Les Rites Pré-Islamiques À Anjouan. Contribution À Une Étude Culturelle Des Comores Abderemane Bourhane
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Les rites pré-islamiques à Anjouan. Contribution à une étude culturelle des Comores Abderemane Bourhane To cite this version: Abderemane Bourhane. Les rites pré-islamiques à Anjouan. Contribution à une étude culturelle des Comores. Histoire. Université Sorbonne Paris Cité, 2017. Français. NNT : 2017USPCF044. tel-02079565 HAL Id: tel-02079565 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02079565 Submitted on 26 Mar 2019 HAL is a multi-disciplinary open access L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est archive for the deposit and dissemination of sci- destinée au dépôt et à la diffusion de documents entific research documents, whether they are pub- scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, lished or not. The documents may come from émanant des établissements d’enseignement et de teaching and research institutions in France or recherche français ou étrangers, des laboratoires abroad, or from public or private research centers. publics ou privés. Institut National des Langues et Civilisations Orientales École doctorale n° 265 Langues, littératures et sociétés du monde ASIEs EAD 4512 Thèse présentée par BOURHANE ABDEREMANE soutenue le 13 décembre 2017 pour obtenir le grade de docteur de l’INALCO Discipline : Sociologie, anthropologie Les rites pré-islamiques à Anjouan. Contribution à une étude culturelle des Comores Thèse dirigée par Jean-Aimé RAKOTOARISOA, professeur émérite des universités, INALCO Rapporteurs Gabriel RANTOANDRO, Professeur, Département d’Histoire, Faculté des Lettres et sciences humaines, Université d’Antananarivo, Madagascar Rabia BEKKAR-LACOSTE, Chercheure IRD / Université Paris 1 Sorbonne Jurys : Rabia BEKKAR-LACOSTE, chercheure IRD / Université Paris 1 Sorbonne Odile RACINE, professeur des universités, INALCO Jean-Aimé RAKOTOARISOA, professeur émérite des universités, INALCO Malanjaona RAKOTOMALALA, professeur des universités, INALCO Gabriel RANTOANDRO, professeur, Faculté des lettres et sciences humaines, Université d’Antananarivo Jean Marius SOLO-RAHARINJANAHARY, maître de conférences HDR, Université d’Antananarivo « Le passé est définitivement révolu et il n’y a plus moyen d’observer soi-même les évènements qui s’y sont passés. L’histoire n’est qu’un calcul de probabilité. Ce que peut faire l’historien est de se rapprocher d’une limite : la vérité historique » Jean VANSINA. DEDICACE A la mémoire de mon père Monye Amady Moukara dit « Laglassera » qui n’a malheureusement pu voir l’aboutissement de ce travail. A ma mère Bweni Hikima Charif qui a beaucoup souffert pour m’éduquer. A ma femme Bweni Maenfou Bent Ahmed et mes six enfants dont les privations ont permis l’aboutissement de cette étude. A mon frère Issa Amady dit Délégué et à ma sœur Mariama Amady dite Yasmine pour leur soutien de tous les instants. A mon cousin Daniel Ahmed (Café) et à son épouse Hadidja Maabadi pour leur affection et leur générosité. A mon cousin Nourdine Attoumani pour son aide précieuse tout au long de mes travaux. A Monsieur Jean Philippe LUCA qui m’a donné les moyens financiers pour continuer mes études en France en Maîtrise et en DEA. A son excellence Messieurs les Ambassadeurs de France auprès de l’Union des Comores : Monsieur Jean-Pierre LAJAUNIE, Luc HALLADE et Philippe LACOSTE pour la confiance qu’ils m’ont témoignée ainsi qu’à Mme Rabia Bekkar LACOSTE qui m’a soutenu énergiquement durant le parcours de ma thèse. Aux différents responsables de SCAC : Madame BAUER, Messieurs BRIGNOT, Pierre LAYE, David ANDREVOND et Madame Laurence ARNOUX qui m’ont octroyé des bourses d’études et Monsieur Weiss, Consul de France à Anjouan, quia facilité mes recherches à Mayotteen m’octroyant un visa de circulation. A la mémoire de mon cher ami Sudel FUMA (Université de la Réunion) qui lors de nos différentes rencontres à Moroni et à Marseille n’a cessé de m’encourager à terminer ma thèse. 4 REMERCIEMENTS Depuis que j’ai entrepris ce travail, il y a 27 ans, de nombreuses personnes m’ont aidé (aux Comores, en France, à Madagascar et à la Réunion), chacun à leur façon mais toujours avec beaucoup de disponibilité et de bienveillance. Ma reconnaissance va d’abord, d’une part au Professeur Claude Allibert, mon directeur de recherche. Il m’a, depuis 1995, encouragé et guidé dans mes travaux de Maîtrise et de DEA. Il m’a également offert un soutien matériel et moral pendant de longues années. Ma dette envers lui est immense. Et d’autre part aux professeurs Jean Aimé Rakotoarisoa mon directeur de thèse qui n’a pas ménagé ses efforts pour me conseiller et me guider tout au long de mes travaux ainsi que le professeur Narivelo Rajaonarimanana qui a accepté de me recevoir dans le nouveau laboratoire de L’INALCO (le C.R.O.I.M.A.), rue de