Mardi 10 Juin 1975

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

Mardi 10 Juin 1975 ** Année 1975. — N" 36 S. Le Numéro : 0,50 F Mercredi 11 Juin 1975 ** JOUR NAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE • DÉBATS PARLEMENTAIRES SÉNAT COMPTE RENDU INTEGRAL DES SEANCES Abonnements à I'Edition des DEBATS DU SENAT : FRANCE ET OUTRE-MER : 16 F ; ETRANGER : 24 F (Compte chèque postal : 9063-13, Paris.) DIRECTION, REDACTION ET ADMINISTRATION Renseignements : 579.01-95 Téléphone 26, Rue Desaix, 75732 Paris CEDEX 15. Administration : 578-61-39 Le bureau de vente est ouvert tous les jours, sauf le dimanche et les jours fériés, de 8 h 30 à 12 h et de 13 h à 17 h. SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1974-1975 COMPTE RENDU INTEGRAL — 25e SEANCE Séance du Mardi 10 Juin 1975. Suites données au « rapport Sudreau b sur la réforme de l'entre- SOMMAIRE prise : Question de M. Jean-Pierre Blanc. — MM. Jean-Pierre Blanc, le PRÉSIDENCE DE M. ANDRÉ MÉRIC secrétaire d'Etat à l'action sociale. Suppression du Vendredi Saint comme journée fériée en Alsace 1. — Procès-verbal (p. 1370). et en Moselle : MM. Pierre Schiélé, Maurice Schumann. Question de M. Louis Jung. — M. Louis Jung, Mme Annie Lesur, secrétaire d'Etat à l'éducation. 2. — Excuses (p. 1370). Aide à l'élevage bovin : 3. — Questions orales (p. 1370). Question de M. Jean-Pierre Blanc. — M. Jean-Pierre Blanc, Mme le de la mer : secrétaire d'Etat à l'éducation. Conférence de Genève sur le droit Amélioration de la situation matérielle des conseillers généraux : Question de M. Francis Palmero. — MM. Francis Palmero, Ber- Question de M. Francis Palmero. — MM. Francis Palmero, Michel nard Destremau, secrétaire d'Etat aux affaires étrangères. Poniatowski, ministre d'Etat, ministre de l'intérieur. l'égard des investissements étrangers et des entre- Politique à Plans d'aménagement rural : prises multinationales : Question de M, Kléber Malécot. — MM. Kléber Malécot, le minis- Question de M. Pierre Schiele. — MM. Pierre Schiélé, le secré- tre d'Etat. taire d'Etat aux affaires étrangères. Répartition des crédits du Fonds européen de développement Exercice de la profession de psycho-rééducateur : régional : Question de M. Maurice Pic. — MM. Maurice Pic, René Lenoir, Question de M. Jean Cluzel. — MM. Jean Cluzel, le ministre secrétaire d'Etat à l'action sociale. d'Etat. Réduction de la mortalité infantile : Aide aux producteurs de fruits et légumes sinistrés du Sud-Est: Question de M. Paul Caron. — MM. Paul Caron, le secrétaire Question de M. Jean Francou. — M. Jean Francou, Mme le secré- d'Etat à l'action sociale. taire d'Etat à l'éducation. Suspension et reprise de la séance. * (2 f.) 38 1370 SENAT — SEANCE DU 10 JUIN 1975 Personne n'est à blâmer sauf nous-mêmes et peut-être me PRÉSIDENCE DE M. ALAIN POHER permettrez-vous de signaler au passage les conditions tout à fait anormales dans lesquelles nous' sommes actuellement appelés 4. — Communication du Gouvernement (p. 1380). à travailler. 5. — Débat sur une déclaration de politique générale du Gouver- M. le président. Je vous donne acte, monsieur Schumann, de nement (p. 1381). votre déclaration. Il n'y a pas d'autre observation ?... MM. Jacques Chirac, Premier ministre ; Louis Gros, Mme Marie- Le procès-verbal est adopté. Thérèse Goutmann, M. Max Monichon. PRÉSIDENCE DE M. ETIENNE DAILLY — 2 -- MM. Pierre Marcilhacy, André Fosset. EXC USES PRÉSIDENCE DE M. ALAIN POHER M. le président. M111. Gaston Pams et Pierre Brun s'excusent de ne pouvoir assister à la séance. M. Marcel Champeix. Suspension et reprise de la séance. — 3— MM. Jacques Pelletier, Pierre-Christian Taittinger, Guy Petit, Marcel Gargar, Francis Palmero, Geoffroy de Montalembert, Jean QUESTIONS ORALES Legaret, Georges Marie-Anne, Pierre Jourdan. Suspension et reprise de la séance. M. le