Le Conseil général de Loir-et-Cher présente © RMN (Château de Versailles) / Gérard Blot © RMN (Château de Versailles)

du 30 juin au 16 septembre 2012

Dossier de presse

Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Communiqué de presse

Ambitieux, fier, ombrageux : les qualificatifs ne manquent pas pour définir Abel-François Poisson de Vandières, marquis de Marigny et seigneur de Menars (1727-1781). Son destin, tracé à la plume de l’exception, en fait foi. Il eut la chance d’être le frère cadet de la maîtresse de Louis XV, titrée marquise de Pompadour, qui l’introduisit dès son adolescence à la cour du roi. À vingt-quatre ans, il est nommé directeur général des Bâtiments du roi, arts et manufactures. Un voyage en Italie en compagnie d’artistes et d’architectes engagés dans les débats esthé- tiques contemporains fut le déclic vers l’émancipation : Marigny commença alors à se constituer une collection d’exception. Sa galerie de statues était la 1ère de après celle de Louis XV. Il dirigea surtout la politique des arts du royaume pendant 30 ans, laissant à l’humanité des chefs-d’œuvre tels que la place de la Concorde, l’École Militaire, les jardins des Champs- Élysées ou le Panthéon de . L’exposition Le naturel exalté. Marigny, ministre des arts au château de Menars, qui sera présentée à Expo 41, du 30 juin au 16 septembre 2012, est la 1ère rétrospective mondiale consacrée au frère de la Pompadour et ministre de Louis XV. Le visiteur découvrira le fonds exceptionnel des archives départementales de Loir-et-Cher, encore jamais dévoilé au public, constitué de centaines de dessins représentant l’aménagement des jardins du château de Menars en Loir-et-Cher, plusieurs tableaux majeurs en provenance du musée du Louvre ou du château de Versailles, ainsi que des œuvres issues de la collection personnelle de Marigny.

Expo 41, l’espace d’expositions du Loir-et-Cher : Le naturel exalté. Marigny, ministre des arts au château de Menars Du 30 juin au 16 septembre 2012 Ouvert 7/7 j de 14 h à 18 h – Entrée libre Possibilité de visites guidées pour les groupes à partir de 8 personnes sur réservation. Renseignements au 02 54 58 44 39.

L’exposition du Conseil général de Loir-et-Cher a reçu le parrainage du ministère de la Culture et de la Communication.

Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Sommaire

Le contexte du projet ...... p. 3 Pourquoi organiser la première rétrospective mondiale sur le marquis de Marigny ? Marigny "ministre des arts", grand collectionneur de peintures et de sculptures après le roi Un fonds exceptionnel d’archives de Menars détenu par le Conseil général de Loir-et-Cher

Le contenu de l’exposition ...... p. 6 Le directeur général des Bâtiments du roi Les grands projets d’urbanisme et les académies Le château de Menars et ses jardins

Les visuels libres de droits pour la presse ...... p. 10

Le comité scientifique du projet ...... p. 13

Le catalogue de l’exposition – Éditions Silvana Editoriale ...... p. 15

Le colloque scientifique ...... p. 17 Organisation du colloque. Blois et Tours, 3 et 4 juillet 2012 Axes de recherche du colloque Comité scientifique du colloque Aperçu des interventions

Expo 41, l’espace d’expositions du Conseil général de Loir-et-Cher ...... p. 21 Dernières expositions à Expo 41 Exposition à venir

Les partenaires et mécènes ...... p. 23

Informations pratiques ...... p. 24

Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Le contexte du projet

Pourquoi organiser, plus de deux cent trente ans après sa disparition, le 10 mai 1781, la première rétrospective mondiale sur le marquis de Marigny ?

Frère de la marquise de Pompadour, ministre de Louis XV, s’il n’est pas un artiste lui-même, Marigny met en œuvre une action cruciale pour les arts français au XVIIIe siècle à la direction générale des Bâtiments du roi, entre 1751 et 1773. Mais, plus qu’un homme politique, il incarne la figure du passionné d’architecture et du mécène éclairé, comme en témoigne son impressionnante collection d’œuvres d’art. À ces deux titres, le marquis est le grand moteur du "progrès des arts" au siècle des Lumières. On peut cependant distinguer les choix esthétiques de l’homme d’État au service du roi, de ceux d’un représentant de la classe montante de la bour- geoisie financière du XVIIIe siècle. Cette exposition a pour ambition de mettre en perspective ces deux aspects indissociables de la personnalité de Marigny – acteur public et mécène privé – dans le contexte de mutations esthétiques de la France qui, de l’art de la rocaille s’achemine vers le "goût à la grecque", et en terme d’architecture ce que Jean-Pierre Babelon a très juste- ment nommé le "style civique".

