Les Rencontres De L'habitat Le 11 Avril 2003
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> Politique de la ville changer l'image des quartiers > Nouveau le parking-relais > Zénith cinq architectes en concours > Grand Dijon l'actualité des communes > L’ouverture par Monique Giroud et François Rebsamen de la 5ème journée d’étude de la FUBicy le 11 avril 2003 sur le thème « villes Les rencontres de l’habitat le 11 avril 2003 > cyclables, villes plus à Chenôve en présence de Claude Chalon, sûres ». directeur de l’ACEIF, Jean Esmonin, François Rebsamen et Hervé Vouillot. Le Grand Dijon Ahuy Chenôve Chevigny-Saint-Sauveur Daix Dijon Fontaine-lès-Dijon > Débat sur le contrat d’agglomération animé Longvic par Laurent Miguet, journaliste au Moniteur, zoomle 11 avril 2003 à Saint-Apollinaire en Marsannay-la-Côte présence de François Rebsamen, Pierre Pribetich, Rémi Delatte Neuilly-lès-Dijon et Gilbert Menut. Ouges > Perrigny-lès-Dijon Réunion d’information aux > 110 Maires concernés par la Réunion publique animée création d’un syndicat mixte par Jacques Fouillot et Plombières-lès-Dijon chargé de l’élaboration du Jean-Patrick Masson schéma de cohérence dans le cadre du territoriale le 20 février 2003 lancement du tri des au Palais des Congrès de Dijon Quetigny déchets ménagers en présence du Président et à Plombières des Vice-Présidents de la le 20 janvier 2003. COMADI, des Présidents de Saint-Apollinaire Communauté de communes et des Conseillers Généraux. Sennecey-lès-Dijon Talant >sommaire édito « La France Le Grand Dijon Actualités p.9-15 des Châtaignes et des Châteaux » Environnement, transport, économie, politique de la ville, habitat… l’action de la Communauté de l’agglomération dijonnaise au quotidien Cette formule de Jean-Pierre Fourcade, Maire U.M.P. de Boulogne-Billancourt, résume bien le débat actuel sur la réforme de la décentralisation qui annonce un Initiatives p.18 transfert de l’essentiel des compétences de l’Etat aux Madani Cheurfa : portrait du directeur départements et aux régions, au détriment des villes de Sciences-Po Dijon qui comptent pourtant plus de 80 % de la population. Qu’ils soient de droite ou de gauche, les Maires et d’une façon générale les élus des Conseils >dossier d’agglomération « reprochent aux Conseils généraux d’apporter une aide plus significative à la partie rurale p.4-8 des départements qu’à la partie urbaine, à cause de la surreprésentation des habitants ruraux dans leur Le tri des déchets électorat ». ménagers en 2003 Il faut donc de façon urgente s’interroger aujourd’hui sur une meilleure organisation des territoires. En supplément dans ce journal (pages centrales) : « Aujourd’hui le tri », la lettre saisonnière de la Aussi, je fais mienne la proposition des Maires de Communauté de l’agglomération dijonnaise Toulouse et de Bordeaux : au Département les zones rurales, au Conseil de l’agglomération les espaces urbains et périurbains, pour permettre La Communauté à votre service p.16-17 une gestion plus efficace car en phase avec les Le cimetière intercommunal, le transport des personnes à mobilité réduite : préoccupations directes des habitants de la Cité. explications et mode d’emploi En effet, dans des domaines aussi importants que l’action sociale qui concerne les habitants de nos villes à tous les âges de leur vie (de la petite enfance aux Vie des communes p.19-22 personnes âgées), comment mieux garantir l’égalité L’actualité dans votre commune des citoyens qu’en en conférant la responsabilité aux collectivités de proximité : les villes et l’agglomération. Rendez-vous p.23-24 Celles-ci ne doivent pas être les oubliées de la Sorties, fêtes, sport, culture… l’agenda des communes décentralisation. et de l’agglomération Le temps est donc sans doute venu de définir un bloc de compétences claires à chaque niveau de l’action publique, afin que l’agglomération occupe la place qui lui revient naturellement. Il faut faire entendre avec force ce message de progrès et d’égalité que porte aujourd’hui la Communauté de l’agglomération dijonnaise. Nous invitons tous les citoyens à s’exprimer en ce > mai - août 03 sens sur le sujet. 2 Directeur de la publication François Rebsamen > Rédaction et photographies Communauté de l’agglomération dijonnaise > Maquette - conception graphique François Rebsamen, Operationnelle Communication > Prépresse Temps réel > Impression Imprimerie Président de la Communauté Nationale > Distribution La Poste > Tiré à 120 000 exemplaires > Dépôt ISSN de l’agglomération dijonnaise 1639-6626 > Dépôt légal mai 2003. COMMUNAUTÉ DE L’AGGLOMÉRATION DIJONNAISE 1, rue Sainte-Anne - BP1529 - 21034 Dijon Cedex - 03 80 50 35 35 le Grand Dijon l mai-août 2003 l N°2 Pourquoi trier ses déchets ? D’ici la fin de Il existe au moins quatre grandes justifications l’année, tous les > au tri qui se met en place progressivement dans habitants de l’agglomération l’agglomération dijonnaise. dijonnaise a production de exponentielles de déchets nement constitue naturelle- trieront