Le Tabac Ne Rapporte Pas Plus

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

Le Tabac Ne Rapporte Pas Plus Ut Inàuttnt» Toibt lm Ntdf REVETEMENT km Dodge 4k TOLE EMAILLEE IMS 11 UIRtSLKKÜf **• Mm UMfTI AMM MMCfUTd 822-2424 me: Tel.: (418)872-3738 cw chez ■mMMM 1 7i0. route de l'Aéroport. Somle-7oy J JL! ta citant cfcexxao SOLEIL C P 70, l'Anc*e»»ne-Lo»ette G2I 3M2 QUEBEC 9TE ANNEE NO?* 23 JANVIER 1993 PH*TPS SAMEDI LIVRAISON A DOMICILE [7 JOURS, 3.50 TPS 024 100 PAGES 7 CAHIERS ♦ 1 TA8LOO T VQ 090 4.04 MONTREAL OTTAAA 1.50 ^{Jq 1,35$ T V Q LE SPORT Malgré des hausses de taxes de 118% en cinq ans Le tabac ne rapporte pas plus Les Nordiques tenteront de se reprendre au Colisée QUÉBEC — En cinq ans, soit de 1988 à 1992-93, les taxes Selon des chiffres fournis cigarettes vendues démontré Devant cette situation, les sur un paquet de 25 cigarettes ont augmenté au Québec de Indisciplinés, les Nordiques ont été par le sous-ministre adjoint aux donc clairement qu’une propor­ pressions, particulièrement de 118 %, faisant passer le prix du paquet de 3,35 $ à (>.15 $. Finances Marcel Leblanc, la déclassés surtout au chapitre de la rapidité tion importante de la consom­ l'industrie du tabac, sont nom­ hausse de 118 % des taxes entre d exécution et de la robustesse, a Buffalo, Au cours de la même période, l'assiette fiscale des produits du mation échappé aujourd'hui breuses sur le gouvernement 1988-89 et 1992-93 se lit comme aux taxes, proportion que M. quebecoispour qu’il abaisse et les Sabres font emporte 6-2 S-2 et S-3 tabac du gouvernement du Québec, soit le volume total de cigarettes vendues, était en baisse de 45 %. suit : Leblanc dit ne pas pouvoir sont niveau de taxation. « Le chiffrer. • taxes federates de 0,98 $ a gouvernement va sûrement se des taxes sont contenues dans 2,39 S : Un etude recente d’impérial questionner», admet prudem­ ment Marcel Leblanc. Mais du LE QUÉBEC__________ par CLAUDETTE SAMSON un court paragraphe du docu­ Tobacco révélait qu’en 1991, le LE SOLEIL ment « Les finances publiques • taxes provinciales : de 1.13 $ Canada a perdu près de un mil­ même souffle, il souligne qu’il Les inspecteurs de la CSST du Quebec : vivre selon nos à 2.20$ liard de dollars au profit du faut d'abord établir si la situa­ Cette disproportion faramineu­ moyens », rendu public plus tôt tion actuelle tient d’un véritable sont trop peu nombreux se entre la hausse des taxes et crime organise, des chiffres que cette semaine par le ministère Cette semaine, le Conseil ca­ M Leblanc ne conteste pas. consensus social, â savoir que Le Québec compte plus d'agents de la baisse des ventes « offi­ des Finances et le Conseil du nadien des produits du tabac les fumeurs refusent de payer conservation de la faune que d'inspecteurs à cielles » laisse présumer que le Trésor. Fort brièvement, on y rappelait, à l’occasion de la Se­ Pour le Quebec. M. Leblanc davantage, ou si elle est surtout la Commission de la santé et de la gouvernement n’a pratique­ mentionne que l’ampleur des maine nationale sans fumee, spécifie que les consommateurs liee â l'existence de groupes cri­ securité du travail ! A-3 ment pas haussé ses revenus problèmes de contrebande et de que le nombre de fumeurs dimi­ ont paye des taxes sur 550 mil­ minels que l’on pourrait mieux tirés du tabac, maigre les magasinage outre-frontière nue bon an mal an de 2 à 2,5 % lions de cigarettes en 1988-89. contrôler. hausses de taxes. constitue une limite certaine à par année depuis 10 ans. La Us en paieront sur moins de LE MONDE Les données sur la hausse de nouvelles hausses de taxes. baisse de 45 % du volume de 300 millions en 1992-93. Autre