président. L'ordre du jour appelle les réponses à des questions orales sans débat. M. le. Premier ministre. Clôture du débat. CONFÉRENCE DE GENÈVE SUR LE DROIT DE LA MER • Explications de vote : MM. Pierre Carous, Roger Gaudon, André Fosset, Philippe de Bourgoing, Jacques Pelletier, Max Monichon. M. le président. La parole est à M. Francis Palmero, pour Approbation, au scrutin public, de la déclaration du Gouver• rappeler les termes de sa* question n° 1614. nement. M. Francis Palmero. Je demande à M. le ministre des affaires M. le Premier ministre. étrangères de vouloir bien exposer les résultats de la récente 6. — Dépôt du rapport annuel de la commission de - surveillance conférence de Genève sur le droit de la mer. de la Caisse des dépôts et consignations (p. 1428). M. le président. La parole est à M. le secrétaire d'Etat. 7. — Transmission d'un projet de loi (p. 1428). M. Bernard Destremau, secrétaire d'Etat auprès du ministre des affaires étrangères. Monsieur le président, mesdames, mes- 8. — Transmission d'une proposition de loi (p. 1428). sieurs les sénateurs, l'importance de la participation à la session 9. — Dépôt de rapports (p. 1428). de Genève de la troisième conférence des Nations Unies sur le droit de la mer a été à la mesure de son enjeu ; sur 150 Etats 10. -- Ordre du jour (p. 1429). officiellement invités, 146 avaient décidé de s'y faire repré- senter. Certains commentateurs n'ont pas manqué de rapprocher l'in- térêt ainsi marqué par les différents gouvernements pour les PRESIDENCE DE M. ANDRE MERIC, problèmes de la mer et la minceur des résultats concrets obte- nus après huit semaines de travaux pour porter des jugements vice-président. pessimistes sur les progrès accomplis. - Une telle conclusion paraît excessive, car la session a permis La séance est - ouverte à dix heures cinq minutes. d'élaborer une méthode de travail qui pourrait permettre de progresser ultérieurement. M. le président. La séance est ouverte. A l'inverse de ce qui s'était passé l'an dernier à Caracas, il n'y a pas eu de débat général en séances officielles. La plupart des réunions des trois grandes commissions se sont tenues à huis - 1 - clos tandis que se multipliaient les groupes de travail, tant dans PROCES-VERBAL ' le cadre de la conférence qu'en marge de celle-ci. L'autonomie des trois commissions, l'inégal degré de prépa- ration auquel elles étaient parvenues ainsi que la personnalité de M. le président. Le procès-verbal de la séance du vendredi leurs présidents expliquent qu'elles aient chacune organisé leur 6 juin 1975 a été distribué. travail de manière différente. M. Pierre Schiélé. Je demande la parole. A la première commission, chargée de rédiger la réglementa- tion applicable à l'exploration des grands fonds marins et à M. le président. La parole est à M. Schiélé. l'exploitation de leurs ressources naturelles, le travail s'est pour- M. Pierre Schiélé. Monsieur le président, j'ai une rectification suivi selon une méthode déjà utilisée tant à Caracas qu'au à apporter au procès-verbal de la dernière séance. Je constate, comité des fonds marins.- La discussion s'est engagée sur des en effet, à la page 1361 du Journal officiel, à propos du renvoi textes établis par le président du groupe de travail et censés de la discUssion d'une proposition de loi, que j'aurais demandé représenter une base d'accord possible. La deuxième commission, compétente pour tous les aspects ce renvoi à une séance ultérieure. Je souhaite que cette phrase généraux du droit de la mer — eaux territoriales, détroits, îles, soit supprimée du procès-verbal car il n'en est rien. archipels, plateau continental, zone économique, etc. — a préféré M. le président. Je vous donne acte de votre déclaration, constituer des groupes de travail sur chaque sujet particulier monsieur Schiélé. La prochaine conférence des