RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS

N° 8 – AOUT 2011

Depuis le 1er janvier 2010, les actes de l'agence régionale de santé Rhône-Alpes sont publiés dans des numéros spéciaux du recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes – adresse : 31 rue Mazenod – 69426 LYON Cedex 3 Internet : www.rhone-alpes.pref.gouv.fr

Date de parution : 14 septembre 2011

1 SOMMAIRE D'AOUT 2011

REGLEMENTATION...... 11

I – ACTES DU PREFET DE LA ...... 13

CABINET...... 14

SERVICE DEPARTEMENTAL D'INCENDIE ET DE SECOURS...... 14 ARRÊTÉ ACCORDANT LA MÉDAILLE D'HONNEUR DES SAPEURS-POMPIERS - PROMOTION DU 14 JUILLET 2011...... 14 BUREAU DE LA SÉCURITÉ ET DE LA POLICE ADMINISTRATIVE...... 19 ARRÊTÉ N° 249/2011 DU 01/08/2011 AUTORISANT LA REPRISE DU COMMERCE DE DETAIL D'ARMES DE LA 6ÈME CATÉGORIE ÉNUMÉRÉES À L’ARTICLE 2 DU DÉCRET N° 95-589 DU 6 MAI 1995 MODIFIÉ SIS 7 RUE LEON NAUTIN A SAINT-ETIENNE, SOUS LA DENOMINATION SOCIALE « FIFILOTTE » ET L'ENSEIGNE « COMMANDO & CO » ...... 19

ARRETE N° 219/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU COMMISSARIAT DE POLICE DE FIRMINY...... 20

ARRETE N°214/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN « PETIT CASINO » A ROANNE...... 22

ARRETE N°235/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ENTREPRISE DINATEC SA À VILLARS...... 23

ARRETE N°220/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «AVDM» A ROANNE...... 25

ARRETE N°208/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ENTREPRISE « AXLETECH INTERNATIONAL » À SAINT-ETIENNE...... 27

ARRETE N° 229/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU BAR TABAC « CHEZ GAUTHIE » À SAINT-ETIENNE...... 29

ARRETE N° 226/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU BAR TABAC RESTAURANT « LA PICARDE » A ROANNE...... 31

ARRETE N°225/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU BAR TABAC «LES 4 AS» À ST JUST ST RAMBERT...... 33

ARRETE N° 227/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU BAR TABAC « PURPLE CAFE » À ST-ETIENNE...... 35

ARRETE N° 222/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «BERSHKA» À SAINT-ETIENNE...... 36

ARRETE N° 203/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «BETAMAT DECO BRICO» A RENAISON...... 38

ARRETE N°218/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN « BLUE BOX » À SAINT-ETIENNE...... 40

2 ARRETE N° 231/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BOULANGERIE PATISSERIE « MAISON ALLIONE » A LA TALAUDIERE...... 42

ARRETE N° 211/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BOULANGERIE POUILLY A SAINT-JUST-SAINT- RAMBERT...... 44

ARRETE N° 233/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BRASSERIE PMU « LE VINCENNES » À SAINT- ETIENNE...... 46

ARRETE N° 204/2011 DU 19/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU CASINO DE NOIRETABLE...... 48

ARRETE N°221/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU COMMISSARIAT DE POLICE DE RIVE-DE-...... 50

ARRETE N°224/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU COMMISSARIAT DE POLICE DE ST-CHAMOND...... 52

ARRETE N° 205/2011 DU 19/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'HYPERMARCHE GEANT CASINO À FIRMINY...... 54

ARRETE N° 223/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU RESTAURANT / PUB « LE NAUTILUS » À SAINT-ETIENNE...... 56

ARRETE N° 234/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU DEBIT DE TABAC « MAISON DE LA PRESSE » À NOIRETABLE...... 58

ARRETE N°212/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN « MONOPRIX SA » A ROANNE...... 60

ARRETE N° 206/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN NETTO À MABLY...... 62

ARRETE N° 207/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN NETTO À ROANNE...... 64

ARRETE N°228/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PHARMACIE FROPIER A ST ETIENNE...... 66

ARRETE N° 209/2011 DU 19/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU RESTAURANT « MC DONALD'S » À MABLY...... 68

ARRETE N° 215/2011 DU 19/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L'ARRETE DU 15 DECEMBRE 2009 AUTORISANT L'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA « SARL SAPEC » À UNIEUX...... 70

ARRETE N° 230/2011 DU 19/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU TABAC PRESSE « LE REINITAS » À SAINT-ETIENNE...... 71

ARRETE N° 210/2011 DU 19/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN « TWINNER SPORT - SAS FREQUENCE » À MONTBRISON...... 73

3 BUREAU DE LA COMMUNICATION ET DE LA REPRÉSENTATION DE L'ETAT...... 75 ARRETE N° 2011-42 DU 18/08/2011 NOMMANT LES DELEGUES DU PREFET AUX COMMISSIONS ADMINISTRATIVES DE REVISION DES LISTES ELECTORALES POUR 2011/2012...... 75 SERVICE INTERMINISTÉRIEL DE DÉFENSE ET DE PROTECTION CIVILE...... 82 ARRETE N° 14-11 DU 29/07/2011 PORTANT APPROBATION DES DISPOSITIONS ORSEC GENERALES « EAU POTABLE »...... 82 DIRECTION DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DES AFFAIRES JURIDIQUES...... 83

BUREAU DU CONTRÔLE DE LÉGALITÉ, DE L'INTERCOMMUNALITÉ ET DES ENQUÊTES PUBLIQUES...... 83 ARRETE N° 2011/00347 DU 02/08/2011 PORTANT DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE DES ACQUISITIONS, TRAVAUX ET EQUIPEMENTS NECESSAIRES A LA REALISATION DE LA ZONE D'AMENAGEMENT CONCERTE PONT DE L'ANE MONTHIEU SUR LES COMMUNES DE SAINT- ETIENNE ET DE saint-jean-BONNEFONDS...... 83

ARRETE N° 361 DU 01/08/2011 PORTANT NOMINATION DU COMPTABLE DE L'ETABLISSEMENT PUBLIC D'AMENAGEMENT DE ST ETIENNE (EPASE)...... 86

ARRETE N° 2011/ 369 DU 23/08/2011 PORTANT SUPPRESSION DU PASSAGE A NIVEAU PUBLIC N° 58 DE LA SECTION DE LIGNE DE CHEMIN DE FER DE CLERMONT-FERRAND A SAINT-JUST- SUR-LOIRE SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE DE SAINT-PRIEST-LA-VETRE...... 87

ARRÊTÉ N° 2011/366 DU 25/08/2011 DECLARANT D'UTILITE PUBLIQUE L'AMENAGEMENT D'UN PARC DE STATIONNEMENT A L'ENTREE DU BOURG SUR LA COMMUNE DE LAVIEU...... 88

ARRÊTÉ N° 2011/365 DU 25/08/2011 DECLARANT D'UTILITE PUBLIQUE L'EXTENSION DE LA ZONE ARTISANALE DE VILLEDIEU SUR LA COMMUNE DE CHEVRIERES A LA DEMANDE DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DE FOREZ-EN-LYONNAIS...... 89

ARRÊTÉ N° 2011/370 DU 30/08/2011 DECLARANT D'UTILITE PUBLIQUE L'AMENAGEMENT DE L'ACCES AU SITE DU PRESBYTERE SUR LA COMMUNE DE ...... 90 SECRETARIAT GENERAL AUX AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET ECONOMIQUES...... 91

SERVICE DE L'ECONOMIE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE...... 91 ARRETE N° 2011-24 DU 11/07/2011 PORTANT LABELLISATION DU RELAIS DE SERVICES PUBLICS DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DE VALS D'AIX ET D'ISABLE...... 91

ARRETE MODIFICATIF N° 2011-26 DU 11/07/2011 PORTANT COMPOSITION ET RENOUVELLEMENT DE LA COMMISSION DE SURENDETTEMENT DES PARTICULIERS DE LA LOIRE...... 91

ARRETE N° 2011-025 DU 11/07/2011 PORTANT LABELLISATION DU RELAIS DE SERVICES PUBLICS DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU PAYS DE CHARLIEU...... 92 SOUS-PREFECTURE DE ROANNE...... 93 ARRETE SPR 118/06-07 DU 05/07/2011 RELATIF AU TRANSFERT DE PROPRIETE A LA COMMUNE DE SAINT BONNET LES QUARTS DES PARCELLES AU LIEU-DIT « LE HAUT DE GAILLEFAUT » ...... 93 SOUS-PREFECTURE DE MONTBRISON...... 93 ARRÊTÉ N° 11/94 DU 11/08/2011 PORTANT HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNÉRAIRE...... 93 AUTRES SERVICES DE L'ETAT DANS LE DEPARTEMENT...... 94

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES...... 94 ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-534 DU 02/08/2011 PORTANT RETRAIT D'AUTORISATION ACCORDEE AU TITRE DE L'ARTICLE L.214-3 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT CONCERNANT LE SEUIL DU MOULIN BLANC SUR LE RHINS COMMUNE DE SAINT-VICTOR-SUR-RHINS...... 94

4 ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-533 DU 02/08/2011 SUPPRIMANT LE DROIT FONDE EN TITRE SEUIL DU MOULIN DE PRAMONDON SUR LE RHINS COMMUNE DE SAINT-SYMPHORIEN-DE-LAY...... 96

ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-630 DU 06/08/2011 LEVANT LES RESTRICTIONS DE CERTAINS USAGES DE L’EAU DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 98

ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-636 DU 19/08/2011 FIXANT LES PRESCRIPTIONS DE LIMITATION DE CERTAINS USAGES DE L’EAU DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 99

ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-573 DU 23/08/2011 AUTORISANT LA CAPTURE D'ESPECES PISCICOLES A DES FINS SCIENTIFIQUES...... 102

ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-572 DU 27/07/2011 AUTORISANT LA CAPTURE ET LE TRANSPORT D'ESPECES PISCICOLES ET ASTACICOLES A DES FINS SCIENTIFIQUES...... 105

ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-496 DU 27/06/2011 AUTORISANT LA CAPTURE ET LE TRANSPORT D'ESPECES PISCICOLES ET ASTACICOLES A DES FINS SCIENTIFIQUES...... 107

ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-641 DU 23/08/2011 PORTANT PROROGATION DE L'ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-496 DU 27 JUIN 2011 AUTORISANT LA CAPTURE ET LE TRANSPORT D'ESPECES PISCICOLES ET ASTACICOLES A DES FINS SCIENTIFIQUES...... 109

ARRETE PREFECTORAL DT-11-627 DU 03/08/2011 PORTANT DEROGATION AU REGIME D'INTERDICTION DE CAPTURE D'ESPECES PROTEGEES DE FAUNE...... 109

ARRETE PREFECTORAL N° DT 11-642 DU 26/08/2011 PORTANT AUTORISATION DE CAPTURE ET ENLÈVEMENT DES SPÉCIMENS D’ESPÈCES ANIMALES PROTÉGÉES DESTRUCTION, ALTÉRATION DÉGRADATION DES SITES DE REPRODUCTION OU D'AIRES DE REPOS DE SPÉCIMENS D’ESPÈCES ANIMALES PROTÉGÉES...... 111 DELEGATION TERRITORIALE DE L'AGENCE REGIONALE DE SANTE...... 113 ARRETE ARS N° 2011-2590 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « LA RÉCAMIÈRE » À LA RICAMARIE POUR L’ANNÉE 2011...... 113

ARRETE ARS N° 2011-2589 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « MAISON DE L’AMITIÉ » À UNIEUX POUR L’ANNÉE 2011...... 114

ARRETE ARS N° 2011-2588 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE BOURG ARGENTAL POUR L’ANNÉE 2011...... 115

ARRETE ARS N° 2011-2587 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD SEMAD 24/24 LE COTEAU POUR L’ANNÉE 2011...... 116

ARRETE ARS N° 2011-2585 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE SAINT GALMIER POUR L’ANNÉE 2011...... 118

ARRETE ARS N° 2011-2584 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE CHARLIEU POUR L’ANNÉE 2011...... 119

ARRETE ARS N° 2011-2583 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE BELMONT DE LA LOIRE POUR L’ANNÉE 2011...... 121

5 ARRETE ARS N° 2011-2582 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE SAINT HEAND POUR L’ANNÉE 2011...... 122

ARRETE ARS N° 2011-2807 DU 28/07/2011 MODIFIANT LE NUMÉRO FINESS DE L’ARRÊTÉ 2011-2351 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’EHPAD « LA ROSERAIE» À ST JEAN BONNEFOND POUR L’ANNÉE 2011...... 123

ARRETE ARS N° 2011-2799 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE L’AIMV À SAINT ETIENNE POUR L’ANNÉE 2011...... 124 ARRETE ARS N° 2011-2803 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE LA MRL À SAINT JUST SAINT RAMBERT POUR L’ANNÉE 2011...... 126

ARRETE ARS N° 2011-2808 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’EHPAD « MAISON DE RETRAITE DÉPARTEMENTALE DE LA LOIRE » À ST JUST ST RAMBERT POUR L’ANNÉE 2011...... 128

ARRETE ARS N° 2011-2804 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE LA MUTUALITÉ FRANÇAISE DE LA LOIRE À ST ETIENNE POUR L’ANNÉE 2011...... 129

ARRETE ARS N° 2011-2806 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE L’ACCUEIL DE JOUR « VOLUBILIS » À MONTBRISON POUR L’ANNÉE 2011...... 129

ARRETE ARS N° 2011-2802 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE MEDICA FRANCE À SAINT-ETIENNE POUR L’ANNÉE 2011...... 130

ARRETE ARS N° 2011-2800 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE L’ADEF À SAINT-ETIENNE POUR L’ANNÉE 2011...... 132

ARRETE ARS N° 2011-2586 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD VIVRE A DOMICILE À SAINT CHAMOND POUR L’ANNÉE 2011...... 133

ARRETE ARS N° 2011-2805 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE LA PETITE UNITÉ DE VIE « L’OASIS » AU CHAMBON FEUGEROLLES POUR L’ANNÉE 2011...... 134

ARRÊTÉ N°2011-2048 DU 27/06/2011...... 135

ARRÊTÉ N°2011-2047 DU 27/06/2011...... 136

ARRÊTÉ N°2011-2046 DU 27/06/2011...... 136

ARRÊTÉ N°2011-2045 DU 27/06/2011...... 137

ARRÊTÉ N°2011-2044 DU 27/06/2011...... 137

ARRETE PREFECTORAL N° 2011 – 085 DU 29/07/2011 PORTANT MISE EN DEMEURE A LA COMMUNE DE ST BONNET LES OULES DE DEPOSER UN DOSSIER DE DEMANDE D’AUTORISATION D’UTILISATION DE L’EAU POUR LA CONSOMMATION HUMAINE ET D’ETABLISSEMENT DES PERIMETRES DE PROTECTION AUTOUR DU PUITS DES BROSSES...... 138

ARRÊTÉ N° 2011-1972 EN DATE DU 21/06/2011 PORTANT ANNULATION DE LA LICENCE D’EXPLOITATION D’UNE PHARMACIE D’OFFICINE DE BOURG ARGENTAL...... 139

6 ARRETE ARS N° 2011-3192 DU 04/08/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « LES MARRONNIERS » À VILLARS POUR L’ANNÉE 2011...... 140

ARRETE ARS N° 2011-3194 DU 04/08/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE LA RICAMARIE POUR L’ANNÉE 2011...... 141

ARRETE ARS N° 2011-2801 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE L’ONDAINE À FIRMINY POUR L’ANNÉE 2011...... 142

ARRETE ARS N° 2011-3193 DU 04/08/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU CHAMBON FEUGEROLLES POUR L’ANNÉE 2011...... 143

ARRÊTÉ N° 2011/1979 EN DATE DU 22/062011 AUTORISANT LA SOUS-TRAITANCE POUR LA RECONSTITUTION DE MÉDICAMENTS ANTICANCÉREUX INJECTABLES PAR L’INSTITUT DE CANCÉROLOGIE DE LA LOIRE (42) POUR LE COMPTE DE L’HÔPITAL PRIVÉ DE LA LOIRE (42)...... 145

ARRÊTÉ N°2011/2066 EN DATE DU 28/06/2011 AUTORISANT LE TRANSFERT DE LA PHARMACIE D’OFFICINE PHARMACIE BRANLY À ROANNE...... 146

ARRÊTÉ N°2011/3234 EN DATE DU 04/08/2011 MODIFIANT L’AUTORISATION DE TRANSFERT DE LA PHARMACIE D’OFFICINE SELARL « PHARMACIE BRANLY » À ROANNE...... 147

ARRÊTÉ N°2011/1978 EN DATE DU 22/06/2011 ANNULANT ET REMPLAÇANT L’ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2002-377 DU 04 JUIN 2002 – NOUVEAU NUMÉROTAGE DE L’ADRESSE DE L’OFFICINE DE PHARMACIE GÉRÉE PAR MONSIEUR MURAT À VOUGY...... 148

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3214 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DES PRIX DE JOURNÉE POUR L’ANNÉE 2011 DU C.R.E.P.S.E...... 148

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011- 3215 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DE LA DOTATION GLOBALE POUR 2011 DE L’ UEROS...... 150

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3216 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DU FORFAIT GLOBAL ANNUEL DE SOINS POUR L’ANNÉE 2011 DU FAM PHV « L’EMBELLIE »...... 152

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3217 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DU FORFAIT GLOBAL ANNUEL DE SOINS POUR L’ANNÉE 2011 DU FAM DU PILAT...... 154

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3218 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DES FORFAITS GLOBAUX ANNUELS DE SOINS POUR L’ANNÉE 2011 DU FAM « CENTRE MUTUALISTE DES HANDICAPS » DE FEURS ET DU FAM « RÉSIDENCE ALPHA » DE CHAMPDIEU...... 155

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3219 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DU FORFAIT GLOBAL ANNUEL DE SOINS POUR L’ANNÉE 2011 DU FAM « VILLAGE SAINT-EXUPÉRY »...... 157

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3220 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DU FORFAIT GLOBAL ANNUEL DE SOINS POUR 2011 DU SAMSAH AUTONOMIA...... 159

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3221 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DU FORFAIT SÉANCE POUR 2011 DU CMPP DE SAINT-ETIENNE...... 161

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3222 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DES DOTATIONS GLOBALES POUR 2011 DU SESSAD « DYS » DE SAINT-ETIENNE ET DU SESSAD « TED » DE SAINT- ETIENNE...... 162

7 ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3224 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DE LA DOTATION GLOBALE POUR 2011 DU SESSAD TRISOMIE 21 DE SAINT-ETIENNE...... 164

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3225 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DES PRIX DE JOURNÉE POUR L’ANNÉE 2011 DE L’I.M.E. « SAINTE-MATHILDE »...... 166

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3226 DU 05/08/2011 PORTANT FIXATION DES PRIX DE JOURNÉE POUR L’ANNÉE 2011 DE L’I.M.E. « LA MAISON DE SÉSAME »...... 168

ARRÊTÉ N° 2011/2141 EN DATE DU 29/06/2011 PORTANT AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT DU LABORATOIRE DE BIOLOGIE MÉDICALE MULTI SITES LBM « ANABIOQUAL»...... 170

ARRÊTÉ N° 2011/2140 EN DATE DU 29/06/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’AGRÉMENT DE LA SOCIÉTÉ D’EXERCICE LIBÉRAL DE BIOLOGISTES MÉDICAUX SELARL «ANABIOQUAL» SISE À SAINT ETIENNE...... 172

ARRETE N° 2011- 082 DU 21/07/2011 RELATIF A LA MAIN-LEVEE D’UN ARRETE D’INSALUBRITE CONCERNANT l’immeuble sis Le bourg 42940 – ST BONNET LE COURREAU (H 611)...... 173

ARRÊTÉ N° 2010/1815 EN DATE DU 11/08/2010 ABROGEANT LA LICENCE D’EXPLOITATION ACCORDÉE À L’OFFICINE DE PHARMACIE SNC TAMET GREFFE-MICHEL SISE À FIRMINY...... 174

ARRÊTÉ N°2010/3849 EN DATE DU 01/12/2010 ANNULANT ET REMPLAÇANT L’ARRÊTÉ N°2010/215 EN DATE DU 04 MAI 2010 ET AUTORISANT LE TRANSFERT DE LA PHARMACIE D’OFFICINE DE MONSIEUR CROZET...... 175 DIRECTION DEPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES DE LA LOIRE...... 176 ARRETE DU 11/07/2011 PORTANT RENOVATION ET CONSERVATION DU CADASTRE DE LA COMMUNE DE SAINT HEAND : CLOTURE DES TRAVAUX DE REMANIEMENT CADASTRAL...... 176 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS...... 177 ARRETE N° 336-DDPP-11 DU 25/08/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE DÉFINITIF DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 177

ARRETE N° 338-DDPP-11 DU 25/08/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE DÉFINITIF DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 178

ARRETE N° 337-DDPP-11 DU 25/08/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE DÉFINITIF DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 178 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE...... 179 ARRETE DU 21/07/2011 PORTANT APPROBATION DE LA CONVENTION CONSTITUTIVE DU GROUPEMENT DE COOPERATION SOCIALE « SIAO LOIRE »...... 179

ARRETE DU 09/08/2011 FIXANT LA LISTE DES MANDATAIRES JUDICIAIRES À LA PROTECTION DES MAJEURS ET DES DÉLÉGUÉS AUX PRESTATIONS FAMILIALES HABILITÉS À EXERCER DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 180 UNITE TERRITORIALE DE LA DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI...... 182 ARRETE N° 11-34 DU 19/07/2011 PORTANT AGREMENT D’UNE SOCIETE COOPERATIVE D’INTERET COLLECTIF...... 182

ARRETE N° 11-33 DU 04/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.07.11-F-042-S-029...... 182

ARRETE N° 11-36 DU 05/08/2011 PORTANT AGREMENT – SIMPLE – D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° N-05.08.11-F-042-S-030...... 184

8 ARRETE N° 11-37 DU 05/08/2011 PORTANT AGREMENT – SIMPLE – D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° N-05.08.11-F-042-S-031...... 185

ARRETE N° 11-38 DU 24/08/2011 PORTANT AGREMENT – SIMPLE – D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° N-24.08.11-F-042-S-032...... 186

ARRETE N° 11-39 DU 29/08/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT – SIMPLE - D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-01.09.11-F-042-S-033...... 187 II – ARRETES CONJOINTS...... 189 ARRETE N° 334/2011 DU 09/08/2011 ACTANT LE RETRAIT DE LA COMMUNE DE CHENAY LE CHÂTEL DU SYNDICAT D'ETUDES ET DE PROGRAMMATION POUR L'AMÉNAGEMENT DU ROANNAIS (SYEPAR) ...... 190

ARRETE INTERPREFECTORAL N° 4503 DU 11/08/2011 RELATIF À LA MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT MIXTE DU SCOT DES MONTS DU LYONNAIS ...... 191 III- ACTES DES AUTRES AUTORITES...... 195

PREFECTURE DU PUY DE DOME...... 196 ARRÊTÉ N°11/01717 DU 01/08/2011 PORTANT MODIFICATION DE LA COMPOSITION DE LA COMMISSION LOCALE DE L’EAU (CLE) DU SCHÉMA D'AMÉNAGEMENT ET DE GESTION DES EAUX (SAGE) DE LA DORE...... 196 RESEAU FERRE DE FRANCE...... 197 DECISION DE DECLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC EN DATE DU 07/07/2011 (établie en deux exemplaires originaux)...... 197

DECISION DE DECLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC EN DATE DU 07/07/2011 (établie en deux exemplaires originaux)...... 198

DECISION DE DECLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC AFFECTANT LA CONSISTANCE DU RESEAU EN DATE DU 26/08/2011 (établie en deux exemplaires originaux)...... 199 DIRECTION INTERDÉPARTEMENTALE DES ROUTES CENTRE-EST SERVICE RÉGIONAL D'EXPLOITATION DE MOULINS...... 201 ARRETÉ N° 2011-M-42-062 DU 18/08/2011 PORTANT RÉGLEMENTATION TEMPORAIRE DE LA CIRCULATION - TRAVAUX DE RÉFECTION DE JOINTS DE CHAUSSÉE DES OA SUR LE PONT DU CANAL ET LE PONT SUR LE RHINS RN7 DANS LES DEUX SENS DU PR 31+920 AU PR 33+250 COMMUNE DE ROANNE...... 201 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE SAINT-ETIENNE...... 203 DÉCISION N° 2011-01 DU 12/07/2011 PORTANT DÉLÉGATION DE SIGNATURE...... 203

DÉCISION N°2011-102 DU 02/08/2011 RELATIVE AUX TARIFS DE RESTAURATION (COMPLÉTANT LA DÉCISION 2011-02)...... 204

DECISION N°2011-103 DU 02/08/2011 RELATIVE AUX TARIFS DE MEDECINE LEGALE ET SERVICE MORTUAIRE (COMPLÉTANT LA DÉCISION 2011-02)...... 207 DIRECTION INTERREGIONALE DE LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE CENTRE-EST...... 208 ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DE L’ÉTABLISSEMENT « ALTERNATIVE » IMPLANTÉ 42430 CHAMPOLY...... 208

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU FOYER « L’ARC-EN-CIEL » IMPLANTÉ 675 ROUTE DES BOURDONNES – BP 804 GÉNILAC – 42808 RIVE DE GIER CEDEX...... 209

9 ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU FOYER « BEL-AIR » IMPLANTÉ 54 RUE MADIGNIER – 42100 ST ETIENNE...... 210

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU FOYER EDUCATIF IMPLANTÉ 13 BD DE BELGIQUE – 42300 ROANNE...... 211

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU FOYER UNITÉ JEUNES MAJEURES (UJM) IMPLANTÉ 32 RUE DE LA CONVENTION – 42100 SAINT ETIENNE...... 213

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DE LA MAISON D’ENFANTS À CARACTÈRE SOCIAL (MECS) « JB. D’ALLARD» IMPLANTÉE 4 RUE DU 8 MAI – 42600 MONTBRISON...... 214

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DE LA MAISON D’ENFANTS À CARACTÈRE SOCIAL (MECS) « LE MOLLARD » IMPLANTÉE 37 RUE FERDINAND BUISSON ET 34 RUE MARÉCHAL JUIN – BP 186 – 42801 RIVE DE GIER...... 215

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU SERVICE D’ACTION EDUCATIVE EN MILIEU OUVERT (SAEMO) IMPLANTÉ 2 PLACE JEAN JAURÈS – 42000 ST ETIENNE ET 7 RUE F. POUTIGNAT – 42300 ROANNE...... 216

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU SERVICE D’ACCUEIL ET D’ORIENTATION IMPLANTÉ 31 RUE ETIENNE MIMARD – 42100 SAINT ETIENNE...... 217

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU SERVICE EDUCATIF EN MILIEU OUVERT (SEMO) IMPLANTÉ 67 RUE DE TERRENOIRE – 42100 SAINT ETIENNE...... 218

ARRÊTÉ DU 11/08/2011 PORTANT TARIFICATION 2011 DU CENTRE EDUCATIF RENFORCÉ « ITINÉRANCE » GÉRÉ PAR L’ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE DE SAUVEGARDE DE L’ENFANT À L’ADULTE (A.D.S.E.A.)...... 219

ARRÊTÉ DU 11/08/2011 PORTANT TARIFICATION POUR L’ANNÉE 2011 DU SERVICE D’ENQUÊTES SOCIALES GÉRÉ PAR L’ADSEA DE LA LOIRE...... 221

ARRÊTÉ DU 11/08/2011 PORTANT TARIFICATION POUR L’ANNÉE 2011 DU SERVICE D’INVESTIGATIONS ET ORIENTATIONS EDUCATIVES GÉRÉ PAR L’ADSEA DE LA LOIRE...... 222

ARRÊTÉ DU 31/07/2011 PORTANT TARIFICATION 2011 DU SERVICE DE RÉPARATION PÉNALE DE SAINT-ÉTIENNE GÉRÉ PAR L’ASSOCIATION DE GESTION D’ACTION SOCIALE DES ENSEMBLES FAMILIAUX (A.G.A.S.E.F.)...... 224 IV – INFORMATION...... 227

DECISIONS DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'AMENAGEMENT COMMERCIAL...... 228

DIVERS CONCOURS...... 229 AVIS DE CONCOURS INTERNE SUR TITRES EN VUE DE POURVOIR UN POSTE DE CADRE DE SANTÉ (FILIÈRE INFIRMIÈRE) AU CENTRE HOSPITALIER DE DIE (26)...... 229

10 REGLEMENTATION

11 12 I – ACTES DU PREFET DE LA LOIRE

13 CABINET

SERVICE DEPARTEMENTAL D'INCENDIE ET DE SECOURS

ARRÊTÉ ACCORDANT LA MÉDAILLE D'HONNEUR DES SAPEURS-POMPIERS - PROMOTION DU 14 JUILLET 2011 Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le Code des Communes, livre III, titre V, relatif à la protection contre l'incendie, et notamment ses articles R 352- 50 et R 352-52 ; VU la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ; VU le décret n° 68-1055 du 29 novembre 1968 portant déconcentration en matière d'attribution de la Médaille d'Honneur des Sapeurs-Pompiers ; VU le décret n° 90-850 du 25 septembre 1990 portant dispositions communes à l'ensemble des sapeurs-pompiers professionnels, et notamment ses articles 13 et 16 ; VU le décret n° 99-1039 du 10 décembre 1999 relatif aux sapeurs-pompiers volontaires, et notamment les articles 47 à 50 ; Sur proposition de Monsieur le Directeur de Cabinet ;

ARRETE

ARTICLE 1er - La Médaille d'Honneur avec Rosette est décernée, pour services exceptionnels, aux sapeurs- pompiers dont les noms suivent :

MEDAILLE D'ARGENT AVEC ROSETTE

Compagnie Pilat-sud

• M. BAJU Bernard, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Pierre de Boeuf.

Compagnie Ouest Stéphanois

• M. BERTAIL Maurice, major professionnel au centre d'incendie et de secours de Saint-Etienne Chavanelle.

ARTICLE 2 - La Médaille d'Honneur d'ancienneté est décernée aux sapeurs-pompiers dont les noms suivent, qui ont constamment fait preuve de dévouement :

MEDAILLE D'OR

Compagnie Sornin

• M. BURDIN Laurent, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de Pouilly-sous-Charlieu.

Compagnie Roannaise

• M. HENRIQUE Michel, adjudant-chef professionnel au centre d'incendie et de secours de Roanne, • M. MORLAT Jean-François, adjudant professionnel au centre d'incendie et de secours de Roanne.

Compagnie Gorges de la Loire

• M. GOUSSET Yves, lieutenant volontaire au centre d'incendie et de secours de Bussières, • M. MUZELLE Roland, capitaine volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint Symphorien de Lay.

Compagnie Est Forez

14 • M. BONHOMME Joël, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Chazelles-sur-Lyon, • M. BROSSAT Bernard, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Rozier en Donzy, • M. VALLOIRE Michel, médecin-capitaine volontaire au centre d'incendie et de secours de Rozier en Donzy.

Compagnie Ouest Forez

• M. CHAVE Jacques, major professionnel à la compagnie Ouest Forez, • M. DUCHEZ Philippe, lieutenant volontaire au centre d'incendie et de secours de Montbrison, • M. FORISSIER André, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Romain le Puy, • M. THOMASSERY Jean-Paul, lieutenant volontaire au centre d'incendie et de secours de Boën sur Lignon.

Compagnie Sud Forez

• M. CHALAYER Pierre, lieutenant volontaire au centre d'incendie et de secours d'Andrézieux-Bouthéon, • M. PELLETIER Henri, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Sury le Comtal.

Compagnie La Métare Haut-Pilat

• M. BERTHAIL Jean-Paul, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Genest Malifaux, • M. VIALON Maurice, capitaine volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Genest Malifaux.

Compagnie Gier

• M. BONNARD Charles, adjudant professionnel au centre d'incendie et de secours de Saint-Chamond, • M. DELEAGE Eric, sergent-chef au centre d'incendie et de secours de .

Compagnie Nord Stéphanois

• M. ROUSSET Gérard, adjudant-chef au centre d'incendie et de secours de Saint-Etienne La Terrasse.

Compagnie Ondaine Haut-Forez

• M. AIVALIOTIS Robert, lieutenant volontaire au centre d'incendie et de secours de Le Chambon Feugerolles, • M. COLOMBET Christian, major professionnel au centre d'incendie et de secours de Saint-Bonnet Saint- Nizier, • M. FAYARD Jean-Claude, caporal-chef au centre d'incendie et de secours de Saint-Bonnet Saint-Nizier, • M. GRANGE Marc, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Bonnet Saint-Nizier, • M. MUSIAL Philippe, lieutenant volontaire au centre d'incendie et de secours de Le Chambon Feugerolles.

Direction

• M. SZCZEPANSKI Bernard, caporal-chef professionnel au bureau communication.

Pôle ressources

• M. BLANCHARD Jacques, adjudant-chef professionnel au bureau des matériels, • M. VASSAL André, sergent-chef professionnel au bureau des matériels.

Pôle intervention

• M. HEILIG René,major professionnel à l'UTA Sud.

MEDAILLE DE VERMEIL

Compagnie Sornin

• M. BERRIERE Patrick, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Charlieu, • M. DUMONT Michel, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Pouilly sous Charlieu.

15 Compagnie Roannaise

• M. AUZEL Didier, adjudant professionnel au centre d'incendie et de secours de Roanne, • M. BAYON Richard, lieutenant volontaire au centre d'incendie et de secours de La Pacaudière, • M. BOUTEYRE René, adjudant professionnel au centre d'incendie et de secours de Roanne, • M. RICARD Bernard, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de La Pacaudière.

Compagnie Gorges de la Loire

• M. BLOT Thierry, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Crémeaux, • M. LEROUX Bernard, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Germain Laval, • M. PLAGIAU Thierry, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Just la Pendue.

Compagnie Ouest Forez

• M. GENTIAL Franck, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Noirétable, • M. MOREL Paul, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Noirétable, • M. PALLANCHE Claude, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Boen-sur-Lignon.

Compagnie Sud Forez

• M. ESPENEL Jean-Noël, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Just Saint- Rambert.

Compagnie La Métare Haut Pilat

• M. FORESTIER Frédéric, adjudant-chef professionnel au centre d'incendie et de secours de Saint-Etienne La Métare.

Compagnie Gier

• M. BRUYAS Yves, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Christo en Jarez, • M. STARON Bernard, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Christo en Jarez, • M. STARON Marc, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Christo en Jarez.

Compagnie Pilat-sud

• M. BOUCHER Alain, lieutenant volontaire au centre d'incendie et de secours de Chavanay, • M. CELLARD Alain, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Chavanay, • M. POINARD Dominique, lieutenant volontaire au centre d'incendie et de secours de Bourg-Argental, • M. VIAL François, capitaine volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Sauveur en Rue.

Compagnie Ondaine Haut Forez

• M. BAROU Laurent, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Le Chambon Feugerolles, • M. CICHOWLAS Olivier, lieutenant professionnel au centre d'incendie et de secours de Le Chambon Feugerolles, • M. GARRIER Robert, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Bonnet Saint-Nizier.

Compagnie Ouest Stéphanois

• M. GIDROL Eric, capitaine professionnel à la compagnie ouest stéphanois.

Pôle métier

• M. GARIOUD Pierre, lieutenant-colonel au groupement des opérations et de la formation.

Pôle santé et secours médical

• M. FREY Frédéric, médecin-colonel au pôle santé et secours médical.

16 MEDAILLE D'ARGENT

Compagnie Sornin

• M. BUTY Emmanuel, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Pouilly-sous-Charlieu, • M. GAGNAIRE Jean-François, capitaine volontaire au centre d'incendie et de secours de Le Cergne, • M. LAPIERRE Franck, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Charlieu.

Compagnie Roannaise

• M. ALEX Christian, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Montagny, • M. COLOMBAT Bernard, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Alban les Eaux. • M. COQUIN Patrick, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours deMontagny, • M. DUMAS Jacky, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Alban les Eaux, • M. GAY Frédéric, commandant professionnel à la compagnie roannaise.

Compagnie Gorges de la Loire

• M. BARRET Christophe, adjudant-chef professionnel à la compagnie Gorges de la Loire, • M. CHAVRIER Hubert, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Crémeaux, • M. COLOMBAT Jean-Louis, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Symphorien de Lay. • M. DEUX Daniel, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Crémeaux, • M. THIVILLIER Patrick, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Cyr de Valorges.

Compagnie Est Forez

• M. GAREL Pascal, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Panissières.

Compagnie Ouest Forez

• M. BRUNEL Olivier, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Romain le Puy, • M. CHAZAUD Hervé, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Montbrison. • M. MATRAT Franck, adjudant-chef professionnel au centre d'incendie et de secours de Montbrison, • M. PERAT Christian, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Romain le Puy, • M. PORTE Gilles, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Jean Soleymieux, • M. SAINT-LEGER Fabien, caporal professionnel au centre d'incendie et de secours de Montbrison, • M. VALLIER Eric, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Romain le Puy.

Compagnie Sud Forez

• M. BEGON Jérôme, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Just Saint-Rambert, • M. DUILLON Jean-Christophe, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Just Saint- Rambert, • M. MOULN Jean-Jacques, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours d'Andrézieux- Bouthéon.

Compagnie La Métare Haut Pilat

• M. BALTHAZAR Gérard, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de , • M. CHARLES Gérard, sergent-chef professionnel au centre d'incendie et de secours de Saint-Etienne La Métare.

Compagnie Gier

• M. DUFFOUX Gérard, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint- Charnond, • M. LUNETTA Fabrice, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de La Terrasse sur Dorlay,

17 • M. MALDERA Bernardo, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Rive de Gier, • M. PORTE Françis, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Rive de Gier.

Compagnie Pilat-sud

• M. ARNAUD Henri, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Bourg-Argental, • M. BACHER Raphaël, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Sauveur en Rue, • M. BONNASSIEUX André, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Pierre de Boeuf, • M. COPIN Yves, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Bourg-Argental, • M. ROCHE Cédric, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Pierre de Boeuf

Compagnie Nord Stéphanois

• M. BRUEL Bruno, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Héand, • M. CHILLET Joseph, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Grammond, • M. FRATTI Christophe, sergent professionnel au centre d'incendie et de secours de Saint-Etienne la Terrasse, • M. LAFAY Jean-Paul, caporal-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Héand, • M. ROLLY François, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Héand.

Compagnie Ondaine Haut-Forez

• M. BRUYERE Yves, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Le Chambon Feugerolles, • M. COLLARD Paul Eric, sapeur volontaire au centre d'incendie et de secours de Firminy, • M. DUFOUR Christophe, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours d'Usson en Forez, • M. GAUDELIERE Vincent, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Le Chambon Feugerolles, • M. GOURBIERE Christophe, adjudant volontaire au centre d'incendie et de secours de Firminy, • M. MALLARD Roland, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Saint-Maurice en Gourgois, • M. SEAUVE Luc, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Le Chambon Feugerolles, • M. TESSIER Armand, adjudant-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de Le Chambon Feugerolles.

Compagnie Ouest Stéphanois

• M. KALETA Michel, sergent-chef volontaire au centre d'incendie et de secours de La Ricamarie, • M. LINOSSIER Franck, sergent-chef professionnel au centre d'incendie et de secours de Saint-Etienne Chavanelle, • M. PALMIER Alexandre, sergent professionnel au centre d'incendie et de secours de Saint-Etienne Chavanelle.

Pôle santé et secours médical

• M. BLANC Jean-Louis, commandant volontaire au pôle santé et secours médical.

Pôle intervention

• M. CHEVALARD Damien, sergent-chef professionnel à l'unité de traitement de l'alerte Loire nord, • M. PACHE Michel, major professionnel à l'unité de traitement de l'alerte Loire sud.

Direction

• Mme SIMON Véronique, caporal-chef volontaire au bureau communication.

ARTICLE 3 - Le présent arrêté sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Saint-Etienne, le 14 juillet 2011 Pierre SOUBELET

18 Bureau de la Sécurité et de la Police Administrative

ARRÊTÉ N° 249/2011 DU 01/08/2011 AUTORISANT LA REPRISE DU COMMERCE DE DETAIL D'ARMES DE LA 6ÈME CATÉGORIE ÉNUMÉRÉES À L’ARTICLE 2 DU DÉCRET N° 95-589 DU 6 MAI 1995 MODIFIÉ SIS 7 RUE LEON NAUTIN A SAINT-ETIENNE, SOUS LA DENOMINATION SOCIALE « FIFILOTTE » ET L'ENSEIGNE « COMMANDO & CO »

Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n°2001-1062 du 15 novembre 2001 relative à la sécurité quotidienne, VU le code de la défense dans sa partie législative relative aux matériels de guerre, armes et munitions, notamment ses articles L.2332-1 et L.2332-2, VU le décret n°95-589 du 6 mai 1995 modifié relatif à l’application du décret du 18 avril 1939 fixant le régime des matériels de guerre, armes et munitions, VU le décret n° 2010-771 du 8 juillet 2010 modifiant le régime des matériels de guerre, armes et munitions, VU la demande présentée le 22 avril 2011 par M. Philippe CHOSSON en vue d'être autorisé à reprendre l'exploitation du commerce de détail d'armes de 6ème catégorie énumérées à l'article 2 du décret du 6 mai 1995 modifié, régulièrement déclaré depuis le 19 février 2007, sis 7 rue Léon Nautin à Saint-Etienne, VU l'avis de M. le Maire de Saint-Etienne du 12 mai 2011, VU l'avis de M. le Directeur départemental de la Sécurité Publique du 25 mai 2011, VU l'extrait du Registre du Commerce et des Sociétés du 27 juillet 2011, Considérant, au vu des éléments transmis par M. Philippe CHOSSON et par les services de police, que ledit commerce s’effectue dans un local répondant aux conditions de sûreté contre les vols et intrusions, respecte les modalités de conservation et de présentation du matériel au public, et ne porte pas atteinte à l’ordre et la sécurité publics.

ARRETE

Article 1er : M. Philippe CHOSSON, né le 4 avril 1964 à Saint-Etienne, demeurant à Villars (42390), 17 allée des Perdrix est autorisé à reprendre, pour une durée indéterminée, l'exploitation du commerce de détail d'armes de la 6ème catégorie énumérées à l'article 2 du décret n° 95-589 du 6 mai 1995 modifié sis 7 rue Léon Nautin à Saint-Etienne (42000), sous la dénomination sociale « FIFILOTTE » et l'enseigne « COMMANDO & CO ».

Article 2 : L'exploitant doit signaler tout changement relatif à la nature juridique de l'établissement, à la nature de l'activité commerciale, et aux catégories de matériels objets du commerce.

Article 3 : Le présent arrêté est frappé de caducité immédiatement en cas de fermeture ou cession du local, et en cas de radiation de l'activité du Registre du Commerce et des Sociétés.

Article 5 : M. le Directeur de Cabinet et M. le Directeur départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Fait à Saint-Etienne, le 1er août 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Directeur de Cabinet Rodrigue FURCY

**************

19 ARRETE N° 219/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU COMMISSARIAT DE POLICE DE FIRMINY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Le Commissaire de Police, Chef de la circonscription de Sécurité Publique de l'Ondaine, en date du 20 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Mr le Commissaire de Police, Chef de la circonscription de Sécurité Publique de l'Ondaine, est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0145, le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 145 15 Avenue de la Gare Protection des bâtiments NON OUI 5 0 42700 FIRMINY publics

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le Commissaire de Police, Chef de la circonscription de Sécurité Publique de l' Ondaine .

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

20 - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5: Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6: Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011

Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

21 ARRETE N°214/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN « PETIT CASINO » A ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. David LE MONNIER gérant, en date du 06 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le Gérant du magasin PETIT CASINO est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0131 les systèmes de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 131 86 rue Jean Jaurès Lutte contre la démarque OUI OUI 4 30 jours 42300 ROANNE inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

22 Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé. Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

*************

ARRETE N°235/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ENTREPRISE DINATEC SA À VILLARS Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

23 VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Jean-François CHEMARIN directeur général délégué de l'établissement, en date du 22 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le directeur général délégué de l'entreprise « DINATEC SA » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0177 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 177 20 Avenue de l'Industrie Prévention des atteintes aux OUI OUI 4 04 jours 42390 VILLARS biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

24 Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...) Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N°220/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «AVDM» A ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ;

25 VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Franck FESSY directeur, en date du 20 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le directeur du magasin AVDM est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0137 les systèmes de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 137 14 rue Roger Salengro Sécurité des personnes OUI OUI 4 7 jours 42300 ROANNE Lutte contre la démarque inconnue Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le directeur de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

26 Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...) Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N°208/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'ENTREPRISE « AXLETECH INTERNATIONAL » À SAINT- ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Mathieu FIDEL Président de la SAS AXLETECH INTERNATIONAL en date du 08 mars 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

27 ARRETE

Article 1er : Le Président de la SAS AXLETECH INTERNATIONAL, est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0055, le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 55 4 rue Jean Servanton Prévention des atteintes aux OUI NON 10 30 jours 42042 ST ETIENNE biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le président de la SAS AXLETECH INTERNATIONAL.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

28 Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N° 229/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU BAR TABAC « CHEZ GAUTHIE » À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Malika SEBANE, gérante du bar tabac, en date du 25 mai 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : La gérante du bar tabac « CHEZ GAUTHIE » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0127 le système de vidéoprotection suivant :

29 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 127 2 rue José Frappa Sécurité des personnes OUI NON 4 30 jours 42000 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

30 Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...) Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N° 226/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU BAR TABAC RESTAURANT « LA PICARDE » A ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Samuel PROIX gérant, en date du 15 avril 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le Gérant du bar tabac restaurant « LA PICARDE » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0128 les systèmes de vidéoprotection suivant :

Numéro Enregistr FINALITE DU SYSTEME FONCTIONNEMENT DU SYSTEME ement LIEU D'IMPLANTATION Enregistre Transmis Nombre Durée de ment sion de conserva- caméras tion des images 128 31 rue Pierre Despierre Sécurité des personnes OUI OUI 4 3 jours 42300 ROANNE Lutte contre la démarque inconnue

31 Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le Gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

32 Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N°225/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU BAR TABAC «LES 4 AS» À ST JUST ST RAMBERT Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Jocelyne GUILLO épouse AUBERTIN gérante du bar tabac, en date du 12 mai 2011; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : La gérante du bar tabac «LES 4 AS » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0147 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 147 62 rue Joannès Beaulieu Sécurité des personnes OUI NON 2 10 jours 42170 ST JUST ST Prévention des atteintes aux RAMBERT biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

33 Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...) Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

34 ARRETE N° 227/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU BAR TABAC « PURPLE CAFE » À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Béatrice REVOUX épouse BRAVARD gérante du bar tabac, en date du 24 mai 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : La gérante du bar tabac « PURPLE CAFE » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0126 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 126 1 rue Blanqui Sécurité des personnes OUI OUI 4 10 jours 42000 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

35 Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...) Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N° 222/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «BERSHKA» À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

36 VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Jean-Jacques SALAÜN directeur général de l'établissement, en date du 09 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le directeur général du magasin BERSHKA, est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0146, le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 146 C/Cial Centre II Sécurité des personnes OUI OUI 4 10 jours rue Alexandre Pourcel Prévention des atteintes aux 42100 ST ETIENNE biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le directeur général de l'établissement.