texte en page A-8 Le président Clinton liberalise l’avortement Les touristes plus nombreux à Québec cette année Robert À peine arrive a la Maison-Blanche, le -.. , ■„ ,) président Bill Clinton est revenu en partie hier Lepage sur la politique restrictive de ses prédé­ cesseurs à l’égard de l'avortement A-10 triomphe à Toronto Vaste offensive croate contre les Serbes en Croatie TORONTO — Les plus grands bravos sont Les forces croates ont attaque la Krajina. allés à Robert Lepage le parti de la république aux mains des à la fin de la Serbes près de la côte Adriatique, mettant représentation du fin à un an de paix relative en Croatie A-14 « Château de U* Barbe-Bleue » de L'ÉCONOMIE Bartok et de « Erwartung » de Schoenberg, hier soir, AT&T veut empêcher au O’Keefe Center. Fonorola de desservir l’Est Fonorola veut investir à Quebec et dans par MARC SAMSON l'Est pour etendre son réseau de revente de LE SOLEIL services téléphoniques à valeur ajoutée, mais Quebec-Téléphone s'y oppose B-1 Jusque-lâ, le chic public * de première (parmi lequel on remarquait le lieu­ L’EDITORIAL tenant-gouverneur de l’Ontario, Lincoln Mac- •<<v - caulay Alexander, et le Arafat sur le petit premier ministre de cette écran en Israël province, Bob Rae) avait Yasser Arafat a offert la paix en direct sur paru décontenancé par la la télévision israélienne. Il faut l'écouter car sévérité de ces deux toute solution viendra d'eventuelles Peter Lee. de Toronto, tente de photographier Andrew et Lydia, deux touristes de Hong Kong venus admirer les charmes de Québec en hiver courts opéras. négociations directes avec l'OLP A-16 Sans doute aussi par la mise en scène d’une ex­ trême sobriété de Lepage L’INDEX Le retour d’anciennes activités pour le « Château de Bar­ be-Bleue », qui va pour­ Annonces classées G-6 a G-8 tant jusqu’à l’envoûte­ ment et l’obsession dans Arts C-1 à C-11 hivernales ajoute de l’attrait son respect du texte. Bridge E-16 D’une modernité rare­ Bonne chère F-1 à F-3 QUÉBEC — Los touristes ne se font pas plus nombreux à ont les deux pieds sur l’as­ un gain de quatre points par ment vue en Amérique à Carrières G-1 a G-5 l’opéra, « Erwartung » s’a­ Québec, ce mois-ci, qu’en janvier 1992. Si plusieurs phalte le 23 décembre, ils ne rapport aux périodes corres­ Décès G-8 a G-10 songent pas à faire du ski ! », pondantes de l’an dernier. Ce vère du plus pur Lepage : Québécois ont l’impression du contraire c'est que, après inventif a l'extrême, fasci­ Dossiers A-17 dix ans d’absence, le retour des activités hivernales lance M. Couture. Résultat ? n’est pas le Pérou mais, au « Les familles qui viennent en moins, l’équilibre se fait. Le nant, déroutant. Economie B-1 à B-5 (glissoire et patinoire) sur la terrasse Dufferin donne à ce grand nombre à Québec, dans responsable croit que l’année Rebecca Blankenship Éditorial A-16 secteur éminemment touristique un air de fébrilité. le temps des Fêtes et au début se terminera avec une hausse (dans le Schoenberg), Habitat E-1 a E-18 de janvier, afin de skier durant globale de 2 %. Il se dit donc Victor Braun et Jane Gil­ Horoscope E-16 qu’on devrait laisser toutes les les vacances scolaires, ont d’un « optimisme modéré ». bert (dans le Bartok), par LISE LACHANCE chances possibles à ce projet chantaient ces rôles Le Monde A-10 à A-15 et A-18 LE SOLEIL changé de cap. Cette clientèle Au Château Frontenac ou de voir le jour », affirme l’or­ exigeants. Mot fléché E-17 a chuté d’environ 15 %. » Heu­ le taux d’occupation est tou­ L’Association des hôteliers de ganisme. Celui-ci compte reusement, ajoute l’homme jours plus élevé qu’ailleurs, on On trouvera une entre­ Mot mystère