présidents statuera afin de réduire le nombre des variantes figurant dans une volu- sur cette affaire. mineuse compilation établie à Caracas. La méthode n'a paS été infructueuse. Sur quelques points M. Maurice Schumann. Je demande la parole. spécifiques — lignes de base, baies historiques, certains aspects M. le président. La parole est à M. Schumann. du régime de la haute mer — il a été possible de Mettre au point des formules recueillant l'accord de tous. M. Maurice Schumann. Monsieur le président, dans la discus- Quant à la troisième commission, dont le mandat comporte la sion du projet de loi modifiant et complétant certaines dispo- pollution, la recherche scientifique et le transfert de la techno- sitions de procédure pénale, sur le scrutin n" 89 relatif aux logie, elle a jugé préférable de former des groupes restreints trois premiers alinéas de l'amendement n' 6, mon collègue chargés de mettre au point des textes de compromis à partir M. Auburtin et moi-même avons été portés comme ayant voté des projets d'articles officiellement déposés par les délégations. contre alors que nous souhaitions voter pour. La multiplicité des groupes et la diversité des méthodes Nous portons, je le reconnais, la responsabilité de cette ont également caractérisé les réunions officieuses qui se sont erreur. M. Auburtin était retenu à la commission des lois tenues en marge de la conférence. et je participais moi-méme, à l'intérieur du palais, à un colloque Comme lors des précédentes cessions, les pays ayant des affi- en vue de la préparation d'un prochain débat. Nous sommes nités politiques, geographiques, économiques ou idéologiques donc arrivés trop tard pour voter conformément à notre désir. n'ont cessé de se réunir au cours de ces huit semaines, qu'il SENAT — SEANCE DU 10 JUIN 1975 1371 s'agisse, par exemple, des 77 — qui sont en réalité 105 — des Aussi un des moyens d'accélérer le processus serait-il, à notre pays privés d'accès à la mer ou désavantagés à un autre titre sens, de chercher à régler de tels problèmes par voie bilatérale par la géographie ou, bien entendu, des Etats membres de la ou régionale.
Recommended publications
  • Download (515Kb)
    European Community No. 26/1984 July 10, 1984 Contact: Ella Krucoff (202) 862-9540 THE EUROPEAN PARLIAMENT: 1984 ELECTION RESULTS :The newly elected European Parliament - the second to be chosen directly by European voters -- began its five-year term last month with an inaugural session in Strasbourg~ France. The Parliament elected Pierre Pflimlin, a French Christian Democrat, as its new president. Pflimlin, a parliamentarian since 1979, is a former Prime Minister of France and ex-mayor of Strasbourg. Be succeeds Pieter Dankert, a Dutch Socialist, who came in second in the presidential vote this time around. The new assembly quickly exercised one of its major powers -- final say over the European Community budget -- by blocking payment of a L983 budget rebate to the United Kingdom. The rebate had been approved by Community leaders as part of an overall plan to resolve the E.C.'s financial problems. The Parliament froze the rebate after the U.K. opposed a plan for covering a 1984 budget shortfall during a July Council of Ministers meeting. The issue will be discussed again in September by E.C. institutions. Garret FitzGerald, Prime Minister of Ireland, outlined for the Parliament the goals of Ireland's six-month presidency of the E.C. Council. Be urged the representatives to continue working for a more unified Europe in which "free movement of people and goods" is a reality, and he called for more "intensified common action" to fight unemployment. Be said European politicians must work to bolster the public's faith in the E.C., noting that budget problems and inter-governmental "wrangles" have overshadolted the Community's benefits.
