracieusement : distinguées. à Lisbonne, a heureusement donné le jour à Sa nous ! Porçût s'feume, et... li plante â cour!... salle, v compris l'éclairage et le chauf¬ un Que voilà bien livrés Cette civili¬ . - fils, qui a reçu le prénom de ■ Franç. PREVOT. » Jean. fage ; sation qui a coûté tant de siècles et tant de Adon, divnant sot d'vant l'eadâve, CM-'iACftmgSÉ. Les artistes prêtent un concours complète¬ 8 8 8 peines, rebrousse subitement chemin sans I s'bouhe lu-minme, et tome à st'our !! ment désintéressé à la fête. qu'on s'en doute. Le M. Joseph DUYSENS, petit personnel comprenant : machinis¬ Heureusement, Monsieur, vous êtes là qui tes, ouvreuses, vestiaire, etc., abandonne son Mmede Bswoisky,en femme de 1',ambassadeur Russie France, se trouve à Bru¬ Chef d'orchestre au Théâtre Wallon. bénéfice aux Potinsi...M. Brenu,à roulettes.a réengagé, pour la saison nous avertissez. On lét tos les so pauvres. xelles auprès de sa sœur la princesse Kou- joils, l'gazette, et L'imprimeur offre ses prochaine, M. Sybel-Bardet M. Viguié; il Puissiez-vous n'être pas Ds imprimés gratuite¬ dacheff, femme du ministre de Russie en arrivé trop tard. s'faits canardjes;... et, sin non r'mwèr, ment. a engagé, pour la troupe d'opérette, trois co¬ Belgique. En tous cas, le fait de nous avoir pré¬ Franchement Wallon, miques, dont M. Alazet, qui fut au Pavillon Duysenx ap¬ Mâgré çoulà, l'buveû rèfette Bref, grand ou petit, du même cœur, tout venu, et d'avoir été l'éclaireur d'un mou¬ le sous la direction Delonele; un ténor qui fut pelle un chat un chat. Oh ! ses œuvres « Qui l'fèket n'a maie fait dè twér! ! /» monde y va de son obole. 8 U 8 vement Le au Roya/1, un baryton dont on dit merveille. qui v,a maître de par vous, tout cela passeraient au crible de la programme comportera : « l'Adversai¬ critique la re L'excellent Sky du Gymnase, suffit amplement pour vous glorifier à », 4 actes, d'Alfred Capus et « l'Enig¬ rejoint, au ja¬ plus scrupuleuse. Sa Muse n'est Joseph DUYSENX. Pavillon, son camarade Oudart. M. Brenu mais. pas la me», 2 actes, de Paul Hervieu. (Spectacle s'est rendu Courslyriquegratuitsdonnésde chantpar M.et Adolphede déclamationMaré¬ jeune de à Paris, l'autre semaine, réponr- Mais donc personne fardée et court-vêtue que famille). chal, de dites-moi pour quelle raison Le dant à une invitation de M. André Antoine. l'Opéra.Comiqu?. Les jeunes gens l'on courtise Liège, 2 juin 1909. qui trop aujourd'hui. Mais, ^touchant élan qui unit, dans une même Le désireraient suivre ces cours peuvent se l'homme qui «travaille» et, comme vous pensée directeur de l'Odéon désirait engager dans l'honnête charitable, tant de talents et de dé¬ faire inscrire rue Rensonnet. potager de la vouements M. Oudart, dont il offrait de payer le dédit. écrivez, qui appelle « sacrifice » une « stu- gaieté lié¬ ; le grand mérite des Œuvres bé¬ est vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvwwvvwwwwvwvwwwv M. Oudiart, se jugeant engagé1 vis-à-vis de pide envers ses geoise, s'il des poiriers en pyramide néficiaires, vouées au secours de détresses 8 générosité enfants», ce mê¬ M. 8 U et des roses obscures ou Brenu, a refusé, et nous nous en félici¬ me homme, qu'il soit boucher, charcutier, épanouies dans les carrés imméritées, également dignes tons, d'intérêt, sont les garants concours em¬ « de du bistro » n'importe, s'il peine à la tâche choux, du potager trop plantureux, pressé qufe la population liégeoise apportera En nistrel'absencede lade S; Exc. M Blancas , mi¬ un République argentine, c'est pour arriver à vivre et à élever sa famille peu de fumier parfois déborde sur Les Théâtres à cette fête d'art et de charité. M. Llambi Campbell, premier secrétaire de et s'il dit : « J'ai des enfants et je veux l'allée. Les jupes de laine de la mo¬ légation, qui remplit les fonctions de chargé1 qu'ils aient une vie supérieure à celle que deste Muse Arsène HEUZE. Un peuAu demilieucalme.de la d'affaires, à Bruxelles. s'y embrènent parfois. ville agitée, musi j'ai menée », pour quelle raison cet homme cale et Or, le rire de est si commu- ★ cinématographique que les Duysenx ★ ★ Liégeois n'est-il qu'un assoiffé de « bénefs », un uto¬ AU ROYAL habitent actuellement, il est resté, heureuse¬ 8 ^ ^ nicatif, son direct piste et un imbécile ? comique si que les ment, des coins calmes où l'on entend en¬ plaisanteries les plus AU core (la voix du monsieur J'entends votre réponse. Cet homme ou¬ moliéresques lui PAVILLON DE FLORE