G-8 la région de Québec s’attend beaucoup, aussi, sur le succès d’affaires, l’association du compte sur les fêtes du Cente­ vue avec Robert Lepage Où aller à Québec C-10 donc à une année moyenne. À du Carnaval de Québec, qui se Concorde et du Musée du naire pour le maintenir à son dans le cahier des arts Québec et l'Est B-7, F-5, F-6 et F-8 moins, dit-elle, que des événe­ déroulera du 4 au 14 février, Québec dans la promotion de niveau habituel. Le proprié­ d'aujourd’hui ; la critique pour améliorer la performan­ Tourisme D-1 à D-7 ments spéciaux mettent du forfaits centrés sur l’exposi­ taire de la vénérable institu­ de ce spectacle sera pu­ vent dans les voiles. Aussi ré- ce des hôtels de la région, en tion Toulouse-Lautrec a per­ tion, le Canadien Pacifique, bliée lundi. clame-t-elle que l’Etat contri­ 1993. mis de récupérer cette perte. TABLOÏD SPORT S-1 à S-14 vante dans ses bureaux de la bue financièrement aux Mé­ « Le conflit de travail au Le tarif de 92 $ la chambre France, du Japon et des États- Bandes dessinees S-15 diévales de Québec, menacées Hilton a perturbé le fonction­ (pour une ou deux person­ Unis, les mérites de Québec Ce soir à la télé S-16 d’avortement. À son avis, le nement du Centre des congrès nes), incluant le petit déjeuner « ville du patrimoine mon­ Feuilleton S-14 caractère unique de ce projet et entraine de nombreuses an­ et les laissez-passer pour l’ex­ dial », les merveilles du Châ­ Mots croisés S-14 en Amérique du Nord pourrait nulations, ce qui nuit à l’indus­ position, a mis l'eau à la bou­ teau, l’animation de son cente­ en faire une attraction majeu­ trie touristique », deplore le che de plusieurs.
Recommended publications
  • The Cord Weekly (November 19, 1992)
    THE CORD A WILFRID LAURIER UNIVERSITY STUDENT PUBLICATION VOLUME XXXIII ISSUE 14 NOVEMBER 19 1992 Second Cup gets Champions. the support of over 3000 staff and students few weeks. The current total of Lianne Jewitt by has signatures on both petitions The Second Cup, favoured reached over 3000. and among students, faculty, When asked to comment on staff alike is scheduled to be re- the petitions, Rayner said that he as of December 11, 1992; placed "hasn't seen the petitions." Rayner a petition is being circulated in also said that "we'll consider the or them response to this aspects action. (the petitions)". Director of Exactly what Personnel and The current number will be consider- Administrative ed is uncertain, as Services, Earl Rayner clearly of on signatures states Rayner, said the that the Second reason for re- Cup was of the given a "one placement both petitions has year Second Cup is trial basis", and that it is "costing the decision for their dismissal us too much reached over 3000. "made money to havfc it was this there." Rayner past September." The Lady Soccer Hanks wwn—i the iliwnto, McMaater, St. Mary's, and McQIII, added, "the return It was the Second title. and return to Laurlor aHh the National Cluaipto—tUp - ■ I D<lfc gTOarGO If®** VVGRMfI to the university is hardly cover- Cup's one year anniversary on ing our costs." campus. Rayner has not mentioned WLU student confesses Quite clearly, coffee and hot what will be the replacing popu- chocolate drinkers, and cookie lar coffee cart, but concerned coffee drinkers fear it to in bomb threat campus and muffin eaters' main concern calling will be a university-run establish- with the pending absence of the ment Second Cup is the lack of quality "I think it's terrorism, and certainly deserving of Dean of Student's Pat Brethour secretary, that awaits if a university run ser- by charges," said Fred Nichols, Dean of Students.
