TOUS SAMEDIS |.r NO N° 51 Jean Marais 49, AVENUE RIS - !6« PHOTO STUDIO H A R < CL JamaïAa A RADIO-PARIS LONGUEURS D'ONDES : BORDEAUX SUD-OUEST : 219 m. 60 - BORDEAUX IAFAYETTE . 278 m. 60 - POSTE PARISIEN : 12 m. 80 - RENNES-BRETAGNE ^ . PARTOUT tlU 431 m. 70 - RETRANSMISSION DES PROGRAMMES ALLEMANDS SUR 280 m. 6ûE

DIMANCHE 2 NOV. 8 h. : Le Radio-Jour nal de Pans, premier bulletin d'informations. . Kounalo. - 15 h. : Concert varié. Orchestre Philharmonique de Vienne : Léonore, les ieunes équipiez du 8 h. 15 : En souvenir, une présentation de Pierre ouverture (Beethoven); Ouverture des Ruines d'Athènes (Beethoven); Vil label la: chantent, à pleine *iv nt .et en rliégel. - 10 h. : La Rose des Vents. - 10 h. 15 Armide, air de Renaud, Plus j'observe ces lieux (Lulli) ; Amadis, air d'Amadis, INSJ w parta Les Musiciens de la Grande Epoque : Ariost, Bois épais (Lulli); Maurice Maréchal, violoncelliste; Orchestre symphonique : une corvee Concerto pour violoncelle et orchestre (Lalo) ; Endreze, baryton : Guercœur, Où ffi ' Mouret, Mozart. - 11 h. : Un journaliste allemand ^ IN: t« s vous parle. - 11 h. 15 : Quelques mélodies de suis-je, quel murmure me charme (Albéric Magnard) ; Le colme rentre dans —« - , Gabriel Fauré, par Ninon Vallin et Georges Thill mon. cœur (Albéric Magnard) ; Orchestre symphonique : Le cygne de Tuonela denthoU8iasme Il h. 30 : Voyage au pays de la musique de (Sibélius). - L'Ephéméride. - 16 h. : Le Radio-Journal de , troisième bulletin Emile Drain. - 12 h. ! Déjeuner-concert, l'Orches d'informations. - 16 h. 15: Concerto en ré mineur pour 2 violons, de Bach. - tre de Radio-Paris, Direction : Jean Fournet. 16 h. 30 : Requiem, de Verdi. - 18 h. : Le sport. - 18 h. 15 : « Les Revenants t. 13 h. : Le Radio-Journal de Paris, deuxième bul- d'Henrik Ibsen. - 19 h. 30 : L'ensemble Lucien Bellanger : Nocturne, extrait de poste letin d'Informations. - 13 h. 15 : Suite du déjeu Shylock (Fauré); Sicilienne, extrait de Pelléas (Fauré); Adagio du Concerto nrn^B^o^" ' ner-concert : l'Orchestre de Radio-Paris. 14 h. en mi (Bach); Grave et Sicilienne (Chausson). - 20 h. à 20 h. 15: Le Radio- Revue de la Presse. - 14 h. 15 : Albert Lévêque. Journal de Paris, quatrième bulletin d'informations. - 22 h. à 22 h. >'.! : Le Radio-Journal de Paris, Dernier bulletin d'informations. - 22 h. li : Fin Ce S;? ouisque ce sont les chets au . la 15 heures VILLABELLA - 14 h, 30 : Pour nos jeunes : Les Yeux de d'émission. iers

LUNDI 3 NOV. 7 h. : Le Radio-Journal de Paris, répétition du dernier bulletin d'informations de la veille. - 7 h. 15 : Concert matinal. -• 7 h. 30 : Un (Claude Pingault). Ida Presti : Courante, Pré- rr^tf%. „ , ^ » «s quart d'heure de culture physique. - 7 h. 45 : Suite du concert matinal. - 8 h, : lude et Allemande, Fugue de première sonate bre Le Radio-Journal de Paris, premier bulletin d'informations. - 8 h. 15 : Concert (J.-S. Bach) ; Clair de lune (Beethoven) ; Torre varié. - 9 h. : Arrêt de l'émission. - 10 h.: Le trait d'union du travail. - 10 h. 15: Bermeja (Albeniz). Guy Paquinet, son trombone Pêle-mêle musical. - 11 h.: Soyons protiques: Les produits indispensables, les et son orchestre: Bonjour (Brown); Arc-en-ciel ssa as ^ararfits^ ovez-vous ? 11 h, 15 i Folklore. - 11 h. 45 : Médard Ferrero. - 12 h. : Déjeuner (H. Arien); En vacances (Fred Coots) ; More concert. L'orchestre Victor Pascal, Solistes : Carmen Guilbert, Charles Panzera. - cœur bat (Revel). - 17 h. : Villes et voyages : 13 h. : Le Radio-Journal de Paris, deuxième bulletin d'informations. - 13 h. 15 : La Finlande. - 17 h. 15 : Quintette à vent. - Suite du concert. - 14 h. : Revue de la presse. - 14 h. 15 : Le fermier à l'écoute. 17 h. 45 : Ceorgette Denis. - 18 h. : Radio- parvienne. WP»« onnée. Il* Yf £ " recherches. - 14 h. 30: Succès de films. Raymond Legrand et son orchestre. - 15 h. 15: Actualités. - 18 h. 15 : L'orchestre Jean Yatove. aband u Nos poètes sur le gril, avec Jean Galland et Odile Pascal. - 15 h. 30 : Concert - 19 h, : Causerie du jour. Minute sociale. - varié. - L'éphéméride. - 16 h. : Le Radio-Journal de Paris, troisième bulletin 19 h. 15 : Opéras-Comiques. - 20 h. à 20 h. 15 : d'informations. - 16 h. 15 : Chacun son tour... Bernadette Lemichel du Roy Le Radio-Journal de Paris, quatrième bulletin Romance tzigane (Fred Meli et Janfred) ; J'ai lu dans les lignes de ta main (Ro- d'informations. - 22 h. : à 22 h. 15 : Le Radio- bert Perrier) ; Julikaa (Erno Langi); Chanson bohème (Callinl); Katoutcha Journal de Paris, dernier bulletin d'informations. - 22 h. 15: Fin d'émission.

fu.s ils hrent^ êtes ^ Jeunesse, ry ^ accorda MARDI 4 NOV. 7 h. : Le Radio-Journal de Journal de Paris, deuxième bulletin d'informations. - 13 h. 15 : Suite de la )& Paris, répétition du dernier bulletin d'informations de la veille. - 7 h. 15 : Concert matinal. - etransmission depuis Radio-Bruxelles: l'orchestre Hippolyte Ackermans. - 14 h.: 7 h. 30 : Un quart d'heure de culture physique. Revue de la presse du Radio-Journal de Paris. - 14 h. 15 : Le fermier à l'écoute. - 7 h. 45 : Suite du concert matinal. - 8 h, : ■ 14 h. 30 : L'orchestre Victor Pascal. - 15 h. 15 : « Le scénario imprévu », de Le Radio-Journal de Paris, premier bulletin d'in- Maurice Pigny. - 15 h, 30 : Concert varié. - L'Ephéméride. - 16 h. : Le Radio- formations. - 8 h, 15 : Concert varié. - 9 h. : journal de Paris, troisième bulletin d'informations. - 16 h. 15 : Chacun son tour... Arrêt de l'émission. - 10 h. : Les travailleurs Lola Bobesco, Nelly Coietti, Gus Viseur. - 17 h. : Les grands Européens : Lamarck, français en Allemagne. - 10 h. 15 : Les chan- par Albert Ranc. - 17 h. 15 : Elena Glazounow. - 17 h. 30 : Face aux réalités : teurs de charme. - 11 h. : Protégeons nos en- Le quart d'heure de la collaboration. En trois mots, de Roland Tessier. - 17 h. 45 : fants : Le monde de l'enfant. - 11 h, 15 : Valses Quart d'heure avec Lucienne Dugard. - 18 h. : Radio-Actualités. - 18 h, 15 : et ouvertures. - 12 h, : Déjeuner concert. Re Quatuor Argeo Andolfi. - 18 h. 50 : Lily Pons : « Lucie de Lammermoor», scène transmission depuis Radio-Bruxelles. L'orchestre de la folie (Donizetti). - 19 h. : Causerie du jour. Minute sociale. - 19 h. 15 : Radio, direction André Souris ; l'oschestre de Ah ! la belle époque ! L'orchestre sous la direction de Victor Pascal. Présentation danse, direction Stan Bronders ; M. Jean Mal- d'André Alléhaut. Louis Lynel, Edith Gailia. - 20 h. à 20 h. 15 : Le Radio- Journal de Paris, quatrième bulletin d'informations. - 22 à 22 h. 15 : Le Radio- chair, chanteur de charme. - 13 h. t Le Radio- Journal de Paris, dernier bulletin d'informations. - 22 h. 15 : Fin d'émission.