Lille. Ma gratitude va également aux enseignants Narivelo Rajaonarimanana (INALCO), Malanjaona Rakotomalala (INALCO), Brigitte Rasoloniaina (INALCO), Mohamed Chamanga (INALCO), Ursula. Baumgardt (INALCO), M. C. Simeone-Senelle (CNRS), Jean-Claude Penrad (EHESS), Aziza Aboubacar (INALCO) qui m’ont constamment soutenu dans les différentes étapes de mes travaux en Master 1 et 2.Je garde toujours les souvenirs de leur enseignement. A Noêl Gueunier qui a été toujours généreux de sa bibliothèque grâce à laquelle j’ai pu réaliser l’analyse de mes données en Maîtrise et en DEA. En France, je dois beaucoup à mon cousin Daniel Ahmed (Café), non seulement il m’a appris tout ce qu’il savait sur l’ordinateur, mais aussi, il m’a beaucoup aidé, durant des nuits et des nuits, à la transcription en comorien et à la traduction en français des thèmes littéraires ainsi qu’à son épouse, madame Hadidja Maabadi « ma mère » qui a accepté de m’héberger et m’a soutenu financièrement et moralement durant mes deux années d’études en Master. Je leur remercie de tout mon cœur. Mes remerciements s’adressent aussi à Madame Saoundia et son mari Attoumani Nourdine pour leur soutien et leur indéfectible affection ainsi que Bounoul Hatoib Ahmed (Chaîri), Kamal Nomane, Mohamed Attoumane, Abdillahi Ibrahim (Prince), Ahmed Ben Cheikh, Said Abdouroihmane, au feu Ahmed Ben Ali ainsi qu’à leurs femmes respectives, à tous mes cousins de Meaux, à Madame Fatima Boyer (Nice) présidente de l’Association Collectif du patrimoine des Comores pour son soutien moral, financière et son encouragement ainsi qu’ à Madame Julienne Ahmed Bacar, qui chaque matin me téléphonait de Toulon pour demander de mes nouvelles, et ceci, jusqu’à son départ à Madagascar après le décès de son mari Ahmed Bacar. Monsieur Attoumani Nourdine m’a aussi hébergé durant la préparation de ma thèse, je lui suis très reconnaissant. Ma dette envers lui est immense. Ma gratitude à tous les étudiants de mon département d’études, en particulier Römer Sigrid, Ndrema Andriamandiby, Zo Ralambomanana, Henitsoa Raobelinoro, Harolde ainsi que Maud Verdier, Nirina Razaimiandrisoa responsables de la documentation au Centre Riquet et Ouzna Ouaksel, qui étant responsable de la documentation et du secrétariat Berbère, m’avait aidé à réaliser et imprimer mon mémoire de DEA d’Etudes Africaines. Aux Comores, mes remerciements s’adressent à tous les chercheurs comoriens et expatriés que j’ai pu côtoyer et qui m’ont prodigué de nombreux conseils utiles durant tous mes cursus universitaires, à Monsieur Jean Philippe Lucas (entrepreneur réunionnais) qui m’a connu par hasard durant mes travaux de recherche à Pomoni. J’ai perdu son adresse actuellement. Il m’a convaincu de partir d’Anjouan pour sauver ma peau et grâce à sa générosité, il m’a dispensé des moyens matériels 5 et financiers qui m’avaient permis de partir continuer mes Etudes de fin 2003 à 2006, sans oublier aussi tous mes collaborateurs de la Direction Régional du CNDRS de l’Ile Autonome d’Anjouan ainsi que le Directeur Général du CNDRS à Moroni Dr Ainouddine Sidi et Monsieur Hamdani Bacar Directeur de l’Enseignement Supérieur au Ministère de l’Education National, sans oublier Madame Mère Nassurati « Dame de fer, pionnier de la protection de la valeur culturelle comorienne et du patrimoine ». Ils ne cessaient de m’encourager à aller loin dans mes recherches ainsi qu’au nouveau directeur général du CNDRS Dr Nouroudine Abdallah. A ma femme Madame Maenfou Bent Ahmed qui m’a soutenu tout au long de mes travaux et mes enfants (Yassinat, Naili, Abdel-Malek, Djumbe Aissat, Djumbe Natacha et Djumbe Taya) qui m’ont dispensé leur affection, sans leur générosité et leurs bonnes humeurs, je n’aurai pas pu tenir le rythme lors des longs déplacements à Moroni, à Mayotte, à Mohéli et mes différents séjours ici à Paris afin d’affronter la dernière ligne droite ; à Abdoulwahab Ali Sidi et sa femme qui m’avaient aidé à saisir la plupart de mes transcriptions en comorien. A la famille Cheikh Fayallu pour leur générosité. A toute ma famille (maternelle et paternelle) et à tous mes amis, ils sont trop nombreux pour être cités tous ici, ils méritent également mes remerciements. A mes informateurs que j’ai côtoyés, jours et nuits, durant toutes ces années et qui m’ont livré leurs secrets, leurs connaissances et aux maîtres du savoir « fundi » qui m’ont protégé, ils ont tous ma gratitude pour toujours. Lors de la préparation et la rédaction de mon mémoire de DEA, les professeurs Narivelo Rajaonarimanana, Malanjaona Rakotomalala, Sophie Blanchy (CNRS), Noël Gueunier (Université de. Strasbourg) m’ont assuré une relecture des différentes parties et m’ont aidé dans les corrections du français. Finalement, je remercie infiniment le Ministre des Finances de l’Île Autonome d’Anjouan : C.E. Doulclin Mahamoud de son accord pour me permettre de partir en 2003, le Ministre Délégué