EXPOSITION LE CINEMA EXPRESSIONNISTE ALLEMAND Splendeurs D’Une Collection Du 26 Octobre 2006 Au 22 Janvier 2007

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EXPOSITION LE CINEMA EXPRESSIONNISTE ALLEMAND Splendeurs D’Une Collection Du 26 Octobre 2006 Au 22 Janvier 2007 DOSSIER DE PRESSE EXPOSITION LE CINEMA EXPRESSIONNISTE ALLEMAND Splendeurs d’une collection du 26 octobre 2006 au 22 janvier 2007 EXPOSITION p2-8 LE CINEMA EXPRESSIONNISTE ALLEMAND Splendeurs d’une collection Ombres et lumières avant la fin du monde - Du 26 octobre 2006 au 22 janvier 2007 Exposition réalisée par la Cinémathèque française avec la collaboration de la Bibliothèque du Film et le concours du Ministère de la culture et de la communication et du Centre national de la cinématographie Avec le mécénat de En partenariat avec DE NOMBREUX EVENEMENTS AUTOUR DE L’EXPOSITION Ciné-concerts et ciné-mix événements (accompagnement musical en direct). p10-11 En partenariat avec OUI FM Programmation cinéma p12-28 Le cinéma expressionniste allemand du 26 octobre au 31 décembre 2006 Influences de l’expressionnisme du 6 novembre au 31 décembre 2006 Friedrich Wilhelm Murnau – Intégrale du 1 er au 26 novembre 2006 Un catalogue, en co-édition avec les éditions de La Martinière. p29 Un documentaire inédit sur l’expressionnisme allemand (60’). p30 Réalisé par Stan Neumann et produit par Arte et mk2 TV - Diffusion sur Arte le 3 novembre 2006 à 22h15. Des conférences : le Collège d’Histoire de l’Art Cinématographique dirigé par Jacques Aumont. p31-32 Des offres pédagogiques. p33-34 ANNEXE p35-38 Questions à Marianne de Fleury, Laurent Mannoni, Commissaires et à Dominique Brard, Scénographe. INFORMATIONS PRATIQUES p 39 VISITES GUIDEES DE L’EXPOSITION LES SAMEDIS ET DIMANCHES A 16H TARIF DES VISITES : Plein tarif - 10 € / Tarif réduit - 9 € / Moins de 12 ans - 5 € / Forfait Atout Prix - 7 € / Libre Pass - Accès libre Contact presse Cinémathèque française Elodie Dufour - Tél. : 01 71 19 33 65 - [email protected] Exposition Le Cinéma Expressionniste Allemand Splendeurs d’une collection du 26 octobre 2006 au 22 janvier 2007 Le choix de l’expressionnisme allemand comme thème d’une exposition temporaire s’est aisément imposé à la Cinémathèque française. Cette exposition s’inscrit à la suite de nos deux premières expériences, l’une consacrée aux Renoir, l’autre au cinéaste Pedro Almodóvar. Elle a été conçue dans le cadre de la célébration du 70 e anniversaire de la Cinémathèque, association privée fondée en septembre 1936 par Henri Langlois et Georges Franju. Chacun sait l’incroyable travail de collecte effectué au fil des ans par Langlois et ses amis, afin de constituer et enrichir l’une des plus belles collections d’objets, dessins, costumes, maquettes, affiches, appareils et documents liés au septième art. Historienne du cinéma, spécialiste du cinéma expressionniste allemand (elle est l’auteur d’un des livres majeurs sur le cinéma, L’Écran démoniaque , et d’un ouvrage important sur son ami Fritz Lang), complice de Langlois dès son arrivée en France en 1933 après qu’elle eut fui le régime nazi, Lotte H. Eisner fut l’artisan de cette collecte de pièces qui constituent le magnifique ensemble de la Cinémathèque française. Lotte Eisner survécut à Langlois, disparu en 1977, il y a donc tout juste trente ans. Celle qui fut pour Wim Wenders et Werner Herzog la conscience même du cinéma allemand en exil, le trait d’union indispensable et incontournable entre le passé glorieux des années 1920 et la renaissance des années 1970, par-delà le vide, que dis-je, l’abîme des années noires du nazisme, mourut à Paris en 1983. Inlassablement, obstinément, avec une intelligence et un grand sens pratique, Lotte Eisner sauva de la destruction ou de la dispersion de nombreux éléments se référant à l’une des plus belles périodes de création du cinéma mondial. Cela justifiait en soi cette belle exposition qui a été confiée à deux commissaires : Marianne de Fleury, en charge des collections muséographiques à la Cinémathèque, et Laurent Mannoni, historien du cinéma et directeur des collections d’appareils au sein de la Cinémathèque française, aidés de Dominique Brard, architecte et scénographe. Elle est une forme d’hommage aux « collecteurs », à ces pionniers sans qui il n’y aurait pas de traces de la grandeur passée du cinéma expressionniste. L’autre raison tient évidemment à la qualité, à l’originalité et à la beauté des pièces ou éléments accumulés tout au long des années Langlois. Tout en ayant une valeur artistique intrinsèque, chaque dessin, chaque maquette, chaque croquis ou affiche, renvoie à un univers formel, à un système de représentation, à une architecture esthétique très fortement marquée et imprégnée du thème ou du motif expressionniste. Les textes publiés dans ce catalogue nous éclairent sur l’origine même de ce courant esthétique et philosophique de la fin des années 1910 en Allemagne, qui toucha le cinéma après avoir touché les autres arts – théâtre, peinture, poésie, architecture. Les films les plus marquants ou emblématiques de l’expressionnisme, Le Cabinet du docteur Caligari (Robert Wiene), Nosferatu (Murnau), Metropolis , Le Docteur Mabuse ou Les Trois Lumières (Lang), Le