Contribution À L'étude Géographique De L'ouest Malgache

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Contribution À L'étude Géographique De L'ouest Malgache TRAVAUX ET DOCUMENTS DE L’O.R.S.T.0.M. NO16 0. R. S.. T. 0. M. PARIS 1912 ” La loi du 11,mars 1957 n’autorisant, a& termes des alineas 2 et 3 de l’article 41, ” d’une part, que les “copies ou reproductions strictement reservées B l’usage prive du co- ” piste et non destin&es g une utilisation collective” et, d’autre part, que les analyses et les ” courtes citations dans un but d’exemple et d!illustration, ‘Yotite représentaiJon ou reproduc- ” tion integrale, ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur’ ou de ses ayants droit ” ou ayants cause, est illicite” (alinéa ler de l’article 40). ” Cette reprhentation ou reproduction, par quelque proc6dé que ce soit, constituerait donc ” une contrefaçon sanctionnee par les articles 425 et suivants du Code P&al. ” . ,. ...’ . 0 0.R.S;T.O.M. 1972 J.-Y. MARCHAL G. DANDOY CONTRIBUTIONS A L’ÉTUDE GÉOGRAPHIQUE DE L’OUEST MALGACHE Avant-Propos Les etudes presentees ici concernent deux regions de l’ouest-malgache qui, eloignées dé 300 km environ l’une de l’autre, n’appartiennent pas moins au même domaine physique et humain. En outre, elles ont et6 réalisees a quelques mois d’intervalle par deux gbographes d’une même Équipe, à la demande du Ministére de l’Agriculture de Madagascar. Il s’agit donc de deux travaux sur convention destines 5. préparer des “opérations de développement” fondees, soit sur l’aménagement du milieu physique (Bemarivo), soit sur la mise en œuvre d’un program- me de vulgarisation (Manombe-Befandriana sud). Toutefois, les sujets abordes Btaient fort differents et concernaient des perimètres peu comparables du point de vue de leur etendue. D’une part, il s’agissait de repondre a un nombre limite de questions au sujet d’une plaine de 30 km2, d’autre part il etait demande de presenter un tableau d’ensemble d’une région de 20 000 km2 environ de superficie. L’enquête du Bemarivo était complémentaire d’un projet d’aménagement hydro-agricole alors que l’étude du Manombe-Befandriana sud était preliminaire à une serie de recherches plus specialisees. Ces différences sensibles ont decide de la conception de chaque Btude : la Premiere se preoccupe surtout des conséquences que pourraient avoir les amenagements .sur la population locale, la seconde inventorie la totalite des donnees regionales et insiste, en dernier lieu, sur la commercialisation, Par ailleurs, si dans les deux etudes une priorite est donnee à l’expres- sion cartographique, la specificite de chacune a orient.6 leur auteur vers le type de cartes qui lui semblait le mieux approprie : les cartes du Bemarivo doivent être considerées comme des cartes d’inventaire indispensables a la description et a l’analyse de faits agraires bien localisés ; celles du Manombo-Befandriana sud sont egalement des cartes d’inventaire, mais leur multi- plicite a permis de les utiliser comme moyen de traitement de l’information aboutissant d. un decoupage en petites zones homogenes. 5 Première Partie l?TUDE GNOGRAPHIQUE DE LA PLAINE DU BEMARIVO J.-Y. MA..RCHAL Sommaire P. INTRODUCTION . 11 1 ; LE PERIMETRE .DU, BEMARIVO - SA SITUATION REGIONALE . ..*............................ 15 2 - LE MILIEU PHYSIQUE . 17 A - Les formations geologiques et les sols ....................................................... 17 B - Le couvert vegétal .................................................................................. 19 C - Les crues de la Tsiribihina ....................................................................... 19 3 - L’IMPLANTATION HUMAINE . 23 A - La constitution du peuplement ................................................................... 23 B - Les unit& de peuplement ......................................................................... 24 C - Composition de la population .................................................................... 25 4 - LE SYSTEME CULTURAL ET LES ACTIVITES AGRICOLES - ADAPTATION AUX CONDITIONS NATURELLES ................................................................................. 31 A - Les cultures de saison pluvieuse ............................................................... 33 B - Les cultures de decrue ............................................................................ 34 C - La riziculture de decrue .......................................................................... 35 5 - LES AMENAGEMENTS HYDRO-AGRICOLES ........................................................... 41 A - Les amenagements provisoires ................................................................. 41 B - Historique des grands amenagements : le constat d’un échec .......................... 42 C - Un nouveau projet ................................................................................... 