qui vous, raconte sont iDimanche, Mme Edith de Lys triompha une histoire permises. Je ne sache pas uine fois spirituelle. COURStoutes deles dansesdanse.adoptées— Pourdansconnaîtreles bals blie, ou plutôt ignore, que son âme veule que de plus, dans la Traviata, dont elle Véritable oasis dans une vie ne lui Couplets d' circonstance ou Chanson incarne à miracle le charme Sa trépidante, le mondains, 10 leçons de Mme Balza suffisent. permet pas d'engendrer des êtres su¬ romantique. M. Gérard De'lbaxhe est parmi nos comi¬ « Vénitien » est de ces endroits là. souplesse de tragédienne-,née lui fait conce¬ Leçons particulières. — Organisation de périeurs à lui et si, par accident, ses fils parfumée aient jamais froissé ques wallons l'un des plus étonammenit doués. Le quelqu'un. voir et joueur de cartes, le brillant cours. — traduire, dans la plus juste mesure, Ce n'est causeur, 49, rue du Pont d'Ile. deviennent un Dieu sait pas un artiste de la vieille jour médecins-vétérinaires ou pourtant si on les a chantés. le douloureux sentimentalisme d'il école, qui y a cin¬ se spécialisait surtout pour la rondeur et la

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bonhomie : le comique de M. Delhaxhé est L'artiste a été albondamment fêté et, dans voteraient d'enthousiasme son application à des reproductions fidèles de gravures con¬ parmi les anciens, le plus grand de tous ces perçus pratiques sur l'action plus affiné, plus sobre et partant ipilus intense. un intermède remarquable, un public enthou¬ économique et renseignement. Au surplus, ce — temporaines. Cette seconde philosophes. Montaigne et Voltaire ont lais¬ C'est a spectacle partie s'achève sociale des lui, pensons-nous, qui a introduit siasme chaleureusement applaudi Mme de sé des essais Belges au Brésil. commenté remarquables. le comique gourme sur la scène wallonne : Brasv, MM. Roy, Dambrine et le bénéficiaire par une parole chaude, érudite par le triomphe de la Révolution ; un ta¬ Chez nous, Pirmez, Picard, Maeterlinck, Le conférencier a la voix forte et l'esprit dans les chansons infiniment drôles qu'il dé¬ lui-même, qui se sont fait entendre dans un et vibrante — qu'en diriez-vous, M. Gillet ? bleau vraiment émouvant et longuement ac¬ nous oint fait goûter ce genre d'écrits. observateur et bitait au Théâtre Communal Wallon de M. choix de morceaux intéressants. caustique. Cette conférence a conviendrait à merveille à nos écoliers. clamé nous Aujourd'hui, beaucoup de nos jeunes au¬ G. Lo.ncin, les Lie/geois purent apprécier les Cette semaine, se donnera la soirée au bé¬ montre le vénérable Ph. Du¬ été une heure teurs s'y adonnent avec un rare succès et agréable trop tôt passée. curieuses qualités du jeune artiste et les pre¬ néfice cle Mme de Brasy, notre première chan¬ Tour à tour défilent sur l'écran : l'entrée moulin — un des derniers suivivants des leur nombre permet d'établir parmi eux des L'assemblée remercie par les applaudis¬ miers succès de Deilhiaxhe furent -die ceux qui teuse d'opérette, dont la grâce souriante a du prince d'Orange à Bruxelles, l'effer¬ glorieuses journées — racontant ses souve¬ groupes bien définis : parmi les philoso¬ sements décident d'une carrière. Aujourd'hui, le Dra- trouvé, chez nous, la plus accueillante sympa¬ prolongés ; M. le président Gavage vescence que produit l'annonce des nirs phes, il faut citer MM. Léon Wéry, Tim- thie. impôts exprime le souhait de revoir mermans, Ch. Beck, Leeomte ; parmi les bientôt à la Dans la revue « Liège-Baraque,» Mme de sur la mouture, une fête à La Haye et la La 3e partie fait se succéder le Gouver¬ critiques littéraires, Georges Rency, Mau¬ Société d'Expansion belge le Brasy s'est montrée une délicieuse commère; sympathique colère du roi Guillaume à la nouvelle des nement rice Gauchez et, parmi les critiques d'art, on sait que la charmante artiste est de nos provisoire, la joyeuse entnée de conférencier. une noms est émeutes ; l'arrestation du journaliste Pot- quantité de intéressants. Il concitoyennes et les Liégeois se feront une Léopold 1er, l'inauguration du premier che¬ d'autres Son Excellence, M. de Mello-Franco, char- joie d'aller la fêter. essayistes qui se sont consacrés à ter, emprisonné au Petits-Carmes ; la repré¬ min de fer — merveilleusement reconstitué la critique de la vie quotidienne : tel. événe¬ Fonseca, commissaire général pour l'Europe sentation — fameuse de la «Muette de Piortici» la mort de notre premier Roi. ment, insignifiant en