MERCREDI 5 NOV. 7 h. : Le Radio-Journal de Paris, répétition du dernier bulletin d'informations de la vei|le. - 7 h. 15 : Concert matinal. - 7 h. 30 : Un d'Anton Robaglia. - 17 h. 45 : Tony Murem. quart d'heure de culture physique. - 7 h- 45 : Suite du concert matinal. - 8 h. Indécision, fox (Shawers) ; Babi, fox (Donalsoni. Le Radio-Journal de Paris, premier bulletin d'informations. - 8 h, 15: Concert - 18 h. : Radio-Actualités. - 18 h. 15 : L'en- varié. - 9 h. : Arrêt de l'émission. - 10 h.: Le trait d'union du travail. - 10 h. 15 : semble Ars Rediviva : Sonate en mi majeur, de Pêle-mêle musical. - 11 h. : Cuisine et restrictions : choux et choucroutes. - Pergolèse (2 violons, violoncelle et clavecin) ; 11 h.. 15 : L'accordéoniste Deprince. - 11 h. 30 : Instantanés avec Pqul Clérouc. Suite en fa majeur, de J.-M. Leclair (2 violons, - 12 h.: Déjeuner-concert. L'orchestre de Paris, direction: Kostio de Konstan- violoncelle et clavecin) ; Sonate en ut mineur, tinoff. - 13 h. : Le Radio-Journal de Paris, deuxième bulletin d'informations. - de A.' Vivaldi (violon et piano) ; Sonate en sol 13 h. 15 : Raymond Legrand et son orchestre. - 14 h. i Revue de la presse du mineur, de Haëndel (en quatuor). - 19 h. : Radio-Journal de Paris. - 14 h. 15: Le fermier à l'écoute. - 14 h. 30: Cette La critique militaire. - 19 h, 15 : Rythme et heure est à vous, présentation d'André Claveau. - L'Ephéméride. - 16 h. : Le danse. - 19 h. 30 : La Rose des vents. - Radio-Journal de Paris, troisième bulletin d'informations: - 16 h. 15 : Chacun 19 h. 45 : Rythme et danse. - 20 h. à 20 h. 15 : son tour.., Clément Doucet, Jean Sorbier, Jeanne Manet, Weeno et Morino. - Le Radio-Journal de Paris, quatrième bulletin 17 h. : Renaissance économique des provinces françaises : « Les Charentes », par d'informations. - 22 h. à 22 h. 15 : Le Radio- faire

VENDREDI 7 NOV. 7 h. : Le Rodio-Journal de Paris, répétition du der-W nier bulletin d'informations de lo veille. - 7 h. 15 : Concert matinal. - 7 h, 30 : ma belle (Bruno Cocatrix) ; Chastal-Erard : Sérè- Un quart d'heure de culture physique. - 7 h. 45 : Suite du concert matinal. - rénade (Braga), Sérénade (Chaminade), Sérénade 'l Pas le m£L'_aE*en- d»nt énéral.tP* (Moskowski), Sérénade (Debussy), Sérénade (G. s 9 : 8 h. : Le Radio-Journal de Paris, premier bulletin d'informations. - 8 h, 15 : dlr Pierné). - 17 h.: Entretien avec M. Rousset, r, d'un «»•» ' Concert varié. - 8 h, : Arrêt de l'émission. - 10 h. : Le trait d'union du travail. -', a.«mti du Centre, 10 h, .15: Pêle-mêle musical. - 11 h.: La vie saine. - 11 h. 15: Opérettes. - conservateur du Musée Cernuschi. - 17 h. 15 : 12 h, : Déjeuner-concert. L'orchestre de Radio-Paris. Direction : Louis Fourestier. Concert en chansons. - 18 h. : Radio-Actualités. Pierre H A Ni. Solistes : Lucienne Delforge, Henry Merckel. - 13 h. : Le Radio-Journal de Paris,*; - 18 h. 15: L'orchestre de chambre ■ de Paris. Direction : Pierre Duvauchelle : Petite Suite (Cl. .En. * '•«Vtîr, rr deuxième bulletin d'Informations. - 13 fi. 15: Suite du Déjeuner-concert. - 14 h. s ^ Devant S'im ^^^^m^^^Km^^QJ/Uj^^^^B Dotal, r»P» ?. Revue de la presse du Radio-Journal de Paris. - 14 h. 15 : Le fermier à l'écoute* Debussy); Ballade (G. Fauré), Nicole Hehriot, pianiste; Contes de ma mère l'Oye (M. Ravel). : 14 h. 30 : Le quart d'heure du compositeur : Marius Perrier. - 14 h. 45 : Puisque* - 19 h. : Causerie du jour. Minute sociale. - «Près ^'lii* senMne^'^Pelleat IT L°' "'avait vous êtes chez vous, une émission de Luc Bérimont. - 15 h. 15 : Coin de;- devi- ,0 1 U f,ul c 19 h. 15 : Le Cabaret de Radio-Paris. Raymond sation. "H "' tourné! J^^nt dans 1a» *t nettes. - 15 h. 30 : Concert varié. - L'Ephéméride. - 16 h. : Le Radio-Journal de, Legrand et son orchestre. - 20 h. à 20 h. 15 : J'ai. r ■ •'«''•éprise fj , J obilu d Kreuder; Richard et Carry ; Ma carriole (Guy Lafarge), Douze mai (Claude Pin- d'informations. - 22 h. à 22 h. 15 : Le Radio- $^2W2Si *AÎ,, ;^Jr« - -rends gault), l'aime, tu aimes (Carry), Berceuse du bon mari (Lafarge), Sérénade à Journal de Paris, dernier bulletin d'informations. e >r b ^%B^ ^l/^^ * non

SAMEDI 8 NOV. 7 h. : Le Radio-Journal de 1900 à 1925 (arr.ang. Raymond Emmerechtsl ; Musique pour ma chérie (Ray de Paris, répétition du dernier bulletin d'infor- Noble); Czardas (Blareau-Muscat) ; Vienne ! ô ville de mes rêves (Sieczynski) ; i mations de la veille. - 7 h. 15 : Concert matinal. Jalousie, tango tzigane (Gade) ; Quand frissonne la nuit (Cole Porter) ; Fantaisie tuel <•« fort Vu 2»v André Wv"6 i",n'"' . 7 h. 30 : Un quart d'heure de culture physique. Syr le poème de Zdenko-Fibich (Harry Warren). - 14 h. : Revue de la presse , -L-, - 7 h, 45 : Suite du concert matinal. - 8 h. : n v sur du Radio-Journal de Paris. - 14 h. 15 : Le fermier à l'écoute. - 14 h. 30 : De tout + n„„ ? embre. 'a scène de céttftef , Quittera Le Radio-Journal de Paris, premier bulletin d'in- =11,., snii» un peu... Les orchestres Victor Pascal et Raymond Legrand, Djengo Reinhardt, Rypepuis her même formations. - 8 h. 15 : Concert varié. - 9 h. : Jean Suscinio et ses matelots. - L'Ephéméride. - 16 h. : Le Radio-Journal del -"~°> PaVa « célèbre Q Arrêt de l'émission. - 10 h. : Du travail pour les, le» |eune« »•"» Paris, troisième bulletin d'informations. - 16 h. 15 : Suite de l'émission : De tout- uintette de rentrent au comjj. jeunes. - 10 h. 15 : Les chanteuses de charme. - un peu... - 16 h. 45 : Pierre Doriaan : Retour à la terre (Jean Bretière et A. dejï U„ P»/- 11 h. : Sachez vous nourrir. - 11 h. 15 : Succès Pierlas), C'est pour toi, femme (André Luc), Ils ne comprennent pas (Félix Che- * A Amiens "ou mltro de de films. - 11 h. 45 : Emile Vacher. - 12 h. : vrier et Pierre Doriaan), C'est nous l'avenir (Paule Marguy et Maurice Saulnier) ,1 « octobre. "u reunion de In „ . ?o«lo-PorU d'-nre- Déjeuner-concert. L'orchestre de Rennes-Bretagne. • 17 h. : La revue critique de la semaine. - 17 h. 15 : La revue du cinéma. - NTRÉ t E A e - 12 h'. 45 : André Baugé. - 13 h. : Le Radio- * Les Hot-Clubs dH-A n fentrée " lieu I .ûtr.r.ntl*r.m.nt 18 h. : Radio-Actualités, prévisions sportives. - 18-h. 15 : La belle musique, pré-.' Première réunir^ .«VW. Ser,s e-t „.„ M ° - le Journal de Paris, deuxième bulletin d'informa- sentation de Pierre Hiégel. - 19 h. : Critique militaire. - 19 h. 15 : Au rythme du h0 de , UX le refrain %*• tions. - 13 h. 15: L'orchestre Richard Blareau. *Les amaCrde'1 ^ '^en? ^ *"neront leur temps. - 20 h. à 20 h. 15 : Le Radio-Journal de Paris, quatrième bulletin d'ini nu Fantaisie sur les grands succès d'opérettes créées formations. - 22 h. i 22 h. 15 : Le Radio-Journal de Paris, dernier bulletin d'InfV- Î.Vn.V'Au.P-.- PHOTOS STUDIO HARCOURT VOIR D'AUTRE PART LE PROGRAMME DE LA RADIODIFFUSION NATIONALE

9 PAPA, la pièce de Robert de Fiers et Caillavet vient d'être adaptée à l'écran par Léopold Marchand. C'est Robert Pé- guy qui réalise, aux Studios François-1", ce nouveau film avec Jean Max, Alerme, Léon Sellières, Germaine Laugier et Blan- chette Brunoy. Voici une scène entre An- nie Ducaux et Pierre Dux, dans un ravis- sant décor d'intérieur qui ressemble éton- nament à des extérieurs de plein air.