Marigny "ministre des arts", grand collectionneur de peintures et de sculptures après le roi

L’action de Marigny en faveur de la peinture montre un parfait administrateur, ingénieux, notamment à l’heure de la disette budgétaire de la décennie 1770 durant laquelle il invente, par la location de boutiques installées sur le Pont-Neuf, le moyen de financer l’Académie royale de peinture et de sculpture. En témoigne également l’ouverture, en 1750, avec l’exposition des "Tableaux du Roy", du premier musée des Beaux-Arts ouvert au public de France : le musée du Luxembourg. Il apparaît de surcroît comme un habile courtisan organisant un réseau de clients et d’amis parmi les artistes. Joseph Vernet, peintre de paysage et de marines, en est l’un des principaux bénéficiaires et perçoit le cinquième du total de la dépense consacrée à

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] la peinture sous le ministère de Marigny – pour la fameuse commande des Ports de France – soit 105 600 livres. Plus encore, l’achat d’un tableau par le ministre, pour son compte per- sonnel ou pour celui du roi concourt substantiellement à la notoriété de l’artiste. L’acquisi- tion pour lui-même de L’Accordée de village de Greuze, après le salon de 1761, signe le point d’orgue d’une impressionnante "campagne de communication" et l’approbation publique par le ministre – très largement suggérée par son fidèle conseiller Cochin – d’une œuvre où apparaît une nouvelle forme de sensibilité.

On connaît la passion de Louis XV pour la sculpture, largement encouragée par . Des sculpteurs tels qu’Adam, Falconet, Coustou ou Pigalle, ont profon- dément renouvelé, sous son influence, l’esthétique de la statuaire monumentale désormais plus en rapport avec la nature. Les œuvres monumentales commandées par la direction des Bâtiments étaient en effet – en dehors des effigies du roi – principalement destinées à orner les parcs des différents châteaux royaux. L’action de Marigny a consisté à suivre les commandes passées du temps de madame de Pompadour, alors que l’on note une diminution sensible de ces dernières après la mort de la marquise. Pour autant, l’intérêt du ministre ne se dément pas et, grâce aux nombreux dons du roi, Marigny constitue une exceptionnelle collection destinée aux jardins de son château de Menars. Dès le début des années 1750, son goût pour l’antique s’était mani- festé par la copie en marbre du célèbre Faune Barberini, exécuté en 1726 par Bouchardon qu’il se fit offrir par Louis XV.

Un fonds exceptionnel d’archives de Menars détenu par le Conseil général de Loir-et-Cher

Jamais présenté au grand public, ce fonds déposé par le colonel de Saizieu en 1971 aux archives départementales de Loir-et-Cher présente une multitude de projets de fabriques, temples, tentes, jeux et aménagements intérieurs commandés par Marigny ; certains documents étant même annotés de sa main. Là encore, il fait appel aux plus grands maîtres-d’œuvre qui travaillaient pour les commandes royales comme Soufflot, De Wailly ou Peyre. Les jardins de Menars deviennent donc le théâtre formidable des sculptures offertes

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] par Louis XV, parmi lesquelles on trouve un grand nombre de chefs-d’œuvre commandés notamment pour le château de Choisy, où madame de Pompadour s’était fait bâtir un ermitage. Parmi ces sculptures, nous retiendrons deux vases dessinés par Gabriel réalisés par Pigalle et Adam (donnés à Marigny en 1770), L’Abondance sous les traits de madame de Pompadour d’Adam également commandée pour le "bosquet de la paix" de Choisy et transportée à Menars en 1773. Cette même année, Marigny quitte la Direction des bâtiments et Louis XV lui offre son effigie par Coustou qui remplace bientôt L’Abondance sous la Rotonde du parc de Menars, construite par Soufflot. Le catalogue que dresse Plantet ne compte pas moins de vingt numéros, sculptures exceptionnelles, mais dont il faut se souvenir qu’il s’agit de commandes du roi qui témoignent plus de sa générosité que du goût de son ministre.

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Le contenu de l’exposition

Autour du fonds de dessins détenu par les archives départementales de Loir-et-Cher, concernant les fabriques et les terrasses commandées par le marquis de Marigny pour les jardins de son château à Menars, le Conseil général de Loir-et-Cher souhaite rendre un hom- mage plus général au marquis de Marigny qui porta le mécénat culturel à son plus haut niveau et dont l’action reste méconnue du grand public.