    [Show full text]
  • Ontario Tech University Ontario Tech University
    ONTARIO TECH UNIVERSITY FACULTY OF BUSINESS & INFORMATION TECHNOLOGY ONTARIO TECH UNIVERSITY CLASS OF 2021 CONVOCATION FACULTY OF SCIENCE FACULTY VIRTUAL CONVOCATION CEREMONY ONTARIO TECH UNIVERSITY FRIDAY, JUNE 25, 2021 CONGRATULATIONS GRADUATES! 2 CONVOCATION CELEBRATES THE SUCCESS OF OUR STUDENTS—THEIR SUCCESS AT ONTARIO TECH AS WELL AS THE ACCOMPLISHMENTS THEY WILL ACHIEVE IN THE FUTURE. We can all take great pride in this moment. After all, each of us—parents and friends, professors, academic advisors, members of the board—has helped to ensure the academic success of our students. Although we’re celebrating in a different format than past Convocations, our sentiment remains the same. We’re proud of our students and we know they’re well equipped to meet the challenges of today and in the future. 3 CHANCELLOR Now you reach the end of your journey and receive your degree. This moment speaks to finality, of course, but remember that a degree represents The Chancellor serves as the titular head much more than just an elegant parchment: it also of the university, presiding over Convocation symbolizes your entrepreneurial skills, your flexibility and conferring all degrees, honorary degrees, to take on new challenges and your ability to adapt certificates and diplomas on behalf of to technological change. It represents the sum of the university. your efforts and the commitment of this university’s faculty and staff. The Chancellor advocates for the university’s vision as endorsed by the Board of Governors, As you embark on a new path, many challenges and and is an essential ambassador who roadblocks will inevitably arise.
    [Show full text]
  • I – Les Relations Extérieures Du Canada »
    Article « I – Les relations extérieures du Canada » Hélène Galarneau et Manon Tessier Études internationales, vol. 21, n° 3, 1990, p. 565-588. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/702704ar DOI: 10.7202/702704ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : [email protected] Document téléchargé le 13 février 2017 10:33 Chronique des relations extérieures du Canada et du Québec Hélène GALARNEAU et Manon TESSIER* I - Les relations extérieures du Canada (avril à juin 1990) A — Aperçu général Ce trimestre de printemps était encore l'occasion de nombreuses réunions internationales que ce soit celles, récurrentes, du FMI, de la Banque mondiale et de l'OTAN ou celles, ponctuelles, tenues dans le cadre de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe. Si un trait commun unissait ces rencontres multilatérales, c'est bien celui de l'adaptation aux nouvelles réalités européen­ nes et de ses répercussions sur les alliances militaires ou sur l'économie inter­ nationale.
    [Show full text]
  • The Limits to Influence: the Club of Rome and Canada
    THE LIMITS TO INFLUENCE: THE CLUB OF ROME AND CANADA, 1968 TO 1988 by JASON LEMOINE CHURCHILL A thesis presented to the University of Waterloo in fulfilment of the thesis requirement for the degree of Doctor of Philosophy in History Waterloo, Ontario, Canada, 2006 © Jason Lemoine Churchill, 2006 Declaration AUTHOR'S DECLARATION FOR ELECTRONIC SUBMISSION OF A THESIS I hereby declare that I am the sole author of this thesis. This is a true copy of the thesis, including any required final revisions, as accepted by my examiners. I understand that my thesis may be made electronically available to the public. ii Abstract This dissertation is about influence which is defined as the ability to move ideas forward within, and in some cases across, organizations. More specifically it is about an extraordinary organization called the Club of Rome (COR), who became advocates of the idea of greater use of systems analysis in the development of policy. The systems approach to policy required rational, holistic and long-range thinking. It was an approach that attracted the attention of Canadian Prime Minister Pierre Trudeau. Commonality of interests and concerns united the disparate members of the COR and allowed that organization to develop an influential presence within Canada during Trudeau’s time in office from 1968 to 1984. The story of the COR in Canada is extended beyond the end of the Trudeau era to explain how the key elements that had allowed the organization and its Canadian Association (CACOR) to develop an influential presence quickly dissipated in the post- 1984 era. The key reasons for decline were time and circumstance as the COR/CACOR membership aged, contacts were lost, and there was a political paradigm shift that was antithetical to COR/CACOR ideas.
