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Media Information 6 Mai 2019 120 ans de Production automobile Opel Sécurité pour tous : l’Opel Crossland X perpétue la tradition • Série anniversaire : l’Opel Crossland X édition « 120 ans » • La sécurité depuis toujours : Opel 10 HP, Olympia, Corsa B, Insignia A • Modernité technique : alerte somnolence, éclairage d’ambiance LED • Une constante : les Opel en offrent toujours plus Rüsselsheim. Opel construit des voitures depuis 1899, année qui vit la sortie des ateliers de montage la première « Patentmotorwagen System Lutzmann ». En 2019, Opel fête ses 120 ans de production automobile et par la même occasion, 120 ans d’innovations. La marque allemande a sans relâche cherché à démocratiser les systèmes de sécurité les plus sophistiqués. De tout temps, Opel a voulu offrir les dernières avancées technologiques, que ce soit en sécurité active sur les châssis, ou en sécurité passive avec les systèmes de retenue. C’est ainsi que l’on pouvait déjà trouver sur l’Opel 10 HP un système de freinage aux quatre roues, sur l’Olympia une carrosserie monocoque tout acier, sur la Corsa B des airbags grand volume ou sur l’Insignia A un système de lecture des panneaux de signalisation. Aujourd’hui, la parfaite illustration de cette sécurité offerte à tous est l’Opel Crossland X. Comme ses prédécesseurs, le Crossland X offre des équipements de sécurité de pointe qui lui permettent de se démarquer sur le marché des SUV du segment B. De plus, la série spéciale créée à l’occasion de l’anniversaire d’Opel, le Crossland X édition « 120 ans », reçoit en série un volant gainé de cuir, un éclairage d’ambiance à LED dans la console centrale et les contreportes pour créer une douce ambiance dans l’obscurité, et à l’extérieur, des montants latéraux laqués noirs, des rails de toit chromé, des sabots de protection avant et arrière couleur aluminium, des jantes en alliage léger couleur anthracite à quatre doubles branches et des feux arrières LED. Grâce à sa dotation très complète d’aides à la conduite très sophistiquées, ce sympathique petit SUV propose des innovations remarquables qui rendent chaque trajet plus sûr, plus simple et plus agréable. L’alerte anticollision avant avec détection de piétons et freinage d’urgence automatique surveille ce qui se passe devant le Crossland X par le biais de la caméra frontale. Elle est capable de savoir si les voitures détectées sont arrêtées ou en mouvement, et d’identifier aussi les piétons (adultes et enfants). Le système émet d’abord une alarme et affiche au tableau de bord un signal d’alerte avant de freiner automatiquement si la distance avec le véhicule ou le piéton détecté devant diminue rapidement et que le conducteur ne réagit pas. Le détecteur de somnolence est un système venant en complément de l’alerte de somnolence montée en série, qui met en garde le conducteur après deux heures de route à plus de 65 km/h. Plus évolué, le système déclenche un avertissement quand la trajectoire du Crossland X peut faire penser que le conducteur est somnolent ou inattentif. Il affiche un message sur l’écran d’information du conducteur et émet un signal sonore. Après trois avertissements au premier niveau, le système émet une seconde alerte avec un message différent au tableau de bord, couplé à un signal Opel Belgium N.V. https://be-media.opel.com/fr-be Blz. 2 acoustique plus fort. Le système est réinitialisé en conduisant à une vitesse inférieure à 65 km/h pendant 15 minutes consécutives. En plus de ces innovations, le Crossland X est classé comme l’un des meilleurs de sa catégorie sur le plan de la sécurité. L’organisme Euro NCAP a classé le SUV Opel du segment B « Best in Class 2017 ». Dans les évaluations de sécurité publiées en novembre 2017, Euro NCAP a décerné au Crossland X la note maximale de cinq étoiles, en fonction des résultats obtenus dans quatre domaines essentiels à la sécurité : protection des occupants adultes, protection des enfants, protection des piétons et aides à la sécurité. Le Crossland X s’est particulièrement bien comporté dans les tests d’impact latéral, où il a enregistré le maximum de points pour la protection des occupants adultes et enfants. Douce et précise : la direction de l’Opel « Patentmotorwagen System Lutzmann » Le Crossland X montre une fois de plus qu’en donner toujours plus que ce que le client attend est un des fondamentaux de la marque Opel. Cette volonté a été affirmée dès la fin du XIXème siècle, qui a vu la naissance de l’Opel « Patentmotorwagen System Lutzmann ». Cette première automobile disposait, entre autres particularités techniques remarquables comme les roues chaussées de pneumatiques proposées en option ou son moteur monocylindre 4 HP, d’une direction à commande par chaine. Comme le soulignait le brevet impérial déposé en avril 