soi, est pour eux le su¬ chargé d'affaires du Brésil à Bruxelles, et reconstituée de jet de considérations élevées ou de pensées façon saisissante et souli¬ Puis c'est le règne de Léopold II, de bel¬ M. de de profondes sur la vie contemporaine ; parmi d'Etat de St-Paul, qui comptaient gnée par le chant de l'air célèbre. Puis les vues du ces Congo, Belge, les funérailles du derniers écrivains brillent, dans nos let¬ assister à la séance, ayant été TVT "IV/f l(?s artistes à la mai- retenus, au trouveront, c'est Jenneval chantant, pour la première Roi tres les talents de MM. Louis Dumont-Wil- ItAITI. son Alfred colonisateur, l'entrée à Bruxelles du Roi dernier moment, par des affaires LANCE, Junior, den. Léon Souguenet, Edmond De Bruyn, urgentes, 15, RUE DU PO NT-D'I L fois, la Brabançonne de Charles Rogier ! E, 15, LIEGE Albert, la dynastie belge et — ein finale ap¬ et les premiers écrits de Charles Dulait, un assortiment complet de maillots et bas Des voix fraîches d'enfants chantent le plaudi — deux drapeaux tricolores flottant mort à vingt-six ans, permettaient de puis¬ vvvvvvvvvvvvvvvvvwwwwvvwwvwwwwwwwwww de théâtre, ainsi t»ue les fards des maisons « Valeureux santes réalisations. Leichner Dorin, Piver, etc. Liégeois », la salle part en bra¬ au vent, que l'orchestre, les solistes et les De chacun de ces maîtres, M. Charles Ber¬ vos frénétiques. De la cour du Palais, Ro¬ chœurs saluent d'une dernière «Brabançon¬ nard a su lire en artiste des pages bien gier part à la tête des volontaires ★ ; Charlier ne». choisies : cette causerie, adroitement écrite, ■k k les suit sur son canon. avait réuni un auditoire véritablement Entrée des Hollan¬ Souhaitons plein et durable succès au trop restreint, mais qui a écouté avec l'atten¬ dais à Bruxelles, sous une grêle de meu¬ THÉÂTRE COMMUNAL WALLON «Kursaal», qui débute de si heureuse maniè¬ tion des fervents le jeune et sympathique bles; épisodes divers dans le Parc, figura¬ re. Et suivons attentivement les débuts par¬ conférencier. tion nombreuse et bien H ANS L Y. Le dimanche 9 mars, le Théâtre Commu¬ réglée, fort jolis lementaires sur la nouvelle loi militaire. nal Wallon représentait les deux pièces «Li effets de couleurs. Grimbiè-Mo'lin» et «Les feuimes dè Cazère». R. C. vwwvvwwwwwvwwwwwwwwwwvwvwwvvwvyr J'ai noté des détails fort bien observés, Comme de coutume, la troupe a donné unie exécution fine et soignée de l'urne et de l'au¬ tre. «Li tchanfcrèye», qui séparait les deux communiques comédies et où les artistes apportent tour jours tant de bonne volonté, a été des plus écoutées, des plus applaudies. Comme prévu il y avait salle bondée le lundi, jour suivant, pour le bénéfice de Mme LE VIEUX-LIEGE Ledeint. «'Oui-fat'-i fé ?» et «li Mârlî», dans lesquelles figurait l'heureuse bénéficiaire, La Société le ont^ obtenu leur franc succès. L'intermède Vieux-Liège visitera diman¬ choisi pour la circonstance, a produit l'effet che prochain (Dimanche des Rameaux) que l'on attendait. Les talentueux chanteurs, quelques localités du Mlle Mathieu, dans l'air du Liwre «Ham'let» pays namurois, Mar- et «Vinez Marèye» et M. Louis, dans «Hé- che-les-Dames, et sa vieille abbaye, Gelbres- rodiade» et «Le Roi de Lahore» ont émer¬ sée, • Marchovelette, Waret la Chaussée, veillé le publie par leur voix puissante et Champion, Boninmc. noble • le fin diseur L. Bernard a, damisi ses M. Gérard DELHAXHE. chansonnettes à parlé fait rire, mais rare à Train de 7 h. 38 Liége-Guillernins. Mar- se détraquer les mâchoires. ches-1es-Dames 9 h. 13. Les billets de So¬ nem wallon se consacre spécialement au gen¬ Les artistes de la troupe, ont eux aussi, ciétés re revue r. .ses trouvailles savoureuses, qu'une rivalisé d'entrain. à prix réduits doivent être retenus rare mobilité de physionomie sert admirable¬ Mme Ledent, a été chargée de fleurs et avant jeudi: soir. ment, font chaque soir la joie d'un public de cadeaux, gages de l'eJtime qu'on lui Le programme du splendide voyage en qui adbre Gérard Delhaxhe. Dans « Liége- porte. France Baraque», sa parodie du créateur des «Ptits Et, si les jours se suivent, les soirées à (I.aon, Coussy-la-Ville, Reims, Sois- Poisi» dans les «Demi-doux:», vaut, sans con¬ bénéfice font de même ; l'une sort du sac, sons, Gompiègnë. Pierrefonds, éventuelle¬ tredit, l'orâginai ; quant à la scène du der¬ l'autre veut en sortir aussitôt. C'est ainsi, nier ment Chantilly, Noyon, etc.), les trois alcte, elle donn e à M. Delhaxhe l'occasion que