BOLÉRO . Après avoir affronté les feux de la rampe pendant plusieurs représenta- tions aux Bouffes-Parisiens va bientôt connaître les sunlights du studio. En effet, Jean Boyer donnera au début du mois le premier tour de manivelle de la pièce de Michel Duran avec Arletty, André Luguet, Denise Crey et Meg Lemonnier, qui vient d'arriver de Saint-Tropez pour tourner.

Le MARI AGE de CHIFFON ressemblait plutôt, la semaine dernière, aux studios Tobis d'Epi- nay, à un baptême d'un effet assez inattendu. Sur le plateau où Claude Autant-Lara tourne le film inspiré du roman de Cyp, un avion d'un modèle réduit mois exact apparaissait dans toute sa curiosité. Le célèbre Farman avait été convié à la cé- OUS ceux qui aiment la chanson, tous ceux qui se tronsforment; mais savoir reconnaître, même chez un rémonie. Odette Joyeux, auprès ont, pour ce monde merveilleux du music-hall, débutant, la bonne étoffe où l'on peut tailler une ve- de Jacques Dumesnil, brandissait une passion véritable ont appris la nouvelle de dette, juger si une musique est populaire, si un refrain est une bouteille de Champagne qui T allait se cogner contre l'hélice la mort de Mayol avec une infinie tristesse. bien écrit, si une chanson est bien chantée, je ne sais de la « Libellule ». Ainsi baptisé, Mais, plus encore sont douloureusement touchés ceux personne que Mayol pour décider si juste. l'appareil était prêt à s'envoler. qui, comme moi, ont approché Félix Mayol, ceux qui ont Quand nous le revoyions à Paris, au cours de ses C'est une grande joie pour Far- man de retrouver un avion qui connu son amitié, en supportant quelquefois les sar- innombrables adieux, qui faisaient la joie des chanson- n'était pas tout à fait le sien, casmes et les sourires qu'une telle amitié pouvait faire niers, nous avions tous, avant d'entrer, un serrement au mais qui lui ressemblait si bien. naître. cœur, en nous disant : « Pourquoi continue-t-il, ce sera Si beaucoup d'entre nous ne connaissent de Mayol que désastreux! » Et puis, il arrivait sur scène, énorme, ayant ses chansons et que sa légende — une légende où l'on troqué son habit contre un smoking très grand-paternel, trouve du meilleur et du pire — c'est que beaucoup ont avec ou sans toupet, et, malgré tout, malgré nos sou- l'oubli facile. Au Grand Registre des services rendus, le venirs même, il s'imposait à nous, et pas seulement à compte de Félix Mayol doit s'inscrire sur des pages en- nous, même aux jeunes oui ne l'avaient pas connu avant. tières. Il a soulagé de nombreuses misères, il a aidé à Sans doute ses gestes n avaient-ils plus le même délié, l'éclosion de nombreux talents, il a recueilli et nourri, sans doute sa diction n'était-elle plus aussi précise et son sans tapage et sans que cela serve le moins du monde souffle était court, mais c'était tout de même un grand m sa publicité, de vieux camarades, à qui il a permis de bonhomme du tour de chant. finir leur vie sans être contraints à mendier. Nous sommes quelques-uns qui souffrons de n'avoir pu Il est mort près de Toulon, aux Ameniers, dans la l'assister dans ses derniers moments, dont le chagrin principale maison de ce Clos Mayol où, au temps-de sa s'accroît de ne pouvoir l'accompagner jusqu'à ce tombeau splendeur, il avait fait construire, sous les pins et parmi de pierre qu'il a fait construire lui-même, dans le cime- les vignes, autant de villas qui portaient chacune le nom tière de Toulon, et où reposent déjà les cendres de son d'une de ses chansons préférées, lia paralysie l'avait père et de sa mère. frappé voici déjà plus d'un an; il avait accepté le mal Aussi souhaitons-nous que tous ceux qui liront ces avec une grande philosophie : « Vois-tu, disait-il à Mau- quelques lignes se recueillent un instant avec nous, en PHOTOS SERGE rice Chevalier, qui nous le rapportait il y a quelques donnant un moment de leur pensée, un peu de leur ten- LA MAISON DES 7 JEUNÉS FILLES jours, pourquoi me plaindrais-je? J'ai connu le succès, et dresse, à celui quj fut le grand Félix Mayol. s'est bâtie aux studios Caumont, aux Buttes- tout ce que l'argent peut procurer à un homme je l'ai eu. Et nous prions définitivement tous ceux qui croient Chaumont. Albert Valentin en est le principal Ma vie se finit lentement et je mourrai avec, devant les architecte, puisqu'il est le metteur en scène. drôle, comme certain que nous avons vu dernièrement C'est à lui que nous devons déjà « L'Entraî- yeux, les plus beaux de mes souvenirs : ceux des soirs sur une scène de Paris, de salir la mémoire d'un homme neuse » avec Michèle Morgan, "et « L'Héritier où je chantais jusqu'à 15 chansons, devant un public par des quolibets d'un goût douteux, de se taire et de des Mondésir », avec Fernandel. Ce nouveau qui me réclamait sans cesse. » scénario promet beaucoup d'agrément. Il nous permettre au temps d'effacer de l'image que nous voulons montre sept jeunes filles autour de leur Personne plus que lui n'avait le sens de la chanson. conserver du grand chanteur tout ce qui pourrait en père. Pour la plupart, ce sont de jeunes es- > Certains ont duré plus et mieux que lui, en évoluant, en ternir l'éclat. poirs, des vedettes de demain, qui ont déjà fait sachant adapter leur talent à la mode et au goût qui leurs preuves. Il y a Caby AndreU, qui n'est A.-M. JULIEN. plus une débutante, mais qui est toujours aussi ravissante. Il y a Jacqueline Bouvier, que nous révèle en ce moment « Jupiter », au Théâtre Monceau. Il y a Josette Daydé, la jeune chan- teuse swing des cabarets élégants de Paris. Il y a encore Jean Tissier, Brunot et Paqui, 50 phiquement, les H In grands cofnpos a saisôTT Théâtrale est à peine -•^L^P commcnccc rès I 'aises de Vienne, cette amusante opérette JOHANN STRAUSS qui nous rapp v la Jfé des deux Strauss, Johann 1, le fondateur de la célèbre dynastic,x£i| fils, le film Opérette fait aussi paraître à l'écran l'immorti'! roi du la val Nul autre que Jean Serva ■te I 'tenue, ni Pierre Magnier ni Maurice Vidal alors à ses débuts, n'aurait } u personnage, qu'ils incarnent, pas plus d'ail- évoquer avec autant de vér leurs que^prle fit Ferra rsqu'il avait tourné Johann le père, dans La le personnage de Chopin, lo Hdmund Schclkammer, dans Opérette, nous qu'en r934 il avait tourné » appajpPavec la célèbre nte moustache qui, entre deux épais favoris Chanson de l'Adieu », c'est' dire les amours de Georg ct^pBis une chevelure ; euse, adorriàit'le visage de l'auteur, du Beau imiibe h/en. Sand et du jeune compositeu Bt ce n'est pas deux Strauss nous verrons Berlioz et Liszt comme nous kart, Beethoven, Rossini et Schubert ! Sous peu, ( is Barrault sera à l'écran Berlioz de ïïitastique que prépare Chris- an Jaque ctl Pierre Richard-Willm sera iszt, l'amant \ Agoult dans Rêves d'amour, René Fauchois. Ce dernier, dans Johann îtrauss, père Bt fils, ion a d'ailleurs montré une certaine blement les deux compositeurs q s grands musiciens, en a vu le plus souvent o lo scène et à pas l auteur de Beethoven, qu'il créa à l'Odéon, Mais aucune évocation du Roi de la Vaise n'est 19&9 et sous les traits duquel il reparaîtra cet hiver plus troublante que celle donnée par l'acteur staiilA scène du Palais de Chaillot, après l'avoir joué Edmund Schelkamrner dans le film "Opérette ". Hkp centaines de fois depuis plus d'un quart de siècle.