Le directeur général des Bâtiments du roi

Qui aurait pensé que le frère cadet de la Pompadour pourrait – bien au-delà de la mort de cette dernière – tenir un département aussi sensible que les Bâtiments du roi ? La gloire nationale qui se fondait alors sur les victoires militaires passait dorénavant, grâce à "Louis le Bien Aimé", par le "progrès des arts" dont le ministre était l’artisan. L’administration des Bâti- ments correspond approximativement aux contours de notre actuel ministère de la Culture ; c’était donc un levier essentiel du rayonnement de la France. Pour remplir ces fonctions, il fallait une personnalité hors du commun : homme de confiance, habile diplomate, bon cour- tisan mais ferme et décidé, meneur d’hommes éclairé, capable d’élaborer une politique des arts et susceptible de s’intéresser aux détails des chantiers. L’action du ministre à la direc- tion des Bâtiments désigne Marigny comme la cheville ouvrière des grands chantiers du règne de Louis XV et le réformateur de l’administration des Bâtiments. Il s’entoure d’une remar- quable équipe afin de mettre en œuvre la politique des arts du roi. À ceux qu’avaient choisis Tournehem et madame de Pompadour pour accompagner Marigny dans son Grand Tour [Jacques-Germain Soufflot (1713-1780), l’abbé Le Blanc (1707-1781) et Charles-Nicolas Cochin (1715-1790)], Marigny s’adjoint, dès 1751, les services d’un nouveau directeur de l’Académie de France à Rome : Charles-Joseph Natoire. Ainsi, la réforme entreprise par Lenormant de Tournehem – dont on connaît l’action en faveur de la peinture d’histoire, genre noble par excellence – trouve, avec l’équipe de Marigny, des développements nouveaux dans les autres arts : sculpture, arts décoratifs et architecture. C’est dans ce dernier domaine que la mutation est la plus forte et les oppositions les plus sensibles. Face à Ange-Jacques Gabriel

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] dont l’œuvre comme premier architecte du roi est ancrée dans la tradition de l’art de cour des Mansart, Marigny oppose une nouvelle génération d’artistes, parmi lesquels on compte Jacques- Germain Soufflot, Marie-Joseph Peyre et Charles De Wailly. Ces derniers détrônent "l’architecture à la française", grâce notamment au grand projet de l’église Sainte-Geneviève (actuel Panthéon) et bientôt le ministre s’affiche comme un fanatique d’architecture ; en témoignent sa collection de recueils gravés (Neufforge, Campbell, Le Roy…) et de traités (Desgodets, Blondel …), sans compter les très nombreux dessins d’architectes qu’il collectionne. Désormais, l’architecture est plus "mâle", plus expressive – plus parlante disait-on alors – moins ornée, sur le modèle des ruines de Paestum, en un mot : l’architecture est "à la grecque".

Les grands projets d’urbanisme et les académies

Jacques-Germain Soufflot fut l’homme de confiance de Marigny et le génie inspirateur de son ambition de régénérer l’architecture française – sur d’autres fondements que le seul "grand genre" que défendait le professeur et théoricien de l’Académie, Jacques-François Blondel, admirateur inconditionnel des bâtiments du siècle de Louis XIV. La passion pour l’antique inculquée au jeune Vandières (le futur Marigny) transcendera l’application du modèle colbertien qu’on attendait de lui aux fins de réinventer l’architecture royale. Avec Soufflot, deux autres mentors firent partie du voyage d’Italie : l’abbé Jean-Bernard Le Blanc, polygraphe, critique d’art et connaisseur d’antiquités que le roi nomma historiographe des Bâtiments, et Charles- Nicolas Cochin fils, dessinateur et graveur du roi, écrivain théoricien de l’art, qui est nommé, à l’issue du voyage, secrétaire de l’Académie royale de peinture et de sculpture. Ces nominations, avant ou après le voyage, confirment le constat d’une intention bien organisée et de cette volonté prospective de réorienter la production des arts dont la critique se lamentait depuis une dizaine d’années, en s’intensifiant. Tout en poursuivant ses chantiers lyonnais, Soufflot devient parisien et bénéficie de hautes charges : dès 1756 il est nommé contrôleur des Bâtiments du roi dans le département de Paris, poste considérable qui justifiait d’être choisi pour créer l’église Sainte Geneviève dite "basilique du vœu royal". Après avoir accédé à la première classe à l’Académie royale d’architecture, où son influence s’impose, il cumule l’année suivante la direction des manufactures des Gobelins et de la Savonnerie où, durant vingt ans, il encouragera la réforme des arts décoratifs. Enfin, en 1758, grâce au

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] parrainage du duc de Villeroy, il reçoit ses lettres d’anoblissement : il est fait chevalier de l’Ordre de Saint-Michel, reconnaissance du mérite que les artistes bien en cour ne pouvaient espérer qu’à titre exceptionnel. Il finit sa carrière, sous le règne de son successeur, le comte d’Angiviller, comme intendant général des Bâtiments du roi.

Les attributions des Bâtiments du roi, assignées à monsieur de Marigny, comprenaient : - La construction et l’entretien des résidences royales, ainsi que les parcs et jardins ; - La réalisation et l’entrewtien d’ouvrages d’intérêt général tels que la place Louis-le-Grand ; - La gestion du mécénat royal, à travers la tutelle des académies de peinture, de sculpture et d’architecture ; - Les manufactures des Gobelins, de la Savonnerie et de Sèvres ; - Les fonctions de grand-voyer de la ville de Versailles.