Article 3 : Les images sont transmises à : BERSHKA FRANCE 80 Avenue des Terroirs de France 75012 PARIS (Service Sécurité)

Article 4 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 5 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 6: Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

37 Article 7 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 8 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 9 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 10 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 11 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 12 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 13 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 14 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 15 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N° 203/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN «BETAMAT DECO BRICO» A RENAISON Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ;

38 VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Roland JOURLIN directeur, en date du 30 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le directeur du magasin BETAMAT DECO BRICO est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0151 les systèmes de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 151 Route de Roanne Lutte contre la démarque OUI OUI 16 7 jours 42370 RENAISON inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le directeur de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

39 Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N°218/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN « BLUE BOX » À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ;

40 VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Nicolas VAYSSE Responsable informatique de l'établissement, en date du 13 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le responsable informatique du magasin BLUE BOX, est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0136, le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 136 Place des Ursules , rue Sécurité des personnes OUI OUI 4 15 jours Ronsard Prévention des atteintes aux 42000 ST ETIENNE biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le responsable informatique de l'établissement.

Article 3 : Les images sont transmises à : SAS STANDARD 205 Route de Millau à ALBI (Service Informatique)

Article 4 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 5 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 6: Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 7 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

41 Article 8 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 9 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 10 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 11 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 12 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 13 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 14 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 15 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N° 231/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BOULANGERIE PATISSERIE « MAISON ALLIONE » A LA TALAUDIERE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ;

42 VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Jean-Pierre ALLIONE, Gérant, en date du 23 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le Gérant de la boulangerie pâtisserie « MAISON ALLIONE » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0140 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION SYSTEME rement Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 140 1 rue Jean Brossy Sécurité des personnes OUI OUI 4 20 jours 42350 LA TALAUDIERE Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le Gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

43 Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N° 211/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BOULANGERIE POUILLY A SAINT-JUST-SAINT- RAMBERT Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. David POUILLY, Gérant, en date du 23 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ;

44 VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le Gérant de la boulangerie POUILLY est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0141 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION SYSTEME rement Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 141 6 Avenue Grégoire Chapoto Sécurité des personnes OUI OUI 3 10 jours 42170 ST JUST ST Protection RAMBERT Incendie/Accidents Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le Gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images.

45 La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

*************

ARRETE N° 233/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA BRASSERIE PMU « LE VINCENNES » à SAINT- ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Martine GIRON, gérante de la brasserie PMU, en date du 09 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

46 ARRETE

Article 1er : La gérante de la brasserie PMU« LE VINCENNES » est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0179 le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 179 2 rue de la Résistance Sécurité des personnes OUI OUI 4 30 jours 42000 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

47 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N° 204/2011 DU 19/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU CASINO DE NOIRETABLE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral n° 553/2006 du 16 novembre 2006 portant autorisation d'un système de vidéoprotection ; VU la demande de renouvellement d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Antoine HERBOUX directeur responsable du casino, en date du 23 mai 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection dans sa séance du 11 juillet 2011 SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Article 1er : L'autorisation précédemment accordée au casino de Noiretable par arrêté préfectoral du 16 novembre 2006 est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0135 concernant le système de vidéoprotection suivant

48 Numéro FINALITE DU Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION SYSTEME ment Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conservat caméras ion des images 135 Rue des Tilleuls Sécurité des personnes OUI OUI 57 7 jours 42440 NOIRETABLE Prévention des atteintes aux biens Obligation de la réglementation des jeux

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la directeur responsable du casino.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

49 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N°221/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU COMMISSARIAT DE POLICE DE RIVE-DE-GIER Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Le Commissaire de Police, Chef de la circonscription de Sécurité Publique du Gier, en date du 06 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Mme le Commissaire de Police, Chef de la circonscription de Sécurité Publique du Gier, est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0129, le système de vidéoprotection suivant :

50 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 129 60 rue Claude Drivon Protection des bâtiments NON OUI 4 0 42800 RIVE-DE-GIER publics Sécurité des personnes Prévention des atteintes aux biens Prévention d'actes terroristes

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le Commissaire de Police, Chef de la circonscription de Sécurité Publique du Gier .

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5: Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6: Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

51 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N°224/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU COMMISSARIAT DE POLICE DE SAINT-CHAMOND Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Le Commissaire de Police, Chef de la circonscription de Sécurité Publique du Gier, en date du 06 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Mme le Commissaire de Police, Chef de la circonscription de Sécurité Publique du Gier, est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0130, le système de vidéoprotection suivant :

52 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 130 64 Boulevard Waldek Protection des bâtiments OUI OUI 7 30 jours Rousseau publics 42400 ST-CHAMOND Sécurité des personnes Prévention des atteintes aux biens Prévention d'actes terroristes

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le Commissaire de Police, Chef de la circonscription de Sécurité Publique du Gier .

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5: Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6: Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

53 Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N° 205/2011 DU 19/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE L'HYPERMARCHE GEANT CASINO À FIRMINY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral n° 14/2006 du 19 janvier 2006 portant autorisation d'un système de vidéoprotection ; VU la demande de renouvellement d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Henri FAUVELLE directeur de l'hypermarché, en date du 30 mai 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la police nationale territorialement compétente VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection dans sa séance du 11 juillet 2011 SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

54 Article 1er : Article 1er : L'autorisation précédemment accordée au Géant Casino de Firminy par arrêté préfectoral du 19 janvier 2006 est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0134 concernant le système de vidéoprotection suivant

Numéro FINALITE DU Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION SYSTEME ment Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conservat caméras ion des images 134 Route de Chazeau Sécurité des personnes OUI NON 30 14 jours 42700 FIRMINY Protection Incendie/Accidents Prévention des atteintes aux biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le directeur de l'hypermarché.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

55 Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N° 223/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU RESTAURANT / PUB « LE NAUTILUS » À SAINT- ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Damien CHARITAT gérant de l'établissement, en date du 25 mai 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

56 Article 1er : Le gérant du restaurant/pub LE NAUTILUS, est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0138, le système de vidéoprotection suivant :

Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistrem Transmis Nombre Durée de ent sion de conserva- caméras tion des images 138 47 rue Gutenberg Sécurité des personnes OUI OUI 3 30 jours 42100 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5: Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

57 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N° 234/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU DEBIT DE TABAC « MAISON DE LA PRESSE » À NOIRETABLE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Pascal DAVAL gérant du débit de tabac, en date du 06 juillet 2011; VU les observations formulées par le représentant de la gendarmerie territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le gérant du débit de tabac « MAISON DE LA PRESSE » est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0181 le système de vidéoprotection suivant :

58 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 181 6 rue Claude Peurière Lutte contre la démarque OUI NON 3 7 jours 42440 NOIRETABLE inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le gérant de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

59 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N°212/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN « MONOPRIX SA » A ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Esperance NOVO directrice, en date du 27 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : La Directrice du magasin MONOPRIX SA est autorisée à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0149 les systèmes de vidéoprotection suivant :

60 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist LIEU FONCTIONNEMENT DU SYSTEME rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 149 3/5 rue Charles de Sécurité des personnes OUI NON 1 15 jours Gaulle Lutte contre la démarque 42300 ROANNE inconnue Protection Incendie/Accidents Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la Directrice de l'établissement.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

61 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N° 206/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN NETTO À MABLY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Cyril GRANGIER Président de la SAS ANTHIEU, en date du 07 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le Président de la SAS ANTHIEU est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0133 les systèmes de vidéoprotection suivant :

62 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 133 RN7 Les Tuileries Sud Sécurité des personnes OUI OUI 15 15 jours 42300 MABLY Prévention des atteintes aux biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le Président de la SAS ANTHIEU.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

63 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

****************

ARRETE N° 207/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN NETTO À ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Cyril GRANGIER Président de la SAS MELYXYA, en date du 07 juin 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le Président de la SAS MELYXYA est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0132 les systèmes de vidéoprotection suivant :

64 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION rement Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 132 4 Boulevard Camille Sécurité des personnes OUI OUI 16 15 jours Benoit Prévention des atteintes aux 42300 ROANNE biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le Président de la SAS MELYXYA.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

65 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N°228/2011 DU 19/07/2011 PORTANT AUTORISATION D'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA PHARMACIE FROPIER A ST ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. Daniel FROPIER Pharmacien titulaire, en date du 23 mai 2011; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente ; VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection en sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Le Titulaire de la Pharmacie FROPIER est autorisé à installer, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0139 les systèmes de vidéoprotection suivant :

66 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregist FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU rement D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conserva- caméras tion des images 139 Esplanade Paul et Guy Sécurité des personnes OUI NON 2 30 jours Vantajol Protection incendie/Accidents 42100 ST ETIENNE Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le titulaire de la pharmacie.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéosurveillance.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

67 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

***************

ARRETE N° 209/2011 DU 19/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU RESTAURANT « MC DONALD'S » À MABLY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral n° 203/2007 du 02 mai 2007 portant autorisation d'un système de vidéoprotection ; VU la demande de renouvellement d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mr. David COPIN directeur du restaurant, en date du 16 juin 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection dans sa séance du 11 juillet 2011 SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Article 1er : L'autorisation précédemment accordée au restaurant « MC DONALD'S » à MABLY par arrêté préfectoral du 02 mai 2007 est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0144 concernant le système de vidéoprotection suivant

68 Numéro FINALITE DU Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION SYSTEME ment Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conservat caméras ion des images 144 RN7 La Demi Lieue Est Sécurité des personnes OUI OUI 14 7 jours 42300 MABLY Prévention des atteintes aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le directeur du restaurant.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images.

La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

69 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N° 215/2011 DU 19/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L'ARRETE DU 15 DECEMBRE 2009 AUTORISANT L'INSTALLATION D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DE LA « SARL SAPEC » À UNIEUX Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral n° 461/2009 du 15 décembre 2009 portant autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection au bénéfice de la SARL SAPEC à Unieux ; VU la demande de modification présentée par Mme Arlette DAURAT gérante de l'établissement, en date du 20 juin 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection dans sa séance du 11 juillet 2011 ; SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : L'article 1er de l'arrêté préfectoral n°461/2009 du 15 décembre 2009 est modifié comme suit :

70 Numéro FINALITE DU SYSTEME Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU ment D'IMPLANTATION Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conservat caméras ion des images 2011/0143 16 rue de l'industrie Sécurité des personnes OUI OUI 4 30 jours ZI de la plaine Prévention des atteintes aux 42240 UNIEUX biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Les autres articles restent inchangés.

Article 3 : M. le directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

**************

ARRETE N° 230/2011 DU 19/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU TABAC PRESSE « LE REINITAS » À SAINT-ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral n° 421/2005 du 16 novembre 2005 portant autorisation d'un système de vidéoprotection ; VU la demande de renouvellement d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. LAURIA gérante du tabac presse, en date du 09 juin 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la police nationale territorialement compétente VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection dans sa séance du 11 juillet 2011 SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

71 Article 1er : Article 1er : L'autorisation précédemment accordée au tabac presse « LE REINITAS » à Saint-Etienne par arrêté préfectoral du 16 novembre 2005 est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0148 concernant le système de vidéoprotection suivant

Numéro FINALITE DU Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION SYSTEME ment Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conservat caméras ion des images 148 70 Boulevard Alexandre de Sécurité des personnes OUI NON 5 15 jours Fraissinette Prévention des atteintes 42100 ST ETIIENNE aux biens

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est la gérante du Tabac Presse.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

72 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

****************

ARRETE N° 210/2011 DU 19/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D'UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION AU BENEFICE DU MAGASIN « TWINNER SPORT - SAS FREQUENCE » À MONTBRISON Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation modifiée, relative à la sécurité, notamment ses articles 10, 10-1 et 10-2 ; VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relative à la sécurité et aux contrôles frontaliers ; VU le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié par le décret n° 2009-86 du 22 janvier 2009 ; VU les décrets n°97-46 et 97-47 du 15 janvier 1997 relatifs aux obligations de surveillance incombant à certains propriétaires exploitants ou affectataires de locaux professionnels ou commerciaux, de garages ou de parcs de stationnement ; VU l’arrêté du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection ; VU la circulaire du Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales du 12 mars 2009 relative à l'application des articles10 et 10-1 de la loi n°95-73 modifiée susvisée ; VU la circulaire du 03 août 2007 annexée à l'arrêté susvisé ; VU l'arrêté préfectoral n° 525/2007 du 29 octobre 2007 portant autorisation d'un système de vidéoprotection ; VU la demande de renouvellement d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme. Martine COTTIER PDG du magasin, en date du 27 juin 2011 ; VU les observations formulées par le représentant de la police territorialement compétente VU l'avis émis par la Commission Départementale des systèmes de Vidéoprotection dans sa séance du 11 juillet 2011 SUR proposition de M. le directeur de Cabinet de la préfecture ;

ARRETE

Article 1er : Article 1er : L'autorisation précédemment accordée au magasin «TWINNER SPORT-SAS FREQUENCE » à MONTBRISON par arrêté préfectoral du 29 octobre 2007 est reconduite, pour une durée de cinq ans renouvelable, à compter de la date du présent arrêté, conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0150 concernant le système de vidéoprotection suivant

73 Numéro FINALITE DU Enregistre FONCTIONNEMENT DU SYSTEME LIEU D'IMPLANTATION SYSTEME ment Enregistr Transmis Nombre Durée de ement sion de conservat caméras ion des images 150 C/CIAL des Granges Sécurité des personnes OUI OUI 10 30 jours 42600 MONTBRISON Protection Incendie/Accidents Prévention des atteintes aux biens Lutte contre la démarque inconnue

Le système considéré ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Les caméras ne filmeront pas les lieux privés. Dans le cas où ces lieux se situent néanmoins dans le champ de vision des caméras, ils feront obligatoirement l'objet d'un « floutage ».

Article 2 : Le responsable du système de vidéoprotection et de son exploitation est le PDG du magasin.

Article 3 : Le titulaire de l'autorisation est tenu d'informer préalablement l'autorité préfectorale de la localisation et de la date de mise en service des caméras de vidéoprotection.

Article 4 : Le public devra être informé dans l'établissement cité dans l'article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative à chaque point d'accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images, des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements. - L'affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d'accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Article 5 : Le titulaire de l'autorisation tiendra un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et , le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 6 : Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 7 : L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 8 : Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10, 10-1 et 10-2 de la loi du 21 janvier 1995 modifiée et les articles 14 et15 du décret du 17 octobre 1996 susvisés.

Article 9 : Les fonctionnaires de police ou de gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités par Monsieur le directeur départemental de la sécurité publique ou Monsieur le colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Loire auront accès aux images. La durée de conservation des images ne pourra excéder un mois, sauf dans le cas où les données sont utilisées dans le cadre des enquêtes préliminaires ou de flagrant délit ou d'une information judiciaire.

Article 10 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux – changement affectant la protection des images).

74 Article 11 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra, après que l'intéresse aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...)

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon – 184, rue Duguesclin, dans le délai de deux mois à compter de la date de notification à l'intéresse(e) ou de sa publication au document précité.

Article 12 : La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Article 13 : Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l'échéance de ce délai.

Article 14 : M. le sous préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée à l'intéressé.

Fait à Saint Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet, et par délégation, Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, Rodrigue FURCY

Bureau de la Communication et de la Représentation de l'Etat

ARRETE N° 2011-42 DU 18/08/2011 NOMMANT LES DELEGUES DU PREFET AUX COMMISSIONS ADMINISTRATIVES DE REVISION DES LISTES ELECTORALES POUR 2011/2012 Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

Vu le code électoral modifié et notamment son article L 17 ; Vu la circulaire ministérielle n° NOR : INT/A/07/00122/C du 20 décembre 2007, modifiée, relative à la révision et à la tenue des listes électorales et des listes électorales complémentaires ; Sur proposition du Secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

Article 1er : sont nommés membres, délégués du préfet, aux commissions administratives de révision des listes électorales dans les communes de l'arrondissement chef-lieu, pour 2011/2012, les personnes dont les noms suivent :

- 42660 M. Joseph ABRIAL 168 Grande Rue

• BESSEY - 42520 M. Antoine CLUZEL "Toucheboeuf"

• BOURG-ARGENTAL - 42220 Mme Andrée GUIOT 12 chemin du Francillon

- 42220 M. Pierre LINOSSIER, Le Bourg

75 • CALOIRE - 42240 Mme Marie-Hélène BOUVIER 51 chemin de la France

• CELLIEU - 42320 M. André LAURENT 411 route de la cognetière

- 42800 Mme Pascale VIOLLET Lotissement Les Cerisiers

• CHAMBON-FEUGEROLLES (LE) - M. Gérard VERTAURE 42500 29 rue du 11 Novembre, (13 bureaux de vote) Mme Marie-Thérèse AMATO 3 délégués 25 rue Pierre de Coubertin Mme Anny LACOTE 46 rue Pierre de Coubertin (chargée, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• CHAPELLE VILLARS M. Louis-René VERNAY (LA) - 42410 " La Grange des serpents "

• CHATEAUNEUF - 42800 M. Gérard GUERIN (2 bureaux de vote) 56 rue Granger 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• CHAVANAY - 42410 Mme Maryvonne CUILLERON 184 RN 86 - Le Chrirat

- 42410 M. Gérard BERLAND Le Bourg

• COLOMBIER - 42220 M. Auguste COMBE "Les Valottes"

• DARGOIRE - 42800 M. Jean-Luc DUPONT 12 route de Saint-Jean-de-Touslas

• DOIZIEUX - 42740 M. Jacques DUPLANY "les Scies"

• ETRAT (L') - 42580 M. Alain VISINET (2 bureaux de vote) 18 allée de la Forêt 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• FARNAY - 42320 M. Francis BONNARD Le Bourg

• FIRMINY - 42700 Mlle Yvonne BLANLUET (15 bureaux de vote) 2 A chemin des Combes 3 délégués M. René FAYARD 6 rue de l'Abattoir M. Joseph AMATO 26 chemin des Noisettes (chargé, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

76 • FONTANES - 42140 M. Charles THIZY "Le Pilon"

• FOUILLOUSE (LA) - 42480 Mme Elisabeth BLANQUET (4 bureaux de vote) 34 allée du Chêne de la Dame 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• FRAISSES - 42490 M. Pascal CHARRAT (2 bureaux de vote) 17 rue de la Rotonde 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• GENILAC - 42800 M. Yves DESGRANGES (3 bureaux de vote) 23 impasse Faure 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

- 42220 Mme Séverine BERNE "La Batterie"

• GRAND CROIX (LA) - 42320 M. Bernard MATHONNET (3 bureaux de vote) 45 lotissement de Montribout 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• (L') HORME - 42152 M. Roger CHANTELOUBE (3 bureaux de vote) 1 allée des Alouettes 2 délégués M. André BRUN 81 rue des Côtes (chargé, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• JONZIEUX - 42660 M. Alain BERINCHY Lieu-dit Bergognon

• LORETTE - 42420 M. Robert ORIOL (3 bureaux de vote) 9 rue Eugène Brosse 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• LUPE - 42520 M. Pierre BRIAT "Bellin"

• MACLAS - 42520 M Maurice LIMONNE " Les Barges " • MALLEVAL - 42520 M. Régis RUARD " Chanson "

• MARCENOD - 42140 M. André BONNIER Montée du Gas

- 42660 M. André REYNAUD " Les Communes "

- 42410 M. Paul DARNON Le Bourg

• PELUSSIN - 42410 Mme Danièle THOMAS

77 (3 bureaux de vote) "Le Cottage", 3 rue de la Barge 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

- 42660 M. Maurice MATHEVET 63 rue des docteurs Charcot 42000 SAINT ETIENNE

• RICAMARIE (LA) - 42150 Mme Laurence BERGERON (6 bureaux de vote) 44 B rue Montesquieu 2 délégués 42100 SAINT ETIENNE M. Gérard BONNET Les Peupliers - Allée A - Rue de l'Eternité (chargé, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• RIVE DE GIER - 42800 M. Alain DUBOIS (9 bureaux de vote) 43 chemin des Croix 2 délégués Mme Michèle DEVAUX 19 C chemin des Peschures (chargé, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ROCHE LA MOLIERE - 42230 M. Henri NOCHEZ, (7 bureaux de vote) 9 rue des Dahlias 2 délégués M. René DEVOUGES 14 bd Pierre et Marie Curie (chargé, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

- 42520 M. Joël VALLOT La Petite Fory

• ST APPOLINARD - 42520 M. Yves VOLUT "Choron"

• ST CHAMOND - 42400 Mme Dolorès POYET (25 bureaux de vote) 10 rue César Bertholon 5 délégués M. Alex PAYS 26 square Henri Dunant M. Gérard KELLER 16 bis rue Pierre de Ronsard Mme Christine CHABOT 2 rue des Palermes Mme Marie-Claude FAURE 1 chemin de la Chabure (chargée, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST CHRISTO EN JAREZ - 42320 M. Stéphane (2 bureaux de vote) 5 rue de la Mairie 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs)

• ST ETIENNE - 42000 Mme Maryse RECEVEUR (99 bureaux de vote) 18 rue Voltaire 10 délégués M. Gérard CHAISE 10 rue Amouroux M. Michel SOULIER 7 cours Fauriel

78 M. Jacques GRANGER 6 rue Alléon Dulac M. Guy TARDY 13 rue Le Corbusier Mme Jacqueline MANINI, 42 avenue Léon Jouhaux, M. Marcel TISSOT "Les Iris", 5 place du Maréchal Foch Mme Josette COLLANGE 12 rue Paul Ronin Mme Monique DENIEUIL 19 rue Désiré Claude Mme Arlette PEYRE 20 rue du Midi (chargée, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST GENEST LERPT - 42530 M. Gérard MONTES (5 bureaux de vote) Parc de la Mure 3 délégués Mme Janine MOREL 37 lotissement Chavanne Mme Marie-Josée PAGNAN 4 allée Régis Auguste - "Les Jardins de Claudine" (chargée, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST GENEST MALIFAUX - 42660 M. Michel GALLIEN (2 bureaux de vote) 36 rue de la Semène 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST HEAND - 42570 M. Jean-Paul LAFAY (3 bureaux de vote) 15 rue Barthassaume 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST JEAN BONNEFONDS - 42650 Mme Annie BOIS (5 bureaux de vote) 9 place de la République 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST JOSEPH - 42800 M. Bernard BARBAROUX (2 bureaux de vote) 7 allée des Lilas 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST JULIEN MOLIN MOLETTE - M. Michel CHATELON 42220 " Les Manissols "

• ST MARTIN LA PLAINE - 42800 M. Jacky BALAY (3 bureaux de vote) 8 rue de Fontanes 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST MICHEL S/RHONE - 42410 Mme Michèle FRUIT " La Bourdonnerie "

79 • ST PAUL EN CORNILLON - 42240 Mme Françoise PACALIN (2 bureaux de vote) ruelle des vignes 1 délégué "Cornillon" (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST PAUL EN JAREZ - 42740 M. Jean CHORETIER (3 bureaux de vote) 15 rue Croix Blanche 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST PIERRE DE BOEUF - 42520 M. Bernard FOREST 16 rue Champcalot

• ST PRIEST EN JAREZ - 42270 M. Bernard PICON (4 bureaux de vote) 8 rue Carnot 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• ST REGIS DU COIN - 42660 M. Jean-François BEAL Le Bourg

• ST ROMAIN EN JAREZ - 42800 Mlle Chantal BERTHOLAT 80 rue Porte Revanche

• ST ROMAIN LES ATHEUX - 42660 Mme Bernadette FAURE Le Bourg

• ST SAUVEUR EN RUE - 42220 M. Pierre CARROT Route de Bourg-Argental

• STE CROIX EN JAREZ - 42800 M. Roger LADAVIERE Croix Challe

• SORBIERS - 42290 M. Jean BALOUZET (5 bureaux de vote) 2 lotissement Les Merisiers 4 délégués M. Maurice PRUD’HOMME 4 rue de la Mollanche M. Michel PITAVAL 39 rue de la Source Mme Nicole LACHAL 18 rue de la Brosse (chargée, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• TALAUDIERE (LA) - 42350 Mme Michelle GREGOIRE, (4 bureaux de vote) 31 rue Voltaire 4 délégués M. Georges GRATESSOLE 21 allée Soleymieux M. Maurice HUGON 11 rue Jean Giono M. René GLANDUT 16 hameau Monrou (chargé, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• TARENTAISE - 42660 M. Lucien BORNE 866 route du Bessat

80 • TARTARAS - 42800 Mme Marie-Andrée DELETRAZ 4 Place du Planil

• TERRASSE S/DORLAY (LA) - 42740 M. Alain SOULIER 41 impasse du Puits "Avaize"

• THELIS LA COMBE - 42220 M. Régis VANEL "Le Crozet"

• TOUR EN JAREZ (LA) - 42580 Mme Michèle VEY 10 rue Froide

• UNIEUX - 42240 M. Maurice MATHEVET (6 bureaux de vote) 63 rue des docteurs Charcot 2 délégués 42000 SAINT ETIENNE M. Jacques BONNET 11 rue M. Barbier (chargé, en outre, de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

• VALFLEURY - 42320 Mme Denise MARQUET "Mazenod"

• VALLA EN GIER (LA) - 42131 M. Jean-Paul TARDY 1 rue du Frère François

• VERANNE - 42520 M. Georges BOURGIER 301 route de Roisey

• VERIN - 42410 Mme Josiane FARRE "La Voie Romain "

• VERSANNE (LA) - 42220 M. Régis TARDY Le Bourg

• VILLARS - 42390 Mme Monique GIRARD (6 bureaux de vote) Tour n° 2 - La Feuilletière 1 délégué (et à la commission chargée de dresser la liste générale des électeurs de la commune)

Article 2 : M. le Secrétaire général de la Préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs et dont copie sera adressée aux maires de l'arrondissement de Saint Etienne.

Fait à Saint-Etienne, le 18 août 2011 Pour le préfet et par délégation, le secrétaire général signé : Patrick FERIN

81 Service Interministériel de Défense et de Protection Civile

ARRETE N° 14-11 DU 29/07/2011 PORTANT APPROBATION DES DISPOSITIONS ORSEC GENERALES « EAU POTABLE » Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur

VU la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 modifiée relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions; VU la loi n° 83-8 du 7 janvier 1983 modifiée relative à la répartition des compétences entre les communes, les départements, les régions et l'État ; VU la loi n° 87-565 du 22 juillet 1987 relative à la prévention des risques majeurs ; VU la loi n°2004-811 du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile ; VU le décret n° 2001-1220 du 20 décembre 2001 relatif aux eaux destinées à la consommation humaine, à l'exclusion des eaux minérales naturelles ; VU le décret n°2005-1157 du 13 septembre 2005 relatif au plan ORSEC. SUR proposition de Monsieur le Directeur de Cabinet

ARRETE

ARTICLE 1er : Sont approuvées et deviennent immédiatement applicables les dispositions générales ORSEC "Eau Potable", selon les modalités annexées* au présent arrêté.

ARTICLE 2 : L'arrêté préfectoral n° 22-2003 du 26 février 2003 portant approbation du plan de secours spécialisé « eaux intérieures et eau potable » est abrogé.

ARTICLE 3 : Le Secrétaire général de la Préfecture, le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, le Sous-préfet de Roanne, le Sous-préfet de Montbrison, le Directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, le Directeur départemental des Services d'Incendie et de Secours, le Directeur départemental de la Sécurité Publique, le Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Loire, le Directeur départemental des Territoires, le Directeur départemental de la Protection des Populations, le Délégué territorial de la Loire de la Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement, le Délégué Militaire Départemental, le Chef du service départemental de l'Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques, les Maires du département sont chargés chacun en ce qui les concerne de l'exécution du présent arrêté.

Fait à Saint-Etienne, le 29 juillet 2011 Pierre SOUBELET

(*) Le plan départemental « dispositions générales ORSEC eau potable », ainsi que les annexes, peuvent être consultés à la Préfecture de la Loire, Bureau du SIDPC, porte 320.

82 DIRECTION DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DES AFFAIRES JURIDIQUES

Bureau du Contrôle de Légalité, de l'Intercommunalité et des Enquêtes Publiques

ARRETE N° 2011/00347 DU 02/08/2011 PORTANT DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE DES ACQUISITIONS, TRAVAUX ET EQUIPEMENTS NECESSAIRES A LA REALISATION DE LA ZONE D'AMENAGEMENT CONCERTE PONT DE L'ANE MONTHIEU SUR LES COMMUNES DE SAINT- ETIENNE ET DE SAINT-JEAN-BONNEFONDS Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le code de l'Expropriation pour cause d'utilité publique notamment les articles L 11-2 et suivants, R11-1, R11-14- 1 et suivants, VU le code de l'Environnement notamment les articles L123-1 et suivants, L126-1 et R123-1-1, VU le code de l'Urbanisme, VU le décret n° 2007-89 du 24 janvier 2007 inscrivant les opérations d'aménagement et de rénovation urbaine de St- Etienne parmi les opérations d'intérêt national mentionnées à l'article R490-5 du code de l'Urbanisme, VU le décret n° 2007-783 du 10 mai 2007 délimitant les opérations d'intérêt national et modifiant le code de l'Urbanisme codifiées à l'article R121-4-1 (ancien article R490-5), VU le décret n° 2007-88 du 24 janvier 2007 portant création de l'Etablissement Public d'Aménagement de Saint- Etienne (EPASE), VU les délibérations n° 2010-04 et n°2010-05 du 5 mars 2010 par lesquelles le conseil d'administration de l'EPASE a approuvé respectivement le bilan de la concertation relatif au projet de ZAC de Pont de l’Ane Monthieu, et le dossier de création de la ZAC de Pont de l’Ane Monthieu ; VU l’avis n° 2010-19 du 24 juin 2010 de l’Autorité Environnementale émis par le Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable concernant le projet de création de la ZAC Pont de l’Âne-Monthieu à Saint-Etienne et Saint-Jean-Bonnefonds ; VU l'arrêté préfectoral n° 2010/462 du 18 novembre 2010 portant création de la ZAC de Pont de l’âne Monthieu sur les communes de Saint-Etienne et de Saint-Jean-Bonnefonds ; VU la délibération n° 2010-23 du 10 décembre 2010 par laquelle le conseil d'administration de l'EPASE a approuvé la saisine du Préfet afin que soit déclarés d'utilité publique les acquisitions, travaux et équipements nécessaires à la réalisation de la ZAC de Pont de l’âne Monthieu, et a autorisé son directeur général à solliciter l'ouverture de l' enquête conjointe d'utilité publique et parcellaire ; VU les courriers du 16 décembre 2010 et du 22 février 2011 du directeur général de l'Etablissement Public d'Aménagement de Saint-Etienne sollicitant l'ouverture de l'enquête conjointe préalable à l'utilité publique et parcellaire du projet ; VU l'arrêté préfectoral n° 2011/86 du 25 février 2011 prescrivant l'ouverture, du 28 mars au 29 avril 2011, de l’enquête publique préalable à la DUP du projet de réalisation de la Zone d'aménagement concerté (ZAC) de Pont de l’Âne-Monthieu à Saint-Etienne et Saint-Jean-Bonnefonds ; VU le dossier d'enquête publique et les registres y afférents ; VU les pièces du dossier constatant : • que l'arrêté préfectoral n° 2011/86 du 25 février 2011 portant ouverture d'une enquête publique sur les communes de Saint-Etienne et Saint-Jean-Bonnefonds, pour la réalisation de la ZAC de Pont de l’âne Monthieu, a été affiché à la porte des mairies ; • que les formalités de publicité dans la presse et sur les lieux d'affichage ont été effectuées ; • que le dossier d'enquête d'utilité publique ainsi que les registres ont été déposés dans les mairies de Saint-Etienne et Saint-Jean-Bonnefonds du 28 mars au 29 avril 2011 inclus ; VU le résultat de l'enquête ; VU l'avis favorable du commissaire enquêteur dans son rapport en date du 25 mai 2011 reçu par la Préfecture de la Loire le 27 mai 2011 ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire,

83 ARRETE

Article 1 – Sont déclarés d'utilité publique les acquisitions, travaux et équipements nécessaires à la réalisation de la ZAC de Pont de l’âne Monthieu sur les communes de Saint-Etienne et de Saint-Jean-Bonnefonds.

Article 2 - L'Etablissement Public d’Aménagement de Saint-Etienne (EPASE) est autorisé à acquérir, soit à l'amiable, soit par voie d'expropriation, les immeubles nécessaires à la réalisation du projet.

Article 3 – La présente déclaration d’utilité publique tient lieu de déclaration de projet en application de l’article L. 11-1-1 2° du Code de l’expropriation.

Article 4 – Les motifs et les considérations justifiant le caractère d'utilité publique de l'opération sont exposés dans le document prévu à l'article L 11-1-1 3°du Code de l'expropriation.

Article 5 - Les expropriations éventuellement nécessaires devront être réalisées dans un délai de cinq ans à compter de la publication du présent arrêté.

Article 6 – Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON cedex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication.

Article 7 – Le présent arrêté accompagné du document exposant les motifs et les considérations de la déclaration d'utilité publique sera affiché à la mairie de Saint-Etienne, de Saint-Jean-Bonnefonds et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire. Il sera également mis en ligne sur le site internet de la Préfecture de la Loire à l’adresse suivante : www.loire.pref.gouv.fr dans la rubrique "Actions de l’Etat – Enquêtes Publiques ".

Article 8 - Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, les maires de SAINT-ETIENNE et de SAINT-JEAN- BONNEFONDS, le Président de l'EPASE et le Directeur Départemental des Territoires sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l'exécution du présent arrêté.

SAINT ETIENNE, le 2 août 2011 Le préfet signé : Pierre SOUBELET

ANNEXE À L’ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2011/00347 DU 2 AOÛT 2011 DÉCLARANT D’UTILITÉ PUBLIQUE LE PROJET DE ZAC PONT-DE-L’ANE-MONTHIEU

Motifs et considérations justifiant le caractère d’utilité publique de l’opération

Le présent document expose les motifs et considérations justifiant le caractère d’utilité publique de l’acquisition des terrains et de la réalisation des équipements de la Zone d’Aménagement Concerté Pont de l’Ane-Monthieu sur les territoires de Saint Etienne et Saint-Jean-Bonnefonds, l’initiative de cette ZAC étant assurée par l’Etablissement Public d’Aménagement de Saint Etienne (EPASE). Il constitue l’annexe à l’arrêté de déclaration d’utilité publique visée par l’article L11-1-1 du code de l’expropriation pour cause d’utilité publique qui précise que « l’acte déclarant d’utilité publique est accompagné d’un document qui expose les motifs et considérations justifiant le caractère d’utilité publique de l’opération ». A cet égard, il reprend les éléments essentiels figurant dans le dossier soumis à enquête, auquel il ne saurait en aucun cas se substituer. En tant que de besoin, il conviendra de se reporter systématiquement à ce dossier afin de qualifier de façon détaillé le caractère d’utilité publique du projet d’acquisitions, travaux et équipements nécessaires à la réalisation de la Zone d’Aménagement Concerté Pont de l’Ane-Monthieu.

Il peut notamment être pris connaissance de ce dossier auprès de : EPA de Saint Etienne 49, rue de la Montat 42 100 Saint Etienne

• Présentation du site

L’aménagement de la ZAC Pont de l’Ane-Monthieu est assuré par l’Etablissement Public d’Aménagement de Saint Etienne (EPA de Saint Etienne ou EPASE).

84 L’EPA de Saint Etienne a été créé par décret n°2007-88 du 24 janvier 2007. Né d’un partenariat entre la ville de Saint Etienne, Saint Etienne Métropole le Conseil Général de la Loire, la Région Rhône-Alpes et l’Etat, il a pour tache d’accélérer le renouveau urbain de Saint Etienne et le développement économique de la ville, et contribue à renforcer l’attractivité territoriale de Saint Etienne au sein de l’aire métropolitaine lyonnaise.

Constituant la principale entrée de ville de Saint Etienne depuis Lyon, le secteur Pont de l’Ane-Monthieu fait partie des projets prioritaires portés par l’EPA de Saint Etienne. La ZAC Pont de l’Ane-Monthieu couvre 66 ha, répartis sur les communes de Saint Etienne (49,7 ha) et de Saint-Jean-Bonnefonds (16,3 ha). Elle est délimitée au Nord par l’autoroute A 72, au Sud par la rue des Alliés, à l’est par la rue Marc Charras et à l’ouest par la voie de chemin de fer reliant Pont de l’Ane à la zone de Molina.

• Rappel du projet d’acquisition des terrains et de réalisation des équipements de la Zone d’Aménagement Concerté Pont de l’Ane-Monthieu (1) .

La ZAC Pont de l’Ane-Monthieu s’appuie sur deux objectifs majeurs : requalifier durablement l’entrée de ville principale de Saint Etienne et renforcer l’attractivité commerciale de l’agglomération. La stratégie d’action du projet de ZAC Pont de l’Ane-Monthieu s’appuie sur trois leviers d’intervention :

➢ La rationalisation des emprises commerciales - Préalable indispensable, la rationalisation des emprises commerciales constitue le levier opérationnel qui rendra possible une restructuration urbaine profonde du secteur, par la libération de foncier stratégique en entrée de ville. Ainsi, le projet prévoit la création d’un grand pôle commercial d’agglomération, concept innovant articulé autour d’une continuité piétonne. Le futur pôle a notamment pour objectif d’accueillir l’hypermarché actuel et sa galerie ainsi qu’une partie des commerces déjà présents sur le site (transférés).

➢ L’amélioration de la desserte tous modes - Le projet prévoit une amélioration générale de l’accessibilité sur le secteur, à travers une intervention sur l’ensemble des modes de déplacements. La desserte viaire de l’entrée de ville sera entièrement reprise à travers la reconfiguration de l’ensemble des points d’accès du site et la création d’une boucle de desserte au cœur du dispositif. A court et moyen terme, l’accessibilité du site en transports en commun et modes doux sera elle aussi être sensiblement améliorée.

➢ La constitution d’un véritable quartier mixte en entrée de ville -La perception générale de l’entrée de ville reste majoritairement centrée sur le commerce. Le projet d’aménagement devrait permettre de rompre avec cette perception en proposant une plus grande mixité fonctionnelle et urbaine (création de logements, de locaux d’activité, équipements, services…), conformément aux orientations du SCOT.

Cette stratégie d’intervention globale, sur l’ensemble des secteurs du périmètre de la ZAC, doit permettre de restructurer progressivement l’ensemble de l’entrée de ville de Saint Etienne en s’appuyant d’une part sur les mutations foncières engendrées par les différents projets de constructions publiques et privées et d’autre part sur une requalification importante des réseaux et des espaces publics.

Le programme global prévisionnel des constructions, neuves ou réhabilitées dans la ZAC est d’environ 190 000 m² SHON à vocation variées (commerciale, économique, résidentielle, d’équipement, de services…).

• Motifs et considérations justifiant le caractère d’utilité publique.

Le secteur Pont de l’Ane-Monthieu est un territoire stratégique, si bien que de nombreux documents de planifications ont déjà donné des prescriptions ou des orientations fortes quant à son devenir (DTA, SCOT, PLU...). Le projet de ZAC Pont de l’Ane-Monthieu s’est construit dans un souci de respect et de cohérence avec ces grandes orientations, définis à des échelles variées. Il constitue donc la traduction opérationnelle des engagements pris par la puissance publique concernant le développement de ce secteur.

Le projet d’aménagement de la ZAC Pont de l’Ane-Monthieu constitue de plus une opportunité de requalification d’un secteur urbain localement dégradé et peu fonctionnel, nécessitant une intervention forte de la puissance publique du fait de son morcellement foncier et des dysfonctionnements observés (gestion des eaux pluviales, accessibilité, paysage…). Cette intervention se justifie d’autant plus que le site présente de nombreux atouts : un potentiel foncier important, une polarité commerciale d’agglomération à conforter, une position stratégique en entrée de ville, une bonne visibilité depuis l’A 72, un paysage à révéler, etc.

85 Dans ce contexte de projets majeurs de renouvellement urbain et de développement économique pilotés par l’EPA de Saint Etienne, la ZAC Pont de l’Ane-Monthieu va contribuer :

- à une requalification urbaine et paysagère durable, dans le cadre d’une approche environnementale de l’urbanisme et dans le respect des orientations du Grenelle de l’Environnement ; - au développement économique de la ville de Saint Etienne et de son agglomération, renforçant son attractivité commerciale et résidentielle au sein de l’aire métropolitaine lyonnaise ; - à l’amélioration de la fonctionnalité et de la lisibilité des déplacements, avec un effort particulier porté aux transports en communs et aux modes doux ; - à l’accueil de nouvelles populations dans un nouveau quartier de ville, par l’aménagement de nouveaux secteurs résidentiels, positionnés stratégiquement à proximité des transports en communs et dans la continuité du tissu résidentiel existant.

Le coût des acquisitions, travaux et équipements à réaliser par la puissance publique et partiellement financé par les investisseurs privés dans le cadre de la réalisation de leurs programmes ou opérations, est donc à la hauteur des enjeux de ce projet d’aménagement d’ensemble structurant. Ce dernier aura des retombées positives pour les villes de Saint Etienne, de Saint Jean Bonnefonds, et pour l’agglomération, qui se sont déjà engagées dans un processus de renouvellement urbain et entendent se positionner comme un des pôles moteurs de la grande métropole lyonnaise.

• Avis du commissaire enquêteur. Dans son rapport en date du 27 mai 2011, le commissaire enquêteur a considéré que le projet présenté dans le cadre de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique relève bien de l’intérêt général. Par conséquent, il a émis un AVIS FAVORABLE à la déclaration d’utilité publique des acquisitions, travaux et équipements nécessaires à la réalisation de la ZAC Pont de l’Âne – Monthieu.

L’ensemble de ces motifs et considérations fondent l’utilité publique des acquisitions, travaux et équipements nécessaires à la réalisation de la Zone d’Aménagement Concerté Pont de l’Ane-Monthieu.

A Saint Etienne le, 2 août 2011 Le préfet signé : Pierre SOUBELET

(1) Se référer au dossier de Déclaration d’Utilité Publique, soumis à enquête, pour une présentation plus précise du projet

*************

ARRETE N° 361 DU 01/08/2011 PORTANT NOMINATION DU COMPTABLE DE L'ETABLISSEMENT PUBLIC D'AMENAGEMENT DE ST ETIENNE (EPASE) Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur,

VU le décret n°62-1587 du 29 décembre 1962 portant règlement général sur la comptabilité publique, VU le code de l'urbanisme et notamment l'article R 321-7, VU le décret n°2007-88 du 24 janvier 2007 portant création de l'établissement public d 'aménagement de Saint Etienne, VU l'arrêté n° 507 du 5 janvier 2009 portant désignation de Mme Agnès JULLIARD, inspectrice du trésor, en qualité de comptable de l'établissement public d 'aménagement de Saint Etienne, VU l'avis émis par le directeur départemental des finances publiques de la Loire, Sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture de la Loire,

ARRETE

Article 1 : L'arrêté n° 507 du 5 janvier 2009 portant désignation de Mme Agnès JULLIARD, inspectrice du trésor, en qualité de comptable de l'établissement public d 'aménagement de Saint Etienne est abrogé.

Article 2 : Les fonctions de comptable de l'établissement public d'aménagement de Saint Etienne seront assurées par Mme Valérie ROLLIN, inspectrice du Trésor Public, à compter du 1er août 2011.

86 Article 3 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON cedex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou notification.