Onze ans après avoir évoqué le géant de la musique, René Fau- chois composait un Rossini en vers. C'était le Rossini du Barbier de Séville, le Rossini des jeunes années, que l'austère comédien avait mis en scène dans son poème dramatique dont il avait encore assumé le principal rôle. Pour Rossini comme pour son Beethoven, René Fauchois, par un maquillage savant, avait réussi à se faire une tête saisissante de ressemblance avec le modèle, ce qu'il ne put aussi bien réaliser lorsqu'en 1923, il créa son Mozart au théâtre des Champs- Elysées. N'ayant pas trouvé l'acteur physiquement idéal, il avait encore joué lui-même le rôle. Mais comme l'auteur de la Flûte enchan- tée était de petite taille, il s'entoura de protagonistes de grande taille pour faire oublier son mètre soixante-quinze et rester dans l'ambiance ! Tandis que Pierre Richard-Willm sera l'amant passionné de Marie d'Agoult, René Fauchois interprétera le rôle de l'historien genevois Sismonde de Sismondi dans sa nouvelle pièce où, au milieu d'une quaran- En 1925, le Mozart de fut pour Yvonne Printemps l'occasion taine de personnages historiques, on verra évoluer Chopin, Wagner et la plupart des de faire valoir en un travesti char- grands musiciens de l'époque romantique. mant ses dons incomparables de comé- Quant à l'Hector Berlioz que va faire revivre Jean-Louis Barrault, l'évocation dienne, de chanteuse et de danseuse. sera un exemple à peu près unique, car l'interprète n'aura nullement besoin des arti- fices et du maquillage pour ressembler à son modèle. En rapprochant n'importe quelle photographie de l'acteur du portrait de l'auteur de la Damnation de Faust, qu'il soit Après Beethoven et avant son Mozart, d'Ingres ou de Signol, on est frappé de la similitude des deux physionomies : le même René Fauchois évoqua la vie de Ros- front large sous une chevelure abondante, le même nez allongé, la même bouche régu- sini. Et ce fut à Lyon, sur le désir lièrement dessinée, le même regard profond ! Entre le compositeur et le comédien, du Théâtre des Célestins, qu'il incarna lui-même le personnage de l'im- la ressemblance est on ne peut plus frappante et cette évocation cinématographique 1 mortel auteur du " Barbier de Sévill sera littéralement hallucinante.

Henry COSSIRA.

Poursuivant la série des grands musiciens, René Fau- chois nous donnera cet hiver Rêves d'Amour», sa nou velle pièce dans laquelle Pierre Richard-Willm sera avec une scrupuleuse res- semblance l'amant pas sionné de Marie d'Agoult. omance ETRE OU NE PAS ETRE ROMAN CINÉMATOGRAPHIQUE D'APRES LE FILM DE JEAN BOjVH- ADAPTATION D'ARLETTE MARÉCHAL

