View metadata, citation and similar papers at core.ac.uk brought to you by CORE provided by Érudit Article "Translating Classical Chinese Poetry into Rhymed English: A Linguistic-Aesthetic View" Charles Kwong TTR : traduction, terminologie, rédaction, vol. 22, n° 1, 2009, p. 189-220. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/044787ar DOI: 10.7202/044787ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit :
[email protected] Document téléchargé le 13 février 2017 08:05 Translating Classical Chinese Poetry into Rhymed English: A Linguistic-Aesthetic View Charles Kwong 1. Setting the Context The use of rhyme to translate classical Chinese poetry into English is an unresolved aesthetic issue. This topic remains relevant today in that while most native English translators have moved away from rhymed translations (as exemplified in the past by H. A. Giles, John Turner, etc.), many native Chinese translators (especially those in mainland China) continue to turn classical Chinese poems into rhymed English.