Article 4 :Le secrétaire général de la préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et dont copie sera adressée à : M.le directeur général de l'EPASE M.le directeur départemental des finances publiques Mme ROLLIN, comptable de l'EPASE M. le directeur départemental des territoires Mme la directrice du secrétariat général aux affaires administratives et économiques. Saint-Etienne le, 1er août 2011 Pour le préfet, et par délégation, le secrétaire général Patrick FERIN

**************

ARRETE N° 2011/ 369 DU 23/08/2011 PORTANT SUPPRESSION DU PASSAGE A NIVEAU PUBLIC N° 58 DE LA SECTION DE LIGNE DE CHEMIN DE FER DE CLERMONT-FERRAND A SAINT-JUST-SUR- LOIRE SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE DE SAINT-PRIEST-LA-VETRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi du 15 juillet 1845 modifiée sur la police des chemins de fer ; VU l’arrêté du Ministre de l’Equipement, du Logement, des Transports et de la Mer du 18 mars 1991 relatif au classement, à la réglementation et à l’équipement des passages à niveau ; VU l’arrêté préfectoral du 11 septembre 1974 relatif au classement des passages à niveau n° 58 et 59 de la ligne Clermont-Ferrand à Saint-Just-sur-Loire ; VU la délibération du 24 septembre 2010 par laquelle le conseil municipal de Saint-Priest-la-Vêtre a approuvé la suppression du passage à niveau n° 58 de la section de ligne de Clermont-Ferrand à Saint-Just-sur-Loire ; VU l’arrêté préfectoral n° 2011/174 du 12 avril 2011 portant ouverture d’une enquête de commodo et incommodo concernant le projet de suppression du passage à niveau n° 58 de la section de ligne de chemin de fer de Clermont- Ferrand à Saint-Just-sur-Loire sur la commune de Saint-Priest-la-Vêtre ; VU l’avis favorable du commissaire enquêteur du 24 mai 2011 ; VU la délibération du 17 juin 2011 par laquelle le conseil municipal de Saint-Priest-la-Vêtre a confirmé la suppression du passage à niveau n° 58 de la section de ligne de chemin de fer de Clermont-Ferrand à Saint-Just-sur- Loire, au vu des résultats d’enquête ; VU la proposition de suppression définitive du passage à niveau n° 58formulée par le directeur de la SNCF région de Lyon le 28 février 2011 ; Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

ARTICLE 1 ER : Le passage à niveau n° 58 de la section de ligne de chemin de fer de Clermont-Ferrand à Saint-Just- sur-Loire situé sur le territoire de la commune de Saint-Priest-la-Vêtre est supprimé.

ARTICLE 2 : Le présent arrêté abroge l’arrêté préfectoral du 11 septembre 1974 relatif au classement du passage à niveau n° 58 situé au km 72 307 de la section de ligne de chemin de fer de Clermont-Ferrand à Saint-Just-sur-Loire sur la commune de Saint-Priest-la-Vêtre, et n’entrera en application qu’à la date effective de la suppression du passage à niveau. ARTICLE 3 : Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours gracieux auprès du Préfet de la Loire dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON cedex 03) dans le même délai.

ARTICLE 4 : Cet arrêté sera affiché pendant un mois en mairie de Saint-Priest-la-Vêtre et inséré au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire. Il sera également mis en ligne sur le site internet de la Préfecture de la Loire à l’adresse suivante : www.loire.pref.gouv.fr dans la rubrique "Actions de l’Etat – Enquêtes Publiques - SNCF -".

87 ARTICLE 5 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le sous-préfet de Montbrison, le maire de Saint- Priest-la-Vêtre, le directeur de la SNCF région de Lyon et le directeur départemental des Territoires, sont chargés chacun en ce qui le concerne de l'exécution du présent arrêté.

Fait à Saint-Etienne, le 23 août 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général Signé : Patrick FERIN

***************

ARRÊTÉ N° 2011/366 DU 25/08/2011 DECLARANT D'UTILITE PUBLIQUE L'AMENAGEMENT D'UN PARC DE STATIONNEMENT A L'ENTREE DU BOURG SUR LA COMMUNE DE LAVIEU Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU le code de l'Expropriation pour cause d'utilité publique, notamment les articles L 11-2 et suivants ; VU la délibération du 10 septembre 2010 par laquelle le conseil municipal de LAVIEU a approuvé le dossier d'enquêtes conjointes et a demandé l'ouverture d'enquêtes conjointes d'utilité publique et parcellaire pour l'aménagement d'un parc de stationnement à l'entrée du bourg de la commune de LAVIEU ; VU l'arrêté préfectoral n° 2011/244 du 19 mai 2011 prescrivant l'ouverture d'enquêtes conjointes d'utilité publique et parcellaire pour l'aménagement d'un parc de stationnement à l'entrée du bourg de la commune de LAVIEU ; VU le dossier d'enquêtes d'utilité publique et parcellaire et les registres y afférents ; VU les pièces du dossier constatant : -que l'arrêté n° 2011/244 du 19 mai 2011 a été affiché en mairie de LAVIEU ; -que les formalités de publicité dans la presse ont été effectuées ; - que le dossier d'enquêtes d'utilité publique et parcellaire ainsi que les registres y afférent ont été déposés du 21 juin au 8 juillet 2011 inclus en mairie de LAVIEU ; VU les résultats des enquêtes conjointes ; VU l'avis favorable du commissaire enquêteur ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

ARTICLE 1 : Est déclaré d'utilité publique l'aménagement d'un parc de stationnement à l'entrée du bourg de la commune de LAVIEU.

ARTICLE 2 : La commune de LAVIEU est autorisée à acquérir, soit à l'amiable, soit par voie d'expropriation, les immeubles nécessaires à la réalisation du projet.

ARTICLE 3 : Les expropriations éventuellement nécessaires devront être réalisées dans un délai de cinq ans à compter de la publication du présent arrêté.

ARTICLE 4 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le Tribunal Administratif de LYON dans les deux mois à partir de sa publication.

ARTICLE 5 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le sous-préfet de Montbrison et le maire de LAVIEU sont chargés, chacun en ce qui les concerne de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché en mairie de LAVIEU et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire. Le présent arrêté sera également mis en ligne sur le site internet de la Préfecture de la Loire à l’adresse suivante : www.loire.pref.gouv.fr dans la rubrique "Actions de l’Etat – Enquêtes Publiques – Expropriation".

Fait à Saint-Etienne, le 25 août 2011 Pour le Préfet et par délégation le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN ***************

88 ARRÊTÉ N° 2011/365 DU 25/08/2011 DECLARANT D'UTILITE PUBLIQUE L'EXTENSION DE LA ZONE ARTISANALE DE VILLEDIEU SUR LA COMMUNE DE CHEVRIERES A LA DEMANDE DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DE FOREZ-EN-LYONNAIS Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU le code de l'Expropriation pour cause d'utilité publique, notamment les articles L 11-2 et suivants ; VU la délibération du 8 novembre 2010 par laquelle le conseil de la Communauté de communes de Forez-en- Lyonnais a approuvé le dossier d'enquêtes conjointes et a demandé l'ouverture des enquêtes conjointes d'utilité publique et parcellaire relatives à l'extension de la zone artisanale de Villedieu sur la commune de CHEVRIERES ; VU l'arrêté préfectoral n° 2011/247 du 20 mai 2011 prescrivant l'ouverture d'enquêtes conjointes d'utilité publique et parcellaire pour l'extension de la zone artisanale de Villedieu sur la commune de CHEVRIERES ; VU le dossier d'enquêtes d'utilité publique et parcellaire et les registres y afférents ; VU les pièces du dossier constatant : -que l'arrêté n° 2011/247 du 20 mai 2011 a été affiché en mairie de CHEVRIERES ainsi qu'au siège de la Communauté de communes de Forez-en-Lyonnais ; -que les formalités de publicité dans la presse ont été effectuées ; - que le dossier d'enquêtes d'utilité publique et parcellaire ainsi que les registres y afférent ont été déposés du 24 juin au 12 juillet 2011 inclus en mairie de CHEVRIERES ; - que le dossier d'enquêtes d'utilité publique et parcellaire a été déposé du 24 juin au 12 juillet 2011 inclus au siège de la la Communauté de communes de Forez-en-Lyonnais ; VU les résultats des enquêtes conjointes ; VU l'avis favorable du commissaire enquêteur ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

ARTICLE 1 : Est déclarée d'utilité publique l'extension de la zone artisanale de Villedieu sur la commune de CHEVRIERES.

ARTICLE 2 : La Communauté de communes de Forez-en-Lyonnais est autorisée à acquérir, soit à l'amiable, soit par voie d'expropriation, les immeubles nécessaires à la réalisation du projet.

ARTICLE 3 : Les expropriations éventuellement nécessaires devront être réalisées dans un délai de cinq ans à compter de la publication du présent arrêté.

ARTICLE 4 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le Tribunal Administratif de LYON dans les deux mois à partir de sa publication.

ARTICLE 5 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le sous-préfet de Montbrison, le président de la Communauté de communes de Forez-en-Lyonnais et le maire de CHEVRIERES sont chargés, chacun en ce qui les concerne de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché en mairie de CHEVRIERES ainsi qu'au siège de la Communauté de communes de Forez-en-Lyonnais, et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire. Le présent arrêté sera également mis en ligne sur le site internet de la Préfecture de la Loire à l’adresse suivante : www.loire.pref.gouv.fr dans la rubrique "Actions de l’Etat – Enquêtes Publiques – Expropriation".

Fait à Saint-Etienne, le 25 août 2011 Pour le Préfet et par délégation le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN

***************

89 ARRÊTÉ N° 2011/370 DU 30/08/2011 DECLARANT D'UTILITE PUBLIQUE L'AMENAGEMENT DE L'ACCES AU SITE DU PRESBYTERE SUR LA COMMUNE DE LA VERSANNE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU le code de l'Expropriation pour cause d'utilité publique, notamment les articles L 11-2 et suivants ; VU la délibération du 4 novembre 2010 par laquelle le conseil municipal de LA VERSANNE a demandé l'ouverture d'enquêtes conjointes d'utilité publique et parcellaire concernant l'aménagement de l'accès au site du presbytère sur la commune de LA VERSANNE ; VU l'arrêté préfectoral n° 2011/245 du 19 mai 2011 prescrivant l'ouverture d'enquêtes conjointes d'utilité publique et parcellaire pour l'aménagement de l'accès au site du presbytère sur la commune de LA VERSANNE ; VU le dossier d'enquêtes d'utilité publique et parcellaire et les registres y afférents ; VU les pièces du dossier constatant : -que l'arrêté n° 2011/245 du 19 mai 2011 a été affiché en mairie de LA VERSANNE ; -que les formalités de publicité dans la presse ont été effectuées ; - que le dossier d'enquêtes d'utilité publique et parcellaire ainsi que les registres y afférent ont été déposés du 20 juin au 7 juillet 2011 inclus en mairie de LA VERSANNE ; VU les résultats des enquêtes conjointes ; VU l'avis favorable du commissaire enquêteur ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

ARTICLE 1 : Est déclaré d'utilité publique l'aménagement de l'accès au site du presbytère sur la commune de LA VERSANNE.

ARTICLE 2 : La commune de LA VERSANNE est autorisée à acquérir, soit à l'amiable, soit par voie d'expropriation, les immeubles nécessaires à la réalisation du projet.

ARTICLE 3 : Les expropriations éventuellement nécessaires devront être réalisées dans un délai de cinq ans à compter de la publication du présent arrêté.

ARTICLE 4 : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le Tribunal Administratif de LYON dans les deux mois à partir de sa publication.

ARTICLE 5 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire et le maire de LA VERSANNE sont chargés, chacun en ce qui les concerne de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché en mairie de LA VERSANNE et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire. Le présent arrêté sera également mis en ligne sur le site internet de la Préfecture de la Loire à l’adresse suivante : www.loire.pref.gouv.fr dans la rubrique "Actions de l’Etat – Enquêtes Publiques – Expropriation".

Fait à Saint-Etienne, le 30 août 2011 Pour le Préfet et par délégation le Secrétaire Général signé : Patrick FERIN

90 SECRETARIAT GENERAL AUX AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET ECONOMIQUES

Service de l'Economie et de l'Aménagement du territoire

ARRETE N° 2011-24 DU 11/07/2011 PORTANT LABELLISATION DU RELAIS DE SERVICES PUBLICS DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DE VALS D'AIX ET D'ISABLE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur,

VU la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 modifiée relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations, et notamment ses articles 27 et 29 ; VU le décret n°2001-494 du 6 juin 2001 modifié pris pour l'application des articles 27 et 29 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 ; VU la circulaire interministérielle du 02 août 2006 relative à la labellisation des Relais Services Publics (RSP) ; VU la délibération de la Communauté de communes des Vals d'Aix et d'Isable, en date du 23 septembre 2010 VU le dossier de demande de labellisation du RSP présenté par la Communauté de communes des Vals d'Aix et d'Isable en date du 23 juillet 2010, Considérant que les pièces du dossier présenté répondent au cahier des charges pour la labellisation des Relais Services Publics, SUR proposition du Secrétaire Général de la Loire,

A R R Ê T E

Article 1 er : Le « Point Info » géré par la Communauté de Communes des VALS D'AIX ET D'ISABLE, situé Rue Robert Lugnier à ST GERMAIN LAVAL (42260), est labellisé « Relais Services Publics ».

Article 2 : Cette labellisation est accordée pour la durée d'un an, avec tacite reconduction. Tout manquement aux prescriptions du cahier des charges pourra entraîner le retrait de la labellisation.

Article 3 :Le Secrétaire général est chargé de l'exécution du présent arrêté.

Fait à St Etienne, le 11 juillet 2011 Le Préfet de la Loire, Pierre SOUBELET

**************

ARRETE MODIFICATIF N° 2011-26 DU 11/07/2011 PORTANT COMPOSITION ET RENOUVELLEMENT DE LA COMMISSION DE SURENDETTEMENT DES PARTICULIERS DE LA LOIRE Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le code de la consommation et notamment ses articles L 330-1, L 331-1 et suivants et R 331-1 et suivants, VU l'arrêté préfectoral du 16 juin 2011 fixant la composition et le renouvellement de la commission de surendettement des particuliers de la Loire, et notamment son article 3, Considérant qu'il y a lieu de faire un rectificatif d'adresse concernant la personne titulaire nommée au titre de l'Association Française des Etablissements de Crédit et des Entreprises d'Investissement, Sur proposition de Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture,

ARRETE

91 ARTICLE 1er : L’article 3 de l’arrêté du 16 juin 2011 susvisé est modifié comme suit :

« Au titre de l'Association Française des Etablissements de Crédit et des Entreprises d'Investissement :

TITULAIRE

Madame Valérie CHARTON Responsable Recouvrement Particulier Crédit Agricole Loire Haute-Loire 94 rue Bergson 42000 ST ETIENNE

SUPPLEANT

Monsieur Patrick LAROUX Superviseur Contentieux Caisse d'Epargne Loire Drôme Ardèche 17 rue des Frères ponchardier – 42012 Saint-Etienne Cedex 2 ».

ARTICLE 2 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

ST ETIENNE, le 11 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

**************

ARRETE N° 2011-025 DU 11/07/2011 PORTANT LABELLISATION DU RELAIS DE SERVICES PUBLICS DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU PAYS DE CHARLIEU Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

VU la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 modifiée relative aux droits des citoyens et dans ses relations avec les administrations, et notamment ses articles 27 et 29 ; VU le décret n° 2001-494 du 6 juin 2001 modifié pris pour l'application des articles 27 et 29 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 ; VU la circulaire interministérielle du 02 août 2006 relative à la labellisation des Relais Services Publics (RSP), VU la délibération de la Communauté de communes du Pays de CHARLIEU, en date du 18 novembre 2010, VU le dossier de demande de labellisation présenté par la Communauté de communes du Pays de CHARLIEU pour le compte de l'Association Familles Rurales (AFR) de POUILLY SOUS CHARLIEU, en date du 3 août 2010, Considérant que les pièces du dossier présenté répondent au cahier des charges pour la labellisation des Relais Services Publics, SUR proposition du Secrétaire Général de la Loire,

A R R Ê T E

Article 1 er : Le « Point Info Familles », géré par l'Association Familles Rurales de Pouilly sous Charlieu et situé 7 rue du 9 mars 1962 – 42270 POUILLY SOUS CHARLIEU, est labellisé « Relais Services Publics ».

Article 2 : Cette labellisation est accordée pour une durée d'un an, avec tacite reconduction. Tout manquement aux prescriptions du cahier des charges pourra entraîner le retrait de la labellisation.

Article 3 : Le Secrétaire Général est chargé de l'exécution du présent arrêté.

Fait à St Etienne, le 11 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

92 SOUS-PREFECTURE DE ROANNE

ARRETE SPR 118/06-07 DU 05/07/2011 RELATIF AU TRANSFERT DE PROPRIETE A LA COMMUNE DE SAINT BONNET LES QUARTS DES PARCELLES AU LIEU-DIT « LE HAUT DE GAILLEFAUT » Le Préfet de la Loire Chevalier de la légion d'Honneur

VU les dispositions de l'article L 2411-11 du code général des collectivités territoriales, VU l'arrêté préfectoral en date du 18 mars 2011 donnant délégation de signature à Monsieur Joël MATHURIN, Sous- Préfet de Roanne, VU la délibération du conseil municipal de Saint Bonnet des Quarts du 29 janvier 2011 sollicitant à son profit le transfert de propriété des parcelles cadastrées section C N° 1489 et 1492 au lieu dit «le haut de Gaillefaut» d'une superficie de 5 906 m² appartenant à la section de continuité «Chez Tachon», VU la délibération du conseil municipal du 20 mai 2011, approuvant l'estimation du service des domaines fixée à 700 € HT pour une superficie de 5 906 m², CONSIDERANT qu'en l'absence de commission syndicale, 9 électeurs sur les 10 recensés pour la gestion de cette section ont donné leur accord au transfert à la commune, à titre gratuit de la propriété de ces parcelles,

ARRETE

Article 1 : Est autorisé le transfert à la communs de Saint Bonnet des Quarts de la propriété des parcelles au lieu dit « Le Haut de Gaillefaut » Référencés à la matrice cadastrale section C N° 1489 et 1492 pour une superficie de 5 906 m².

Article 2 : La valeur vénale des biens transférés à la commune de Saint Bonnet des Quarts est fixée à la somme de 700 € HT.

Article 3 : Les ayants-droits qui en feront la demande pourront recevoir une indemnité à la charge de la collectivité dans les conditions prévues aux alinéas 3 et 4 de l'article L 241-11 du code général des collectivités territoriales.

Article 4 : Le sous-préfet de Roanne et le maire de Saint Bonnet des Quarts sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs. Cet arrêté sera affiché en mairie par les soins du maire.

Roanne, le 5 juillet 2011 Le Préfet de la Loire Pour le Préfet et par délégation Le Sous-Préfet de Roanne Joël MATHURIN

SOUS-PREFECTURE DE MONTBRISON

ARRÊTÉ N° 11/94 DU 11/08/2011 PORTANT HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNÉRAIRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le Code Général des Collectivités Territoriales ; VU la loi n° 93-23 du 8 Janvier 1993 relative à la législation dans le domaine funéraire ; VU le décret n° 95-330 du 21 Mars 1995 relatif aux modalités et à la durée de l'habilitation dans le domaine funéraire ; VU du 22 avril 2011 donnant délégation de signature à M. Bernard LE MENN, Sous-Préfet de MONTBRISON ; VU la demande présentée le 10 juillet 2011 par M. Cédric LAFOND, aux fins d'obtenir l'habilitation pour l'activité de fossoyeur ; VU les pièces du dossier ;

93 A R R E T E

Article 1er : M. Cédric LAFOND, domicilié lieu-dit « Le Coton » à CEZAY, est habilité pour exercer sur l'ensemble du territoire les activités funéraires suivantes :

➢ Fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations et crémations.

Article 2 : Le numéro de l'habilitation est 11-42-01-2.

Article 3 : La durée de la présente habilitation est valable pour une durée de UN AN.

Article 4 : M. le Sous-Préfet de MONTBRISON est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Montbrison, le 11 août 2011 Pour le Préfet et par délégation, Le Sous Préfet de Montbrison, Bernard LE MENN

AUTRES SERVICES DE L'ETAT DANS LE DEPARTEMENT

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES

ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-534 DU 02/08/2011 PORTANT RETRAIT D'AUTORISATION ACCORDEE AU TITRE DE L'ARTICLE L.214-3 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT CONCERNANT LE SEUIL DU MOULIN BLANC SUR LE RHINS COMMUNE DE SAINT-VICTOR-SUR-RHINS Le préfet de la LOIRE Chevalier de la Légion d'honneur

VU le code de l'environnement et notamment ses articles L. 211-1, L. 214-3-1, R. 214-29 et R.214-30 ; VU le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) du bassin Loire-Bretagne; VU la reconnaissance d'antériorité en date du 16 octobre 2009 portant autorisation au titre du code de l'environnement et relatif au seuil et à la prise d'eau au lieu-dit Moulin Blanc ; VU la déclaration de changement de bénéficiaire effectuée par le Syndicat mixte Rhins Rhodon Trambouzan et affluents (SYRRTA) ; VU le dossier de demande de retrait d'autorisation complet et régulier déposé au titre de l'article L. 214-3 du code de l'environnement reçu le 06 juin 20011, présenté par le SYRRTA représenté par son Président, enregistré sous le n° 42-2011-00171 et relatif à l'opération susvisée ; VU l'avis favorable de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques en date du 8 juillet 2011 ; Considérant que le présent arrêté a pour objet de fixer les conditions de la remise en état des lieux suite à la demande de retrait d'autorisation d'un ouvrage de prise d'eau établi en travers du lit du Rhins ; Considérant que l'ouvrage n'a plus aucun usage ; Considérant que la remise en état du site peut s'effectuer sans qu'il ne se manifeste aucun danger ou aucun inconvénient pour les éléments concourant à la gestion équilibrée de la ressource en eau ; Considérant que la suppression du seuil permettra la reconnexion d'environ 3 600 mètres de cours d'eau sur un linéaire très diversifié à faciès d’alternance plats-radiers-mouilles, améliorant ainsi la continuité écologique du Rhins ; Considérant les remarques du syndicat transmises dans le délai de 15 jours suivant la transmission du projet d'arrêté de retrait d'autorisation ; Sur proposition du Directeur départemental des territoires de la Loire ;

94 ARRETE

Article 1er : Abrogation La reconnaissance d'antériorité en date du 16 octobre 2009 portant autorisation au titre du Code de l'environnement et relatif au seuil et à la prise d'eau au lieu-dit Moulin Blanc, ainsi que l'arrêté préfectoral N°DT-10-371 en date du 28 juin 2010 concernant la modification du seuil sont abrogés.

Article 2 : Conditions de remise en état des lieux 2.1. Destruction du seuil Le seuil sera démantelé progressivement par la création d'une échancrure au centre de l'ouvrage sur environ 10 mètres, jusqu'à sa base (soit -1,15 mètres), afin de concentrer les écoulements dans un chenal préférentiel. La fondation aval sera conservée afin d'éviter un processus éventuel d'érosion régressive du lit du cours d'eau.

2.2. Précautions en phase chantier Les travaux seront réalisés hors d'eau en utilisant la brèche latérale existante en rive droite pour dériver les écoulements. Tout apport de polluant ou de charge solide, immédiat ou différé, est proscrit. Les dispositions nécessaires à cet égard doivent être prises par le pétitionnaire. Les engins de chantier travailleront depuis les berges, sur les maçonneries de l'ouvrage, les atterrissements naturellement présents ou une plateforme provisoire aménagée. Il ne pénètreront pas dans les parties en eau du lit du cours d'eau.

2.3. Gestion des sédiments Les sédiments stockés à l'amont du seuil seront entraînés naturellement.

2.4. Suivi des incidences de la suppression du seuil Le suivi de l'évolution du site sera assuré sur une période minimale de 5 ans suivant le démantèlement du seuil afin de veiller à la stabilité des berges et prévenir les phénomènes d'érosion.

2.5. Mesures d'accompagnement Un abattage préventif des arbres et cépées instables sera préalablement réalisé.

Les nouvelles berges issues de l'abaissement de la ligne d'eau seront immédiatement enherbées à l'aide d'un mélange grainier adapté au contexte. Elles seront, au besoin selon l'évolution du site, replantées d'essences arbustives et arborées autochtones.

2.6. Évacuation des matériaux constituant le seuil Les éclats et déchets de béton ainsi que les ferraillages seront évacués pour recyclage. Les blocs et déchets de structures pierreuses pourront être utilisés sur place pour appareillage éventuel en pied de berges amont. Les matériaux non réutilisés seront évacués en décharge de matériaux inertes.

2.7. Période des travaux Le Rhins étant classé en 2ème catégorie piscicole et afin de préserver les zones de frayères, les travaux devront être réalisés du 15 juillet au 15 février.

Article 3 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 4 : Autres réglementations Le présent arrêté ne dispense en aucun cas le pétitionnaire de faire les déclarations ou d'obtenir les autorisations requises par d'autres règlementations.

Article 5 : Publication et information des tiers Une copie du présent arrêté sera transmise pour information au conseil municipal de la commune de Saint Victor sur Rhins. Un extrait du présent arrêté énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles ce retrait autorisation est soumis sera affiché à la mairie de Saint Victor sur Rhins pendant une durée minimale d’un mois. Le présent arrêté sera à disposition du public sur le site Internet de la préfecture de la LOIRE pendant une durée d’au moins 1 an.

95 Article 6 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif de Lyon (184 rue Duguesclin – 69003 Lyon) à compter de sa publication au recueil des actes administratifs par le pétitionnaire dans un délai de deux mois suivant sa notification et par les tiers dans un délai d'un an suivant sa notification dans les conditions de l’article L. 514-6 du code de l’environnement. Dans le même délai de deux mois, le pétitionnaire peut présenter un recours gracieux. Le silence gardé par l’administration pendant plus de deux mois sur la demande de recours gracieux emporte décision implicite de rejet de cette demande conformément à l’article R. 421-2 du code de justice administrative.

Article 7 : Exécution Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, Le président du syndicat mixte Rhins Rhodon Trambouzan et affluents, Le maire de la commune de Saint Victor sur Rhins, Le directeur départemental des territoires de la Loire, Le responsable départemental de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques, Le commandant du Groupement de gendarmerie départementale de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire.

Saint Etienne, le 2 août 2011 Le Préfet Pierre SOUBELET

**************

ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-533 DU 02/08/2011 SUPPRIMANT LE DROIT FONDE EN TITRE SEUIL DU MOULIN DE PRAMONDON SUR LE RHINS COMMUNE DE SAINT-SYMPHORIEN-DE-LAY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le code de l'environnement et notamment ses articles L. 211-1, L. 214-3-1, R. 214-29 et R.214-30 ; VU le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) du bassin Loire-Bretagne ; VU la reconnaissance du droit fondé en titre concernant le seuil du moulin de Pramondon valant autorisation au titre des articles L. 214-1 à L. 214-9 du code de l'environnement ; VU l'acte de cession des ouvrages de prise d'eau et du droit d'eau à la commune de St Symphorien de Lay en date du 16 mars 2011 ; VU la déclaration de changement de bénéficiaire effectuée par le Syndicat mixte Rhins Rhodon Trambouzan et affluents (SYRRTA) ; VU le dossier de demande de renonciation du droit fondé en titre complet et régulier déposé au titre de l'article L. 214-3 du code de l'environnement reçu le 19 mai 2011, présenté par le SYRRTA représenté par son Président, enregistré sous le n° 42-2011-00156 et relatif à l'opération susvisée ; VU l'avis favorable de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques en date du 8 juillet 2011 ; Considérant que le présent arrêté a pour objet de fixer les conditions de la remise en état des lieux suite à la demande de supression du droit fondé en titre d'un ouvrage de prise d'eau établi en travers du lit du Rhins ; Considérant que l'ouvrage n'a plus aucun usage ; Considérant que la suppression du seuil permettra la reconnexion d'environ 8 800 mètres de cours d'eau sur un linéaire très diversifié à faciès d’alternance plats-radiers-mouilles, améliorant ainsi la continuité écologique du Rhins ; Considérant que la remise en état du site peut s'effectuer sans qu'il ne se manifeste aucun danger ou aucun inconvénient pour les éléments concourant à la gestion équilibrée de la ressource en eau ; Considérant les remarques du syndicat transmises dans le délai de 15 jours suivant la transmission du projet d'arrêté de retrait d'autorisation ; Sur proposition du Directeur départemental des territoires de la Loire ;

ARRETE

Article 1er : Objet Le droit fondé en titre d'utiliser la force motrice du cours d'eau du Rhins au lieu-dit « Pramondon » sur la commune de St Symphorien de Lay est supprimé.

96 Article 2 : Conditions de remise en état des lieux

Les conditions de remise en état des lieux sont les suivantes :

2.1. Destruction du seuil Le seuil sera démantelé progressivement par la création d'une échancrure dans le massif sur environ un tiers de la longueur déversante (soit environ 10 mètres) , jusqu'à sa base (soit -1,20 mètres), afin de concentrer les écoulements dans un chenal préférentiel. La fondation aval sera conservée afin d'éviter un processus éventuel d'érosion régressive du lit du cours d'eau.

2.2. Précautions en phase chantier Les travaux seront réalisés hors d'eau en utilisant l'ancienne vanne de vidange pour dériver les écoulements. Tout apport de polluant ou de charge solide, immédiat ou différé, est proscrit. Les dispositions nécessaires à cet égard doivent être prises par le pétitionnaire. Les engins de chantier travailleront depuis les berges, sur les maçonneries de l'ouvrage, les atterrissements naturellement présents ou une plateforme provisoire aménagée. Il ne pénètreront pas dans les parties en eau du lit du cours d'eau.

2.3. Gestion des sédiments Les sédiments stockés à l'amont du seuil seront entraînés naturellement.

2.4. Suivi des incidences de la suppression du seuil Le suivi de l'évolution du site sera assuré sur une période minimale de 2 ans suivant le démantèlement du seuil afin de veiller à la stabilité des berges et prévenir les phénomènes d'érosion.

2.5. Mesures d'accompagnement Un abattage préventif des arbres et cépées instables sera préalablement réalisé. Les nouvelles berges issues de l'abaissement de la ligne d'eau seront immédiatement enherbées à l'aide d'un mélange grainier adapté au contexte. Elles seront, au besoin selon l'évolution du site, replantées d'essences arbustives et arborées autochtones.

2.6. Évacuation des matériaux constituant le seuil Les éclats et déchets de béton ainsi que les ferraillages seront évacués pour recyclage. Les blocs et déchets de structures pierreuses pourront être utilisés sur place pour appareillage éventuel en pied de berges amont. Les matériaux non réutilisés seront évacués en décharge de matériaux inertes.

2.7. Période des travaux Le Rhins étant classé en 2ème catégorie piscicole et afin de préserver les zones de frayères, les travaux devront être réalisés du 15 juillet au 15 février.

Article 3 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 4 : Autres réglementations Le présent arrêté ne dispense en aucun cas le pétitionnaire de faire les déclarations ou d'obtenir les autorisations requises par d'autres réglementations.

Article 5 : Publication et information des tiers Une copie du présent arrêté sera transmise pour information au conseil municipal de la commune de St Symphorien de Lay. Un extrait du présent arrêté énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles cette renonciation au droit fondé en titre est soumise sera affiché à la mairie de Saint Symphorien de Lay pendant une durée minimale d’un mois. Le présent arrêté sera à disposition du public sur le site Internet de la préfecture de la Loire pendant une durée d’au moins 1 an.

Article 6 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif de Lyon (184 rue Duguesclin – 69003 Lyon) à compter de sa publication au recueil des actes administratifs par le pétitionnaire dans un délai de deux mois suivant sa notification et par les tiers dans un délai d'un an suivant sa notification dans les conditions de l’article L. 514-6 du code de l’environnement.

97 Dans le même délai de deux mois, le pétitionnaire peut présenter un recours gracieux. Le silence gardé par l’administration pendant plus de deux mois sur la demande de recours gracieux emporte décision implicite de rejet de cette demande conformément à l’article R. 421-2 du code de justice administrative.

Article 7 : Exécution Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, Le président du syndicat mixte Rhins Rhodon Trambouzan et affluents, Le maire de la commune de St Symphorien de Lay, Le directeur départemental des territoires de la Loire, Le responsable départemental de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques, Le commandant du Groupement de gendarmerie départementale de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire.

Saint Etienne, le 2 août 2011 Le Préfet Pierre SOUBELET

***************

ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-630 DU 06/08/2011 LEVANT LES RESTRICTIONS DE CERTAINS USAGES DE L’EAU DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur

VU le Code de l’Environnement et notamment ses articles L 211-3, R 211-66 à R 211-70 ; VU le Code de la Santé Publique ; VU le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment l’article L 2212-2 5°) ; VU l’arrêté n° DT-10-488 en date du 05 août 2010, arrêté-cadre sécheresse pour le département de la Loire ; VU le Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux du bassin Loire-Bretagne ; VU le réseau d’observation de crise des assecs (ROCA) mis en œuvre par le service départemental de l'office national de l'eau et des milieux aquatiques de la Loire ; Considérant que les prévisions météorologiques de Meteo-France pour les prochains jours annoncent d'une part, des pluies pour les prochains jours, d'autre part des températures en dessous des normales saisonnières , Considérant que les débits des cours d'eau l’Aix, la Coise et le Rhins se maintiennent au dessus du seuil de pénurie défini dans l'arrêté cadre ; Sur proposition du secrétaire général de la Préfecture de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er - Levée des restrictions d'usage de l'eau : L'arrêté n° DT 11-545 de restriction de certains usages de l'eau en date du 26 juillet 2011 et concernant les communes listées en annexe est abrogé. Validité : Les dispositions du présent arrêté sont applicables à compter du lendemain de sa date de signature.

Article 2 - Délai et voie de recours : Le présent arrêté peut être déféré au tribunal administratif de Lyon (184 Rue Duguesclin -69003 Lyon) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication.

Article 3 - Publication : Le présent arrêté sera affiché dans les mairies des communes figurant en annexe en un lieu accessible à tout moment. Le présent arrêté sera publié sur le site internet de la préfecture de la Loire. Le présent arrêté sera publié au registre des actes administratifs du département de la Loire. Un extrait du présent arrêté sera également publié dans deux journaux d’annonces légales du département.

98 Article 4 - Exécution : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le sous-préfet de Roanne, le sous-préfet de Montbrison, le Directeur Départemental des Territoires, le Directeur Départemental de la Protection des Populations, le Directeur Régional de l’Environnement de l'Aménagement et du Logement, le délégué territorial de la Loire de l'agence régionale de Santé les Maires des communes de la Loire figurant en annexe, le Commandant du Groupement de Gendarmerie Départemental, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, le chef du service départemental de l'Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques, le chef du service départemental de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Saint-Etienne, le 6 août 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général Patrick FERIN

L'annexe peut être consultée à la Direction Départementale des Territoires – 2 avenue Grüner à Saint-Etienne.

***************

ARRETE PREFECTORAL N° DT-11-636 DU 19/08/2011 FIXANT LES PRESCRIPTIONS DE LIMITATION DE CERTAINS USAGES DE L’EAU DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur

VU le Code de l’Environnement et notamment ses articles L 211-3, R 211-66 à R 211-70 ; VU le Code de la Santé Publique ; VU le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment l’article L 2212-2 5°) ; VU l’arrêté n° DT-10-488 en date du 05 août 2010, arrêté-cadre sécheresse pour le département de la Loire ; VU le Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux du bassin Loire-Bretagne ; VU le réseau d’observation de crise des assecs (ROCA) mis en œuvre par le service départemental de l'office national de l'eau et des milieux aquatiques de la Loire ; Considérant que les débits de certains cours d’eau sont suivis de façon permanente et que Météo France établit des prévisions climatiques quotidiennes ; Considérant que les manœuvres des ouvrages hydrauliques et les prélèvements incontrôlés sont de nature à aggraver la situation hydrologique des cours d’eau en période d’étiage ; Considérant que parmi les usages de l’eau, l’alimentation en eau destinée à la consommation humaine et à l’abreuvement des animaux d’élevage constituent une priorité ; Considérant que les usages agricoles doivent bénéficier d’une attention particulière eu égard à la sensibilité au stress hydrique de certaines cultures, notamment celles à haute valeur ajoutée ; Considérant que les aquifères des alluvions de la Loire, Sables et Marnes du Tertiaire de la Plaine du Forez conservent un niveau piézométrique bas et qu’il est nécessaire, pour anticiper toute dégradation future, de poursuivre les mesures de limitation des usages de l’eau à partir des ressources souterraines ; Considérant qu'à la date du 19 août 2011, le cours d’eau « la Coise » enregistre une forte dégradation de ses débits et que, compte-tenu des prévisions météorologiques qui n’annoncent pas de pluie significative avant plusieurs jours, il est pertinent de considérer, comme le prévoit l’article 6 de l’arrêté cadre sécheresse, que l’on a atteint le seuil de pénurie pour le secteur n°3 « Monts du Lyonnais » ; qu’en conséquence il convient de prendre des mesures de restriction d’usages de l’eau ; Considérant l’avis rendu lors du comité sécheresse du 19 juillet 2011 proposant au Préfet de la Loire de d’apporter quelques aménagements aux termes de l’arrêté cadre avec des restrictions plus fortes pour certains usages de confort et à un allègement des restrictions pour l’usage agricole dès lors que la ressource n'est pas en difficulté ; Sur proposition du secrétaire général de la Préfecture de la Loire ;

99 ARRÊTE

Article 1 - Définition des secteurs soumis aux mesures de limitation : Le secteur n°3 « Monts du Lyonnais » est déclaré en situation de pénurie. La liste des communes concernées figure en annexe.

Article 2 - Mesures de restriction dans le secteur en situation de pénurie : Usages domestiques Quelle que soit la ressource utilisée, il est interdit, 24 heures sur 24 heures : • de laver les voitures hors des stations professionnelles, sauf pour les véhicules ayant une obligation réglementaire (véhicules sanitaires et alimentaires) ou technique, • de remplir, de remettre à niveau ou de changer l’eau des piscines privées à usage uni-familial, sauf pour la première mise en eau consécutive à la construction et à la livraison de nouvelles piscines , • d’arroser les pelouses, prairies d'agrément et les espaces verts publics et privés, • de remplir des plans d’eau non exploités pour une activité commerciale ou de pisciculture.

Quelle que soit la ressource utilisée, il est interdit, entre 10h et 19 h, d’arroser les massifs fleuris, les jardins potagers, espaces sportifs de toute nature publics et privés.

Les fontaines publiques qui ne sont pas destinées à l’alimentation en eau potable doivent être déconnectées.

Usages agricoles et irrigation

Eau prélevée dans le canal du Forez • aucune restriction d'usage n'est édictée lorsque l'eau est prélevée dans le canal du Forez. Eau prélevée dans des retenues collinaires situées en dehors d’un cours d’eau Lorsque l'eau utilisée est prélevée dans des retenues collinaires situées en dehors de cours d'eau : • l'irrigation des prairies est • interdite à l’exception des parcelles de légumineuses (luzernes et trèfles) pour lesquelles l’irrigation est interdite entre 12 h et 18 h, • l'irrigation des autres types de cultures est interdite entre 12 h et 18 h à l'exception de l'irrigation par goutte-à-goutte, diffuseur à micro-jets ou équivalent, pour laquelle il n'y a pas de restrictions horaires. Autres points de prélèvement de l'eau Lorsque l'eau utilisée est prélevée en un autre point que le canal du Forez ou des retenues situées en dehors d'un cours d'eau : • l'irrigation des prairies est interdite à l’exception des parcelles de légumineuses (luzernes et trèfles) pour lesquelles l’irrigation est interdite entre 10h et 19 h, • l'irrigation des autres types de cultures est interdite entre 10h et 19 h à l'exception de l'irrigation par goutte-à-goutte, diffuseur à micro-jets ou équivalent pour laquelle il n'y a pas de restrictions horaires.

Usage agricole et abreuvement du bétail Les propriétaires d'animaux d'élevage prennent les dispositions nécessaires pour que lesdits animaux ne pénètrent pas dans le lit mineur des cours d’eau en dehors des points d’abreuvement aménagés.

Autres usages dont industriels

Les activités industrielles, artisanales et commerciales doivent limiter au strict nécessaire leur consommation d’eau : les prélèvements d’eau autres que ceux strictement nécessaires aux process de fabrication, tels que par exemple l'arrosage des pelouses sont interdits..

Il est interdit de manœuvrer les vannes et ouvrages de moulins et de les faire fonctionner par éclusées.

Article 3 - Rejets : Toutes opérations de maintenance non indispensables au fonctionnement des stations d’épuration et susceptibles d’augmenter le flux polluant rejeté au milieu naturel sont interdites.

100 Article 4 - Dérogations : Les dispositions du présent arrêté ne s’appliquent pas aux prélèvements effectués pour :

• l’alimentation destinée à la consommation humaine ; • l'abreuvement des animaux ; • les besoins des services d’incendie et de secours ; • l’exploitation des sources d’eaux minérales et des sources destinées à l’embouteillage.

Des dérogations individuelles pourront être accordées sur demande motivée adressée à la Direction Départementale des Territoires de la Loire.

Article 5 - Application : Le préfet peut prendre à tout moment un nouvel arrêté modificatif si les conditions hydrologiques le nécessitent. Il est également rappelé que des restrictions d'usage de l'eau à partir des réseaux publics peuvent être mises en place par arrêtés municipaux.

Article 6 - Sanctions : Tout contrevenant aux dispositions du présent arrêté sera puni de la peine d’amende prévue pour les contraventions de 5ème classe (jusqu’à 1500 euros, et 3000 euros en cas de récidive).

Article 7 - Durée de validité : Les dispositions du présent arrêté sont applicables à compter du lendemain de sa date de signature et jusqu’au 30 septembre 2011.

Article 8 - Délai et voie de recours : Le présent arrêté peut être déféré au tribunal administratif de Lyon (184 Rue Duguesclin -69003 Lyon) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication.

Article 9 - Publication : Le présent arrêté sera affiché dans les mairies des communes figurant en annexe en un lieu accessible à tout moment. Le présent arrêté sera publié sur le site internet de la préfecture de la Loire. Le présent arrêté sera publié au registre des actes administratifs du département de la Loire. Un extrait du présent arrêté sera également publié dans deux journaux d’annonces légales du département.

Article 10 - Exécution : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le sous-préfet de Roanne, le sous-préfet de Montbrison, le Directeur Départemental des Territoires, le Directeur Départemental de la Protection des Populations, le Directeur Régional de l’Environnement de l'Aménagement et du Logement, le délégué territorial de la Loire de l'agence régionale de Santé les Maires des communes de la Loire figurant en annexe, le Commandant du Groupement de Gendarmerie Départemental, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, le chef du service départemental de l'Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques, le chef du service départemental de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Saint-Etienne, le 19 août 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire général, Patrick FÉRIN

101 ANNEXE

COMMUNES DU SECTEUR N°3 : MONTS DU LYONNAIS

ANDREZIEUX-BOUTHEON PANISSIERES AVEIZIEUX POUILLY-LES-FEURS BALBIGNY RIVAS BELLEGARDE-EN-FOREZ ROZIER-EN-DONZY BUSSIERES SAINT-ANDRE-LE-PUY CHAMBOEUF SAINT-BARTHELEMY-LESTRA CHATELUS SAINT-BONNET-LES-OULES CHAZELLES-SUR-LYON SAINT-CHRISTO-EN-JAREZ CHEVRIERES SAINT-CYR-LES-VIGNES CIVENS SAINT-DENIS-SUR-COISE COTTANCE SAINTE-AGATHE-EN-DONZY CUZIEU SAINT-GALMIER EPERCIEUX-SAINT-PAUL SAINT-HEAND ESSERTINES-EN-DONZY SAINT-LAURENT-LA-CONCHE FEURS SAINT-MARCEL-DE-FELINES FONTANES SAINT-MARTIN-LESTRA GRAMMOND SAINT-MEDARD-EN-FOREZ JAS SALT-EN-DONZY LA FOUILLOUSE SALVIZINET LA GIMOND VALEILLE MARCENOD VEAUCHE MARCLOPT VIRICELLES MARINGES VIRIGNEUX MONTCHAL MONTROND-LES-BAINS NERONDE

**************

ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-573 DU 23/08/2011 AUTORISANT LA CAPTURE D'ESPECES PISCICOLES A DES FINS SCIENTIFIQUES Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le Code de l’Environnement ; VU l’arrêté préfectoral en date du 14 février 2011 portant délégation de signature à M. Philippe ESTINGOY, Directeur départemental des Territoires de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral n°DT-11-528 en date du 08 juillet 2011 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; VU la demande présentée par Établissement Public Loire du 28/07/2011 VU l’avis du Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique en date du 23 août 2011 ;

ARRETE

Article 1 e r : bénéficiaire de l’opération

ETABLISSEMENT PUBLIC LOIRE 3avenue Claude Guillemin BP 6125 45061 ORLEANS cedex 2

Est autorisée à avoir recours à la pêche aux engins pour l’étude des peuplements piscicoles de la retenue de Villerest dans les conditions et sous les réserves précisées aux articles suivants du présent arrêté.

102 Article 2 : objet

Inventaires piscicoles permettant d’acquérir les données nécessaires pour caractériser les masses d’eau dans le cadre de la mise en œuvre de la Directive Cadre sur l’Eau.

Article 3 : responsables de l’exécution matérielle

ECO-HYDRO-SERVICES Madame Françoise RESTITUITO 25 rue des Percèdes 63670 ORCET

Opérateurs : Françoise RESTITUITO Responsable Eco Hydro Services Antoine THOUVENOT Gérant ATHOS Environnement Romain GUIENEUF Chef de projet ATHOS Environnement Magalie SKALJAC Chargé d'études ATHOS Environnement Marie EVE PENIDE Chargé mission ATHOS Environnement Marion BIGOT Technicienne ATHOS Environnement

Article 4 : validité

La présente autorisation est valable jusqu'au 30 septembre 2011.