Montreur d’ombres (Arthur Robison), Le Cabinet des figures de cire (Paul Leni), sont à leur manière travaillés par cette force obscure, cette distorsion symbolique, cette violence des effets, qui affecte chaque plan ou chaque scène d’un regard si étrange, enfanté par une sorte de chaos visuel, poétique et moral. Les objets et les formes, agrandis ou rapetissés, sont vus par le regard halluciné de l’art expressionniste, expression justement d’un cri de révolte contre une société en désordre. Qu’est-ce qu’une exposition sinon l’art singulier de montrer, de prendre par la main le visiteur et de faire remonter à la surface, jusque sous ses yeux, ce qui a été enfoui, oublié et que l’on croyait disparu ? Cette exposition, je l’espère, offrira aux visiteurs l’opportunité de (re)découvrir cette période légendaire du cinéma sous sa face cachée, et parfois la plus humble : celle des dessins, maquettes et décors effectués par des artistes brillants, ces « Filmarchitekte » qui travaillaient autrefois dans le cadre de ce vaste studio qu’était le cinéma allemand. Avec l’espoir de redonner au cinéma allemand toute sa splendeur, cette pléiade de dessinateurs et décorateurs mirent à contribution leurs talents, au service d’un art travaillé jusqu’au cauchemar par les pouvoirs de l’ombre et la lumière. Serge Toubiana Préface du catalogue de l’exposition, Le cinéma expressionniste allemand (Co-édition Cinémathèque française / Editions de La Martinière) Cf. page 29 2 GENERIQUE Exposition réalisée par la Cinémathèque française Avec la collaboration de la Bibliothèque du Film et le concours du Ministère de la culture et de la communication et du Centre national de la cinématographie Avec le soutien de En partenariat avec Cinémathèque française Claude Berri, Président Serge Toubiana, Directeur général Commissaires de l’exposition Marianne de Fleury Laurent Mannoni Conception Scénographie Atelier de l’Ile, Dominique Brard Chef de projet, Florence Waret Eclairage Stéphanie Daniel Audiovisuel Studio K Graphisme Thérèses Troïka Production Directrice de la production des expositions, Laurence Descubes Chargée de production, Béatrice Abonyi Audiovisuel Montage vidéo, Fred Savioz et Chaab Mahmoud Conception sonore, Chaab Mahmoud Travaux photographiques Stéphane Dabrowski Réalisation Agencement Volume International Eclairage SDEL Artec Audiovisuel Groupe ADN Graphisme Scanachrome Cadres Le Cadre d’Or Communication Responsable de la communication, Laurence Plon Attachée de presse, Elodie Dufour Catalogue Directeur de l’action culturelle, Bernard Benoliel Coordination, Sylvie Vallon 3 AU FIL DE L’EXPOSITION « UNE DES PLUS BELLES COLLECTIONS AU MONDE SUR L’EXPRESSIONNISME ALLEMAND » A l’occasion de ses 70 ans, la Cinémathèque française montrera pour la première fois au public quelques-unes des plus belles pièces de ses collections consacrées au cinéma expressionniste allemand. Plus de 150 dessins originaux, qui participent de près ou de loin à cet attrait du cinéma muet allemand pour l’architecture, le « démoniaque », la métaphysique, l’abstraction et les jeux de lumière. Parmi eux, on citera les dessins originaux réalisés par les plus grands décorateurs pour Caligari (Robert Wiene), Faust (F.W. Murnau), M le Maudit , Metropolis , Mabuse (Fritz Lang), L’Ange bleu (Joseph Von Sternberg), Le Cabinet des figures de cire (Paul Leni), La Rue sans joie (G.W. Pabst)… Chargée par Henri Langlois des collections non-film de la Cinémathèque française, Lotte Eisner, Allemande installée en France, effectue à partir de la Libération jusqu’à la fin de sa vie un énorme travail de collecte. Elle retrouve les principaux « Filmarchitekte » et obtient d’eux, grâce à son extraordinaire enthousiasme et son talent de persuasion, qu’ils confient leurs œuvres à la Cinémathèque française. C’est ainsi que Lotte Eisner parvient à rassembler la plus belle collection au monde qui existe actuellement sur les décorateurs du cinéma allemand. Cette exposition leur rend hommage. 4 PRINCIPES DIRECTEURS • Illustrer les caractéristiques du cinéma muet allemand : sa veine expressionniste avec ses différentes directions, notamment vers l’abstraction ; son incroyable style décoratif ; sa passion pour les jeux d’ombres et de lumière et la maîtrise dont il fait montre. Jamais réalisateurs, décorateurs, éclairagistes et chefs opérateurs n’ont travaillé avec autant de synergie, d’égalité, de respect mutuel. Le résultat de cette symbiose est unique. Peut-être à cause de la sacro-sainte «politique des auteurs», on oublie un peu trop facilement, aujourd’hui, le rôle d’un Erich Kettelhut, d’un Walter Röhrig, pour ne retenir que le génie de Fritz Lang ou de Murnau. • Révéler la beauté et la richesse déployées par les « Filmarchitekte » du cinéma allemand. • Comparer les dessins originaux – projets de décors – avec ce qui a été réalisé finalement par le cinéaste . Les comparaisons, obtenues à l’aide de projections de photos et de projections de films, sont passionnantes et éclairantes. Il existe d’une part des dessins incroyablement audacieux, extrêmement modernes, d’un expressionnisme le plus pur, qui paraissent à l’écran assez plats et décevants.
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