pour le 24 -mars courant, on nous an¬ jours de de déployer les multiples ressources de so.n nonce lia représentation en l'honneur de M. Pâques, est définitivement arrêté. Le prix riche talent, qui illumine d'une gaîté nou¬ Roussar, le, comique par excellence, le bissé, à forfait en est de 76 fr. 75 (trains, loge¬ velle la pétillante revue du Pavillon. le1 trissé des. intermèdes. On a ments, repas, pourboires et a/vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvwwvvvvvvvvvvvvy fêté, jeudi soir, le consciencieux ré¬ Au prochain numéro, tout le mal que j'ai entrées). gisseur de notre scène1 d'opérette. M. Emile à dire die lui- Cehii de l'excursion au merveilleux lac de Harlin, à l'occasion de son bénéfice. Jean LEJEUNE. Gemund, au barrage de l'Urft, dans l'Eifel, avec visite de Duren, les ruines de Nideg- Programme des Théâtres gen, la vallée de la Ruhr et Montjoie, est chant et de la déclamation lyrique, il débuta aussi fixé. Prix à Nos Connaissances il y a 7 ou 8 ans, à Reims. forfait, 2'9 fr. 50. Départ Dès les premiers soirs, sa uoix solide, pre¬ vendredi soir 28, retour le dimanche soir. nante, chaudement timbrée, fit sensation; il M. Paul DECHESNE. Les personnes désireuses de profiter des An à fit bonne impression, et, bien que le comé¬ Théâtre Royal de Liège l'Stranger dien fût, à l'époque, encore inexpérimenté, avantages de ces- belles excursions peuvent il remporta de nombreux et flatteurs suc¬ Nous sommes heureux de s'informer pour les détails au local du Vieux cès. pouvoir geuses, nous ne croyons pas que M. enregistrer les beaux succès Paul Dechesne ait Liège, g,5, en Féronstrée, à Liège (écrire à L'anpée suivante, nous le retrouvons, à remportés signé son réenga¬ M. Samedi : Rel '' e. Gand. Le comédien a (gagné de l'acquit; la par notre jeune concitoyen, M. Paul gement pour la saison prochaine. Comhaire, archiviste), ou encore chez Dimanche 16 Encore un enfant de Liège qui porte au voix s'e.sit assouplie et, dans cette ville en¬ Dechesne, au Grand Théâtre de Mons. Nous suivrons ce M. Albert Offermann mars, à 7 heures et demie, jeune et talentueux fils, 34, Sur le Mar¬ 5e loin Je 'bon renom de notre vieille et glorieuse core, il ne connaît que des succès. Les représentation du 6e mois d'abonnement, journaux locaux lui consacrent artiste dans sa carrière, que nous ché. àu bénéfice de M. Pierre cité. Puis, nous le retrouvons à Dijon, où il Verstr.-ne, régis¬ de nombreux articles souhaitons brillante. seur Le baryton Closset fut l'élève de l'ex-fpro- prenait brillamment la succession périlleuse élogieux. général, reprise de : «Les Hugue¬ * nots». fesseur Goffoël ; d'un autre après une solide étude du Liégeois, le baryton J. Jennotte. Malgré des propositions très avanta¬ A. L. ★ ★ Lundi 17 mars, à 9 heures, soirée extra¬ ordinaire de grand gala, organisée par l'As¬ PATRONAGE LAÏC DE FETINNE sociation liégeoise pour l'extension et la culture fut uin délire d'enthousiasme, ca,r ce poète de la Lan'-- française : «Le Mala¬ de Le " Cri de du piano a eu, imaginaire», par les artistes de la Co¬ Liège „ à Gand vraiment, la plus enlaçante, la C'est à cette 'belle institution plus irrésistible interprétation. que M. Ger- médie-Française. may-Halleux a Mardi 18 L'orchestre, bien, conduit, par M. Debefve gracieusement offert la ma¬ mars, à 7 heures, 6e représen¬ 8e a eu:, pour sa tation du mois d'abonnement, représenta¬ part soliste, beaucoup de suc¬ gnifique salle du Jardin du Midi, afin que cès. C. V. tion au bénéfice du petit personnel, avec le le Comité des fêtes puisse donner une concours de Mme Feltesse et M. Willemsen : Au grand Théâtre. — C'est la semaine de (8e année) grande soirée le 5 avril. «La », et «», avec le concours la foire et ses plaisirs doivent être bien de M. Le Comité Delzara d ins le rôle de Werther, vifs pour exercer leur attirance sur une organisateur s'est acquis le La quatrième audition d'élèves aura lieu Jeudi 20 mars, à 7 heures et demie, 7e grande partie des abonnés et des fidèles de concours, le dimanche 16 mars 1013, à 3 1/2 heures, gracieux de MM. Delhaxe et Se- représentation du 8e mois d'abonnement, ré¬ notre première car scène, il y avait assez dans la salle des concerts de duction aux Sociétés : «Madame Butterf'v» bien de l'Lcole, boule¬ ghers, du Pavillon de Flore; M. Hummel, vides^ dans la salle, même vendredi vard d'Avroy. et « Réveil de Fleurs », divertissement, mu¬ passé, malgré le « gala » que nous offrait baryton de la Royale Légia ; M. Programme : Première partie : 1. M. Ed- Renaerts, sique de M. Louis Darimont. la direction, avec ie concours de M. Marce¬ genre militaire- gard Andrianne, Sonate en «mi-bémol MM. Pic-Nie, duettistes et Samedi 22, à 7 heures et demie, specta¬ lin, de (Ire l'Opéra-comique. cle populaire : « ». partie) pour piano (Field) ; 3. Mlle Camille transformistes ; la symphonie du Les absents eurent tort, grand tort. Le Patronage Mosseray, Arioso de «Quentin Durward», et enfin jeune ténor nous charma, pour la troisième les sections dramatiques wallonne et * ** (Gevaert) ; 3. M. Lambert Ledent, Etude fois, de sa voix charmante, si fraîche qu'il française. La première en «mi mineur» pour violon, (R. Kreutzer) ; section interprétera sait conduire avec tant de' et goût d'habi-- 4.'Mlle Ruth «Les treus leté Borel, «Fantaisie-Caprice» pour comédie en un acte ; il dut bisser le « Rêve » et presque le Bouquets», piano (Mendelssohn) ; 5. M. Théâtre duo de St-Sulpice, tant le charme de l'inter¬ Chapelle, Con- de M. L. Cornet; la section Royal de la Monnaie certino pour clarinette française (sur¬ prétation faisait ressortir celui de la musi¬ (Weber) ; 6. M. An¬ toine Grégoire, Air de «Benvenuto» (Diaz) ; veillants') du Patronage, «L'Homme n'est que du maître Massenet ; en disant qu'à côté de 7. Mlle Marthe Beaufort, Rondino en «mi- pas parfait», comédie en un acte de M. L. _ Marcelin, il y avait Mme Dratz- Le bémol» pour piano (Beethoven). baryton Emile CLOSSET. Barat, j'en aurai, je crois, dit assez pour Thibout. Voici, sauf imprévu, les spectacles de la 5 minutss que d'interruption. semaine au Théâtre de la Monnaie : mes^lecteurs soient fixés sur la justesse Ajoutons que le Deuxième partie : 1. M. Olivier, «Pièce Comité est encore en de mes éloges ; du reste tout le monde était Dimanche 16, .n matinée, à 11/2 heure, Une suuperbe campagne à la Nouvelle Or¬ j autre Liégeois, Constantin De Bruni, qui Concertante» très bien. pour trombone (H. Chrétien) ; pourparlers' avec d'autres artistes de avec le concours léans consacre définitivement valeur de Mme Marguerite Sylva : la réputation ! dirige cet important théâtre, s'est assuré le 2. Mlle Charlotte La « Damnation de » Jelinger, Etude en «mi afin «». de notre et vaut concours de ce bel artiste. est, à présent, d'obtenir leur concours. sympathique compatriote lui majeur» pour violon ; tout à fait à point (P. Rode) 3. Mlle Le soir, à 7 1/2 heures : «La Fiancée de un brillant engagement à Lyon, seconde vilie Emilie Closset est un consciencieux, un, ; rien ne cloche, à part Nous espérons les entr'actes Julia Haagmans, Finale de la Sonate «Pa¬ que, avec un programme la Mer» et le ballet die France où il fait les beaux soirs d'un pu¬ travailleur infatigable; il sait que, comme no¬ qui sont trop longs ; à féli¬ «Milenika». citer une fois de thétique» pour piano (Beethoven) ; 4. Mlle aussi bien conçu, et les Lundi 17, à 8 blic. aussi distingué que connaisseur. blesse, talent oblige, et il ne s'endormira pas plus, et surtout, M. Bas¬ sympathies dont heures, première représen¬ tide Berthe Van Tricht, Arioso, (L. Delibes) ; tation de : «La Fille du FarJWest. C'est dans cette dernière ville sur et_ son vaillant orchestre. La « Marche jouit le qu'il vient les lauriers moissonnés. Il peut préten¬ 5. M. Patronage, la salle d;u Midi sera hongroise » et la « Danse des Jacob Scurol, Etude en «si bémol ma¬ Mardi 18, à 7 1/2 heures (dixième mardi de faire une triomphale création de « Boris dre, maintenant, aux plus hautes destinées Sylphes » sont comble. bissées à jeur» "(F. Fiorillo) ; 6. M. René Schiffers, mondain), avec le concours de Mme Croiza : Godounow» (rôle de Pimmen), dont l'écla¬ et il peut être certain que nous applaudirons chaque représentation. Les autres Toccata pour piano (Brambach). «Orphée». Le tant succès a été signalé par la presse locale toujours à ses nouveaux succès. jours, le spectacle se compo¬ spectacle commencera par le sait d'anciennes sans ★ premier .acte de «Paillasse'». tout entière. reprises grand inté¬ ★ ★ 1/wwwvwwwwwwwwwwwvwwwwwwww\/vw\ Mercredi L'année prochaine, c'est à Genève, où un F. G. rêt; notons cependant : « Les contes 1,9, à 7 1/2 heures, avec le con¬ d'Hoffman », qui font toujours recette. cours H.» Mme Marguerite Svlva : «Carmen». — On nous Société d'Expansion Jeudi 8 ^annonce que M. Fédas, le Belge vers l'Espagne et 20, à heures, deuxième représenta¬ tion de : «La du sympathique régisseur-général, nous quitte Traitement