Article 5 : moyens de capture autorisés

Est autorisé le moyen suivant : pêche aux filets maillants.

Deux types de filets seront utilisés : - 3 filets benthiques : longueur 30 m, hauteur 1,5 m, 12 tailles de mailles de 5 à 55 mm.

Ils seront disposés à différentes profondeurs et déplacés de manière aléatoire à chaque session de pêche. - 2 filets pélagiques : longueur 27,5 m, hauteur 6 m, 11 tailles de mailles de 6,25 à 55 mm.

Les filets seront mis en pêche entre 18h et 20h puis relevé le matin suivant entre 6h et 8h. En vue de leur signalement à la navigation, tout filet utilisé doit être rendu apparent par deux bouées ancrées à proximité des extrémités. Chaque filet doit être identifié.

Article 6 : cours d'eau concernés

Les cours d’eau prospectés sont :le fleuve Loire dans la retenue de Villerest.

Article 7 : destination du poisson capturé

Les poissons capturés seront traités immédiatement. Entre chaque session de capture, les poissons n’appartenant pas aux espèces susceptibles de provoquer des déséquilibres biologiques, encore vivants pourront être remis à l'eau dans la retenue de Villerest, sur un site éloigné du secteur de pêche.

Les individus morts seront portés à l’équarrissage.

Certains spécimens de différentes espèces pourront être conservés pour analyse.

Article 8 : accord du (des) détenteur (s) du droit de pêche

Le bénéficiaire ne peut exercer les droits qui sont liés à la présente autorisation que s’il a obtenu l’accord du (des) détenteur (s) du droit de pêche. Celui-ci est joint à l’original de la déclaration préalable prévue à l’article 8 du présent arrêté.

103 Article 9 : déclaration préalable

Deux semaines au moins avant l'opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d’adresser une déclaration écrite précisant le programme, les dates et lieux de capture, ainsi qu’une copie de la présente autorisation au Préfet (DDT), à l'ONEMA et au Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique.

Article 10 : compte-rendu d’exécution

Dans un délai d’un mois après l’exécution de chaque opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d’adresser un compte-rendu précisant la date, le cours d’eau, la localisation X et Y du point aval, les résultats des captures (espèces, effectifs, poids, classes de taille), la longueur et la largeur moyenne du tronçon pêché selon le modèle annexé : • l’original au Préfet de la Loire (DDT) • une copie au Président de la Fédération pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique • une copie au service départemental de l'ONEMA.

Article 11 : rapport annuel

Dans un délai de six mois à compter de l’expiration de la présente autorisation, le bénéficiaire adresse un rapport de synthèse sur les opérations réalisées, indiquant les lieux, dates, objets et résultats obtenus : • l’original au Préfet de la Loire (DDT) • une copie au Président de la Fédération pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique • une copie au service départemental de l'ONEMA.

Article 12 : présentation de l’autorisation

Le bénéficiaire, ou le responsable matériel de l’opération, doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations de capture et de transport. Il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de la police de la pêche.

Article 13 : retrait de l’autorisation

La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n’en respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées.

Article 14 : publication

Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs.

Article 15 : délai de recours

Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture dans un délai de deux mois.

Article 16 : exécution

M. le directeur départemental des Territoires de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté. Une ampliation est adressée à M. le responsable du service départemental de l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques, M. le Chef du service départemental de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, à Monsieur le Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique.

Saint-Etienne, le 23 août 2011 P. le préfet et par délégation P. Le Directeur Départemental des Territoires l'Ingénieur du Pôle Police et Politique de l'Eau Philippe MOJA

**************

104 ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-572 DU 27/07/2011 AUTORISANT LA CAPTURE ET LE TRANSPORT D'ESPECES PISCICOLES ET ASTACICOLES A DES FINS SCIENTIFIQUES Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le Code de l’Environnement ; VU l’arrêté préfectoral en date du 14 février 2011 portant délégation de signature à M. Philippe ESTINGOY, Directeur départemental des Territoires de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral n°DT-11-528 en date du 08 juillet 2011 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; VU la demande présentée par ASCONIT CONSULTANTS en date du 18 juillet 2011 ; VU l’avis du Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique en date du 27 juillet 2011 ;

ARRETE

Article 1 e r : bénéficiaire de l’opération ASCONIT CONSULTANTS 24 rue du Sagnat 63460 JOZERAND est autorisé à capturer du poisson et des écrevisses à des fins scientifiques et à les transporter dans le cadre de travaux dans les cours d'eau du Lignon et du Lachet sur la commune de CHALMAZEL dans les conditions et sous les réserves précisées aux articles suivants du présent arrêté.

Article 2 : objet Pêche scientifique de poissons et écrevisses dans les cours d'eau du Lignon et du Lachet sur la commune de CHALMAZEL.

Article 3 : responsables de l’exécution matérielle

Responsables d'opération Patricia REYES-MARCHANT Thibaut ROSAK Opérateurs Sarah MILLET Adeline MEUNIER Anne MOREL Sylvain SAXER

Article 4 : validité La présente autorisation est valable jusqu'au 15 octobre 2011.

Article 5 : moyens de capture autorisés Est autorisé le moyen suivant : pêche à l’électricité. L’utilisation des installations de pêche à l’électricité est subordonnée au respect des mesures compensatrices édictées par l’arrêté du Ministère de l’Agriculture du 02 février 1989 notamment avoir satisfait la vérification annuelle du matériel.

Article 6 : cours d'eau concernés Les cours d'eau du Lignon en amont du Pont de Chevelière et du Lachet en amont de Chanteloube sur la commune de CHALMAZEL.

Article 7 : destination du poisson capturé Les poissons, agnathes et écrevisses capturés seront remis à l’eau au droit du chantier après biométrie ou détruits s’ils appartiennent à des espèces susceptibles de provoquer des déséquilibres biologiques (en particulier l’écrevisse signal ou américaine).

Article 8 : accord du (des) détenteur (s) du droit de pêche

Le bénéficiaire ne peut exercer les droits qui sont liés à la présente autorisation que s’il a obtenu l’accord du (des) détenteur (s) du droit de pêche. Celui-ci est joint à l’original de la déclaration préalable prévue à l’article 8 du présent arrêté.

105 Article 9 : déclaration préalable

Deux semaines au moins avant l'opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d’adresser une déclaration écrite précisant le programme, les dates et lieux de capture, ainsi qu’une copie de la présente autorisation au Préfet (DDT), à l'ONEMA et au Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique.

Article 10 : compte-rendu d’exécution

Dans un délai d’un mois après l’exécution de chaque opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d’adresser un compte-rendu précisant la date, le cours d’eau, la localisation X et Y du point aval, les résultats des captures (espèces, effectifs, poids, classes de taille), la longueur et la largeur moyenne du tronçon pêché selon le modèle annexé : • l’original au Préfet de la Loire (DDT) • une copie au Président de la Fédération pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique • une copie au service départemental de l'ONEMA.

Article 11 : rapport annuel

Dans un délai de six mois à compter de l’expiration de la présente autorisation, le bénéficiaire adresse un rapport de synthèse sur les opérations réalisées, indiquant les lieux, dates, objets et résultats obtenus : • l’original au Préfet de la Loire (DDT) • une copie au Président de la Fédération pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique • une copie au service départemental de l'ONEMA.

Article 12 : présentation de l’autorisation

Le bénéficiaire, ou le responsable matériel de l’opération, doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations de capture et de transport. Il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de la police de la pêche.

Article 13 : retrait de l’autorisation

La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n’en respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées.

Article 14 : publication

Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs.

Article 15 : délai de recours

Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture dans un délai de deux mois.

Article 16 : exécution

M. le directeur départemental des Territoires de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté. Une ampliation est adressée à M. le responsable du service départemental de l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques, M. le Chef du service départemental de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, à Monsieur le Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique.

Saint-Etienne, le 27 juillet 2011 P. le préfet et par délégation P. le directeur départemental des territoires Le Responsable du Pôle Police et Politique de l'Eau Bernard BILLARD ***************

106 ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-496 DU 27/06/2011 AUTORISANT LA CAPTURE ET LE TRANSPORT D'ESPECES PISCICOLES ET ASTACICOLES A DES FINS SCIENTIFIQUES Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le Code de l’Environnement ; VU l’arrêté préfectoral en date du 14 février 2011 portant délégation de signature à M. Philippe ESTINGOY, Directeur départemental des Territoires de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral en date du 16 février 2011 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; VU la demande présentée par ASCONIT CONSULTANTS en date du 09 juin 2011 ; VU l’avis du Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique en date du 21 juin 2011 ;

ARRETE

Article 1 e r : bénéficiaire de l’opération

ASCONIT CONSULTANTS 8 rue Poncetton 42000 SAINT ETIENNE est autorisé à capturer du poisson et des écrevisses à des fins scientifiques et à les transporter dans le cadre de travaux dans le cours d'eau le Cotatay sur la commune du CHAMBON FEUGEROLLES dans les conditions et sous les réserves précisées aux articles suivants du présent arrêté.

Article 2 : objet

Pêche scientifique de poissons et écrevisses dans le cours d'eau le Cotatay sur la commune du CHAMBON FEUGEROLLES.

Article 3 : responsables de l’exécution matérielle

Responsable d'opération Jean-Paul MALLET Opérateurs Emilie CHANOINE Fabien PEZZATO Nicolas GAUTHIER

Article 4 : validité

La présente autorisation est valable jusqu'au 31/08/2011.

Article 5 : moyens de capture autorisés

Est autorisé le moyen suivant : pêche à l’électricité.

L’utilisation des installations de pêche à l’électricité est subordonnée au respect des mesures compensatrices édictées par l’arrêté du Ministère de l’Agriculture du 02 février 1989 notamment avoir satisfait la vérification annuelle du matériel.

Article 6 : cours d'eau concernés

Le cours d'eau le Cotatay sur la commune du CHAMBON FEUGEROLLES..

Article 7 : destination du poisson capturé

Les poissons, agnathes et écrevisses capturés seront remis à l’eau dans la Loire ou détruits s’ils appartiennent à des espèces susceptibles de provoquer des déséquilibres biologiques (en particulier l’écrevisse signal ou américaine).

107 Article 8 : accord du (des) détenteur (s) du droit de pêche Le bénéficiaire ne peut exercer les droits qui sont liés à la présente autorisation que s’il a obtenu l’accord du (des) détenteur (s) du droit de pêche. Celui-ci est joint à l’original de la déclaration préalable prévue à l’article 8 du présent arrêté.

Article 9 : déclaration préalable Deux semaines au moins avant l'opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d’adresser une déclaration écrite précisant le programme, les dates et lieux de capture, ainsi qu’une copie de la présente autorisation au Préfet (DDT), à l'ONEMA et au Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique.

Article 10 : compte-rendu d’exécution Dans un délai d’un mois après l’exécution de chaque opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu d’adresser un compte-rendu précisant la date, le cours d’eau, la localisation X et Y du point aval, les résultats des captures (espèces, effectifs, poids, classes de taille), la longueur et la largeur moyenne du tronçon pêché selon le modèle annexé : • l’original au Préfet de la Loire (DDT) • une copie au Président de la Fédération pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique • une copie au service départemental de l'ONEMA.

Article 11 : rapport annuel Dans un délai de six mois à compter de l’expiration de la présente autorisation, le bénéficiaire adresse un rapport de synthèse sur les opérations réalisées, indiquant les lieux, dates, objets et résultats obtenus : • l’original au Préfet de la Loire (DDT) • une copie au Président de la Fédération pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique • une copie au service départemental de l'ONEMA.

Article 12 : présentation de l’autorisation Le bénéficiaire, ou le responsable matériel de l’opération, doit être porteur de la présente autorisation lors des opérations de capture et de transport. Il est tenu de la présenter à toute demande des agents commissionnés au titre de la police de la pêche.

Article 13 : retrait de l’autorisation La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment sans indemnité si le bénéficiaire n’en respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées.

Article 14 : publication Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs.

Article 15 : délai de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture dans un délai de deux mois.

Article 16 : exécution M. le directeur départemental des Territoires de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté. Une ampliation est adressée à M. le responsable du service départemental de l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques, M. le Chef du service départemental de la garderie de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, à Monsieur le Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique.

Saint-Etienne, le 27 juin 2011 P. le préfet et par délégation P. le directeur départemental des territoires La chef de service Catherine MARCELLIN ***************

108 ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-641 DU 23/08/2011 PORTANT PROROGATION DE L'ARRETE PREFECTORAL N°DT-11-496 DU 27 JUIN 2011 AUTORISANT LA CAPTURE ET LE TRANSPORT D'ESPECES PISCICOLES ET ASTACICOLES A DES FINS SCIENTIFIQUES Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le Code de l’Environnement ; VU l’arrêté préfectoral en date du 14 février 2011 portant délégation de signature à M. Philippe ESTINGOY, Directeur départemental des Territoires de la Loire ; VU l’arrêté préfectoral n°DT-11-528 en date du 08 juillet 2011 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; VU l'arrêté préfectoral n°DT-11-496 du 27 juin 2011 ; VU la demande présentée par ASCONIT CONSULTANTS en date du 08 août 2011 ;

ARRETE

Article 1 e r : bénéficiaire de l’opération

L'arrêté préfectoral n°DT-11-496 sus-visé est prorogé jusqu'au 15/09/2011.

Article 2 : publication

Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs.

Article 3 : délai de recours

Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture dans un délai de deux mois.

Article 4 : exécution

M. le directeur départemental des Territoires de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté. Une ampliation est adressée à M. le responsable du service départemental de l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques, M. le Chef du service départemental de la garderie de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, à Monsieur le Président de la Fédération de la Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique.

Saint-Etienne, le 23 août 2011 P. le préfet et par délégation P. le directeur départemental des territoires L'Ingénieur du Pôle Police et Politique de l'Eau Philippe MOJA

***************

ARRETE PREFECTORAL DT-11-627 DU 03/08/2011 PORTANT DEROGATION AU REGIME D'INTERDICTION DE CAPTURE D'ESPECES PROTEGEES DE FAUNE Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur,

VU le titre 1er du livre IV du code de l'environnement et notamment les articles L 411-1 et L 411-2, R 411-6 à R 411-14 ; VU l'arrêté du 19 février 2007 fixant les conditions de demande et d'instruction des dérogations définies au 4° de l'article L 411-2 du code de l'environnement portant sur des espèces de faune et de flore sauvages protégées ; VU l’arrêté du 23 avril 2007 fixant la liste des mammifères terrestres protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection VU l’arrêté préfectoral en date du 14 février 2011 portant délégation de signature à M. Philippe ESTINGOY, Directeur Départemental des Territoires ; VU la circulaire du 21 janvier 2008 relative aux décisions administratives individuelles relevant du Ministère chargé de la protection dans le domaine de la faune et de la flore sauvages ;

109 VU le dossier du 14 avril 2011, ainsi que son complément du 24 juin 2011, déposés par le bureau d'études LATITUDE, pour une demande d'autorisation de capture d'espèces protégées (hérissons) à des fins d'inventaires scientifiques dans le cadre d'une étude d'impact d’une ZAC sur la commune de Lorette - département de la Loire; VU les avis favorables des 19 avril et 24 juin 2011 de M. le Directeur Régional de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes ; VU l'avis favorable du 20 juillet 2011 du Conseil National de Protection de la Nature sur la demande sus mentionnée en ce qui concerne l’année 2011 ;

CONSIDERANT : - qu'il n'existe pas d'autre solution satisfaisante pour éviter de solliciter une dérogation aux mesures de protection des espèces de faune et de flore sauvages ; – que cette dérogation ne nuit pas au maintien de l'état de conservation favorable des espèces dans les aires de répartition naturelle ; – SUR PROPOSITION de M. le Directeur Départemental des Territoires,

A R R E T E

Article 1 er : La demande de dérogation au régime d'interdiction prévu à l'article L 411-1 du code de l'environnement est accordée au bureau d'études LATITUDE u.e.p., section biodiversité, 14 route de Savigny – 69210 SAIN BEL : • pour l’estimation d'une population de hérissons d’Europe dans le cadre de la création de la ZAC Cote Granger, sur la commune de Lorette, dans le département de la Loire, dans les conditions définies à l'article 2.

Article 2 : 1/ Mandataires Mme Marie-Laure GESLIN M. Olivier MONTAVON M. David MULA

2/ Objet de la demande : capture d'espèces protégées à l'exclusion des espèces figurant à l'arrêté du 9 juillet 1999 modifié à des fins d'inventaires scientifiques dans le cadre d'études d'impact d'infrastructures. 3/ Espèces concernées : Erinaceus europaeus – Hérisson d’Europe 4/ Durée de validité de la demande de dérogation : 2011 5/ Lieu d'intervention : commune de Lorette - département de la Loire 6/ Suivi de la demande de dérogation : un rapport devra être rédigé et transmis à la Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes et à la Direction Départementale des Territoires de la Loire.

Article 3 : La présente décision ne dispense pas de l'obtention d'autres accords ou autorisations par ailleurs nécessaires pour la réalisation de l'opération sus-mentionnée et du respect des autres dispositions réglementaires susceptibles d'être applicables sur les espaces protégés du territoire d'étude.

Article 4 : Cette décision peut être déférée au tribunal administratif de Lyon. Le délai de recours est de deux mois à compter de la date de notification du présent arrêté.

Article 5 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Régional de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes et Monsieur le Directeur Départemental des Territoires de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 03 août 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Directeur Départemental des Territoires adjoint, Jacques DUMEZ

***************

110 ARRETE PREFECTORAL N° DT 11-642 DU 26/08/2011 PORTANT AUTORISATION DE CAPTURE ET ENLÈVEMENT DES SPÉCIMENS D’ESPÈCES ANIMALES PROTÉGÉES DESTRUCTION, ALTÉRATION DÉGRADATION DES SITES DE REPRODUCTION OU D'AIRES DE REPOS DE SPÉCIMENS D’ESPÈCES ANIMALES PROTÉGÉES Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur,

VU le code de l'environnement et notamment les articles L 411-1 et L 411-2, R 411-6 à R 411-14 ; VU l'arrêté du 19 février 2007 fixant les conditions de demande et d'instruction des dérogations définies au 4° de l'article L 411-2 du code de l'environnement portant sur des espèces de faune et de flore sauvages protégées ; VU l'arrêté du 23 avril 2007 fixant la liste des insectes protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection ; VU l'arrêté du 19 novembre 2007 fixant les listes d'amphibiens et de reptiles protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection ; VU l'arrêté du 29 octobre 2009 fixant la liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection ; VU la circulaire du 21 janvier 2008 relative aux décisions administratives individuelles relevant du Ministère chargé de la protection dans le domaine de la faune et de la flore sauvages ; VU le dossier de demande de dérogation déposée par la société SEDL du 16 décembre 2010 ainsi que son complément du 7 juillet 2011, concernant l'opération de création et d'aménagement de la ZAC des Plaines sur les communes de Bonson, Saint Marcellin en Forez et Sury le Comtal ; VU la demande de complément du Conseil National de Protection de la Nature du 7 mars 2011 ; VU l'avis favorable sous conditions du Conseil National de Protection de la Nature du 29 juillet 2011 ;

CONSIDERANT • que le projet répond à des raisons impératives d'intérêt public majeur ; • qu'il n'existe pas d'autre solution satisfaisante ; • que la dérogation aux mesures de protection des espèces de faune ne nuit pas au maintien, dans un état de conservation favorable, des populations d’espèces concernées dans leur aire de répartition naturelle ;

SUR PROPOSITION de M. le Directeur Départemental des Territoires,

A R R E T E

Article 1 : Dans le cadre du projet d’aménagement de la ZAC des Plaines, sur une superficie d'environ 100 ha, la Société d'Equipement et de Développement de la Loire (SEDL), 35 rue Ponchardier, BP 103 – 42010 SAINT- ETIENNE cédex 02, représentée par son directeur général Jean-Claude Roux, est autorisée à réaliser : • la capture ou l'enlèvement des spécimens d’espèces animales protégées suivantes : - triton alpestre, triton palmé, - grenouille agile, rainette verte, crapaud calamite, - agrion de mercure, - cuivré des marais, • la destruction, l’altération ou la dégradation des sites de reproduction ou d'aires de repos de spécimens d’espèces animales protégées suivantes : - grenouille agile, rainette verte, crapaud calamite, - cuivré des marais, - oiseaux (accenteur mouchet, alouette des champs, alouette lulu, avocette élégante, bergeronnette grise, bruant jaune, bruant zizi, buse variable, canard colvert, chardonneret élégant, choucas des tours, chouette chevêche, corbeau freux, corneille noire, coucou gris, courlis cendré, étourneau sansonnet, faisan de colchique, faucon crécerelle, faucon hobereau, fauvette à tête noire, fauvette grisette, fuligule milouin, gallinule poule d'eau, geai des chênes, grimpereau des jardins, grive musicienne, héron cendré, hirondelle rustique, hypolaïs polyglotte, loriot d'Europe, linotte mélodieuse, martinet noire, merle noir, mésange à longue queue, mésange bleue, mésange boréale, mésange charbonnière, milan noir, moineau domestique, mouette rieuse, œdicnème criard, petit gravelot, pic épeiche, pic épeichette, pic vert, pie bavarde, pie-grièche écorcheur, pigeon ramier, pinson des arbres, pouillot véloce, rossignol philomèle, rouge-gorge familier, rouge-queue noir, serin cini, sittelle torchepot, tarier pâtre, tourterelle des bois, tourterelle turque, troglodyte mignon, vanneau huppé, verdier d'Europe). dans les conditions définies à l’article 2.

111 Article 2 : Pour minimiser l'impact du projet sur les espèces protégées et leurs habitats, qui conduit à l'urbanisation d'une zone principalement agricole et qui entraînera la suppression d'environ : - 75 ha de prairies, dont 10 ha de complexes humides, - 8 mares (surface totale de 150 m2 environ), - 400 mètres linéaires de haies bocagères, - 7000m² de boisement de pins, - 20 ha d'espaces cultivés, la SEDL mettra en œuvre les mesures prévues dans les dossiers déposés, et notamment celles reprises ci-dessous : 1. mesures de réduction des impacts : - transfert d'amphibiens depuis les zones à aménager vers les habitats reconstitués ; - prise de précautions en phase travaux : • à proximité des mares créées : absence de perturbation de leurs impluviums ; • respect du phasage décrit dans le dossier de demande au profit des insectes dans le périmètre de la ZAC ; - maintien des fossés le long du tracé de l’actuelle RD 498 au profit de l'agrion de mercure ; • mesures compensatoires : 1/ dans le périmètre de la ZAC : - reconstitution d'habitats naturels : • aménagement de la coulée verte du Malbief (zone humide de 5 ha) ; • création de mares (10 mares, soit une surface cumulée de 450 m2) intégrées dans le complexe humide du Malbief ; • création de mosaïque de milieux naturels ; • reconstitution de prairies naturelles (pour une surface de 15 ha) ; • création de boisements (pour une surface de 2 ha) - aménagement de continuités biologiques : 1. création de 7 bassins de rétention et d’un réseau de noues pour un total de 3,3 ha 2. création de haies bocagères, pour un total de 3200 mètres linéaires - création de milieux humides favorables notamment à l’agrion de mercure et au cuivré des marais, sur une surface de 5,06 ha retirée de la commercialisation dans le secteur sud de la ZAC avec connexion à la coulée verte du Malbief et alimentation à garantir, principalement par des écoulements venant du sud ; l’aménagement du secteur devra être validé au préalable par l’administration (DDT et DREAL) - gestion écologique des espaces, conformément à un plan de gestion qui sera validé par les services chargés de l’environnement en DDT et en DREAL prescrivant notamment des interventions tenant compte des cycles biologiques des espèces et supprimant tout risque de pollution des milieux (désherbage manuel ou éventuellement thermique par exemple ; 2/ hors du périmètre de la ZAC : - mise en place, sur 10 ans, de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement, favorables aux oiseaux via la signature de 7 conventions de droit privé, pour une surface totale contractualisée de 120,82 ha (au vu des mesures dites tournantes, surface annuelle réellement gérée de 72,48 ha) ; - mise en place d’opérations de conservation et de restauration de milieux sur la boucle de Veauchette, en lien avec la LPO de la Loire ; • mesures d'accompagnement : - surveillance et assistance lors de la phase chantier par un bureau d’études spécialisé en environnement ; - mise en place de panneaux de sensibilisation au sein et aux abords de la ZAC ; - contribution de la SEDL à une réflexion à mener dans les 3 ans avec les 3 communes pour instaurer une ZAP (Zone Agricole Protégée) qui engloberait les parcelles bénéficiant des conventions agricoles au titre des mesures compensatoires agro-environnementales ; • mesures de suivi : - mise en place, sur 10 ans, d’un suivi environnemental au sein de la ZAC, mais également sur les espaces faisant l’objet de mesures compensatoires hors ZAC ; les modalités de suivi (protocole, périodicité…) seront validées par les services de la DREAL et de la DDT) qui seront rendus destinataires des études et bilans ; - mise en place d’un comité de suivi réuni à l’initiative du préfet de la Loire

Article 3 : La présente autorisation est délivrée pour une durée de 10 ans à compter de la notification du présent arrêté.

Article 4 : Cette décision peut être déférée au tribunal administratif de Lyon. Le délai de recours est de deux mois à compter de la date de notification du présent arrêté.

112 Article 5 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Régional de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires de la Loire, Monsieur le Chef du service départemental de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage de la Loire, Monsieur le Chef du service départemental de l'Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à la SEDL et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 26 août 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général, Patrick FERIN

Annexes : localisation des mesures de réduction d’impact et des mesures compensatoires, consultables à la Direction Départementale des Territoires.

DELEGATION TERRITORIALE DE L'AGENCE REGIONALE DE SANTE

ARRETE ARS N° 2011-2590 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « LA RÉCAMIÈRE » À LA RICAMARIE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification du foyer logement « La Récamière » à LA RICAMARIE dont le N° FINESS est 420 784 597 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 86 104.46 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

113 Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 20 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2589 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « MAISON DE L’AMITIÉ » À UNIEUX POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification du foyer logement « Maison de l’amitié » à UNIEUX dont le N° FINESS est 420 784 555 est fixée comme suit : Dotation globale de soins 98 734.44 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 20 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY *************

114 ARRETE ARS N° 2011-2588 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE BOURG ARGENTAL POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de BOURG ARGENTAL N° FINESS : 42 001 154 6, sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 299 104.10 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante : Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 13 222,40 13 222,40 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 244 729,37 244 729,37 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 41 152,33 41 152,33 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits Total des dépenses 299 104,10 0,00 299 104,10 Groupe I Produits de la tarification 299 104,10 299 104,10 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 Total des recettes 299 104,10 0,00 299 104,10

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

115 Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 20 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2587 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD SEMAD 24/24 LE COTEAU POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD SEMAD 24/24 Le Coteau (N° FINESS 42 079 226 9) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 482 814.00 €

Dont dotation ssiad personnes âgées 449 701.78 €

Dont dotation ssiad personnes handicapées 33 112.22 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante : Personnes âgées :

116 Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros Groupe I 11 486,78 11 486,78 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 420 015,00 420 015,00 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 18 200,00 18 200,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 449 701,78 0,00 449 701,78 Groupe I 449 701,78 Produits de la tarification 449 701,78 Groupe II Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non Reprise d’excédents Total des recettes 449 701,78 0,00 449 701,78

Personnes handicapées : Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros Groupe I 1 417,22 1 417,22 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 29 495,00 29 495,00 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 2 200,00 2 200,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 33 112,22 0,00 33 112,22 Groupe I 33 122,22 Produits de la tarification 33 122,22 Groupe II Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non Reprise d’excédents Total des recettes 33 122,22 0,00 33 122,22

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 20 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

*************

117 ARRETE ARS N° 2011-2585 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE SAINT GALMIER POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de SAINT GALMIER (N° FINESS 42 078 795 4) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 421 448.99 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante : Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 81 988,67 81 988,67 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 301 246,29 301 246,29 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 38 214,03 38 214,03 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 421 448,99 0,00 421 448,99 Groupe I 421 448,99 Produits de la tarification 421 448,99 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 421 448,99 0,00 421 448,99

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

118 Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 20 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2584 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE CHARLIEU POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de CHARLIEU (N° FINESS 42 078 781 4) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 625 389.87 €

Dont dotation personnes âgées 603 330.77 €

Dont dotation personnes handicapées 22 059.10 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante : Personnes âgées :

119 Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 89 402,55 89 402,55 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 487 666,48 487 666,48 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 26 261,74 26 261,74 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 603 330,77 0,00 603 330,77 Groupe I 603 300,77 Produits de la tarification 603 300,77 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 Total des recettes 603 300,77 0,00 603 300,77

Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros (montants (montants Groupe I 2 040,07 2 040,07 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 20 019,03 20 019,03 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 0,00 0,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 22 059,10 0,00 22 059,10 Groupe I 22 059,10 Produits de la tarification 22 059,10 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 22 059,10 0,00 22 059,10

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 20 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY *************

120 ARRETE ARS N° 2011-2583 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE BELMONT DE LA LOIRE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de BELMONT DE LA LOIRE, N° FINESS : 42 078 736 8, sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 317 026.48 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante : Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 64 017,04 64 017,04 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 230 468,80 230 468,80 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 24 000,64 24 000,64 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits Total des dépenses 318 486,48 0,00 318 486,48 Groupe I Produits de la tarification 317 026,48 317 026,48 Groupe II 1 460,00 1 460,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 Total des recettes 318 486,48 0,00 318 486,48

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

121 Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 20 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2582 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE SAINT HEAND POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de SAINT HEAND (N° FINESS 42 079 228 5) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 43 964.86 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante : Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 78 290,00 78 290,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 320 160,02 320 160,02 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 45 514,84 45 514,84 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 443 964,86 0,00 443 964,86 Groupe I 443 964,86 Produits de la tarification 443 964,86 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 443 964,86 0,00 443 964,86

122 Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 20 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2807 DU 28/07/2011 MODIFIANT LE NUMÉRO FINESS DE L’ARRÊTÉ 2011-2351 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’EHPAD « LA ROSERAIE» À ST JEAN BONNEFOND POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Vu la convention tripartite signée le 19 décembre 2006 entre le représentant de l’Etablissement Hébergeant des personnes âgées, Monsieur le Préfet de Département et Monsieur le Président du Conseil Général de la Loire ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification de l’EHPAD « La Roseraie » à ST JEAN BONNEFOND dont le N° FINESS est 420 008 948 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 591 249.46 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

123 Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

*************

ARRETE ARS N° 2011-2799 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE L’AIMV À SAINT ETIENNE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD l’AIMV à SAINT ETIENNE (N° FINESS 42 078 542 0) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 1 750 310,64 €

Dont dotation ssiad personnes âgées 1 520 781.73 €

Dont dotation ssiad personnes handicapées 76 377.89 €

Dont dotation ssiad Alzheimer (équipe pilote) 153 151.02 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

124 Personnes âgées :

Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 70 937,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 1 359 561,73 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 90 283,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 1 520 781,73 0,00 1 520 781,73 Groupe I 1 520 781,73 Produits de la tarification 1 520 781,73 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 1 520 781,73 0,00 1 520 781,73

Personnes handicapées :

Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 0,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 76 377,89 76 377,89 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 0,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 76 377,89 0,00 76 377,89 Groupe I 76 377,89 Produits de la tarification 76 377,89 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 76 377,89 0,00 76 377,89

125 Personnes âgées atteintes de la maladie d’Alzheimer :

Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 8 375,37 8 375,37 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 135 285,36 135 285,36 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 9 490,29 9 490,29 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 153 151,02 0,00 153 151,02 Groupe I 153 151,02 Produits de la tarification 153 151,02 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 153 151,02 0,00 153 151,02

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2803 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE LA MRL À SAINT JUST SAINT RAMBERT POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ;

126 Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2010, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de la MRL N° FINESS : 42 001 179 3, sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 515 057.70 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante : Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 89 825,00 89 825,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 413 212,70 413 212,70 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 12 020,00 12 020,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits Total des dépenses 515 057,70 0,00 515 057,70 Groupe I 515 057,70 Produits de la tarification 515 057,70 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents Total des recettes 515 057,70 0,00 515 057,70

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

*************

127 ARRETE ARS N° 2011-2808 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE À L’EHPAD « MAISON DE RETRAITE DÉPARTEMENTALE DE LA LOIRE » À ST JUST ST RAMBERT POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Vu la convention tripartite signée le 29 décembre 2009 entre le représentant de l’Etablissement Hébergeant des personnes âgées, Monsieur le Préfet de Département et Monsieur le Président du Conseil Général de la Loire ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification de l’EHPAD « Maison de retraite départementale de la Loire » à St Just St Rambert dont le N° FINESS est 420 780 769 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 7 114 711.05 €

Répartie de la manière suivante :

Hébergement complet 6 992 111.38 € Hébergement temporaire 10 822.67 € Accueil de jour 111 777.00 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

*************

128 ARRETE ARS N° 2011-2804 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE LA MUTUALITÉ FRANÇAISE DE LA LOIRE À ST ETIENNE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification du SSIAD de La Mutualité française de la Loire à Saint Etienne (N° FINESS 42 001 239 5) est fixée comme suit :

Dotation globale de financement 26 250.00 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er juillet 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2806 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE L’ACCUEIL DE JOUR « VOLUBILIS » À MONTBRISON POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ;

129 Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification de l’accueil de jour « Volubilis » à MONTBRISON dont le N° FINESS est 420 007 333 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 91 115.95€

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2802 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE MEDICA FRANCE À SAINT-ETIENNE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

130 ARRETE

Article 1 : La tarification 2011 du SSIAD de MEDICA FRANCE - N° FINESS : 42 001 110 8 - est fixée comme suit :

Dotation globale de financement 321 617.14 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante : Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 10 424,23 10 424,23 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 264 633,91 264 633,91 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 46 559,00 46 559,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits Total des dépenses 321 617,14 0,00 321 617,14 Groupe I Produits de la tarification 321 617,14 321 617,14 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 Total des recettes 321 617,14 0,00 321 617,14

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

131 ARRETE ARS N° 2011-2800 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE L’ADEF À SAINT-ETIENNE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de l’ADEF à Saint-Etienne, N° FINESS : 42 000 752 8, sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 504 402.19 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante : Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 39 599,19 39 599,19 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 399 241,00 399 241,00 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 65 562,00 65 562,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits Total des dépenses 504 402,19 0,00 504 402,19 Groupe I Produits de la tarification 504 402,19 504 402,19 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 Total des recettes 504 402,19 0,00 504 402,19

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

132 Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2586 DU 20/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD VIVRE A DOMICILE À SAINT CHAMOND POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD VIVRE A DOMICILE à SAINT CHAMOND (N° FINESS 42 078 546 1) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 639 941.26 € Dont dotation ssiad personnes âgées 596 033.96 € Dont dotation ssiad personnes handicapées 43 907.30 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante : Personnes âgées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 23 460,00 23 460,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 532 501,15 532 501,15 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 41 281,00 41 281,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 597 242,15 0,00 597 242,15 Groupe I 596 033,96 Produits de la tarification 596 033,96 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III 0,00 Produits financiers et produits non Reprise d’excédents 1 208,45 1 208,45 Total des recettes 596 033,96 0,00 597 242,41

133 Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros (montants (montants Groupe I 0,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 43 907,30 43 907,30 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 0,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 43 907,30 0,00 43 907,30 Groupe I 43 907,30 Produits de la tarification 43 907,30 Groupe II 0,00 Recettes Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III 0,00 Produits financiers et produits non Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 43 907,30 0,00 43 907,30

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 20 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2805 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DE LA PETITE UNITÉ DE VIE « L’OASIS » AU CHAMBON FEUGEROLLES POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

134 ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification de la petite unité de vie « L’Oasis » au CHAMBON FEUGEROLLES dont le N° FINESS est 420 006 439 est fixée comme suit :

Dotation globale de soins 131 821.43 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRÊTÉ N°2011-2048 DU 27/06/2011

Objet : modifiant la composition nominative du conseil de surveillance du centre hospitalier du Pays de Pélussin

Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de Pélussinsur Lyon établissement public de santé de ressort communal est modifié ainsi qu’il suit :

I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative :

1°) en qualité de représentant des collectivités territoriales

- Alinéas 1 et 2 sans changement, - Monsieur Jean Gilbert, représentant du conseil général du département de la Loire

Article 2 : La durée des fonctions des membres du conseil de surveillance est fixée à cinq ans sous réserve des dispositions particulières prévues à l’article R.6143-12 du code de la santé publique.

Article 3 : Un recours contre la présente décision peut être formé auprès du tribunal administratif dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. A l’égard des tiers, ces délais courent à partir de la date de publication de la décision au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Loire.

Article 4 : le Directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial départemental de la Loire de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes sont chargés, chacun pour ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Lyon, le 27 juin 2011 Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes, Denis MORIN *************

135 ARRÊTÉ N°2011-2047 DU 27/06/2011

Objet : modifiant la composition nominative du conseil de surveillance du centre hospitalier du Pays de Chazelles sur Lyon

Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de Chazelles sur Lyon établissement public de santé de ressort communal est modifié ainsi qu’il suit : I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative : 1°) en qualité de représentant des collectivités territoriales - Alinéas 1 et 2 sans changement, - Monsieur Jean Paul Blanchard, représentant du conseil général du département de la Loire

Article 2 : La durée des fonctions des membres du conseil de surveillance est fixée à cinq ans sous réserve des dispositions particulières prévues à l’article R.6143-12 du code de la santé publique.

Article 3 : Un recours contre la présente décision peut être formé auprès du tribunal administratif dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. A l’égard des tiers, ces délais courent à partir de la date de publication de la décision au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Loire.

Article 4 : le Directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial départemental de la Loire de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes sont chargés, chacun pour ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Lyon, le 27 juin 2011 Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes, Denis MORIN

***************

ARRÊTÉ N°2011-2046 DU 27/06/2011

Objet : modifiant la composition nominative du conseil de surveillance du centre hospitalier de Feurs

Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de Feurs établissement public de santé de ressort intercommunal est modifié ainsi qu’il suit : I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative : 1°) en qualité de représentant des collectivités territoriales - Alinéas 1 et 2 sans changement, - Monsieur Henri Nigay, représentant du conseil général du département de la Loire

Article 2 : La durée des fonctions des membres du conseil de surveillance est fixée à cinq ans sous réserve des dispositions particulières prévues à l’article R.6143-12 du code de la santé publique.

Article 3 : Un recours contre la présente décision peut être formé auprès du tribunal administratif dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. A l’égard des tiers, ces délais courent à partir de la date de publication de la décision au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Loire.

Article 4 : le Directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial départemental de la Loire de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes sont chargés, chacun pour ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Lyon, le 27 juin 2011 Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes, Denis MORIN **************

136 ARRÊTÉ N°2011-2045 DU 27/06/2011

Objet : modifiant la composition nominative du conseil de surveillance du centre hospitalier de Saint Bonnet le Château

Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de Saint Bonnet le Château établissement public de santé de ressort communal est modifié ainsi qu’il suit :

I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative : 1°) en qualité de représentant des collectivités territoriales - Alinéas 1 et 2 sans changement, - Monsieur Iwan Mayet, représentant du conseil général du département de la Loire

Article 2 : La durée des fonctions des membres du conseil de surveillance est fixée à cinq ans sous réserve des dispositions particulières prévues à l’article R.6143-12 du code de la santé publique.

Article 3 : Un recours contre la présente décision peut être formé auprès du tribunal administratif dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. A l’égard des tiers, ces délais courent à partir de la date de publication de la décision au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Loire.

Article 4 : le Directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial départemental de la Loire de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes sont chargés, chacun pour ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Lyon, le 27 juin 2011 Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes, Denis MORIN

**************

ARRÊTÉ N°2011-2044 DU 27/06/2011

Objet : modifiant la composition nominative du conseil de surveillance du centre hospitalier du Pays du Gier

Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier du Pays du Gier établissement public de santé de ressort intercommunal est modifié ainsi qu’il suit :

I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative : 1°) en qualité de représentant des collectivités territoriales - Alinéas 1 et 2 sans changement, - Monsieur Hervé Reynaud, représentant du conseil général du département de la Loire

Article 2 : La durée des fonctions des membres du conseil de surveillance est fixée à cinq ans sous réserve des dispositions particulières prévues à l’article R.6143-12 du code de la santé publique.

Article 3 : Un recours contre la présente décision peut être formé auprès du tribunal administratif dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté. A l’égard des tiers, ces délais courent à partir de la date de publication de la décision au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Loire.

Article 4 : le Directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial départemental de la Loire de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes sont chargés, chacun pour ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Lyon, le 27 juin 2011 Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes, Denis MORIN ***************

137 ARRETE PREFECTORAL N° 2011 – 085 DU 29/07/2011 PORTANT MISE EN DEMEURE A LA COMMUNE DE ST BONNET LES OULES DE DEPOSER UN DOSSIER DE DEMANDE D’AUTORISATION D’UTILISATION DE L’EAU POUR LA CONSOMMATION HUMAINE ET D’ETABLISSEMENT DES PERIMETRES DE PROTECTION AUTOUR DU PUITS DES BROSSES Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le Code Général des Collectivités Territoriales, VU le Code de la Santé Publique, VU l'arrêté du 20 juin 2007 relatif à la constitution du dossier de la demande d’autorisation d’utilisation d’eau destinée à la consommation humaine mentionnée aux articles R. 1321-6 à R. 1321-12 et R. 1321-42 du code de la santé publique, VU la circulaire du 24 juillet 1990 relative à la mise en place des périmètres de protection des points de prélèvements d'eau destinée à l'alimentation humaine, VU la circulaire du 26 juin 2007 concernant l’application de l’arrêté du 20 juin 2007 relatif à la constitution du dossier de la demande d’autorisation d’utilisation d’eau destinée à la consommation humaine mentionnée aux articles R. 1321-6 à R. 1321-12 et R. 1321-42 du code de la santé publique, VU le Règlement Sanitaire Départemental, VU l’étude de vulnérabilité réalisée par le cabinet ANTEA de mars 2000, VU l’avis hydrogéologique en date du 28 septembre 2000 définissant les périmètres et instaurant les mesures de protection du puits des Brosses, VU l’arrêté préfectoral déclarant d’utilité publique les travaux de protection du puits des Brosses alimentant la commune de St Bonnet les Oules en date du 6 septembre 1977, VU l'arrêté préfectoral en date du 4 avril 2008 fixant le programme d’analyses d’échantillons dans le cadre de la vérification de la qualité des eaux destinées à la consommation humaine distribuées pour les installations d’adductions collectives publiques ou privées dans le département de la Loire, VU la délibération de conseil municipal de la commune de St Bonnet les Oules en date du 17 janvier 2008 approuvant la fermeture progressive et définitive du puits des Brosses fin 2010, VU la lettre du Sous Préfet de Montbrison à M. le maire de St Bonnet les Oules rappelant son engagement de fermeture du puits des Brosses en date du 6 février 2008, VU l’étude financière comparative entre le maintien du puits des Brosses avec mise aux normes et l’arrêt du puits avec achat d’eau réalisée par la DDEA – SIPRODD (DDT) de janvier 2009 VU les lettres du sous préfet de Montbrison à M. le maire de St Bonnet les Oules en date du 10 mars 2009 et 21 septembre 2009 demandant de faire connaitre la décision prise par la commune suite aux conclusions de l’étude financière comparative, VU les conclusions de la réunion présidée par le Sous Préfet de Montbrison en date du 27 janvier 2010, VU la lettre du Sous Préfet de Montbrison à M. le maire de St Bonnet les Oules demandant à M. le maire une proposition d’échéancier d’abandon du puits des Brosses, en date du 5 juillet 2010, VU la lettre du Secrétaire général à M. le maire de St Bonnet les Oules renouvelant la demande de production d’un échéancier d’abandon du puits des Brosses ou de réalisation des travaux de protection en date du 13 août 2010, VU la lettre du Préfet à M. le maire de St Bonnet les Oules réitérant sa demande de fourniture d’un échéancier précis et des mesures à mettre en œuvre. VU la note de l’Agence régionale de santé Rhône Alpes en date du 21 juillet 2011, Considérant que les mesures de protection fixées par l'arrêté préfectoral de 1977 sont insuffisantes pour préserver la sécurité sanitaire des eaux de distribution compte tenu de la vulnérabilité de la nappe et du développement des activités industrielles, Considérant que la commune de St Bonnet les Oules ne respecte pas les dispositions réglementaires fixées à l’article L. 1321-2 du Code de la Santé, Considérant que la commune de St Bonnet les Oules s’était engagée à une fermeture définitive du puits des Brosses fin 2010, Sur proposition de M. le secrétaire général de la Préfecture de la Loire,

ARRETE

Article 1er : La commune de St Bonnet les Oules est mise en demeure de déposer un dossier complet de demande d’autorisation d’utilisation de l’eau pour la consommation humaine et d’établissement des périmètres de protection adaptés autour du puits des Brosses pour mise à enquête publique dans un délai de six mois à compter de la date de signature du présent arrêté.