    [Show full text]
  • Journal De La Corse Doyen De La Presse Européenne L’Hebdomadaire De Défense Des Intérêts De L’Île Depuis 1817 a C I S R O C
    Journal de la Corse Doyen de la presse européenne L’hebdomadaire de défense des intérêts de l’île depuis 1817 a c i s r o c . e s r o c a l e d l a n r u o j . w w w | 0 2 0 2 e r b m e c é d 7 1 u a 1 1 u d e n i a m e S e 0 0 0 2 , 2 Création 2 Politique . 2 F - 1 Question corse Pierre Gambini et les 4 0 2 0 1 2 1 2 ° 0 N 7 - l’énigme Giscard arts numériques 7 9 9 9 9 7 7 2 2 8 R 7 3 SOMMAIRE N°11241 | semaine du 11 au 17 décembre 2020 | www.journaldelacorse.corsica Société d’édition : Journal de la Corse Agenda/Brèves 4 2 rue Sebastiani - 20000 Ajaccio L’édito d’Aimé Pietri Rédaction : Politique 6 [email protected] A NOSTRA PREGHERA DI NATALE Question corse : l’énigme Rédaction Ajaccio : Giscard 2 rue Sebastiani - 20000 Ajaccio Eccu chi cala a notte di Natale nant’à i monti e le pianure, i campi e le fureste, i Tél : 04 95 28 79 41 fiumi e i ghjargali , i paesi e le cità di a nostr’isula tant’amata, una notte di pace Fax : 09 70 10 18 63 Invité 8 cume vuriamu ch’ellu ci ne fussi tante e tante ma chi ai tempi d’oghje so’ disgra - Paul Cuttoli élu président du Rédaction Bastia : ziatamente scarse cume i fiori a mezza neve.
    [Show full text]
  • Crossing Into Eighties Overview 2012
    Crown Point Press Newsletter June 2012 The waterfall on Ponape, clockwise from front: Dorothy Wiley, Marina Abramovic, Joan Jonas, Daniel Buren, Chris Burden, and Mary Corse, 1980. Tom Marioni had named the conference “Word of Mouth” VISION #4. Twelve artists each gave a twelve-minute talk. Since LP records lasted twenty-four minutes, he had specified twelve-minute talks so we could put two on a side. Later we presented three records in a box. The records are white—“because it felt like we were landing from a flying saucer when we got off the plane in Ponape,” Tom remembers. The plane circled over what looked like a green dot in a blue sea, and we landed abruptly on a short white runway made of crushed coral with a great green rocky cliff at one end and the sea at the other. Against the cliff was a new low building. Shirtless workers in jeans hustled our bags from the plane into a big square hole in the building’s side, visibly pushing them onto a moving carousel. A man in a grass skirt and an inspector’s cap hustled us inside to claim them. The airport building was full of people, many in grass skirts, some (men and women) topless. CrOSSINg INTO THE EIgHTIES They clapped and whistled as we filed past. We learned later Escape Now and Again that word had circulated that we were an American rock group. In front of the airport was a flatbed truck with fourteen An excerpt from a memoir in progress by Kathan Brown white wicker chairs from the hotel dining room strapped On January 15, 1980, thirty-five artists and other art people, on the bed in two facing rows.