45 6 - LES STRUCTURE!S FONCIERES OU L’AMENAGEMENT TRADITIONNEL DE L’ESPACE . 49 A - L’accession a la terre ........................................................................... 49 B - Le partage du sol ............................................................... ....... ... ..... 52 C - Quelques donnees sur la structure des exploitations et les modes de. faire-valoir ............................................................................. ............. 56 CONCLUSIONS . 59 ANNEXE ...... .......................................................................................................... 63 PLANCHES CARTES ....................................................................................................... 68 PHOTOS ....................................................................................................... 77 L’btude de la plaine du Bemarivo a et& realisée en 1968. A la demande des techni- ciens du Service de l’Agriculture, le geographe devait limiter ses investigations a une serie de questions qui s’attachaient principalement aux mouvements de population, au système cul- tural et à la situation foncière. Par ailleurs, les delais imposes étaient extremement brefs : deux mois pour mener a bien et l’enquête et la rédaction du rapport assortie de cartes à grande échelle. Tout ceci explique que, par bien des aspects, le texte presente des imperfections et des lacunes. Mais plutot que de parfaire ce rapport deux ans après sa rtklaction, il nous a semble préferable de le laisser dans son état initial. Il faut considérer ce document comme un exemple d’etude rapide que le chercheur est parfois appel6 a realiser outre-mer dans une region ou il mène par ailleurs des recherches “personnelles” qui peuvent lui sembler plus attrayantes et plus fructueuses. Paris septembre 1970. INTRODUCTION L’enquête du Bemarivo s’inscrit dans un ensemble de conventions passées Lt Madagas- car entre le Bureau pour le Développement de la Production Agricole (B.D. P.A. ) et l’Office de la Recherche Scientifique et Technique Outre-Mer (O.R.S. T. 0. M. ), afin d’etudier les pro- blèmes humains relatifs zt sept périmètres ou sous-regions retenus par le Ministère de l’Agri- culture (M.A. E.R.) comme Btant susceptibles de recevoir des aménagements hydro-agricoles. A la demande du B.D. P.A., l’enquête Confi@e à la section de geographie de Tananarive a eu pour but de livrer, à partir de l’analyse de la population, des exploitations agricoles et de la situation foncière, un ensemble d’informations nécessaires pour juger du bien fonde des amé- nagements prevus sur le lac Bemarivo. L’enquête s’est deroulee du 2 avril au ler mai 1968. Pour l’essentiel, les travaux de terrain ont repose sur deux types d’enquête complementaires. L’une consiste à recueillir, dans les villages, des données au niveau des menages ; l’autre à recenser les parcelles culti- vees afin d’etablir deux cartes : occupation du sol et situation foncière. Deux themes ont ete abordes dans le questionnaire adresse aux chefs de famille. L’un concerne les donnbes individuelles (composition de la famille, lieu d’origine, date d’installation au village), l’autre se rapporte à l’exploitation (dénombrement des parcelles, types de cultures, production, outillage, . ). Enfin, au niveau de chaque groupement villageois, un entretien a eu lieu avec les notables au sujet de la situation foncière et du projet d’amenagement du lac. Une équipe de quatre enquêteurs a realise ce travail : un assistant-géographe de 1’0. R. S. T. 0. M. , un enquêteur recruté temporairement et les deux agents du Service de l’Agri- culture responsables du secteur du Bemarivo. 522 menages ont éte enquêtés et des renseigne- ments ont pu être obtenus sur 92 autres, absents au moment de l’enquête ; ce qui porte B 614 le nombre de menages recensés, soit 2370 individus. Un seul village n’a pu être enquêté exhaus- tivement : il s’agit d’Ampasimandroatsy oit 100 menages représentant 359 individus ont été tou- chés sur 213 menages que totalise le village. 11 Personnellement, nous avons dressé les cartes d’occupation du sol et de la situation lonciére. A ce propos, nous devons mentionner que les prestations incombant au B.D.P.A., pour la réalisation d’un fond cartographique, n’ont pas eté respectées. Contrairement aux men- tions figurant à l’article 5 de la convention, une couverture de photographies aériennes récentes du périmètre, au 1/20000, n’a pas etê realisée, ni les travaux topographiques qui auraient per- mis la mise à jour de la seule mission aérienne effectuée sur la région, en saison sèche, par 1’1. G. N. en 1954. De ce fait, le fond de carte fourni par le B.D. P.A. , 2 partir de l’exploita- tion des photographies prises en 1954, ne‘s’est avére d’aucune utilité pratique sur le terrain. Depuis la date des prises de vues, le lit de la Tsiribihina s’est déplace, bouleversant totale-
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