138 Article 2 : Le dossier doit être constitué conformément aux dispositions de l’arrêté du 20 juin 2007. L’étude de vulnérabilité de mars 2000 doit être mise à jour pour la partie évaluation des risques. Les éléments garantissant la faisabilité de l’étanchéification des fossés de drainage et de ceinture des zones d’activités sur le plan technique et administrative doivent figurer au dossier ainsi que l’étude relative à la mise en œuvre d’un traitement de mise à l’équilibre calcocarbonique de l’eau.

Article 3 : La commune de St Bonnet les Oules doit par délibération s’engager à conduire à son terme la procédure de réactualisation des périmètres de protection autour du puits des Brosses et à réaliser les travaux nécessaires. Dans le cas où la commune de St Bonnet les Oules décide d’abandonner le puits des Brosses pour l’alimentation en eau destinée à la consommation humaine et d’acheter en totalité l’eau provenant du Syndicat Intercommunal de Production d'eau potable du Sud de la Plaine du Forez, le délai imparti pour la fermeture effective du puits des Brosse est identique à celui fixé à l’article 1er du présent arrêté. La commune transmet la délibération prise à M. le Préfet dans un délai d’un mois et demi à compter de la date de signature du présent arrêté.

Article 4 : En l’absence de dépôt d’un dossier complet de demande d’autorisation d’utilisation de l’eau pour la consommation humaine et d’établissement des périmètres de protection par la commune de St Bonnet les Oules dans le délai imparti fixé à l’article 1er du présent arrêté, la production d’eau à partir du puits des Brosses sera suspendue conformément aux dispositions de l’article L. 1324-1 A-II du code de la santé. Article 5 : La présente décision peut être déférée au tribunal administratif territorialement compétent dans un délai de deux mois à compter de la publication de l’arrêté au recueil des actes administratifs.

Article 6 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Loire, le sous préfet de Montbrison, le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

Saint-Etienne, le 29 juillet 2011 Signé Pierre SOUBELET

**************

ARRÊTÉ N° 2011-1972 EN DATE DU 21/06/2011 PORTANT ANNULATION DE LA LICENCE D’EXPLOITATION D’UNE PHARMACIE D’OFFICINE DE BOURG ARGENTAL Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes

Vu le Code de la Santé Publique et notamment les articles L. 5125-1 à L. 5125-32 et R 5125-1 à R 5125-13 relatifs aux pharmacies d’officine ; Vu l’arrêté n° 2010/832 en date du 30 juin 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ; Vu l’arrêté préfectoral en date du 07 juillet 1975 accordant la licence numéro 359 pour l’exploitation de la pharmacie d’officine située 6, rue du Docteur Guyotat à BOURG ARGENTAL (Loire) ; Vu l’arrêté préfectoral en date du 09 avril 1996 accordant la licence numéro 521 pour le transfert de la pharmacie d’officine au 2, rue du Docteur Guyotat à BOURG ARGENTAL (Loire) et annulant la licence précitée ; Vu le courrier parvenu à la délégation territoriale du département de la Loire de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes le 25 mai 2011 par lequel Monsieur Jean Marc MEUNIER, conseiller juridique de Monsieur Bernard VIVIER, pharmacien, nous a transmis : • une copie de la promesse synallagmatique de cession de clientèle et achalandage, matériel et mobilier à la société « Pharmacie du Mont Pilat » à BOURG ARGENTAL, • une attestation d’accord de prêt, • l’engagement de restitution de licence de Monsieur VIVIER au 1er juillet 2011, • une copie de la déclaration d’intention de Monsieur VIVIER de radiation de la section A de l’Ordre des Pharmaciens ; Sur proposition de Monsieur le directeur de l’efficience de l’offre de soins ;

ARRÊTE

Article 1 er : L’arrêté préfectoral en date du 09 avril 1996 accordant la licence numéro 521 pour l’exploitation de la pharmacie d’officine située 2, rue du Docteur Guyotat à BOURG ARGENTAL (Loire) est abrogé à compter du 1er juillet 2011.

139 Article 2 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet : • d’un recours gracieux auprès de Monsieur le Directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, • d’un recours administratif auprès de Monsieur le Ministre chargé de la santé, • d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 3 : Le directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial du département de la Loire, de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Lyon, le 21 juin 2011 Le directeur général, Denis MORIN

*************

ARRETE ARS N° 2011-3192 DU 04/08/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE DU FOYER LOGEMENT « LES MARRONNIERS » À VILLARS POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Au titre de l’exercice 2011, la tarification du foyer logement « Les Marronniers » à VILLARS dont le N° FINESS est 420 784 571 est fixée comme suit : Dotation globale de soins 98 877.89 €

Article 2 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire. Saint-Etienne, le 4 août 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY **************

140 ARRETE ARS N° 2011-3194 DU 04/08/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE LA RICAMARIE POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD de LA RICAMARIE (N° FINESS 42 078 918 2) sont autorisées comme suit : Dotation globale de financement 313 174.43 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Crédits Crédits non reconductibles reconductibles Groupes fonctionnels (montants (montants TOTAL en €) en €) en €uros

Groupe I 13 050,43 13 050,43 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 278 893,00 278 893,00 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 21 231,00 21 231,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 313 174,43 0,00 313 174,43 Groupe I 313 174,43 Produits de la tarification 313 174,43 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 313 174,43 0,00 313 174,43

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

141 Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 4 août 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-2801 DU 28/07/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DE L’ONDAINE À FIRMINY POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD DE L’ONDAINE à FIRMINY (N° FINESS 42 079 345 7) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 629 727.47 € Dont dotation ssiad personnes âgées 609 113.59 € Dont dotation ssiad personnes handicapées 20 613.88 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante

Personnes âgées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 22 050,00 22 050,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 558 263,59 558 263,59 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 32 800,00 32 800,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 613 113,59 0,00 613 113,59 Groupe I 609 113,59 Produits de la tarification 609 113,59 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 4 000,00 4 000,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 613 113,59 0,00 613 113,59

142 Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros (montants (montants Groupe I 0,00 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 20 613,88 20 613,88 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 0,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 20 613,88 0,00 20 613,88 Groupe I 20 613,88 Produits de la tarification 20 613,88 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 20 613,88 0,00 20 613,88

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 28 juillet 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

**************

ARRETE ARS N° 2011-3193 DU 04/08/2011 FIXANT LA DOTATION GLOBALE À LA CHARGE DE L’ASSURANCE MALADIE APPLICABLE AU SSIAD DU CHAMBON FEUGEROLLES POUR L’ANNÉE 2011 Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de la santé publique, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-1 à L.314-13 ainsi que les articles R.314-1 à R.314-204 ; Vu la loi 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la sécurité sociale pour 2011 ; Vu l’arrêté du 25 mai 2011 fixant les modalités de calcul des tarifs plafond ; Vu la circulaire interministérielle DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées ou des personnes handicapées ; Vu la notice technique du 5 mai 2011 du directeur de la CNSA relative à la fixation des enveloppes régionales limitatives pour 2011 destinées aux établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées, Vu la décision 2011-2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature aux délégués territoriaux départementaux de l’ARS Rhône-Alpes ; Sur proposition du délégué territorial de la Loire.

143 ARRETE

Article 1 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SSIAD DU CHAMBON FEUGEROLLES (N° FINESS 42 078 692 3) sont autorisées comme suit :

Dotation globale de financement 625 737.55 € Dont SSIAD Personnes Agées 570 094.30 € Dont SSIAD Personnes handicapées 55 643.25 €

Article 2 : La répartition par groupe fonctionnel est la suivante :

Personnes âgées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 67 634,30 67 634,30 Dépenses d'exploitation courante Groupe II 472 490,00 472 490,00 Dépenses afférentes au personnel Dépenses Groupe III 29 970,00 29 970,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 570 094,30 0,00 570 094,30 Groupe I 570 094,30 Produits de la tarification 570 094,30 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 570 094,30 0,00 570 094,30

Personnes handicapées : Groupes fonctionnels Crédits Crédits non TOTAL reconductibles reconductibles en €uros Groupe I (montants (montants 5 280,00 5 280,00 Dépenses d'exploitation courante

Groupe II 49 453,25 49 453,25 Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 910,00 910,00 Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0,00 Total des dépenses 55 643,25 0,00 55 643,25 Groupe I 55 643,25 Produits de la tarification 55 643,25 Groupe II 0,00 Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0,00 encaissables Reprise d’excédents 0,00 0,00 Total des recettes 55 643,25 0,00 55 643,25

Article 3 : Conformément à l’article R.314-35 du Code de l’action sociale et des familles, il est procédé à une régularisation des versements dus au titre de la période allant du 1er janvier 2011 à la date du présent arrêté.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sise 245 rue Garibaldi 69 422 LYON, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il est notifié, à compter de sa notification.

144 Article 5 : La directrice de la direction « handicap et grand âge » et le délégué territorial de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à l’établissement concerné et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Saint-Etienne, le 4 août 2011 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Marc MAISONNY

*************

ARRÊTÉ N° 2011/1979 EN DATE DU 22/062011 AUTORISANT LA SOUS-TRAITANCE POUR LA RECONSTITUTION DE MÉDICAMENTS ANTICANCÉREUX INJECTABLES PAR L’INSTITUT DE CANCÉROLOGIE DE LA LOIRE (42) POUR LE COMPTE DE L’HÔPITAL PRIVÉ DE LA LOIRE (42) Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes

Vu le Code de la santé publique, et notamment les articles L 5126-2 (7ème paragraphe), L 5126-3 et R 5126-9 (8°) ; Vu la décision 2010/832 du 30 juin 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ; Vu la demande en date du 23 février 2011 présentée par Monsieur le secrétaire général de l’Institut de Cancérologie de la Loire (ICL) – 108 bis, avenue Albert Raimond – BP 60008 – 42271 SAINT PRIEST EN JAREZ Cedex - ; Vu le dossier accompagnant la demande précitée et notamment la convention de sous-traitance signée entre les deux établissements ; Vu l’avis du pharmacien inspecteur de santé publique en date du 27 avril 2011 ; Considérant que l’ICL dispose de moyens en personnels, locaux, équipements et système d’informations nécessaires à la sous-traitance de la reconstitution de médicaments anticancéreux injectables demandée ; Sur proposition du directeur de l’efficience de l’offre de soins de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ;

ARRÊTE

Article 1 er : Monsieur le Secrétaire général de l’Institut de Cancérologie de la Loire est autorisé à assurer la sous- traitance pour la reconstitution de médicaments anticancéreux injectables pour le compte de l’Hôpital Privé de la Loire (HPL), conformément à l’article L 5126-3 du code de la santé publique.

Article 2 : Cette autorisation est accordée pour une durée de 5 ans à compter de la date de signature de cet arrêté.

Article 3 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet : ➢ d’un recours gracieux auprès de Monsieur le Directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, ➢ d’un recours administratif auprès de Monsieur le Ministre chargé de la santé, ➢ d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 4 : Le directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial du département de la Loire, de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Le Directeur général, Pour le Directeur général et par délégation, La Directrice adjointe de l’efficience de l’offre de soins Marie Christine ALAMO-BOCCOZ

***************

145 ARRÊTÉ N°2011/2066 EN DATE DU 28/06/2011 AUTORISANT LE TRANSFERT DE LA PHARMACIE D’OFFICINE PHARMACIE BRANLY À ROANNE Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes

Vu le Code de la Santé Publique et notamment les articles L. 5125-1 à L. 5125-32 et R 5125-1 à R 5125-13 relatifs aux pharmacies d’officine ; Vu le décret N° 2000-259 du 21 mars 2000 relatif aux modalités de création, de transfert et de regroupement et aux conditions minimales d'installation des officines de pharmacie ; Vu l'arrêté du 21 mars 2000 fixant la liste des pièces justificatives devant être jointes à une demande de création, de transfert ou de regroupement d'officines de pharmacie ; Vu la décision n° 2010-832 du 30 juin 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, Vu l’arrêté n°92-29 en date du 15 janvier 1992 de Monsieur le Préfet de la Loire portant enregistrement sous le numéro 185 C de la déclaration d’exploitation de l’officine de pharmacie sise 92, rue de Charlieu à ROANNE (Loire) par Monsieur Philippe PROVENT, pharmacien ; Vu la demande de licence présentée par Monsieur Philippe PROVENT pour le transfert de son officine de pharmacie actuellement sise 92, rue de Charlieu à ROANNE (Loire) à l’adresse suivante : 1, rue Branly dans la même commune, enregistrée sous le numéro 42-11-01 le 05 avril 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Vu les pièces complémentaires qui ont permis de déclarer complet ce dossier le 21 avril 2011 ; Vu la demande d’avis au Syndicat Fédération Loire en date du 05 avril 2011 ; Vu l'avis du pharmacien inspecteur de santé publique dans son rapport d’enquête du 12 avril 2011, et ses conclusions en date du 26 avril 2011 ; Vu l’avis de l’Union Nationale des Pharmacies de France – Délégation de la Loire - en date du 27 mai 2011 ; Vu l’avis de Monsieur le Préfet de la Loire en date du 06 juin 2011 ; Vu l'avis du Conseil Régional de l'Ordre des Pharmaciens en date du 20 juin 2011 ; Vu les pièces justificatives à l’appui ; Considérant qu’un transfert d’officine de pharmacie ne doit pas avoir pour effet de compromettre l’approvisionnement en médicaments de la population résidente du quartier d’origine ; Considérant que ce transfert doit permettre de répondre de façon optimale aux besoins en médicaments de la population résidant dans le quartier d’accueil ; Considérant le lieux d’implantation proposé ; Considérant que le local projeté remplit les conditions minimales d'installation requises pour l’aménagement de l’officine de pharmacie telles que prévues aux articles R 5125-9 et R 5125-10 du code de la santé publique, Sur proposition de Monsieur le directeur de l’efficience de l’offre de soins ;

ARRÊTE

Article 1er : La licence prévue par l’article L 5125-4 du code de la santé publique est accordée sous le n° 42#000593 pour le transfert de l’officine de pharmacie Monsieur Philippe PROVENT actuellement sise 92, rue de Charlieu à ROANNE (Loire) à l’adresse suivante : 1, rue Branly dans la même commune

Article 2 : Le transfert ainsi autorisé devra être réalisé dans un délai maximum d’un an.

Article 3 : A compter du jour de la réalisation du transfert, l’arrêté préfectoral du 15 janvier 1992 portant enregistrement de la licence d’exploitation de l’officine de pharmacie sous le numéro 185 C sera annulé et remplacé par le présent arrêté.

Article 4 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet : • d’un recours gracieux auprès de Monsieur le Directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, • d’un recours administratif auprès de Monsieur le Ministre chargé de la santé, • d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 5 : Le directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial du département de la Loire, de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Le Directeur général, Pour le Directeur général et par délégation, La Directrice adjointe de l’efficience de l’offre de soins, signé : Marie Christine ALAMO-BOCCOZ ***************

146 ARRÊTÉ N°2011/3234 EN DATE DU 04/08/2011 MODIFIANT L’AUTORISATION DE TRANSFERT DE LA PHARMACIE D’OFFICINE SELARL « PHARMACIE BRANLY » À ROANNE Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes

Vu le Code de la Santé Publique et notamment les articles L. 5125-1 à L. 5125-32 et R 5125-1 à R 5125-13 relatifs aux pharmacies d’officine ; Vu le décret N 2000-259 du 21 mars 2000 relatif aux modalités de création, de transfert et de regroupement et aux conditions minimales d'installation des officines de pharmacie ; Vu l'arrêté du 21 mars 2000 fixant la liste des pièces justificatives devant être jointes à une demande de création, de transfert ou de regroupement d'officines de pharmacie ; Vu la décision n° 2010-832 du 30 juin 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, Vu l’arrêté n°92-29 en date du 15 janvier 1992 de Monsieur le Préfet de la Loire portant enregistrement sous le numéro 185 C de la déclaration d’exploitation de l’officine de pharmacie sise 92, rue de Charlieu à ROANNE (Loire) par Monsieur Philippe PROVENT, pharmacien ; Vu l’arrêté n°2011/2066 en date du 28 juin 2011 de Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône- Alpes, autorisant le transfert de la pharmacie d’officine Pharmacie Branly à ROANNE et accordant la licence n° 42#000593 pour ce transfert ; Vu les statuts de la société d’exercice libéral à responsabilité limitée SELARL « PHARMACIE BRANLY » en date du 05 janvier 2011 ; Vu l’extrait du registre du commerce et des sociétés du 22 mars 2011 enregistrant le début de l’activité à compter du 1 er avril 2011 de ladite SELARL ; Sur proposition de Monsieur le directeur de l’efficience de l’offre de soins ;

ARRÊTE

Article 1er : Les dispositions de l’article 1er de l’arrêté n° 2011/2066 en date du 28 juin 2011 susvisé sont annulées et remplacées de la façon suivante :

« La licence prévue par l’article L 5125-4 du code de la santé publique est accordée sous le n° 42#000593 pour le transfert de l’officine de pharmacie SELARL « PHARMACIE BRANLY » actuellement sise 92, rue de Charlieu à ROANNE (Loire) à l’adresse suivante : 1, rue Branly dans la même commune. »

Article 2 : Le transfert ainsi autorisé devra être réalisé dans un délai maximum d’un an a compter du 28 juin 2011.

Article 3 : A compter du jour de la réalisation du transfert, l’arrêté préfectoral du 15 janvier 1992 portant enregistrement de la licence d’exploitation de l’officine de pharmacie sous le numéro 185 C sera annulé et remplacé par le présent arrêté.

Article 4 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet : • d’un recours gracieux auprès de Monsieur le Directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, • d’un recours administratif auprès de Monsieur le Ministre chargé de la santé, • d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 5 : Le directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial du département de la Loire, de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Loire.

Le Directeur général Pour le directeur général et par délégation, Le Directeur de l’efficience de l’offre de soins, Christian DUBOSQ,

**************

147 ARRÊTÉ N°2011/1978 EN DATE DU 22/06/2011 ANNULANT ET REMPLAÇANT L’ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2002-377 DU 04 JUIN 2002 – NOUVEAU NUMÉROTAGE DE L’ADRESSE DE L’OFFICINE DE PHARMACIE GÉRÉE PAR MONSIEUR MURAT À VOUGY LE DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L’AGENCE RÉGIONALE DE SANTÉ RHÔNE-ALPES

VU le code de la santé publique et notamment l’article l. 5125-6, relatifs aux pharmacies d’officine ; VU la décision n° 2010-832 du 30 juin 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé rhône-alpes, Vu l’arrêté n° 2002-377 en date du 04 juin 2002 de Monsieur le Préfet de la Loire portant enregistrement sous le numéro 429 D de la déclaration d’exploitation de l’officine de pharmacie sise Route de Nandax à VOUGY (Loire) par Monsieur Olivier MURAT ; Vu le certificat de numérotage en date du 16 juin 2011 de Monsieur le Maire de VOUGY, certifiant que l’immeuble occupé par l’officine de pharmacie de M.MURAT est numéroté « 8, rue de la Croix Bayon » ; Vu la demande de l’intéressé en date du 21 juin 2011 ; Sur proposition de Monsieur le directeur de l’efficience de l’offre de soins ;

ARRÊTE

Article 1er : La licence n° 42#000429 est accordée à Monsieur Olivier MURAT, pharmacien, pour l’exploitation de l’officine de pharmacie sise 8, rue de la Croix Bayon à VOUGY.

Article 2 : A compter de ce jour, l’arrêté préfectoral n° 2002-377 en date du 04 juin 2002 portant enregistrement de la licence d’exploitation de l’officine de pharmacie sous le numéro 429 D est annulé et remplacé par le présent arrêté.

Article 3 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet : • d’un recours gracieux auprès de Monsieur le Directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, • d’un recours administratif auprès de Monsieur le Ministre chargé de la santé, • d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 4 : Le directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial du département de la Loire, de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire. Le Directeur général, Pour le Directeur général et par délégation, La Directrice adjointe de l’efficience de l’offre de soins, Marie Christine ALAMO-BOCCOZ

***************

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3214 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DES PRIX DE JOURNÉE POUR L’ANNÉE 2011 DU C.R.E.P.S.E. Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté du 23 décembre 2009 fixant le montant du forfait journalier hospitalier prévu à l’article L.174.4 du Code de la Sécurité Sociale à 18 € à compter du 1er janvier 2010 ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ;

148 VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2195 du 13 septembre 2010 fixant les prix de journée applicables au C.R.E.P.S.E. pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter l’établissement ; Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 8 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire; Considérant la procédure contradictoire conforme aux articles R.314-21 et suivants du Code de l’Action Sociale et des Familles, Considérant la décision finale en date du 3 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du C.R.E.P.S.E. (n° finess : 420 782 583), géré par l’A.R.E.P.S.H.A., sont autorisées comme suit :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €)

Groupe I 407 422 € 0 € 407 422 € Dépenses d’exploitation courante

Groupe II 2 213 226 € 0 € 2 213 226 € Dépenses Dépenses afférentes au personnel

Groupe III 316 651 € 0 € 316 651 € Dépenses afférentes à la structure 0 € 0 € 0 € Reprise de déficits 2 937 299 € 0 € 2 937 299 € Total des dépenses

Groupe I 2 910 517 € 0 € 2 910 517 € Produits de la tarification

Groupe II 26 782 € 0 € 26 782 € Recettes Autres produits relatifs à l’exploitation

Groupe III 0 € 0 € 0 € Produits financiers et produits non encaissables 0 € 0 € 0 € Reprise d’excédents 2 937 299 € 0 € 2 937 299 € Total des recettes

Capacité financée totale : 96 places

149 Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les prix de journée du C.R.E.P.S.E. sont arrêtés comme suit, à compter du 16 août 2011 : - Internat (hébergement) : 76,26 euros. - Semi internat (formation) : 116,97 euros.

Article 3 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, le prix de journée provisoire du C.R.E.P.S.E. sera de 70,35 euros pour l’internat et de 114,32 euros pour le semi-internat lequel est calculé sur la base reconductible 2011 ainsi que sur une base d’activité identique à celle de 2011.

Article 4 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 5 : Une copie de la présente décision sera notifiée à l’établissement concerné.

Article 6 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Article 7 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du département de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

*************

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011- 3215 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DE LA DOTATION GLOBALE POUR 2011 DE L’ UEROS Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2196 du 13 septembre 2010 fixant la dotation globale applicable à l’U.E.R.O.S. pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ;

150 Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter le service ; Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 8 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant la procédure contradictoire conforme aux articles R.314-21 et suivants du Code de l’Action Sociale et des Familles ; Considérant la décision finale en date du 3 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles de l’U.E.R.O.S. (n° finess : 420 010 191), géré par l’A.R.E.P.S.H.A., sont autorisées comme suit :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €)

Groupe I 26 286 € 0 € 26 286 € Dépenses d’exploitation courante

Groupe II 238 640 € 0 € 238 640 € Dépenses Dépenses afférentes au personnel

Groupe III 27 784 € 0 € 27 784 € Dépenses afférentes à la structure 0 € 0 € 0 € Reprise de déficits 292 710 € 0 € 292 710 € Total des dépenses

Groupe I 290 332 € 0 € 290 332 € Produits de la tarification

Groupe II 2 378 € 0 € 2 378 € Recettes Autres produits relatifs à l’exploitation

Groupe III 0 € 0 € 0 € Produits financiers et produits non encaissables 0 € 0 € 0 € Reprise d’excédents 292 710 € 0 € 292 710 € Total des recettes

Capacité financée totale : 10 places

Article 2 : La dotation globale est de 290 332 € pour l’exercice 2011.

Article 3 : La fraction forfaitaire, en application de l’article R314-107 du CASF, égale au douzième de la dotation globale de financement et versée par l’assurance maladie, s’établit ainsi à 24 194,33 €.

Article 4 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, la dotation globale reconductible est de 290 332 €. La fraction forfaitaire égale au douzième de la dotation globale de financement est arrêtée à : 24 194,33 €.

Article 5 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

151 Article 6 : Une copie de la présente décision sera notifiée au service concerné.

Article 7 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture de département de la Loire.

Article 8 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du département de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

**************

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3216 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DU FORFAIT GLOBAL ANNUEL DE SOINS POUR L’ANNÉE 2011 DU FAM PHV « L’EMBELLIE » Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2336 du 17 septembre 2010 fixant la tarification applicable au FAM PHV « L’Embellie » pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter l’établissement, Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 8 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant l’absence de réponse ; Considérant la décision finale en date du 3 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du FAM PHV « L’Embellie » (n° finess : 420 011 199), géré par l’A.R.H.A.M., sont autorisées comme suit pour la partie soins :

152 Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €) Groupe I 21 471 € 0 € 21 471 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 187 693 € 0 € 187 693 € Dépenses afférentes au personnel Groupe III 2 986 € 0 € 2 986 € Dépenses Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 212 150 € 0 € 212 150 € Total des dépenses Groupe I 212 150 € 0 € 212 150 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III Recettes Produits financiers et produits non 0 € 0 € 0 € encaissables Reprise d’excédents 0 € 0 € 0 € 212 150 € 0 € 212 150 € Total des recettes Capacité financée totale (section soins) : 9 places

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification du FAM PHV « L’Embellie » est fixée comme suit pour la partie soins : • forfait global annuel de soins : 212 150 € • forfait journalier afférent aux soins : 65,90 €

Article 3 : La fraction forfaitaire, en application de l’article R.314-107 du CASF, égale au douzième du forfait global de soins versée par l’assurance maladie, s’établit ainsi à 17 679,16 €.

Article 4 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, le forfait global de soins annuel reconductible est de 212 150 €. La fraction forfaitaire égale au douzième du forfait global de soins s’élève à : 17 679,16 €.

Article 5 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 6 : Une copie de la présente décision sera notifiée à l’établissement concerné.

Article 7 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Article 8 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du départemental de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

*************

153 ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3217 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DU FORFAIT GLOBAL ANNUEL DE SOINS POUR L’ANNÉE 2011 DU FAM DU PILAT Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2334 du 17 septembre 2010 fixant la tarification applicable au FAM du PILAT pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter l’établissement, Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 8 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant l’absence de réponse ; Considérant la décision finale en date du 3 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du FAM du PILAT (établissement public) (n° finess : 420 785 123), sont autorisées comme suit pour la partie soins :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €) Groupe I 32 843 € 0 € 32 843 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 691 565 € 0 € 691 565 € Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III 6 072 € 0 € 6 072 € Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 0 € Total des dépenses 0 € Groupe I 730 479 € 0 € 730 479 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Recettes Groupe III Produits financiers et produits non 0 € 0 € 0 € encaissables Reprise d’excédents 0 € 0 € 0 € Total des recettes 730 479 € 0 € 730 479 € Capacité financée totale (section soins) : 30 places

154 Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification du FAM du PILAT est fixée comme suit pour la partie soins : • forfait global annuel de soins : 730 479 € • forfait journalier afférent aux soins : 68,77 €

Article 3 : La fraction forfaitaire, en application de l’article R.314-107 du CASF, égale au douzième du forfait global de soins versée par l’assurance maladie, s’établit ainsi à 60 873,25 €.

Article 4 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, le forfait global de soins annuel reconductible est de 730 479 €. La fraction forfaitaire égale au douzième du forfait global de soins s’élève à : 60 873,25 €.

Article 5 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 6 : Une copie de la présente décision sera notifiée à l’établissement concerné.

Article 7 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Article 8 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du départemental de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

***************

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3218 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DES FORFAITS GLOBAUX ANNUELS DE SOINS POUR L’ANNÉE 2011 DU FAM « CENTRE MUTUALISTE DES HANDICAPS » DE FEURS ET DU FAM « RÉSIDENCE ALPHA » DE CHAMPDIEU Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2335 du 17 septembre 2010 fixant la tarification applicable au FAM de Feurs et au FAM de Champdieu pour 2010 ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2011-317 du 21 janvier 2011 fixant une tarification provisoire 2011 applicable au FAM de Champdieu ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ;

155 VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter l’établissement, Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 12 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant la procédure contradictoire conforme aux articles R.314-21 et suivants du Code de l’Action Sociale et des Familles ; Considérant la décision finale en date du 4 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du FAM « Centre Mutualiste des Handicaps » de Feurs (n° finess : 420 002 735), géré par la Mutualité Française Loire, sont autorisées comme suit pour la partie soins : Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montantsen €) (montants en €) Groupe I 43 930 € 0 € 43 930 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 467 208 € 0 € 467 208 € Dépenses afférentes au personnel Groupe III 0 € 0 € 0 € Dépenses Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 0 € Total des dépenses 511 138 € 0 € 511 138 € Groupe I 511 138 € 0 € 511 138 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III 0 € 0 € 0 € Recettes Produits financiers et produits non encaissables Reprise d’excédents 0 € 0 € 0 € Total des recettes 511 138 € 0 € 511 138 € Capacité financée totale (section soins) : 24 places

Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du FAM « Résidence Alpha » de Champdieu (n° finess : 420 002 586), géré par la Mutualité Française Loire, sont autorisées comme suit pour la partie soins : Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €) Groupe I 107 672 € 0 € 107 672 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 902 587 € 0 € 902 587 € Dépenses afférentes au personnel Groupe III 0 € 0 € 0 € Dépenses Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 0 € Total des dépenses 1 010 259 € 1 010 259 € Groupe I 1 010 259 € 0 € 1 010 259 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III 0 € 0 € 0 € Recettes Produits financiers et produits non encaissables Reprise d’excédents 0 € 0 € 0 € Total des recettes 1 010 259 € 0 € 1 010 259 € Capacité financée totale (section soins) : 42 places

156 Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification de chaque FAM est fixée comme suit pour la partie soins :

* FAM « Centre Mutualiste des Handicaps » de Feurs : • forfait global annuel de soins : 511 138 € • forfait journalier afférent aux soins : 62,17 €

* FAM « Résidence Alpha » de Champdieu : • forfait global annuel de soins : 1 010 259 € • forfait journalier afférent aux soins : 67,25 €

Article 3 : La fraction forfaitaire de chaque FAM, en application de l’article R.314-107 du CASF, égale au douzième du forfait global de soins versée par l’assurance maladie, s’établit ainsi pour le :

* FAM « Centre Mutualiste des Handicaps » de Feurs : à 42 594,83 €. * FAM « Résidence Alpha » de Champdieu : à 84 188,25 €.

Article 4 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, le forfait global de soins annuel reconductible de chaque FAM est pour le :

* FAM « Centre Mutualiste des Handicaps » de Feurs : de 511 138 €. * FAM « Résidence Alpha » de Champdieu : de 1 010 259 €.

La fraction forfaitaire de chaque FAM égale au douzième du forfait global de soins s’élève pour le :

* FAM « Centre Mutualiste des Handicaps » de Feurs à 42 594,83 €. * FAM « Résidence Alpha » de Champdieu à 84 188,25 €.

Article 5 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 6 : Une copie de la présente décision sera notifiée aux établissements concernés.

Article 7 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Article 8 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du départemental de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

**************

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3219 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DU FORFAIT GLOBAL ANNUEL DE SOINS POUR L’ANNÉE 2011 DU FAM « VILLAGE SAINT-EXUPÉRY » Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ;

157 VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2333 du 17 septembre 2010 fixant la tarification applicable au FAM « Village Saint-Exupéry » pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter l’établissement, Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 19 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant la procédure contradictoire conforme aux articles R.314-21 et suivants du Code de l’Action Sociale et des Familles ; Considérant la décision finale en date du 4 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du FAM « Village Saint- Exupéry » (n° finess : 420 790 891), géré par la Croix-Rouge Française, sont autorisées comme suit pour la partie soins :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants En €) Groupe I 47 000 € 0 € 47 000 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 1 081 533 € 0 € 1 081 533 € Dépenses afférentes au personnel Groupe III 3 103 € 0 € 3 103 € Dépenses Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 0 € Total des dépenses 1 131 636 € 0 € 1 131 636 € Groupe I 1 131 636 € 0 € 1 131 636 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III Recettes Produits financiers et produits non 0 € 0 € 0 € encaissables Reprise d’excédents 0 € 0 € 0 € Total des recettes 1 131 636 € 0 € 1 131 636 € Capacité financée totale (section soins) : 48 places

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification du FAM « Village Saint-Exupéry » est fixée comme suit pour la partie soins : • forfait global annuel de soins : 1 131 636 € • forfait journalier afférent aux soins : 66,59 €

158 Article 3 : La fraction forfaitaire, en application de l’article R.314-107 du CASF, égale au douzième du forfait global de soins versée par l’assurance maladie, s’établit ainsi à 94 303 €.

Article 4 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, le forfait global de soins annuel reconductible est de 1 131 636 €. La fraction forfaitaire égale au douzième du forfait global de soins s’élève à : 94 303 €.

Article 5 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 6 : Une copie de la présente décision sera notifiée à l’établissement concerné.

Article 7 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Article 8 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du départemental de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

**************

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3220 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DU FORFAIT GLOBAL ANNUEL DE SOINS POUR 2011 DU SAMSAH AUTONOMIA Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2197 du 13 septembre 2010 fixant la dotation globale applicable au SAMSAH Autonomia pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter le service ;

159 Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 8 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant l’absence de réponse ; Considérant la décision finale en date du 3 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SAMSAH Autonomia (n° finess : 420 007 809), géré par l’A.R.E.P.S.H.A., sont autorisées comme suit :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €) Groupe I 3 100 € 0 € 3 100 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 124 106 € 0 € 124 106 € Dépenses afférentes au personnel Groupe III 5 401 € 0 € 5 401 € Dépenses Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 0 € Total des dépenses 132 607 € 0 € 132 607 € Groupe I 132 607 € 0 € 132 607 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III Recettes Produits financiers et produits non 0 € 0 € 0 € encaissables Reprise d’excédents 0 € 0 € 0 € Total des recettes 132 607 € 0 € 132 607 € Capacité financée totale : 50 places

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification du SAMSAH est fixée comme suit : 1. forfait global annuel de soins : 132 607 € 2. forfait journalier afférent aux soins : 4,61 €

Article 3 : La fraction forfaitaire, en application de l’article R.314-107 du CASF, égale au douzième du forfait global annuel de soins versée par l’assurance maladie, s’établit ainsi à 11 050,58 €.

Article 4 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, le forfait global de soins annuel reconductible est de 132 607 €.

Article 5 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 6 : Une copie de la présente décision sera notifiée au service concerné.

Article 7 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Article 8 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du département de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY ***************

160 ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3221 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DU FORFAIT SÉANCE POUR 2011 DU CMPP DE SAINT-ETIENNE Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2332 du 17 septembre 2010 fixant le forfait séance applicable au C.M.P.P. de Saint-Etienne pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter l’établissement ; Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 13 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant la procédure contradictoire conforme aux articles R.314-21 et suivants du Code de l’Action Sociale et des Familles ; Considérant la décision finale en date du 2 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du C.M.P.P. de Saint-Etienne (n° finess : 420 788 606), géré par l’Association Prévention Soins, sont autorisées comme suit :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €) Groupe I 18 430 € 0 € 18 430 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 597 463 € 0 € 597 463 € Dépenses afférentes au personnel Groupe III 56 099 € 5 000 € 61 099 € Dépenses Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 0 € Total des dépenses 671 992 € 5 000 € 676 992 € Groupe I 671 992 € 5 000 € 676 992 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III 0 € 0 € 0 € Recettes Produits financiers et produits non encaissables Reprise d’excédents 0 € 0 € 0 € Total des recettes 671 992 € 5 000 € 676 992 €

161 Article 2 : A compter du 1er septembre 2011, le forfait moyen de séance est de 118,36 €.

Article 3 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, le forfait moyen de séance est de 118,73 €.

Article 4 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 5 : Une copie de la présente décision sera notifiée à l’établissement concerné.

Article 6 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture de département de la Loire.

Article 7 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du département de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

***************

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3222 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DES DOTATIONS GLOBALES POUR 2011 DU SESSAD « DYS » DE SAINT-ETIENNE ET DU SESSAD « TED » DE SAINT- ETIENNE Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2192 du 13 septembre 2010 fixant les dotations globales applicables au SESSAD « DYS » et au SESSAD « TED » de Saint-Etienne pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter le service ; Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 13 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ;

162 Considérant la procédure contradictoire conforme aux articles R.314-21 et suivants du Code de l’Action Sociale et des Familles ; Considérant la décision finale en date du 2 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SESSAD « DYS » de Saint-Etienne (n° finess : 420 792 467), géré par l’Association Prévention Soins, sont autorisées comme suit :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €) Groupe I 22 323 € 0 € 22 323 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 279 335 € 0 € 279 335 € Dépenses afférentes au personnel Groupe III 18 099 € 5 000 € 23 099 € Dépenses Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 0 € Total des dépenses 319 757 € 5 000 € 324 757 € Groupe I 296 982 € 5 000 € 301 982 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III Recettes Produits financiers et produits non 0 € 0 € 0 € encaissables Reprise d’excédents 22 775,29 € 0 € 22 775,29 € Total des recettes 319 757 € 5 000 € 324 757 € Capacité financée totale : 20 places

Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SESSAD « TED » de Saint-Etienne (n° finess : 420 012 270), géré par l’Association Prévention Soins, sont autorisées comme suit :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €) Groupe I 10 804 € 0 € 10 804 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 124 754 € 0 € 124 754 € Dépenses afférentes au personnel Groupe III 12 428 € 0 € 12 428 € Dépenses Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 0 € Total des dépenses 147 986 € 0 € 147 986 € Groupe I 147 986 € 0 € 147 986 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III Recettes Produits financiers et produits non 0 € 0 € 0 € encaissables Reprise d’excédents 0 € 0 € 0 € Total des recettes 147 986 € 0 € 147 986 € Capacité financée totale : 10 places

163 Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la dotation globale de chaque service est fixée ainsi :

* SESSAD pour enfants dysphasiques (DYS) : 301 982 €. * SESSAD pour enfants porteurs de troubles envahissants du développement (TED) : 147 986 €.

Article 3 : La fraction forfaitaire de chaque service, en application de l’article R314-107 du CASF, égale au douzième de la dotation globale de financement et versée par l’assurance maladie, s’établit ainsi :

* SESSAD pour enfants dysphasiques (DYS) : 25 165,16 €. * SESSAD pour enfants porteurs de troubles envahissants du développement (TED) : 12 332,16 €.

Article 4 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, la dotation globale reconductible de chaque service est fixée comme suit :

* SESSAD pour enfants dysphasiques (DYS) : 319 757 €. * SESSAD pour enfants porteurs de troubles envahissants du développement (TED) : 147 986 €.

La fraction forfaitaire de chaque service, égale au douzième de la dotation globale de financement, est arrêtée à :

* SESSAD pour enfants dysphasiques (DYS) : 26 646,42 €. * SESSAD pour enfants porteurs de troubles envahissants du développement (TED) : 12 332,16 €.

Article 5 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 6 : Une copie de la présente décision sera notifiée aux services concernés.

Article 7 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture de département de la Loire.

Article 8 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du département de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

**************

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3224 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DE LA DOTATION GLOBALE POUR 2011 DU SESSAD TRISOMIE 21 DE SAINT-ETIENNE Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ;

164 VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2193 du 13 septembre 2010 fixant la dotation globale applicable au SESSAD Trisomie 21 de Saint-Etienne pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter le service ; Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 7 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant l’absence de réponse ; Considérant la décision finale en date du 2 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du SESSAD Trisomie 21 de Saint-Etienne (n° finess : 420 785 081), géré par l’association TRISOMIE 21 Loire, sont autorisées comme suit :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €)

Groupe I 98 525 € 0 € 98 525 € Dépenses d’exploitation courante

Groupe II 735 658 € 0 € 735 658 € Dépenses Dépenses afférentes au personnel

Groupe III 92 031 € 0 € 92 031 € Dépenses afférentes à la structure 0 € 0 € 0 € Reprise de déficits 926 214 € 0 € 926 214 € Total des dépenses

Groupe I 923 614 € 0 € 923 614 € Produits de la tarification

Groupe II 0 € 0 € 0 € Recettes Autres produits relatifs à l’exploitation

Groupe III 2 600 € 0 € 2 600 € Produits financiers et produits non encaissables 0 € 0 € 0 € Reprise d’excédents 926 214 € 0 € 926 214 € Total des recettes

Capacité financée totale : 60 places

Article 2 : La dotation globale est de 923 614 € pour l’exercice 2011.

165 Article 3 : La fraction forfaitaire, en application de l’article R314-107 du CASF, égale au douzième de la dotation globale de financement et versée par l’assurance maladie, s’établit ainsi à 76 967,83 €.

Article 4 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, la dotation globale reconductible est de 923 614 €. La fraction forfaitaire égale au douzième de la dotation globale de financement est arrêtée à : 76 967,83 €.

Article 5 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 6 : Une copie de la présente décision sera notifiée au service concerné.

Article 7 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture de département de la Loire.

Article 8 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du département de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

**************

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3225 DU 04/08/2011 PORTANT FIXATION DES PRIX DE JOURNÉE POUR L’ANNÉE 2011 DE L’I.M.E. « SAINTE-MATHILDE » Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté du 23 décembre 2009 fixant le montant du forfait journalier hospitalier prévu à l’article L.174.4 du Code de la Sécurité Sociale à 18 € à compter du 1er janvier 2010 ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2944 du 7 octobre 2010 modifiant l’arrêté n° 2010-2363 du 20 septembre 2010 qui fixait les prix de journée applicables à l’I.M.E. « Sainte-Mathilde » pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ;

166 Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter l’établissement ; Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 13 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant la procédure contradictoire conforme aux articles R.314-21 et suivants du Code de l’Action Sociale et des Familles, Considérant la décision finale en date du 2 Août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

ARRETE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles de l’I.M.E. « Sainte- Mathilde » (n° finess : 420 782 088), géré par la Croix-Rouge Française, sont autorisées comme suit :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €)

Groupe I 348 158 € 0 € 348 158 € Dépenses d’exploitation courante

Groupe II 1 849 280 € 0 € 1 849 280 € Dépenses Dépenses afférentes au personnel

Groupe III 218 167 € 0 € 218 167 € Dépenses afférentes à la structure 314 702 € 0 € 314 702 € Reprise de déficits 2 730 307 € 0 € 2 730 307 € Total des dépenses

Groupe I 2 730 307 € 0 € 2 730 307 € Produits de la tarification

Groupe II 0 € 0 € 0 € Recettes Autres produits relatifs à l’exploitation

Groupe III 0 € 0 € 0 € Produits financiers et produits non encaissables 0 € 0 € 0 € Reprise d’excédents 2 730 307 € 0 € 2 730 307 € Total des recettes Capacité financée totale : 38 places (13 en semi-internat, 25 en internat)

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les prix de journée de l’I.M.E. « Sainte-Mathilde » sont arrêtés comme suit, à compter du 1er septembre 2011 : - Internat : 506,65 € - Semi internat : 365,09 €

Article 3 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, les prix de journée provisoires de l’I.M.E. « Sainte-Mathilde » seront de 367,78 € pour l’internat et de 275,84 € pour le semi-internat lequel est calculé sur la base reconductible 2011 ainsi que sur une base d’activité identique à celle de 2011.

Article 4 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

167 Article 5 : Une copie de la présente décision sera notifiée à l’établissement concerné.

Article 6 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Article 7 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du département de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 4 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

***************

ARRETE DT ARS / 2011 / N° 2011-3226 DU 05/08/2011 PORTANT FIXATION DES PRIX DE JOURNÉE POUR L’ANNÉE 2011 DE L’I.M.E. « LA MAISON DE SÉSAME » Le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône-Alpes,

VU le Code de l’Action Sociale et des Familles, notamment les articles L312-1, L314-1, L.313.8, L.314.3 à L.314.8, et R.314-1 à R.314-207 ; VU le Code de la Sécurité Sociale ; VU la loi n° 2010-1594 du 20 décembre 2010 de financement de la Sécurité Sociale pour 2011 ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU le décret du 1er avril 2010 portant nomination de Monsieur Denis MORIN en qualité de directeur général de l’agence régionale de santé de la région Rhône-Alpes ; VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié fixant les modèles de documents prévus aux articles R.314-10 , R.314-13, R.314-17, R.314-19, R.314-20, R.314-48 et R.314-82 du Code de l’Action Sociale et des Familles ; VU l’arrêté du 23 décembre 2009 fixant le montant du forfait journalier hospitalier prévu à l’article L.174.4 du Code de la Sécurité Sociale à 18 € à compter du 1er janvier 2010 ; VU l’arrêté ministériel du 9 mai 2011 publié au Journal Officiel du 13 mai 2011 fixant pour l’année 2011 la contribution des régimes d’assurance maladie, l’objectif de dépenses et le montant total annuel des dépenses pour les établissements et services relevant de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie mentionnés à l’article L. 314- 3 du code de l’action sociale et des familles et fixant le montant mentionné à l’article L. 314-3-4 du même code ; VU la décision du directeur de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie en date du 18 mai 2011 publiée au Journal Officiel du 22 mai 2011 fixant pour l’année 2011 le montant des dotations régionales limitatives mentionnées à l’article L. 314-3 du code de l’action sociale et des familles ; VU l’arrêté du Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé n° 2010-2459 du 23 septembre 2010 fixant les prix de journée applicables à l’I.M.E. « La Maison de Sésame » pour 2010 ; VU la circulaire interministérielle n°DGCS/5C/DSS/1A/2011/160 du 29 avril 2011 relative aux orientations de l’exercice 2011 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU l’instruction du 5 mai 2011 de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie portant fixation du cadre de mise en œuvre de la campagne budgétaire personnes âgées/personnes handicapées 2011 ; VU la décision n° 2011/2460 du 30 juin 2011 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé au Délégué territorial du département de la Loire ; Considérant les propositions budgétaires et leurs annexes transmises pour l’année 2011 par la personne ayant qualité pour représenter l’établissement ; Considérant les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier en date du 7 juillet 2011 par la délégation territoriale du département de la Loire ; Considérant la procédure contradictoire conforme aux articles R.314-21 et suivants du Code de l’Action Sociale et des Familles, Considérant la décision finale en date du 4 août 2011 ; SUR proposition du délégué territorial,

168 ARRETE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles de l’I.M.E. « La Maison de Sésame » (n° finess : 420 780 892), géré par Sésame Autisme Rhône-Alpes (S.A.R.A.), sont autorisées comme suit :

Crédits Crédits non TOTAL Groupes fonctionnels reconductibles reconductibles en €uros (montants en €) (montants en €) Groupe I 149 668 € 0 € 149 668 € Dépenses d’exploitation courante Groupe II 1 484 811 € 0 € 1 484 811 € Dépenses afférentes au personnel Groupe III 173 033 € 0 € 173 033 € Dépenses Dépenses afférentes à la structure Reprise de déficits 0 € 0 € 0 € Total des dépenses 1 807 512 € 0 € 1 807 512 € Groupe I 1 807 512 € 0 € 1 807 512 € Produits de la tarification Groupe II 0 € 0 € 0 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III Recettes Produits financiers et produits non 0 € 0 € 0 € encaissables Reprise d’excédents 0 € 0 € 0 € Total des recettes 1 807 512 € 0 € 1 807 512 €

Capacité financée totale : 32 places (6 en semi-internat, 26 en internat)

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, les prix de journée de l’I.M.E. « La Maison de Sésame » sont arrêtés comme suit, à compter du 1er septembre 2011 : - Internat : 385,17 € - Semi internat : 255,27 €

Article 3 : A compter du 1er janvier 2012, dans l’attente de la décision ARS fixant la dotation 2012, les prix de journée provisoires de l’I.M.E. « La Maison de Sésame » seront de 341,22 € pour l’internat et de 227,45 € pour le semi- internat lequel est calculé sur la base reconductible 2011 ainsi que sur une base d’activité identique à celle de 2011.