    [Show full text]
  • French on Paper, French at Heart? France Debates Citizenship and Belonging in the Fifth Republic
    French on Paper, French at Heart? France Debates Citizenship and Belonging in the Fifth Republic Gabriela Maryse Siegel Advisor: Prof. Alan Brinkley Second Reader: Prof. Lisa Tiersten Siegel 2 Table of Contents Introduction…………………………………………..………………………………….. 3 Chapter 1: Historical Overview………………………..………………….…….……….. 7 Chapter 2: France, Land of Immigration? ………………………..…………….….…… 24 Chapter 3: France’s Unresolved Colonial Past…………………………….…………… 37 Chapter 4: The Denial of a Multicultural France.……………………………….……… 49 Conclusion…………..……………….……….……………..……………….…………. 59 Bibliography…………..……………….…………………..……………..………….…. 63 Siegel 3 Introduction In 1986, the French government initiated a proposal to reform the Code de la Nationalité, the legislation addressing the acquisition of French citizenship. Though a number of different political parties submitted proposals, then-Prime Minister Jacques Chirac’s centre-right coalition led this initiative and pushed for measures that would have the effect of generally restricting eligibility for French citizenship. In particular, the government proposed to modify the process by which children born in France to immigrant parents could gain French citizenship. These reforms had come in the wake of a massive influx of immigrants in the second half of the twentieth century, many of whom came from North Africa but also elsewhere. As a new generation of young French men and women of immigrant heritage was coming of age, many in France began to raise questions about their inherent “Frenchness” and therefore place in French society and entitlement to nationality. According to proponents of the proposed amendments, by replacing the automatic right to citizenship through birth on French soil with an active process of application, these measures would ensure that only those expressing a desire to become French would receive citizenship.
    [Show full text]
  • L'entourage De Valéry Giscard D'estaing À L'elysée De 1974 À 1981 », Histoire@Politique
    Frédéric Tristram, « Un instrument politique mal assumé ? L'entourage de Valéry Giscard d'Estaing à l'Elysée de 1974 à 1981 », Histoire@Politique. Politique, culture, société, N°8, mai-août 2009. www.histoire-politique.fr Un instrument politique mal assumé ? L'entourage de Valéry Giscard d'Estaing à l'Elysée de 1974 à 1981 Frédéric Tristram Dans le flot d’études consacrées aux entourages politiques, celui de Valéry Giscard d’Estaing a été relativement négligé. Les raisons de cet oubli sont diverses. Elles tiennent à une certaine proximité chronologique et à la présence active, jusqu’à une date récente, de l’ancien Président dans le débat politique national et européen. Elles sont également la conséquence de la réserve longtemps observée par les anciens conseillers, après une défaite de 1981 vécue souvent comme un traumatisme. Elles ressortissent, plus fondamentalement, à la difficulté de cerner avec précision les contours d’un libéralisme français dont l’ancien Président a été la principale figure. Pourtant, l’entourage de Valéry Giscard d’Estaing présente des caractéristiques tout à fait originales. Celles-ci découlent d’abord d’un parcours politique en grande partie atypique. Valéry Giscard d’Estaing n’a en réalité occupé qu’un seul département ministériel, celui des Finances, mais sur une durée exceptionnellement longue, près de douze ans au total entre 1959 et 1974. Puis il a été élu très jeune président de la République, à l’âge de quarante-huit ans, sans bénéficier toutefois, comme ces concurrents gaullistes et socialistes, de l’appui d’un parti important et structuré. Ces circonstances n’ont pas été sans conséquences.
