Avec THOMAS DURAND, LOUIS MORA, MIRIAM HEARD Durée : 90’ SORTIE EN SALLES : 3 JUIN 2009 Dossier De Presse Et Photos Téléchargeables Sur

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Avec THOMAS DURAND, LOUIS MORA, MIRIAM HEARD Durée : 90’ SORTIE EN SALLES : 3 JUIN 2009 Dossier De Presse Et Photos Téléchargeables Sur AVEC THOMAS DURAND, LOUIS MORA, MIRIAM HEARD Durée : 90’ SORTIE EN SALLES : 3 JUIN 2009 Dossier de presse et photos téléchargeables sur www.zeligfilms.fr Distribution Presse ZELIG Zeina Toutounji-Gauvard 47, Boulevard Magenta 36, rue Raymond Fassin 75010 Paris 92240 Malakoff Tel :01-53 20 99 68 Tel :06 22 30 12 96 [email protected] [email protected] Artwork : www.fcinq.com Note duA MAISON producteur NUCINGEN est un et que ceux que l’on trouve dans les ré- film très particulier dans la carrière cits transylvaniens ne sont que de vul- Lfoisonnante de Raoul RUIZ. C’est en effet gaires copies de ceux de l’Amérique du le premier film qu’il tournait au Chili, en Sud. Synopsis L’histoire se passe dans les années 20. William, un jeune français, avec des acteurs et des techniciens aristocrate vient de gagner au poker une propriété au Chili, français. Le Chili, ce « pays du bout du monde », près de Santiago. Il y emmène sa femme Anne-Marie afin coincé entre la Cordillère des Andes qu’elle puisse s’y reposer. Dès leur arrivée, ils sont accueillis C’est aussi le premier film français et l’Océan Pacifique, est en effet un par des personnages étranges et envahissants soudés autour tourné au Chili, si l’on excepte un film mélange de diverses cultures euro- d’une oppressante et poétique figure, celle d’un fantôme, tourné en 1942 par des Français réfu- péennes. Un aboutissement pour des celui de Léonor, disparue accidentellement. La maison aux giés là-bas pour cause de guerre et qui exilés de toutes sortes qui ne pouvaient contours étouffants, devient le théâtre d’une incroyable subs- avait pour vedette le tout jeune Henri guère aller plus loin ! C’est un peu ce titution liée aux angoisses et désirs d’un homme insatisfait. Salvador ! que représente la maison où a été tour- né le film et qui lui a donné son titre : Exilé en France depuis le coup d’état du un méli-mélo de genres et de styles général Pinochet en 1973, Raoul RUIZ a différents. entrepris un retour dans son pays de- puis quelques années. Ce retour, il l’a Cette maison fut pourtant un havre pris comme une sorte de renaissance. de paix et de repos : pour des acteurs Un retour aux légendes populaires qui aux carrières trépidantes qui se retrou- ont bercé son enfance et contribué à vaient soudain apaisés, et des techni- constituer son univers si personnel. ciens qui découvraient un rythme de travail peu commun qui donnait l’im- C’est ainsi qu’il a réalisé un premier pression de tourner chez soi. film en 2004, « DIAS DE CAMPO » Les lumières incroyables des débuts et (« Journées à la Campagne »), que nous fins de journée ajoutèrent à l’impres- avons produit, et qui reçut le titre de sion terriblement cinématographique « Meilleur film de l’histoire du Chili ». du lieu qui semblait soudain tout droit C’est ainsi qu’il a adapté pour la télévi- sorti d’un décor de film américain des sion chilienne de nombreux contes, qui années 40. C’est ce sentiment qui, je ont connu un énorme succès au Chili. crois, ressort de ce film étrange. Avec « LA MAISON NUCINGEN », Raoul RUIZ a voulu prouver que les vampires pouvaient aussi être chiliens François MARGOLIN « Entre l’histoire et la légende, de plaisir, une histoire de vampires ce pays nouveau pour eux. Je voulais je choisis la légende. » pouvant se lire comme une histoire construire une histoire s’inscrivant à la Jean Faure contemporaine. Parallèlement, j’ai relu croisée de ces différentes thématiques, certains romans gothiques, notamment trois récits s’enchevêtrant au cœur d’un Camilla de Sheridan Le Fanu, l’une des même film. Je me suis souvenu de mes premières œuvres littéraires mettant en conversations avec Alain Robbe-Grillet, scène des vampires. de ses fictions qui peuvent s’aborder de Raoul Ruiz plusieurs façons, qui sont tout autant inéaste incontournable, ayant mené, En m’y replongeant, j’ai été marqué de l’ordre de l’Histoire que de la Géo- de Généalogie d’un crime à Klimt, de par une fable, dont j’ai d’ailleurs lu Plusieurs approches graphie. J’aime ces différents niveaux CTrois vies et une seule mort au Temps re- une version française, celle d’un che- C’est une histoire difficile à résumer, de lecture, les événements ont toujours, trouvé, une carrière internationale riche et valier du XIème siècle n’arrivant pas à plusieurs récits se superposent. Je te- même dans les pays les plus dévelop- variée, Raoul Ruiz est dernièrement