Article 4 : Les recours dirigés contre la présente décision doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la Tarification Sanitaire et Sociale sis DRJSCS Rhône Alpes 245 rue Garibaldi 69422 LYON CEDEX 03, dans un délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles elle sera notifiée, à compter de sa notification.

Article 5 : Une copie de la présente décision sera notifiée à l’établissement concerné.

Article 6 : En application des dispositions du III de l’article R.314-36 la présente décision sera publiée aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Article 7 : Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé de Rhône Alpes et Monsieur le délégué territorial du département de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision.

FAIT À SAINT-ETIENNE, LE 5 août 2011 P/ le DGARS, et par délégation, Le Délégué Territorial signé : Marc MAISONNY

*************

169 ARRÊTÉ N° 2011/2141 EN DATE DU 29/06/2011 PORTANT AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT DU LABORATOIRE DE BIOLOGIE MÉDICALE MULTI SITES LBM « ANABIOQUAL» Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le livre II de la sixième partie du code de la santé publique ; Vu la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, et notamment son article 69 ; Vu l’ordonnance n° 2010-49 du 13 janvier 2010 relative à la biologie médicale et notamment son article 7 relatif aux dispositions transitoires et finales ; Vu le décret n° 2010-344 du 31 mars 2010 tirant les conséquences, au niveau règlementaire, de l’intervention de la loi n° 2009-879 susvisée, et notamment son article 208 ; Vu l’arrêté du 26 novembre 1999 modifié relatif à la bonne exécution des analyses de biologie médicale ; Vu la décision 2010/832 du 30 juin 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ; Vu l’arrêté préfectoral en date du 14 avril 2003 portant enregistrement de la société d’exercice libéral « SELARL ANABIOQUAL » dont le siège social est situé 63, rue des Docteurs Charcot à SAINT ETIENNE (42100) sous le n° 42-08 sur la liste des sociétés d’exercice libéral du département de la Loire, Vu les arrêtes modifiant l’arrêté précité ; Vu les arrêtés préfectoraux d’autorisation de fonctionnement des laboratoires d’analyses de biologie médicale concernés se transformant en sites du laboratoire de biologie médicale ; Vu l’extrait du procès-verbal des délibérations de l’assemblée générale ordinaire de la SELARL« ANABIOQUAL» en date du 25 mars 2011 agréant notamment l’acquisition du Laboratoire « MOLLE-CROZE » par la SELARL « ANABIOQUAL » ; Vu le compromis de vente d’un fonds libéral conclu entre la Laboratoire « MOLLE-CROZE » et la SELARL « ANABIOQUAL » en date du 25 avril 2011 ; Vu le courrier en date du 06 avril 2011 par lequel la SELARL «ANABIOQUAL» a demandé l’autorisation de fonctionner en laboratoire de biologie médicale multi-sites ; Vu les avis du Conseil Central de la section G de l’Ordre National des Pharmaciens en date des 13 mai, 25 mai et 16 juin 2011 ; Considérant que le laboratoire de biologie médicale sis 3-5, Petite rue des Tanneries à ROANNE (42300) résulte de la transformation de 5 laboratoires existants et autorisés préalablement à la publication de l’ordonnance du 13 janvier 2010 susvisée ; Sur proposition de monsieur le directeur de l’efficience de l’offre de soins ;

ARRÊTE

Article 1er : Sont retirées les autorisations de fonctionnement délivrées aux laboratoires de biologie médicale suivants :

- LABM ANABIO CHARCOT 63, rue des Docteurs Charcot 42100 SAINT ETIENNE N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-072 FINESS : 42 079 442 2

- LABM ANABIO BERGSON 105, 107, rue Bergson – 42000 SAINT ETIENNE N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-080 FINESS : 42 001 011 8

- SCP LABM « MOLLE-CROZE » 9, avenue de la Libération – 42100 SAINT ETIENNE N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-015 FINESS : 42 079 392 9

Article 2 : Le laboratoire de biologie médicale dont le siège social est situé 63, rue des Docteurs Charcot à SAINT ETIENNE, dirigé par les biologistes co-responsables suivants :

- Monsieur Fabrice DURAND, médecin biologiste ; - Monsieur Hervé MERLIN, pharmacien biologiste ;

170 - Madame Anne FRERE-BOUNIOL, pharmacien biologiste ; - Monsieur Patrice EHRET, pharmacien biologiste ; - Monsieur Bruno MARECHAL, pharmacien biologiste ; - Madame Christine BOURLET, pharmacien biologiste. est autorisé à fonctionner en multi sites, sous le numéro 42-072 sur la liste des laboratoires de la Loire, sur les sites cités en annexe.

Article 3 : Ce laboratoire multi sites sera exploité par la SELARL « ANABIOQUAL » enregistrée sous le n° 42-08 de la liste des SEL de la Loire.

Article 4 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours gracieux auprès du directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, d’un recours hiérarchique auprès du ministre chargé de la santé, où d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 5 : Le directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial du département de la Loire de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture de la Loire.

Le Directeur général, Pour le directeur général et par délégation, La Directrice adjointe de l’efficience de l’offre de soins Marie-Christine ALAMO-BOCCOZ

ANNEXE

Entité juridique :

SELARL « ANABIOQUAL » 63, rue des Docteurs Charcot 42100 SAINT ETIENNE N° d’inscription sur la liste des SEL de la Loire : 42-08 Ancien n° FINESS : 42 000 403 8 Nouveau FINESS : 42 001 333 6

Sites de l’entité juridique :

Site principal :

LBM ANABIOQUAL 63, rue des Docteurs Charcot 42100 SAINT ETIENNE

N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-072

Ouvert au public Catégories d’analyses pratiquées : biochimie, hématologie, bactériologie, parasitologie, immunologie

Ancien n° FINESS : 42 079 442 2 Nouveau FINESS : 42 001 334 4

Sites secondaires :

- LBM ANABIOQUAL 105, 107, rue Bergson – 42000 SAINT ETIENNE

N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-080

Ouvert au public Catégories d’analyses pratiquées : biochimie, hématologie et hémostase, bactériologie, parasitologie, immunologie

171 Ancien n° FINESS : 42 001 011 8 Nouveau FINESS : 42 001 335 1

- LBM ANABIOQUAL 9, avenue de la Libération – 42100 SAINT ETIENNE

N° d’inscription sur la liste des laboratoires de la Loire : 42-015

Ouvert au public Catégories d’analyses pratiquées : biochimie, hématologie, bactériologie, virologie, parasitologie, immunologie

Ancien n° FINESS : 42 079 392 9 Nouveau FINESS : 42 001 336 9

***************

ARRÊTÉ N° 2011/2140 EN DATE DU 29/06/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’AGRÉMENT DE LA SOCIÉTÉ D’EXERCICE LIBÉRAL DE BIOLOGISTES MÉDICAUX SELARL «ANABIOQUAL» SISE À SAINT ETIENNE Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes

Vu le livre II de la sixième partie du code de la santé publique et notamment les articles R. 6212-72 à R. 6212-92 ; Vu l’ordonnance n° 2010-49 du 13 janvier 2010 relative à la biologie médicale et notamment son article 7 relatif aux dispositions transitoires et finales ; Vu la loi n° 90-1258 du 31 décembre 1990 modifiée relative à l’exercice sous forme de sociétés des professions libérales soumises à un statut législatif ou réglementaire ou dont le titre est protégé ; Vu le décret n° 92-545 du 17 juin 1992 relatif aux sociétés d’exercice libéral de directeurs et directeurs adjoints de laboratoires d’analyses de biologie médicale ; Vu la décision 2010/832 du 30 juin 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, Vu l’arrêté préfectoral en date du 14 avril 2003 portant enregistrement de la société d’exercice libéral « SELARL ANABIOQUAL » dont le siège social est situé 63, rue des Docteurs Charcot à SAINT ETIENNE (42100) sous le n° 42-08 sur la liste des sociétés d’exercice libéral du département de la Loire, Vu les arrêtes modifiant l’arrêté précité, dont le dernier en date est l’arrêté préfectoral n° 2007-528 en date du 08 octobre 2007 ; Vu les arrêtés portant autorisation de fonctionnement du laboratoire d’analyses de biologie médicale « ANABIO CHARCOT » sis 63, rue des Docteurs Charcot à SAINT ETIENNE (42100), inscrit sous le n° 42-072 sur la liste des laboratoires en exercice de la Loire, et dont le dernier en date est l’arrêté préfectoral n° 2007-529 en date du 08 octobre 2007 ; Vu les arrêtés portant autorisation de fonctionnement du laboratoire d’analyses de biologie médicale «ANABIO BERGSON» sis 105, 107, rue Bergson à SAINT ETIENNE (42000), inscrit sous le n° 42-080 sur la liste des laboratoires en exercice de la Loire, et dont le dernier en date est l’arrêté préfectoral n° 2007-527 en date du 08 octobre 2007 ; Vu les arrêtés portant autorisation de fonctionnement du laboratoire d’analyses de biologie médicale SCP « MOLLE CROZE » sis 9, avenue de la Libération à SAINT ETIENNE (42100), inscrit sous le n° 42-015 sur la liste des laboratoires en exercice de la Loire, et dont le dernier en date est l’arrêté préfectoral n° 2002-06 en date du 07 janvier 2002 ; Vu l’extrait du procès-verbal des délibérations de l’assemblée générale ordinaire de la SELARL« ANABIOQUAL» en date du 25 mars 2011 agréant notamment l’acquisition du Laboratoire « MOLLE-CROZE » par la SELARL « ANABIOQUAL » ; Vu le compromis de vente d’un fonds libéral conclu entre la Laboratoire « MOLLE-CROZE » et la SELARL « ANABIOQUAL » en date du 25 avril 2011 ; Vu le courrier en date du 06 avril 2011 par lequel la SELARL «ANABIOQUAL» a demandé l’autorisation de fonctionner en laboratoire de biologie médicale multi-sites ; Vu les avis du Conseil Central de la section G de l’Ordre National des Pharmaciens en date des 13 mai, 25 mai et 16 juin 2011 ; Sur proposition de monsieur le directeur de l’efficience de l’offre de soins ;

172 ARRÊTE

Article 1er : Les dispositions de l’arrêté préfectoral n° 2007-528 susvisé relatif à l’enregistrement de la société d’exercice libéral à responsabilité limitée (SELARL) «ANABIOQUAL » sont remplacées par les dispositions suivantes : « La société d’exercice libéral à responsabilité limitée (SELARL) «ANABIOQUAL » agréée sous le numéro 42-08 sur la liste des sociétés d’exercice libéral de la Loire, dont le siège social est à SAINT ETIENNE – 63, rue des Docteurs Charcot – exploite le laboratoire de biologie médicale «ANABIOQUAL» sis 63, rue des Docteurs Charcot à SAINT ETIENNE (42100), inscrit sous le numéro 42-072 de la liste des LBM de la Loire, implanté sur les sites suivants :

- 63, rue des Docteurs Charcot - SAINT ETIENNE (42100) ; - 105, 107, rue Bergson – SAINT ETIENNE (42000) ; - 9, avenue de la Libération – SAINT ETIENNE (42100) ;

Article 2 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours gracieux auprès du directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, d’un recours hiérarchique auprès du ministre chargé de la santé, où d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 3 : Le directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial du département de la Loire de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture de la Loire.

Le Directeur général, Pour le directeur général et par délégation, La Directrice adjointe de l’efficience de l’offre de soins Marie-Christine ALAMO-BOCCOZ

****************

ARRETE N° 2011- 082 DU 21/07/2011 RELATIF A LA MAIN-LEVEE D’UN ARRETE D’INSALUBRITE CONCERNANT L’IMMEUBLE SIS LE BOURG 42940 – ST BONNET LE COURREAU (H 611) Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code de la santé publique, notamment les articles L. 1331-26 à L. 1331-31, L. 1337-4 ; VU le code de la construction et de l'habitation, notamment les articles L. 111-6-1, L. 521-1 à L. 521-3-4 ; VU la loi n° 70-612 du 10 juillet 1970 tendant à faciliter la suppression de l'habitat insalubre et notamment les dispositions de son Titre II ; VU le rapport établi par le directeur général de l’Agence Régionale de Santé constatant l’achèvement des travaux de sortie d'insalubrité à la date du 13 juillet 2011. Considérant que le rapport de constat est fait au vu de l’état apparent des travaux qu’il avait été prescrit de réaliser ; Considérant que les travaux constatés ont permis de résorber les causes d'insalubrité mentionnées dans l'arrêté préfectoral n° 2008-212 du 08 juillet 2008 et que l'immeuble susvisé ne présente plus de risque pour la santé des occupants ou des voisins ; Sur proposition de M. le secrétaire général de la Préfecture ;

ARRETE

Article 1er : L’arrêté n° 2008-212 du 08 juillet 2008 relatif à l’insalubrité remédiable de l’immeuble sis Le bourg 42940 St Bonnet Le Courreau, cadastré H 611, publié et enregistré à la conservation des hypothèques de Montbrison le 06/10/2008, volume 2008 P n° 5955, propriété de : • Mme JACMAIN domiciliée Route de Saint Georges 42890 Sail sous Couzan, • Mme MOULIN domiciliée Le Ravat 42130 Marcilly Le Chatel • Mme LUCE domiciliée La Bosse 42600 Chalain d’Uzore, et prescrivant l’interdiction d’habiter et d’utiliser les lieux est abrogé.

173 Article 2 : A compter de la notification du présent arrêté, l’immeuble peut à nouveau être utilisé aux fins d’habitation. Les loyers ou indemnités d’occupation seront à nouveau dus à compter du premier jour du mois qui suivra la notification ou l’affichage du présent arrêté.

Article 3 : Cette mainlevée n'est en aucun cas une attestation de bonne réalisation technique des ouvrages dans le respect des règles de l'art, responsabilité qui appartient à ceux qui ont mis en œuvre ces travaux, conformément aux règles ordinaires en la matière.

Article 4 : Le présent arrêté sera notifié aux propriétaires, Mmes JACMAIN, MOULIN et LUCE. Il sera transmis au procureur de la république, aux organismes payeurs des aides personnelles au logement (CAF et MSA), à la Communauté d’Agglomération de Loire Forez, à l’Agence Nationale de l’Habitat ainsi qu’aux gestionnaires du fonds de solidarité pour le logement du département. Il sera également transmis et affiché à la mairie de la commune de St Bonnet Le Courreau.

Article 5 : Le présent arrêté sera publié à la conservation des hypothèques à la diligence et aux frais des propriétaires. Il sera également publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Article 6 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de M. le préfet de la Loire, soit hiérarchique auprès du ministre chargé de la santé (Direction Générale de la Santé- EA 2- 14, avenue Duquesne, 75350 Paris 07 SP) dans les deux mois suivant la notification. Concernant le recours gracieux, l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois vaut rejet implicite. En matière de recours hiérarchique, l’absence de réponse au terme d’un délai de quatre mois vaut rejet implicite. Un recours contentieux peut également être déposé auprès du tribunal administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69443 Lyon Cedex 3) dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse écrite de l’administration si un recours administratif a été déposé.

Article 7 : Le secrétaire général de la Préfecture, le sous-préfet de Montbrison, le maire de St Bonnet Le Courreau, le directeur général de l’agence régionale de santé, le directeur départemental des territoires et le directeur départemental de la cohésion sociale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

Saint-Etienne, le 21 juillet 2011 Signé Pierre SOUBELET

***************

ARRÊTÉ N° 2010/1815 EN DATE DU 11/08/2010 ABROGEANT LA LICENCE D’EXPLOITATION ACCORDÉE À L’OFFICINE DE PHARMACIE SNC TAMET GREFFE-MICHEL SISE À FIRMINY Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes

Vu le code de la santé publique, et notamment l’article L 5125-7, Vu la décision 2010/03 du 1er avril 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, Vu l’arrêté préfectoral en date du 28 août 1961 portant création de la licence d’exploitation numéro 285 pour l’officine de pharmacie sise à FIRMINY – 12, place du Mail -, Vu l’arrêté préfectoral en date du 17 avril 1997 enregistrant sous le numéro 285-D, la déclaration conjointe faisant connaître qu’à compter du 1er mai 1997 l’officine de pharmacie précitée sera exploitée par la Société en Nom Collectif « TAMET GREFFE – MICHEL » - FINESS 420003980, Vu l’extrait du registre du commerce et des sociétés en date du 27 avril 2010 attestant que la S.N.C. TAMET GREFFE – MICHEL a été dissoute le 15 juillet 2009 et radiée dudit registre le 27 avril 2010 au motif de la clôture des opérations de liquidation, Vu le courrier en date du 10 mai 2010 par lequel Monsieur Jean Philippe MICHEL, pharmacien cogérant de la S.N.C. TAMET GREFFE – MICHEL, demande l’annulation de la licence de l’officine de pharmacie sise 12, place du Mail à FIRMINY (42700), Vu le courrier en date du 30 juin 2010 par lequel Madame Annie GREFFE, pharmacienne cogérante de la S.N.C. TAMET GREFFE – MICHEL, demande l’annulation de la licence de l’officine de pharmacie sise 12, place du Mail à FIRMINY (42700), Vu les pièces justificatives à l’appui, Considérant que l’officine a été totalement détruite lors d’un sinistre survenu le 09 juillet 2009 et qu’elle n’est plus exploitable en l’état, Considérant qu’aucun membre de la S.N.C n’a déposé de demande de transfert pour cette officine, Sur proposition de Monsieur le délégué territorial du département de la Loire de l’agence régionale de santé Rhône- Alpes,

174 ARRÊTE

Article 1 er : L’arrêté préfectoral du 28 août 1961 portant licence d’exploitation numéro 285 de l’officine de pharmacie sise à FIRMINY – 12, place du Mail – exploitée depuis le 1er mai 1997 par la Société en Nom Collectif « PHARMACIE TAMET GREFFE - MICHEL » est abrogé.

Article 2 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet soit d’un recours gracieux auprès de Monsieur le directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, soit d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 3 : Monsieur le directeur de la direction de l’efficience de l’offre de soins et Monsieur le délégué territorial du département de la Loire de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture de la Loire.

Pour le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, par délégation Le directeur de l’efficience de l’offre de soins Signé : Christian DUBOSQ

***************

ARRÊTÉ N°2010/3849 EN DATE DU 01/12/2010 ANNULANT ET REMPLAÇANT L’ARRÊTÉ N°2010/215 EN DATE DU 04 MAI 2010 ET AUTORISANT LE TRANSFERT DE LA PHARMACIE D’OFFICINE DE MONSIEUR CROZET Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes

Vu le Code de la Santé Publique et notamment les articles L. 5125-1 à L. 5125-32 et R 5125-1 à R 5125-13 relatifs aux pharmacies d’officine ; Vu le décret N 2000-259 du 21 mars 2000 relatif aux modalités de création, de transfert et de regroupement et aux conditions minimales d'installation des officines de pharmacie ; Vu l'arrêté du 21 mars 2000 fixant la liste des pièces justificatives devant être jointes à une demande de création, de transfert ou de regroupement d'officines de pharmacie ; Vu le décret du 1er avril 2010 portant nomination des directeurs généraux des agences régionales de santé ; Vu l’arrêté n° 2010/832 en date du 30 juin 2010 portant délégation de signature du directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes ; Vu la décision n° 2010/215 en date du 4 mai 2010 de Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône- Alpes portant autorisation de transfert d’une pharmacie d’officine ; Vu la demande de licence présentée par M. CROZET Olivier pour le transfert de son officine de pharmacie sise 6, rue Victor Hugo à SAINT-CHAMOND (Loire) à l’adresse suivante : 26, rue Victor Hugo dans la même commune, enregistrée le 23 décembre 2009 par les services de la direction départementale des affaires sanitaires et sociales de la Loire ; Vu l'avis du pharmacien inspecteur de santé publique en date du 30 mars 2010 ; Vu l'avis du Conseil Régional de l'Ordre des Pharmaciens en date du 10 février 2010 ; Vu l'avis du Syndicat des pharmaciens de la Loire en date du 23 février 2010 ; Vu l’avis de l’Union Nationale des Pharmacies de France - Région Rhône-Alpes (U.N.P.F.) en date du 9 janvier 2010 ; Vu les pièces justificatives à l’appui ; Considérant que le transfert d’une pharmacie peut s’effectuer au sein d’une même commune conformément à l’article L 5125-14 du code de la santé publique ; Considérant que le local projeté remplit les conditions minimales d'installation requises pour l’aménagement de l’officine de pharmacie telles que prévues aux articles R 5125-9 et R 5125-10 du code de la santé publique ; Considérant que ce transfert de proximité ne modifiant pas la répartition de la clientèle avec les pharmacies existantes, il n’y a pas lieu d’appliquer les dispositions des second et troisième alinéas de l’article L 5125-6 ; Sur proposition de monsieur le directeur de l’efficience de l’offre de soins ;

175 ARRÊTE

Article 1 er : L’arrêté numéro 2010/215 en date du 04 mai 2010.de Monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes susvisé est annulé et remplacé par le présent arrêté.

Article 2 : La licence prévue par l’article L 5125-4 du code de la santé publique est accordée sous le n° 42#000590 pour le transfert de l’officine de pharmacie de Monsieur Olivier CROZET sise 6, rue Victor Hugo à SAINT CHAMOND (42400) au 26, rue de Victor Hugo de la même commune.

Article 3 : Le transfert ainsi autorisé devra être réalisé dans un délai maximum d’un an.

Article 4 : A compter du jour de la réalisation du transfert, l’arrêté préfectoral du 06 août 1964 portant licence de création d’officine n° 300 sera annulé et remplacé par le présent arrêté.

Article 5 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet soit d’un recours gracieux auprès de monsieur le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, soit d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 6 : Le directeur de l’efficience de l’offre de soins et le délégué territorial du département de la Loire, de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes et de la préfecture du département de la Loire.

Pour le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, par délégation Le directeur de l’efficience de l’offre de soins Signé : Christian DUBOSQ

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES DE LA LOIRE

ARRETE DU 11/07/2011 PORTANT RENOVATION ET CONSERVATION DU CADASTRE DE LA COMMUNE DE SAINT HEAND : CLOTURE DES TRAVAUX DE REMANIEMENT CADASTRAL Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur

Vu la loi du 6 juillet 1943 relative à l’exécution des travaux géodésiques et cadastraux et à la conservation des signaux, bornes et repères ; Vu la loi n° 74-645 du 18 juillet 1974 relative à la mise à jour périodique des valeurs locatives servant de base aux impositions directes locales; Vu le décret n° 55-471 du 30 avril 1955 relatif à la rénovation et à la conservation du cadastre ; Vu le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et départements; Vu l’arrêté préfectoral 531 du 21/10/2004 portant ouverture des travaux de remaniement du cadastre sur la commune de Saint-Héand Vu la demande de M. le Directeur départemental des finances publiques du 6 juillet 2011 ;

ARRETE

ARTICLE 1 – Les travaux de remaniement du cadastre de la commune de Saint-Héand ont été achevés le 30 juin 2011.

176 ARTICLE 2 – Le présent arrêté sera affiché à la porte de la mairie de la commune susvisée et publié dans la forme ordinaire.

ARTICLE 3 – M. le Secrétaire Général de la Préfecture de la LOIRE et M. le Directeur départemental des finances publiques de la LOIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la LOIRE.

Fait à St-Etienne, le 11 juillet 2011 Le préfet, Pierre SOUBELET

DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS

ARRETE N° 336-DDPP-11 DU 25/08/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE DÉFINITIF DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code rural et de la pêche maritime, partie législative livre II, titre II, chapitre I à V et partie réglementaire livre II, titre II, chapitre I à V, particulièrement les articles R.221-4 à R.221-20-1 et R.241-16 à R.241-24 ; VU l’arrêté n° 557-DDPP-10 octroyant un mandat sanitaire à titre provisoire ; VU l’arrêté préfectoral N° 11-41 du 23 Juin 2011 portant délégation de signature à monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; VU la demande présentée par Monsieur Christophe COLINET ; SUR proposition de Monsieur Didier PERRE, Directeur départemental de la protection des populations,

ARRETE

Article 1er Le mandat sanitaire prévu à l'article L.221-11 du code rural et de la pêche maritime est attribué pour une durée de cinq années renouvelables par tacite reconduction, sous réserve de satisfaire aux obligations notamment en matière de formation continue prévues à l’article R.221-12 du code rural et de la pêche maritime, à compter du 26 mai 2011, dans le département de la Loire, à Monsieur Christophe COLINET, Docteur Vétérinaire. Monsieur Christophe COLINET exerce à Ambert (63).

Article 2 Monsieur Christophe COLINET est tenu de respecter les prescriptions techniques relatives à l'exécution des opérations de prophylaxie collective des maladies des animaux dirigées par l'Etat et des opérations de police sanitaire, ainsi que toutes les instructions du Directeur Départemental de la Protection des Populations.

Article 3 Les manquements ou fautes commises dans le cadre de l’exercice du mandat sanitaire relèvent de la compétence de la commission de discipline prévue par l’article R.221-13 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et Monsieur le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 25 août 2011 Pour le préfet, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations, Didier PERRE ***************

177 ARRETE N° 338-DDPP-11 DU 25/08/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE DÉFINITIF DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code rural et de la pêche maritime, partie législative livre II, titre II, chapitre I à V et partie réglementaire livre II, titre II, chapitre I à V, particulièrement les articles R.221-4 à R.221-20-1 et R.241-16 à R.241-24 ; VU l’arrêté n° 545-DDPP-10 octroyant un mandat sanitaire à titre provisoire ; VU l’arrêté préfectoral N° 11-41 du 23 Juin 2011 portant délégation de signature à monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; VU la demande présentée par Monsieur Joseph GOURBEYRE ; SUR proposition de Monsieur Didier PERRE, Directeur départemental de la protection des populations,

ARRETE

Article 1er Le mandat sanitaire prévu à l'article L.221-11 du code rural et de la pêche maritime est attribué pour une durée de cinq années renouvelables par tacite reconduction, sous réserve de satisfaire aux obligations notamment en matière de formation continue prévues à l’article R.221-12 du code rural et de la pêche maritime, à compter du 26 mai 2011, dans le département de la Loire, à Monsieur Joseph GOURBEYRE , Docteur Vétérinaire. Monsieur Joseph GOURBEYRE exerce à Ambert (63).

Article 2 Monsieur Joseph GOURBEYRE est tenu de respecter les prescriptions techniques relatives à l'exécution des opérations de prophylaxie collective des maladies des animaux dirigées par l'Etat et des opérations de police sanitaire, ainsi que toutes les instructions du Directeur Départemental de la Protection des Populations.

Article 3 Les manquements ou fautes commises dans le cadre de l’exercice du mandat sanitaire relèvent de la compétence de la commission de discipline prévue par l’article R.221-13 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et Monsieur le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 25 août 2011 Pour le préfet, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations, Didier PERRE

****************

ARRETE N° 337-DDPP-11 DU 25/08/2011 PORTANT ATTRIBUTION DU MANDAT SANITAIRE DÉFINITIF DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur

VU le code rural et de la pêche maritime, partie législative livre II, titre II, chapitre I à V et partie réglementaire livre II, titre II, chapitre I à V, particulièrement les articles R.221-4 à R.221-20-1 et R.241-16 à R.241-24 ; VU l’arrêté n° 546-DDPP-10 octroyant un mandat sanitaire à titre provisoire ; VU l’arrêté préfectoral N° 11-41 du 23 Juin 2011 portant délégation de signature à monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; VU la demande présentée par Madame Catherine KARRAS ; SUR proposition de Monsieur Didier PERRE, Directeur départemental de la protection des populations,

178 ARRETE

Article 1er Le mandat sanitaire prévu à l'article L.221-11 du code rural et de la pêche maritime est attribué pour une durée de cinq années renouvelables par tacite reconduction, sous réserve de satisfaire aux obligations notamment en matière de formation continue prévues à l’article R.221-12 du code rural et de la pêche maritime, à compter du 26 mai 2011, dans le département de la Loire, à Madame Catherine KARRAS, Docteur Vétérinaire. Madame Catherine KARRAS exerce à Ambert (63).

Article 2 Madame Catherine KARRAS est tenue de respecter les prescriptions techniques relatives à l'exécution des opérations de prophylaxie collective des maladies des animaux dirigées par l'Etat et des opérations de police sanitaire, ainsi que toutes les instructions du Directeur Départemental de la Protection des Populations.

Article 3 Les manquements ou fautes commises dans le cadre de l’exercice du mandat sanitaire relèvent de la compétence de la commission de discipline prévue par l’article R.221-13 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et Monsieur le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 25 août 2011 Pour le préfet, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations, Didier PERRE

DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE

ARRETE DU 21/07/2011 PORTANT APPROBATION DE LA CONVENTION CONSTITUTIVE DU GROUPEMENT DE COOPERATION SOCIALE « SIAO LOIRE » Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur

VU le code de l’Action Sociale et des Familles et notamment les articles L. 312-7 et R.312-194-1 à R.312-194-25 VU la circulaire DGAS/SD 53 n°2006-216 du 18 mai 2006 relative à la pluriannualité budgétaire, à la dotation globalisée commune à plusieurs établissements et à la coopération sociale et médico-sociale dans le cadre de groupements d’établissements, VU la circulaire ministérielle DGAS/5D/2007/309 du 3 août 2007 relative à la mise en œuvre des groupements de coopération sociale et médico-sociale, VU les circulaires du 8 avril 2010 et du 7 juillet 2010 relatives au service intégré de l’accueil et de l’orientation (SIAO), VU la circulaire DGCS/USH/2010/252 du 7 juillet 2010 relative au service intégré d’accueil et d’orientation.

Considérant la transmission, le 6 juillet 2011, par l’administrateur du groupement élu par l’Assemblée constituante : ➢ de la convention constitutive du groupement de coopération sociale SIAO Loire, datée du 30 juin 2011, portant signature de dix-sept Présidents d’Associations, et du règlement intérieur prévu à l’article 19 de ladite convention ; ➢ du relevé de décisions de l’assemblée constituante et assemblée générale du jeudi 30 juin 2011.

179 ARRETE

Article 1er : La convention constitutive du groupement de coopération sociale « S.I.A.O. Loire » complétée du règlement intérieur prévu en son article 19, est approuvée.

Article 2 : Le groupement de coopération sociale est dénommé « S.I.A.O. Loire ».

Article 3 : Le groupement de coopération sociale a pour objet la mise en place et la gestion du service intégré de l’accueil et de l’orientation (S.I.A.O.) dans le département de la Loire.

Le groupement de coopération sociale permettra également de développer la coordination, le travail en réseau et la complémentarité entre ses membres.

En aucun cas, le groupement de coopération sociale ne pourra se substituer à ses membres dans la réalisation de leurs missions.

Article 4 : Le groupement de coopération sociale est constitué de dix-sept associations, loi 1901 œuvrant dans le secteur de l’Accueil, de l’hébergement, de l’Insertion et du Logement d’urgence et adapté : Association Renaitre, Association Vers l’Avenir, Association Œuvre Philanthropique de l’Asile de Nuit de Saint-Etienne, Association Sodiha, Association Service Logement, Association ARALIS, Association AGFA, Association Boutique Santé du Roannais, Association PACT du Roannais, Association Triangle, Association Familiale Protestante, Association Sos Violences Conjugales, Association ANEF Loire, Association Notre Abri, Association Entraide Pierre Valdo, Association PACT Loire, Association Habitat Jeunes Clairvivre.

Article 5 : Le siège du groupement de coopération sociale est fixé à Saint-Etienne, 26 rue Neyron.

Article 6 : Le groupement de coopération sociale est constitué pour une durée indéterminée.

Article 7 : La convention constitutive du groupement de coopération sociale peut être modifiée par avenant, qui devra faire l’objet d’une procédure d’approbation identique à la procédure initiale.

Article 8 : Le groupement de coopération sociale jouit de la personnalité morale à compter de la date de publication du présent arrêté portant approbation, au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire.

Article 9 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture et Monsieur le Directeur départemental de la cohésion sociale sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 21 juillet 2011 Le Préfet, PIERRE SOUBELET

***************

ARRETE DU 09/08/2011 FIXANT LA LISTE DES MANDATAIRES JUDICIAIRES À LA PROTECTION DES MAJEURS ET DES DÉLÉGUÉS AUX PRESTATIONS FAMILIALES HABILITÉS À EXERCER DANS LE DÉPARTEMENT DE LA LOIRE Le préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d’honneur

VU le Code de l'action sociale et des familles (CASF) et notamment les articles L 312-1, L. 471-1, L 471-2, L 472-2, L 472-6, L 472-10, L. 474-1 et D471-1 à D471-3, R 472-1à R 472-5, D472-13, R 472-14 à R 472-16, R 472-24 à 26 D 474-1 à 3 ; VU la loi n° 2007-308 du 5 mars 2007 portant réforme de la protection juridique des majeurs, notamment ses articles 44 et 45 ; VU les arrêtés préfectoraux du 1er octobre 2010 habilitant les services aux fonctions de mandataires judiciaires à la protection des majeurs et des délégués aux prestations familiales ; CONSIDERANT que la liste doit être modifiée pour prendre en considération les mouvements intervenus depuis 2009 ; SUR PROPOSITION du directeur départemental de la cohésion sociale ;

180 ARRETE :

Article 1er : L’arrêté préfectoral n° 2009-039 du 20 février 2009 fixant la liste des mandataires judiciaires à la protection des majeurs et des délégués aux prestations familiales habilités à exercer dans le département de la Loire, est abrogé.

Article 2 : la liste départementale Il est établi pour le département de la Loire, une liste des mandataires judiciaires à la protection des majeurs et des délégués aux prestations familiales.

Sont inscrits sur cette liste, après examen de leur dossier : • les services mettant en œuvre les mesures de protection des majeurs et ceux appliquant les mesures judiciaires d’aide à la gestion du budget familial ; • les personnes physiques qui exercent à titre individuel et habituel les mesures de protection des majeurs ; • les préposés d’établissement hébergeant des majeurs.

Sont inscrits également jusqu’au 31 décembre 2011, les personnes physiques et les préposés, dans l’attente de leur mise en conformité avec l’article L 472-1 du CASF et ce, conformément à l’article 44 de la Loi n°2007-308 du 5 mars 2009. Cette liste jointe à l’arrêté sous forme d’annexes mentionne les noms, coordonnées, catégories de mesures de protection des majeurs et territoires de compétence des services sociaux et médico-sociaux, des mandataires individuels et des préposés d’établissements hébergeant des majeurs. La présente liste sera mise à jour au 1er janvier 2012.

Article 3 : les compétences Les mandataires judiciaires à la protection des majeurs sont habilités à exercer des mesures de protection des majeurs que les juges des tutelles leur confient au titre du mandat spécial auquel il peut être recouru dans le cadre de la sauvegarde de justice ou au titre de la curatelle, de la tutelle ou de la mesure d’accompagnement judiciaire. Les délégués aux prestations familiales exercent à titre habituel les mesures ordonnées par l’autorité judiciaire en application de l’article L 375-9-1 du code civil.

Article 4 : les motifs de radiation La décision de retrait en application de l’article L 313-18 de l’autorisation des services mentionnés au 14° du I de l’article L 312-1 (services), de suspension ou de retrait en application de l’article L 472-10 de l’agrément prévu à l’article L 472-1 (personnes physiques) et de suspension ou d’annulation de la déclaration prévue à l’article L 472-6 (préposé) en application de l’article L 472-10 entraîne la radiation de la liste départementale.

Article 5 : les modalités et voies de recours Le présent arrêté peut faire l’objet dans un délai de deux mois : • d’un recours administratif, soit gracieux auprès du préfet de la Loire, soit hiérarchique auprès du ministre des solidarités et de la cohésion sociale ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif de Lyon, Palais des juridictions administratives, 184, rue Duguesclin, 69433 Lyon cedex 03, en l’absence de réponse de l’administration.

Article 6 : l’exécution Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la cohésion sociale, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs. Une copie sera adressée aux présidents des tribunaux de grande instance de Saint Etienne et de Roanne ainsi qu’aux services et personnes physiques nommément désignées.

Saint-Etienne, le 9 août 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général Patrick FERIN La liste jointe au présent arrêté peut être consultée à la Direction départementale de la Cohésion Sociale

181 UNITE TERRITORIALE DE LA DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI

ARRETE N° 11-34 DU 19/07/2011 PORTANT AGREMENT D’UNE SOCIETE COOPERATIVE D’INTERET COLLECTIF Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur

VU la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération modifiée par la loi n° 2001-624 du 17 juillet 2001 et notamment son articler 36-1, VU le décret n° 2002-241 du 21 février 2002 relatif à la Société Coopérative d’Intérêt collectif, VU la circulaire conjointe du Ministère de l’Emploi et de la Solidarité, du Ministre de l’Intérieur et du Secrétaire d’Etat à l’Economie Solidaire n° 230294 C du 18avril 2002 relative à la Société d’Intérêt Collectif, VU la demande d’agrément déposée le 20 mai 2011 par la société « Les Bois transformés du Pilat », VU l’attestation délivrée le 7 avril 2011 par le greffier du Tribunal de Commerce de Saint-Étienne, VU l’avis de Monsieur le Trésorier Payeur Général de la Loire, Sur proposition de l’inspecteur du Travail en charge du développement de l’activité et de l’économie sociale et solidaire :

A R R E T E

ARTICLE 1er : l’agrément prévu à l’article 19 terdecies de la loi n° 47-1775 du 10 septembre 1947 est délivré pour une durée de cinq ans renouvelables à la SCIC dont le Président du conseil de surveillance est Monsieur Jacques GRENOT demeurant 127 Avenue de Saxe – 69003 LYON et dont le président du directoire est Monsieur Jean- François CHORAIN demeurant « La Vidallière » 42660 MARLHES.

ARTICLE 2 : la directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la Direccte Rhône-Alpes est chargée de l’exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée au Trésorier Payeur Général de la Loire, à la Préfecture de la Loire et qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint.Etienne, le 19 juillet 2011 Pour le Préfet Et par délégation La Directrice de l’unité Territoriale de la Loire De la Direccte Rhône-Alpes Aline GADALA

***************

ARRETE N° 11-33 DU 04/07/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT SIMPLE D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-20.07.11-F-042-S-029 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’Emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 10-015 du 21 juin 2010 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Madame Aline GADALA, Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

182 VU l’agrément simple n° 2006-1-42-010 accordé le 20 juillet 2006 à la Coopérative de services à domicile "COOP A DOM" sise 44 rue de la Tour de Varan – 42700 FIRMINY pour l’activité prestataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 19 avril 2011 par la Coopérative de services à domicile "COOP A DOM" sise 44 rue de la Tour de Varan – 42700 FIRMINY, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Madame la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : La Coopérative de services à domicile "COOP A DOM" sise 44 rue de la Tour de Varan – 42700 FIRMINY est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 20 juillet 2011.

ARTICLE 3 : La Coopérative de services à domicile "COOP A DOM"sise 44 rue de la Tour de Varan – 42700 FIRMINY est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes : • Entretien de la maison et travaux ménagers, • Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage, • Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains » • Préparation de repas à domicile y compris le temps passé aux commissions, • Livraison de repas à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile, • Collecte et livraison à domicile de linge repassé, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile, • Livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile, • Assistance informatique et internet à domicile, • Soutien scolaire, • Cours à domicile, • Assistance administrative à domicile

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 4 juillet 2011 Pour le Préfet de la Loire, et par délégation, La Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, Aline GADALA Voies de recours : Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours : - soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

**************

183 ARRETE N° 11-36 DU 05/08/2011 PORTANT AGREMENT – SIMPLE – D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° N-05.08.11-F-042-S-030 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône- Alpes, VU l’arrêté n° 10-015 du 21 juin 2010 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Madame Aline GADALA, Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU le dossier de demande d’agrément simple présenté le 7 juin 2011 par l’entreprise individuelle MOUSSAOUI Abdelatif (« EPSILON ») sise 23 rue Francisque Voytier - 42100 SAINT- ETIENNE, pour l’activité prestataire de services à la personne, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Madame la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’entreprise individuelle MOUSSAOUI Abdelatif (« EPSILON ») sise 23 rue Francisque Voytier - 42100 SAINT-ETIENNE est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq années à compter du 5 août 2011.

ARTICLE 3 : L’entreprise individuelle MOUSSAOUI Abdelatif (« EPSILON ») sise 23 rue Francisque Voytier - 42100 SAINT-ETIENNE est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes : • Entretien de la maison et travaux ménagers • Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage • Prestations de petit bricolage dites "homme toutes mains" • Maintenance, entretien et vigilance temporaires, à domicile, de la résidence principale et secondaire

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire. Fait à Saint-Etienne, le 5 août 2011 Le Préfet, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, La Directrice, Aline GADALA

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours : - soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03. **************

184 ARRETE N° 11-37 DU 05/08/2011 PORTANT AGREMENT – SIMPLE – D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° N-05.08.11-F-042-S-031 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône- Alpes, VU l’arrêté n° 10-015 du 21 juin 2010 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Madame Aline GADALA, Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU le dossier de demande d’agrément simple présenté le 9 juin 2011 par l’entreprise individuelle RIZAND Stéphanie (« VAPEUR 42 ») sise Trécisse - 42940 SAINT-BONNET-LE-COURREAU, pour l’activité prestataire de services à la personne, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Madame la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’entreprise individuelle RIZAND Stéphanie (« VAPEUR 42 ») sise Trécisse – 42940 SAINT-BONNET-LE- COURREAU est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci- dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq années à compter du 5 août 2011.

ARTICLE 3 : L’entreprise individuelle RIZAND Stéphanie (« VAPEUR 42 ») sise Trécisse – 42940 SAINT-BONNET-LE- COURREAU est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes : • Entretien de la maison et travaux ménagers • Préparation de repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions • Collecte et livraison à domicile de linge repassé, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Livraison de courses à domicile, à condition que cette prestation soit comprise dans une offre de services comprenant un ensemble d’activités effectuées à domicile • Maintenance, entretien et vigilance temporaires, à domicile, de la résidence principale et secondaire

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône- Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire. Fait à Saint-Etienne, le 5 août 2011 Le Préfet, Par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, La Directrice, Aline GADALA Voies de recours : Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours : - soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03. **************

185 ARRETE N° 11-38 DU 24/08/2011 PORTANT AGREMENT – SIMPLE – D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° N-24.08.11-F-042-S-032 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, VU l’arrêté n° 10-015 du 21 juin 2010 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Madame Aline GADALA, Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU le dossier de demande d’agrément simple présenté le 24 juin 2011 par la SAS VIAL JARDINS sise Lieu-dit « Bigny » - 42110 FEURS pour l’activité prestataire de services à la personne, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Madame la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : La SAS VIAL JARDINS sise Lieu-dit « Bigny » - 42110 FEURS est agréée comme organisme prestataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci-dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq années à compter du 24 août 2011.