— Voyons, ma jolie, les signer le contrat et lui conseilla de chanj|e prouver ce qu'il voulait. Tout en flânant, il premiers mois j'étais comme de nom. Gauthier, ce n'était pas un «hait ce qu'il pourrait raconter à sa vous, impatiente et pétar- théâtre, et ça ne sonnait pas bien. Georges, mère pour être libre tous les soirs à l'heure dière. Maintenant, je m'en qui ne voulait pas que sa mère apprit la de la représentation. Bien entendu, il n'était balance ! J'ai compris. Y a Ce n'est chose, se hâta de dire qu'il n'y tenait pas pas resté longtemps dans la place que Jules rien à faire avec les hom- non plus. lui avait procurée. Pour expliquer ses sor- mes. Les copains et le café, — Que dirais-tu de « Papillon » ? de- ties quotidiennes du soir, il décida qu'il di- ça passe avant tout. Ils nous manda le directeur. Jean Papillon, par rait à Maman Gauthier qu'on l'avait en- font de belles promesses exemple, hein ?... C'est léger, aérien... Un gagé dans une centrale électrique à Saint- pour nous tomber ; nous les papillon, ça vole ! Ton nom volera peut- Ouen. croyons, comme des gourdes être de bouche en bouche I Le jour où' il devait débuter, la brave que nous sommes, et après, Et il le présenta à son chef d'orchestre. femme annonça la nouvelle à Jules qui ve- pas ça se plaint quand on fait Dès le lendemain, Georges se mit en nait souvent la voir. la gueule ! Et c'est ainsi de- quête d'un répertoire. Pour trouver des — Il n'y a qu'un ennui, ajouta-t-elle, puis des siècles... C'est pas chansons, chacun sait que le passage de l'In- c'est que pour débuter, il fait partie de L arrive souvent aux journalistes qui fréquentent les .-tu nous qui pouvons les chan- dustrie est à Paris, l'endroit par excellence l'équipe de nuit. Son moral, cependant est ger. dios de cinéma des aventures à effets cent pour cent où l'on déniche tout ce qui s'imprime et bien meilleur. Il devient coquet, figurez- I comiques. Parfois, ils en rient. En d'autres circons- Madeleine hocha la tète s'édite^ en matière de refrains de toutes sor- vous I Quelque chose me dit qu'il est amou- tances, ils en ragent, selon les inconvénients ou les avan- tristement. Elle se rappelait tes. C'est le passage, célèbre dans le milieu reux... les jolies phrases du début tages du métier, que le lecteur ne doit guère soupçonner... du Tour de chant, par ses vieilles éditions Jules flaira quelque chose de louche et Personnellement, je ne peux résister à vous narrer ce de son idylle avec Maurice : de musique et ses cours où les .petits artis- accepta l'invitation à dîner de Mme Gauthier — Tu verras la belle pe- qui m'est arrivé cette semaine. tes qui n'ont pas de répétiteur, peuvent pour le soir même, de bonne heure. ' ■ On m'avait signalé que l'on tournait aux Etablissements tite vie que je vais te fai- venir apprendre leurs chansons. Inutile de dire que Georges avait égale- re... Je ne vivrai que pour Gaumont, aux Buttes-Chaumont, un nouveau film, une pro- Georges se rendit donc dans l'un de ces ment caché à son amie Jeannette ses vrais duction Eclair-Journal précisément. toi... Tu seras la plus heu- cours, où de vieux cabots, des comiques débuts dans la carrière artistique. Le seul reuse des femmes I rondouillards ou maigrelets, des chanteuses ennui que lui causait «on nouveau métier, BP"" Et leur amour n'avait pas débutantes ou sur, le retour, cherchaient des outre les mensonges qu'il était forcé de même un mois I... A cette airs à succès ou inédits, tout en racontant faire, c'était qu'il le priverait de voir fa pensée, elle éclata en san- leurs exploits et leurs récents triomphes. Il ' jeune fille, car il avait matinée chaque jour glots. Maurice, excédé, se visita plusieurs établissements avant de et, bien entendu, chaque dimanche. Durant le dîner qui précédait la « grande première », Jules remarqua l'extrême ner- vosité de son copain, et sa mère se plaignit de le voir manger si peu. — Sept heures vingt-cinq ! s'écria Geor- ges en avalant son café. Bon sang ! je vais me préparer. Il ne faut pas que je sois en retard. RHOTOS EXTRAITES DU FILM Jules manifesta son intention de l'accom- pagner jusqu'à son usine. Il refusa énergi- quement, mais l'autre tint bon I Catastrophe ! Georges embrassa rapidement sa mère, et se sauva à toutes jambes, espérant semer son ami. r.s entrèrent dans un square, Ll dégringola l'escalier en vitesse, mais s'approcha d'un banc, y déposa Jules était décidé à ne pas se laisser lâ- I sette et demanda à Jeannette ti cher, et il le rejoignit en bas. — Ça ne vous dit rien de déjeum — Tiens ! Tu as mis ton- -complet neuf moi ? pour aller travailler? lui fit-il remarquer. — Où ? Ici ? fit-elle surprise. Et l'autre qui ne savait comment faire — Mais oui I continua Georges en iour s'en débarrasser, lui lança un sale Evidemment, ce n'est pas très conforta regard, sans même lui répondre. mais j'ai tout ce qu'il faut dans ma musette Cependant, au caf'-conc', la représentation et on partagera en frères. allait commencer et le régisseur annonça au Elle déclina cette invitation, car sa marnai patron que le numéro 1, le nommé Papillon, l'attendait, mais elle consentit à lui teni jjâètait pas encore arrivé. Ça commençait compagnie quelques minutes. 'en ! Juste à ce moment, on vint le préve- Jeannette lui avoua qu'elle était assez sur. Btflu'il le demandait au téléphone. Il se prise qu'il fût ouvrier. -Elle s'était fait sur récipita à l'appareil. lui une tout autre idée. Elle aurait juré — Allo, Papillon ? s'écria-t-il. Eh bien ! qu'il était artiste. Line impression qu'elle Syést-ce que vous foutez? Où êtes-vous?... avait eue comme ça. A Saint-Ouen... Arrivez immédia- — Mais, ajouta-t-elle vivement, je vois tement, ou je vous résilie ! avec plaisir qu'elle était fausse. Georges; effectivement, téléphonait d'un Il lui demanda des nouvelles de ses pa- bistro. Puis, profitant de l'inattention de rents. Elle lui raconta que son père était Jules qui prenait un verre au comptoir, il parti en tournée, et que sa mère était très filjpià l'anglaise. Jules se rendit d'autant malheureuse, car ce départ était sans doute Dans un coin de la salle enfu- moins compte de son départ, qu'il avait le commencement de la rupture définitive. aperçu parlant à la caissière Madeleine I Bref, la vie n'était pas bien gaie chez eux. mée, la voisine de Madeleine attendait avec résignation que Mais oui, il n'y avait pas de doute possible, — En somme, dit Georges, si je comprends c'était bien elle ! Ah ! ça alors I II fonça son homme eût fini sa belote. PHOTOS EXTRAITES DE FILM bien, vous n'aitneriez jamais un artiste, croit sur elle. (A Suivre.) vous ? La réponse vint, nette et rapide : leva, et, comme au fond, il était moins mau- — Allez-y, m'avait-on dit. Vous verrez, vous vous amu- — Jamais I vais qu'il en avait l'air, il tenta de l'apaiser. serez beaucoup. Mais elle ajouta, après un moment de Mais Madeleine explosa et le traita de tous J'y suis allé et, bien entendu, je me suis amusé. Je me réflexion : les noms. Elle n'avait pas mérité cela, elle suis amusé à partir du moment où j'ai pu saisir des choses — ...Ou alors, je le ferais changer de avait tout quitté pour lui. qui m'apparaissaient à la fois bien compliquées et fort métier. Estimant qu'il avait fait son devoir et mystérieuses. Et les deux jeunes gens se regardèrent qu'il avait été plus que « correct », Mau- J'arrivai donc au studio. Je m'apprêtais à me diriger avec en souriant. rice regagna sa table après lui avoir lancé : mon photographe vers le plateau E quand j'aperçus le met- Qu'était devenue, pendant ce temps, Ma- — Oh ! Et puis, marre, hein ? Tu ne vas teur en scène . deleine, la sœur de Georges? Vers quel pas te fiche à' pleurer tous les jours parce — Bonjour ! Comment allez-vous ? Très bien merci. Vous mirifique paradis s'était-ellc envolée ? Quelle que tu as quitté ta mère I tournez ? existence de rêve, heureuse et tranquille, L'amie philosophe de Madeleine, tout en — Ce n'est pas moi, me répondit Baroncelli, catégorique. menait-elle? Pour quel palais enchanteur, lui caressant les cheveux, lui murmura pour — Ah ! bien... Alors, à bientôt ! pour quel beau seigneur avait-elle quitté, la consoler dans le creux de l'oreille: M Je regardai autour de moi et ne rencontrai aucun autre depuis bientôt trois semaines, famille et — T'en fais pas, va !... Ça fera un cocu metteur en scène. Je remarquai dans un coin, tout seul. Jean foyer ? de plusl... Tissier en train de griller une vague cigare; te. Pour le savoir, nous n'avons qu'à nous Si Georges s'était douté que telle était — Bonjour, Jean. Vous tournez ? transporter dans un petit café d'un quartier l'existence de rêve de sa sœur, dans quelle — Bonjour, ami. Si je tourne ? Ce n'est pas moi... excentrique de la capitale. Dans l'arrière- colère ne serait-il pas entré ! Mais, pour — Ah ! fis-je. sincèrement étonné. Pourtant, vous êtes salle enfumée du bistro, quatre messieurs l'instant, il n'était pas question de cela. Il maquillé... Jacques de 8aroncel1i assez jeunes jouaient inlassablement à la était en train d'auditionner sur la scène du Je dus lui paraître complètement stupide. réa iise aux studios belotte, une de leurs principales occupations. Gaumont un film dont petit café-concert, devant le directeur satis- Victor Boucher passait en coup de vent devant moi. Heu- Car la belotte est un précieux passe-temps fait, et l'imprésario Nicolas, qui essayait, )e scénario est d'un reusement, je l'arrêtai au passage : comique ïrrésistibi t, pour ceux qui attendent le résultat des cour- mais en vain, de faire passer Georges pour — Alors, Monsieur Boucher, vous tournez ? Jean Tissïer devient ses... Non loin d'eux, à une table voisine, un de ses poulains. son propre sosie à un Madeleine attendait, avec une impatience à Comme le jeune homme n'avait qu'une — Ce n'est pas moi, cher Monsieur. certain moment II se peine dissimulée, la fin de la partie, à côté seule chanson à son répertoire, il ne put en Lui aussi disparaissait sous une couche ocre de maquil- cherche et demande d'une autre compagne, un peu trop fardée, donner une seconde ! Mais cela suffisait au lage. J'avisai Ginette Leclerc et la suppliai de me dire si eux gens qui H est«. de l'un de ces messieurs. Quand elle vit que patron, largement édifié sur les possibilités elle tournait. les joueurs allaient entamer une revanche, de l'ancien électricien. — Ce n'est pas moi. En voilà une affaire, répliqua-t-elle, elle risqua : — Parfait, mon petit ! lui cria-t-il de son me laissant songeur et désespéré. — Maurice? Ne recommence pas la par- fauteuil. Tu débutes dans huit jours. La pause étant terminée, je décidai de suivre les artistes tie, je meurs de faim I Trouve-toi une autre chanson, tu passeras jusque sur le plateau. Les projecteurs s'allumèrent sur l'ordre Voici Marcel Voilée Assez beau garçon, d'allure légèrement en numéro i, et je te donne 50 francs par impératif du metteur en scène ; Victor Boucher et Jean donnant la réplique à équivoque, le dénommé Maurice la pria de soirée. Tissier s'assirent l'un en face de l'autre, à une table de Jean Ttssîer. Ce n est cabaret. Quelqu'un demanda le silence, et l'homme à la cla- pas moi '■ Alors, qui se taire, lui commanda un sandwich et re- Et désignant l'imprésario du doigt, il est-ce ? * Si ce n'est pes prit les cartes qu'il distribua. ajouta : quette s'approcha, annonçant : € Ce n'est pas moi, cinquième pas fol, c'est donc ton La voisine qui attendait avec résignation — Et si j'apprends que tu as signé avec fois. » frère ■■, aurait dit La que son homme ait terminé, remarquant l'irri- cet oiseau-là je te résilie I A cet instant seulement je réalisai... « Ce n'est pas moi » Fontaine., en pareilles tation de la petite, lui dit avec philosophie : Il entraîna Georges dans son bureau pour était le titre du film !... circonstances. Mystère ma Bertrand FABRE. de < Ce n'est pas moi : >

J BS gens heureux, dit-on, n'ont pas d'histoire: celle

PHOTOS LIOO

ET D/RE QUE LON RENCONTRE ENCORE DES GENS PERSUADÉS 13UE LES ARTISTES NE BOIVENT QUE DU CHAMPAGNE... ET MENENT TOUTES LES NUITS, DANS LES CABARETS, UNE VIE DE BATON DE FERNAND LEDOUX EST UN BRICOLEUR : CHAISE (EN FAIT DE BATON DE CHAISE, CHEZ LUI, A MONTPARNASSE. OU DANS SA CEST LEDOUX QUI LES SCIE LUI-MÊME.). MAISON DE CAMPAGNE, DANS LA VALLÉE DE CHEVREUSE, LE CRÉATEUR DE " PRE- MIER BAL " SE REPOSE... EN TRAVAILLANT.

QUEL CHARMANT TABLEAU DE FAMILLE DUNE ÉMOUVANTE SIMPLICITÉ . PER- APRÈS LE DÉLUGE, NOÉ A DU AUSSI SE PENCHER METTEZ-NOUS DE VOUS PRÉSENTER : SUR LES FLEURS DU BON DIEU POUR EN RESPI- MONSIEUR ET MADAME FERNAND LE- RER LE PARFUM, ET CETTE BONNE ODEUR DE DOUX, MESDEMOISELLES CLAUDE ET TERRE ET D'HERBE MOUILLÉE, QUE L'ON DOIT FRANÇOISE, ET THIERRY, QUI RÊVE DE APPRÉCIER APRÈS AVOIR VOGUÉ SUR L'ARCHE. FAIRE DU CINÉMA ET DE DEVENIR TARZAN.