1894, le système permettait de disposer d’« une commande beaucoup plus douce et précise » que les systèmes existants à l’époque. Faire mieux que les « étrangères » : freinage aux quatre roues sur l’Opel 10 HP En 1925, Opel renforçait encore sa réputation d’offrir une haute technologie à prix modique avec la 10 HP, dont le catalogue d’alors disait qu’elle était « la voiture la moins chère pouvant être proposée aux acheteurs allemands ». La 10 HP avait pour ambition de concurrencer directement les voitures étrangères dont la réputation était grande, en mettant en avant ses qualités propres. C’était une voiture « remarquablement silencieuse au confort exceptionnel, offrant de superbes accélérations » et « rivée à la route dans les virages ». « La voiture de série allemande de qualité » était de plus très sûre, puisqu’elle « s’arrêtait en quelques mètres » grâce à ses freins innovants qui opéraient sur les quatre roues. À partir de 1926, Opel a offert également ce progrès sur le modèle 4 HP. La première monocoque de série allemande : l’Opel Olympia La grande étape suivante dans le domaine de la sécurité « made in Rüsselsheim » fut franchie par l’Opel Olympia 1935, première voiture de série allemande disposant d’une carrosserie monocoque tout acier. À l’époque, les tenants des architectures traditionnelles à carrosseries montées sur châssis faisaient valoir qu’une monocoque autoportante ne pourrait pas supporter les efforts et s’écroulerait sur la route. Mais l’Olympia apporta la preuve qu’elle était une voiture extrêmement robuste et sûre, offrant une rigidité élevée en flexion et en torsion. Afin de mieux informer le public, Opel exposa même un éclaté de la carrosserie de l’Olympia au Salon international de l’Automobile de Berlin 1937. Les clients ne tardèrent pas à adopter ce progrès. En 1940, environ 170.000 unités de l’Olympia avaient été produites à l’usine de Rüsselsheim. Depuis, l’innovation que constituait la carrosserie monocoque s’est imposée comme LE principe le plus répandu de construction automobile (et l’est encore à ce jour). Préserver le conducteur : Opel Rekord C avec colonne de direction télescopique L’Opel Rekord C, présentée en 1967, offrait une pléiade d’innovations. C’était par exemple la première Opel dotée de ressorts hélicoïdaux sur l’essieu arrière et elle allait devenir une référence de sa catégorie en offrant des freins à disque à l’avant et un servofrein. Mais la Rekord C tenait Blz. 3 aussi compte d’une réalité : en matière de sécurité passive, le conducteur assis derrière le volant de direction a besoin d’une protection supplémentaire. À l’époque, dans un choc frontal, la colonne de direction rigide montée de manière classique était repoussée vers l’intérieur de la voiture. Elle pouvait ensuite entrer dangereusement en contact avec le corps du conducteur, qui, lui, était propulsé vers l’avant par la force de l’impact. Il fallait donc impérativement ménager plus d’espace – au moins – pour limiter le risque de blessures. C’est pourquoi les designers et ingénieurs Opel avaient mis au point d’abord sur la Rekord C un système de direction de sécurité : la colonne de direction compressible, télescopique. Montée en série à partir de 1968, elle a permis de réduire autant que possible les risques de blessures à la tête et au thorax des conducteurs. Doubles barres dans les portes, airbag grand volume : Opel Corsa B Opel n’a cessé d’améliorer la sécurité passive, en commençant par le montage en série de ceintures de sécurité dans toutes ses voitures à partir de 1973. Le port de la ceinture de sécurité était devenu obligatoire et désormais, tout le monde était attaché en voiture. Opel ne s’arrêta pas à ce progrès et pensa à monter des systèmes de retenue complémentaires à la ceinture de sécurité. En 1991, sur l’Astra F par exemple, Opel installait des prétensionneurs de ceinture de sécurité qui permettaient en quelques millisecondes de resserrer la ceinture de sécurité et de gagner jusqu'à 16 cm de brin pour garantir la bonne position de l’occupant dans son siège. Le risque de blessures pour les occupants a encore reculé en 1993 avec deux innovations montées sur la seconde génération de Corsa B : elle recevait des doubles barres de protection dans les portes et un airbag conducteur grand volume. Opel poursuivit sur sa lancée lors du millésime 1995 en devenant le premier constructeur automobile à offrir en série des airbags grand volume pour le conducteur et le passager sur toutes ses voitures. Lecture des panneaux et maintien dans la file : l’Opel Eye de l’Opel Insignia A Proposer un niveau de sécurité plus grand pour un large éventail de clients dans le segment des familiales fut l’un des objectifs principaux d’Opel sur l’Insignia A, présentée en première mondiale au Salon international de l’automobile de Londres en 2008.