Fille Far West». Vendredi M. Kardec, notre excellente basse l'an prochain; il vient d'être nommé direc¬ DES l'Amérique Latine à Liège 21 : Relâche. teur Samedi 22. à " 1/2 Courrier noble, est artistique au Casino, de Pau ; félici¬ heures, avec le con¬ des Théâtres cours également engagée; de même tations. de Mme Marguerite Sylva ; «Carmen». Ainsi que M. Vilette, le réputé baryton de que nous l'avons annoncé, cette Dimanche 23, en matinée, à 1 1/3 heure, _ — M. Dezair, lui aussi, nous quitte pour ^SULTANES avec le va Société concours de Mme Croiza : grand-opéra. l'Opéra d'Oran. Cet été il à Vittel, avec organisait, le samedi 22 février, en «Orphée». embellit, fortifie Le spectacle commencera M. Bastide. la Salle par le premier ac¬ ★ — M. développe la poitrine Académique de l'Université, une te de «Paillasse». Contrairement à ce ★ ★ Stacquet vient de signer son réen¬ qui a été annoncé, conférence avec Le 8 gagement avec M. de Rycke, le nouveau projections lumineuses, sur soir, à heures ,première représenta¬ MM. Massin et Duchàtel, les nouveaux directeur du tion 'reprise) de «Mignon». Rêve de grand Théâtre, comme grandi Pilules : 5 francs le Brésil. Cette conférence était donnée par directeurs du Valse, la très entraînante Lundi 24, ,en matinée à 1 1/2 heure, troi¬ Royal, n'ont encore con¬ premier oomique-laruette, et régisseur gé¬ M. l'avocat Henri Wigny, qui avait choisi sième représentation de, : «La Fille du clu aucun opérette de Strauss, triomphe en ce néral d'opérette ; sa femme comme troisième Baume : 10 » Far engagement en vue de la comme West». saison moment au Théâtre de l'Alhambra, de chanteuse, des secondes. sujet : «Un voyage au Brésil». prochaine, si ce n'est celui de Envoi discret, contri bon-poste Le soir, à 7 1/2 heures, dernière représen¬ et ce, Félicitonsdes, lui, sa femme et M. de Un public aussi nombreux qu'élégant M. Druart. Bruxelles, grâce à l'entrain en-| tation de avec le concours de j Rycke, d'avoir conservé ces charmants pen¬ Pharmacie du «Carmen», diablé de Mlle Marie Thérèse Berka Progrès remplissait la Salle Académique. Mme Marguerite La saison d'opéra ne commencera sionnaires. Suce- do VANDERGETEN Remarqué, Sylva. qu'en novembre. En octobre MM. Mas¬ qui est incomparable dans cette œuvre. | — Mme Vallier, elle, va cet été à Roche- parmi l'assistance M. de Bruggemans, con¬ A ses côtés se font fort, et ptour l'hiver 60, R. Entre-Deux-Ponts, Liège sin et Duchâtel applaudir M. Druart prochain, au Théâtre sul de l'Equateur ; M, Philippart, vice-consul WVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVA/VVVVVVVVVVVVVVWVVVVVVVV comptent donner une Municipal de Nanites. et Mlle Hélène Gérard. de féerie à : wwwwwwwwvwwwvwvwwwvwwwwvwwvvwt l'Equateur; M. Demarteau, avocat géné¬ grand spectacle La Course Jean BREYDEL. aux Dollars, est croyons- ral ; M. Philippart, conseiller à la Cour d'ap¬ qui appelée, ★ (AU CORSET GRACIEUX ★ ★ nous, à un très grand succès. vvwvvvvvvvvvvvvvvvvwvvvwwvvvvvvvvvvwvvvvvvvvvvv pel ; M. Faider, juge d'instruction; M. le Pour la saison régulière, la nouvelle juge Vroonen ; M. Libert, inspecteur géné¬ direction nous promet de nombreuses AU KURSHHL ral des Mines ; M. Louis Legrand, ingé¬ créations, parmi lesquelles nous pou¬ La nieur conseil ; MM. Halkin et Notermans, Alice UTOUR vons dès à présent citer : La Lépreuse Musique professeurs à l'Université ; M. Georges d'Ar- (Lazzari), Roma (Masseriet), La Dan¬ 7, rue du Pont d'Ile tet-Godin, M. Jules Mestreit, seuse de Tanagra (Hirschman), Sïbéria 1830 avoué; M. le UIÉOE Beaucoup de lieutenant-colonel Fortunio monde, samedi passé, au 3e Loiselet, MM. les majors MÊME MAISON (Giordano), (Messager), La concert de M. Lebetfve; le mouvement wallon La salle — ivoire et or, de style moresque Dethière et Laitat, M. le commandant Cler- Sorcière, etc., etc. avait créé de spéciales sympathies pour ce 3, r. Longue Monnaie adroitement modernisé — s'éclaire de lu¬ dent. Parmi les reprises et en dehors du programme aux tendances patriotiques. OAM) On a répertoire courant, nous reverrons mineux panneaux, d^ûs au pinceau chatoyant amplement fêté les Wallons directe, Le conférencier est présenté à l'assemblée comme Jongen et Vreuls,, et ausisi les indi¬ grand choix Louise et Le Chemineau. du bon peintre Berchmans. Son orientalis¬ dans les termes les plus chaleureux par M. rects,, comme Cari .Smulders. L'hommage; du de me aimable est de la plus belliqueuse actua¬ souvenir admiratif est allé à César