ARTICLE 3 : La SAS VIAL JARDINS sise Lieu-dit « Bigny » - 42110 FEURS est agréée en qualité d’organisme prestataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes : • Petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 24 août 2011 Pour le Préfet et par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, La Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire, Par délégation, La Directrice Adjointe, Sylvie FEIGNON

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours : - soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03. ***************

186 ARRETE N° 11-39 DU 29/08/2011 PORTANT RENOUVELLEMENT D’AGREMENT – SIMPLE - D’UN ORGANISME DE SERVICES AUX PERSONNES - AGRÉMENT N° R-01.09.11-F-042-S-033 Le Préfet de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur

VU la loi n° 2005-8421 du 26 juillet 2005 relative au développement des emplois de services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, VU les articles L.7231-1 à L.7233-3, R.7232-1 à 17, D.7231-1, D.7231-2 et D.7233-1 à 5 du Code du Travail, VU les articles L.313-1-1, L.347-1, L.347-2 et D.347-1 à D.347-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles, VU le décret n° 2007-854 du 14 mai 2007 relatif aux services à la personne, VU la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007 relative à l’agrément de services à la personne, VU l’arrêté préfectoral n° 10-22 du 11 février 2010 accordant délégation de signature à Monsieur Michel DELARBRE, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône- Alpes, VU l’arrêté n° 10-015 du 21 juin 2010 de Monsieur Michel DELARBRE, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Madame Aline GADALA, Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, VU l’agrément simple n° 2006-1-42-012 accordé le 1er septembre 2006 à l’EURL FRANCECOURS sise 12 rue Clément Forissier – 42100 SAINT-ETIENNE pour l’activité prestataire et mandataire de services à la personne, VU le dossier de demande de renouvellement de cet agrément présenté le 29 juin 2011 par l’EURL FRANCECOURS sise 12 rue Clément Forissier – 42100 SAINT-ETIENNE, CONSIDERANT que les conditions définies par les articles du Code du Travail, du Code de l’Action Sociale et des Familles ci-dessus définis sont remplies, CONSIDERANT l’engagement de la structure à apporter un service de qualité auprès des publics pour lesquels elle s’engage et à développer en propre ou au sein d’un réseau les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la montée en charge des activités ci-dessous agréées, Sur proposition de Madame la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

A R R E T E

ARTICLE 1 er : L’EURL FRANCECOURS sise 12 rue Clément Forissier – 42100 SAINT-ETIENNE est agréée comme organisme prestataire et mandataire de services à la personne, conformément aux dispositions des textes ci- dessus référencés.

ARTICLE 2 : Le présent agrément est accordé pour une durée de cinq ans à compter du 1er septembre 2011.

ARTICLE 3 : L’EURL FRANCECOURS sise 12 rue Clément Forissier – 42100 SAINT-ETIENNE est agréée en qualité d’organisme prestataire et mandataire pour la fourniture de services à la personne sur l’ensemble du territoire national et pour les prestations suivantes : • Soutien scolaire à domicile • Cours à domicile • Assistance informatique et Internet à domicile • Assistance administrative à domicile

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 29 août 2011 Pour le Préfet et par délégation, Le DIRECCTE, Par subdélégation, La Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire, Par délégation, La Directrice Adjointe, Sylvie FEIGNON

Voies de recours :

Dans un délai de deux mois à compter de sa notification, la présente décision peut faire l’objet d’un recours : - soit gracieux devant le Préfet de la Loire (par délégation, la Directrice de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes - 11 rue Balaÿ - 42021 SAINT-ETIENNE CEDEX 1), - soit hiérarchique auprès de Madame le Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi - Direction Générale de la compétitivité, de l’industrie et des services - Mission des services à la personne - Immeuble Bervil - 12 rue Villiot - 75572 PARIS CEDEX 12, - soit contentieux devant le Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

187 188 II – ARRETES CONJOINTS

189 ARRETE N° 334/2011 DU 09/08/2011 ACTANT LE RETRAIT DE LA COMMUNE DE CHENAY LE CHÂTEL DU SYNDICAT D'ETUDES ET DE PROGRAMMATION POUR L'AMÉNAGEMENT DU ROANNAIS (SYEPAR) Le préfet de la Loire Le préfet de la Saône et Loire Chevalier de la Légion d' Honneur Chevalier de la Légion d' Honneur Chevalier de l'Ordre National du Mérite

Vu le code général des collectivités territoriales, Vu le code de l'urbanisme et notamment l'article L 122-5, Vu l'arrêté préfectoral du 21 octobre 1987 modifié portant création du syndicat intercommunal d'études et de programmation de l'agglomération Roannaise (dit S.I.E.P.A.R), Vu l'arrêté préfectoral du 17 février 1994 modifiant l'arrêté préfectoral du 21 octobre 1987 concernant la modification de l'objet du syndicat et sa pérennisation, Vu l'arrêté préfectoral du 28 décembre 2001 relatif au retrait du SIEPAR des communes de Commelle-Vernay, du Coteau, de Mably, de Riorges, de Roanne et de Villerest, à l'adhésion au SIEPAR de la communauté d'agglomération Le Grand Roanne et la transformation du SIEPAR en syndicat mixte, Vu l'arrêté préfectoral du 10 juin 2002 relatif au retrait de la commune de Vougy du SIEPAR, Vu l'arrêté préfectoral du 9 avril 2003 portant adhésion de la Communauté de communes de la Côte Roannaise et de la Communauté de communes de l'Ouest Roannais au SIEPAR, Vu l'arrêté interpréfectoral du 28 septembre 2005 modifiant les statuts du SIEPAR et étendant son périmètre à la commune de Chenay le Châtel, membre de la communauté de communes du canton de Marcigny; Vu l'arrêté interpréfectoral du 24 avril 2007 portant extension du périmètre du SYEPAR à la Communauté de communes de Perreux ainsi qu'à la communauté de communes du Pays d'Urfé, Vu l'arrêté du 9 mars 2010 par lequel le Préfet de Saône et Loire autorise la communauté de communes du canton de Marcigny à prendre la compétence Schéma de cohérence territoriale (SCOT) dans le cadre du Pays du Charolais -Brionnais, Vu l'arrêté du 17 novembre 2010 par lequel le Préfet de Saône et Loire et le préfet de l'Allier fixent le périmètre du SCOT du Pays du Charolais-Brionnais, incluant notamment la communauté de communes de Marcigny Considérant que la communauté de communes du canton de Marcigny, par délibération du 7 décembre 2009, a exprimé sa volonté d'appartenir au SCOT du Pays du Charolais Brionnais Considérant qu 'en application de l'alinéa 4 de l'article L122-5 du code de l'urbanisme il convient de retirer la commune de Chenay-le-Chatel du SYEPAR et que ce retrait emporte réduction du périmètre du SCOT du Roannais Sur proposition de M le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire et de Mme la Secrétaire Générale de la préfecture de Saône et Loire

ARRETENT

Article 1er : Sont actés le retrait de la commune de Chenay-le-Châtel du syndicat d'Etudes et de Programmation pour l'Aménagement du Roannais (SYEPAR) et, en conséquence, la réduction du périmètre du SCOT du Roannais.

Article 2 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, la secrétaire générale de la préfecture de la Saône et Loire et le président du SYEPAR sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié aux recueils des actes administratifs de l'Etat de la Loire et de la Saône et Loire et dont copie sera adressée à : • M. le président du SYEPAR • Mmes et MM. les présidents des communautés de communes ou maires des communes membres du SYEPAR • M le maire de Chenay Le Chatel • M. le Sous-Préfet de Roanne • M. le Sous-Préfet de Charolles • M. le DDFIP de la Loire et de la Saône et Loire • M. le Directeur Départemental des Territoires de la Loire • Mme la Directrice Départementale des Territoires de Saône-et-Loire

Fait à Saint-Etienne, le 9 août 2011 Le Préfet de la Loire Le Préfet de la Saône-et-Loire Pour le Préfet et par délégation Pour le Préfet, Le Secrétaire Général La Secrétaire Générale de la Signé : Patrick FERIN Préfecture de Saône et Loire Signé : Magali SELLES **************

190 ARRETE INTERPREFECTORAL N° 4503 DU 11/08/2011 RELATIF À LA MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT MIXTE DU SCOT DES MONTS DU LYONNAIS

Le Préfet de la région Rhône-Alpes, Le préfet de la Loire, Préfet du Rhône Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de la légion d’honneur Officier de l’ordre national du mérite

VU le code général des collectivités territoriales et notamment l'article L 5211-20 ; VU l'arrêté interpréfectoral n° 4116 du 7 août 2009 fixant le périmètre du Schéma de COhérence Territoriale (SCOT) des Monts du Lyonnais ; VU l'arrêté interpréfectoral n° 4032 du 4 juin 2010 relatif à la création du syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais ; VU l’arrêté préfectoral n° 7083 du 23 décembre 2010 relatif à la modification des statuts et compétences du syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais ; VU la délibération en date du 10 mars 2011 par laquelle le comité du syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais propose de modifier les articles 6 et 8 de ses statuts suite à la substitution de la communauté de communes des Hauts du Lyonnais à ses communes membres ; VU les délibérations par lesquelles les conseils municipaux des communes de Saint Médard en Forez, Saint Denis sur Coise, Chevrières, Maringes, Grammond, Virigneux, Viricelles, La Gimond et Chatelus approuvent la modification statutaire proposée par le syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais ; VU les délibérations par lesquelles les conseils communautaires des communautés de communes des Hauts du Lyonnais et de Chamousset en Lyonnais approuvent la modification statutaire proposée par le syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais ; SUR proposition des secrétaires généraux des préfectures du Rhône et de la Loire,

ARRETENT :

Article 1er – Les articles 1 à 12 de l’arrêté n° 4032 du 4 juin 2010 relatif à la création du syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais sont remplacés par les dispositions suivantes :

Article 1 : Création

En application de l’article L.5711-1 du CGCT, il est créé un syndicat mixte dénommé « Syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais ».

Article 2 : Membres Le syndicat mixte est formé entre :

 Dans le département du Rhône :

• la communauté de communes Chamousset en Lyonnais, • la communauté de communes des Hauts du Lyonnais.

 Dans le département de la Loire :

• les communes de Chatelus, Chevrières, Grammond, La Gimond, Maringes, Saint Denis sur Coise, Saint Médard en Forez, Viricelles et Virigneux.

Article 3 : Objet et compétences

Le syndicat mixte a pour objet l’élaboration, l’approbation, le suivi et la révision du schéma de cohérence territoriale dont le périmètre a été fixé par arrêté interpréfectoral n° 2009-4116 du 7 août 2009.

Article 4 : Durée

Le syndicat mixte est constitué pour une durée illimitée.

191 Article 5 : Siège

Le siège est situé au Château de Pluvy, à Pomeys.

La réunion du comité syndical a lieu soit au siège du syndicat mixte, soit dans un lieu choisi par le comité syndical dans l’une des communes ou EPCI membres.

Article 6 : Comité syndical

Le syndicat mixte est administré par un comité syndical composé de délégués des collectivités adhérentes telles que définies à l’article 2.

Ce comité est composé de la façon suivante :

- 1 délégué par commune de moins de 1000 habitants, - 2 délégués par commune de 1000 habitants et moins de 2000 habitants, - 3 délégués par commune de 2000 habitants et moins de 3000 habitants, - 4 délégués par commune de 3000 habitants et moins de 4000 habitants, et au delà de 4000 habitants, 1 délégué supplémentaire par tranche de 1000 habitants commencée.

- 19 délégués pour la communauté de communes Chamousset en Lyonnais. - 19 délégués pour la communauté de communes des Hauts du Lyonnais.

Ainsi les communes de Chatelus, Grammond, La Gimond, Maringes, Saint Denis sur Coise, Saint Médard en Forez, Viricelles et Virigneux ont 1 délégué.

La commune de Chevrières a 2 délégués.

Le nombre total de délégués du syndicat mixte est donc de 48.

Des délégués suppléants, qui pourront siéger en cas d’empêchement d’un délégué titulaire, sont désignés dans les mêmes conditions.

La population à prendre en compte pour la durée du mandat de l’organe délibérant est celle qui est déterminée en fonction de la population municipale INSEE et valable jusqu’à la date du renouvellement général des conseils municipaux.

Article 7 : Bureau

Le comité syndical élit à bulletin secret parmi ses membres un bureau dont le président du syndicat, et le ou les vices présidents sont membres de droit. Le bureau assiste le président dans la préparation des délibérations du comité syndical et peut se voir chargé par le comité syndical de toute autre mission dans le cadre de l’article L5211-10 du Code Général des Collectivités Territoriales.

Article 8 : Recettes du syndicat

Les recettes du budget du syndicat comprennent : 1 La contribution des communes et des EPCI associés, déterminée annuellement par le comité syndical en fonction de la population municipale et des bases brutes d'imposition de chaque commune ou communauté de communes ; 2ºLe revenu des biens, meubles ou immeubles, du syndicat ; 3ºLes sommes qu'il reçoit des administrations publiques, des associations, des particuliers, en échange d'un service rendu ; 4ºLes subventions de l'Etat, de la Région, du Département et des communes ; 5ºLes produits des dons et legs ; 6ºLe produit des taxes, redevances et contributions correspondant aux services assurés ou aux investissements réalisés ; 7ºLe produit des emprunts.

Les contributions des membres seront calculées annuellement par le conseil syndical au pro rata de la population municipale et au pro rata des bases brutes d’imposition de l’année N-1.

192 Pour les bases brutes d'imposition, le calcul se fait avec les bases brutes d'imposition de l'année N-1 :

 de chaque commune ou de chaque commune membre des communautés de communes Chamousset en Lyonnais et des Hauts du Lyonnais pour la taxe d'habitation, la taxe sur le foncier bâti et la taxe sur le foncier non bâti,  des communautés de communes Chamousset en Lyonnais et des Hauts du Lyonnais ou de la communauté de communes Forez en Lyonnais réparties par communes pour la taxe professionnelle unique

Les critères de population et de base brute d’imposition sont chacun pris en considération à raison de 50%.

La répartition des contributions communales et des communautés de commune Chamousset en Lyonnais et des Hauts du Lyonnais s’applique à la charge nette du syndicat, lors du budget primitif, après prise en compte de toutes recettes du syndicat en provenance d’autres personnes morales et notamment celles provenant de contributions de l’Etat, du Département et de la Région.

Article 9 : Règlement intérieur

Le règlement intérieur précisera les modalités de fonctionnement du syndicat dans le cadre des dispositions législatives et réglementaires en vigueur ainsi que des présents statuts.

Article 10 : Receveur

Les fonctions de receveur syndical seront exercées par le trésorier désigné par le Préfet sur proposition du directeur régional des finances publiques de la région Rhône-Alpes et du département du Rhône.

Article 11 : Modifications statutaires

La modification des compétences, du périmètre ou de l'organisation du syndicat intervient dans les conditions prévues par le CGCT.

Article 12 : Dissolution

La dissolution du syndicat mixte pourra intervenir dans les conditions fixées par le CGCT."

Article 2 : Les secrétaires généraux de la préfecture du Rhône et de la Loire, le directeur régional des finances publiques de la région Rhône-Alpes et du département du Rhône, le président du syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais, les maires et présidents des communes et EPCI membres du syndicat sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs des préfectures du Rhône et de la Loire.

Fait à Lyon, le 11 août 2011 Fait à Saint-Etienne, le 2 août 2011 Le préfet du Rhône, Le préfet de la Loire, Pour le préfet, Pour le préfet et par délégation la Secrétaire Générale Adjointe le Secrétaire Général Signée : Marie-Thérèse DELAUNAY Signé : Patrick FERIN

193 194 III- ACTES DES AUTRES AUTORITES

195 PREFECTURE DU PUY DE DOME

ARRÊTÉ N°11/01717 DU 01/08/2011 PORTANT MODIFICATION DE LA COMPOSITION DE LA COMMISSION LOCALE DE L’EAU (CLE) DU SCHÉMA D'AMÉNAGEMENT ET DE GESTION DES EAUX (SAGE) DE LA DORE Le Préfet de la région Auvergne Préfet du Puy-de-Dôme Chevalier de la Légion d'honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

VU le code de l’environnemment et notamment ses articles L 212-3 et suivants et R 212-26 et suivants ; VU la circulaire ministérielle du 21 avril 2008 relative aux schémas d’aménagement et de gestion des eaux ; VU l’arrêté préfectoral n° 08/03358 du 30 septembre 2008 portant modification de la composition de la Commission Locale de l'Eau (CLE) du Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la Dore ; VU l'arrêté préfectoral n° 11/01047 du 29 avril 2011 portant modification de la composition de cette commission ; VU l'arrêté préfectoral n° 11/01109 du 9 mai 2011 portant modification de la composition de cette commission ; VU la désignation par l'Association des Maires du Puy-de-Dôme, le 16 juin 2011, de M. Jean-Noël SERIN, Maire de Courpière, pour siéger au sein de la Commission Locale de l'Eau du SAGE de la Dore en remplacement de M. Florent MONNEYRON, Maire de Peschadoires ; CONSIDERANT qu'il est nécessaire de modifier à nouveau l'arrêté préfectoral susvisé du 30 septembre 2008 et d'abroger l'arrêté préfectoral susvisé du 9 mai 2011 ; SUR PROPOSITION du Secrétaire Général de la Préfecture du Puy-de-Dôme :

A R R E T E

Article 1 er : L’article 2 de l'arrêté préfectoral susvisé du 30 septembre 2008 est modifié comme suit :

1)- Collège des représentants des collectivités territoriales, de leurs groupements et des établissements publics locaux :

ORGANISME TITULAIRE SUPPLEANT Commune du Puy-de-Dôme désignée M. Jean-Noël SERIN, Maire de Pas de suppléant. par l'Association des Maires du Puy-de- Courpière remplace M. Florent Possibilité de donner mandat à Dôme MONNEYRON, Maire de un autre membre du même Peschadoires collège.

2)- Collège des représentants des usagers, des propriétaires fonciers, des organisations professionnelles et des associations concernées :

ORGANISME REPRESENTE PAR Chambre de Commerce et d'Industrie du Puy-de-Dôme Le Président ou son représentant. – Délégation de Thiers et Ambert

Article 2 : Larrêté préfectoral susvisé n° 11/01109 du 9 mai 2011 est abrogé.

Article 3 : Le présent arrêté sera publié au Recueil des actes administratifs des préfectures de la Loire, de la Haute- Loire et du Puy-de-Dôme.

Cette publication mentionnera le site internet : www.puy-de-dome.gouv.fr où la liste des membres peut être consultée.

Article 4 : Les Secrétaires généraux des préfectures de la Loire, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera adressé à chaque membre de la commission locale de l’eau. Fait à CLERMONT-FERRAND, le 1er août 2011 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général suppléant, signé Jean-Yves LALLART

196 RESEAU FERRE DE FRANCE

DECISION DE DECLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC EN DATE DU 07/07/2011 (établie en deux exemplaires originaux) Le Président du Conseil d’Administration

Vu le code des transports ; Vu la loi n°97-135 du 13 février 1997 modifiée portant création de l’établissement public “ Réseau Ferré de France ” en vue du renouveau du transport ferroviaire, et notamment son article 5 ; Vu le code général de la propriété des personnes publiques, et notamment son article L. 2141-1, Vu le décret n°97-444 du 5 mai 1997 modifié relatif aux missions et aux statuts de Réseau Ferré de France, et notamment son article 39 ; Vu le décret n°97-445 du 5 mai 1997 portant constitution du patrimoine initial de l’établissement public Réseau Ferré de France ; Vu le décret du 7 septembre 2007 portant nomination du Président de Réseau Ferré de France ; Vu la délibération du conseil d’administration de Réseau ferré de France en date du 29 novembre 2007 portant délégation de pouvoirs au président et fixant les conditions générales des délégations au sein de l’établissement ; Vu la décision du 21 septembre 2009 portant organisation générale de Réseau ferré de France ; Vu la décision du 7 janvier 2008 portant délégation de pouvoirs au Directeur Régional Rhône Alpes Auvergne ; Vu la décision du 8 juin 2009 portant nomination de Monsieur Bruno FLOURENS en qualité de Directeur Régional Rhône Alpes Auvergne ; Vu la décision du 1er juillet 2009 portant délégation de signature de Monsieur Bruno FLOURENS en qualité de Directeur Régional Rhône-Alpes Auvergne au profit de Monsieur Patrice VIVIEN en qualité de chef du service aménagement et patrimoine Considérant que le bien n’est plus affecté à un service public ou à l’usage direct du public,

DECIDE :

ARTICLE 1er Le terrain (nu ou bâti) sis à Le Chambon-Feugerolles (Loire) tel qu’il apparaît dans le tableau ci-dessous et sur le plan joint à la présente décision figurant sous teinte jaune, est déclassé du domaine public ferroviaire.

Code INSEE Références cadastrales Lieu-dit Surface (m²) Commune Section Numéro 42044 Avenue A Citroen AX 250p 222

TOTAL 222

Les parcelles de terrain sises à Le Chambon-Feugerolles (Loire) Lieudit Avenue A Citroen, et le volume de sursol dépendant d’un état descriptif de division en volume par le cabinet de géomètres-Experts T. de Ceraines, tels que définis dans le tableau ci-dessous et figurant sur le plan en jaune*, joint à la présente décision, sont déclassés du domaine public ferroviaire.

Références cadastrales terrain Code INSEE d’assiette Lieu-dit Nature du bien Surface Commune Section Numéro

Avenue A 42044 AX 250p Volume 1 198 Citroen

TOTAL 198

197 ARTICLE 2 La présente décision sera affichée en mairie de Le Chambon-Feugerolles et publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Montbrison (1793) puis St-Étienne ainsi qu’au Bulletin Officiel de Réseau Ferré de France consultable sur son site Internet (http://www.rff.fr/).

Fait à Lyon, le 7 juillet 2011 Pour Le Directeur régional Rhône Alpes Auvergne et par délégation, Le Chef du Service Aménagement et Patrimoine Patrice VIVIEN

* Ce plan, ainsi que les éventuelles annexes à la présente décision peuvent être consultés sur place auprès de la direction régionale Rhône Alpes Auvergne de Réseau Ferré de France, 78 rue de la Villette 69425 LYON Cedex 03 et auprès d’ADYAL Agence de Lyon 109 rue Tête d'Or 69006 LYON.

***************

DECISION DE DECLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC EN DATE DU 07/07/2011 (établie en deux exemplaires originaux) Le Président du Conseil d’Administration

Vu le code des transports ; Vu la loi n°97-135 du 13 février 1997 modifiée portant création de l’établissement public “ Réseau Ferré de France ” en vue du renouveau du transport ferroviaire, et notamment son article 5 ; Vu le code général de la propriété des personnes publiques, et notamment son article L. 2141-1, Vu le décret n°97-444 du 5 mai 1997 modifié relatif aux missions et aux statuts de Réseau Ferré de France, et notamment son article 39 ; Vu le décret n°97-445 du 5 mai 1997 portant constitution du patrimoine initial de l’établissement public Réseau Ferré de France ; Vu le décret du 7 septembre 2007 portant nomination du Président de Réseau Ferré de France ; Vu la délibération du conseil d’administration de Réseau ferré de France en date du 29 novembre 2007 portant délégation de pouvoirs au président et fixant les conditions générales des délégations au sein de l’établissement ; Vu la décision du 21 septembre 2009 portant organisation générale de Réseau ferré de France ; Vu la décision du 7 janvier 2008 portant délégation de pouvoirs au Directeur Régional Rhône Alpes Auvergne ; Vu la décision du 8 juin 2009 portant nomination de Monsieur Bruno FLOURENS en qualité de Directeur Régional Rhône Alpes Auvergne ; Vu la décision du 1er juillet 2009 portant délégation de signature de Monsieur Bruno FLOURENS en qualité de Directeur Régional Rhône-Alpes Auvergne au profit de Monsieur Patrice VIVIEN en qualité de chef du service aménagement et patrimoine Considérant que le bien n’est plus affecté à un service public ou à l’usage direct du public,

DECIDE :

ARTICLE 1er Le terrain (nu ou bâti) sis à Sail-sous-Couzan (Loire) tel qu’il apparaît dans le tableau ci-dessous et sur le plan joint à la présente décision figurant sous teinte jaune*, est déclassé du domaine public ferroviaire.

Références cadastrales Code INSEE Lieu-dit Surface (m²) Commune Section Numéro

42195 LA GARE 0A 1067p 11262

TOTAL 11262

198 ARTICLE 2 La présente décision sera affichée en mairie de SAIL-SOUS-COUZAN et publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Montbrison (1793) puis St-Étienne ainsi qu’au Bulletin Officiel de Réseau Ferré de France consultable sur son site Internet (http://www.rff.fr/).

Fait à Lyon, le 7 juillet 2011 Pour Le Directeur régional Rhône Alpes Auvergne et par délégation, Le Chef du Service Aménagement et Patrimoine Patrice VIVIEN

* Ce plan, ainsi que les éventuelles annexes à la présente décision peuvent être consultés sur place auprès de la direction régionale Rhône Alpes Auvergne de Réseau Ferré de France, 78 rue de la Villette 69425 LYON Cedex 03 et auprès d’ADYAL Agence de Lyon 109 rue Tête d'Or 69006 LYON.

**************

DECISION DE DECLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC AFFECTANT LA CONSISTANCE DU RESEAU EN DATE DU 26/08/2011 (établie en deux exemplaires originaux) Le Président du Conseil d’Administration

Vu le code des transports ; Vu la loi n°97-135 du 13 février 1997 modifiée portant création de l’établissement public “ Réseau Ferré de France ” en vue du renouveau du transport ferroviaire, et notamment son article 5 ; Vu le code général de la propriété des personnes publiques, et notamment son article L. 2141-1, Vu le décret n°97-444 du 5 mai 1997 modifié relatif aux missions et aux statuts de Réseau Ferré de France, et notamment son article 39 ; Vu le décret n°97-445 du 5 mai 1997 portant constitution du patrimoine initial de l’établissement public Réseau Ferré de France ; Vu le décret du 7 septembre 2007 portant nomination du Président de Réseau Ferré de France ; Vu la délibération du conseil d’administration de Réseau ferré de France en date du 29 novembre 2007 portant délégation de pouvoirs au président et fixant les conditions générales des délégations au sein de l’établissement ; Vu la décision du 21 septembre 2009 portant organisation générale de Réseau ferré de France ; Vu la décision du 7 janvier 2008 portant délégation de pouvoirs au Directeur Régional Rhône Alpes Auvergne ; Vu la décision du 8 juin 2009 portant nomination de Monsieur Bruno FLOURENS en qualité de Directeur Régional Rhône Alpes Auvergne ; Vu la décision du 1er juillet 2009 portant délégation de signature de Monsieur Bruno FLOURENS en qualité de Directeur Régional Rhône-Alpes Auvergne au profit de Monsieur Patrice VIVIEN en qualité de chef du service aménagement et patrimoine L’autorisation de fermeture du ministre date de moins de 5 ans Vu l’autorisation du ministre chargé des transports en date du 19/03/2010, de fermer la section sans maintien de la voie comprise entre les PK 0,260 et PK 4,650 de la ligne Ligne de Bonson à Sembadel valant autorisation de procéder au déclassement des biens constitutifs de l’infrastructure de cette ligne, Vu la décision de fermeture de la section comprise entre les PK 0,260 et PK 4,650 de la ligne Ligne de Bonson à Sembadel prononcée par le conseil d’administration du 15/04/2010 publiée le N/C au Bulletin Officiel de RFF et au Recueil des Actes Administratifs de la préfecture, Considérant que le bien n’est plus affecté à un service public ou à l’usage direct du public.

DECIDE :

ARTICLE 1er Les terrains sis à Saint-Marcellin-En-Forez, Bonson et Sury-le-Comtal (Loire) tels qu’ils apparaissent dans le tableau ci-dessous et sur les plans joints à la présente décision figurant sous teinte bleus* sont déclassés du domaine public ferroviaire.

199 Références cadastrales Code INSEE Commune Lieu-dit Surface (m²) Section Numéro 42256 – Saint-Marcellin-en- AUX PLANTEES AS 0073 3966 Forez 42256 – Saint-Marcellin-en- AUX PLANTEES AT 0036 7800 Forez 42022 - Bonson LES PLAINES AT 0027 7983

42304 – Suryl-le-Comtal LA PETITE PLAINE BL 0205 6820 42256 – Saint-Marcellin-en- AO 0064 836 Forez 42256 – Saint-Marcellin-en- AO 0066 1190 Forez 42256 – Saint-Marcellin-en- AO 0068 4455 Forez 42256 – Saint-Marcellin-en- LES FARGES AR 0005 2700 Forez 42256 – Saint-Marcellin-en- LES FARGES AR 0006 41 Forez 42256 – Saint-Marcellin-en- CUSSET AR 0029 2122 Forez 42256 – Saint-Marcellin-en- CUSSET AS 0010 2079 Forez TOTAL 39992

Conformément à l’article 49 du décret n° 97-444 modifié précité, la section de ligne 795000 du PK 0,260 au PK 4,650 ne fait plus partie du réseau ferré national.

ARTICLE 2 La présente décision, dont une copie est adressée au Ministre chargé des Transports, sera affichée en mairie de BONSON et publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Montbrison (1793) puis St-Étienne ainsi qu’au Bulletin Officiel de Réseau Ferré de France consultable sur son site Internet (http://www.rff.fr/).

Fait à Lyon, le 26 août 2011 Pour Le Directeur régional Rhône Alpes Auvergne et par délégation, Le Chef du Service Aménagement et Patrimoine Patrice VIVIEN

* Ce plan, ainsi que les éventuelles annexes à la présente décision peuvent être consultés sur place auprès de la direction régionale Rhône Alpes Auvergne de Réseau Ferré de France, 78 rue de la Villette 69425 LYON Cedex 03 et auprès d’ADYAL Agence de Lyon 109 rue Tête d'Or 69006 LYON.

200 DIRECTION INTERDÉPARTEMENTALE DES ROUTES CENTRE-EST SERVICE RÉGIONAL D'EXPLOITATION DE MOULINS

ARRETÉ N° 2011-M-42-062 DU 18/08/2011 PORTANT RÉGLEMENTATION TEMPORAIRE DE LA CIRCULATION - TRAVAUX DE RÉFECTION DE JOINTS DE CHAUSSÉE DES OA SUR LE PONT DU CANAL ET LE PONT SUR LE RHINS RN7 DANS LES DEUX SENS DU PR 31+920 AU PR 33+250 COMMUNE DE ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

VU le code de la Route, VU le code de la voirie routière, VU le code général des collectivités territoriales VU l’arrêté interministériel du 24 novembre 1967 modifié relatif à la signalisation des routes et autoroutes, Vu l'arrêté du 6 novembre 1992 modifié approuvant les nouvelles dispositions du livre I de l'instruction interministérielle sur la signalisation routière (huitième partie), VU l'arrêté préfectoral n°11-22 du 10 février 2011 portant délégation de signature à monsieur le Directeur interdépartemental des Routes Centre-Est, VU la circulaire n°96-14 du 6 février 1996 relative à l'exploitation sous chantier, VU la circulaire du 3 janvier 2011 relative au calendrier des jours « hors chantier » pour l'année 2011, VU le dossier d'exploitation présenté par le District de Moulins le 05 aout 2011, VU l'avis favorable du président du conseil général en date du 11 aout 2011, VU l'avis favorable du maire de Mably en date du 08 aout 2011, VU l'avis favorable du maire de Riorges en date du 08 aout 2011, VU l'avis réputé favorable du maire de Roanne VU l'avis réputé favorable du maire de Le Coteau VU l'avis réputé favorable du maire de Saint Cyr de Favières Considérant que pendant les travaux de réfection des joints de chaussée des ouvrages d'art pont sur la Loire et le pont sur le Rhins sur la RN7, du PR 31+920 au PR 33+250 dans les deux sens, commune de Roanne, il y a lieu de réglementer la circulation afin de prévenir tout risque d'accident, de faciliter la bonne exécution des travaux et d'assurer un écoulement satisfaisant du trafic, Considérant que la section concernée par les travaux est située en agglomération, Sur proposition de Monsieur le Directeur interdépartemental des routes Centre-Est,

ARRÊTE

ARTICLE 1 - Pendant l'exécution des travaux sur la RN7, la circulation de tous les véhicules s’effectuera dans les conditions suivantes : Phase N°1, La circulation dans le sens Paris Lyon, s'effectuera sur la voie lente (neutralisation de la voie rapide), puis sera basculée sur la voie rapide de la chaussée opposée au PR 31+920 jusqu'au PR 33+250. La circulation dans le sens Lyon Paris s'effectuera sur la voie lente.

Phase N°2, La circulation dans le sens Lyon Paris, s'effectuera sur la voie lente (neutralisation de la voie rapide), puis sera basculée sur la voie rapide de la chaussée opposée au PR 33+250 jusqu'au PR 31+920. La circulation dans le sens Paris Lyon s'effectuera sur la voie lente. – neutralisation de la voie rapide sur la voie lente puis inversement selon l'avancement des travaux – la circulation s'effectuera sur une seule voie par basculement de chaussée – au droit du chantier, tout dépassement sera interdit, la vitesse sera limitée à 70 km/h et au droit des zones de basculement à 50 km/h

Une déviation à l'attention des usagers dont la largeur des véhicules excède 3,50 mètres sera mise en place par le CEI de Roanne :

201 Dans les deux sens, la circulation de tous les véhicules de plus de 3,50 mètres de large sera interdite pendant la durée des travaux et sera déviée par le giratoire de la demi-lieu, la RD207 (traversée des communes de Mably, Riorges et Roanne), l'avenue de la libération (commune de le Coteau), la RD207 et la RD9 (commune de Saint-Cyr de Favières).

ARTICLE 2 - Les dispositions du présent arrêté s'appliqueront du 05 septembre 2011 au 23 septembre 2011, la durée des travaux n’excédant pas 12 jours sur cette période. La circulation sera rétablie du vendredi soir au lundi matin.

Si les travaux ne sont pas terminés à la période ci-avant définie, un arrêté prolongeant le délai devra être établi.

ARTICLE 3 - Certaines phases préparatoires ou de mise en place de la signalisation du chantier pourront nécessiter des réductions momentanées de chaussée ou des interruptions courtes de circulation.

ARTICLE 4 - Sur le parcours des sections soumises à ces restrictions provisoires, les conducteurs des véhicules devront le cas échéant, se conformer aux indications des forces de l'ordre et des agents de la Direction Interdépartementale des Routes Centre-Est, tant en ce qui concerne le trajet à suivre que l'arrêt s'il leur est prescrit. ARTICLE 5 - Le passage de convois exceptionnels de grande largeur (supérieure à 3,50 m) empruntera l'itinéraire de déviation mis en place à cet effet.

ARTICLE 6 - La signalisation temporaire réglementaire, conforme à l'instruction interministérielle (Livre I - 8ème partie) approuvée par arrêté interministériel le 6 novembre 1992 et aux manuels du chef de chantier, sera mise en mise en place par la DIR Centre-Est/SREX de Moulins/District de Moulins (CEI de Roanne), qui en assurera, sous sa responsabilité, le contrôle et la maintenance

ARTICLE 7 - Les infractions au présent arrêté seront constatées par procès-verbaux dressés par les Forces de l'ordre.

ARTICLE 8 - Lors de l'achèvement des travaux et avant le rétablissement normal de la circulation, la chaussée devra être propre et satisfaire aux conditions normales de sécurité.

ARTICLE 9 - Le présent arrêté sera affiché aux abords immédiats du chantier.

ARTICLE 10 - • Le Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Loire • Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Loire, • Le Chef du PC de Moulins de la DIR Centre-Est, • Le Chef du District de Moulins de la DIR Centre-Est et tous les agents de la Force Publique, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, dont copie sera adressée au :

• Préfet de la Loire, • Directeur Départemental des Territoires de la Loire, • Président du Conseil Général de la Loire • Monsieur le Directeur de l'entreprise • Maire de la Commune de Mably, • Maire de la Commune de Riorges, • Maire de la commune de Roanne, • Maire de la commune de Le Coteau, • Maire de la commune de Saint-Cyr de Favières, • Responsable de la division Transports du CRICR Rhône-Alpes Auvergne, • Chef du Service Régional d'Exploitation de Moulins de la DIR Centre-Est, • Chef du Service SES – Mission Politiques d'Exploitation de la DIR Centre-Est,

Moulins, le 18 août 2011 Pour le Préfet et par délégation, Pour le Directeur Interdépartemental des Routes Centre-Est et par délégation, L'ingénieur en Chef des Travaux Publics de l'État, Chef du Service Régional d'Exploitation de Moulins, Thierry MARQUET

202 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE SAINT-ETIENNE

DÉCISION N° 2011-01 DU 12/07/2011 PORTANT DÉLÉGATION DE SIGNATURE L’Administrateur du GCS BIHLSud,

Vu les articles L. 6133-1 à L. 6133-6 du code de la santé publique, Vu l’instruction codificatrice N° 02-060-M95 du 18 juillet 2002, Vu l’article 15.3 de la convention constitutive du GCS BIHLSud approuvée par le Directeur de l’ARH le 23 mars 2010

Décide :

Article 1

Délégation de signature est donnée à Monsieur Nicolas MEYNIEL, Directeur des Achats et de la Logistique au CHU de Saint-Etienne, dans la limite de ses attributions à l’effet de signer toutes décisions et correspondances relatives à : • La préparation et l’exécution des décisions de l’Assemblée Générale, • L’exécution du budget et les actes d’ordonnateur des recettes et des dépenses, • La représentation du groupement dans tous les actes de la vie civile et en justice, • La gestion courante du groupement • La coordination des comités et commissions spécifiques éventuellement mis en place, ✗ Les décisions organisant le travail des personnels sur les sites du GCS BIHLSud : Maison de Retraite Départementale de la Loire et la Bâtie, ✗ Les actes engageant le groupement dans ses rapports avec les tiers, ✗ La passation des marchés pour le compte du GCS BIHLSud

Article 2

Monsieur Nicolas MEYNIEL a délégation de signature pour gérer la trésorerie du GCS, notamment pour le placement auprès d’organismes financiers d’éventuels excédents budgétaires, excédents de trésorerie, subventions des financeurs publics, dons et legs d’organismes publics et privés dans les conditions prévues par la règlementation.

Article 3

En cas d’absence ou d’empêchement de Monsieur MEYNIEL, délégation est donnée à

➢ Monsieur René REYNAUD, ingénieur et Madame Françoise GALLOUL, adjoint des cadres hospitaliers à l’effet de signer, dans la limite de leurs attributions, les documents suivants :

• les bons de commande pour les dépenses d’exploitation relatives au fonctionnement du GCS BILHSud • les tableaux de service des agents affectés au GCS BILHSud • la certification de service fait pour ce secteur • les bordereaux journal des mandats et des titres de recettes

➢ Monsieur Christian BEYSSAC, technicien supérieur hospitalier, reçoit délégation à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions, les documents suivants :

• les bons de commande pour les dépenses d’exploitation relatives au fonctionnement du GCS BILHSud

203 Article 4

Les titulaires des délégations mentionnées ci-dessus rendent compte de leur gestion auprès de l’administrateur, conformément aux dispositions du règlement intérieur du GCS BIHLSud et à la législation en vigueur. Ils préparent l’information des membres de l’Assemblée Générale.

Fait à Saint-Etienne, le 12 juillet 2011 L’Administrateur du GCS Frédéric BOIRON

**************

DÉCISION N°2011-102 DU 02/08/2011 RELATIVE AUX TARIFS DE RESTAURATION (COMPLÉTANT LA DÉCISION 2011-02) Le Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne

VU le code de la santé publique et notamment son article L 6143-7 ; VU la décision n°2011-02 de Monsieur le Directeur Général du CHU fixant divers tarifs ;

DECIDE

ARTICLE 1

La décision n°2011-02 relative aux tarifs est complétée par les éléments suivants en matière de restauration :

Tarifs 2010 TARIFS 2011 Désignation Tarif HT Tarif TTC Tarif HT Tarif TTC Taux TVA Repas « extérieur », accompagnant, stagiaires sans convention, repas colloque pris au self (plateau complet + boisson + café) Ticket vert 7.60 8 5.5 7.82 8.25 5.5 Prix couvert pour agents CHU et stagiaires 0.35 0.37 5,5 0.36 0.38 5,5 sous convention de longue durée(*) Prix couverts pour élèves CHU, stagiaires 0.35 0.35 Exonéré 0.36 0.36 Exonéré des écoles 2ème repas sur badge, Oubli de badge (et situations particulières à la discrétion des directeurs de site Ticket bleu 5.22 5.50 5,5 5.37 5.70 5,5 Repas astreinte (livré en service) et repas forfaitisé avec choix servi au self pour agents CHU et stagiaires sous convention de longue durée(*) Ticket jaune 4,37 4,61 5,5 4.50 4.75 5,5 Droit d’entrée pour structures associées au 2.10 2.22 5,5 2.16 2.28 5,5 CHU (TP, EFS, GIP, MAS, FAC…). Coût d’un badge perte ou vol ou pour 8,55 8.80 structure extérieure

(*) Stagiaires avec convention au tarif agent CHU : Etudiants en médecine, Manipulateurs radios, Elèves Infirmières, Kinésithérapeutes, Aides-Soignantes, Laborantins, Aides Puéricultrices, Sages-femmes, Infirmière de Bloc Opératoire, Préparateurs en pharmacie, Cadres Infirmiers, Cuisiniers

204 Tarif 2010 TTC Tarif 2011 TTC Agents CHU Agents CHU et Tarif HT 2010 Tarif HT et assimilés et Elèves assimilés et Elèves agents agents extérieurs extérieurs Taux de Exonéré 0 % 5.5 % Exonéré 0 % 5.5 % TVA 0,39 0,39 0,41 0.40 0.40 0.42 0,54 0,54 0,57 0.56 0.56 0.59 Entrées 0,63 0,63 0,66 0.65 0.65 0.69 0,88 0,86 0,93 0.91 0.91 0.96 1,06 1,06 1,12 1.09 1.09 1.15 0,88 0,88 0,90 0.91 0.91 0.96 1,10 1,10 1,16 1.13 1.13 1.19 Omelettes et 1,32 1,32 1,39 1.36 1.36 1.43 viandes 1,62 1,62 1,71 1.67 1.67 1.76 2,09 2,09 2,21 2.15 2.15 2.27 2,66 2,66 2,81 2.74 2.74 2.89 0,54 0,54 0,57 0.56 0.56 0.59 Légumes 0,73 0,73 0,77 0.75 0.75 0.79 0,31 0,31 0,33 0.32 0.32 0.34 Fromages 0,41 0,41 0,43 0.42 0.42 0.44 0,94 0,94 0,99 0.97 0.97 1.02 0,39 0,39 0,41 0.40 0.40 0.42 0,77 0,77 0,81 0.79 0.79 0.83 Desserts 0,50 0,50 0,52 0.51 0.51 0.54 0,88 0,88 0,93 0.91 0.91 0.96 0,50 0,50 0,52 0.51 0.51 0.54 Boissons 0,56 0,56 0,59 0.58 0.58 0.61 1,02 1,02 1,08 1.05 1.05 1.11 Café 0,30 0,30 0,31 0.31 0.31 0.33 0,13 0,13 0,14 0.13 0.13 0.14 Pain - - - 0.19 0.19 0.20 0,30 0,30 0,31 0.31 0.31 0.33

PRESTATION TRAITEUR Numéro à reporter sur la Type de Contenu détaillé Tarif TTC fiche de prestation commande

1 Café simple Thé et café seuls, apportés mais sans service. 0,62 €

Café simple avec 2 Thé et café seuls, apportés et servis. 1,20 € service Thé, café, jus de fruits et eau minérale 3 Café/biscuits Assortiment de biscuits secs (3/personne) 1,60 € Apporté mais non servi. Thé, café, jus de fruits et eau minérale Café/biscuits 4 Assortiment de biscuits secs (3/personne) 2,10 € Avec service Apporté et servi. Thé, café, jus de fruits et eau minérale Café 5 Assortiment de viennoiseries (2/personne) 2,37 € Viennoiseries Apporté mais non servi.

205 Café Thé, café, jus de fruits et eau minérale 6 Viennoiseries Assortiment de viennoiseries (2/personne) 3,08 € Avec service Apporté et servi. Assortiment de biscuits secs (3/personne) 7 Collation Jus de fruits, sodas et eaux 1,60 € Apportée mais non servie. Assortiment de biscuits secs (3/personne) Collation 8 Jus de fruits, sodas et eaux 2,10 € Avec service Apportée et servie. Assortiment de gâteaux (3/personne) Collation 2,70 € 9 Jus de fruits, sodas et eaux soignée* 3,80* € Apportée mais non servie. Collation Assortiment de gâteaux (3/personne) 3,40 € 10 soignée* avec Jus de fruits, sodas et eaux 4,60* € service Apportée et servie. Jus de fruits, eaux 2,70 € 11 Apéritif* Biscuits secs, cacahuètes, olives 3,80* € Mis en place mais non servi. Jus de fruits, eaux Apéritif* 3,40 € 12 Biscuits secs, cacahuètes, olives servi 4,60* € Amené et servi. Jus de fruits, eaux Cocktail* Biscuits secs, cacahuètes, olives 5,50 € 13 dînatoire 5 canapés salés et 5 canapés sucrés par personne. 7,10* € Mis en place mais non servi. Jus de fruits, eaux Cocktail* Biscuits secs, cacahuètes, olives 6,80 € 14 dînatoire 5 canapés salés et 5 canapés sucrés par personne. 10,80* € Servi Amené et servi. Buffet debout composé de charcuteries, fromages Buffet* debout et sandwiches et d’un assortiment de mignardises 9,50 € 15 Campagnard sucrées. 10,80* € Servi Jus de fruits. Apporté et servi. Buffet debout, composition sur propositions Buffet* debout 15,80 € 16 (brochettes de fruits, poissons fumés, etc.…) Prestige 18,20* € Apporté et servi. Plateau repas Un plateau repas composé d’une entrée, d’une froid assiette fraîcheur à la viande, d’un laitage et d’un 17 7,82 € « Standard » dessert selon le menu du jour. Viande Boissons* servies séparément Plateau repas Un plateau repas composé d’une entrée, d’une froid assiette fraîcheur au poisson, d’un laitage et d’un 18 7,82 € « Standard » dessert selon le menu du jour. Poisson Boissons* servies séparément. Un plateau repas composé d’une entrée élaborée, Plateau repas d’une assiette de viande froide et garniture, d’un froid 19 laitage et d’un dessert, selon les produits frais du 8,80 € « Supérieur » marché. Viande Boissons* servies séparément. Un plateau repas composé d’une entrée, d’une Plateau repas assiette de poisson froid ou fumé garnie, d’un froid 20 laitage et d’un dessert selon les produits frais du 8,80 € « Supérieur » marché Poisson Boissons* servies séparément. Gâteau Gâteau, jus de fruits et sodas 4,73 € 21 d’anniversaire* Apporté mais non servi. 5,94* € 22 Gâteau Gâteau, jus de fruits et sodas 5,45 € d’anniversaire* Apporté et servi. 6,71* €

206 Avec service Menu du jour* 7,82 € 23 Selon le menu, repas servi à table. servi à l’assiette 10,80* € Composition à définir, menu servi à table sur la base de : Menu Entrée froide ou chaude Sur devis 24 gastronomique* Poisson ou viande Selon menu servi à l’assiette Plateau de fromages Dessert

* Dans le cadre de la prévention des risques liés à l'alcool, les prestations proposées sont servies sans boissons alcoolisées. Sur demande dûment justifiée, des boissons alcoolisées (crémant, vin, …) peuvent toutefois être demandées.