leurs déchets augmente coûtent de plus en plus cher. ment une bonne raison de Lsans cesse. En trente Le tri, qui permet de récupé- trier. Quand ils ne sont pas déchets. ans, elle a progressé de rer une partie de ces déchets triés, les déchets sont L’enjeu est 60 %. Regardez chez vous, pour leur donner une secon- entassés dans des déchar- dans votre cuisine : chaque de vie, est un moyen de ges ou brûlés… La première écologique, produit que vous achetez est limiter l’augmentation du solution est polluante, la certes, mais emballé et même sur- coût de traitement de nos seconde de plus en plus emballé ! La collecte et le ordures ménagères. coûteuse. Par ailleurs, le aussi traitement de ces quantités La préservation de l’environ- recyclage permet d’épargner économique. Il impose en tout Dossier cas une Le tri des déch implication de chacun dans sa vie quotidienne. Le tri, oui, mais comment ? La Communauté > Des consignes à suivre à la lettre de es habitants de l’agglo- (évitez si possible les traces l’agglomération mération sont invités d’aliments ou de corps gras). Là séparer trois types de N’oubliez jamais que vos dijonnaise se déchets : le verre, les embal- déchets recyclables sont triés mobilise pour lages et les autres déchets. à nouveau par des agents, ● Le geste consistant à isoler dans un centre de tri vous aider les bouteilles, pots et bocaux industriel pour séparer les à faire le bon en verre vides des autres matériaux selon leur nature. déchets est une vieille habi- autres quartiers, les habitants Ne leur rendez pas le travail geste. tude. Les premiers conte- sont invités à stocker leur insupportable ! Le Grand Dijon neurs à verre ont été installés verre et à le déposer dans les ● Le reste des ordures ména- dans l’agglomération dès points d’apport volontaire. gères (ou celles sur lesquel- vous fournit les 1980, tandis qu’à Dijon (hors ● Le bac à couvercle jaune les vous avez un doute) est à explications et le centre-ville) et à Chenôve, la dont sont munies chaque jeter dans les bacs à couver- collecte du verre par les maison et chaque immeuble cle gris : les reliefs de repas, mode d’emploi. ripeurs était traditionnelle- de l’agglomération est les couches-culottes, les ment assurée le mercredi destiné à recevoir les embal- tissus, les objets en depuis 1977. Dans ces quar- lages vides en carton, en plastique divers (jouets d’en- tiers-là, le ramassage porte- plastique ou en métal, ainsi fants, pots de yaourts), le à-porte est maintenu : les que les journaux et les maga- polystyrène, les bouteilles riverains sont équipés d’un zines. Les emballages doivent d’huile, les bris de vaisselle et bac à couvercle vert. Dans les être vides, bien égouttés les enveloppes à fenêtre. " 4 des ressources naturelles qui affaire de bon sens. Pourquoi ne sont pas inépuisables : le détruire ou entasser des pro- bois, le pétrole, le sable duits qui pourraient être enco- peuvent être parfois efficace- re fort utiles ? Pour assumer ment remplacés par des cet engagement en faveur du produits issus du recyclage. développement durable, les Le tri est une obligation élus de la Communauté ont légale. Il ne se discute donc voté l’augmentation de la taxe pas. La loi du 13 juillet 1992 d’enlèvement des ordures impose de ne placer en ménagères (la TEOM), cette décharge, à partir du 1er décision reposant sur une juillet 2002, que les pro- prise de conscience mondiale duits impossibles à recycler de la fragilité de notre (ce qu’on appelle les environnement dont la préser- déchets ultimes). Elle répond vation est devenue l’une de aux objectifs de la réglemen- nos missions fondamentales tation européenne. à l’adresse des générations Le tri est finalement une futures. " «Trions nos emballages aujourd’hui, nos enfants nous remercieront demain» ets ménagers en 2003 : avançons ensemble ! Généralisation du tri : la dernière ligne droite Tous les quartiers de l’agglomération seront concernés d’ici la fin 2003. Impossible de passer tout le dès ce printemps (Ahuy, Daix, AHUY monde au tri en même temps. Neuilly,Marsannay-la-Côte, Depuis novembre 2001, la DAIX Ouges, Perrigny, Plombières, Communauté de l’aggloméra- Sennecey et Talant), puis tion dijonnaise étend donc petit FONTAINE viendront, en juin et à la PLOMBIERES ST-APOLLINAIRE à petit la collecte sélective à l’en- TALANT rentrée, les derniers quartiers semble du territoire du Grand DIJON dijonnais (Clemenceau, Mirande, Dijon. Tout avait commencé, en QUETIGNY Montchapet, Victor-Hugo, fait, dès octobre 2000, sur deux Fontaine-d’Ouche, Grésilles, sites pilotes : Longvic et les quar- CHEVIGNY-ST-SAUVEUR Bourroches Valendons, Voltaire, tiers de la Toison d’Or. L’an Suquet et Colombière). En fin dernier, par tranches de 30.000 CHENOVE SENNECEY d’année, le centre-ville sera le LONGVIC à 40.000 habitants, de nou- dernier secteur à passer au tri : veaux quartiers et certaines MARSANNAY-LA-COTE NEUILLY la densité du bâti et le manque communes ont découvert les d’espace de stockage pour les er joies du tri.