Franck Louis Gavage, président de la Société d'Ex¬ ★ Corsets ★ "k et à Lekeu. Jeudi soir, pour clôturer le cycle des cinq lité. Elle est, au surplus, éblouissante de pansion belge. Les deux solistes ont été non moins fêtés ; conférences organisées par les Amis de la confectionnés la clarté de centaines d'ampoules électri¬ Littérature sur les M. Wignv, .après avoir intitulé sa confé¬ M. M. Deru, violoniste au charme élégant et jeunes Belges, M. Char¬ et de Bourdon, le jeune les Bernard a baryton d'o¬ ques. pur, nous a surtout plu clans la Sonate de parlé des Essayistes'. rence «Un voyage au Brésil», justifie ce ti¬ Le diiistinoué Soutien=Gorge péra-comique du Théâtre Royal, est Lekeu, où il a attesté une su¬ collaborateur du, «Matin», « 1830 », film historique et patriotique, intelligence tre de la meilleure manière en nous ame¬ engagé en saison d'été au Théâtre de périeure servie par une impeccable sécurité d'Anvers, a d'abord cherché une définition fait florès. En dépit de brocards faciles sur de «l'Essai» parmi les protagonistes du gen¬ nant à nous embarquer avec lui sur le stea¬ Corsets de Fillettes l'Alhambra a se technique. Ses s'olos ont été non moins bien qui, partir du i5 mai, re, et le chauvinisme et les bonnets à poil on joués : ils étaient, musicalement, mauvais. c'est chez Montaigne qu'il a trouvé mer faisant successivement escale à Lis¬ transforme en sous cette Corsets Opéra Populaire, C'est la faute d'Ysaye, ce n'est nas la faute définition. Les essayistes parlent de nous permettra de trouver que c'est là du. bonne, au Sénégal, pour atteindre ensuite de la direction de M.Mouroy. M. Bourdon de Derui !... tout et de tous : ils observent les hommes, donnera une série de représentations bon cinéma. Réclamons M. Deru dans un beau Concer¬ leurs1 mœurs, leurs idées et, se penchant en¬ Rio-de-Janeiro. Les splendides clichés sont tricots et de tulle to, l'hiver prochain. suite sur eux-mêmes, tirent de leurs médita¬ du Barbier de Séville avec comme par¬ Employé à ces fins, le film devient une si judicieusement commentés que l'on a M. Cortot, fort malin, avait étayé son tions des aperçus originaux sur les êtres et tenaire M. vraiment Spécialité de (£orseî sur mesure Geyre et MUe Dilsonn, ac¬ page d'histoire autrement amusante que admirable talent d'une les iiintelliRences qui vivent autour d'eux. Il l'impression de faire le voyage. _ œuvre admirable : tuellement au Royal d'Anvers. les manuels scolaires. Et tous nos gosses les «Variations symphoniques» de Franck. Ce y eut toujours dies essayistes : Platon est, La conférence est également remplis d'a¬ RÉPARATIONS Dégustation du CHRI5TMA5 EWAN'5 VENITIEN le meilleur • • • Munich Hackerbrau • • • LE CRI DE LIEGE

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VILLE DE EIÉQE

Théâtre Qommunal Wallon

Direction : Jacques SCHROEDER (6me année)

Thier de la Fontaine. — Local du Franklin.

PROGRAMME OFFICIEL

Dimanche 16 Mars 1913

Bureaux : à 6 1/2 heures IW" Rideau : à 7 heures Ouverture par l'Orchestre, sous la direction de M. J. Duysenx. ELE EST NÈYÊYE BIBIBEEElBEIBEBEEEElBEIBIBIBIBIBIBIBEIBEEElBIBEEBIia Comèdeie d'ine ake, de M. C. DEOM, primeyc n] PERSONÈDJES : Théâtre du Gymnase Théâtre du Pavillon de Flore Lorint Bolzèye, MM. Broka Donè3'e, Mmes Alice Legrain Djosèf, " J. Loos Fifine, Ledent Direct. Mouru de Lacotte Dir. Paul BRENU Françwè, D. Pirard T0US LES S0IRS Samedi 15 Mars, à 8 heures Bureau 7 1/2 h. Rideau 8 h. ESPIONNE Dimanches et Jours de Fêtes QUI FÂT-I-FÉ ? ifl Comèdeie di 3 akes da M. Joseph DJJRBUY Pièce en 4 actas de Victorien SARDOU, de l'Académie française Matinées à 2 heures — Soirées à 7 1/2 heures PERSONÈDJES : distribution : Piére Lignoule, MM. J. Roussar Hinri Lavôye, MM. P. Roussiau André de Maurelac MM. Charny !: Dora M™es Carmen d'Assilva Jules Bènwèt, E. Cajot Twènète, Mmes M. Ledent Faverolle Sky ' Marquise de Rio Zicka Dorlia Djosèf Destchamps, J. Loos Tatène, A. Legrain Le Baron Van der Kraft Màthot Comtesse Zicka Paulette Dorian Li p'tite Mèlye, Li p'tite Simone Tekli Walter Princesse Bariatine Jane Lobis LIEGE-BARAQUE Toupin Niverd Mion Loi" Grande Revue locale en 4 actes et 14 tableaux de G. ISTA et Ch. BARTHOLONIEZ Godtroid Rivière Capitaine Keryolan MM. Salomel Arrangement musical de M. L. MARTIN. — Mise en scène de E. HARLIN INTERMEDE Gustave Alcover Un domestique Andriéu Ballets réglés par M. MÉRIADEC MM. DD. Pirard, Cou qu' na d'pu grand S. Radoux. 14 DÉCORS NOUVEAUX Bureaux : 1 1/2 h. Rideau : 2 heures. L. Broka, 1 jât bin qu'on rey' on pô J. Radoux. Dimanche 16 Mars