LE BENJAMIN DES ENFANTS DE LEDOUX, LE CHARMANT THIERRY, EST UN PETIT HOMME DE SIX ANS... DANS CETTE PARTIE DE " CATCH " DANS L'HERBE, QUI S'AMUSE LE PLUS A VOTRE AVIS : LE FILS DE NOÉ, OU BIEN SON GOSSE DE PÈRE ?

joué environ cent rôles classiques ou modernes. Comment voulez-vous que dans ces conditions, nous puissions répéter chacun de nos rôles comme sur les boulevards, où un succès dure un an ou deux, et a de- mandé des mois et des mois de répétitions?... Puis nous parlons du rôle de l'acteur obligé de se soumettre au texte, quand l'œuvre le dépasse... Ledoux m'avoue envier l'indépendance du clown qui ignore cette humilité, et se défend, seul et nu, devant le spec- tateur: — J'aurais adoré être clown, vivre dans une roulotte, me dit-il, créer mes râles comme un artiste de la « Commedia dell'Arte »... En attendant de tourner, avec Micheline Presle et Jean Marais, le pro- chain film de Marcel Carné « Juliette ou la clé des Songes », Fernand Ledoux s'occupe chez Molière d'un spectacle de farces françaises. Avec Denis d'Inès, il met en scène une farce du moyen âge: « La farce 0k de Maitre Patelin », une farce du xvir siècle: « Le Médecin Volant » de Molière, et une farce contemporaine: « Feu la Mère de Madame », de Georges Feydeau. — Papa, est-ce que nous allons ce soir au cinéma î La vie de famille a repris le comédien, et devant ce petit bonhomme, haut comme trois pommes, qui rêve de jouer les Tarzan à l'écran, je songe aux vers de Verlaine: ...Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. » Jean LAURENT. UE/PAR LES CHANSONNIERS

■•E cherchais l'avis du sexe fort sur cet être charmant et protégé des dieux que l'on nomme « la femme ». Je voulais trouver en peu de mots, ce que l'on pense d'elle, ce que GRAND DANSEUR l'on peut lui reprocher, ce que l'on aime aussi; mais je tenais surtout à connaître ses travers; je demandais un peu de fran- ...PAR ACCIDENT chise, c'est tout. Les chansonniers, avec leur esprit, leur verve et leur sincérité habituelles, me semblaient PAR JENNY JOSANE tout indiqués. J'avoue que pour savoir quelques « mal- heureuses petites vérités », j'ai eu un mal terrible. Pourquoi ? mais parce que tous. Madame, vous ado- * rent et ne pensent que du bien de vous (du moins, c'est ce qu'ils disent). S'ils ne nous ont pas unique- PADOLINI vient de se produire sur diverses scènes ment « encensées » et couvertes de roses, c'est parce parisiennes, et chacun de nous a reconnu que nous que j'étais là pour les contraindre... à forcer leur- S avions là un grand danseur, mais un danseur d'un nature trop aimable. genre très personnel, différent de ceux que nous avions I l'habitude de voir; contrairement à beaucoup, il a su Tout Paris connaît cette fameuse rester viril, fort, " mâle " en un mot; si ses gestes sont pensée du chansonnier : « La femme est comme la harmonieux, ils sont avant tout énergiques, sauvages et rame de métro, il ne faut jamais courir après, il y en impétueux, sans aucune féminité ni mièvrerie, ce qui est a toujours une qui vient derrière. » Mais, je voulais quelque chose de nouveau, et j'ai recueilli ceci : « A rare. part ma femme, bien entendu (mesure de précau- Spadolini fut révélé au public d'une façon extraor- tion), je me suis toujours méfié des femmes en géné- dinaire. Un soir, il se trouvait avec des camarades ral, et de toutes en particulier. Mais quels que soient au bar du Grand-Hôtel de Villefrançhe-sur-Mer. les défauts qui nous les font haïr, leurs quelques (?f Le séjour au bar s'étant un peu prolongé, Spado- vertus nons les font adorer!... »* lini se trouvait d'humeur très gaie... L'orchestre attaqua les premières notes de la " Deuxième . . C'est un jeune, et avec la Kapsodie" de Liszt... Spadolini, en pantalon blanc sincérité de son âge, il m'a dit : « La femme? la et en sweater, se mit à danser... Bientôt, de meilleure et la pire des choses ! Il n'y a que celles qu bruyante qu'elle était, l'assistance se plongea dans ne vous aiment pas, qui soient charmantes, mais eelle qui vous aime est impitoyable et ne vous pardonne un silence religieux... Ce fut un triomphe. Sur rien. » — « Et c'est avec elle que l'on vit !» — « La l'heure, le directeur de l'Eldorado de Nice voulut poisse, quoi!... » Quelle scène, si Mme Grello lit l'engager. cela, brrr! — Mais je n'ai jamais appris à danser, répétait Spadolini, amusé. JAMBLAN. VOUS savez que Jamblan est un grand — Qu'importe, vous ferez ce que vous venez f nerveux, aussi je n'ai pas insisté lorsqu'il m'a dit de faire, et vous ne vous occuperez plus de rien ! ï simplement ceci : « Parler des femmes, ce serait dire 11 n'avait ni partition, ni costume, et c'est ainsi ] des rosseries. » Et pourquoi dire des rosseries? Elles qu'il débuta avec un drap de lit pour tout apparat, le font si bien elles-mêmes. il interpréta une danse antique et toute la poésie grecque qui s'en exhalait immatérialisa la salle en dé- JEAN CLARY. Il s'intitule chansonnier « France lire. Le soir même, il était engagé à Monte-Carlo Nouvelle » ; est-ce pour nous donner l'exemple, qu'il nous dit avec une certaine— franchise : « Je pense comme premier danseur, avec l'Opéra de Paris. Par la pour l'instant — car dans une heure, je ne sais ce suite, il apprit la technique même de la danse avec l'illus- que je penserai, étant donné que, pour les femmes, tre maître Volidine, le baromètre est toujours sur le variable — je pense Spadolini se refusa d'être un danseur. 11 est avant donc que chaque femme est jalouse, méchante, tyran- tout un excellent musicien, un passionné delà musique. Il nique, sans cœur, égoïste, combinarde (ouf!) ce qui, danse " par " et " pour " la musique. Lorsqu'il pré- d'ailleurs, ne m'empêche pas d'adorer les femmes. pare son numéro, il ne répète pas sa danse, non, i' Si « chaque » femme est détestable, « les » femmes écoute la partition, i! l'étudié, la décompose en quelque sont adorables. » que sorte, l'analyse note par note, des heures durant. Lorsqu'il la " possède " enfin, il est prêt à danser. RENE DORIN. « La femme? c'est l'être le plus charmant pour l'homme... quand elle pense la même La danse, dit-il, ne doit pas s'apprendre. On chose que lui. » Très court, mais plein de vérité et la sent, on la vit. " de bon sens. Elle est pour lui l'incarnation même de la musique. , Son " Evocation des Mers du Sud " est d'une puis- j « Les femmes, à dose... homéopathi- sance et d'une beauté remarquables. Son " Boléro " | que, sont le meilleur remède contre «la » femme. » de Ravel perd un peu de sa poésie nonchalante pour 1 Quelle profondeur, René Paul ! faire place à plus de puissance, plus de chaleur. C'est un spectacle vraiment magnifique, lorsqu'il f KO WCUXAKLCJ. < J'adore les femmes! Ce que entre cil scène, entièrement nu, auréolé de pourpre, 1 je leur reproche? D'abord de ne pas être des hommes, beau comme un dieu. Sa plastique, digne des ciseaux de | car, avec eux, au moins, on peut s'expliquer! Ensuite? Praxitèle, son corps bronzé font de lui une sorte d'ap- \ de s'habituer à tout, sauf aux habitudes des autres ! » parition à la fois impressionnante et mystique. Petites pensées pas bien méchantes au fond, et loin L'antiquité nous avait appris qu'il n'y avait pas de d'égaler celle de Cicéron : « S'il n'y eût pas eu de fem- vraiè beauté et d'harmonie sans l'exercice physique, mes, les hommes eussent conversé avec les dieux pratiqué dès l'enfance, maintenu intensément par la suit.:. eux-mêmes ! » Quelle modestie, Messieurs ! En ré- Grecs et Romains ont laissé dans l'histoire le souvenir ponse, écoutez donc cette histoire : La princesse de d'un peuple fort, robuste, rompu à tous les exercices Conti ayant un jour une vive querelle avec son mai' Spadolin1 semble une image vivante de cette époqu (qui ne cessait de formuler des reproches) lui dit passée. On retrouve dans sa stature la beauté et la rJ brusquement : « Je puis faire des princes de sang, bustessc, la souplesse et la force que les anciens sans vous, Monseigneur, et vous n'en pouvez faire sans moi! » Jenny JOSANE. liaient à leurs dieux. Tout jeune, au lycée, on lui découvert des aptitudes remarquables pour tous lesdB ns en plein air. Il devint bientôt champion de course^Hrcdr , PHOTOS SEBSE de plongeon, de saut en hauteur; ce fut et c'est eJ athlète complet. Chaque jour, il poursuit son cnJ afin de maintenir sa forme. Si Spadolini est unj un créateur, si, dans chacune de ses dansesj^yapparaît comme un jeune dieu ardent et passionné, tHr doit à sa formation corporelle, mais aussi à sa cultujSWl est artiste au sens le plus complet du mot. 11 est et JMBe avant toute chose un peintre dont les fresques murajijlftt les tableaux ont acquis une certaine célébrité. (NousJBorrons d'ailleurs apprécier ses toiles à leur juste valdjpr puisqu'il expose au Salon d'Hiver.}" La danse est violon d'Ingres. Nous regrettons que ce danseur souvent à Paris. Nous espéro tra chez nous le renom qu'ils capitales étrangères. Actuellement, quelques contrats l'clotgnent de Pans. 11 fera prochainement sa rejapre au Casino de Paris. Nous lui souhaitons lé succès qu'il mérite, succès qui sera comme un hommage à sa beauté, mais surtout à sa personnalité et à son talent.