    [Show full text]
  • Campbell Takes Office As Canada's First Female Premier June 26, 1993| from Reuters
    http://articles.latimes.com/1993-06-26/news/mn-7402_1_kim-campbell Campbell Takes Office as Canada's First Female Premier June 26, 1993| From Reuters OTTAWA — Kim Campbell, a 46-year-old lawyer, took office Friday as Canada's first female prime minister in a bold bid by the ruling Conservatives to recover popularity in time to win elections this year. Campbell, the first Canadian prime minister born after World War II, promised to restore Canadians' faith in government by bringing in a new generation of leaders to deal with severe unemployment and soaring government deficits. She quickly moved to distance herself from her unpopular predecessor, Brian Mulroney, by slashing the Cabinet size by almost one-third and reshuffling departments to focus on new jobs, public security and maintaining Canada's health service. "It is crucial to close the distance between Canadians and their government," she said after her swearing-in. "Canadians want their government to help them, not hinder them, in the process of economic renewal," she told a news conference. "A smaller Cabinet is a more efficient and more effective instrument to discuss, to decide, to lead." Mulroney retired as Canada's most disliked postwar leader after almost nine years in office to allow a fresh face to lead his party into a general election that must be called by November. Campbell named her main rival for leadership of the Progressive Conservative Party, Quebec native Jean Charest, as her deputy prime minister and minister of industry and consumer affairs. Charest was also charged with regional development in the French-speaking province that is key to winning a majority.
    [Show full text]
  • Friday, December 5, 1997
    CANADA VOLUME 135 S NUMBER 045 S 1st SESSION S 36th PARLIAMENT OFFICIAL REPORT (HANSARD) Friday, December 5, 1997 Speaker: The Honourable Gilbert Parent CONTENTS (Table of Contents appears at back of this issue.) All parliamentary publications are available on the ``Parliamentary Internet Parlementaire'' at the following address: http://www.parl.gc.ca 2787 HOUSE OF COMMONS Friday, December 5, 1997 The House met at 10 a.m. against three additional candidates for the single opening for another votable bill. However, if we look at the process in more _______________ detail, the Chair is of the opinion that the member will not really suffer any prejudice. Prayers [English] _______________ First, we should note that unlike the draw itself, which is entirely D (1005 ) random, the selection of votable items is based on the merits of the bills or motions put forward by members. Indeed Standing Order PRIVILEGE 92(1) specifically states: PRIVATE MEMBERS’ BUSINESS—SPEAKER’S RULING In making its selection, the Committee—shall allow the merits of the items alone to determine the selection—. The Speaker: Colleagues, I am now ready to render a decision on the question of privilege raised by the hon. member for The merits of the member’s bill are not directly affected by the Sarnia—Lambton on December 4 concerning the draw for Private number of bills being considered by the subcommittee. Members’ Business. It is nonetheless true that the subcommittee is, on occasion, On December 4 the hon. member for Sarnia—Lambton rose on a unable to choose as many votable items as it might like because the question of privilege regarding a random draw to establish an order votable items selected after a previous draw remain in the order of of precedence for additional items on Private Members’ Business.
    [Show full text]
  • (Sutton) Straus Papers Coll
    MS Joan Treble (Sutton) Straus Papers Coll. 00190D Joan Treble (Sutton) Straus (1932 - ) Papers Dates: 1939-2015 Extent: 13 boxes, 4 items (3.5 metres) Scope and Content: Contains the papers of Joan Treble (Sutton) Straus including a small amount of material regarding her early life including primary and high school education (1939-1950), as well as at her time at the University of Toronto (1950-1953). Includes material such as photographs and newspaper clippings related to her modeling career and her work as a fashion consultant (1952-1970). The collection covers Sutton Straus’ career as a journalist with the Toronto Telegram (1971), The Toronto Star (1972-1979, 1981-1992) and The Toronto Star (1979-1981, 1992). This includes correspondence from readers, co-workers and well-known politicians, entertainers and dignitaries, as well as photographs of Sutton Straus during the course of her work. The material also includes clippings of her columns, interviews and articles preserved by Sutton Straus, as well as three oversized scrapbooks containing clippings from her time at the Toronto Telegram and The Toronto Sun. The collection also comprises material related to Sutton Straus’ career as an author of six books, and her long-term volunteer work with non-profit and philanthropic organizations in both Canada and the United States. The collection also contains a small amount of personal material related to Sutton Straus including media appearances, speeches, newspaper and magazines articles, invitations and correspondence. Bibliographical Information: Joan Treble (Sutton) Straus was born in Mimico, Ontario on November 30, 1932. While studying Honor English at University College, University of Toronto, she worked as a runway and photography model.