 Extérieur consulter le service restauration pour devis.

ARTICLE 2 Les tarifs indiqués dans la présente décision sont applicables à compter du 15 août 2011.

ARTICLE 3 Monsieur le Directeur des Affaires Financières et de la contractualisation est chargé de l’application de la présente décision, qui fera en outre l’objet d’une publication au recueil des actes administratifs du Département.

Fait à Saint-Etienne le 2 août 2011 Le Directeur Général Et par délégation, Le Directeur des Affaires Financières R. BOURRET

**************

DECISION N°2011-103 DU 02/08/2011 RELATIVE AUX TARIFS DE MEDECINE LEGALE ET SERVICE MORTUAIRE (Complétant la décision 2011-02) Le Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne

VU le code de la santé publique et notamment son article L 6143-7 ; VU la décision n°2011-02 de Monsieur le Directeur Général fixant divers tarifs ;

DECIDE

ARTICLE 1

La décision n°2011-02 susmentionnée est complétée de la manière suivante, concernant les tarifs pour transport de corps à la demande de la famille entre l’hôpital Nord et l’hôpital Bellevue :

Tarifs 2010 Tarifs 2011

Tarifs journalier des chambres mortuaires (au-delà de 3 jours) 52 € 53,50 € Tarif de la location de la salle pour les soins des thanatopracteurs 52 € 53,50 € Tarif de la location de la salle pour toilette mortuaire - 50 € Tarif de la location de la salle pour les autopsies 150 € 154 € Tarif de la location de la salle pour les examens de corps 70 € 72 € Tarif pour transfert de corps à la demande de la famille entre l’hôpital - 150 € Nord et l’hôpital Bellevue

207 ARTICLE 2 Ce tarif supplémentaire (dernière ligne du tableau ci-dessus) est applicable à compter du 15 août 2011 ; les autres lignes tarifaires demeurant inchangées.

ARTICLE 3 Monsieur le Directeur des Affaires Financières et de la contractualisation est chargé de l’application de la présente décision, qui fera en outre l’objet d’une publication au recueil des actes administratifs du Département.

Fait à Saint-Etienne le 2 août 2011 Po/ Le Directeur Général Et par délégation, Le Directeur des Affaires Financières R. BOURRET

DIRECTION INTERREGIONALE DE LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE CENTRE-EST

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DE L’ÉTABLISSEMENT « ALTERNATIVE » IMPLANTÉ 42430 CHAMPOLY Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L.312-1, L.313-1 et suivants et R.313-1 et suivants relatifs aux établissements sociaux et médico-sociaux ; Vu les articles 375 à 375-8 du code civil relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ; Vu le décret n° 88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution des mesures les concernant ; Vu le décret n°2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; Vu l’arrêté préfectoral n°92.188 en date 3 mars 1992 portant renouvellement d’habilitation justice de l’établissement « Alternative » ; Vu le projet stratégique national de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 2008-2011 ; Vu le projet stratégique interrégional de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre Est 2010-2012 ; Considérant : - la décision de recentrer les prises en charge éducatives financées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse sur les mineurs délinquants, Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est ;

ARRETE

Article 1 er : L’établissement « Alternative » géré par l’Association Départementale de Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence de la Loire, sise 94 rue Gabriel Péri à ST ETIENNE (42100), habilité par l’arrêté du 3 mars 1992 susvisé à recevoir des mineur(e)s âgé(e)s de 14 à 18 ans confié(e)s par l’autorité judiciaire, au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil et de l’ordonnance du 2 février 1945, n’est plus habilité à recevoir des jeunes majeurs au titre du décret n°75-96 du 18 février 1975.

Article 2 : Le présent arrêté prend effet à compter de sa notification. La date d’échéance du renouvellement de l’habilitation demeure fixée par référence à la date de délivrance de l’habilitation en vigueur.

208 Article 3 : Tout projet modifiant la capacité ou le régime de fonctionnement de l'établissement, le lieu où il est implanté, les conditions d'éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doivent être portés à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse par la personne physique ou la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité.

Article 4 : Toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité doit être portée à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse. Doit être également notifié dans les mêmes conditions tout recrutement de personnel affecté dans l’établissement habilité.

Article 5 : Le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 6 : En application des dispositions des articles R312-1 et R 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l’objet : • d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département ou d’un recours hiérarchique devant le Ministre de l’Intérieur, de l’outre mer et des collectivités territoriales ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours hiérarchique, le délai de recours contentieux est prorogé.

Article 7 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la préfecture de la Loire et publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

***************

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU FOYER « L’ARC-EN-CIEL » IMPLANTÉ 675 ROUTE DES BOURDONNES – BP 804 GÉNILAC – 42808 RIVE DE GIER CEDEX Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L.312-1, L.313-1 et suivants et R.313-1 et suivants relatifs aux établissements sociaux et médico-sociaux ; Vu les articles 375 à 375-8 du code civil relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ; Vu le décret n°88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution des mesures les concernant ; Vu le décret n°2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; Vu l’arrêté préfectoral en date 28 septembre 2006 portant renouvellement d’habilitation justice du foyer « L’Arc-en- ciel » ; Vu le projet stratégique national de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 2008-2011 ; Vu le projet stratégique interrégional de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre Est 2010-2012 ; Considérant : - la décision de recentrer les prises en charge éducatives financées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse sur les mineurs délinquants, Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est ;

209 ARRETE

Article 1 er : Le foyer « L’Arc-en-ciel » géré par l’association Arc-en-ciel, sise à la même adresse, habilité par l’arrêté du 28 septembre 2006 susvisé à recevoir des mineur(e)s âgé(e)s de 6 à 18 ans confié(e)s par l’autorité judiciaire, au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil et de l’ordonnance du 2 février 1945, n’est plus habilité à recevoir des jeunes majeurs au titre du décret n°75-96 du 18 février 1975.

Article 2 : Le présent arrêté prend effet à compter de sa notification. La date d’échéance du renouvellement de l’habilitation demeure fixée par référence à la date de délivrance de l’habilitation en vigueur.

Article 3 : Tout projet modifiant la capacité ou le régime de fonctionnement de l'établissement, le lieu où il est implanté, les conditions d'éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doivent être portés à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse par la personne physique ou la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité.

Article 4 : Toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité doit être portée à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse. Doit être également notifié dans les mêmes conditions tout recrutement de personnel affecté dans l’établissement habilité.

Article 5 : Le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 6 : En application des dispositions des articles R312-1 et R 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l’objet : • d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département ou d’un recours hiérarchique devant le Ministre de l’Intérieur, de l’outre mer et des collectivités territoriales ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours hiérarchique, le délai de recours contentieux est prorogé.

Article 7 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la préfecture de la Loire et publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

**************

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU FOYER « BEL-AIR » IMPLANTÉ 54 RUE MADIGNIER – 42100 ST ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L.312-1, L.313-1 et suivants et R.313-1 et suivants relatifs aux établissements sociaux et médico-sociaux ; Vu les articles 375 à 375-8 du code civil relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ; Vu le décret n°88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution des mesures les concernant ; Vu le décret n°2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; Vu l’arrêté préfectoral n°3/2009 en date 15 octobre 2009 portant renouvellement d’habilitation justice du foyer « Bel- Air » ;

210 Vu le projet stratégique national de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 2008-2011 ; Vu le projet stratégique interrégional de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre Est 2010-2012 ; Considérant : - la décision de recentrer les prises en charge éducatives financées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse sur les mineurs délinquants, Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est ;

ARRETE

Article 1 er : Le foyer « Bel-Air » géré par l’Association Départementale de Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence de la Loire, sise 94 rue Gabriel Péri à ST ETIENNE (42100), habilité par l’arrêté du 15 octobre 2009 susvisé à recevoir des mineur(e)s âgé(e)s de 13 à 18 ans confié(e)s par l’autorité judiciaire, au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil et de l’ordonnance du 2 février 1945, n’est plus habilité à recevoir des jeunes majeurs au titre du décret n°75-96 du 18 février 1975.

Article 2 : Le présent arrêté prend effet à compter de sa notification. La date d’échéance du renouvellement de l’habilitation demeure fixée par référence à la date de délivrance de l’habilitation en vigueur.

Article 3 : Tout projet modifiant la capacité ou le régime de fonctionnement de l'établissement, le lieu où il est implanté, les conditions d'éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doivent être portés à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse par la personne physique ou la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité.

Article 4 : Toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité doit être portée à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse. Doit être également notifié dans les mêmes conditions tout recrutement de personnel affecté dans l’établissement habilité.

Article 5 : Le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 6 : En application des dispositions des articles R312-1 et R 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l’objet : • d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département ou d’un recours hiérarchique devant le Ministre de l’Intérieur, de l’outre mer et des collectivités territoriales ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours hiérarchique, le délai de recours contentieux est prorogé.

Article 7 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la préfecture de la Loire et publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

***************

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU FOYER EDUCATIF IMPLANTÉ 13 BD DE BELGIQUE – 42300 ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L.312-1, L.313-1 et suivants et R.313-1 et suivants relatifs aux établissements sociaux et médico-sociaux ; Vu les articles 375 à 375-8 du code civil relatifs à l’assistance éducative ;

211 Vu l’ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ; Vu le décret n°88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution des mesures les concernant; Vu le décret n°2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; Vu l’arrêté préfectoral en date 19 juin 2008 portant renouvellement d’habilitation justice du Foyer Educatif ; Vu le projet stratégique national de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 2008-2011 ; Vu le projet stratégique interrégional de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre Est 2010-2012 ; Considérant : - la décision de recentrer les prises en charge éducatives financées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse sur les mineurs délinquants, Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est ;

ARRETE

Article 1 er : Le Foyer Educatif géré par l’Association ANEF Loire, sise 67 rue de Terrenoire à ST ETIENNE (42100), habilité par l’arrêté du 19 juin 2008 susvisé à recevoir des mineur(e)s âgé(e)s de 15 à 18 ans confié(e)s par l’autorité judiciaire, au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil et de l’ordonnance du 2 février 1945, n’est plus habilité à recevoir des jeunes majeurs au titre du décret n°75-96 du 18 février 1975.

Article 2 : Le présent arrêté prend effet à compter de sa notification. La date d’échéance du renouvellement de l’habilitation demeure fixée par référence à la date de délivrance de l’habilitation en vigueur.

Article 3 : Tout projet modifiant la capacité ou le régime de fonctionnement de l'établissement, le lieu où il est implanté, les conditions d'éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doivent être portés à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse par la personne physique ou la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité.

Article 4 : Toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité doit être portée à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse. Doit être également notifié dans les mêmes conditions tout recrutement de personnel affecté dans l’établissement habilité.

Article 5 : Le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 6 : En application des dispositions des articles R312-1 et R 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l’objet : • d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département ou d’un recours hiérarchique devant le Ministre de l’Intérieur, de l’outre mer et des collectivités territoriales ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours hiérarchique, le délai de recours contentieux est prorogé.

Article 7 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la préfecture de la Loire et publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

***************

212 ARRÊTÉ PRÉFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU FOYER UNITÉ JEUNES MAJEURES (UJM) IMPLANTÉ 32 RUE DE LA CONVENTION – 42100 SAINT ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L.312-1, L.313-1 et suivants et R.313-1 et suivants relatifs aux établissements sociaux et médico-sociaux ; Vu les articles 375 à 375-8 du code civil relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ; Vu le décret n°88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution des mesures les concernant ; Vu le décret n°2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; Vu l’arrêté préfectoral n°98-979 en date 28 juillet 1998 portant renouvellement d’habilitation justice du foyer UJM ; Vu le projet stratégique national de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 2008-2011 ; Vu le projet stratégique interrégional de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre Est 2010-2012 ; Considérant : - la décision de recentrer les prises en charge éducatives financées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse sur les mineurs délinquants, Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est ;

ARRETE

Article 1 er : Le Foyer UJM géré par l’Association ANEF Loire, sise 67 rue de Terrenoire à ST ETIENNE (42100), habilité par l’arrêté du 28 juillet 1998 susvisé à recevoir des mineures âgées de 16 à 18 ans confiées par l’autorité judiciaire, au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil, n’est plus habilité à recevoir des jeunes majeurs au titre du décret n°75-96 du 18 février 1975.

Article 2 : Le présent arrêté prend effet à compter de sa notification. La date d’échéance du renouvellement de l’habilitation demeure fixée par référence à la date de délivrance de l’habilitation en vigueur.

Article 3 : Tout projet modifiant la capacité ou le régime de fonctionnement de l'établissement, le lieu où il est implanté, les conditions d'éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doivent être portés à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse par la personne physique ou la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité.

Article 4 : Toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire de l'établissement, du service ou de l'organisme habilité doit être portée à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse. Doit être également notifié dans les mêmes conditions tout recrutement de personnel affecté dans l’établissement habilité.

Article 5 : Le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 6 : En application des dispositions des articles R312-1 et R 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l’objet :

• d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département ou d’un recours hiérarchique devant le Ministre de l’Intérieur, de l’outre mer et des collectivités territoriales ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours hiérarchique, le délai de recours contentieux est prorogé.

213 Article 7 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la préfecture de la Loire et publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

**************

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DE LA MAISON D’ENFANTS À CARACTÈRE SOCIAL (MECS) « JB. D’ALLARD» IMPLANTÉE 4 RUE DU 8 MAI – 42600 MONTBRISON Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L.312-1, L.313-1 et suivants et R.313-1 et suivants relatifs aux établissements sociaux et médico-sociaux ; Vu les articles 375 à 375-8 du code civil relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ; Vu le décret n°88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution des mesures les concernant ; Vu le décret n°2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; Vu l’arrêté préfectoral n° 98-977 en date 28 juillet 1998 portant renouvellement d’habilitation justice de la MECS « JB. D’Allard » ; Vu le projet stratégique national de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 2008-2011 ; Vu le projet stratégique interrégional de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre Est 2010-2012 ; Considérant : - la décision de recentrer les prises en charge éducatives financées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse sur les mineurs délinquants, Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est ;

ARRETE

Article 1 er : La MECS « JB. D’Allard » gérée par l’association du même nom, sise à la même adresse, habilité par l’arrêté du 28 juillet 1998 susvisé à recevoir des mineur(e)s âgé(e)s de 6 à 18 ans confié(e)s par l’autorité judiciaire, au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil, n’est plus habilité à recevoir des jeunes majeurs au titre du décret n°75-96 du 18 février 1975.

Article 2 : Le présent arrêté prend effet à compter de sa notification. La date d’échéance du renouvellement de l’habilitation demeure fixée par référence à la date de délivrance de l’habilitation en vigueur.

Article 3 : Tout projet modifiant la capacité ou le régime de fonctionnement de l'établissement, le lieu où il est implanté, les conditions d'éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doivent être portés à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse par la personne physique ou la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité.

Article 4 : Toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire de l'établissement, du service ou de l'organisme habilité doit être portée à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse. Doit être également notifié dans les mêmes conditions tout recrutement de personnel affecté dans l’établissement habilité.

214 Article 5 : Le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 6 : En application des dispositions des articles R312-1 et R 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l’objet : • d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département ou d’un recours hiérarchique devant le Ministre de l’Intérieur, de l’outre mer et des collectivités territoriales ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours hiérarchique, le délai de recours contentieux est prorogé.

Article 7 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la préfecture de la Loire et publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

***************

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DE LA MAISON D’ENFANTS À CARACTÈRE SOCIAL (MECS) « LE MOLLARD » IMPLANTÉE 37 RUE FERDINAND BUISSON ET 34 RUE MARÉCHAL JUIN – BP 186 – 42801 RIVE DE GIER Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L.312-1, L.313-1 et suivants et R.313-1 et suivants relatifs aux établissements sociaux et médico-sociaux ; Vu les articles 375 à 375-8 du code civil relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ; Vu le décret n°88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution des mesures les concernant ; Vu le décret n°2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; Vu l’arrêté préfectoral n° 2/2009 en date du 1er juillet 2009 portant renouvellement d’habilitation justice de la MECS « Le Mollard » ; Vu le projet stratégique national de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 2008-2011 ; Vu le projet stratégique interrégional de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre Est 2010-2012 ; Considérant : - la décision de recentrer les prises en charge éducatives financées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse sur les mineurs délinquants, Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est ;

ARRETE

Article 1 er : La MECS « Le Mollard » gérée par l’association du même nom, sise au 37 rue Ferdinand Buisson à RIVE DE GIER (42800), habilité par l’arrêté du 1er juillet 2009 susvisé à recevoir des mineur(e)s âgé(e)s de 6 à 18 ans confié(e)s par l’autorité judiciaire, au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil et de l’ordonnance du 2 février 1945, n’est plus habilité à recevoir des jeunes majeurs au titre du décret n°75-96 du 18 février 1975.

Article 2 : Le présent arrêté prend effet à compter de sa notification. La date d’échéance du renouvellement de l’habilitation demeure fixée par référence à la date de délivrance de l’habilitation en vigueur.

Article 3 : Tout projet modifiant la capacité ou le régime de fonctionnement de l'établissement, le lieu où il est implanté, les conditions d'éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doivent être portés à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse par la personne physique ou la personne morale gestionnaire de l'établissement.

215 Article 4 : Toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire de l'établissement habilité doit être portée à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse. Doit être également notifié dans les mêmes conditions tout recrutement de personnel affecté dans l’établissement habilité.

Article 5 : Le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 6 : En application des dispositions des articles R312-1 et R 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l’objet : • d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département ou d’un recours administratif hiérarchique devant le Ministre de l’Intérieur, de l’outre mer et des collectivités territoriales ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours administratif, le délai de recours contentieux est prorogé.

Article 7 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la préfecture de la Loire et publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

**************

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU SERVICE D’ACTION EDUCATIVE EN MILIEU OUVERT (SAEMO) IMPLANTÉ 2 PLACE JEAN JAURÈS – 42000 ST ETIENNE ET 7 RUE F. POUTIGNAT – 42300 ROANNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L.312-1, L.313-1 et suivants et R.313-1 et suivants relatifs aux établissements sociaux et médico-sociaux ; Vu les articles 375 à 375-8 du code civil relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ; Vu le décret n°88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution des mesures les concernant ; Vu le décret n°2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; Vu l’arrêté préfectoral n°06.362 en date du 13 avril 2006 portant renouvellement d’habilitation justice du Service d’Action Educative en Milieu Ouvert ; Vu le projet stratégique national de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 2008-2011 ; Vu le projet stratégique interrégional de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre Est 2010-2012 ; Considérant : - la décision de recentrer les prises en charge éducatives financées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse sur les mineurs délinquants, Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est ;

ARRETE

Article 1 er : Le SAEMO géré par l’Association Départementale de Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence de la Loire, sise 94 rue Gabriel Péri à ST ETIENNE (42100), habilité par l’arrêté du 13 avril 2006 susvisé à recevoir des mineur(e)s dès la naissance jusqu’à 18 ans confié(e)s par l’autorité judiciaire, au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil, n’est plus habilité à recevoir des jeunes majeurs au titre du décret n°75-96 du 18 février 1975.

216 Article 2 : Le présent arrêté prend effet à compter de sa notification. La date d’échéance du renouvellement de l’habilitation demeure fixée par référence à la date de délivrance de l’habilitation en vigueur.

Article 3 : Tout projet modifiant la capacité ou le régime de fonctionnement du service, le lieu où il est implanté, les conditions d'éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doivent être portés à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse par la personne physique ou la personne morale gestionnaire du service habilité.

Article 4 : Toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire du service habilité doit être portée à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse. Doit être également notifié dans les mêmes conditions tout recrutement de personnel affecté dans le service habilité.

Article 5 : Le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 6 : En application des dispositions des articles R312-1 et R 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l’objet : • d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département ou d’un recours hiérarchique devant le Ministre de l’Intérieur, de l’outre mer et des collectivités territoriales ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours hiérarchique, le délai de recours contentieux est prorogé.

Article 7 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la préfecture de la Loire et publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

***************

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU SERVICE D’ACCUEIL ET D’ORIENTATION IMPLANTÉ 31 RUE ETIENNE MIMARD – 42100 SAINT ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L.312-1, L.313-1 et suivants et R.313-1 et suivants relatifs aux établissements sociaux et médico-sociaux ; Vu les articles 375 à 375-8 du code civil relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ; Vu le décret n°88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution des mesures les concernant ; Vu le décret n°2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; Vu l’arrêté préfectoral en date 2 juillet 2008 portant renouvellement d’habilitation justice du Service d’Accueil et d’Orientation ; Vu le projet stratégique national de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 2008-2011 ; Vu le projet stratégique interrégional de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre Est 2010-2012 ; Considérant : - la décision de recentrer les prises en charge éducatives financées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse sur les mineurs délinquants, Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est ;

217 ARRETE

Article 1 er : Le Service d’Accueil et d’Orientation géré par l’Association ANEF Loire, sise 67 rue de Terrenoire à ST ETIENNE (42100), habilité par l’arrêté du 2 juillet 2008 susvisé à recevoir des mineures âgées de 14 à 18 ans confiées par l’autorité judiciaire, au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil et de l’ordonnance du 2 février 1945, n’est plus habilité à recevoir des jeunes majeurs au titre du décret n°75-96 du 18 février 1975.

Article 2 : Le présent arrêté prend effet à compter de sa notification. La date d’échéance du renouvellement de l’habilitation demeure fixée par référence à la date de délivrance de l’habilitation en vigueur.

Article 3 : Tout projet modifiant la capacité ou le régime de fonctionnement du service, le lieux où il est implanté, les conditions d'éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doivent être portés à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse par la personne physique ou la personne morale gestionnaire du service habilité.

Article 4 : Toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire du service habilité doit être portée à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse. Doit être également notifié dans les mêmes conditions tout recrutement de personnel affecté dans le service habilité.

Article 5 : Le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 6 : En application des dispositions des articles R312-1 et R 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l’objet : • d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département ou d’un recours hiérarchique devant le Ministre de l’Intérieur, de l’outre mer et des collectivités territoriales ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours hiérarchique, le délai de recours contentieux est prorogé.

Article 7 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la préfecture de la Loire et publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

***************

ARRÊTÉ PREFECTORAL DU 18/07/2011 PORTANT MODIFICATION DE L’HABILITATION JUSTICE DU SERVICE EDUCATIF EN MILIEU OUVERT (SEMO) IMPLANTÉ 67 RUE DE TERRENOIRE – 42100 SAINT ETIENNE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L.312-1, L.313-1 et suivants et R.313-1 et suivants relatifs aux établissements sociaux et médico-sociaux ; Vu les articles 375 à 375-8 du code civil relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’ordonnance n°45-174 du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante ; Vu le décret n°88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution des mesures les concernant ; Vu le décret n°2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; Vu l’arrêté préfectoral en date 6 juin 2008 portant renouvellement d’habilitation justice du Service Educatif en Milieu Ouvert ; Vu le projet stratégique national de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 2008-2011 ; Vu le projet stratégique interrégional de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre Est 2010-2012 ;

218 Considérant : - la décision de recentrer les prises en charge éducatives financées par la Protection Judiciaire de la Jeunesse sur les mineurs délinquants, Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et de Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est ;

ARRETE

Article 1 er : Le SEMO géré par l’Association ANEF Loire, sise à la même adresse, habilité par l’arrêté du 6 juin 2008 susvisé à recevoir des mineur(e)s dès la naissance jusqu’à 18 ans confié(e)s par l’autorité judiciaire, au titre des articles 375 à 375-8 du Code Civil, n’est plus habilité à recevoir des jeunes majeurs au titre du décret n°75-96 du 18 février 1975.

Article 2 : Le présent arrêté prend effet à compter de sa notification. La date d’échéance du renouvellement de l’habilitation demeure fixée par référence à la date de délivrance de l’habilitation en vigueur.

Article 3 : Tout projet modifiant la capacité ou le régime de fonctionnement du service, le lieu où il est implanté, les conditions d'éducation et de séjour des mineurs confiés et, d'une manière générale, tout changement pouvant avoir une incidence sur la nature ou le champ d'application de l'habilitation accordée, doivent être portés à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse par la personne physique ou la personne morale gestionnaire du service habilité.

Article 4 : Toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire du service habilité doit être portée à la connaissance du directeur régional de la protection judiciaire de la jeunesse. Doit être également notifié dans les mêmes conditions tout recrutement de personnel affecté dans le service habilité.

Article 5 : Le préfet peut à tout moment retirer l'habilitation lorsque sont constatés des faits de nature à compromettre la mise en œuvre des mesures judiciaires ou à porter atteinte aux intérêts des mineurs confiés.

Article 6 : En application des dispositions des articles R312-1 et R 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication ou de sa notification, faire l’objet : • d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département ou d’un recours hiérarchique devant le Ministre de l’Intérieur, de l’outre mer et des collectivités territoriales ; • d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. En cas de recours hiérarchique, le délai de recours contentieux est prorogé.

Article 7 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire et Monsieur le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la préfecture de la Loire et publié au recueil des actes administratifs du département.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

***************

ARRÊTÉ DU 11/08/2011 PORTANT TARIFICATION 2011 DU CENTRE EDUCATIF RENFORCÉ « ITINÉRANCE » GÉRÉ PAR L’ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE DE SAUVEGARDE DE L’ENFANT À L’ADULTE (A.D.S.E.A.) Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles ; Vu l’ordonnance n° 45-1845 du 18 août 1945 relative au remboursement aux institutions privées des frais d'entretien et d'éducation des mineurs délinquants ; Vu le décret n° 2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services déconcentrés de la Protection Judiciaire de la Jeunesse.

219 Vu l’arrêté du Ministre de la Justice en date du 1er décembre 2005 relatif aux modes de tarification applicables aux prestations d’action éducative délivrées par les établissements et services concourant à la Protection Judiciaire de la Jeunesse et sous compétence tarifaire exclusive du représentant de l’Etat dans le département ; Vu l’arrêté préfectoral en date du 3 décembre 2001 autorisant la création d’un Centre Educatif Renforcé dénommé « Itinérance », sis 21, rue de la Talaudière – 42041 SAINT-ETIENNE et géré par l’Association Départementale de Sauvegarde de l’Enfant à l’Adulte (A.D.S.E.A.) de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral en date du 25 février 2002 habilitant le Centre Educatif Renforcé « Itinérance», au titre du décret n° 88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution de mesures les concernant ; Vu le budget prévisionnel déposé par le Centre Educatif Renforcé « Itinérance » pour l’exercice de l’année 2011 ; Sur rapport de Monsieur le Directeur Interrégional de la Protection Judiciaire de la Jeunesse de la région Centre Est ; Sur proposition de Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire l’année 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du Centre Educatif Renforcé « Itinérance » sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants Total en euros en euros

Groupe I 77 215,52 € Dépenses afférentes à l’exploitation courante

Dépenses Groupe II : 803 295,09 € Dépenses afférentes au personnel 599 641,17 €

Groupe III : Dépenses afférentes à la structure 126 438,40 €

Groupe I : Produits de la tarification 780 195,09 €

Groupe II : Recettes 803 295,09 € Autres produits relatifs à l’exploitation 0,00 €

Groupe III : Produits financiers et produits non encaissables 23 100,00 €

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire de l’année 2011, la tarification des prestations du Centre Educatif Renforcé « Itinérance » est fixée à compter du 1er juillet 2011,

Type de prestation Montant en euros du prix de journée

Action éducative en hébergement 490,31 €

Article 3 : En application de l’article L 314-7 du code de l’action sociale et des familles, modifié par l’ordonnance n° 2005-1477 du 1er décembre 2005, les tarifs de l’exercice dont la date est précisée dans l’arrêté tarifaire, sont calculés en prenant en compte les produits facturés sur la base de l’exercice précédent entre le 1er janvier et la dite date d’effet.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sis 119 ave Maréchal de Saxe 69427 Lyon cedex 03, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auquel il sera notifié, à compter de sa notification.

Article 5 : Une ampliation du présent arrêté sera adressée à l’établissement ou au service concerné.

220 Article 6 : En application des dispositions du III de l’article 35 du décret du 22 octobre susvisé, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Loire.

Article 7 : Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Interrégional de la Protection Judiciaire de la Jeunesse de la région Centre Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

Fait à Saint-Etienne, le 11 août 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général Patrick FERIN

***************

ARRÊTÉ DU 11/08/2011 PORTANT TARIFICATION POUR L’ANNÉE 2011 DU SERVICE D’ENQUÊTES SOCIALES GÉRÉ PAR L’ADSEA DE LA LOIRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles ; Vu le code de procédure pénale, notamment l’article 800 ; Vu l’ordonnance n° 2005-1477 du 1er décembre 2005, portant diverses dispositions relatives aux procédures d’admission à l’aide sociale et aux établissements et services sociaux et médico-sociaux ; Vu le décret n° 59-1095 du 21 septembre 1959 portant, en exécution des articles 800 du code de procédure pénale et 202 du code de l’aide sociale, règlement d’administration publique pour l’application des dispositions relatives à la protection de l’enfance et de l’adolescence en danger ; Vu le décret n° 88-42 du 14 janvier 1988 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services extérieurs de l’éducation surveillée ; Vu l’arrêté interministériel du 30 janvier 1960 relatif aux examens médicaux, psychiatriques et psychologiques effectuées par expertise ou dans un service de consultation public ou privé et observation en milieu ouvert ; Vu l’arrêté interministériel du 25 août 1992 relatif aux enquêtes sociales prévues par l’ordonnance du 2 février 1945 concernant l’enfance délinquante et les articles 375 à 375-8 du code civil et 1181 à 1200 du nouveau code de procédure civile relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’arrêté du 1er décembre 2005 portant modification de l’arrêté du 19 décembre 2003 relatif aux modes de tarification applicables aux prestations d’action éducative délivrées par les établissements et services concourant à la protection judiciaire de la jeunesse et sous compétence tarifaire exclusive du représentant de l’Etat dans le département ; Vu l’arrêté préfectoral en date 13 avril 2006 habilitant le Service d’Enquêtes Sociales de l’ADSEA de la Loire à exercer des Enquêtes sociales au titre du décret n° 88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution de mesures les concernant ; Vu le courrier transmis le 31 octobre 2010 par lequel le Service d’Enquêtes Sociales a adressé ses propositions budgétaires pour l’exercice de l’année 2011 ; Sur rapport du Directeur Interrégional de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre-Est ; Sur proposition de Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du Service d’Enquêtes Sociales sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montantsen Euros Total en Euros Groupe I : 5 210,52 € Dépenses afférentes à l’exploitation courante Groupe II : 85 799,00 € 102 364,95 € Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III : 11 355,43 € Dépenses afférentes à la structure

221 Groupe I : 102 364,95 € Produits de la tarification Groupe II : 0,00 € Recettes Autres produits relatifs à l’exploitation 102 364,95 € Groupe III : 0,00 € Produits financiers et produits non encaissables

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification des prestations de Service d’Enquêtes Sociales est fixée comme suit à compter du 1er juillet 2011 :

Montant en Euros du prix pour chaque Montant en euros du prix de l’acte à Type de prestation enquête pour 2011 compter du 1er juillet 2011

Enquête sociale 2 132,60 € 2 060,30 €

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal administratif de LYON, sis 107, rue Servient – 69418 LYON CEDEX 03, dans le délai de deux mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auquel il sera notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : Une ampliation du présent arrêté sera adressée au service d’Enquêtes Sociales de l’ADSEA de la Loire.

Article 5 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire.

Article 6 : Le secrétaire général de la préfecture et le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

Fait à Saint-Etienne, le 11 août 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général Patrick FERIN

***************

ARRÊTÉ DU 11/08/2011 PORTANT TARIFICATION POUR L’ANNÉE 2011 DU SERVICE D’INVESTIGATIONS ET ORIENTATIONS EDUCATIVES GÉRÉ PAR L’ADSEA DE LA LOIRE Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le code de l’action sociale et des familles ; Vu le code de procédure pénale, notamment l’article 800 ; Vu l’ordonnance n° 2005-1477 du 1er décembre 2005, portant diverses dispositions relatives aux procédures d’admission à l’aide sociale et aux établissements et services sociaux et médico-sociaux ; Vu le décret n° 59-1095 du 21 septembre 1959 portant, en exécution des articles 800 du code de procédure pénale et 202 du code de l’aide sociale, règlement d’administration publique pour l’application des dispositions relatives à la protection de l’enfance et de l’adolescence en danger ; Vu le décret n° 88-42 du 14 janvier 1988 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services extérieurs de l’éducation surveillée ; Vu l’arrêté interministériel du 30 janvier 1960 relatif aux examens médicaux, psychiatriques et psychologiques effectuées par expertise ou dans un service de consultation public ou privé et observation en milieu ouvert ; Vu l’arrêté interministériel du 25 août 1992 relatif aux enquêtes sociales prévues par l’ordonnance du 2 février 1945 concernant l’enfance délinquante et les articles 375 à 375-8 du code civil et 1181 à 1200 du nouveau code de procédure civile relatifs à l’assistance éducative ; Vu l’arrêté du 1er décembre 2005 portant modification de l’arrêté du 19 décembre 2003 relatif aux modes de tarification applicables aux prestations d’action éducative délivrées par les établissements et services concourant à la protection judiciaire de la jeunesse et sous compétence tarifaire exclusive du représentant de l’Etat dans le département ;

222 Vu l’arrêté préfectoral en date 13 avril 2006 habilitant le Service d’Investigations et d’Orientations Educatives de l’ADSEA de la Loire à exercer des Investigations et Orientations Educatives au titre du décret n° 88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l'habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l'autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution de mesures les concernant ; Vu le courrier transmis le 31 octobre 2010 par lequel le Service d’Investigations et Orientations Educatives a adressé ses propositions budgétaires pour l’exercice de l’année 2011; Sur rapport de Monsieur le Directeur Interrégional de la Protection Judiciaire de la Jeunesse de la région Centre Est ; Sur proposition de Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire ;

ARRÊTE :

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2011, les recettes et les dépenses prévisionnelles du Service d’Investigations et Orientations Educatives sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants en euros Total en euros

Groupe I : 46 890,03 € Dépenses afférentes à l’exploitation courante Groupe II : 835 518,25 € 1 044 546,10 € Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III : 162 137,82 € Dépenses afférentes à la structure Groupe I : 1 000 155,10 € Produits de la tarification Groupe II : 0,00 € 1 044 546,10 € Recettes Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III : 44 391,00 € Produits financiers et produits non encaissables

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification des prestations de Service d’Investigation et Orientations Educatives est fixée comme suit à compter du 1er juillet 2011 :

Montant en Euros du prix pour chaque IOE Montant en euros du prix de l’acte à compter Type de prestation pour 2011 du 1er juillet 2011 IOE 3 472,76 € 3 388,09 €

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal administratif de LYON, sis 107, rue Servient - 69148 LYON CEDEX 03, dans le délai de deux mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auquel il sera notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : Une ampliation du présent arrêté sera adressée au service d’Investigations et d’Orientations Educatives de l’ADSEA de la Loire.

Article 5 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire.

Article 6 : Le secrétaire général de la préfecture et le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

Fait à Saint-Etienne, le 11 août 2011 Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général Patrick FERIN

**************

223 ARRÊTÉ DU 31/07/2011 PORTANT TARIFICATION 2011 DU SERVICE DE RÉPARATION PÉNALE DE SAINT-ÉTIENNE GÉRÉ PAR L’ASSOCIATION DE GESTION D’ACTION SOCIALE DES ENSEMBLES FAMILIAUX (A.G.A.S.E.F.) Le Préfet de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur

Vu le Code de l’action sociale et des familles ; Vu l’ordonnance n° 45-1845 du 18 août 1945 relative au remboursement aux institutions privées des frais d’entretien et d’éducation des mineurs délinquants ; Vu les articles 375 à 375-8 du Code civil relatifs à l’assistance éducative ; Vu les lois n° 83-8 du 7 janvier 1983, n° 83-663 du 22 juillet 1983 et n° 83-1186 du 29 décembre 1983 relatives à la répartition des compétences entre les communes, les départements, les régions et l’Etat ; Vu la loi n° 2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale ; Vu le décret n° 88-42 du 14 janvier 1988 relatif au ressort territorial, à l’organisation et aux attributions des services extérieurs de l’éducation surveillée ; Vu le décret n° 90-359 du 11 avril 1990 relatif au contentieux de la tarification sanitaire et sociale ; Vu le décret n° 2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financière, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l’article L. 312-1 du Code de l’action sociale et des familles, et des établissements mentionnés au 2° de l’article L. 6111-2 du Code de la santé publique ; Vu l’arrêté du Ministre de la justice en date du 19 décembre 2003 relatif aux modes de tarification applicables aux prestations d’action éducative délivrées par les établissements et services concourant à la protection judiciaire de la jeunesse et sous compétence tarifaire exclusive du représentant de l’Etat dans le département ; Vu l’arrêté préfectoral en date du 8 novembre 2002 autorisant la création d’un service de réparation pénale sur la département de la Loire, sis 2 place des carrières – 42000 Saint-Etienne – et géré par l’Association de Gestion d’Action Sociale des Ensembles Familiaux (A.G.A.S.E.F.) ; Vu l’arrêté préfectoral en date du 8 novembre 2002 habilitant le service de réparation pénale de Saint-Étienne, au titre du décret n° 88-949 du 6 octobre 1988 modifié relatif à l’habilitation des personnes physiques, établissements, services ou organismes publics ou privés auxquels l’autorité judiciaire confie habituellement des mineurs ou l’exécution de mesures les concernant ; Vu le courrier transmis par personne ayant qualité pour représenter le Service de réparation pénale a adressé ses propositions budgétaires et leurs annexes pour l’exercice 2011 ; Vu les propositions de modifications budgétaires transmises par courrier du Directeur Interrégional de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Centre-Est ; Vu les observations exprimées par la personne ayant qualité pour représenter le Service de Réparations Pénales ; Sur rapport de Monsieur le Directeur Interrégional de la Protection Judiciaire de la Jeunesse de la région Centre Est ; Sur proposition de Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1 er : Pour l’exercice budgétaire 2010, les recettes et les dépenses prévisionnelles du Service de réparation pénale de Saint-Étienne sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants Total en Euros en Euros Groupe I 10 161,20 € Dépenses afférentes à l’exploitation courante Groupe II : 157 057,40 € 186 420,60 € Dépenses Dépenses afférentes au personnel Groupe III : 19 202,00 € Dépenses afférentes à la structure Groupe I : 186 420,60 € Produits de la tarification Groupe II : Recettes 0,00 € 186 420,60 € Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III : 0,00 € Produits financiers et produits non encaissables Reprise de Résultat (+/-) Reprise de résultat excédentaire 2009 5 043,50 € 5 043,50 €

224 Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2011, la tarification des prestations du Service de réparation pénale est fixée comme suit à compter du 1er juillet 2011 :

Type de prestation Montant en Euros Montant en Euros du prix de journée du tarif par mesure Exécution de mesures ou d’activités 915,83 € d’aide ou de réparation

Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sis 107 rue Servient 69418 – LYON Cedex 03, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auquel il sera notifié, à compter de sa notification.

Article 4 : Une ampliation du présent arrêté sera notifiée à l’établissement ou au service concerné.

Article 5 : En application des dispositions du III de l’article 35 du décret du 22 octobre susvisé, le ou les tarifs fixés à l’article 2 du présent arrêté seront publiés au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire.

Article 6 : Le Secrétaire général de la préfecture et le Directeur interrégional de la Protection judiciaire de la jeunesse Centre-Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

Fait à Saint-Etienne, le 31 juillet 2011 Le Préfet, Pierre SOUBELET

225 226 IV – INFORMATION

227 DECISIONS DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'AMENAGEMENT COMMERCIAL

Le Préfet de la Loire atteste que : Conformément à l'article L 752-14 du code de Commerce, en l'absence du prononcé d'une décision de la Commission d'Aménagement Commercial de la Loire, dans un délai de deux mois à compter de la réception de la demande présentée par la SAS VERLIEU FINANCE HOLDING VHF afin d'être autorisée à l'extension d'un ensemble commercial à CHAVANAY, par création de 3 boutiques d'une surface de vente de 380 m², l'autorisation sollicitée par le demandeur a été tacitement accordée le 19 juillet 2011. Après réalisation du projet, la surface de vente sera de 2 480 m² pour le supermarché à l'enseigne E. LECLERC, 122 m² pour la galerie marchande et 380 m² pour les boutiques adjacentes, soit une surface de vente totale de 2 982 m².

La décision de la Commission Départementale d'Aménagement Commercial sera affichée à la porte de la mairie de CHAVANAY pendant un mois.

***************

Au cours de sa réunion du 22 août 2011, la Commission Départementale d'Aménagement Commercial de la Loire a décidé par 4 voix favorables, 1 voix défavorable et 1 abstention : 4 voix pour : M. SCHALK, M. ZIEGLER, M. JACQUES, M. GROS 1 voix contre : M. TERME 1 abstention : M. CELLIER d'accorder à la SARL DU PARC DES ESSARTS, représentée par Monsieur Julien BOST, l'autorisation de procéder à l'extension d'un ensemble commercial existant situé rue Pierre-Georges Latécoère, Parc des Essarts à ANDREZIEUX-BOUTHEON, par création d'une partie d'un ensemble commercial (bâtiments A et B1) d'une surface de vente de 723,80m².

Surface de vente actuelle : 1 029 m² Extension ensemble commercial projeté (bâtiments A et B1) : 723,80 m² Surface de vente après extension : 1 752,80 m².

La décision de la Commission Départementale d'Aménagement Commercial sera affichée à la porte de la mairie d'ANDREZIEUX-BOUTHEON pendant un mois.

***************

Au cours de sa réunion du 22 août 2011, la Commission Départementale d'Aménagement Commercial de la Loire a décidé par 4 voix favorables, 1 voix défavorable et 1 abstention :

4 voix pour : M. SCHALK, M. ZIEGLER, M. JACQUES, M. GROS 1 voix contre : M. TERME 1 abstention : M. CELLIER d'accorder à la société SARL BOST ETUDES ET PROMOTION, représentée par Monsieur René BOST, l'autorisation de procéder à l'extension d'un ensemble commercial existant situé rue Pierre-Georges Latécoère, Parc des Essarts à ANDREZIEUX BOUTHEON, par création d'une partie d'un ensemble commercial (bâtiment B2) d'une surface de vente de 498,99 m².

Surface de vente actuelle : 1 029 m² Surface de vente autorisée par CDAC du 22/08/2011 dossier n° 046 : 723,80 m² Extension ensemble commercial projeté (bâtiment B2) : 498,99 m² Surface de vente totale après extension : 2 251,79 m²

La décision de la Commission Départementale d'Aménagement Commercial sera affichée à la porte de la mairie d'ANDREZIEUX-BOUTHEON pendant un mois.

228 DIVERS CONCOURS

AVIS DE CONCOURS INTERNE SUR TITRES EN VUE DE POURVOIR UN POSTE DE CADRE DE SANTÉ (FILIÈRE INFIRMIÈRE) AU CENTRE HOSPITALIER DE DIE (26)

En application de l’arrêté du 19 avril 2002 fixant la composition des jurys et les modalités d’organisation des concours sur titres permettant l’accès au corps des cadres de santé, et du décret n°2001-1375 du 31 décembre 2001 modifié portant statut particulier de corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, est organisé au Centre Hospitalier de Die, à compter du 22 juillet 2011, un concours interne sur titres, en vue de pourvoir UN poste de cadre de santé, filière infirmière, vacant dans cet établissement.

Peuvent être candidats, les agents titulaires des diplômes ou titres requis pour être recrutés dans les corps régis par les décrets du 30 novembre 1988, n°89-609 et n°89-613 du 1er septembre 1989 et du diplôme de cadre de santé ou certificat équivalent au sens de l’article 2 du décret n°95-926 du 18 août 1995 portant création d’un diplôme de cadre de santé, ayant exercé dans le secteur privé et public, une activité professionnelle de même nature et équivalente à celle des agents appartenant aux corps précités, pendant au moins cinq ans à temps plein ou équivalent temps plein.

Date de dépôt des candidatures : dans un délai de deux mois à compter de la date de parution du présent avis au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Drôme.

229