PHOTOS PERSONNELLES ET PIA2 III

DANIELLE. CHEZ ELLE, REGARDE UNE DES MILLE PHOTOGRAPHIES QUI ONT ÉTÉ FAITES nnirS, QUEUE PATIENCE. POUR POSER SL

sœur. Franche, imaginative, rebelle à toute dis- cipline, ses notes en conduite restaient faibles... mais faibles, jusqu'au zéro intégral. Claudette ne la rachetait guère et Olivier plus tard, marcha sur les traces de ses aînées. C'est Danielle qui rompit le cercle enchanté des jeunes. Elle avait 14 ans à peine, quand, férue de cinéma, elle se présenta à Vandal qui cherchait une jeune fille pour son film " Le Bal ". Au moment où elle arrivait, il se rendait justement au studio. L'ayant regardée, il la prit par la main et l'emmena avec lui. Elle fit sur-le-champ un bout d'essai très satisfaisant. Elle obtint ainsi son premier rôle. Toute la famille assista à la projection du film avec un trac terrible. Mais elle avait gagné la partie. Depuis elle a été la vedette de 26 productions. Sa mère ne l'a jamais quittée. Claudette, devenue FEUILLY hautaine, automnale... Des Madame Huffenot de Senonges, vient d'emména- paisibles, silencieuses, dis- ger dans le même immeuble. Tout près du ciel ting— habite Olivier qui a fait ses débuts au cinéma Un immeuble neuf semblable cette année dans " Premier Rendez-vous " et au d'autres!... Mais si différwuT^'***!^^ théâtre dans " Le Joyeux Palais ". Au 2 e étage de cette singulière maison"1 " Quand un Darrieux rencontre un autre Darrieux, habite Danielle Darrieux. c'est qu'il se trouve dans la cité Darrieux. " Le premier est occupé par sa mère. Par la fenêtre, grâce à l'ascenseur ou dans Continuons ce voyage. Poussons jus- l'escalier, le frère va voir la sœur et la maman qu'au 3°. Nous trouvons alors Claudette, dit bonjour à son fils. La concierge a bien du souci ; la sœur de Danielle. si vous croyez que c'est commode de répartir Et ce n'est pas tout. par étage ce courrier des Darrieux. e Un bond. Hop I Jusqu'au 7 ! Cet immeuble est tout sonore de voix Darrieux, Voici le sourire d'Olivier Darrieux, qui plus mélodieuses les unes que les autres. Et les brûle de marcher sur les pas de sa glorieuse pauvres locataires qui n'ont point de chance de sœur du second. s'appeler Darrieux seraient les derniers à s'en La vedette de " Premier Rendez-vous " plaindre. a réuni là tous ceux qu'elle aime à portée... Lorsque Danielle sort du 7, elle n'a qu'un pas à d'ascenseur. faire pour se rendre au 9, où habite son meilleur Danielle Darrieux a toujours beaucoup ami. aimé les siens. Michèle NICOLAI. Son père était un docteur de Bordeaux. Sa mère resta veuve avec trois enfants et les éleva seule. Musicienne, elle donna des leçons de chant. Maintenant que la réussite est venue couronner ses efforts, elle peut s'adonner à la musique pour sa satisfaction personnelle. Elle chante du classique et a fait d'intéressantes confé- rences sur le chant. Danielle est son élève, mais elle, est loin d'être la meilleure, car elle travaille d'une façon décousue. Les trois enfants s'adoraient, se dispu- taient, se chamaillaient à longueur de jour- née et vivaient parfaitement heureux. VOICI LA FAÇADE DE "LA CITÉ DARRIEUX". L'aînée, Danielle, était le " costaud " PAS BESOIN DE TÉLÉPHONE INTÉRIEUR. la bande. Claudette est d'un an plus jeune et Olivier est né quatre années plus QUELQUES SIGNAUX OPTIQUES ET LA tard. Aussi la vedette en herbe, très COMMUNICATION EST ÉTABLIE AUSSI- garçon manqué, s'en donnait-elle à cœur TOT ENTRE DANIELLE ET SON FRÈRE, joie sur ce petit monde qu'elle dominait SOUS L'ŒIL AMUSÉ DE CLAUDETTE. de sa supériorité musculaire. Brusque, elle savait être aussi charmante et déjà féminine. MADAME DARRIEUX, LA MERE DE Lorsqu'elle jouait avec le petit Olivier à DANIELLE, OCCUPE LE \°T ÉTAGE. l'infirmière et au blessé — un de leurs ELLE CONSACRE DE LONGUES amusements favoris — elle était une infir- DANIELLE, HABILLÉE, SORT DE LA HEURES A LA MUSIQUE, CLASSIQUE mière pleine de douceur et de gentillesse, MAISON FAMILIALE... O COMBIEN I CELLE-LA. AVEC ELLE, DANIELLE RÉ- et soignait le blessé imaginaire avec des MAIS ELLE NE VA PAS LOIN, AU NU- gestes tendres. PÊTL" LES CHANSONS DE SES FILMS. MÉRO SUIVANT HABITE CELUI QUE Mais, d'autres fois, elle ne résistait pas MAIS C'EST UNE ÉLÈVE TROP à l'envie de lui infliger une de ces trempes LA CHANSON NOUS PERMET D'AP- RIEUSE ET UN PEU INDOCILE. ICI, qui comptent dans la vie d'un garçon! PELER "SON MEILLEUR AMI " OU BIEN LE MOBILIER EST CLASSIQUE AUSSI. Danielle fît toutes ses études avec sa "CELUI QUE SON CŒUR A CHOISI". LA GAINE BARBARA L Actualité VOUS FERA PERDRE 9 CM. EN 10 JOURS PAR JEAN LAURENT Conçue pour les 'vedettes dont vous aimez PETITS POTINS U Ts les jours 15 h., 80 h. PARIS-PARIS la ligne, sa fermeture Hollywood et son Hr Yves Mlrande s'amuse à bouleverser lès. A ^• Looatlon 11 h. à IB h. 30 NI NETTE NOËL AU THÉÂTRE MONTPARNASSE : " MARIE STUART", titres de film. Sur le Vieux-Port, l'aufire.' ROCSER NICOLAS tissu exclusif la rendent invisible et DE MARCELLE MAURETTE midi, il proposait la réalisation de deux DJANGÛ REINHARDT , ei les meilleures danseuses de Paris a mincissante. films «Pas de radis perdus», et «La fille.: mt Danielle VIGNEAU et ESPANITA On comprend que la vie multiple de Marie Stuart, poète, reine du Puy a tué ». QUINTETTE du HOT CUIS DE FRANCE GISÈLE DEVILLARS et femme, ait tenté le talent si humain de Marcelle Maurette... jr Dans ce bureau de poste, proche de la' et un formidable programme Pavillon de l'Elysée. Anj.ss-io et 29-60 Ninetie NOEL L'épouse-enfant de François II, qui écrivit ees vers célèbres, en vue BON GRATUIT Gare St-Lazare, les employés avaient ins- de MUSIC-HALL des côtes de France, sur le vaisseau qui la conduisait en Ecosse : crit leur nom au-dessus des guichets. Voilà Adieu, plaisant pays de France, de l'honnêteté professionnelle. Le passant offert aux lectrices de ce journal pour rece- O ma patrie, n'aura plus devant lui l'administration ano- voir le luxueux catalogue et la Brochure : nyme, mais un monsieur qui offre son nom A L. H A M B R A SHÉHÉRAZADE La plus chérie, en cas de réclamation, de protestation ou de SO, rue de Malte, 50 FAMEUX CABARET Qui a nourri ma jeune enfance ; LES SECRETS D'HOLLYWOOD suggestion. GEORGIUS Adieu, France ! adieu mes beaux jours ! BARBARA-SVELTINE 27, Ballu, PARIS ir Rencontré Suzanne Desprès dans une JDe 22 It. a i'awtoe. demeure une des figures les plus vivantes de l'histoire. r. grande brasserie de la Place Blanche. Elle CHARLOTTE DAUVIA Mais le découpage de la pièce est moins adroit que le choix de est venue à Paris pour veiller à la succession (Serv. 125). (Joindre 3 timbres pour frais) Hci. ROBERT 3 , rue de Liège - Tri. 41-68 l'héroïne ; c'est un découpage de cinéma ou de réalisation radio- de Lugné-Poé, qui fut son mari. EMILE PRUD'HOMME OUVERT DE 14 H. 30 A 19 HEURES et son Orchestre a»ec JEAN PATARD phonique. Nous sommes dans la grande salle du château de Fothe- Mélro : Blanche ou Clichy. it Bientôt, Speicher, Lopébie, Ignat et Ter- ringhay : c'est là que Marie Stuart va être jugée et condamnée a reau, sur une scène de music-hall... (Mais être décapitée à la hache... L'unique décor représente la chambre Robert Burnier fait de la bicyclette au trois, E Théâtrale Milton fera peut-être ses nouveaux débuts CARRERE du Trône, ou plutôt un escalier recouvert de velours noir. Dans le au Vel' d'Hiv' et l'on précise encore que' LE PARNASSE ÏT>: THÉ - COCKTAIL - CABARET fond, on aperçoit le fauteuil d'apparat d'Elisabeth, qui, durant toutes Toto Crassin a renoncé à la scène.) Un petit 9, rue Delambre - Danton Si-Si ces heures tragiques, restera vide. Ainsi, la reine d'Angleterre, par guérite Jamois, c'est l'interprète idéale des hgures de teves, des tour et puis s'en vont... JACKfE ROIXS JACQUELINE MOREAU sa présence muette, présidera d'une façon invisible ce tribunal... Et personnages symboliques, mais non d'une femme qui. par .-munir * Daniel Cllivier, qui est mort cette semaine, au fur et à mesure que les accusations des juges de Marie Stuart chante et présente et TOUT UN PROGRAMME physique, épouse l'assassin de son jeune mari... COURS CINÉ - THÉÂTRE était le petit-fils de Liszt et le fils d'Emile' se préciseront, nous les verrons vivre sous nos yeux par un procède Studios TSLoël Ollivier, ministre de Napoléon III. Musique-, un programme de grande classe DE CHOIX J. MOREAU Pierre Renoir prête à Bothwell son autorité; on sent en lui un 'un qu'au cinéma on appelle « un fondu », et qui permet aux spectateurs chef craint et admiré. On comprend que sa franche brutalité politique... Tout cela avait fait l des plus, SON ORCHESTRE DYNAMIQUE Jackip ROI //. FjitboUrtpHt-Màrlin - Botj, Sr-rS MIHALESCO subtils avocats de la cour d'appel. de feuilleter dans un fauteuil les épisodes les plus marquants de exerce sur les femmes un pouvoir étonnant... Renoir s'est fait CULTURE PHYSIQUE ■k Vlominck a terminé son premier roman.... SJA VIE PARISIENNE la vie de Marie Stuart. une tète de Franz Hais, une tête d'aventurier, amateur (l'aven- DOUCHES - MASSAGES C'est une construction scénique assez curieuse, mais décevante tures, dont les amours sont aussi célèbres que les victoires. 35, RUE BALLU - TRI. 40-12 C'est le « Mort de Mindrus » qui va paraî- " 20, RUE CUJAS chez •M DANSF.S CI. \SSIQUE9, RYTHMIQUES ire bimtôt. dans sa réalisation ; car toute la soirée, nous voyageons de l'Ecosse J'ai beaucoup aimé Paul Delon, personnifiant le pauvre petit QUART. LATIN 0«. 89-22 ■| ACROBATJK, CLAQUETTES * Jean-Louis Barrault sera Berlioz, et Renée- SUZY SOLIDOR à l'Angleterre, et de l'Angleterre à l'Ecosse dans le même décor... Darnley. assassiné par Bothwell : sa, lâcheté, sa jalousie enian- DE 20 HEURES A I HEURE DU MATIN M PREPARATION AU MUSIC-HALL Saint-Cyr, la femme de Berlioz. Il y aura eni HENRI B R Y Et je défie le spectateur ignorant la vie et la mort de Marie Stuart ! tine, son manque de noblesse, ses colères et ses désirs ne font m &EGLAGB DE NUMEROS, etc. LA BIBLIOTHÈQUE scène Delacroix, Sainte-Beuve et Victor Hugo. de suivre ces rapides tableaux dans cet unique décor, qui n'est pas qu'éloigner de cet enfant rageur Marie Stuart-, dont l'amour pour "PARIS EN SWING" CHRISTIAN! NERE elc„, W \ ( Phcrmtnt (Usure aux èlèrti ) N'est-ce pas une bonne idée de ressusciter fait pour éclairer la lanterne du bon public. lui s'est éteint aussi vite qu'il avait flambé.