    [Show full text]
  • Mercredi 10 Juin 1992
    Année 1992. - No 45 S. (C. R.) ISSN 0755-544 X Jeudi 11 juin 1992 7 JUIN 1992 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIRECTION DES JOURNAUX OFFICIELS TÉLÉPHONES : 26, rue Desaix, 75727 PARIS CEDEX 15. STANDARD : (1) 40-58-75-00 ABONNEMENTS : (1) 40-58-77-77 TELEX 201176 F DIRJO PARIS 1).JOURNAL OFFICIEL SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1991-1992 COMPTE RENDU INTÉGRAL 32e SÉANCE Séance du mercredi 10 juin 1992 * * (1 f.) 45 1504 SÉNAT - SÉANCE DU 10 JUIN 1992 SOMMAIRE PRÉSIDENCE Article ler A (p. 1536) DE M. PIERRE-CHRISTIAN TAITTINGER MM. Xavier de Villepin, Ivan Renar, Albert Ramassamy, Etienne Dailly, Michel Dreyfus-Schmidt. 1. Procès-verbal (p. 1505). Amendement n° 13 de la commission et sous-amendement n° 16 rectifié de M. Henri Goetschy ; amendement n° 18 de M. Claude Estier. - MM. le rapporteur, Henri 2. Révision de la Constitution. - Suite de la discussion Gcetschy, Claude Estier, le garde des sceaux, Félix Ley- zour, Jacques Habert, Paul Girod, Paul Alduy. - Retrait d'un projet de loi constitutionnelle (p. 1505). de l'amendement n° 18 et du sous-amendement n° 16 MM. Jacques Larché, président et rapporteur de la com- rectifié ; adoption de l'amendement no 13. mission des lois ; le président. Adoption de l'article modifié. Discussion générale (suite) (p. 1505). Mme Hélène Luc, M. le président. MM. Paul Girod, Rodolphe Désiré, Mme Hélène Missoffe, Suspension et reprise de la séance (p. 1541) MM. André Fosset, Michel Poniatowski, Michel Dreyfus-Schmidt, le rapporteur, Maurice Couve de Mur- Articles additionnels après l'article ler A (p.
    [Show full text]
  • Le RPR Face Au Traité De Maastricht : Divisions, Recompositions Et Réminiscences Autour De La Dialectique Souverainiste », Histoire@Politique
    Jérôme Pozzi, « Le RPR face au traité de Maastricht : divisions, recompositions et réminiscences autour de la dialectique souverainiste », Histoire@Politique. Politique, culture, société, n° 24, septembre- décembre 2014 [en ligne, www.histoire-politique.fr] Le RPR face au traité de Maastricht : divisions, recompositions et réminiscences autour de la dialectique souverainiste Jérôme Pozzi La ratification du traité de Maastricht survient dans une famille gaulliste qui semble peu préoccupée – aussi surprenant que cela puisse paraître – par les questions européennes. Depuis l’échec de la liste de Défense des intérêts de la France en Europe (DIFE), conduite par Jacques Chirac et Michel Debré en 19791, le Rassemblement pour la République (RPR) et son président ont adopté un « profil bas2 » à l’égard de la construction européenne. Cet état de fait s’est traduit par une liste commune UDF- RPR aux scrutins européens de 1984 et de 1989, avec comme têtes de liste Simone Veil et Valéry Giscard d’Estaing. Par conséquent, le RPR est en quelque sorte dans une stratégie d’évitement, même s’il a fait ratifier l’Acte unique européen pendant la cohabitation (1987) et s’il affirme être favorable à la monnaie unique3. La signature du traité de Maastricht (9-10 décembre 1991 et 7 février 1992) qui prévoit l’Union monétaire européenne plonge donc le RPR dans l’embarras. Tout d’abord, un certain nombre de compagnons, y compris des figures de proue du mouvement, restent attachés à la défense de la souveraineté nationale, en droite ligne des conceptions gaulliennes. Ensuite, une position hostile à Maastricht de la direction du RPR risquerait de fragiliser la charte de l’Union pour la France (UPF) que le parti néogaulliste a signée avec l’UDF4 dans la perspective des élections législatives de mars 1993.