    [Show full text]
  • Annual Report on Official Languages
    Annual Report on Ofcial Languages for Fiscal Year 2017 to 2018 © Her Majesty the Queen in Right of Canada, represented by the President of the Treasury Board, 2019 Catalogue No. BT23-1E-PDF ISSN 1486-9683 This document is available on the Government of Canada website at www.canada.ca This document is available in alternative formats upon request. Table of contents Message from the President of the Treasury Board ............................................. 1 Introduction .................................................................................................. 3 Communications with and services to the public ................................................. 6 Language of work ........................................................................................ 17 Public Service Employee Survey ................................................................. 17 Report on Language of Work ...................................................................... 24 Participation of English-speaking and French-speaking Canadians ...................... 28 Human resources management ...................................................................... 29 Governance ................................................................................................. 32 Monitoring ................................................................................................... 34 Conclusion and trends .................................................................................. 39 Appendix A: Methodology for reporting on the status
    [Show full text]
  • Support for Canadian TV Urged Farewell Dinner Held
    Support for Canadian TV urged By RON WATMOUGH There's no comparison liefs, values and behavior. stabbed or robbed on televi­ Herald Staff Writer with this situation in the But television "can't be sion it becomed a "normal The outlook on winning world, Clarkson said. made a scapegoat for all our event, not horrifying as it the battle to have television "There's no other country problems. acid rain, the really is." in Canada reflect the Cana­ that receives television un­ decline in church-going and Violence on television dian scene "is not too hot," interrupted from another political wrangles," she should be limited and that a veteran television broad­ country." Programs coming said. Without television can only come through polit­ caster said Saturday. across borders in Western there would still be moral ical pressure, said A similarity between Ca­ Europe are "jammed," she confusion, permissiveness Clarkson. nadians and Americans said. and other problems. A Canadian child of five makes U.S. television pro­ Canadians going overseas Television is said to mir­ has already viewed 200 grams readily acceptable in are "astonished" to find ror social and cultural hours of violence on televi­ Canada, Adrienne Clarkson that in England they see changes but there's concern sion. At 14 years he has seen of CBC's Fifth Estate said only English television. It is it goes beyond and contrib­ 13,000 killings. "It's an ex­ in an interview. the same in France and utes to shaping events and aggerated view of life," "But it's a superficial other European countries.
    [Show full text]
  • Canada's Defence Policies, 1987-1993
    Canada’s Defence Policies, 1987-1993: NATO, Operational Viability, and the Good Ally by Ian Leonard Weatherall A thesis submitted to the faculty of Graduate and Postdoctoral Affairs in partial fulfillment of the requirements for the degree of Master of Arts in History Carleton University Ottawa, Ontario ©2017 Ian Weatherall Abstract This thesis uses documents from the Department of Defence and the Department of External Affairs to analyze the defence policies introduced in the 1987 White Paper on Defence and the changes in defence priorities in the period 1987-1993. The paper announced that the navy would acquire a fleet of nuclear-powered submarines to defend Canada’s North, and Canada’s two land forces commitments to Europe were consolidated into a new division in West Germany. The purpose of the White Paper was to improve the functionality of Canada’s military, offer a full commitment to NATO, and portray Canada as a good ally in the alliance. The end of the Cold War in 1989-1991 and a deep recession from 1989-1992 forced the government to reduce the military budget, and the White Paper policies never reached fruition. Canada’s NATO allies valued Canada’s forces in Europe, and the government was initially willing to fund a Task Force in Europe. The decision in 1992 to cancel the Task Force and focus on the core capabilities of the military damaged Canada-NATO relations, but Canada continued to be a contributing member of the alliance and a player in European security. ii Acknowledgements I have to first and foremost thank my supervisor, Dr.
