@Jeremiebeyou #MAITRECOQ ÉDITO
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DOSSIER DE PRESSE SAISON 2015 #FIGARO #DIAM24 @JeremieBeyou #MAITRECOQ ÉDITO Nous avons beaucoup appris de ces trois der- À travers ce programme, nous souhaitons conti- nières années. Nous avons eu le bonheur de rem- nuer à faire grandir la notoriété de la marque porter la Solitaire du Figaro, participer à la Route Maître CoQ mais également travailler son image, du Rhum et bien sûr au Vendée Globe. Pour une ses contenus. Avec la voile, les résultats et la entreprise vendéenne comme Maître CoQ, avoir un personnalité attachante de Jérémie, mais aussi bateau et tenter l’ascension de l’Everest des Mers grâce à la Solo Maitre CoQ, Maître CoQ a l’image était exceptionnel. Je pense à nos salariés mais d’une entreprise qui s’engage et prend des risques. aussi à nos éleveurs, qui ont été particulièrement Nous sommes connus dans le milieu de la voile, fiers et impliqués. Ce sont des émotions que tout il s’agit maintenant d’aller plus loin et de parler le monde veut revivre. aux familles qui n’ont pas l’habitude de fouler les pontons. La variété du programme sportif va nous Aujourd’hui, nous entrons dans une nouvelle permettre de relever ce défi. Nous allons raconter phase de notre sponsoring voile avec de nouvelles de nouvelles histoires au gré des régates et des ambitions, sportives mais aussi en termes de traversées, et créer des rendez-vous de qualité communication pour la marque Maître CoQ. Nous pour le public, nos salariés, nos supporters. attaquons 2015 « la Crête au vent ». Il s’agit donc d’une saison intense qui va très vite En 2015, le programme voile est plus dense. nous emmener vers les Sables d’Olonne pour le Jérémie prendra le départ de la Solitaire du Figaro grand rendez-vous de 2016 : le Vendée Globe où à l’assaut d’une quatrième victoire historique. toute la famille Maître CoQ sera réunie ! Nous emprunterons les routes de France à la ren- contre de notre public sur un nouveau support, le DIAM 24. Enfin, la Transat Jacques Vabre, en novembre, nous permettra de valider les amélio- rations apportées lors du chantier sur le 60 pieds IMOCA Maître CoQ. Stéphane SALLÉ, Directeur Général de Maître CoQ DOSSIER DE PRESSE /// JÉRÉMIE BEYOU + MAÎTRE COQ # 3 ENTREPRENEUR LES SIX Diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Brest en 1998, Jérémie Beyou s’est donné très tôt les moyens d’accompagner sa progression en créant sa société, Beyou Racing. « Mon projet de dernière année consis- tait à créer une entreprise fictive, je l’ai fait de façon réelle, de A à Z. FACETTES DE Cela m’a d’autant plus servi que parallèlement, je préparais la Solitaire du Figaro. Il me fallait une structure pour facturer les prestations de spon- soring, acheter du matériel… » Aujourd’hui, la SAS, qui emploie de façon JÉRÉMIE BEYOU permanente sept personnes et comprend un hangar et une flotte de trois bateaux, constitue l’outil idéal pour permettre au skipper de se consa- crer au sportif mais également proposer une offre « clé en main » à ses partenaires. La Crete au vent ! POLYVALENT PASSIONNÉ D’abord réputé pour ses succès en solitaire et en mono- coque, Jérémie Beyou aime relever de nouveaux défis C’est à l’âge de 2 ans que Jérémie Beyou découvre la navigation, lors sur d’autres supports. Ce qu’il fait cette année en se pré- des croisières familiales sur le bateau construit par son père, Alain. « La sentant sur le Diam 24 Maître CoQ au départ du Tour de passion pour la mer, c’est d’abord lui qui me l’a transmise. À 7-8 ans, je France face à une concurrence particulièrement relevée. », raconte-t-il. L’apprentissage de ne pensais qu’à une chose : naviguer « À vivre sans risque, on périt sans gloire. Je me sens « Je me sen- la régate se fait en Optimist, et là encore, la magie opère : vivant quand je me remets en question. La voile est un tais heureux d’être en mer, d’arriver à gérer mon affaire tout seul ». Ses sport qui demande d’être ouvert d’esprit », justifie-t-il. idoles ont alors pour noms Alain Gautier ou Philippe Poupon, tandis Investi sur trois projets en 2015, le marin de 38 ans part que la Solitaire du Figaro, la Route du Rhum et le Vendée Globe bercent du principe que pour progresser, il faut naviguer, encore ses rêves d’enfance. Et si les rêves sont aujourd’hui devenus réalité, et toujours, et apprendre des autres. Cette année, il pas- la passion demeure intacte : « C’est primordial de rester passionné et sera en tout 250 jours en mer… motivé par son sport. » SENSIBLE Lorsqu’il s’agit de défendre les causes qui lui semblent