Marigny supervisa la construction de grands chantiers parisiens, tels que : - Le chantier de la nouvelle église Sainte-Geneviève ; - Le chantier du nouveau Théâtre-Français (actuel théâtre de l’Odéon) ; - L’aménagement de la place Louis XV (actuelle place de la Concorde) ; - L’aménagement des premiers carrés des jardins des Champs-Élysées ; - L’École militaire.

Le château de Menars et ses jardins

S’il semble bien que Marigny ait manifesté une attention toute particulière à l’histoire de son domaine, il se montre aussi infiniment attentif au genius loci si particulier de Menars. Ainsi c’est "sur les marges", dans des endroits plus naturels et plus secrets, qu’il choisit de faire amé- nager deux espaces véritablement pittoresques : le jardin anglais du Bois bas et, plus tard, le Désert, dans l’escarpement de la berge, en contrebas de la grande allée, entre le Belvédère et le Rond de Cour. Au sud-ouest du château, le terrain formait une petite vallée parcourue par un ruisseau qui rejoignait la Loire. Frédéric Lesueur en donne une vision idyllique : "Le cours sinueux du ruisselet fut respecté [...], de vastes pelouses de gazon furent semées aux alentours, des arbres et des arbustes d’essences, de feuillages et de tons les plus variés furent plantés sur les

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] pentes un peu escarpées qui bordent le vallon ou par groupes isolés agréablement disposés sur le tapis de verdure qui en forme le fond. Des allées serpentant sans régularité permettaient au visiteur selon son caprice de s’enfoncer sous les épaisses frondaisons des bosquets ou d’errer près du petit cours d’eau bordé de roseaux". Plusieurs lettres envoyées par Lefevre, l’intendant du domaine, à Marigny témoignent du plaisir ressenti par les visiteurs. On sait que cinq cabinets de treillages ornaient ce petit paradis où, peut-être, furent plantés une partie des arbustes d’ornements provenant de la pépinière de Choisy. Pour aménager le "Désert", on disposa, dans une espèce de petit cirque rocheux correspondant aux anciennes carrières, à l’intérieur d’hémicycles maçonnés ou en brique, une série de bancs, de pavillons en bois et de jeux (de "bague", de "bascule et de "papigot") pour la promenade et le divertissement des hôtes et des visiteurs. Une "halle chinoise" et une petite grotte, toujours présente sur le site, laissent penser que Marigny, pour ce dernier aménagement participe à cette mode anglo-chinoise, pleine de fantaisie, qui connût un si grand développe- ment en France, puis dans l’Europe entière, dans les décennies 1770-1780. Ainsi, en parfaite harmonie avec les diverses ressources paysagères de son parc, Marigny sut développer des réalisations nouvelles, tout en respectant, avec la plus subtile des intelligences, le grand domaine régulier dont il avait hérité. Le parc de Menars, fruit de près de vingt ans de travaux, présentait, à sa mort en 1781, une synthèse des différents types de jardins qui se développèrent en France entre la fin du XVIIe siècle et la veille de la Révolution. Le temps a, semble-t-il, privilégié la mémoire des structures classiques, mais le nymphée et la rotonde imaginés par Soufflot témoignent encore aujourd’hui de la passion pour les "fabriques" du directeur des Bâtiments. Comme ce fut le cas pour le château de Chanteloup en Touraine, résidence du duc de Choiseul, ou pour le château de Chantilly chez le prince de Condé, l’art de vivre au château de Menars fit l’admiration, tant en France qu’en Europe. Marigny contribua donc grandement au rayonnement international du goût français classique, non seulement par les grands projets parisiens d’urbanisme de par son rôle de directeur des Bâtiments du roi, mais également par la qualité artistique de ses résidences privées.

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Les visuels libres de droits pour la presse

TROY, Jean-François de (1679-1752) VAN LOO CARLE (dit), VAN LOO, Charles André (1705-1765) François Poisson, marquis de Marigny (1727-1781), Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour (1721-1764), Directeur Général des Bâtiments du Roi – représenté alors portrait dit en "belle jardinière" Monsieur de Vandières, lors de son séjour à Rome en 1750-1751 Huile sur toile (81 x 63 cm) Huile sur toile (133 x 96 cm) Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon Versailles, musée national des châteaux de Versailles MV 8616 et de Trianon Cliché 92-000035 MNR52 ; MV 8019 © RMN © RMN – Gérard Blot

COZETTE, Pierre François (1714-1801) et VAN LOO, Louis-Michel (1707-1771) VAN LOO, Louis Michel (1707-1771) (d’après) Portrait du marquis de Marigny et de sa femme Portrait de Louis XV Huile sur toile (98 x 130 cm) Tapisserie (70 x 80 cm), 1773 Paris, musée du Louvre Fontainebleau, château de Fontainebleau Inv. 94-055926 / RF1994-17 Inv. 80-000783-02 / F.832c © RMN - Hervé Lewandowski © RMN - Daniel Arnaudet / Jean Schormans