    [Show full text]
  • The Belgian National Front and the Question of Power
    The Belgian National Front and the question of power Pascal DELWIT Over the last twenty years several extreme right parties and right-wing populist parties have made a breakthrough in their national political system: the National Front in France, the Freedom Party (FPÖ) in Austria, the Progress Party in Norway, the Danish People’s Party, the Slovak National Party, the Social Movement-National Alliance and Northern League in Italy, the Republikaner Party in Germany, the Pim Fortuyn List in the Netherlands, etc. This (re)emergence has attracted the attention of the scientific community and numerous studies have been devoted recently to this new political phenomenon. What is the situation in Belgium? In Belgian and international scientific literature, the treatment devoted to the extreme right is important, but refers almost exclusively to a single political party: the Vlaams Belang, the former Vlaams Blok (Van Craen & Swyngedouw, 2002; Ivaldi & Swyngedouw, 2001; Swyngedouw, 2000; Spruyt, 1995; Billiet & De Witte, 1995), one of the most powerful extreme right groupings in Europe. On the other hand, the main French-speaking party of the extreme right is far less well-known and has been studied and analyzed far less frequently (Delwit, De Waele & Rea, 1998; Delwit, 2000; Faniel, 2000; Rea, 1997). This lack of knowledge about the Belgian National Front (FN) cannot be explained simply by its electoral and political marginality. A brief examination of its electoral results reveals in fact that the FN was and is in a position to achieve significant scores in the polls. At the last federal elections (2003), the National Front obtained more than 5% of the votes in Wallonia.
    [Show full text]
  • Jacques Stern President Directeur General, Bull in French 17 in English 23
    ::_··.*- ... _..:*:·::·:···· .... · : ' ... :.· .... ·.' ·.. ·. .. : . ·.· ·······••···.··• •. ** ** ·· ) EsPlUt coNFERENCE· WEEK ·.· ::·:.: ·: . ·:·: :*FOr.ufuIT •:-·: : :.:: .. :: :.:::-::.: ·:.- ·. · :· · · . :-·.·.:.·::::::·:···:·*·::.:*:.. ·:~.· ·.· ._:: .. ·.· Esprit Europe 1992 : Technology and Market Proceedings of the IT Forum at the 4th ESPRIT Conference Brussels 30 September 1987 Commission of the European Communities DG XIII:Telecommunications, Information Industries and Innovation c E c.·, X I ''I s-t / 4th ESPRIT Conference 1987: TH~T FORUM DAY Europe 1992 : Technology and Market Contents OPENING ADDRESS Karl- einz Narjes Vice- esident Commi ion of the European Communities In rman 1 In En ish 9 ADDRESS Jacques Stern President Directeur General, Bull In French 17 In English 23 BEYOND 1992 29 Mr. C.J. van der Klugt, President And Chairman of the Board of Management N.V. Philips' Gloeilampenfabrieken COMMENT 36 B. Haarder President, EEC Research Council THE SINGI:.E EUROPEAN ACT, 1992 AND ESPRIT Michel Poniatowski Chairman of the Committee on Energy, Research and Technology of the European Parliament ln_fr~nch 39 In English 43 ESPRIT IN 1987 47 Jean-Marie CADIOU Director Information Technologies- ESPRIT SUMMARY Mr Michel Carpentier, Director General of DG XIII, Telecommunications, Information Industries and Innovation In French 51 In English 59 INTRODUCTION TO THE AFTERNOON SESSION 66 Prof. N. Szyperski Chief Executive Mannesmann Kienzle GmbH MICROELECTRONICS TECHNOLOGIES 68 D. Grundy, Ferranti Electronics Ltd INFORMATION PROCESSING
    [Show full text]
  • The French Government's Financial Support for Poland, Between Cold
    Financial History Review . (), pp. –. © European Association for Banking and Financial History e.V. .ThisisanOpen Access article, distributed under the terms of the Creative Commons Attribution licence (http://creativecommons.org/licenses/by/./), which permits unrestricted re-use, distribution, and reproduction in any medium, provided the original work is properly cited. doi:./S The role of a creditor in the making of a debt crisis: the French government’s financial support for Poland, between cold war interests and economic constraints, - EMMANUEL MOURLON-DRUOL University of Glasgow In spite of considerable attention granted to sovereign debt failures, we still have limited knowledge of the incentives which induced creditors to lend at unsustainable levels. This article looks at the French government’s policy towards Poland from , when economic cooperation between the two coun- tries started, until Poland’s announcement in that it could not service its debt. Export credit guar- antees supported France’s financial involvement, and this implied the government’s strong influence on the decision to lend. This article brings out the tension between economic and political priorities in French policymaking during the cold war. Archival evidence reveals that as early as the French finance ministry warned that French risks were excessive; that Poland’s growing economic difficulties would render the country unable to repay its debts; and recommended limiting France’s financial com- mitments. The French government, however, decided not only to carry on but also to increase lending, in order to support its political objective of using economic and financial means to relax East–West ten- sions. This article illustrates how creditors play a part in sovereign debt crises by voluntarily turning a blind eye to a country’s growing inability to repay its debts, and thus reinforce a vicious circle of indebtedness.
