Les Cloches De Corneville

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Les Cloches De Corneville BORDEAUX HflBa Robert PLANQUETTE Les Cloches de Corneville MAIRIE DE BORDEAUX Les Cloches de Corneville Opéra-comique en trois actes et quatre tableaux Livret de Clairville et Charles Gabet Musique de Robert Planquette Mise en scène jack Gervais Direction musicale Jacques Blanc Décors Michel Fersing Chorégraphie Andrée Renard Costumes Maison Grout Serpolette Patricia Jumelle Germaine Kathia Bias Le Marquis Henri de Corneville Michel Vaissière Gaspard Jean-François Fabe Grenicheux Roger Pujol Le Bailli Christian Asse Le Tabellion Bernard Auzimour Paysannes, paysans, gardes champêtres, matelots, mousses, cochers, servantes, domestiques. Nouvelle production Production Opéra de Bordeaux Chœur de l'Opéra de Bordeaux Ballet et Orchestre du Théâtre Fémina Théâtre Fémina 6 avril 2002 Bordeaux Les Cloches de Corneville Opéra-comique en trois actes et quatre tableaux Livret de Clairville et Charles Cabet Musique de Robert Planquette Créé le 19 avril 1877 au Théâtre des Folies-Dramatiques, Paris Nouvelle production Théâtre Fémina Bordeaux L'Opéra tient à remercier le Club des Partenaires de l'Opéra de Bordeaux partenaires associés Banque Populaire du Sud-Ouest Caisse des dépôts et consignations Caisse d'Épargne Aquitaine-Nord Château Haut-Bailly Groupe CMR Chantiers d'Aquitaine Cofinoga CORDIER MESTREZAT & domaines Mercedes Objectif Aquitaine Syndicat Viticole de Pessac-Léognan partenaires Cocodi EDF Grands Clients Sud-Ouest France Telecom Société Bordelaise de CIC les entreprises qui soutiennent des projets... > Caisse des dépôts et consignations les actions vers les jeunes (Campus en Musique - École et Opéra) > Casino de Bordeaux Orchestre en Fête - Point d'orgue Schubert > Château Haut-Bailly le Ballet de l'Opéra de Bordeaux (productions 2002) > Fondation DaimlerChrysler France les jeunes artistes > Fondation d'entreprise France Telecom la production lyrique > Syndicat Viticole de Pessac-Léognan les concerts dégustation Baronne Philippine de Rothschild La Donna _ Argument — Acte 7 — Nous voilà en Normandie, sous Louis XIV, dans un sentier boisé qui mène au village de Corneville. Rien n'y est à signaler de particulier, sinon l'animation habituelle des paysans et paysannes qui se rendent au marché et à la grande « louée » aux domestiques. Belle occasion pour chacun et chacune de renchérir sur les commérages... D'autant que Serpolette envisage de quitter son Maître, le Père Gaspard. La réputation de celui-ci n'est plus à faire : « c'est un vieux tire-liards, un scélérat ! ». Seul, le respect a incité la jeune fille à demeurer à son service... Gaspard l'a trouvée jadis dans un champ de serpolet et l'a élevée, mais sans tendresse, « parmi les dindons et les canards ». Curieusement convaincue d'être de noble lignée, elle est bien décidée, cette fois « à le planter là » ce tyran ! L'arrivée de sa nièce Germaine « une pimbêche qui sort de sa pension et qui vous a des façons et des manières... » n'a fait qu'aggraver la situation. De plus, si le cœur de Serpolette bat pour Grenicheux, le beau pêcheur, celui-ci n'a plus d'yeux que pour la nouvelle venue. Pourtant Gaspard nourrirait, dit-on, l'espoir secret de faire épouser Germaine par le Bailli. Cette union se présente bien mal : la jeune fille déteste l'affreux prétendant que son oncle lui destine. Le Bailli, frustré, s'en ouvre à Gaspard, puis lui parle du château inoccupé depuis des lustres, et de son désir de le faire rouvrir. Le vieux Maître, visiblement inquiet, s'efforce d'en dissuader son interlocuteur... Sur les tours qui dominent le village, n'a-t-on pas, cer­ taines nuits, aperçu des fantômes ? Tandis que les deux hommes poursuivent leur route, Grenicheux arrive, vantant les périls de son métier... « sur mon navire, vogue ou chavire... » Rien de tel pour attirer l'attention de Germaine dont le désir serait d'unir ses jours à ceux de ce pêcheur qui lui aurait, jadis, évité la noyade... Mais est-ce vraiment de l'amour ? Parmi la foule, on remarque un homme dont le costume intrigue... C'est le Marquis Henri de Corneville revenu incognito sur les terres de ses aïeux. Il questionne les paysans et se fait raconter par Germaine la fameuse légende qui prétend que le carillon du château retentira dès que le Maître des lieux reviendra. Les souvenirs se bousculent soudain dans l'esprit de ce Marquis navigateur, qui a « fait trois fois le tour du monde ». En dépit de ses nombreuses conquêtes amoureuses, seule cette Normande qu'il a sauvée d'un grand danger, ne quitte pas sa pensée. Tout à coup un brouhaha éclate : Germaine vient d'être surprise avec Grenicheux. Le Bailli s'en prend à son jeune rival qui fait voltiger sa perruque, ridiculisant devant tous le repré­ sentant de l'autorité. Le malheureux pêcheur n'a plus qu'à filer ou bien à trouver un Maître qui lui évitera la prison. Même si « ça lui coûte beaucoup, ça vaut mieux que la corde au cou... ». Sur le marché, le cortège des cochers et des servantes en quête d'emploi défile, chacun glo­ rifiant ses mérites. « Voyez ceci, voyez cela... ». Afin de constituer sa domesticité, le Marquis engage à son service Serpolette et Grenicheux puis Germaine qui échappent ainsi à Gaspard, étouffé par la colère. — Acte 2 — Dans la pénombre de la grande salle du château de Corneville, le Marquis, escorté de quelques-uns de ses matelots, de Germaine, puis de Serpolette et de Grenicheux munis de flambeaux, inspecte les moindres recoins pour y débusquer les prétendus fantômes. L'angoisse s'est emparée de tous, sauf du Marquis qui se fait reconnaître par le Bailli arrivé Les Cloches de Corneville | 05 le dernier, à peine remis de ses déboires capillaires... Henri de Corneville découvre alors, dans un portefeuille, une lettre qui établit l'ascendance nobiliaire de la Vicomtesse de Lucenay. Afin de la soustraire aux dangers qui menaçaient sa famille, son père l'avait recommandée à Gaspard, pour qu'elle fût élevée sous un nom de villageois, telle une enfant trouvée. La similitude des dates a ranimé l'espoir de Serpolette au comble du bonheur : elle se croit reconnue vicomtesse. Mais le sauvetage de Germaine préoccupe sans cesse le Marquis. L'explication que lui en donne la jeune fille le conforte dans son idée, même par une réponse de Normand. On annonce soudain une présence anormale dans les parages. Chacun se retire pour observer, sauf Grenicheux qui, mort de peur, a été enfermé dans une armure. Dans la salle, une ombre se glisse : on reconnaît la silhouette de Gaspard. Le barbon pose sa lanterne, s'attable, et compte son or avec délectation « rien à personne ne donnera bonheur que donne ce son-là... ». Alors qu'il commence son jeu de fantôme, les cloches du château se mettent à sonner, à carillonner si fort que la raison du vieux fermier en chancelle. — Acte 3 — Dans le parc, le lendemain, on rit et on danse lorsque la fête s'interrompt à l'arrivée de Gaspard, devenu fou. Il entonne « une vieille chanson normande », puis repart... Cela n'em­ pêche pas Serpolette de savourer son copieux héritage en menant grand train. Elle a d'ailleurs embauché Grenicheux comme majordome ! Le Bailli, de son côté, paraît bien soucieux : il vient de remarquer qu'une page du registre de l'an 1677 a été arrachée... Mais l'heure est à la chanson et « vive le cidre de Normandie ! ». Le Marquis, un moment seul avec Grenicheux, obtient de celui-ci « sa » version du sauvetage : « Germaine devait sa vie à mon courage... » du moins le prétend-il puisque Henri dénonce la mystification. C'est bien lui, Henri, alors officier de marine, qui sauva de la noyade Germaine avant de la remettre, encore inanimée, à la garde du pêcheur, bien incapable d'un tel acte de bravoure. Gaspard revient, comme apaisé : il a retrouvé toute sa lucidité et désire faire jaillir la vérité... Il y a vingt ans, le grand-père de Henri de Corneville avait dû s'expatrier avec son petit-fils, confiant à Gaspard et sa fortune et son domaine. À la même époque, le fermier avait trouvé dans un champ une jeune enfant qu'il avait baptisée Serpolette... Parallèlement, le Comte de Lucenay s'était vu contraint de fuir la France. Afin de veiller sur l'éducation de sa fille Germaine qui venait de naître, il avait sollicité Gaspard. Celui-ci l'avait mise en pension en la faisant passer pour sa nièce... Pour prouver la véracité de ses propos, et sa bonne foi, Gaspard restitue le feuillet qu'il avait arraché au registre du bailliage, démasquant du même coup les manigances du Bailli qui connaissait toute la vérité. Henri de Corneville peut épouser Germaine de Lucenay. Quant à Serpolette, si elle n'est plus vicomtesse, elle n'en demeure pas moins libre... libre de refuser la main que lui tend ce pleutre de Grenicheux ! Dominique Chesquière 06 | Dominique GHESQUIÈRE Un carillon légendaire À l'aube de l'année 1903, les scènes lyriques de Paris rencontrent une crise sévère. Au Théâtre de la Gaîté, les recettes s'essoufflent... Le Chien du Régiment de Louis Varney atteint à peine le succès souhaité. En directeur avisé, Louis Debruyère prépare une reprise des Cloches de Corneville, escomptant que dans sa caisse, le tintement des espèces sonnantes et trébuchantes fasse rapidement écho au joyeux carillon, imaginé par Robert Planquette, voici vingt-six ans ! Cette reprise se prépare à grand soin. Décors, costumes, artistes : la Gaîté veut rester fidèle à son image de marque. Veillant sur son œuvre fétiche, Planquette dirige les répétitions. Cependant, son entourage assidu discerne, depuis quelques temps chez le compositeur, les signes d'une évidente fatigue qui s'accentue de jour en jour... Travailleur acharné, le musicien s'en défend, rejetant la cause de sa lassitude sur les soucis de son récent déménagement..
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