GABRIEL, Ange-Jacques (1698-1782) HEURTIER, Jean-François (1739-1822) Projet de reconstruction des façades sur cour du château Proposition pour le Grand Projet de reconstruction du château de Versailles en 1749 de Versailles, côté des cours d’entrée Dessin, encre de Chine, lavis d’encre de Chine (167 x 76,5 cm) Aquarelle, encre noire, lavis gris, plume (dessin), rehauts d’aquarelle, Versailles, musée national des châteaux de Versailles rehauts de gouache blanche sur trait de crayon (32,5 x 63 cm) et de Trianon P 2 Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon Cliché 98-026286 MV 9130 ; inv. dessins 1253 © RMN - Gérard Blot Cliché 08-543413 © RMN - Gérard Blot 10

Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] FALCONET, Etienne-Maurice (1716-1791) (d’après) NATOIRE, Charles-Joseph (1700-1777) L’Amour menaçant Vue du Campo Vaccino et du Mont Palatin Biscuit de porcelaine tendre (23,5 x 13,5 x 21(pa) cm) Pierre noire, plume et encre grise et noire, lavis gris et brun, aquarelle, Sèvres, Cité de la céramique avec rehauts de gouache et reprises à la sanguine (32 x 48,5 cm) Inv. MNC27724-1 ; MNC27724-2 Trait d’encadrement à la pierre noire. Collé en plein. Annotation à la © RMN - Martine Beck-Coppola plume et encre brune, en bas au centre : au Campo Vaccino Signé et daté sur une pierre relevée, à la plume et encre grise et brune : C. Natoire / 1766 Bayonne, musée Bonnat-Helleu ; dépôt du musée du Louvre, 1997 (legs Petithory, 1996) Inv. RF 50874 © RMN - Michèle Bellot

PERIGNON, Alexis Nicolas, le Vieux (1726-1782) Première vue du château de Menars prise au sud, en face de la terrasse Dessin, encre noire, plume (dessin), rehauts de gouache (23,2 x 11,4 cm) Paris, musée du Louvre Inv. 32325 r° © RMN FLIPART, Jean-Jacques (1719-1782) L’Accordée de village Gravure (eau-forte et burin) en contrepartie d’après Greuze (48,7 x 62,7 cm) Au revers, signatures autographes à l’encre brune de "Greuze" et de "Flipart" Tournus, musée Greuze Inv. 82.1690 © Laurent Chaintreuil

PERIGNON, Alexis Nicolas, le Vieux (1726-1782) Vue du château de Menars prise de la chaussée de Blois Dessin, encre noire, plume (dessin), rehauts de gouache (23,2 x 12,4 cm) Paris, musée du Louvre Inv. 32323 r° © RMN 11

Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Parc du château de Menars

Élévation d’un petit kiosque à colonnes, Projet d’une tente de 50 pieds de long sur 36 de large [s.d.], échelle sur 12 pieds (26,7 x 34,2 cm), Élévation d’un projet de tente, [s.d.], 25 J 1/57. sans échelle (31,3 x 20,3 cm), 25 J 1/53. © Archives départementales de Loir-et-Cher © Archives départementales de Loir-et-Cher

HAZON, Michel-Barthélemy (1722-1822) Projet d’une tente de 50 pieds de long sur 36 de large Projet d’un belvédère chinois pour le rond Élévation et coupe transversale d’une tente, [s.d.], de cour échelle sur 24 toises, annoté de la main du marquis Élévation d’un projet de belvédère chinois, [s.d.], de Marigny (30,5 x 17,2 cm), 25 J 1/52. échelle sur 12 toises (49,5 x 35 cm), 25 J 2/82. © Archives départementales de Loir-et-Cher © Archives départementales de Loir-et-Cher

DE WAILLY, Charles (1730-1798) Coupe d’un petit kiosque à colonnes Élévation d’un kiosque chinois Élévation geometrale d’un Belvédère Chinois [s.d.] échelle sur 12 pieds, annoté de la main du à toits rouges Élévation d’un belvédère chinois, [s.d.], échelle marquis de Marigny (27,3 x 34,7 cm), 25 J 1/58. Élévation d’un kiosque chinois, [s.d.], échelle de 24 pieds (31,7 x 41 cm), 25 J 1/115. © Archives départementales de Loir-et-Cher graphique (34,1 x 44,4 cm), 25 J 1/117. © Archives départementales de Loir-et-Cher © Archives départementales de Loir-et-Cher

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Le comité scientifi que du projet