retour- dépasser la mort de sa femme. Il n’ar- nais absolument à ménager plusieurs pés, une lecture rationnelle, une lecture né sur les pas de son enfance, il a retrouvé rive pas à reconstruire sa vie, les an- entrées, plusieurs lectures. La pre- poétique, une lecture plus magique, le chemin du Chili, son pays natal et il y nées passent et alors qu’il se promène mière, la plus simple, c’est l’histoire irréelle. Depuis quelques années j’at- puise depuis une nouvelle intimité cinéma- un jour en forêt il se retrouve face aux d’un homme dont la femme meurt, taque mes films de cette façon, en les tographique nourrie d’une culture emplie Dames blanches, des figures féeriques, se mariant avec celle demeurant dans abordant sous des angles multiples. de légendes ancestrales. de mauvaises fées, dont les apparitions cette maison où il vit, et retrouvant C’est une réaction à ce que l’on sonnent l’annonce d’une catastrophe. sa femme plusieurs années plus tard, appelle aujourd’hui la flèche Parmi ces dames blanches, il recon- une trame médiévale avec toute son narrative, presque une Une légende aux contours féeriques naît sa propre femme, qui lui apparaît ambivalence, dont il est possible de dictature, liée à des au- Je voulais adapter le roman Made- de manière totalement naturelle, ce tirer diverses interprétations. La se- tomatismes de lecture, il moiselle Christina de Eliade Mircea, qui m’amusait beaucoup. Ils repartent conde approche pourrait être celle faut garder une ligne, ne mais les droits n’étant pas disponibles, alors ensemble et poursuivent leur vie, d’un homme écrivant un roman, où se surtout pas dérouter le je me suis tourné vers une autre his- la chute de cette histoire étant qu’elle situe dés lors le niveau du récit, est-ce spectateur, ce qui toire s’en rapprochant, une histoire avait autrefois été enlevée par les fées son histoire ou celle qu’il invente ? J’ai n’est pas accep- universelle, celle d’un amour liant un et remplacée par une autre femme, un consacré une autre strate du film à ces table. C’est homme à une femme lui apparaissant double, celle qui était morte. J’ai adoré émigrés nostalgiques, que j’ai eu l’occa- en sous la forme d’un fantôme. Je viens cette légende se rapprochant du mythe sion de rencontrer à l’époque, venus se d’une famille paysanne du Chili an- des vampires. réfugier au Chili, des Allemands, des crée dans certaines traditions cultu- Autrichiens n’arrivant pas s’ac- relles et ces histoires font partie de climater, à trouver leur place notre folklore. Je m’en suis souvenu L’esprit du film au cœur de il y a quelques années et j’ai eu envie Au-delà de cette légende médiévale, je de m’y arrêter, je voulais revenir vers me suis tourné vers de nombreuses sé- mes origines, tourner des films autour ries B que j’aime beaucoup, je me suis de ma propre culture, de ses ambiguï- rapproché du style de Jacques Tour- tés, ses complexités, sa popularité, ses neur, par exemple, dont je me suis religions perdues, beaucoup de choses inspiré. J’ai également pensé à un film se confrontant dans l’histoire du Chili. méconnu de Roger Vadim, Et mourir forçant de ne pas rendre ma mise en crédibilité. Elle peut ainsi appréhender scène esclave d’une linéarité insuppor- une situation dramatique se trouvant table que je peux m’évader vers une en même temps totalement incohé- forme de narration plus lyrique et plus rente et décalée, comme lorsqu’elle af- contemplative. firme dans le film que ce n’est pas son sang, qu’il n’a pas reconnu le goût de son sang. Jean-Marc a cette capacité, La maison comme beaucoup d’Américains, de Elsa Zylberstein Elle date du XVIIIème siècle, elle a une pouvoir rendre crédible des situations ès ses premiers pas, face à Maurice L’histoire âme. Elle se trouve prés de la Cordillère qui ne sont absolument pas réalistes. Il Pialat qui lui confie le rôle d’une pros- Pour moi, c’est une métaphore du dé- des Andes, des jésuites y vivaient, puis apporte un côté terre à terre nécessaire Dtituée dans « Van Gogh », Elsa Zylberstein racinement. Le film montre qu’il est elle a appartenu à des Français, on y au récit. Audrey, je n’ai pas eu peur a toujours su, de « Mina Tannenbaum » difficile de se séparer de ses fantômes, trouve de nombreux styles qui s’entre- d’exploiter sa facette de mannequin à « L’homme est une femme comme les de s’éloigner de son passé. Raoul Ruiz choquent, ce qui me convenait. Nous et je lui ai demandé de prendre des autres », de « Beau Fixe » à « La fabrique exprime cette schizophrénie que l’on y sentions une sorte de présence trou- poses allant en ce sens, de se compor- des sentiments », apporter une fervente in- trouve chez les déracinés.
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