Les 7er et 2me actes de A. et M. CAR0N ■■ Les 3me et 4me actes de BRACKMAN P. Roussiau, Fleur A. d'èspwèr Crahay. Matinée au bénéfice de JW. SKY 350 Mme COSTUMES NEUFS dessinés par René-Marie -- Têtes et perruques de la Maison Hannon Ledent, Noss' mère H. de Bruyn. M. J. Roussar, Da meûne tôt l'bazdr J. Duysenx. L' Le Compère, M. Henry ROY. M. HARLIN ESPIONN E Le parti progressiste — L'échevin La Commère, Mme F' de BRASY. Loulou. A Bureaux : 6 1/2 h. Dimanche 16 Mars Rideau :7 h. M. F. HALLEUX. m. LE MIN chaque Marihâ s'clâ L'Espionne et Boubouroche, comédie en 2 actes, de M. Courteline Le Clown — Li Plakeu d'afiches — Joseph — Le chef de musique — Comèdeie di 2 akes, da M. H. SIMON, La primeyc grosse caisse — Le Pèket — 2e L'ouvrier — Le parti socialiste — 3e personèdjes : Lundi 17 Mars, à 7 li. 1/2, Soirée populaire à moitié prix grand-maman — Le père — Le parieur. grand-maman — ior donateur. Mencheur, MM. S. Radoux. Jules, P. Roussiau. L'Honneur — Le Baiser M. J. DELHAXHE. M11" Jos. VIDAL. Kinave, E. Cajot. On Comichonaire, J. Loos. L'animal indomptable — La Distor- Louwis, L. Broka. Bertine, Mme Alice Legrain. Le demi-doux — Le marchand de cheuse — Le Bourgogne — Ghinï — Colas, J. Roussar. Mèlie, Mme Ledent. cartes — Le baigneur — M. Wwèfne. La mère — Mme Wiyême. L'HONNEUR M. L. HARZÉ. Mlie M. DEMEUSE. Comédie en 4 actes de M. SUDERMAN. Djôsèf — Le paysan —■ Le tourtereau — ire mendiante — La turc L'anti- distrilution — robe.à Mars antialcoolique ire grand-maman — paniers — La communiante — Lundi 17 1913 M. Van Igneffe — Le gardien. La petite Miss. Le baron Traast MM. Charny Mme Hebenstreit Mmes Jamme Bureaux : à 7 1/2 h. Rideau : à 8 heures. Robert Heinecke Walther Mme Heinecke Dorlia M. DAMBRINE. Mme C. HINCELIN. Conrad N iverd Le Soirée Alma Yvette Klein parti clérical — L'assuré — M. Le salon triennal — La robe four¬ Populaire Le père Heineke Tressy Léonore C. d'Assilva D'Hougarden — La consolatrice des reau — La fourchette — Le feu — Le Muhlingk Mme 3 Sky Muhlingk Daubray Jolj' affligés. juin. Willems Marcel M. MARMONT. M BOURBON. B0UB0ULÈSSÊ La tourterelle — Le pulsocull — La Mardi, Mercredi et Jeudi, à 8 heures Jefke — M. Harbouya — Le parti marchande de cartes — ier canotier — Comèdeie d'ine ake da M. Albert ISTA. libéral — Le flamingant. ier music-hall — La rue Gramme. PERSONÈDJES : Entrées de faveur et réductions suspendues Groulàrd, MM. J. Loos Dubwès, M. V. Crahay Hinri, P. Roussiau Tous les Vendredis, SOIRÉE DE GAUA j; Trinette, Mines A. Legrain (Défense de fumer) Houbert, D. Pirard Rose, M. Ledent /\ Spécialité de Dents et Dentiers complets L,e Sirop de PHytine Compose Sans extraction de Racines Supérieur à tout contre l'Anémie, Neurasthénie Comèdeie novèle di 3 akes da M. H. THUILLER {primée). Faiblesse de poitrine, Maladies Osseuses, etc. PERSONÊDjES : Eug. GAUGUIN Dépôt général pour la Belgique : A. PAQUET, rue Ernest de Bavière, Liège. Téléphone 898 Louwis, MM. D. Pirard || Rose, Mmes E. Guisset DENTISTE Houbert, L. Broka Nanète, Alice Legrain Rue des Clarisses, 10, LIEGE Jean, P. Roussiau \\ Rosalie, M. Ledent. INTERMÈDE MM. E. Cajot, Rabrouhes di tèmon L. Lagauche. Srtîreprise Générale 3e îDiirerie p. Roussiau, Qwand on veut coula Steenebruggen. M. Ledent, Si s'voléve présinter V. Vincent. J. Roussar, Da meûne tôt V basdr J. Duysenx. CABARET WALLON

6, Boulevard de la Sauvenière, 6 L'IDEYE DA GARITE (Taverne Théo, premier étage) reres Comèdeie d'ine ake da M. Jules LEGRAND (couronnèye par li Société Tamagne î di Littérature Wallonne, primeie par li Gouverwmint) PERSONÈDJES : Tous les dimanches, de 7 heures à minuit, Houbert, MM. L. Broka Garite. Mmes a. fëue (Jnclré--Dumoni, 4 et Legrain les chansonniers Vincent, Lagauche, Ledoux, Téléphone 462 Lipondeu, J. Roussar Mèlye, M. Leaent Hue des Prémonîrés, 4> Boniface, E. Cajot Lemaître, Soulier, Claskin, Boon, Steinweg, iei'commissionnaire, H. Àncion etc., dans leurs œuvres et leur répertoire. Sncadremenîs 2e commissionnaire, P. Roussiau L'agent d'police, M. D. Pirard TÉLÉPH=^frgo23 (Exposition permanente 5e peintures * ENTREE LIBRE ^ "©itrauje cT&rî 9 rue Joseph Loges, 2.00 ■ Fauteuils, 1.50 - Stalles, 1.25 « Parquets, 1.00 = Galeries, 0.50 (laes BRUXELLES

chemisier Alfred LANCE Junior 15, Rue du Pont-d'Ue, 15 Téléphone 3443 A TOUJOURS LES DERNIÈRES NOUVEAUTÉS

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