Alden R. Gordon ...... Professeur en histoire de l’art, Trinity College, Hartford, USA Véronique Moreau ...... Conservateur au musée des Beaux-Arts de Tours Christophe Morin ...... Maître de conférences à l’Université François Rabelais de Tours Monique Mosser ...... Historienne de l’architecture et de l’art des jardins Daniel Rabreau ...... Professeur à l’Université de Paris I-Panthéon-Sorbonne Anne-Cécile Tizon-Germe ...... Directrice des archives départementales de Loir-et-Cher Olivier de Charsonville ...... Directeur de la Culture au Conseil général de Loir-et-Cher

Le GHAMU : Groupe histoire architecture mentalités urbaines

Fondé en 1976 par Daniel Rabreau, Monique Mosser, Olivier Choppin de Janvry et Jean-Louis Harouel, le GHAMU est une association d’histoire de l’art urbain et des jardins, plus précisément une amicale destinée à regrouper et à informer ceux qui, dans un esprit large- ment pluridisciplinaire, s’intéressent à l’histoire de l’architecture, à la création artistique, à l’art ancien et à la vie urbaine. Son principal objectif est de multiplier les contacts entre le public et la recherche spécialisée dans ces domaines et d’aider celle-ci dans ses réalisations.

Depuis 1991, le GHAMU sert d’organisme indépendant d’aide à la recherche du Centre Ledoux. En son sein, le Centre Ledoux se développe depuis 2010 de façon indépendante, à partir d’un réseau de jeunes chercheurs des universités et des institutions patrimoniales spéciali- sés dans l’histoire des arts du XVIIIe siècle et qui ont à cœur de partager leurs découvertes et de poursuivre le travail collectif auquel ils ont été formés.

Grâce aux cotisations de ses adhérents et aux subventions qu’il obtient, il contribue à la réalisation de voyages d’étude, de tables rondes, d’expositions, de journées d’études et de colloques internationaux, pour les chercheurs et acteurs de la conservation du patrimoine, les étudiants et les amateurs. Il gère la publication des travaux inédits des jeunes chercheurs dans une collection : les Annales du Centre Ledoux (8 volumes publiés, le 9e en préparation).

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Afin de mieux structurer la recherche, cinq équipes et groupes ont été constitués :

Équipe des Lumières ...... Études sur le XVIIIe siècle, Europe et pays sous son influence Responsable : D. Rabreau

Équipe Ville et nature, architecture, ...... Transhistorique : XVIe-XXe siècles jardins et paysages historiques Responsables : D. Rabreau et M. Mosser

Groupe sur l’habitation au XVIIe-XVIIIe siècle Responsable : J.-F. Cabestan

Groupe Franco-Chinois Responsables : C.-B. Chiu et Janine Christiany

Groupe Franco-Russe ...... Convention avec l’Académie d’état d’architecture et des arts de l’Oural, Ekaterinbourg Responsable : D. Rabreau

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Le catalogue de l’exposition Éditions Silvana Editoriale

LE SOMMAIRE

Maurice Leroy Préface du Président du Conseil général de Loir-et-Cher Christophe Morin Avertissement Introduction Alden R. Gordon Abel-François Poisson de Vandières, marquis de Marigny et de Menars Anne-Cécile Tizon-Germe Le marquis de Marigny, gestionnaire attentif de ses biens Monique Mosser Menars ou la petite musique du "genius loci" : continuo et variations Jean Vittet Le salon des Gobelins du marquis de Marigny: un chef-d’œuvre ignoré de la décoration d’intérieur Daniel Rabreau Marigny, maître d’ouvrage au nom du roi, réformateur du goût

INFORMATIONS PRATIQUES

Éditions Silvana Editoriale Volume souple avec rabats Format : 23,5 x 22 cm à l’italienne 150 illustrations - 192 pages Prix public : 28 euros TTC ISBN 8836622658 15

Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] LES AUTEURS

Alden R. Gordon occupe la chaire Gwendolyn Smith Miles en histoire de l’art au Trinity College de Hartford. Christophe Morin enseigne l’histoire de l’art à l’université François-Rabelais de Tours. Monique Mosser est historienne de l’art, de l’architecture et des jardins et ingénieur au CNRS. Daniel Rabreau est historien de l’art et professeur émérite à l’université Paris I-Panthéon- Sorbonne. Anne-Cécile Tizon-Germe est directrice des archives départementales de Loir-et-Cher et conservateur des antiquités et objets d’art. Jean Vittet est inspecteur des collections au Mobilier national.

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Le colloque scientifi que

Les "ministres des arts", les ministres et les arts sous Louis XV

Colloque organisé par le Conseil général de Loir-et-Cher et l’université François-Rabelais de Tours, avec la participation du GHAMU. Blois et Tours, 3 et 4 juillet 2012

L’exposition organisée sous le patronage du Conseil général de Loir-et-Cher Le naturel exalté. Marigny, ministre des arts au château de Menars (du 30 juin au 16 septembre 2012) est l’occasion pour la communauté scientifique de s’intéresser à la place que les ministres de Louis XV ont pris dans l’évolution des arts, qu’il s’agisse de politique publique ou à l’échelle individuelle, du goût et du mécénat.