UN AN (52 N0' 180 Fr. (MISSION RECOMMANDEE PRIX DE L'ABONNEMENT EMISSION RECOMMANDEE 6 MOIS (26 N 95 Fr. 12 heures. Lei enfante chantent, (MISSION RECOMMANDEE JEAN I! par Jaboune. 19 h. 2 0. Emission lyrique : Manon. 17 heures. Lo |azz Jo Bouillon. LA PRÉSENTATION DE « VEDETTES » EST RÉALISÉE PAR POÈME : KasT i 3f ^yîTTaaai PHOTO EXTRAITE OU FILM J. ROBICHON ET G. JALOU. JOLI L E CHAPEAU OUI M' EMPECHA D E La reproduction de tous textes ou documents pho- VOIR L A PîêCEIt!" Le gérant : R. RÉ GAME Y. tographiques, paraissant dans "VEDETTES ' Imprimerie E. Desfossés-Néogravure, 1", rue Fond; ry, Pa est strictement interdite sauf ouiori salion de la Direction leewQMgMWOMweiv ■ ■ m—tnwet Cette semaine, dans votre cinéma, CINËMOWPE ne manquez pas d'aller applaudir Coin Gds Bouinvards "Ei*r Tél. i HROvence 01-20 R et 4, CHAUSSÉE-D'ANTIN, 4 A I M U F E R N A N D E L avec dans André Baugé, les Concetts Pasdeloup, etc. Josette DAY, Un spectacle digne de Paris... S Ernest le RebelleLS dit Alain Laubreaux dans " Le Petit Parisien"

STUDIO BERTRANO ft™™™™. LA FILLE DU PUISATIER Mtftro Marbeut Ou 5 au II Novembre un film de Marcel PAGNOL *« FARIBOLES " CRIME ET CHATIMENT Robert Robin et Roger Caccia avec avec PIERRE BLANCHAR - HARRY BAUR avec Georges GREY,TRAMEL RogerCACClA - CHESTERFIELD"| Tous les jours sauf Mardi, Mal. 15 h. Soir.20 h. 30 Dimanche perman. 14 h. 30. Garage bicyclettes et CHARPIN . ^e^jôur^TôTrT^n^L^^âTjeTîdÎT CÀCC'A samedi 15h, Dim., 14 h. 30 et 17 h

CINÉ-OPÉRA NORMANDIE 32, AVENUE DE L'OPÉRA - Tél. : OPÉra 97-52 = Bouffes-Parisiens = Elvire POPESCO et Jean MAX Nuit de Décembre ? LE CROISEUR SÉBASTOPOL La Ligne d'Horizon LE TRIOMPHE DE PIERRE BLANCHAR Pièce en 2 actes de M. Serge ROUX avec RENEE SAINT-CYR un film de feu, d'amour et de sang. T. 1, j. sauf lundi 20 h. Sam. Dim. et fêtes à lSh,

48, Bou). do n 4e. CIPIp Du 5 au U Strasbourg *• xm*-4M«T_" JHL4 Novembre MOULIN-ROUGE THÉÂTRE ST-GEORGES Un grand film francnlM Inédit Je ne te connais plus Face siu Destin Emil Jannings actes gais de Roger Ferdinand avec JULES BERRY, GEORGES RIGAUX LE PRESIDENT KRUGER d'après A. de Benedetti. JOSSELINE GAEL La tragédie d'un peuple ! La soif de l'or ! ;oirée 20 h. Matinée Sam. Dim. ISh. SI, r. St-Georges - Loc. TRU. 63-47. LE PANTHÉON 13, r. Victor-Cousin, Odé. 15-04 = G AI TE-LYRIQUE = Du 5 au 11 Novembre (O LYMPIA) TOUS LES SOIRS, 18 h. 45 - BAT. JEUDI, SAMEDI, DIMANCHE A14 h. IS HARRY BAUR dans TRIOMPHE DE L'OPÉRETTE FRANÇAISE ROIS VALSES avec YVONNE PRINTEMPS L'AUBERGE QUI CHANTE et PIERRE F R E S N A Y L'ASSASSINAT DU PÈRE NOËL AVEC SA DISTRIBUTION ÉCLATANTE Ballets éblouissants .;:- Attractions sensationnelles

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