TENACE justes, Jérémie Beyou, pourtant pudique, sait faire « Ne jamais capituler », telle est sa devise. Bruno preuve de franc-parler : « J’ai souvent tendance à dire Jourdren, l’un de ses moniteurs au Centre Nautique de ce que je pense, si bien que je ne me fais pas toujours Carantec, qui lui a inculqué le virus de la compétition, que des copains », reconnaît-il. Derrière cette franchise, se souvient d’un élève « terriblement accrocheur, de se cache un vrai sentimental, très fidèle en amitié et loin le plus tenace ». Sur l’eau, le skipper de Maître CoQ respectueux des gens qui l’entourent. Ses équipiers en n’a pas son pareil pour grappiller le moindre dixième Diam 24 évoquent tous un skipper « attentionné et à de nœud, il l’a encore démontré sur la dernière Route l’écoute », toujours prompt à prendre des nouvelles des du Rhum, accroché aux basques de François Gabart, uns et donner des coups de main aux autres. Père de qui dit de son dauphin : « Jérémie est un marin qui ne deux garçons auxquels il a transmis sa passion pour lâche rien, très teigneux, sanguin. C’est beau à voir, il le sport, Jérémie allie aujourd’hui maturité et sérénité. met beaucoup d’énergie dans ce qu’il fait ». A force de EXIGEANT détermination, Jérémie Beyou s’est bâti un impression- Ambitieux, Jérémie Beyou fait preuve d’une nant palmarès : triple vainqueur de la Solitaire du Figa- grosse détermination pour remplir ses objectifs, ro, des victoires sur la Transat Jacques Vabre en 2011 d’où une exigence extrême. « Il est hyper exigeant aux côtés de Jean-Pierre Dick, l’Istanbul Europa Race envers lui et ceux qui travaillent avec lui il veut 2009 avec Michel Desjoyeaux et l’IB Group Challenge que son team aille vers l’excellence et soit aussi Palmarès (extraits) en trimaran Orma en 2005 avec Pascal Bidégorry. investi que lui. Son moteur reste l’insatisfaction de ne pas arriver à la perfection, » raconte Chris- - Triple vainqueur de la Solitaire du Figaro (2014, 2011 et 2005) topher Pratt, l’un de ses équipiers sur le Diam 24 - 2e de la Route du Rhum 2014 (IMOCA) Maître CoQ. « Bourreau de travail » pour les uns, - Vainqueur de la Transat Jacques Vabre (IMOCA) en 2011 aux côtés de Jean-Pierre Dick « investi à 250% » pour les autres, le Finistérien - Vainqueur de l’Istanbul Europa Race (IMOCA) 2009 avec Michel Desjoyeaux est « un homme précis et méticuleux ». - Vainqueur de l’IB Group Challenge (trimaran ORMA) en 2005 avec Pascal Bidégorry - Champion de France de Course au Large en Solitaire en 2002 # 4 DOSSIER DE PRESSE /// JÉRÉMIE BEYOU + MAÎTRE COQ DOSSIER DE PRESSE /// JÉRÉMIE BEYOU + MAÎTRE COQ # 5 LA SOLITAIRE DU FIGARO Plus jeune triple vainqueur de la Solitaire du Figaro aussi disputé le Challenge Espoir Crédit Agricole et (2005-2011-2014), à 38 ans, Jérémie Beyou peut j’avais terminé second juste derrière Yann (Eliès). devenir sur l’édition 2015 le seul à remporter Il s’est alors mis à préparer la Solitaire 1997, je l’épreuve pour la quatrième fois. L’occasion pour me suis dit que je devais aussi y aller et j’y suis le skipper de Maître CoQ d’évoquer les souve- parvenu avec les moyens du bord… « nirs de ses premières fois sur une épreuve qui lui est chère… Quels souvenirs gardez-vous de cette première Solitaire en 1997 ? Vous souvenez-vous de la première fois « Mon bateau s’appelait Volkswagen. Ils sont que vous avez entendu parler de toujours partenaires aujourd’hui, c’est une belle la Solitaire du Figaro ? histoire. Avant le départ d’Arcachon, j’étais parti- « Oui, j’étais tout gamin, mon père, alors en croi- culièrement stressé et j’avais ressenti un immense sière au large de Perros-Guirec, m’avait raconté soulagement en sortant du Bassin. Au final, je ter- e s’être retrouvé au milieu de la flotte de la Solitaire. mine 23 de ce Figaro, ce qui, en soi, n’était pas Il m’avait expliqué la course et cela m’avait titillé, trop mal. » au point que j’ai commencé à m’y intéresser. Adolescent, je la suivais à la radio lorsque j’allais La première fois que vous avez commencé faire les épreuves de Coupe nationale de dériveur à rêver de remporter la Solitaire ? en août aux quatre coins de la France. Je me sou- viens de Jean Le Cam et de Michel Desjoyeaux « J’ai longtemps été dans la roue de Pascal Bidé- qui enfilaient les victoires à leur guise, de vrais gorry. En 2000, nous avions pris ensemble la troi- modèles pour moi. Et Philippe Poupon, un marin sième place de la Transat AG2R, j’avais vraiment de légende, j’avais le poster dans ma chambre ! » beaucoup appris à ses côtés. Dans la foulée, il remporte la Solitaire et je finis cinquième.