C’est sous le règne de Louis XIV qu’on atteint le point culminant d’une instrumentalisa- tion des arts au service du pouvoir, dont Versailles et ses collections d’œuvres d’art sont sans doute l’illustration la plus spectaculaire. Louis XV, malgré la transformation de la Surintendance des Bâtiments du roi en direction générale (moins prestigieuse), conserve l’attachement de son aïeul aux académies dont il accepte d’être le "Protecteur". Afin d’égaler la gloire de Louis le Grand, Louis XV se sert à son tour des arts, poursuit "la folie de la bâtisse", continue de com- mander peintures, sculptures, et objets d’art pour marquer son règne. Cette continuité politique est néanmoins marquée par une rupture esthétique au tournant du XVIIIe siècle et vers 1750, la France, sous l’impulsion de la direction des Bâtiments du roi, passe du règne de la rocaille à l’empire du goût à la grecque. Si le marquis de Marigny reste le personnage clé de cette mutation, s’arrêter à cette seule figure serait par trop restrictif car cette remarquable évolution s’inscrit dans un mouvement continu des arts tout au long du 17

Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] règne. Il convient ainsi de s’intéresser également à l’œuvre conduite par les prédécesseurs et les successeurs de Marigny sous le règne de Louis XV : le duc d’Antin, Philibert Orry, Charles- François Le Normant de Tournehem, l’abbé Terray, sans oublier également, dans une certaine mesure, les autres ministres. Fait remarquable l’abbé Terray et Philibert Orry furent également contrôleurs généraux des finances. Ainsi, à deux reprises au cours du règne, deux des axes majeurs de la politique de Louis XV sont-ils rassemblés sur la tête d’un même ministre. Dans quel but, avec quels résultats ? Au-delà cette situation conjoncturelle, on se demandera si la politique des arts influe ou non sur la commande des ministres, si ces derniers sont porteurs d’un message régnicole ou s’ils se comportent "comme de simples particuliers" lorsqu’ils commandent pour eux-mêmes bâtiments et œuvres d’art. À cet égard, les artistes choisis révèlent des partis pris, un goût, des réseaux qu’il conviendra également d’étudier. Enfin, ce colloque se propose d’étudier égale- ment la réception de la commande ministérielle.

Axes de recherche du colloque

Architecture et pouvoir ministériel Quand les arts s’unissent à la finance Les frontières entre actions publiques et commandes privées "Grand goût", goût du luxe et collections chez les ministres Ministres et politique des arts au crible du public

Comité scientifique du colloque

Christian Michel ...... Professeur, université de Lausanne Véronique Moreau ...... Conservateur, musée des beaux-arts de Tours Monique Mosser ...... Ingénieur CNRS - université Paris 4 - Sorbonne Daniel Rabreau ...... Professeur émérite, université Paris 1 Anne-Cécile Tizon-Germe ...... Conservateur en chef du patrimoine et directrice des archives départementales de Loir-et-Cher Michel Verger-Franceschi ...... Professeur, université de Tours

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Colloque organisé par l’Équipe d’accueil InTRu Interactions, transferts, ruptures artistiques et culturels avec le soutien de l’association GHAMU, du Conseil général de Loir-et-Cher et du conseil scientifique de l’université François-Rabelais de Tours.

Aperçu des interventions

Cécilie Champy ...... Conservateur du patrimoine (Paris, musée du Petit Palais) et doctorante en histoire de l’art (Université de Paris IV-Sorbonne). Les ministres des arts et les portraits royaux sous le règne de Louis XV : l’exemple de Jean- Baptiste Lemoyne (1704-1778)

Michaël Decrossas ...... Docteur en histoire de l’art (École pratique des hautes études). Philippe II d’Orléans à Saint-Cloud : une étape du développement des arts au début du règne de Louis XV

Alden Gordon ...... Professeur en histoire de l’art (Trinity College – USA). Marigny et les arts

Christophe Henry ...... Docteur en histoire de l’art (université Paris 1-Centre-Ledoux). Peindre l’Éros politique : le "cabinet de nudités" d’Abel-François Poisson de Vandières

Anne Perrin Khelissa ...... Collaboratrice scientifique au Centre allemand d’histoire de l’art à Paris. L’intendant des Finances Louis Fagon et ses amis académiciens. Argent et goût au service des manufactures avant le ministère de Marigny

Alexia Lebeurre ...... Maître de conférences (université Bordeaux III) Un décor intérieur inédit pour Pierre-Étienne Bourgeois de Boynes, secrétaire d’État à la marine.