    [Show full text]
  • The UDF Program—A Plan for Global Economic Growth
    Click here for Full Issue of EIR Volume 6, Number 13, April 3, 1979 .UROPE) The UDF progra m - a plan for global economic growth On Feb. 18, 1979, the Union for French Democracy the fact that the Turkish government of Prime Minister (UDF) Congress unanimously adopted a program Bulent Ecevit has been left in a lurch with no backing for which it will put forth in the European Assembly to be his attempt to reject an IMF dictatorship over his coun­ elected this June. The program calls for the creation of a try's economic affairs. Ecevit has, as a result, been for­ $100 billion plus fund for European and Third World ced to implement a domestic austerity package that con­ industrial development credits, as a special feature of the forms to all the major IMF recommendations, with the new European Monetary System (EMS). This program, exception that Turkey is not devaluing its currency. whose principal architect is French Foreign Trade Min­ Even certain Mexican authorities, previously very ister Jean-Fran�ois Deniau, ties together into one pleased with the prospects opened up by French Presi­ package the EMS, established, according to its cofoun­ dent Giscard d'Estaing's visit there on Feb. 28, are der, West German Chancellor Helmut Schmidt, as "the reportedly extremely distressed over the fact that seed crystal" of a new international monetary system, Europe is not aggressively pushing the EMS as the and the intensive bilateral and multilateral diplomatic alternative to the IMF. Mexico's doubts about whether efforts that Giscard's government has deployed over the France and Europe as a whole can deliver were formed past year especially to create the concrete foundations when the Group of 24 developing nations proposal for a for a new world economic order.
    [Show full text]
  • May, 1975 Itinerary of Vice Premier Deng Xiaoping's Visit to France from 12 to 17 May 1975
    Digital Archive digitalarchive.wilsoncenter.org International History Declassified May, 1975 Itinerary of Vice Premier Deng Xiaoping's Visit to France from 12 to 17 May 1975 Citation: “Itinerary of Vice Premier Deng Xiaoping's Visit to France from 12 to 17 May 1975,” May, 1975, History and Public Policy Program Digital Archive, Ministère des Affaires Etrangères, la Courneuve (MAE), Série Asie-Océanie, Sous-série Chine 1973-1980 (AO), 2174. Archival Reference Code (“Côte”): 752INVA/2174. Obtained and translated for CWIHP by Martin Albers and included in CWIHP e-Dossier No. 45. http://digitalarchive.wilsoncenter.org/document/118645 Summary: Itinerary for the visit of Deng Xiaoping, Vice Premier of the People's Republic of China, to France. Deng's visit includes meetings with Prime Minister Jacques Chirac and Foreign Minister Jean Sauvagnargues, as well as visits to a farm outside Paris and the Phenix nuclear reactor in Marcoule. Credits: This document was made possible with support from the Leon Levy Foundation. Original Language: French Contents: English Translation Visit to France by Monsieur Deng Xiaoping Vice Premier of the People's Republic of China Itinerary of the visit from 12 to 17 May 1975 (p.2) People accompanying the Vice Premier of the People's Republic of China M.QIAO GUANHUA, Minister of Foreign Affairs M.ZHENG TUOBIN, Director at the Ministry of Foreign Trade M.ZHU ZHUANXIAN, Director of the Protocol Department at the Ministry of Foreign Affairs Madame JI ZONGHUA, Assistant Director of the Department for West European Affairs
    [Show full text]