    [Show full text]
  • Journal of Ukrainian Studies
    UKRAINIAN STUDIES Digitized by the Internet Archive in 2016 https://archive.org/details/journalofukraini1612cana JOURNAL OF UKRAINIAN STUDIES Volume 16, Numbers 1-2 Summer-Winter 1991 SPECIAL ISSUE UKRAINIANS IN CANADA GUEST EDITOR: Frances Swyripa CONTRIBUTORS: Serge Cipko Myron Gulka-Tiechko Oleh W. Gems Jars Balan Bohdan Y. Nebesio K.W. Sokolyk Gregory Robinson Myron Momryk Anna Reczynska Victor O. Buyniak Alexandra Kruchka Glynn JleoHijj JleineHKo EDITOR Zenon Kohut GUEST EDITOR Trances Swyripa Advisory Board Jurij Dobczansky (Library of Congress), Natalia Konomenko-Moyle (University of Virginia), Leonid Leshchenko (Ukrainian Academy of Sciences), James E. Mace (U.S. Commission on the Ukrainian Famine), Natalia Pylypiuk (University of Alberta), David Saunders (University of Newcastle Upon Tyne), Roman Solchanyk (Radio Liberty), Danylo Struk (University of Toronto), Frances Swyripa (University of Alberta), John Tedstrom (Institute for East-West Security Studies), Ze'ev Wolfson (The Hebrew University of Jerusalem) The Journal of Ukrainian Studies is published semiannually in the summer and winter by the Canadian Institute of Ukrainian Studies, University of Alberta. Annual subscription rates are $16.50 ($1.05 GST inch) for individuals and $21.50 ($1.40 GST incl.) for libraries and institutions in Canada. Outside of Canada annual subscription rates are $15.00 for individuals and $20.00 for libraries and institutions. Subscribers outside of Canada should pay in US funds. Cheques and money orders are payable to the Journal of Ukrainian Studies. Please do not send cash. The Journal publishes articles on Ukrainian and Ukrainian-Canadian studies. It also publishes discussions, book reviews, and journalistic articles of a controversial or problem-oriented nature.
    [Show full text]
  • La Révolte Fiscale Des Pme En 2017
    LA RÉVOLTE FISCALE DES PME EN 2017 Depuis juillet 2017, les PME du Canada, de même que leurs conseillers sont totalement en désaccord avec leur ministre des Finances du Canada. Un rappel historique nous permet de mieux cerner l’issue de cette révolte. 1ÈRE RÉVOLTE FISCALE DES PME : 1969 à 1970 En 1969, un livre blanc sur la réforme fiscale au Canada était déposé en novembre. Des économistes s’insurgeaient contre le fait que des PME incorporées payaient un taux d’imposition à la fois plus petit que les travailleurs autonomes qui ne pouvaient pas s’incorporer et aussi plus bas que les salariés, qui ne pouvaient, on peut bien le comprendre, s’incorporer. Le livre blanc visait donc à abolir cette injustice fiscale entre le taux immédiat d’imposition d’une PME incorporée et les autres contribuables. Aujourd’hui, on parlerait, au Québec d’un taux d’imposition de l’ordre de 19% contre des revenus taxés jusqu’à 53% : d’où l’injustice dénoncée par les économistes. Cette proposition a soulevé une énorme opposition. Les auteurs parlaient d’une « strong public resistance across Canada». Le Ministre des Finances d’alors a pris parti en faveur des PME de la façon suivante : « This government supports the view that entrepreneurial initiative should be encouraged through the tax system. The Canadian economy depends upon the creative business activity of small, growing businesses» Ainsi, on a établi que les PME incorporées seraient assujetties aux règles suivantes : 1. Le taux effectif fédéral serait de 25% 2. La limite annuelle des profits taxés à ce taux serait de 50 000$ 3.
    [Show full text]