Chaoling Lee ...... Professeur associé (université nationale de Dong Hwa - Taïwan) Les relations franco-chinoises au XVIIIe siècle. Henri Bertin et les arts

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Magalie Lenoir-Quintard ...... Docteur en histoire de l’art (EPHE) abbé de cour et ministre fastueux

Carlo Mambriani ...... Professeur (université de Parme). Intendant des Bâtiments et Premier ministre : la toute puissance de Guillaume Du Tillot à la cour de Parme (1749-71)

François Marandet ...... Docteur en histoire de l’art "Tableaux flamands et hollandais qui ont été choisis" : un projet d’acquisition inédit par Philibert Orry

Claire Ollagnier ...... Doctorante (université Paris 1-Centre Ledoux) La maison de Bertin à Chatou

Miki Ota ...... Doctorante en histoire de l’art (université Paris 1-Centre Ledoux) Philibert Orry, ministre des arts et mécène à La Chapelle-Godefroy

Amalia Papaionnou ...... Doctorante (université Paris1-Centre Ledoux) "M. le Directeur général a disposé de la place". Marigny et la suppression de l’envoi des architectes à l’Académie de France à Rome : voyage et séjour italien des lauréats des Grands Prix de 1767 à 1772

Christophe Morin ...... Maître de conférences (université de Tours) La vie d’un ministre sous Louis XV : l’exemple de Marigny

Anne-Cécile Tizon-Germe ...... Conservateur et directrice des archives départementales de Loir-et-Cher Présentation du fonds Marigny conservé aux archives départementales

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Expo 41, l’espace d’expositions du Conseil général de Loir-et-Cher

En avril 2010, Expo 41, l’espace d’expositions du Conseil général de Loir-et-Cher a rouvert ses portes, après plusieurs mois de travaux. L’équipement actuel a reçu l’agrément de la Direction des Musées de France, ce qui per- met à Expo 41 d’accueillir un grand nombre d’œuvres d’art dans le respect des principes de conservation.

Situé face au château royal de Blois, il s’agit d’un lieu central, propice à l’accueil des nom- breux touristes qui sillonnent les rues blésoises.

Lieu d’espace d’expositions polyvalent, Expo 41 accueille désormais quatre grandes manifes- tations culturelles par an : bdBOUM, les Rendez-vous de l’Histoire, ainsi que deux expositions thématiques en lien avec le territoire loir-et-chérien, une hivernale et une estivale.

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Dernières expositions à Expo 41

Alfred, George, Victor… et les autres. Des écrivains romantiques en région Centre Exposition du 21 décembre 2010 au 8 mai 2011.

Le Conseil général de Loir-et-Cher présente

ADRIEN THIBAULT Céramiste royal à Blois

Adrien Thibault.

© François Lauginie © François Céramiste royal à Blois Du 25 juin au 18 septembre 2011 rue de la Voûte-du-Château - Blois Exposition du 25 juin au 18 septembre 2011.

A table ! L’art du repas gastronomique en Val de Loire Exposition du 6 février au 6 mai 2012.

Exposition de février à mai 2013 Le rêve déchu des Bourbons : la duchesse de Berry en Val de Loire.

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Les partenaires et mécènes

PARTENAIRES

Université François Rabelais, TOURS

Groupe Histoire Architecture Mentalité Urbaines, PARIS

Interactions, transferts, ruptures artistiques et culturels, TOURS

MÉCÈNES

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Informations pratiques

LE LIEU Expo 41 est l’espace d’expositions du Conseil général de Loir-et-Cher. Son fonctionnement dépend de la direction de la Culture du Conseil général de Loir-et-Cher.

Expo 41, rue de la Voûte-du-Château — 41000 BLOIS — Arrêt de bus "Château"

Horaires d’ouvertures Tous les jours (y compris les jours fériés) de 14 h à 18 h sauf du 1er mai au 28 juin 2012. Horaires spéciaux lors des festivals Rendez-vous de l’Histoire et bdBOUM

Possibilité de visites guidées pour les groupes à partir de 8 personnes sur réservation Catherine Delaunay ...... 02 54 58 44 39 ...... [email protected]

Contacts direction Culture Aurélie Ravineau-Cloué ...... 02 54 58 41 20 ...... [email protected] Pauline Chambrier ...... 02 45 50 47 86 ...... [email protected]

LE COMMISSAIRE D’EXPOSITION Christophe Morin, maître de conférences, Université François Rabelais, Tours.

CONTACT PRESSE Guillaume Néron Bancel ...... 06 47 44 81 98 . . . [email protected] Conseil général de Loir-et-Cher . Direction de la communication ...... 02 54 58 41 11

Pour toute information, rendez-vous sur culture41.fr, le portail Culture du Loir-et-Cher www.culture41.fr

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Contact presse : Guillaume Néron Bancel : 06 47 44 81 98 - 02 54 58 41 11 - [email protected] Expo 41, une localisation privilégiée

Château de Blois

Maison de la magie

Office du tourisme

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